[Archive] Bureau du Lieutenant Maître d'Armes SPIKELILOU

Riese n'en revenait pas du coup de vent qui venait de tout faire voler dans le bureau du Lieutenant! Elle même sentit ce coup de vent ce qui provoqua un remue menage dans sa chevelure qu'elle dut remettre en place avant de se presenter! Lorsque cette dernière reussit a tout refermer et a tout rattraper, elle l'aperçut se relever tout en reposant tout sur son bureau et le contoiurner tout en lui disant

Sergent Riese... entrez, je vous prie... ne restez pas dans le couloir !

Cette dernière fit donc deux pas en avant pour entrer dans le bureau du Lieutenant!

Elle se mit au garde a vous, bomba le torse, et salua respectueusement son supérieur!

Sergent Instructeur Riese,corps des archers! A vos ordres Lieutenant!!!

Puis, Riese attendit l'autorisation de se mettre au repos!

Droite maintenant à côté de la table, sa main gauche appuyée sur le plateau, regardant la militaire lui faire salut parfait, le lieutenant hocha la tête, souriant à peine...

Repos sergent Riese !
Bien à vous...
Mais avancez-vous... avec cette porte qui est en réparation, j'ai l'impresseion que vous êtes encore dans le couloir.

Vous voulez me voir ?
Il y a un problème ?

Invité

Kenny après avoir emmené la porte chez le charpentier avec l'aide de l'aspirant Franchesco, revint au bureau du Lieutenant Maitre d'Armes afin de lui parler de son idée. Il y avait plus que réfléchi, et, avec un peu d'organisation, cette idée était plus que réalisable et aiderait pas mal de monde. Néanmoins, il vit que le lieutenant avait déjà de la visite. Il décida donc de se mettre en retrait afin de ne pas écouter une conversation qui ne le concernait pas. Il s'adossa contre le mur et attendit patiemment que le visiteur ait fini.

La jeune femme fixait le sergent Riese depuis un moment sans que celle-ci ne se décide à lui dire un mot et semblait figée. En désepoir de cause, elle lui montra le siège lui proposant de s'asseoir...

Hum... sergent, prenez place et lorsque vous saurez ce que vous voulez me dire, je vous écouterai.
Pour le moment, je vais m'occuper du jeune militaire qui vient d'arriver et qui attend depuis un moment au portique.

Le lieutenant fit quelques pas, vers l'endroit de la porte manquante qui laissait voir le couloir et le jeune artilleur qui attendait patiemment adossé au mur...
Elle hocha rapidement la tête à son intention, se demandant s'il somnolait ou s'il réfléchissait...

HuMM... soldat...
Bien à vous... entrez, je vous prie...
Oui... venez !

Invité

Perdu dans ses pensées, Kenny sursauta lorsque le lieutenant lui demanda d'entrer. Il s'avança et vit que le sergent Riese était là aussi. Il salua donc ses supérieures.

Mes respects sergent ! Mes respects Lieutenant ! Soldat Kenny78, corps des sapeurs artilleurs, garnison de Poligny au rapport Lieutenant !

Le jeune homme laissa un léger temps avant de demander :

Permission de parler Lieutenant ?

[hrp je m'excuse pour ce silence ou j'etai impossible de me connecter ici !!/hrp]

Riese se decala sur le cote pour laisser maintenant le Maitre d'Armes finir son affaire avec le jeune soldat! Elle en profita pour le saluer ! Ensuite, elle se tourna vers la vitre et pensa a ce qu'elle allait dire aux Maitre d'Armes ....

La jeune femme fixa l'artilleur et se redressa d'avantage au salut parfait qu'il lui fit. Elle avait plaisir de voir faire bien.
Pivotant un peu la tête vers Riese qui lui donnait inquiétude depuis un moment, elle jeta un coup d'oeil vers le sergent qui venait de s'écarter un peu et fut contente qu'elle sembla sortir de sa torpeur.

Repos caporal !
Permission accordée.
Bien.
Expliquez-moi un peu votre idée, caporal Kenny

Invité

Dès que l'ordre de repos fut donné, Kenny relâcha la position et lorsqu'il eut l'autorisation d'exposer son idée, il prit une légère inspiration et se lança.

Cela fait un petit moment que j'observe les effectifs des terrains. Et j'ai remarqué un déséquilibre. Certains terrains sont pleins à craquer, d'autres se vident peu à peu. Bien que les affiches informatives chez les recrues soient très bien faites, je pense qu'on devrait leur donner une information supplémentaire. Une information visuelle. Qu'ils sachent ce que les instructeurs attendront d'eux sur le terrain. C'est pourquoi je propose d'inclure dans la formation même des recrues, la participation à un exercice d'entrainement dans chaque corps d'armes, sous la surveillance des instructeurs bien entendu.

Sachant que les recrues ont un mois de formation, cela fait quatre semaines. Ce qui tombe bien nous avons quatre terrains. Donc si nous pouvions organiser un exercice par semaine sur un terrain, les recrues verraient par eux-mêmes la réalité de l'entrainement par corps d'armes. Ils pourraient ainsi choisir en toute connaissance de cause et bénéficier de témoignages de soldats ainsi que de leurs expériences.

