[Archive]Bureau de l'Instructeur des Recrues: Aspirant maître d'armes FRANCHESCO

Wykael arriva au bureau du sergent franchesco. Il vit un garde posté à la porte. Il salua et l'aborda.

- Recrue Wykael de Dole, Bonjour !
Je viens remettre mon formulaire de fin de classe au Sergent.
Il est surement occupé. Puis-je vous la remettre ?

Wykael n'attendit pas la réponse du garde et luyi tendit le formulaire.
Il lui sourit avant de quitter la pièce en disant :

- Je vous remercie, aurevoir, la bonne journée à vous !


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clad envoya un pigeon au sergent franchesco.

Bonjour mon sergent, j'éspère que vous allez bien.
J'ai réintegré l'armée et le corp des fantasins et j'espere vous revoir sur le terrain.

bonne continuation

clad

Franchesco revint à son bureau . Il y rassembla des dossier et la rangea sur la commode à gauche. La même que celle où il rangeait les effectifs et le registre des dortoirs. Il récupéra ses affaires, les rassembla dans un coin du bureau puis se rapprocha de la porte. Il y leva la pancarte et y accrocha une nouvelle :

Citation :

Bureau du Sergent-Instructeur Sirius7

Il retourna ensuite à ses affaires, y rajouta l'ancienne pancarte puis les prit et quitta le bureau. Il revint pour faire un second voyage, il laissa les dossiers concernant les recrues et le terrain des recrues mais prit les autres dossiers, les plus personnels. Il irait dire au revoir au recrues plus tard.

Il quitta une seconde fois le bureau, .... le cœur lourd... Ce terrain, ce poste, il s'y était donné à fond ! Mais aujourd'hui, il devait se donner à fond ailleurs ! pensait il. Il partit donc, déterminé à faire de son mieux depuis son nouveau poste.

Merci Sergent.
J'hésite à intégrer l'armée d'active et je me demandais si je pouvais suivre vos enseignements avec les recrues.
Ceci me permettra de prendre le temps de juger et de lever mes éventuels doutes.
Il est vrai que je suis réserviste depuis quelques temps mais n'ai jusque là pas été très assidu aux entrainements dispensés en ces lieux.

Attendant la réponse, Hildéric observait son interlocuteur que rien ne semblait perturbé.

Défilé de soldats droits comme des piques dans les couloirs de la Caserne. Parmis eux une baronne soupire lassement, accoudée à une balustrade, toute vue sur la grande cour. Sa veste la serre, cintrée comme si on avait espérer lui faire perdre une taille, ses braies la démangent et pour couronner le tout on vient lui tirer la chemise, par derrière, en traître, qui va là !? Un petit blond, trois pommes et demi, la tignasse en broussaille, un sourire jaune et guilleret. Hem ... Oui ? Pour vous, m'dame. Et maintenant une missive, le courrier d'un autre blond, et un nouveau sourire, cette fois-ci il s'étire sur des lèvres féminines, celles de la veuve. Tu peux y aller, file. Mais le visage du mome se décompose, il frémit de son poil blond jusqu'au bout de ses orteilles et ses yeux qui la fixent s'embuent. Quoi ? ... Sois pas si agressive, mignonne ! Ah oui, merci. Et euh ... Prends ça, cadeau. Neo dépose trois sous dans la main qui s'était tendue et ouverte et Blondin file au galop, riant. Doué, le comédien ...

Mise en marche de ses longues pattes - étrange de marcher en pantes masculines - on évite un troupeau de militaires hilares, premier couloir sur la gauche, un bureau portant un nom familier et un tout autre genre d'atroupement, bien plus séduisant d'ailleurs ... Celui-la a plus de classe, il demande la permission de parler, il a des médailles et les torses fièrement bombés ; c'est l'Instructeur et un ... réserviste on a pu comprendre.
Mademoiselle révérence étirant ses pantes comme s'il s'agissait de jupes. Le ridicule ne tue pas, longue vie à la baronne. Elle souffle sur une mèche qui lui tombe devant le nez et affiche un demi-sourire, ravie de l'y retrouver ... Et la baronne de ne laisser rien paraître de plus.

Instructeur Chef Sirius, salutations ... Recrue Neo, de Dole.

