[RP] La chasse est ouverte

(GROUPE VIOLET)

Mielikki avait remercier Riese de s'être occuppée du feu alors qu'elle enfilait des vêtements secs. Tout comme venait de lui conseiller son amie, elle avait raprocher ses vêtements des flammes bienfaitrices. Elle avait manger avec elle avec plaisir, profitant de leur abrit alors que le déluge s'abattait a l'extérieur. Elle en profita pour lui raconter quelques-unes de ses aventures en forêt, la façon dont elle se débrouillait avait d'atterir en Franche-Comté et de s'enrôler.

-Tu sais, je n'ai pas toujours été celle que tu vois aujourd'hui. Je viens de loin, mais ça remonte à si longtemps que je n'ai que très peu de souvenir de ma terre natale. Je viens de Byzance. J'y ai vécu quelques années avec mes soeur Cassel et Damecalypso, puis c'est le vide, j'ignore ce qui c'est passé, je me suis retrouver un bon matin a Lyon. J'était seule et très jeune. C'est là que ma véritable nature s'est montrer. Je déanbulait dans les forêts, elles étaient un peu comme ma maison, je m'approchais rarement du village, je ne m'y sentait pas a ma place. Je crois avoir passer près de trois ans dans les bois, à ne faire qu'un avec la nature, je crois que c'est de là que me vient le nom qu'un jour une vieille dame m'a donner : Nienna. Dans sa langue, ceci voulait dire Louve, elle disait que dans mon regard l'ont pouvait voir cette flamme sauvage danser les soir de pleine lune.

Elle garda le silence un instant, comme pour remettre de l'ordre dans ses souvenir.

-Peu de temps après, j'ai commencer a aller vers le village, il y avait un homme qui m'intriguait, un lieutenant du nom de Boursiero. J'en suis tomber amoureuse, nous allions nous marier lorsque finallement, il me chassa de chez lui en apprenant que j'allait lui donner un enfant...mon fils est venu au monde, sans que jamais il ne lève les yeux sur lui, il voulait que je m'en débarasse, j'ai préféré partir..j'ai errer encore dans les bois, avec Wellan. Puis un matin la louve que mon père avait receuillit à ma naissance, se trouvait près de moi, je ne saurait expliquer ce qu'elle fesait là a ce moment précis, je ne me suis pas posé de question. La bête sauvage en moi avait chasser tout ce qui me restait de lucidité. Et là, c'est le noir total, je ne me souvient pas de tout ce qui c'est passer entre ce matin là et mon arriver a Luxeuil, je suis confuse...

Elle s'arrêta là, le regard perdu dans le vide, Comme toute les fois qu'elle en parlait, elle portait la main a son coup ou pendait au bout d'une chaine l'aigle a deux tête de Byzance, offert par sa soeur Calypso, et l'alliance que lui avait donner Boursiero. Les souvenir étaient douleureux. Mieux valait les chasser maintenant que de pleurer comme une madelaine devant Riese.

Elle fini par s'endormir, sans plus rien dire ni même penser. Elle se referma sur son monde a elle, se laissant bercer par les bruit rassurant, à son oreille, de la forêt

Les bombardes crachaient le feu, le ciel s'assombrissait tellement les flèches et les carreaux
volaient dans tout les sens. Le fracas des armures et le choc des armes autour de lui étaient
assourdissants. Et au milieu de tout ça se tenait le sergent, comme pétrifié par la peur. Un
chevalier portant une lourde armure, un bouclier et une lance rouge sang fit tourner son des-
trier carapaçonné dans sa direction. Sa monture ne galopait pas, mais semblait flotter par
dessus les tas de cadavres. Le cavalier approchait rapidement, chargeant en baissant sa lance.

Xaven dut faire un gros effort pour bouger sa main vers la poignée de son épée. Mais sa main
ne put la saisir, elle n'y était plus. Il n'y avait plus rien, plus de gaine, plus de ceinture. Tout
avait disparu, il était là, tout nu, sans pouvoir bouger. Et la mort approchait. Il ferma les yeux,
s'apprêtant à sentir la lance le transpercer, mais tout ce qu'il sentit, c'est qu'il fut balloté dans
tout les sens, secoué... bizarre, se dit-il. Et ensuite il ouvrit les yeux.

apo62 a écrit:: DEBOOOOOOOUUUT!!!

Il se leva en sursaut.

Hein? Quoi? Où sommes nous? Qu'est-ce qui se passe?

Il tourna la tête, et pinça les yeux. Le soleil perçait à travers les fenêtres et la porte grande
ouverte de la tour. Apo marchait nerveusement dans tout les sens. Xaven comprit qu'il était
déjà tard et que son coéquipier avait désespérément besoin de lui pour faire bouger les choses.
Il se leva d'un bond et s'étira longuement. Il sortit un bout de pain de sa besace, en cassa un
morceau et le fourra en bouche. Il cassa un autre bout, le tendit à Apo et dit la bouche pleine.

Bien 'ormis? Hécha manché?

Il passa ensuite par l'ajour et jeta un coup d'oeil au ciel. Rapidement, il fit demi-tour, prit tout
son bazar, réajusta son bandeau olive, qui n'était pas assez visible, et sortit de la tour en
lançant à son coéquipier.

Allez, en route! Profitons des quelques rayons de soleil. Ça ne va pas durer longtemps.

Décrochant sa gourde pour en boire un gorgée, il entama la descente vers le pont de la faille en
longeant le précipice sur leur droite. Ils marchèrent pendant deux bonnes heures à un rythme
élevé pour enfin apercevoir le pont qui menait au delà du ravin.

Voilà le pont. Là en bas. Nous y serons bientôt.

Il s'arrêta et sortit la carte qu'il avait griffonné. Il la regarda longuement en fronçant les sourcils
et fini par la remettre dans le pli.

Heu, je pense que nous devrions atteindre le Bois du Pendu dans... l'après-midi... en forçant
un peu.

Il se retourna lentement vers Apo, le fixa pendant quelques secondes en souriant et lui dit.

Si vous voulez faire une pause, où faire quelque chose d'autre, n'hésitez pas à le dire. Je ne
suis pas le chef ici. Toute bonne idée de votre part est la bienvenue.

Sur ces mots, il remonta un peu sa besace et pivota vers l'avant pour reprendre la route.
Les nuages se firent de plus en plus nombreux et massif et un vent relativement fort se mit
à souffler. Le sergent força le pas, marchant encore plus vite. Bientôt il arrivèrent au pont et
passèrent de l'autre coté. Xaven ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil par dessus la ram-
barde. La faille était bien moins profonde à cet endroit que quelques lieux plus à l'ouest. On
pouvait voir le fond rocailleux, parsemé de petits arbustes restés chétifs par manque de soleil,
et un petit ruisseau qui cherchait son chemin entre les pierrailles.

Une fois de l'autre coté, ils tournèrent à droite et empruntèrent le chemin qui longeait le pré-
cipice. Sur leur gauche, la forêt se faisait de plus en plus dense, alternant parfois avec des
endroits plus dégagés couverts de hautes herbes. Ils allaient bientot atteindre la croisée sur
laquelle il devait y avoir un cabanon, comme inscrit sur la carte. Sur celle de Spikelilou, le
bâtiment était annoté "Le vieux Americk". Xaven se demandait qui était cet Americk, et surtout,
il espérait qu'ils pourraient profiter de son hospitalité pour se mettre à l'abri de la grosse pluie
qui 's'annonçait.

Arrivé au détour d'un bosquet, une clairière s'ouvrait devant eux. Aussitôt Xaven vit quelque
chose bouger parmi les herbes. Il se baissa et leva la main en arrière pour faire signe à Apo
de rester tranquille pour pointer ensuite du doigt vers le renard, qui était occupé à creuser à la
base d'un d'arbre. Tournant la tête vers son coéquipier, il lui dit à voix basse, souriant jus-
qu'aux oreilles.

Voilà notre repas.

Il se redressa ensuite, rehaussa la cingle de sa besace sur l'épaule, et s'approcha sans gène
vers l'animal. Il s'arrêta à quelques coudées de celui-ci, se racla la gorge et dit:

Maître Renard! Une odeur vous a-t-elle tellement alléché que vous ne nous voyez même
pas arriver?

Effrayé, le canidé sursauta, tourna la tête dans leur direction et détala aussitôt dans le sous-
bois. Xaven riait.