Le plus difficile bien sûr sera l'organisation et la mise en place du projet. Mais je pense qu'une fois mis en place, ce projet pourrait repeupler certains terrains et faire connaitre la réalité des entrainements.

Lorsque le jeune homme eut fini, il attendit patiemment que le lieutenant lui donne son avis.

La maître d'armes écouta avec intérêt les propositions de l'artilleur.
Elle savait bien pourquoi il y avait de telles disparitées entre les différents corps d'armes.
Mais elle le laissa terminer jusque au bout sans l'interrompre.

Je suis bien d'accord que voir toutes les armes serait intéressant...
Mais le problème, c'est qu'un moi c'est trop court.
Ce que nous pouvont faire c'est ponctuellement, soit les faire rejoindre mes artilleurs parcequ'ils sont prêts à une séquence de tirs, soit faire venir un instructeur... ils se sont déjà proposés.
Donc une autre information en sus du travail avec les batons... mais pas plus.
Et nous l'avons déjà fait avec des cours de premiers soins.
Aussi vous savez comme moi que certaines jeunes recrues ont bien du mal simplement à mettre un uniforme ou à faire copie de leur fiche pour l'infirmerie.

Pour votre belle idée, j'ai peur qu'il faille plus de temps qu'en seul mois ...
Alors en fait, ça dépendra beaucoup... hum... je vais dire.... des arrivages.
Mais pourquoi pas faire mais en plus petit, juste une information et pas toutes.

Merci de m'avoir exposé vos idées... caporal Kenny, je pense que nous allons prendre un peu...
Vous avez encore à compléter vos idées ?

Invité

Hum en effet je n'avais pas pensé à la justesse de la durée. Néanmoins, si les recrues pouvaient assister à un exercice dans leur formation, cela leur serait profitable. Soit pour l'artillerie, comme vous l'avez fait remarquer, soit pour la sape. Il faudra s'organiser avec le caporal jérone qui est le responsable actuel du terrain.

Je n'ai pour le moment pas d'autres idées, mais cela viendra bientôt je pense.

Permission de disposer Lieutenant ?

Oui caporal Kenny, je crois aussi qu'il serait bien que les recrues assistent à un entrainement. Je vais voir cela avec mon adjoint qui lui avait fait une petite manoeuvre en extérieur avec eux si je me rappelle bien.
Hum... en tout cas quelque chose qui les sorte de leur terrain. Oh pas que l'artillerie, aussi les arbalétriers... ou les fantassins...

Elle allait rajouter les archers en se retournant vers le sergent Riese qui attendait sur son siège, mais elle se retint de parler des archers qui séjournaient peut-être encore à l'infirmerie à attendre un médecin qui avait dû se noyer dans un tonneau de vin et devait pour l'heure pourrir dans le fond. Elle sourit encore une fois au jeune artilleur qui semblait avoir tant d'idées foisonnantes à son esprit et hocha la tête.

Vous pouvez disposer artilleur !
Aussi.... vous direz à votre instructeur Jerone, qu'il passe à mon bureau dès que vous aurez fini cette séquence de tir avec la pierrière.
Oh... encore... merci pour la porte...
Hum... si vous pouviez me la remettre en place dès qu'elle sera en état, ça serait gentil caporal...

Elle regarda le jeune militaire s'éloigner vers le couloir puis de se retourna vers l'archère qui semblait à nouveau somnolante... elle devait couver quelque chose... et éleva un peu la voix pour qu'elle sorte de son apathie.

Bien... sergent Riese à nous deux...
Vous avez à me dire ?

Riese qui séjournait depuis un moment sur son siege avait fermer les yeux et attendait son tour pour discuter avec le Maître d'Armes!

Faute a elle, elle avait ete dans une torpeur tout un temps! Puis, elle entendit le Lieutenant l'appeler d'une voie forte et se releva d'un bond pour se mettre debout pour lui faire honneur etant encore son supérieur! Elle rectifia sa tenue et replaça une meche de cheveux blond derrière son oreille pour lui paraitre sous son meilleure jour....si cela etait possible bien sûr!

Puis, elle se retourna vers elle! En fait, elle etait juste a cote d'elle car en parlant elle avait fait le chemin qui la separait d'elle et de sa porte!

Lieutenant Maître d'Armes Spikelou, avec tout le respect que je vous dois je pense sincerement que vous vous doutez du pourquoi de ma présence dans votre bureau en ce moment!
Je pense que je ne vais pas trop discuter des raisons qui m'ammene ici mais je tiens a vous signalez que je vais quittez l'instruction des archers et je pense même peut être prendre ma retraite de l'armée!

Elle savait que le Maître d'Armes etait intelligente et elle connaissait les raisons de sa présence dans son bureau! Ni l'une ni l'autre ne pouvait se leurrer sur les raisons!
Riese ne se sentait plus a sa place et elle ne pouvait donc pas la garder!