Parfait alors, pensez à venir me prévenir de votre intégration définitive chez les recrues, afin que je le notifie au registre...
Vous pouvez rompre réserviste. A bientôt alors.

Satisfait de la venue d'un réserviste chez les recrues, et fier d'avoir pû être utile un peu aussi. Il s'imaginait ensuite pousser la porte de son bureau pour y entrer enfin mais la Demoiselle était là, juste en face de lui, semblant l'attendre. Mèche de cheveux qui virevolte devant son visage et braies étirées par ses mains, surprenante et drôle malgré elle, le Vicomte ne cachait pas sa joie de la revoir, à en croire ce sourire qui naquit depuis le coin de ses lèvres.
Le Sergent arrêta le mouvement de son bras, qui devait lui permettre de gagner le bureau, pour le faire revenir le long de son corps. Tête qui se penche légèrement en avant pour la saluer et bouche qui s'entrouvre pour laisser échapper quelques mots.

Baronn... Hum, recrue. Bienvenue dans l'armée.

N'importe quoi. Mais vraiment n'importe quoi.
Depuis quand accueille t-on une recrue avec un "Bienvenue dans l'armée", tout ce qu'il y a de plus banal et surtout hors-contexte.

Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau, je n'ai pas encore eu l'occasion de le voir, nous le découvrirons donc en même temps...

Instructeur qui finit tout de même par pousser la porte de ce foutu bureau - c'est pas trop tôt, comme vous dites ! -, pour y laisser entrer la jeune femme puis lui-même y pénétra à son tour. Un bureau à la taille d'un bureau, à l'allure d'un bureau, à la décoration d'un bureau aussi... Ah ça il n'espérait pas non plus les habituelles fioritures, dont il commençait à s'habituer de par l'intérieur de ses appartements qu'il pouvait posséder dans les divers castels familiaux. Heureusement que le fauteuil sauvait les meubles, dans tous les sens du terme/de l'expression. Ce bon vieux fauteuil que seuls les gradés avaient la chance de posséder. Sirius tira tout de même une chaise, beaucoup moins classieuse que le fauteuil mais c'était mieux que rien, afin que la Demoiselle puisse y poser son séant alors que lui-même fit ensuite rapidement le tour du bureau afin de poser ses fesses sur le velours du fauteuil.

Alors recrue Neo ! Je vois que vous ne possédez pas encore d'uniforme officiel, malgré que l'actuel vous va à ravir, attention je ne dis pas le contraire. Seulement, et vous le comprendrez aisément, un soldat se doit d'être reconnaissable par ses pairs. Non seulement, l'on doit savoir votre grade, mais aussi votre garnison, et ce du premier coup d'œil. Vous me ferez donc le plaisir d'aller voir la couturière, qui se chargera de confectionner votre uniforme règlementaire.
Bien qu'elle aboie régulièrement, elle ne mord pas je vous rassure.

Sirius s'arrêta quelques instants, semblant réfléchir à ses dires.

Puis, si ce n'est déjà fait, vous devez obligatoirement passez votre visite médicale, avant de commencer tout entraînement. Et ce relativement souvent, mais l'infirmière Zelda vous l'expliquera convenablement. Elle, n'aboie pas, mais elle peut mordre par contre...

Paroles évasives du noble. Il reprend son souffle, puis sourit.

Des questions pour le moment ?

La chaise n'est pas tendre avec la baronne qui s'est faite saigner par une écharde qu'elle imagine longue comme un doigt. La jeune veuve affiche alors un sourire crispé, du genre de dire 'sans commentaire, ou je vous étripe' et relève la fesse, histoire de lui éviter d'aller plus avant dans une rencontre d'un genre plutôt douteux ...
Une foule d'idées qui ne lui plaisent guère, à la baronne, traverse un cerveau déjà bien encombré. Du coup on jalouse férocement le velours des officiers parce que plus tard, elle serait bien occupée à se saigner, encore, pour extraire l'intruse ! Et euhm ... Attendez voir ... A-t-on les bras assez longs pour s'occuper soi-même de son fondement ?
Misère ! Qui plus est la baronne n'a pas la contorsion facile ... L'ébullition encéphale est proche, l'expression faciale en dit long ...

J'aurais bien une question ... Outre l'Instruction est-ce qu'il ferait aussi dans la fesse, le Sergent ?