On ne le reverra plus de si tôt, celui là.

apo essayait de réveiller son coéquiper , mais , démoralisé par le sommeil aussi lourd qu'une enclume de Xaven , il prit son mal en patience, mais entendit quelques mots bizarres:

Xaven a écrit:: Bien 'ormis? Hécha manché?

euh... oui moi sa va...
et bien tu est partiticulierement difficile a réveiller!
enfin, nous sommes un peu en retard, il va falloir marcher un peu plus vite, mais on peut y arriver.
tu veux des merises? je les ai trouvées sur un arbre, elles ne sont pas encore trés mures, mais ça te fera quelque chose a manger.
Xaven en prit un peu, puis se leva, regarda autour de lui, et mangea un morceau de pain qu'il sortit de sa besace, il lui en proposa, mais apo avait déja mangé.
non merci, je n'ai plus faim.

apo se mit en route en suivant Xaven, qui marchait d'un bon pas.
au bout d'un certain temps, apo apreçut un pont qui passait au dessus du ravin, il vit cette fois le fond, qui était sans intéret car recouvert de cailloux.

ils continuèrent leur chemin et tournèrent a droite, arrivant à la lisière d'un petit bosquet, puis a une clairière, et , soudain, Xaven l'arreta.
apo n'entendit rien , et se demanda pourquoi le sergent l'arretai.
il vit sortir un renard d'un buisson, l'animal qui était soit disant rusé ne les vit meme pas, et il fallut que Xaven parlat pour le faire fuir.

ils continuèrent leur chemin, jusqu'a arriver devant un panneau annoté:
[quote~~] moins 20% sur tous les artic...~~
BOIS DU PENDU[/quote]
Ah nous y voila enfin!
ils s'assirent sur un gros rocherà l'entrée du fameux bois ou ils allaient passer quelques jours.

groupe violet !

Après avoir ecouter Mieli lui racontait son passé, Riese se dit que la vie était faite de drôle de façon par moment! Elle macha son fromage tranquillement lorsque Mieli se coucha complétement retournée en boule et silencieuse après s'être livrée! Elle regarda a l'extérieur tout en écoutant le bruit de la pluie sur les feuilles sur la terre devant l'entrée!

Elle se mit à penser a pas mal de chose et surtout à tout ce qui l'avait amener a Poligny et a partir loin de ces ami(e)s, sa famille : son frère lui avait tout réussit et elle, elle stagner mais elle avait recommencer une vie active, enfin elle l'espérait au plus profond d'elle même mais n'en était pas sûre!

Elle surveilla le feu pour éviter a Mieli de tomber malade après la pluie qu'elle avait prise et se mit sa cape sur les épaules pour ne pas mourir de froid elle aussi!

Elle écouta le vent qui jouer avec les feuilles en plus de la pluie, cela tomber l'impression d'entendre de la music, un concerto, elle ferma les yeux et s'imagina dans un bal avec son coeur contre elle pendant une danse

Puis, elle se cala tout doucement contre la paroie et somnola toute la nuit et ne réussit pas trop à dormir....ses pensées étaient trop préoccupèes

......

Aux premières lueures de soleil, elle mit sa cape et sortie pour se dégourdir les jambes et ramener de quoi rallumer le feu pour mettre un peu d'eau a chauffer pour se prendre une tisane avant le départ!

Elle ne fit pas trop de bruit pour ne pas réveiller encore Mieli....

Lef s'était réveillée, mais était partie tout de suite, sans même prendre le temps de manger un morceau. Elle avait le réveil facile. Bendith resta dans le dortoir, bien un l'abri encore quelques temps, puis décida d'aller chercher du bois aux alentours pour les prochaines nuits. Ils sauraient aisément revenir passer la nuit ici après une journée de chasse dans la forêt des racines folles.

En ramassant des branches détrempées, Bendith constata qu'il y avait pas mal de crottes de lapin autour du dortoir. Ca devait gambader joyeusement dans le coin.
Cela lui donna l'idée de poser quelques collets, ce qu'il avait appris à faire depuis belle lurette. Si ce piège fonctionnait, au moins ne rentreraient-ils pas bredouille. Il alla donc déposer ses branches à l'abri du soubassement, puis entrepris de chercher quelques petites branches, droites et solides. Il ne lui fallut pas très longtemps pour en trouver cinq correctes, qu'il compléta avec une longueur de ficelle qu'il transportait dans son sac. Assis sur le seuil de la porte, il fixa solidement la ficelle au bâton, puis forma un noeud coulant à l'autre extrémité.

Lef n'était toujours pas revenue. Vaguement inquiet, l'archer se demandait ce qu'elle pouvait bien faire. Il espérait qu'il ne lui était rien arrivé, et pour le première fois il se rendit compte qu'ils semblaient assez isolés. Ils n'avaient pas aperçus d'occupant dans la grande tour hier, et n'avaient croisé personne depuis leur départ de Dôle.
Il alla rapidement poser les collets, les dispersant aux environs du dortoir, près des lieux de passage des lapins, puis rentra vite à l'abri.

A peine le temps de se sécher que Lefelon revenait. Elle semblait fort énervée, elle devait avoir trouvé quelque chose

Lefelon a écrit:: Bendith j'ai trouvé quelque chose on devrait tenter notre chance!

Ils quittèrent rapidement leur gîte, ou Bendith décida de laisser son sac. Il prit avec lui son arc, son carquois, sa gourde, et un quignon de pain dans une grande poche de sa cape. Et bien sur sa fidèle epée.
Rapidement, Lef retrouva la piste et la lui montra. Effectivement, on voyait des traces de passage, mais Bendith avait du mal à voir précisement la piste, et surtout à toruver la direction à suivre. Heureusement, Lef était sûre d'elle, et elle les mena rapidement dans une petite clairière, ou elle lui expliqua qu'un chevreuil avait passé la nuit. Assez épaté par ses talents de pisteuse, Bendith sentait l'excitation de la chasse qui le gagnait.

Bravo! Tu es douée dis donc!
Ca me donne soif tout ça!

Il avala une grande rasade à sa gourde, s'essuya la bouche du revers de sa manche, et tendit le récipient à Lef.

Tiens, bois un coup, ça te donnera des forces!
Allons y, suivons la piste, ne perdons pas de temps! Penses-tu qu'il a beaucoup d'avance sur nous?

Il toucha machinalement la pommeau de son epée, avant de se rappeller que c'est à l'arc qu'il devrait chasser le bestiau. Il pris donc une flèche, l'encocha sur la corde et ils se mirent en route.
Au bout de quelques minutes, la corde lui brûlait déjà les doigts, et il remit la flèche dans son étui. il serait toujours temps de se préparer au tir plus tard... du moins l'espérait-il.
Ils marchèrent l'un derrière l'autre durant quelques heures, Lef en premier pour suivre la piste. La forêt devenait de plus en plus dense, et il lui semblait que les clairières se fasaient plus rare. Ils étaient parfois ralentis par les fourrés ou les massifs de ronces qui envahissaient certaines zones, et plusieurs fois ils faillirent perdre la piste à cause de cela.

101112 écouta la pluie en attendant que Dina lui réponde. Quand, 101112 entendit un bruit troubler le "calme".
D'un seul coup, Dina s'élança pour voir et aperçut un chevreuil. Elle tira suivit de 101112. Les deux flèches partirent l'une après l'autre.

Le premier jet est celui de Dina.

-Quel tire Dina! Qui aurait deviné que ça se passerait comme ça.
Il y avait du sang sur le sol désormais.

GROUPE ORANGE

Spoiler:

Dina regardait le paysage embrumé... La pluie continuait de tomber... Frileusement la jeune femme croisa les bras sous la cape et se mit à se frotter energiquement.

Satané temps ! Cette pluie ne s'arrêtera jamais, regarde comme le ciel est bas...
Comment chasser dans ces conditions ?... Le gibier doit être à l'abri, comme nous...
Il serait temps qu'on bouge un peu ne crois-tu pas ?
Tu as tes affaires ?

Brusquement l'archère entendit un bruit dans les taillis... Doucement, tous ses sens aux aguets, elle s'avança... faisant signe à sa camarade de la suivre...
Le sol détrempé leur permettait de marcher sans bruit...

Suis-moi... Pas trop près... Un peu sur le côté...

Un chevreuil !... Au moment où elle doutait de la présence de gibier, il venait lui démontrer son erreur...
Rapidement... Trop vite, les deux femmes se mirent en position de tir... encochant chacune une flèche et pratiquement sans prendre le temps de viser... les deux flèches partirent... pour se perdre dans les buissons...
Dina regarda bondir le chevreuil au dessus des troncs d'arbres couchés au sol...
S'approchant de l'endroit où elle pensait pouvoir récuperer sa flèche, l'archère entendit 101112 parler de sang... Du sang ?... Quel sang ?... Elles avaient manqué leur cible par trop de précipitation !

Rejoignant sa coéquipière, Dina regarda les quelques gouttes de sang visibles sur un tronc, approcha un doigt et constata que ce n'etait que quelques cerises sauvages écrasées...

101112 ! Regarde ton sang ! C'est des cerises tombées de l'arb...

Chuttt... Regarde... tu le vois ?... un lynx !...

Ne quittant pas le prédateur des yeux, Dina attrapa une flèche dans le carquois qu'elle portait à la ceinture et prit position... Ses jambes trouvèrent d'elles même la meilleure position, son souffle s'apaisa... seul comptaient les yeux du félin qui les observait depuis une branche du vieux chêne un peu sur leur gauche... Doucement elle effectua les gestes tant de fois répétes à l'entrainement...

TCCHHHOOOOUUUU !...