Les derniers mots echangaient avec cette dernière pas MeSaNge la derangeait et elle n'avait pas voulu porter la responsabilité de ce qu'on lui repprochait et tout ce que l'on pouvait penser! Elle n'avait pas l'habitude de s'arreter a cela d'habitude mais là elle ne pouvait pas les ignorer....

Elle regardait son supérieur droit dans les yeux et ne flancherez pas! Même si là elle deposait les armes elle avait sa fiertè et son honneur.....

Le lieutenant observa l'instructeur à la dérobée alors qu'elle contournait sa table pour se retouver face à elle et qu'elle commençait à parler.

Elle écouta jusqu'au bout en fixant le militaire, plissant légèrement le front au fur et à mesure que le sergent annonçait ce à quoi elle s'attendait depuis un moment... la volonté de démissionner de sa fonction d'instructeur.

Spike laissa s'installer un silence qui en disait long après que le sergent se soit tu... et s'appuyant à la table... commença à lui répondre.

Vous savez Sergent Riese, avant que vous ne m'en fassiez part, je me doutais...
Votre terrain allait à l'abandon.
Vous n'étiez plus présente pour encourager vos archers.
J'ai tenté de vous donner des idées pour reprendre des entrainements plus actifs... mais je voyais bien que rien ne vous convenait.
Et même... vous ne m'étonnez pas en disant que vous voulez prendre retraite de l'armée.
Vous semblez en léthargie complète.
Etes-vous souffrante ?

La maître d'armes s'arrêta un instant scrutant le regard de l'archère, puis reprit.

Je ne vais pas retenir un instructeur qui n'a plus rien à donner à ses militaires.
J'espère seulement que vous allez rester à l'armée chez les archers ou ailleurs et participer toujours à la protection de la Franche-Comté et de ses habitants.
Oui, je l'espère vraiment...
... car vous avez toujours à offrir votre expérience de militaire à votre Comté.

Vous avez encore quelque chose à me dire sergent ?

Riese ecouta les paroles du Maître d'Armes et eu un sourire au coin lorsque cette derniere avoua qu'elle se doutait de tout!

Son terrain a l'abandon, il est vrai qu'elle a perdu l'envi et que malgrè ces conseils, elle n'a pas su gerer la crise et a baisser les bras! Même son idée de chasse qui etait bonne, elle n'a pas su gerer!

Vous savez Lieutenant, je reconnait mes torts pour le terrain certe! Avoir le doute en tête pour un militaire n'est pas le meilleur etat d'esprit pour encourager ces troupes! Même si vous avez tout fait je n'arrive pas a effacer certaines choses!

Pour répondre franchement, je ne suis pas malade mais completement perdue! Je l'avoue!

Sachez que suite a certaines personnes et que malgrè tout je tiens a l'armée! Je resterai donc simple soldat! Après tout je sais faire que cela!

Elle regarda son supérieur qui le restera donc toujours! Et resta stoique!

Tout en écoutant les derniers commentaires, elle regrettait le départ de cette femme qui avait fait parfaitement au début qu'elle avait été en responsabilité des entrainements des archers, mais elle n'en fit rien paraître à son visage.

Hum... je ne sais à quoi vous faites référence, sergent Riese, lorsque vous me dites "je n'arrive pas a effacer certaines choses!" et "suite a certaines personnes ".
Comme je n'écoute pas les ragots qui circulent, je ne vous demande rien, mais je suis un peu peinée qu'il y ait des problèmes qui trainent et aient une telle influence sur les militaires.
Je suis très heureuse que vous restiez militaire et je fais direct un document que vous donnerez à l'un des imagiers pour votre nouvel uniforme...

La jeune femme sourit à l'archère...
... et rassurée aussi que vous ne soyez pas malade.

Spike s'assit, tira vers elle un feuillet et trempa sa plume dans l'encre pour rédiger rapidement... avant de lever la tête pour lui rajouter.
Ce document sera aussi à destination du capitaine, du sénéchal et de votre lieutenant de garnison... et de mon adjoint bien sûr...

Secouant doucement le feuillet pour que l'encre sèche, elle se dirigea vers la militaire et tendit le document à la jeune femme.

Citation :: INFORMATION
Changement dans le corps des archers

Le sergent Riese vient de démissionner de sa fonction d'instructeur.
Elle reste militaire.
Elle garde le grade de sergent au vu de son expérience.
Mais à condition bien sûr qu'elle continue à fréquenter son terrain d'entrainement.

Fait à Dole, le 5 octobre 1456
Lieutenant maître d'armes Spikelilou

cc/Capitaine Lothilde, Sénéchal Zephirin, Lieutenant Dina, Aspirant Franchesco

Bien, sergent... je pense n'avoir rien oublié... vous pouvez disposer.
Vous allez chez le fourrier prendre votre uniforme et je vous vois ensuite sur le terrain.

Riese ecouta a nouveau le Lieutenant! Tout en l'écoutant, elle n'arrivait pas a detourner son regard de son supérieur!