Etrange comme cela résonne un peu fort ... Mon dieu ! Par Aristote, l'a-t-elle dit ? Fut-ce une pensée ? Il est des moments ou il faut prier ardemment, prions.

[Hrp. Maintenant que j'ai l'uniforme, autant le mettre. Mais évitons de penser qu'elle s'est changée devant l'Instructeur ...]

Haem. Raclement de gorge si peu discret.
Le Sergent en question relève la tête, et son attention avec, de ses feuillets, posant ses yeux sur la Baronne. Complètement folle, ou bien simplement audacieuse ? Il se sent tout à coup légèrement gêné, c'est qu'il lui en fallait tout de même un peu plus pour le choquer véritablement. Il la fixe dans le blanc de l'œil, alors qu'elle n'a pas vraiment le visage de quelqu'un qui semble serein. Il est sur qu'après ce genre de question, il y a de quoi se sentir mal à l'aise un tant soit peu.

Jamais pendant le service.

Il sait que c'est pas bien de mentir pourtant le Vicomte. Mais c'est son pôpa qui lui a conseillé étant plus jeune... Alors si le gros bourguignon le disait c'est que c'était vrai et qu'il fallait l'écouter.

Mais... Je ne suis pas sûr d'avoir vraiment bien saisi le fond de votre pensée...

Et il ment encore en plus !
Pourtant non, le Margny n'a strictement rien compris.

En réalité elle appartenait à cette classe indigente qui commence à partir du dernier des petits bourgeois gênés qui se confondent dans des formules plates et polies dont ils pensent qu'elles font l'homme et qui s'effilent de misère en misère, pour n'être finalement plus rien d'autre que la veuve d'un baron qui, aussi méprisable fut-il, tentant de sauver le moindre morceau de terre, était au moins aimant. Mais le fait est qu'il était mort d'avoir trop bu et trop pleuré et qu'aujourd'hui ils, l'Instructeur et la veuve, se trouvaient là, chacun avec la contenance gênée de l'homme tombé mal à propos dans une discussion de ménage où l'un trompe l'autre - voire les deux - puisqu'il s'agit de fesse ...
Alors elle décroise les jambes, reposant la cuisse meurtrie sur le siège inconfortable de la chaise, ne retenant cette fois ni grimaces ni jurons ("Foutredieu !"), et plonge son regard dans celui du Sergent un temps, avant de ne plus regarder que le bureau sur lequel ses doigts fins s'entrelacent nerveusement.

Veuillez excuser mon hardiesse, Saulx ... Hmpff ... Elle rit doucement, derrière ses lèvres closes. On ne se doute pas de ce que peut nous faire faire une écharde, c'est ... terrifiant ... Mais peut-être devrais-je vous laisser, nous sommes tout deux des gens occupés, n'est-ce pas ?

Et un léger sourire, on n'oserait pas plus, qui étire des lèvres sanguines.

Il ne comprenait rien, mais absolument rien. Elle parlait de fesse, puis d'écharde maintenant. Il n'y avait pas vraiment de lien entre les deux, mais si le Sergent se serait mis à réfléchir, il aurait très bien pu comprendre ce qu'il venait de se passer à l'instant dans son bureau. Mais il n'en fit rien bien sur, trop occupé à se demander pourquoi elle se mettait aussi à jurer tout haut. Le Vicomte fronça les sourcils d'étonnement, mais ne dit mot concernant cette grimace et le Foutredieu.

Et bien oui, vous pouvez disposer... En espérant que vous règlerez rapidement cette affaire d'écharde... et de fesse par la même occasion.

La jeune femme se leva et avant qu'elle n'ouvre la porte, Sirius rajouta : Ah j'oubliais ! Appelez-moi par mon grade dans l'enceinte de la caserne, cela suffira largement.

Il ne pouvait pas voir le visage de Neo lorsqu'elle franchit la porte, mais nul doute que cela a dû lui arracher un sourire.
Le Sergent invita à entrer la personne qui venait de frapper à la porte juste avant.

Ah Réserviste Hsce ! Ou devrais-je plutôt dire recrue Hsce maintenant ? Enfin je l'espère.
Veuillez vous assoir je vous prie.

Hildéric entra dans le bureau et pris place sur la chaise qui lui était offerte.

Bonjour Sergent instructeur
Effectivement je pense que vous pouvez m'appeler recrue Hsce.