La flèche s'envola, parcourut la courte distance les séparant de l'animal sauvage... et vint se ficher dans le flanc du lynx, qui tomba lourdement au sol...

Après avoir fait fuir le renard, Xaven posa sa besace par terre et tourna autour de l'arbre en
regardant au sol.

Un... deux...

Il s'arrêta, fit deux pas en avant, se baissa et releva une touffe d'herbes.

Trois.

Il revint vers sa besace, s'accroupit à coté et l'ouvrit, en sortit du fil grossier et revint vers
l'arbre. Il jeta un coup d'oeil vers son coéquipier. Celui-ci avait déjà rejoint le chemin. Xaven
s'empressa donc de finir. Il coupa, à l'aide de son couteau, quatre bouts, en attacha un autour
de l'arbre et les trois autres à la première après y avoir noué un noeud coulissant à chaque
extrémité. Il plaça une des boucles devant chaque entrée de terrier, ramassa vite sa besace
et couru rattraper Apo, qui avait déjà prit de l'avance.

Il le retrouva près d'un panneau en bois sur lequel était grossièrement gravé Bois du Pendu.
La forêt les entourait complètement maintenant. Le vent fit bouger le feuillage des cimes et le
sergent sentit quelques gouttes tomber du ciel.

Oui nous y sommes. Et là, plus loin, doit se trouver la cabane du vieil Aramick... Armanick...
enfin celui indiqué sur la carte. Allons voir si nous pouvons y trouver refuge.

Ils rejoignirent le croisement, d'où partaient quatre chemins, l'un sur lequel ils étaient arrivés,
et les autres respectivement vers le sud-est, le sud-ouest et enfin vers le nord-ouest. Ce dernier
devait être celui qu'ils avaient vu depuis le flanc nord du ravin le jour précédent. Xaven ne vit
pas de suite la cabane et crut un moment qu'ils s'étaient trompés. Elle était bien cachée derrière
la végétation du bord de la route. Il dégagea quelques branches et s'avança prudemment vers
la maison. Rien n'indiquait la présence d'un habitant. Elle était en piteux état.

Il y a quelqu'un?... Messire Ramarick?

Xaven s'avança encore et jeta un coup d'oeil en arrière, vers Apo, qui le suivi depuis la route. Il
s'approcha jusqu'à la fenêtre dont un des battants ne pendait plus qu'à une charnière et risqua
un coup d'oeil à l'intérieur.

apres avoir passé la pancarte, apo continua sans voir Xaven qui mettait quelquechose pres de plusieurs terriers, il le rattrapa a temps, et ils continuèrent un peu leur chemin, dans diverses directions, et, arrivèrent à l'endroit ou devait se trouver la cabane d' armarick, mais ils ne virent rien, excepté des arbres, et, ils chercherent un peu, et soudain, bien cachée sous une végétation envahissante se tenait une vieille cabane, Xaven en approcha et regarda par la fenetre, mais apo n'était pas sur que quelqun pouvait vivre la dedans.

a mon avis que cela fait un bout de temps que personne n'est venu ici Xaven, on devrai continuer notre chemin, on n'est plus trés loin, et la bas on essaiera de se trouver un abri, meme si c'est pas trés confortable, ce sera toujours mieux que de dormir avec les rats, qui viendraient manger nos quelques miches de pain pendant la nuit.

Lef et Bendith marchaient le plus discretement possible et parlant a voix basse le plus claire du temps.

-Je crois qu'ils ont une sacré longueur sur nous ces bestiaux....ou alors ils nous ont entendus...mais cela me parait invraisemblabe nous avons toujours été dans le sens du vent.

La foret devenant de plus en plus dense et sombre Lef avait de plus en plus de mal a suivre cette piste.

-Il va falloir accélérer le mouvement sinon je crains qu'on ne puisse rentré a l'abris cette nuit, et le temps me parait tres bas on en a pas fini avec toute cette pluie qui ne ma facilite pas la tache.

Ils continuèrent la piste en courant a petites foulées en prenant garde de ne pas mettre les pieds dans un trou ou de se les prendrent dans toutes ces racines qui sortent un peu partout.....

-Zut! arretons on nous un moment....j'ai perdu la piste.....grrrrr.... s'ils ne pleuvait pas non plus! mangeons un morceaux, tiens tu veux un morceaux de viande,ça va nous redonner des forces pour le reste de la journée....j'ai l'estomac dans les talons moi. Ils ne doivent plus etre tres loin, ils ont du se séparer c'est pour ça que la piste devient moins évidente.

Lef réfléchis un moment "pourquoi se sont ils séparés.... bizard ça....a moins qu'ils n'ont été attaqué par autre prédateur mais je n'en point vue traces...." elle se leva et chercha la continuité de la piste.....ils n'y avait pas de bruits mis a part un coucou qui chantait depuis un moment maintenant.....Lef marchait toujours lorsque tout d'un coup elle entendit un bruit sourd dans un fourré puis le crie d'un geai , un traite cette bestiole la moindre chose qu'il voit et qu'il ne connai pas il s'envole en criant comme pour allerté toute la forêt d'une intrusion!!!

-Vite Bendith il y a quelque chose qui vient de partire de ce fourré!!! une bestiole assez grosse mais je ne sais pas quoi!

Lef prit une fleche dans sa carquois et a arma son arc le tout en courant....elle entendait le galop de la bete mais pas la bete en elle meme....qu'est que cela pouvait bien etre....

101112v se fit interrompre par Dina. Légèrement agacée, elle regarda l'objet de l'interruption.
En voyant le prédateur, 101112 se figea et mit une éternité, lui s'embla-t-elle, avant de retrouver la moindre émotion. Elle n'avait jamais quitté la ville, sauf pour voir un grand-parent ou une partie de cache-cache. Encore, ce n'était guère loin. 101112 n'avait jamais dormis dehors - elle avait préféré le chacher à Dina pour ne pas paraître idiote.
Les écureuils l'effrayaient dans sa tendre jeunesse, alors, un lynx!

Quand elle reprit ses esprits, elle voyait Dina ayant presque tiré sa flèche. Alors elle se dépécha de tirer duex flèches en même temps.

Le membre '101112v' a effectué l’action suivante : Lancé de dés

#1 'D20' :
[RP] La chasse est ouverte - Page 3 D020pq2

#1 Résultat :
[RP] La chasse est ouverte - Page 3 D9ti0

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#2 'D20' :
[RP] La chasse est ouverte - Page 3 D020pq2

#2 Résultat :
[RP] La chasse est ouverte - Page 3 D14nq8

Les deux flèches partirent vite et futilement; elles se plantèrent loin du lynx. 101112 avait failli tirer sur Dina - près de sa joue-, elle (moi) avait du sang (du vrai) qui coulait de son bras de façon mystérieuse.
Dina la foudroya du regard à cause certainement de son manque de flegme. En tout cas, 101112 esseya de cacher sa blessure dès qu'elle en prit conscience.

Après avoir jeté un coup d'oeil à l'intérieur, Xaven se retourna vers Apo.

Oui, vous avez raison, il n'y a pas un chat ici. Mais par contre je pense que rester ici, du
moins pour les premiers jours serait mieux que d'aller à la recherche d'un autre abri. Ni
vous, ni moi connaissons la région et on risquerait de devoir alors nous construire un toit
en branche et en feuille, ce qui n'est guère très efficace contre ce temps de chien.

Une cabane, qui est, certes, assez vieille, mais dont le toit ne semble pas trop avoir souffert,
c'est une chance inespéré. Le bois que nous recherchons, nous nous y trouvons déjà.

Il déposa sa besace contre les planches du mur du cabanon et se frotta les mains.

En tout cas, nous allons nous préparer à faire à manger, déjà, et cela, nous le ferons ici.
Vous savez faire un feu? Je vous laisse mes pierres et deux bouts d'amadou, il vous faudra
trouver un peu de bois... relativement sec, ça va être dur.

Il ouvrit une petite sacoche qu'il avait à la ceinture et sortit les pierres et deux cubes d'ama-
dou pour les donner à Apo.

Je laisse ma besace ici, il y a plein de trucs utiles dedans au cas où vous auriez besoin de
quelque chose. Je retourne auprès de nos petits amis les lapins, voir s'ils sont prêts à être
cuits.

Xaven se retourna et rejoignit le chemin en enjambant la végétation.

En sentant une flèche... non !... deux flèches lui passer pratiquement sous le nez, Dina sursauta... prit une grande inspiration... se retourna vers 101112... et la regarda sévèrement...

C'est... c'est... quoi ça ?... Tu te... rends com... compte de ce que tu viens de faire ?....
Déjà une fois tu as man... manqué me blesser sur le terrain d'entraînement... mais là... tirer deux flèches... dans mon dos... Tu aurais pu me tuer !... Bon sang !... 101112 !...

La jeune femme etait tellement estomaquée par l'inconscience de sa compagne qu'elle en bafouillait...
S'approchant de l'archère, Dina tendit la main afin de lui prendre son arc, quand elle vit une longue estafilade sur son bras...