Elle lui fut reconnaissante de son intervention pour son uniforme! En attendant que cette dernière lui redige elle lui répondit pour les ragots!

Permettez moi de vous dire que les choses ou personnes ne correspondent pas a des ragots! Juste a des paroles dites réellement et des faits! Donc aucun bruits de couloirs Lieutenant!

Puis, Riese attrapa le feuillet qu'elle lui avait preparé pour son uniforme!

Merci Lieutenant! Je serai sur le terrain! Et je ferai de mon mieux même si je vous ai deçu!

Riese se mit donc au garde a vous! Salua son superieur d'un geste sec et precis! Et effectua un demi tour droit pour ressortir de son bureau!

bonjour a vous sergent. je me suis fait dire de me présenter a votre bureau. je suis recru et ca doit etre pour choisir mes arme j'imagine?

La maître d'armes avançait d'un pas rapide dans le couloir pour se rendre au bureau de son aspirant et s'arrêta net de surprise. Un jeune homme en tenue civile parlait tout seul dans le couloir s'adressant de surcroit à un sergent... une jeune recrue visiblement qui semblait quelque peu égarée...
La rousse militaire fronça les sourcils et le dévisagea en hochant un peu la tête.

Hum... hum !
Garde à vous... recrue !
Votre nom ?
Que faites-vous ici sans uniforme ?
Allez... vite.
J'attends votre réponse !

Ensuite.... vous n'auriez pas fait une erreur de bureau... je pense que c'est là-bas le bureau que vous devriez aller... recrue....

Un pigeon se posa sur le rebord de la fênetre du Maître d'Armes avec au pied un petit papier!

Citation :: Mes respects Sergent,

De toute évidence je n'ai plus de temps à consacrer à l'armée. Je vous adresse donc dès à présent ma démission.

Soldat Fcduke

Lieutenant, je vous fais parvenir la décision du soldat Fcduke et je previens en même temps l'Aide De Camp Lt Krane! Mes respects Lieutenant

Veuillez trouvez Lieutenant par la même occasion la démission du soldat Lefelon!

Citation :: Sergent,

Par cette lettre je vous informe de ma demission de la garnison de Poligny.

Je ne peux assurer plus longtemps ma fonction de soldat, quand a mes soldes non payé j'en fait cadeau a la garnison.

Ce fut un honneur de servire sous vos ordres!

A bientot peut etre

Soldat Lef

pardonner moi, jai eu un probleme chez le couturier, ca mest impossible de recuperer mon uniforme. vraiment dsl

Le sergent au chapeau de paille arriva chez son superieur legerment ennervé et passablement poussiéreux. Il frappa à la porte et attendit dos au mur face à la porte mais debout.

Remontant le couloir heureuse d'avoir repousser pour l'heure la visite, elle avait ralenti son allure pour éviter de déraper sur les dalles rendues glissantes par les pluies froides de ces derniers jours... Au tournant du couloir, le dos au mur à attendre devant son bureau, elle vit une silhouette dont le couvre-chef lui rappela les belles journées d'été lors du voyage qu'ils avaient fait tous les trois vers Orléans.
La maître d'armes laissa glisser un léger sourire à ses lèvres et s'arrêta net.

Sergent Jerone...
Hum... hum... hum !!!

Jerone vit arriver le lieutenant maitre d'arme et se mit au garde à vous.

salut

Mes Respects, Lieutenant
Sergent-Instructeur Jerone
Garnison de Dole
Sapeur-Artilleur
Lieutenant salut

Permission de Parler ?

La rousse militaire redressa un peu le menton et fixa l'instructeur des artilleurs.

Repos sergent !

Bien sûr que vous avez autorisation de parler.
Mais suivez-moi, nous n'allons pas rester dans le couloir.

Spike regarda la porte en se disant qu'elle n'avait pas vu quand elle avait été remontée.
Mais du moment qu'elle était de retour.
Elle s'accroupie et passa la main sur le bois
Les réparations semblaient parfaites, c'est à peine si on voyait le nouveau bois plus clair et il n'y avait aucune différence de niveau.
Se redressant vite, elle poussa et pénétra dans la pièce humide... et froide.

Diantre!
Ca sert à rien de rapporter des buches et de pas faire de feu à la cheminée.
Bon... expliquez-moi ce qui ne va pas... pendant que je mets en route.

Un genou au sol, avec des gestes rapides, elle choisit de petites branches bien sèches au côté du pilier de l'âtre et sortant son briquet, après plusieurs frottements, elle enflamma le petit bout d'étoupe qu'elle avança délicatement aux brindilles.... soufflant doucement et régulièrement... les petites flammèches tenaient...
Elle fit signe à l'artilleur de lui donner une bois éclaté et sans écorce pour alimenter davantage.

Bon sergent Jerone, vous me dites ... ?

Apres etre entré dans le bureau et s'etre installer Jerone commença ses explications.

Et bien c'est que j'ai un enorme probleme sur mon terrain. Heureusement on le remarque en pleine periode de calme mais en periode de guerre ça nous aurait causé beaucoup de tort.