Voici la décision du Lieutenant l'aide de camp Kiboki

Hildéric tendit un parchemin au Sergent instructeur

Citation :

Je ne vois que des avantages à cette décision.
Votre statut actuel vous permet quand même d'assurer la défense.
Mais il est vrai que du sang neuf dans nos effectifs actifs ne ferait pas de mal.

Ceci dit, il y a une condition avant que vous ne changiez.
Je voudrais que vous finissiez d'abord votre formation de 2 semaines chez les recrues.
Après cela, vous reviendrez me voir et nous opèrerons le changement.

Je pensais donc rejoindre au plus vite le terrain d'entrainement, si vous m'en donnez l'autorisation bien entendu.

Attendant la décision du Sergent instructeur admirait la décoration spartiate du bureau de ce dernier

Dany venait tout juste de recevoir son autorisation de la Lieutenant Kiboki, Il a déjà tout fait ce qu'elle lui avait demander de faire et voilà, il est ici et attend le lever du jour pour enfin rencontrer son sergent instructeur. Il avait hâte et n'avait meme pas envie de dormir ou de se reposer il était bien trop fier et heureux pour ne pas savourer une seconde l'odeur de l'armée ou il était rendu si proche...

Il savait qu'il devrait voir son sergent instructeur avant de pouvoir commencer son entrâinement de base, il ne savait pas si il devait le crainde ou si il etait aimable et pour cela il s'en fesait un peu trop. Le Sergent devrait surement arriver dans peu de temps car il entendait du bruit derrière la porte de son bureau.

Dans sa tête il ne pensait Je vais enfin pouvoir devenir soldat....

Des bruits de pas s'en vennait vers sa direction, Dany se leva de son banc prêt a saluer son sergent instructeur......

Le Sergent prit le parchemin que lui tendit Hsce et le parcourut rapidement des yeux.

Deux semaines selon le Lieutenant Aide de Camp. Soit, vous ferez donc vos deux semaines chez les recrues avant d'intégrer un corps d'armes.

Sirius lui sourit.

Je ne vous montre pas le chemin de l'infirmerie ou du bureau de la couturière ? Quoi qu'il en soit vous devez passer aux deux endroits avant toute chose.
Ensuite vous pourrez bien entendu rejoindre le terrain d'entraînement avec les autres.

Il lui fit un signe pour lui signifier qu'il pouvait disposer et laisser entrer la personne qui attendait à la porte - la porte étant restée ouverte, l'Instructeur pouvait le savoir...

J'oubliais... bienvenue à vous dans l'armée active recrue Hsce !

Dany vît un homme sortir qui lui fît un petit sourire amical du bureau du Sergent instructeur. -Il ne doit pas être si cruel que ca- ce disa le jeune homme. La porte était encore entrouverte, il ne savait pas si il devait y entrer ou attendre que le sergent instructeur le lui ordonne. Il c'était déjà fait reprocher son manque de mannière en rentrant dans le bureau de l'infirmerie et ne voullais pas se mettre a dos son sergent, lui aussi.

Quelques minutes passèrent et la jeune recrue, qui avait trop hâte de pouvoir commencer son entraînement ne pouvait plus attendre, mais ne savait pas si il allait enfreindre un code une troisieme fois alors qu'il n'était même pas encore rentrer a l'entraînement.

Toc Toc cogna timidement le jeune homme et la porte s'entrouvît.

Dany se mît alors en garde a vous quand il apercu une silhouette d'un homme costaud.

Mes respects sergent instructeur , recrue Dany, permission de vous parlez?

Il entendit la reponse et ne savait pas trop si sa salutation était bonne... cette fois-ci.

Dany assis peu confortablement sur la chaise, plume a la main, prit la feuille de parchemin et obéit à l'ordre.

Il écrivit de sa plus belle écriture:
11 Aout 1456: Dany nouvelle recrue de la garnison de Poligny

Le sergent étant maintenant derrière lui vers la porte entreint de parler avec une autre personne, Dany remetta la feuille de facon a ce que le sergent instructeur, une fois revenue a sa place, n'aurait qu'a la lire.

Il regarda ensuite autour de lui, attendant que son supérieur revienne. Il était très impressionné de la splendeur du bureau...