Mais tu es blessée... Montre-moi ça... Tu t'es fait ça comment ?...
Allez !... Assieds-toi sur ce tronc que je te fasse un rapide pansement...

Essayant de garder tout son calme, Dine farfouilla dans sa besace et finit par en sortir une petite bande découpée dans un vieux drap... Elle eut tôt fait de confectionner un rapide bandage...

voilà ! C'est juste une eraflure, mais vaut mieux protéger la plaie...
Je ne comprends pas comment tu t'es fait ça !
Bon ! Laisse-moi aller ramasser le cadavre de ce lynx, puis nous retournons à la grotte. La journée est bien avancée et je veux que tu m'expliques à quoi tu joues et comment tu as réussi à te blesser...

Pestant intérieurement, Dina alla ramasser le prédateur, puis fit signe à Centunmillecentdouze de la suivre...
Elle etait déçue par le comportement de sa jeune collègue... Certes elle savait l'archère imprévisible... mais là !... Elle avait voulu lui montrer qu'elle etait digne de confiance...

Bon ! Allons-y !
Et pendant que nous marchons, tu vas m'expliquer ce qui ne va pas...
Allez... Je t'écoute...

-Heu...en fait...je...j'avais pensé...que je...serai...plus efficace...contre ce...ce...monstre...avec deux...flèches et voilà!, dit 101112 très génée, la gorge sérée et transpirant abondamment sachant qu'elle serait certainemment obligée d'en dire plus. Son secret serait au grand jour, elle ne voulait pas que Dina70 le sache, 101112 mentirait donc, mais le plus légèrement possible!

Dina70 lui redemanda pourquoi elle avait perdu son calme et comment elle s'était blessée.
-Je n'ai pas perdu mon calme! En fait...J'étais sûre d'y arriver!, dit 101112 en s'enfonçant dans le ridicule et en espérant ne pas à en avoir plus à dire.

101112 était très candide, assez intelligente, mais aussi naive et elle avait de la peine à chercher des excuses, elle mentait plutôt bien - cela nelui arrivait pas souvent. Elle visait toujours trop haut et s'en mordait les doigts, par exemple : elle pensait que tirer deux flèches était deux fois plus efficace, alors qu'elle devenait moins précise.

Les feuilles des arbres étaient très belles avec juste un peu d'eau dessus. Les oiseaux chantaient à nouveau; tout aurait mettre le coeur de 101112 en joie, mais elle aurait des problème à cause de son erreur. Que penserait Dina, Adrien, Rundurik et les autres d'elle?

apo prit les pierres et l'amadou, les mit bien au sec, et alla dans le bois chercher des brindilles et de la mousse relativement seches.
il prit bien sur son arc avec lui, qu'il garda dans les mains, et ragarda par ci par la, sous les arbres, mais rien a faire, tout était détrempé.

il continua son chemin pendant quelques temps et arriva devant une petite grotte, bien abritée, où il trouva de la mousse collée sur les parois, il la prit et la mit soigneusement dans sa besace.

ensuite, il retourna sur ses pas, et vit quelques branches desséchées sous un arbre mort.
Et bien, voila de quoi avoir du lapin grillé ce soir!

il prit des branches fines, et des moins fines, et rentra a la cabane du vieux aymerick.
ensuite, il rentra , prit quelques pierres pour faire un foyer, il les mit sous le préau pour ne pas etre sous la pluie.il prit quelques branches humides pour faire un porte broche et une broche.ensuite, il prit les silex, les amadous et tenta sa chance.
il mit de la mousse bien seche, prit un amadou et les pierres.
allez, "crich, crich".
il essaya, vit quelques étincelles et un peu de fumée s'échappa de la mousse.
il souffla comme il put sur la mousse, qui prit feu au bout d'un moment.

Cela faisait des heures qu'ils marchaient, à l'affût, en suivant cette piste. Tout à coup, il y eu du mouvement dans le fourré devant eux.

Lefelon a écrit:: Vite Bendith il y a quelque chose qui vient de partire de ce fourré!!! une bestiole assez grosse mais je ne sais pas quoi!

Bien que Lef avait déjà armé son arc, Bendith n'y pensa même pas. il se précipita en avant vers ce taillis, poursuivant la bestiole et la repérant aux branches agitées par ci par là. Ils n'avaient toujours pas vu l'animal, et celui-ci semblait courir en zig-zag, et s'éloignait déjà rapidement...
L'acrher courait à perdre haleine, le visage fouetté par les branches, les avant bras rouges de griffures quand tout à coup il se prit le pied dans une racine. Tout bascula très vite, il atterrit dans un buisson d'aubépine la tête la première, fit dans son élan un semi-culbuté qui l'amena dans une position improbable, les jambes en l'air.
Il fit vaguement Lef passer en courant non loin à la poursuite de cette satanée bestiole. Pourvu qu'elle puisse l'attraper, et elle allait le regretter cette bête sauvage...

Le temps qu'il s'extraie de l'aubépine, Bendith se retrouva debout, couvert de griffes dont la plupart saignaient mais sans gravité. Il récupéra ses flèches éparpillées dans la chute et s'envoya une grande rasade de sa gourde heureusement épargnée.
Lefelon n'était plus en vue, et complétement déboussolé par sa chute, il décida de la rejoindre en suivant ce qu'il estimait être la direction de la poursuite.

Le temps, toujours pluvieux, ne l'aidait pas vraiment dans ses recherches, et il lui semblait que la luminosité commençait à baisser. Est-ce que la nuit allait déjà tomber? Alors qu'il était seul, plus ou moins perdu dans cette forêt de m... et sans son sac.
Bendith se demandait que faire. Il n'avait aucune envie de passer la nuit dans cette forêt, sans abri, mais il ne pouvait pas abandonner Lef. De tout façon, il aurait été bien en peine de retourner directement au dortoir. Il décida donc de continuer ses recherches, tout en laissant de temps à autre un morceau de sa cape, déchirée dans la poursuite, bien en évidence sur un buisson. De toemps à autre, il criait.

LEFELON!!!

OOOOOOOOH

PAR ICI, LEEEEEEEEEEF! TU M'ENTENDS?

LEEEEEF

Il marcha comme ça jusqu'a ce qu'il fasse entre chien et loup, sans avoir revu Lef, ni aucun signe de son passage. Il était bel et bien perdu.
Il décida de rapidement se trouver un abri, avant qu'il ne fassse complétement noir.
Tout ce qu'il trouva fut un grand chêne dont les racines protubérante délimitaient un espace de la taille d'une couche. Il récupéra quatres grosses branches aux alentours, les installa en croix par dessus cet endroit, et y installa sa cape. Il se glissa la dessous. Ses jambes n'étaient pas abirtée, mais au moins sa tête et son buste oui. Il essaya de trouver quelques repos, sans trop penser à la situation dans laquelle il s'était fourré. Demain serait un autre jour.

Lef courait toujours derriere la bête, elle semblait très agile et courrait relativement vite "Bendith je crois que c'est un chevreuil!!!".La jeune femme compris assez rapidement que courrir apres ne serait pas la meilleure startégie, il fallait absolument lui barré la route, ou bien la forcé a prendre un chemin en cul de sac...Elle commença par ralentir le pas

-Bendith ? t'es ou? Bendith!!! Ah c'est pas vrai je l'ai perdu!!!! BENNNNNNNNNNNNNNDITH!!!!!!!!!!! Zut de Zut de m****, j'étais tellement concentré sur la bete je ne me suis meme pas apperçue qu'il n'était plus derriere moi. BEEENNNNDDIIITH! REPOND!!!!

Aucunes réponses de lui, mais ou est t'il???? il doit y avoir pas mal de temps que je l'ai perdu!!! Lef était face a un vrai dileme : tenter d'abattre le chevreuil ou retrouvé Bendith.....comment faire.....

-De toute façon il fait quasiment nuit, je n'ai aucunes chances de le retrouvé ou de revenir a l'abris, pourvue qu'il ne se soit pas bléssé, ou tombé dans un trou, ou que sais-je encore. J'espere qu'il est remonté a l'abris.... Lef pestait contre elle même....Les mains sur les hanches elle réflechissait.