La catapulte à une roue à moitié enfouie dans du torchi de ma fabrication autant dire capable de resister à mes explosions. Le seul moment où j'en ai fait c'etait lors de la reconstruction du mur de sape mais bon c'est de ça que je suis venu parlé c'est de la catapulte.

Impossibilité de laisser la roue seule afin de la remplacer et de ranger la catapulte autre part. Il faut presque integralement la demonter et faire sauter le torchi. Mais on manque d'ingenieurs et je sais pas si mon soldat pourra me rammener toutes les piece que l'on risque d'abimer.

Je suis donc dans un cul de sac car soit on commande directement une catapulte neuve mais là c'est directement à Aristote qu'il faut s'adresser. Soit on tente tant bien que mal de la demonter et de sauver le maximum de piece et on la remonte ensuite. En tout cas il faut que je fasse sauter le torchi en esperant pouvoir garder un maximum de piece intacte.

Le mieux c'est que vous veniez voir par vous meme. Mais le probleme c'est que le torchi à apparement été mis ici intentionnellement par qui je sais pas mais il a pas été mis au bon endroit et cela ça m'agasse particulierement.

Jerone bougeait les mains dans tous les sens durant ses explications et commençait meme à tourner en rond dans le bureau. Il etait plus qu'ennervé par cela car cela lui plombait son entrainement et surtout c'est encore lui qui doit reparer les conneries des autres. En faisant les 100 pas il vit son oiseau prendre de l'altitude et soudain piquer. Jerone fonça à la fenetre et cria à ses hommes.

INTERCEPTEZ LE IL VA SE TUER

Makita passa à côté du bureau du Lieutenant Spike puis elle recula pour être sur que c'est bien-là. Elle cogna à porte du Lieutenant Spike.

Un genou au sol devant la cheminée, la maître d'armes attendit la main tendue, le morceau de bois, mais l'artilleur ne lui le donna pas. Elle leva un sourcil et se redressa pour faire un pas vers la réserve de bûches.
Pivotant un peu elle vit le sergent confortablement installé sur un siège et qui parlait et parlait devant son bureau vide.

Diantre !!!
Sergent Jerone, qui vous a dit de vous installer là ???
Pas moi...
Levez-vous et venez devant la fenêtre que je vous vois quand vous me parler !

Prenant quelques morceaux de bois, elle les déposa au fur et à mesure que les brindilles s'enflammaient et faisaient chaleur, tout en écoutant et cherchant à garder le fil des paroles désordonnées de l'instructeur. Tentant de comprendre l'affaire, elle se murmurait à elle-même...
Diantre... du torchis...
Hein ! sur la catapulte...
Arf... quoi ?
Le feu semblait enfin prendre, elle se redressa au moment où le militaire agité qui regardait dans la cour, ouvrait la fenêtre à meneaux pour hurler que quelqu'un allait se tuer...
Là s'en était trop...
Elle fixa le jeune homme en plissant les paupières et passa nerveusement le dos de sa main à sa pommette gauche sur la cicatrice.

Sergent Jerone !
Il suffit !!
Allez vous asseoir c'est un ordre !
Et recommencez l'explication dans le calme.

A peine elle eut refermé la bouche que des frappements se firent entendre à la porte.

Vous sergent, vous ne bougez plus...

Entrez je vous pris...

Makita entra dans le bureau du Lieutenant Spike puis elle salua salut

et elle dit: C'est pour te prévenir que c'est votre tour de passer pour te faire examiner dans le terrain entrainement. Si vous avez le temps bien sur. Makita savait qu'elle voulais prévenir au plus vite le Lieutenant Spike avant quelqu'un viennent s'examiner.

Le sergent completement absorbé par son probleme avait oublié ce que lui avait demandé le lieutenant et venais a nouveau de retombé dans les problemes qu'il avait connu 6 mois auparavent. Il fut prié de s'assoir et de plus bouger alors qu'un soldat venait d'entrer.

Jerone fit un signe pour saluer l'archere de Vesoul sans bouger et sans parler comme l'a demandé le lieutenant.

Jerone etait plus qu'anxieux car son oiseau venais de montrer qu'il avait ressenti son ennervement et la lieutenante n'avait pas tout compris. Le Sergent enleva son chapeau de paille et se prit la tete entre les deux mains ne savant plus quoi faire pour contrer cet ennervement qu'il n'avais jamais eu depuis qu'il n'etait plus sergent il y a 6 mois. " Décidement je suis pas fait pour etre plus gradé qu'un caporal sous peine de m'ennerver." Cette phrase lui trottait dans la tete comme le cliqueti de l'horloge.

ethane arrivat a la porte du bureau du maitre d'arme , il frappa et comme il voyais que l'on ne lui repondais pas , et qu'il entendait des voies , il decida d'attendre un peut que l'on lui reponde .

La porte s'ouvrit et laissa apparaître l'archère de Vesoul qui la salua .
Spike hocha la tête au soldat et son léger sourire se transforma en grimace, lorsque celle-ci lui transmit le message.