[HRP : hop hop hop... LJD Shanks, prière de lire les posts du dessus stp, Sirius est devant la porte avec Soeli, j'vais faire comme si Shanks venait nous interrompre donc ]




Enfin, elle se décidait à se présenter, et de façon convenable et réglementaire en plus. Il ne le laissa pas paraitre sur son visage, mais il était vraiment satisfait d'elle. Le Sergent la laissa garder sa position quelques instants puis lui fit savoir qu'elle pouvait reprendre une attitude plus décontractée.

Repos, recrue Soeli.
Vous savez... Je suis content de savoir enfin votre nom. Afin que je puisse m'en souvenir lorsque plus tard je me tiendrais au courant de ce que vous serez devenue au sein de notre armée...

Un sourire vint étendre les lèvres du Vicomte, qui voulait en dire long.

Néanmoins, votre attitude m'a déjà déplu à deux reprises. Ces... enfantillages dans les dortoirs... Puis cette prise de commandement sur le terrain d'entraînement, en présence d'officiers supérieurs, du Capitaine même. Vous savez que vous ne deviez pas faire ce que vous avez fait, je présume ?

Une autre recrue, semblant pressée, vint se présenter alors au Sergent qui venait de lâcher du regard la demoiselle.

Recrue Shanks, entrez dans mon bureau, et demandez à votre camarade qui s'y trouve déjà de vous donner un feuillet et d'y mettre les même informations qu'il est lui-même censé écrire.
Je vous remercie recrue...

Ses yeux se posèrent à nouveau sur Soeli.

J'attends donc des explications de votre part.

Dany entendît les ordres donnés par le sergent Sirius a une nouvelle recrue.

Il prît alors une feuille parchemin sur son bureau et lui tendit avec une plume, la même avec lequel il avait remplît le petit mais simple test du sergent.

Salut, le sergent nous demandes d'écrire la date, notre nom et notre garnisson... lui expliqua gentillement Dany, en lui laissant la chaise ou il était mal assis mais pour au moins qu'il puisse avoir une place et un bureau pour mieux écrire et alla se placer plus loin tout en laissant au sergent et a son inviter une petite discrétion...

Sourire malicieux qui étend les lèvres de l'Instructeur.

C'est tout à votre honneur de vouloir devenir la meilleure.
Et vous y a parviendrez, je n'en doute pas une seconde...

Quelques secondes s'écoulèrent, et Sirius enchaîna tout de même, remarquant que les silences en pleine conversation n'étaient pas des plus appréciables.

Hum, et bien si votre Lieutenant vous a déjà tout expliqué, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter bonne continuation... Soldat Soeli.
Revenez saluer votre vieil instructeur à l'occasion... Même s'il n'était pas resté longtemps son instructeur.

Dany regarda maintenant le sergent instructeur et prit la parole

Sergent, on m'avait demandé de venir vous voir pour commencer mon entraînement et c'était la le but de ma visite sergent. Je suis fier d'être une recrue et d'être sous votre commandement, j'espere ne pas vous décevoir.

Ne voulant pas le dérranger plus longtemps, il se mît au garde a vous
Mes respect Sergent
recrue Dany
Demande votre permission de quitter votre bureau pour commencer mon entraînement sergent.

Il était fier de pouvoir prononcer c'est dernière parole et avait très hâte de pouvoir commencer son entraînement. Faut bien commencer pour finir. Pas qu'il n'aimait pas être ici mais il avait très hâte de pouvoir porter l'uniforme d'un soldat.

Il entendit la réponse de son instructeur. Même si il lui avait déjà dis qu'il pouvait quitter, il ne voulait pas partir sans rien dire et risquer, une autre fois, de se faire rappeler les bonnes manières concernant les salutations.

Elle avait attendu de recevoir son nouvel uniforme - ne pouvant tout bonnement pas se promener toute nue - avant de se lancer dans les couloirs en direction du bureau de l'instructeur des recrues. Elle n'avait rien emmené avec elle, tout avait été posé dans la salle à sa première et courte visite dans ses endroits. Petits pots, bandages, fils, aiguilles, pantin... à moins que quelqu'un se soit sauvé avec son mannequin ? Elle se souvenait du sergent Vrek, soldat à ce moment, qui affectionnait drôlement cette poupée grandeur nature... Lassa sourit. Si au moins le pantin avait été... sexy. Même pas ! Il était vieux et puant, un peu trop salle peut-être. Il allait falloir le nettoyer un peu; elle ne voulait pas que les recrues attrapent des bibittes en plantant une aiguille dans le bras du mannequin. Elle serait alors obligé de faire la saigné aux recrues atteinte, pendant que les autres apprendraient l'art de ce métier parfois sanglant.