Lef voulait crier sa colere, comment avait elle put ne pas s'en appercevoir avant,depuis combien de temps ne la suivait 'il plus.... une bonne distance devait les séparer mais comment le retrouvé....? dans qu'elle direction chercher...?
elle avait bo regarder dans toutes les directions elle ne le voyait pas...
d'un coup son attention fut attiré par un autre bruit, un bruit discret, comme si on essayait de se faufiler... seules les bruits de brindilles qui cedent sous les pas s'entendaient, elle se rendit compte que l'animal n'avait pas cinquante possibililtés pour s'enfuire, sans le vouloir Lef l'avait amené dans guet appent, l'animal ne pouvait plus avancé un roncier gigantesque et dense était devant lui seule un cochon sauvage pouvait passer a travers.... il fallait que le chevreuil vienne dans le sentié ou Lef l'attendait elle arma son arc et attendit.....elle savait quelle n'aurait meme pas un clignement d'oeil pour tiré.....puis un doute l'envahie et si cétait Bendith? elle se rendit compte qu'elle aurait pue faire un.....meurtre...il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir
l'appellé...mais il fallait aussi qu'elle se prépare aussi a tiré dans la cas ou serait bien le chevreuil

-Bendith ? c'est toi ? Répond!!!! je suis armé !! si c'est toi répond!!! je plaisante pas!!!!, pas de réponse donc ce n'était pas Bendith, qui que vous soyez répondez!!!! vous etes en plein milieu d'une chasse, vous etes ici a vos risques et périls ! toujours pas de réponses, au moins Lef avait la conscience tranquille elle s'était signalé....les petites bruits reprirent....l'animal était face lui aussi a un dileme...
Lef retenait sa respiration ses sens en alertes.......elle voyait de moins en moins bien, mais entendait tres clairement d'ou venaient les bruits....elle arma pour de bon son arc et tira sur la corde, elle n'aurait qu'une seule chance

L'animal surgit d'un bond et lef décocha un fleches pfuiiiiitttt en pleine tete, l'animal s'effondra tué net!
Lef n'en revenai pas.....elle qui avait été si malchanceuse a l'entrainement....elle avait réussi sans refléchir a abattre l'animal!
Elle vérifia que la vie l'avait bien quitté, il aurait été impensable pour elle de la laissé mourire en souffrant....elle sortie de sa besace un grand morceaux de tissu qu'elle avait trouvé dans la remise....il était prévue au dépard pour transporté un gros gibier....mais là il servira de toit de fortune....elle repéré un arbre dont les branches descendaient relativement bas, elle put passer le morceaux de tissu par dessus, elle s'y mit a l'abris dessous le chevreuil était resté quelques metres plus loins....ses pensées étaient revenu a Bendith....dès le lever du soleil elle remontra vers l'abris en espérant tombé sur lui.....pourvu qu'il ne soit pas blessé ou pire encore.....Lef s'assouppis sur ses pensées....la nuit risquait d'etre longues!

Une bonne vingtaine de minutes après être parti, le sergent revint avec la prise du jour. Sur
son épaule, attachés aux pattes arrières, pendaient deux gros lapins gris. Arrivé à la cabane,
il vit un filet de fumée s'échapper par l'ouverture du toit. Apo avait fait un feu à l'intérieur.

Xaven prit les deux bêtes et les pendit en les attachant bien fermement à un bois dépassant
de l'avant-toit pour qu'ils finissent de saigner. Il ramassa sa besace qui traînait encore dehors
et poussa la porte qui s'ouvrit en grinçant. Dans l'unique pièce, son coéquipier était occupé à
alimenter le feu. Xaven sourit en le voyant faire et dit simplement en déposant ses affaires
dans un coin.

On a pris deux jolis conils.

Il ressortit ensuite, prit son couteau et commença à découper la peau des bêtes en longueur
sur le ventre les pattes et tira fermement. Une fois les muscles à nu, il ouvrit le ventre pour
les vider, les détacha et les apporta à Apo.

Voilà, il n'y a plus qu'à les mettre sur le feu. Vous vous en occupez? J'irai décharner les
fourrures pendant ce temps.

Il tendit les deux carcasses à son coéquipier. Puis il s'agenouilla à coté de sa besace et en
sortit la bobine de fil, qu'il avait déjà utilisée pour les colets, et un boite contenant du sel et
resortit de la pièce.

Riese qui attendait sa coèquipière rangea tout son matériel et disperça les cendres du feu pour éviter tout problèmes!

Puis, elle regarda le temps qui n'avait pas l'air trop mauvais! Le soleil était toujours caché des nuages mais la pluie ne tombait plus et elle put admirer le jeu de l'eau et des reflets du soleil...

Quel temps magnifique pour continuer notre progression jusqu'a la foret, tu ne trouve pas Mieli?

Dit moi as tu bien dormie? Tu n'as pas eu trop froid?

Bien je pense qu'après avoir regarder la carte, vu notre position je pense que l'on peut continuer a longuer encore un peu la rivière? tu en penses quoi?

À peine levée, Mieli était déja tout à fait réveiller. Elle sourit a Riese qui lui parlait du temps qu'il fesait et qui semblait en grande forme elle aussi. Le fait que le soleil soit toujours cacher était bénéfique en quelque sorte, elles ne souffriraient pas d'une trop grande chaleur.

Elle rangea son équipement également, ne gardant que son arc et son carquoi a porté de la main, bien entendu, une dague reposait dans sa botte droite.

J'ai bien dormi merci, je n'ai pas vraiment eu froid, j'ai l'habitude de faire du camping comme sa, ça me détend en fait^^

Mieli regarda la carte a son tour

Oui, et puis nous ne sommes plus très loin, nous atteindront la forêt en après-midi si nous ne trainons pas trop. Tu as étudier la carte pendant que je dormait?^^

Pensivement, Dina marchait tout en écoutant 101112... Celle-ci ne lui apprenait rien sur les raisons de sa conduite... Etait-ce simplement de la peur, de l'inexpérience ?
Se tournant vers sa compagne, l'aspirant décida d'être franche...

On ne se connait pas vraiment... comme la plupart des archers et c'est dommage...
A l'entraînement, chacun vient... tire une unique flèche... et s'en va...
Peu prennent le temps de discuter. Pourtant nous avons essayé de le faire dans la remise lorsque Riese l'a refaite... Alors quand cette chasse a été annoncée, j'avais esperé que nous ferions enfin connaissance... et comme tu parlais si peu j'ai eu envie de t'avoir avec moi. Je sentais en toi des possibilités que les autres ne voyaient pas...
Elles sont toujours là, je le sens... mais je sens aussi une gêne... Je crois que tu ne me dis pas tout... Je ne te demande de te confier à moi... Saches seulement que si un jour tu en ressens le besoin, je suis là...
Et surtout je ne me permets pas juger quiconque... Je n'aimerais pas qu'on juge mes actes, alors je ne le fais pas pour les autres...

Voilà ! Je te demande d'oublier ce nain à bonnet à grelots qui s'amuse à jeter ces choses bleues que nous appelons "dés". Et sois prudente, pas de tir à l'improviste comme tout à l'heure... Nous chassons, pas l'une derrière l'autre, mais l'une à côté de l'autre. Tu as compris ?

Les deux archères arrivaient à la grotte quand un coup de tonnerre se fit entendre. A nouveau la pluie se mit à tomber... Une courte averse de grèle, suivie d'une pluie drue qui tomba pendant encore une bonne heure... puis le ciel bleu apparut...
Dans la caverne les jeunes femmes réanimèrent le feu qui couvait sous la cendre et mangèrent un peu de pain accompagné de saucisse fumée...
Dina se mit à réflechir, les yeux posés sur le lynx tué dans l'après-midi...

(Riese étant absente pour 10 jours, je l'inclus dans mon rp)

Ce n'est qu'après avoir manger, rassembler leur équipement et vérifier leurs armes, que les deux archère se mirent finnalement en route, ne laissant aucune trces de leur passage derière elles, car Mielikki détestait que les animaux soient victimes de la bêtise humaine, ainsi les cendre furent enterrer et aucun de leur objet ne resta sur place, pas même un petit bout de corde.

Mieli en tête, elles longèrent encore la rivière jusqu'a arriver à la lisière de la forêt, d'épais buissons entravaient leur mouvement, certe, elles aurait pu utiliser les épées courtes qui battaient contre leur flanc pour se taillarder un chemin mais elles n'en firent rient, tranquilement, pour ne pas alerter toute suite les animaux de leur présence, elles calculaient leur pas, écratant lentement les branches et les feuilles dans leur chemin. Mieli arrêta Riese près d'une marre boueuse et lui murmura :

-Nous devons masquer notre odeur, sinon le gibier nous flaira avant même que l'on ne l'ai vu.

Elle se servit donc de la boue visqueuse qui ne dégageait pas une odeur très agréable et s'n recouvrit, essayant de ne pas rire trop fort en voyant la grimace de dégout de son amie. Les deux jeunes femme, ainsi masqué, s'engouffrèrent plus la forêt, étudiant la carte de temps à autre pour connaire les frontière de l'endroits.

Après quelques heures de marche, elle s'arrêtèrent pour souffler un peu, il fesait chaud, le soleil tapait fort, l'humidité fesait flotter une mince brume dans l'air. Elle burent à la source d'un petit ruisseau d'eau claire qui chantait gaiment contre les cailloux. c'est a ce moment que Riese apperçut des empreinte sur le sol, pas très loin d'ou elles étaient. Fesant signe a Mielikki, elle s'était accroupir pour mieux observer les traces laisser par un animal.

Mieli la rejoingnit et d'accrouppit a son tour, elle toucha le sol : il était humide, les empreintes était fraiche et vu le nombre, un groupe de cervidé se déplaçait vers l'Est de la fôret, la jeune femme trouva également des empreintes de renard et...d'énormes empreinte d'ours.