Bien... merci d'avoir fait soldat Makita.
Dites au sergent Pégasine que j'arrive de suite... enfin dès que j'ai réglé le problème avec la catapulte du sergent Jerone.
Vous pouvez disposer soldat...
... et n'oubliez pas... vous foncez avec le soldat Mifalifou, le caporal aux noires vêtures et le sergent Riese et vous me faites des tirs en cloche... qui montent haut pour passer par-dessus les remparts...

La maître d'armes regarda l'archère sortir et contourna la table pour se retrouver face à l'artilleur... le feu crépitait maintenant à l'âtre... elle s'assit... chercha parmi ses feuillets un dessin de catapulte et le poussa sur la table devant l'artilleur...

[Archive] Bureau du Lieutenant Maître d'Armes SPIKELILOU - Page 7 Catapulte

[Archive] Bureau du Lieutenant Maître d'Armes SPIKELILOU - Page 7 Catapulte

Bon... à nous...
Marquez-moi l'endroit de l'engin qui est en mauvais état....
Ensuite dites-moi ce qui a mis l'engin dans cet état.

Tenez... prenez ce fusain... sergent

Mais déjà on frappait à nouveau à sa porte... elle poussa un peu la voix pour qu'on l'entende depuis le couloir...

Hum... un instant s'il vous plait...

Le sergent pris alors le fusin du lieutenant en commença a griffonner sur le schema de la catapulte.

[Archive] Bureau du Lieutenant Maître d'Armes SPIKELILOU - Page 7 Catapultehh0

On venait encore de frapper à la porte et la lieutenant haussa la voix afin de faire patienter le nouvel arrivant.

Je suis pas tres doué en dessin et sur une vue c'est pas facile de tout representer ce qui peut etre endommagé. Pour ce que est de la personne qui a mis le torchi je ne sais pas vraiment qui cela peut etre mais je pencherais pour mon ancien adjoint Olivierdain desormais quelque part en provence.

Pour tout à l'heure c'est juste que j'ai vu mon moineau tenter un piqué surment sur le torchi il a du ressentir mon agassement et a voulu m'aider.

Comme vous pouvez le voir sur le dessin plusieurs pieces importantes peuvent finir en bouillie connaissant la resistance de mon torchi va falloir que je mette le paquet. Toute fois je vais mettre diverses protections afin d'eviter de casser tout mais je sens qu'il va falloir scier les pieces proches de la roue et raffistoller ou tout demonter mais comme vous le voyez il y a plusieurs traverses qui peuvent etre touchées. Autant dire que si on demonte ça se casse.

Je sais que vous avez pas le temps mais j'aimerais que vous passiez sur le terrain voir l'etendu des degats.

La maître d'armes arrêta l'artilleur dans ses explications .... et le regarda incrédule et finit par se lever de son siège pour s'appuyer les deux mains sur la table, puis pointer de l'index à plusieurs endroits qui avaient été signalés...

Mais non, c'est très bien... vos traits permettent que je vois....
Hum...
D'accord, ces parties ont peut-être été détériorées...
Mais pas par du torchis...
Comment de la terre mélangée à de la paille ou même encore à de petits cailloutis pourrait détruire des pièces d'une catapulte.
Non... sergent... impossible !

Elle haussa les épaules et secoua la tête négativement.

Je n'y comprends rien là... à votre histoire de torchis.
Arrosez le torchis avec de l'eau et la terre va ramolir d'elle-même, c'est trop frais...
Vous enlevez le plus gros avec une pièce de bois taillée en biseau...
Prenez ensuite une grosse brosse bien dure et vous enlevez les restes...
Et je vous assure que rien n'est abimé... quelqu'un à voulu vous faire une farce...
Vous avez laissé entrer des gamins sur votre terrain ????
De jeunes recrues qui ont voulu s'amuser ???

Bon... je passerai quand vous m'aurez débarassé la terre et... c'est quoi l'autre constituant que vous avez utilisé... de la paille je pense...

Quel moineau...?
Comment vouliez-vous que j'ai vu, j'étais en train de m'occuper du feu un genou au sol.
Et par pitié... laissez ce pauvre volatile en dehors de tout ça.

Bon... vous avez autre chose à me dire... à part cette blague... hein c'est ça... c'était une farce... ?
Sergent Jerone ?

Le fixant du regard, elle se redressa puis, se tournant vers la porte...

Oh... entrez...

malheureusement non c'est pas une farce et les pieces peuvent etre abimé par l'explosion du torchi car on va dire que mon torchi est resistant à l'eau sinon comment les mur tiendraient debout tout l'hiver ?

Je vais essayer de le casser avec un burin mais je vous assure rien.

Sur ce je peux retourner à mes affaires ?

La rousse militaire soupira... en écoutant l'artilleur qui tentait de lui faire avaler des couleuvres qu'elle se demandait bien pour quelles raisons.

Diantre Sergent Jérone... du torchis c'est que de la terre mélangée à de la paille.
Je ne connais pas d'autre torchis...
Personne ne connait d'autre torchis... sauf qu'à la place de la paille on peut mettre d'autres fibres végétales ou encore de petits cailloux... mais il y a toujours de la terre.
Le torchis met de longs jours à sécher sutout par ce temps humide et froid.
Alors je vois pas comment vous auriez besoin d'un burin pour défaire...