Elle sortit de ces jolies pensées lorsqu'elle tomba nez à nez avec la porte qui l'avait amené jusqu'à là. Enfin... pas la porte, mais le bureau... ce qu'il y avait à l'intérieur... de l'autre coté... Replaçant une mèche qui lui tomba devant les yeux, elle frappa ensuite quelques coups ferme à la porte. Ces coups furent bientôt suivit d'un ''entrez'' assez sonore. Mot relativement puissant. Elle tourna donc la poignée avant de pousser la porte qui heurta presque un homme. Deux yeux turquoise se firent ronds, mais, heureusement, elle avait évité la recrue de peu. Elle esquissa un petit sourire à la presque victime de son entré et fit un pas sur le coté afin de refermé la porte derrière elle. Puis, revenant un peu plus sérieuse, se souvenant maintenant de son petit rang de soldat, Lassa se mit au garde à vous.

Sergent
Soldat arbalétrière et médecin Lassa, garnison de Vesoul.
Permission de m'entretenir avec vous... sergent ?

Elle ne pu retenir un sourire; drôle de sensation que de demander une telle permission après avoir été lieutenant pendant de nombreux mois. Croyant que son entré avait coupé la conversation, son regard vint et alla de l'instructeur à la recrue qui semblait attendre... elle ne savait quoi... Une permission sans doute. Peut importe ce qu'il attendait, l'entretient qu'elle avait interrompu semblait plutôt terminé.
Elle fixait maintenant Sirius qui devait sans doute se douter du pourquoi de sa venue.

Saluant la recrue qui sortait d’un hochement de tête, elle alla ensuite prendre place sur la chaise que lui avait indiquée Sirius. Chaise qui était nettement moins confortable que celles qui se retrouvaient dans son ancien bureau. Lassa se demanda si celle où était assis l’instructeur était d’aussi piètre qualité. Sans doute pas.

-Donc, comme vous le savez, je suis venue afin d’enseigner l’art de la médecine aux recrues. J’étais déjà venue lorsque Franchesco était instructeur et il m’avait ouvert une salle, un dortoir réaménagé je crois, où j’avais fait installé tout le matériel nécessaire au cours. Cette salle est-elle toujours ouverte ? Le matériel y est-il encore ?

Chose à aller vérifier probablement... mais peut-être que Sirius y était passé dernièrement ?

-Aussi, je voulais savoir... aie-je besoin de passer par le terrain d’abord ?

Elle n'en voyait pas vraiment l'utilité, si ce n'était que pour se présenter et inviter les recrues à ces petits cours.

Écoutant sa réponse, Lassa avait hoché doucement la tête.

-Très bien je m'y rendrai directement pour faire d'abord un peu de ménage.

Aussitôt qu'elle eut terminer sa phrase, on cognait déjà à la porte. Nouvelle recrue sans doute. Et du même fait, nouvel élève pour elle ! À la demande du sergent, elle sourit.

-Évidemment, je le ferai entrer pour vous sergent. Je vous laisse donc à vos occupations.

Elle se leva, salua Sirius d'un bref garde à vous et se dirigea vers la porte d'où une autre recrue entrait. Elle hocha la tête à son intention et sortit. Posant le regard sur la recrue qui attendait derrière la porte, elle se demanda si elle devait tout de même la faire entrer, puisqu'une venait d'entrer... M'enfin, vallait mieux attendre à l'intérieur que dehors.

-Vous pouvez entrez recrue...

Elle laissa sa phrase en suspens, ne connaissant pas son nom pour la finir. Lassa lui adressa un bref sourire et se dirigea vers la salle qui devait crouler sous la poussière.

Salua la dame qui sortait du bureau.
-"Fort bien! Merci, madame!"

Et il entra se poster aux côtés de l'autre recrue, au garde vous.
-"Recrue Folinus, garnison de Poligny, venu prendre du service.
A vos ordres, sergent!"