Un peu livide sur le coup, elle répondit a la question muette de Riese en lui montrant les traces de pas au sol.

[RP] La chasse est ouverte - Page 3 Patte12ak4

[RP] La chasse est ouverte - Page 3 Patte12ak4

Les yeux ronds dût à la surprise elle se fixèrent un moment, puis Mielikki afficha un sourire déterminer.

-Et si on le traquait cet ours?

Riese lui sourit a son tour, elle se mirent donc a suivrent les empreinte laisser par le gros animal velu dans l'espoir qu'il ne les trouve pas avant elles. Après un moment, sans avoir trouver l'ours, Mielikki grimpa dans un arbre avec une agilité féline, elle monta le plus haut qu'elle pu, pendant que Riese fesait le guet en bas, pour voir ou elles étaient et si elle pouvait appercevoir l'ours de là haut.

Elle redescendit tout aussi rapidement qu'elle avait monter, puis fit son rapport.

-Nous somme au Nord Est de la forêt, on en a encore pour un moment a marcher avant d'atteindre l'autre coté, je n'ai pas vu notre ours mais je suis certaine qu'il est par là.

Elle reprirent donc leur route, tout les sens aux aguets.

Quelle bénédiction que cette pluie, 101112 allait pouvoir pleurer discrètement. Elle n'aimait pas sentir avoir déçu les gens, alors cette pluie allait l'aider à calmer son chagrin en pleurant. Dina n'avait pas l'air de s'en être aperçu et c'était tant mieux.
Arrivé à la grotte, 101112 se calma en dépeçant la bête et en la salant pour qu'elle se conserve mieux. 101112 crut remarquée que Dina ne lui en voulait pas, mais au contraire, qu'elle s'inquiétait pour elle. Non, elle devait se faire des idée, mais tout de même! Elle se mettait à douter de sa fureur. La jeune débutante voyait tout en noir, cette chasse, soudainement, lui parut interminable, glaciale et horriblement sanglante! La tête se mit à lui tourner à cause du dépeçage - le sang en était la cause-, elle devint pâle, ces mains tremblaient; pour que Dina n'en sache rien, elle prétexta aller chercher du bois secs pour le feu. Elle sortit donc sous la pluie pour se changer les idées. Soudain, elle vit une ombre menaçante, elle sortit son arc et s'apprêtait à tirer, quand, elle comprit que ce n'était rien d'autre que les arbres et leur ombre.
-Ouf!
Quand elle revint, Dina avait nourri le feu avec le bois qu'elles avaient en réserve. 101112 se dit qu'il y avait quelque chose de bizarre, mais exténué, elle sombra dans les ténèbres du sommeil.
* * *

-Vas-y, tue les, cria la voix de L'étranger.
-Non, je ne veux pas! hurla 101112 effrayée.
-La ferme idiote, tu m'empêche de dormir! dit une voix douce et éthérée.
* * *

-Où est l'homme?
-Mmm, quel homme?
-Dina?
-Quoi 101112?
-Désolé, ce devait être un cauchemar.
-Rendors-toi. Zzzzzzz

Xaven avait terminé de racler les peaux et les laissa tendue par terre. Il sentait son ventre faire
des gargouillis et espérait qu'Apo avait terminé de cuire la viande. Il poussa la porte, qui s'ouvrit
en grinçant, et le sergent entra dans la pièce. Son coéquipier était assis près de l'âtre et surveillait
les deux carcasses embrochées au dessus des flammes. Il s'assit à coté de lui et regarda le feu
sans rien dire. Un peu étonné, il vit ses deux pierres et les deux bouts d'amadou, qu'il avait donné
à Apo avant de partir, intacts et les remit dans la petite sacoche à sa ceinture.

Je pense que c'est prêt. Attaquons!

Il se servit et commençait à grignoter la chair cuite d'un des conils, sans enlever la flèche qui avait
servie à l'embrocher. Après quelques bouchées il s'adressa à son camarade.

Ch'est exchellent. Juchte comifo!

Il avala ce qu'il avait en bouche et tourna la tête vers Apo et dit en souriant.

Au fait, le feu? Vous vous êtes amusé à l'allumer sans amadou? Vous en avez de la patience.

Il ouvrit à nouveau la sacoche et en ressortit les deux pierres et un cube d'amadou, qu'il tendit à son
coéquipier.

Ce petit truc ici, est un morceau de champignon parasite, qu'on appelle l'amadouvier. Il pousse
en demi-cercle sur les troncs d'arbre. On en voit souvent dans les forets. L'intérieur est assez
poreux et une fois séché, s'enflamme en un rien de temps.

Il prit une des pierres, au centre de laquelle il y avait un creux, et attendit qu'Apo lui rende l'amadou
pour ensuite le placer dans le trou. Il prit ensuite l'autre pierre et la leva un instant à bout de doigts.
Elle avait une couleur étrange, jaunâtre par endroits et à d'autres avait un éclat métallique.

La pierre à feu... on la tape contre la creuse et... Pouff! Ça crame l'amadou, qu'on a plus qu'à
laisser tomber sur les brindilles et de recouvrir de branchettes.

Il tenait toujours la pierre creuse avec l'amadou enflammé devant son visage et le regardait
se consumer. Une fois la flamme éteinte, il jeta les reste dans le feu et rangea à nouveau son
briquet.

Je range tout ça dans une sacoche spéciale avec deux compartiments. Il ne faut pas laisser le
champignon avec les pierres sinon vous risqueriez d'avoir trop chaud.

Il ria et ramassa son repas qu'il avait laissé traîner par terre. Il enleva quelques crasses qui collaient
dessus et se remit à arracher des bouts de viande avec les dents.

apo sentait la douce chaleur du feu sur sa joue , et entendit un peu de bruit au dehors, prit son arc et une fleche pour tenter d'avoir un peu de viande en plus a manger, il sortit sa tete par la fenetre, il vit deux lapins, qui étaient morts et dans les mains de son coéquipier Xaven.
ah! et bien tes collets on bien fonctionné à ce que je vois

le feu va bientot etre pret, tu devrais les dépecer.

ensuite, il rentra et s'occupa de son feu.

Xaven lui expliqua comment fonctionnait son briquet, et apo s'étonnait devant l'ingénieusité de la chose.

les lapins étaient sur la broche, l'odeur commençait à monter aux narines des deux chasseurs, les lapins étaient bien gros, et apo n'avait pas assez d'appetit.

et bien, ces lapins sont délicieux, mais je n'ai plus faim!
je mangerai ce qui me reste demain, la nuit commence a tomber, je ne vais pas tarder a sortir, je vais poser des collets spéciaux pour les faisans, j'en ai entendu pas mal quand j'essayait d'allumer le feu. j'ai ma technique moi aussi, de plus je sais qu'ils ne sortent qu'à l'aurore et lors du coucher du soleil. je prends aussi mon arc, on ne sais jamais si j'en croisais un. bon a tout à l'heure, je devrais pas rentrer trop tard.

puis il sortit avec sa besace et son arc sur le dos, se dirigea vers la foret, et, une fois qu'il était à 200 metres de la liziere, il se mit à la recherche de quelques barnches de frene, bien souples, d'une longeur d'environs 1 metre.

ensuite, il avait repéré quelques crottes de faisan, il planta de 20 cm une de ses branches de frene, accrocha un morceau de ficelle au bout, plia la branche et fit un noeud coulant au bout de la ficelle. ensuite, il positionna le noeud à terre, de sorte que la branche reste pliée mais qu'un petit mouvement fasse partir le petit bout de bois qui retenait le noeud, déclanchant ainsi le collet.

ensuite, il sortit quelques grains de blé et de maïs et les mit au milieu du noeud.
bon, un piege de fait!

il fit de meme à trois autres endroits, puis fit un peu de repérage dans le bois, pour trouver un abri de fortune pour s'abriter et chasser le lendemain, mais ne trouva rien a part la petite grotte ou il avait prit de la mousse auparavant, qui était uniquement pratique pour s'abriter de la pluie.

il rentra à la cabane en regardant autour de lui, trouvant des feuilles seches qu'il mit dans son sac pour avoir plus de facilité pour allumer son feu.

il poussa la porte, et dit:

bon, il y a trois pieges pour les faisans, on va peut etre en prendre quelques uns, et avec les plumes on pourra refaire les empennages des fleches qui s'abiment, moi j'en ai déja une qui ne vas plus voler si je ne la répare pas.

bon je vais me coucher, à demain .

Bendith se réveilla complétement trempé et frigorifé. Sa cape n'avait cessé de tomber toute la nuit, et il n'avait que très peu dormi. Heureusement, la pluie avait cessé, et la temps s'annonçait plus chaud, bien que toujours couvert.
En guise de déjeuner, il mangea le crouton de pain mou et humide qu'il avait en poche, et quelques bonnes gorgées de sa gourde. Une flaque non loin lui permis de boire également de l'eau.
Il se demandait ce qu'avait pu devenir Lef, et il espérait qu'elle avait regagné le dortoir en croyant que lui même y était. Si elle s'était également perdue en forêt, il s'en voudrait de son imprudence.