Mais faites...
Mais surtout faites gaffe... à rien casser...

Oui vous pouvez retourner à votre terrain... et me bichonner votre catapulte... oui.

Merci Lieutenant et desolé du derangement mais a chaque fois que me retrouve sergent j'ai comme l'impression qu'Aristote me le fait payer.

salut

Jerone salua son superieur et alla à son terrain.

La lieutenant rousse contourna sa table et précéda le sergent vers la porte.
Posant la main sur la clanche elle s'arrêta un moment bloquant par là même, la sortie de l'instructeur... et le regardant dans les yeux.

Sergent... un instant...
Avant que vous ne sortiez...
Si vous êtes sergent c'est que vous avez la capacité de faire, sinon je ne vous aurai pas redonné.
Faites sergent comme vous avez fait caporal et tout sera bien fait.
Vous savez faire avec les hommes, continuez comme cela.

Spike ouvrit la porte et laissa glisser un léger sourire à ses lèvres... permettant la sortie à l'artilleur.

Et surtout bichonnez-moi cette catapulte... les charpentiers ont sûrement les bois qu'il faut si vraiment une pièce est à changer.
Ah... si vous pouviez faire une vérification des grands mantelets pour les arbalètes à tour.
Il doit y en avoir deux si je me rappelle.
Ca risque de nous servir sous peu, sergent !

La maître d'armes fit un hochement de la tête au salut du militaire qui reprit le couloir pour regagner le terrain... Avançant un peu sous le portique, elle observa la jeune recrue qui avait frappé un peu avant...

Bien... Recrue, vous entrez ?... ou pas...
Hum... déclinez votre nom et garnison.

Bon... prenez un siège et installez-vous à ma table, je vous reviens dans un instant.

Franchesco quittant l'étage après avoir mis à jour les effectifs des recrues aperçut le lieutenant Spikelilou. Il accéléra et la rattrapa avant de la saluer, elle et Jerone.

Lieutenant,
je voulais simplement vous informer qu'une recrue a été la goutte de trop, il s'agit de Smittwesson. Je lui ait écrit, lui demandant de revenir ou de démissionner et lui reprochant son absence (dernier post le 14 octobre). Il m'a répondu me reprochant mon ton, il aurait préféré que je les lui tire avec une berceuse...
Déjà que ma patience est touchée par ceux qui ne savent pas lire un panneau dans mon bureau, cet arrogant me pousse à bout. Si il revient je le fous au gnouf avant de reprendre sa formation, sinon je ferais tout pour qu'il soit considérer déserteur car c'est ce qu'il est !
Je vais également informé le lieutenant Jacquouille de ce comportement.

ethane entra dans le bureau et ce mit au garde a vous . merci mon lieutenant .
je suis le recrue ethane
je suis de pontarlier.

je viens de changeais de garnison , et je viens me mettre sous vos ordre .

Revenant en toute hâte vers son bureau où elle avait demandé à la recrue de s'installer sur un siège devant la lourde table, Spike entendit des pas rapides à son dos et se retourna et répondit au salut de son aspirant dont elle reconnut la silhouette dans la pénombre.

Diantre aspirant Franchesco !
Une recrue n'a pas fait avec politesse... alors que de surcroit il est en faute.
En plus de Vesoul !
Ca va barder...
Vous avez bien fait et le lieutenant Jack ou l'aspirant Lassa va lui faire comprendre.
Possible qu'il lui donne déjà une sanction ou un avertissement.
Aussi, je ne l'ai pas encore vu passer en garnison.
S'il recommence vous le sanctionnez direct, ne me demandez même pas.

J'ai bien vu en passant ces nouvelles recrues qui parlaient à une porte fermée et à un panneau d'information et qui ne le lisaient pas.
C'est à peine croyable !!!
Je vous plains..
Oui sincèrement d'être obligé de même leur apprendre à regarder devant eux.

Encore merci de m'avoir prévenue.
Oh... j'oubliais... merci pour la porte que vous avez fait réparer et remettre sans doute.
Là je vais voir la recrue que j'ai fait attendre... je vous laisse continuer.

Faisant quelques pas vers l'embrasure de la porte de son bureau qu'elle avait laissé ouverte, la maître d'armes s'arrêta sous le portique et pris le temps d'observer le jeune homme.
Elle hocha la tête en le voyant encore debout au garde à vous.

Repos ! recrue Ethane !
Bien... bien, à nous

Le lieutenant fit le tour de sa table, recula son siège pour avoir plus de place et fixa longuement le jeune homme tout en retirant sa rapière de son étui à sa ceinture et en la posant sur la table.