Il se mit en route sans tarder, pour se réchauffer le plus vite possible. Ses vetements mouillés lui collaient à la peau, et il détestait cette sensation. Toutes ces écorchures de la veille le démangeait, et certaines rougissaient. Quelle idée de génie cette chasse...

Il marcha dans la direction ou il estimait que se trouvait le soleil, se disant qu'il tomberait forcément sur le sentier qui longeait la forêt à l'est. La progression n'était pas facile, la forêt portait bien son nom, avec toutes ces racines à nu. Il manquait de tomber toutes les cinq minutes en trébuchant, quand il ne devait pas faire des détours pour éviter des massifs impénétrables.
De temps à autre, il appelait Lef pour ne pas la manquer la petite chance qu'elle soit à portée de voix, et tant pis si il faisait fuir tout les animaux du comté.

LEFFFFFF!

OOOOHOOOOO...

Y A QUELQU'UN???

Il marcha ainsi durant quelques heures, quand enfin, les arbres se faisaient un peu plus rares. En effet, il ne tarda pas à tomber un chemin praticable. Sans doute était-ce cette route à l'est qu'il voulait rejoindre. A peu près en face de lui, à quelques centaines de toises, et il décida de couper à travers cette grande clairirère, sur de tomber sur le dortoir.
Bendith arriva finalement en vue de leur abri, à peu près séché, mais passablement épuisé par la mauvaise nuit et le manque de nourriture, mais il se mit quand même à trotter vers le bâtiment en cherchant à voir si Lef y était.

LEEEF?

LEFELON?

Lef n'avait pas fermé l'oeil de la nuit....il lui avait sembler entendre des maraudeurs....des loups ou voir meme des ours!

Le soleil commençai a pointer dans le ciel lorsqu'elle décida de se mettre en route vers le dortoir, elle avait eu une ingénieuse idée de se servire de ce grand morceau de tissu pour faire un abris de fortune elle avait froid mais au moins elle était sèche....et Bendith? ou peut il bien etre!! est ce qu'il me cherche au moins....? Elle écouta les sons de la foret....rien pas un mots juste le gazouillis des oiseaux. Elle mangea un morceau de viande et bue quelques gorgé d'eau de sa gourde

Le chevreuil était toujours là, il fallait le remonter vers l'abris, qui sait elle trouverai peut etre son co-équipier sur le chemin!

Elle confectionna un ressemblant de brancard avec son grand morceau de tissus (c'est a ça qu'elle avait pensé en le trouvant dans la remise) et deux grandes branches d'arbre, elle noua a chaques extrémités son tissu au branches qui lui servirai de poignées. Elle réussi tant bien que mal a glissé l'animal dessus et noua le bout pour qu'il ne glisse pas a terre. Elle commença sa longue marche.

Apres quelques heures fastidieuse a travers la foret elle n'eu d'autre choix que d'abandonné l'animal, LEf était a bout de force, entre les racines et aux herbes folles elle s'était épuisé a trainé ce cadavre seule, la jeune femme s'était repéré et elle savait qu'elle n'était plus tres loin de l'abris

-BEEEEENNNNDDDITH!!!! TUUUU ESSS LLLAAA? OHOHOHOH!

Elle commença a remonter lentenement vers le dortoir ..... lorsqu'elle fut enfin arrivé elle vit de la fumée sortire de la cheminé, le sourire aux levres elle partie en courant vers l'abris, elle ouvra la porte a toute volées

-Bendith!!!! ça va? misère mais qu'est-ce qu'il t'es arrivé? t'es egratigné de partout! dit moi ce qu'il t'es arrivé? pourquoi tu m'as pas suivi? tu sais je l'ai la fameuse bestiole !!! elle nous attend non loin d'ici, mais toute seule je n'y arriverai pas!

Xaven se redressa et jeta un coup d'oeil autour de lui en pinçant les yeux. Par la fenêtre de la
petite cabane perçaient les premiers rayons de soleil de cette journée qui s'annonçait magnifique.
S'appuyant d'une main au sol, il se frotta vigoureusement l'arrière de la tête. Apo dormait encore,
allongé de l'autre coté du foyer maintenant éteint. Le sergent se leva, ramassa sa gourde pour
se rincer la bouche et sortit une miche de sa besace. Il en brisa un bout, le fourra en bouche et
sortit de la pièce pour aller se réchauffer au soleil.

Mâchouillant son pain, il passa une main sur les fourrures soyeuses qu'il avait étalées la veille sur
le petit banc devant le cabanon. Il les retourna pour s'assurer qu'il avait bien raclé tout ce qui le
devait être, et, satisfait, les empila l'une sur l'autre. Tenant toujours son bout de pain d'une main,
il se retourna et fit glisser son regard sur les alentours. Bien que, quand on se tenait sur la route,
l'abri où ils avaient passé la nuit n'était que difficilement décelable avec les buissons qui le mas-
quaient, d'ici on pouvait très bien observer ce qui se passait sur le chemin, dans trois directions
différentes et fort loin.

Il avança en enjambant quelques orties, se plaça au milieu de la route et pivota plusieurs fois sur
lui-même, regardant d'abord vers le nord-ouest, vers le nord-est et finalement vers le sud-est. Il
brisa encore un bout de pain et, tandis qu'il le prit en bouche, il plissa les yeux. Plus loin, le chemin,
rendu boueux par les dernières averses, présentait des irrégularités, des trous remplis d'eau, dans
lesquelles scintillaient le reflet des rayons matinales. Xaven se dirigea dans cette direction pour voir
cela de plus près et revint bientôt sur ses pas en finissant de manger son pain.

Après une nuit entrecoupée par les cauchemars de 101112, Dina se reveilla sous un soleil radieux. Finalement elles allaient pouvoir partir chasser malgré les quelques nappes de brume qui ne tarderaient pas se dissiper...
Le repas fut vite expédié, les affaires ramssées. Vite ! Il fallait profiter de cette accalmie pour enfin avancer dans cette expédition qui se trainait en longueur.

Prête à partir ?... Faut vraiment qu'on bouge aujourd'hui.
Ramener quelque chose à manger...
Tu te rappelles les consignes ?... Et pas de bruit... Les animaux sont craintifs...
Allez ! En route... L'aventure nous attend...

La forêt reprenait vie sous le soleil éclatant de cette matinée de juin.
On entendait enfin les oiseaux chanter... Et chance suprême, pas un souffle de vent ne viendrait dévier la moindre flèche... La journée idéale pour partir en quête de gibier...

Longtemps elles marchèrent dans ces bois qui portaient bien leur nom !...
Petit à petit Dina retrouvait les sensations qu'elle croyait avoir perdues depuis plusieurs jours...
Tout au long de la matinée elles s'enfoncèrent dans la forêt...
Puis les arbres s'espacèrent, et soudain elles se retrouverent dans une clairière dans laquelle coulait un mince filet d'eau... L'endroit idéal pour se mettre à l'affût !
Dina se rappela les chasses pendant lesquelles elle suivait son père... essayant de trouver le meilleur emplacement pour attendre la venue du gibier...
La clairière etait minuscule, mais ce ru devait bien attirer quelques animaux... D'ailleurs l'herbe piétinée à certains endroits et les empreintes qu'elle pouvait voir deci delà témoignaient du passage fréquent de lièvres, chevreuils, sangliers... Un peu plus loin une trace récente l'inquiéta... Mais elle décida de se taire et de se tenir sur ses gardes... Pas question d'effrayer 101112, qui semblait parfois si perdue...

Alors ? On attend ici ?
L'endroit me parait idéal pour se mettre à l'affût !
De l'eau pour les animaux... Et pour nous, un tas d'endroits où attendre.
Allez ! Je te laisse choisir le meilleur endroit pour se mettre aux aguets...

apo se réveilla apres sa 1 ere nuit dans la cabane abandonnée, il avait pal dormi, car il avait froid et peur pour son lapin grillé, il se réveilla en sursaut en révant voir un rat dormir sur la chair de ladite grillade. il se leva immédiatement et regarda de plus pres si rien n'avait disparu. non , et, il se dit que la faim le rendait parano , et qu'il valait mieux y remédier. il empoigna donc ce qui lui restait de lapin et le mangea gouluement, sans en laisser un morceau pour les rats, il se rinça la gorge avec un peu d'eau, un morceau était mal passé et, de plus , son haleine n'était pas trés fraiche.

il vérifia que le feu était bien éteint et sortit de la cabane, puis, il ne vit pas Xaven , et se dit qu'il était surement parti faire un tour, il se décida donc à aller vérifier ses pieges a faisan, il se mit en route avec son arc et ses fleches.

il vit quelques traces sur le chemin, quelques grosses crottes, ce qui pourrait etre interressant pour la suite de la chasse, il alla voir son premier piege, qui était resté intact, avec tout le blé et le maïsqui n'avaient pas bougé. de meme pour le deuzieme, ensuite, il alla au troisieme, qui était comme au milieu d'un champ de bataille, la terre était retournée, des copeaux de bois étaient partoutdispersés sur le sol, et son piege était démoli.
mais qu'est-ce qu'il bien pu se passer ici...

il retourna vers la cabane en marchant d'un pas rapide, où Xaven l'attendait.

hey Xaven, bien dormi? je viens de vérifier mes pieges, il y en a un qui est completement saccagé, quelqun ou quelque chose est passé par la, j'aimerais que tu viennes voir.