Je vous avais demandé de vous asseoir en m'attendant.
Tant pis si vous n'avez pas fait. Pas grave.
Hum...
Si vous pouviez me dire la raison de votre venue à mon bureau.
Il me semble vous avoir entendu parler lorsque j'étais dans le couloir, mais je n'ai pas bien compris.

la recrue ethane se mis au garde a vous sous l'ordre du lieutenant .
ethane se mis a expliquer au lieutenant qu'il venait de changer de ville donc de garnison ou il avait deja commencer son entrainement en temps que recrue , et que apparament il ce demander si il etais bien dans le bon bureau .

La maître d'armes s'accrocha au dossier de son siège et fit un léger sourire à la jeune recrue et regarda le blason de son uniforme.

Bon... vous habitiez à Saint-Claude... si je regarde votre uniforme.

Vous avez déménagé pour quelle ville ?
Vous habitez où maintenant , recrue Ethane ?

ethane repondit au lieutenant qu'il venait de quitter st claude , et qu'il avait emmenager a pontarlier , mais qu'il avait fait en arrivant dans sa nouvelle garnison une demande de changement d'ecusson , et que depuis il attend .

La militaire rousse écouta la réponse et compris immédiatement que le jeune homme s'était trompé d'endroit.

Recrue Ethane...
Vous devez vous rendre à la garnison de Pontarlier
Et en particulier dans le bureau du lieutenant Rabatcho
Pas chez le maître d'armes.
Je suis le maître d'armes et pour l'heure vous n'avez pas encore choisi d'arme.
Vous avez déjà à terminer vos classes.

Vous pouvez disposez et rejoindre votre nouvelle garnison... si bien sûr vous avez prévenu du changement dans ce bureau
Si vous n'avez pas été là, vous n'avez pas le nouvelles clés.

La maître d'armes attendit un moment espérant une réponse ou un signe qui lui montrerait qu'il avait saisi. Elle soupira, tapotant un peu du bout des doigts sur le plateau de la table... puis prépara rapidement un petit feuillet.
Voyant que la recrue ne semblait pas vouloir bouger de son bureau, elle se leva, remit des bûches à la cheminée et finalement se dirigea vers lui...

Recrue Ethane... vous semblez d'un coup bien silencieux... mais moi je n'ai pas le temps d'attendre...
Veuillez sortir de mon bureau, j'ai encore à faire sur le terrain des archers.

Elle regarda le jeune homme se lever et l'accompagna jusqu'à la porte.
La recrue avant de filer dans le couloir lui fit un salut militaire auquel elle répondit par un petit hochement de la tête.
Elle fixa le feuillet à sa porte avant de la refermer et de se diriger vers les terrains.

Citation :: La maître d'armes est sur les terrains d'entraînement
des archers ou des artilleurs

N'attendez pas devant une porte fermée sur un bureau vide

Riese viens poser un message pour le Lieutenant! Elle voulut toquer a la porte mais vit l'ecriteau sur la porte et se dit que cela ne servait a rien de rester derriere une porte close!

Elle se permit de la pousser tout doucement et vit que cette derniere n'etais pas fermer a clé! Elle fit un pas prudemment a l'interieur de la piece histoire de ne pas etre surprise par quelqu'un! Faudrais pas que l'on croit qu'elle fouille ou autre maladresse du genre qu'elle a put faire avec son frère Green!

Elle posa sur le bureau du MA une feuille ou elle avait inscrit qu'elle serait absent a compter de vendredi de la semaine prochaine pour une durèe encore indeterminée et qu'elle partirai a compter de celui ci auprès des soeurs dans les bois de la F.C. au calme!

Elle fit demi tour et ressorti rapidement du bureau pour eviter de croiser quelqu'un qui pourrait lui chercher des poux dans la tête! Elle referma la porte delicatement! Faut dire que la pauvre en avait vu pas mal ces derniers temps!

Elle parti ensuite en direction de son groupe d'armes pour etre prete a tout instant !

La lieutenante passa rapidement à son bureau et trouva la missive du sergent Riese...
Son léger sourire qu'elle arborait en pensant aux chevaux se transforma en grimace à la lecture... mais de toute façon, elle n'avait pas de choix...
Elle changeant un peu l'information à sa porte et poursuivit son chemin.

Citation :: C'est la guerre !
La maître d'armes est avec les chevaux..
aux écuries ou pas loin... enclos... carrière...
N'attendez pas devant une porte fermée sur un bureau vide

Un nouveau pigeon arriva sur le bureau du Lieutenant pour les effectifs des archers!

Lieutenant, je n'ai jamais eu de reponse de la part du soldat Franciesco! Je me permet donc de vous signalez que pour moi il ne fait plus partie de l'armée! Je vais de ce pas demander a ce qu'on lui retire ces accés pour les archers! Je n'ai pas eu plus de chance pour ce qui est de reponse de son chef de Garnison lors de mon premier envoi! Je vais prevenir l'Aspirant Mielikki de ma decision!
Bien a vous Lieutenant!

Sergent Riese - Instructeur par interim

arrivant devant la porte du bureau, la recru se posta fierement au garde-a-vous.

mes respects mon lieutenant, recru darkrider au rapport, vous ne m'avez jamais répond au bureau de frachesco, je me doit donc d'insister.

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