Toujours sur les traces de leur ours, Mielikki et Riese faisaient preuve de patience et de prudence. Elles avançaient lentement mais sûrement, entre les branches basses, les épines qui leur égratignaient la peau et les flagues de boue du à l'orage qui s'était déchainer la veille. Elles n'échangèrent pas un mot, se comprenant d'un signde de tête ou d'un regard. Mieli pistait l'ours du mieux qu'elle le pouvait. Certe la boue permettait de mieux voir les empreintes laisser par l'animal mais donnait du mal a suivre la bonne direction. Riese jettait des regard circulaire dès qu'un bruissement, qui ne venait pas d'elles, se faisait entendre.

Elle ne s'arrêtèrent pas, même épuisées, de peur de voir leur trophée de chasse disparaitre dans la nature humide du matin. Tout en marchant, Mielikki détacha une gourde a sa ceinture et en bu une longue rasade pour se rafraichir, puis la passa a Riese qui en fit autant. Heureusement, que sous le couvert de la forêt, le soleil ne les atteindait pas directement, les pauvres femmes auraient souffert de temps de chaleur et d'humidité.

Après un moment de marche périllieuse, car elles avaient escalader des tertres, ramper dans des sous terrain, grimper aux abres ect.

Elles finirent par s'arrêter a l'ombre d'un gros rochers pour reposer leur jambe un peu. C'est là que Mieli bondit vivement sur ses pieds arc en main. Devant l'air intrigué de Riese, La jeune femme avançait lentement sur les genoux jusqu'a un tronc d'arbre ou elle pouvait se cacher. D'un regard elle fit comprendre a Riese ce qui se passait : L'ours était tout près, elle ne pouvait certe pas l'atteindre d'ou elle était mais parvenait a appercevoir sa silouhette.

Riese l'imita, arc en main, elle suivit Mielikki qui c'était lentement remise en marche.

101112 se retrouva une une détestation pour le soleil qui ne lui était pas arrivée depuis l'épisode des écureuils avec ses frères. Le repas lui parut plus médiocre que d'habitude. Elle n'avait pas dut tout envie de chasser, mais elle n'était pas seule, elle ne pourrait pas rebrousser chemin. Tout ce que fit Dina pendant dix minutes l'énervait. Par exemple, "Prête à partir ?... Faut vraiment qu'on bouge aujourd'hui.
Ramener quelque chose à manger...
Tu te rappelles les consignes ?... Et pas de bruit... Les animaux sont craintifs...
Allez ! En route... L'aventure nous attend...", comme si 101112 n'était pas prête ou qu'elle était idiote.Pour la nourriture, ne suffirait-il pas de manger la "béstiole pleine de dents" d'hier? se demandait 101112.
Les oiseaux étaient revenus et chantaient trop fort, comme ces insectes qui bourdonnaient dans les environs. 101112 eut mal à la tête et ce dit que cette journée allait être longue. 101112 avait trop chaud et cette absence de vent était tout à fait irritante.
Après une éprouvante marche, 101112 aperçut une rivière, bénédiction, de l'eau. Elle écouta à peine ce que disait Dina, mais comprit qu'elle pourrait, à défaut de se baigner, se "cacher" à l'ombre dans les fourrés.
-Je propose là!
101112 désignait l'endroit idéale pour...se cacher du soleil et parfaitement moyen pour se cacher des animaux. Avec l'humeur de 101112, la chasse sera difficile.
Elles attendirent des heures les animaux qui ne venaient pas. 101112 remarqua les traces d'animaux et ne reconnu que le chevreuil - parce que Dina la lui avait apprise.
Ayant soif, la charmante mais éprouvée 101112 prit sa gourde et remarqua une fuite, elle était désormais vide! Elle le cacha à Dina pour ne pas être prise plus pour une sotte.

Enfin! Du gibier apparu, Dina avec une vitesse foudroyante se leva au bon moment, visa et décocha une puissante flèche emplit d'une grande expérience.
101112 tira, moins vite, avec moins de précision, moins de force et moins d'habileté. Elle n'avait vraiment pas envie d'être là.
Dina toucha le lapin qui tomba raide mort, la flèche de 101112 partit contre un arbre avant de retomber nonchalamment sur la tête d'un écureuil.

Xaven poussa la porte de la cabane. Il avait terminé de manger et voulu réveiller Apo pour lui
raconter ce qu'il venait de trouver plus au sud sur le chemin. Son coéquipier n'était plus là, il
devait s'être réveillé pendant que Xaven examinait les traces dans la boue. Il enfila alors sa
ceinture avec son carquois, prit sa besace et son arc et sortit. Apo revint de son tour matinale
et s'adressa au sergent en le tutoyant. Xaven haussant un sourcil, sourit à son coéquipier et
se dit que, après tout, ici on pouvait se passer des formules. Ainsi répondit-il.

Hey! Compagnon! Tu les as donc vus toi aussi! Nous avons eu de la visite tout autour du
cabanon cette nuit. Une harde énorme, au moins quatre laies avec leurs petits et un bon
nombre de bêtes rousses. Bien, allons voir ce qui c'est passé pour ton piège, je te suis.

Prenant juste le temps de se réchauffer un peu, Bendith s'appretait à repartir à la recherche de se coéquipière lorsque la porte s'ouvrit brusquement.

Lefelon a écrit:: -Bendith!!!! ça va? misère mais qu'est-ce qu'il t'es arrivé? t'es egratigné de partout! dit moi ce qu'il t'es arrivé? pourquoi tu m'as pas suivi? tu sais je l'ai la fameuse bestiole !!! elle nous attend non loin d'ici, mais toute seule je n'y arriverai pas!

Lef! Content de te revoir! Je commençais à m'inquiéter sérieusement. Toi aussi tu as passé la nuit dehors? Viens vite près du feu...

Pourquoi je... euh... un petit incident technique avec un aubépinier pendant la poursuite... Alors comme ça tu l'as eu? félicitations! tu m'as vengé!
D'accord, nous irons la chercher. D'ailleurs il vaut mieux ne pas traîner, sinon d'autres carnivores vont en profiter... mais avant, tu vas te reposer un peu!

[i]Il assit presque de force Lefelon devant le feu, et alla chercher une couverture pour lui jeter sur les épaules. Tout en remettant quelques morceaux de bois dans le foyer, Bendith racontait comment il avait passé la nuit. Ensuite, il alla chercher les derniers bout de viande séchée qu'il avait emportée avec lui, et ils mangèrent de bon coeur.
Avant qu'ils ne commençent à somnoler, ils se mirent en route pour aller récupérer le bestiau.

Cherchons une solide branche plus ou moins, nous pourrions nous en servir pour le transporter, pendu par les pattes?

Une fois prêt, les deux archers de l'équipe rouge se mit en route pour aller récupérer le trophée de Lefelon.

Lef emmenna Bendith pres de la bete

-Au fait as tu regardé a tes collets? y a peut etre un lapin ou deux...ça nous changerai de la viande séché et du pain trempé!
Ils se mirent a rire de bon coeur

Apres avoir solidement attaché la bete par les pattes a un morceaux de bois il rentrerent a l'abris, Lef raconta alors comment elle avait fait l'exploit de ziguouillé la bete d'une fleche en pleine tete

-Je pense que je doit la réussite de mon tire au fait que j'était comment dire.....grrrrr .....je ne trouve pas mes mots!!! tu sais quand on sent que ça peu pas raté ....on arrive a tout distinguer!!! la bete n'avait qu'une seule chance de sortie, sans le vouloir elle s'est fourré dans un guetapan.....en tout cas j'en reviens pas..... on fait quoi demain? on irai bien plus au sud de la foret plus vers le cours d'eau? qu'en penses tu?

Lef commençai a vraiment etre fatigué, le sommeil la gagnai...

-Je vais aller me reposé, j'ai mal partout....toi aussi tu dois etre crevé....a demain Bendith

a oui ce sont surement les sangliers qui sont passés par là, et qui se sont offerts un joli bain de boue.... allons tout de meme voire.
apo se mit en route, marchant d'un bon pas, pas emboité par Xaven, et , apres quelques 300 metres, ils se retrouvèrent à l'endroit du piege.

ah oui regarde ces traces dans la boue:

[RP] La chasse est ouverte - Page 3 Trace10

ce sont les sangliers, ils ont tout ravagé, ils vont se prendre une fleche dans le groin ceux la ils vont moins rire!

On devrai peut etre construire un abri ici, avec un sanglier on aurait a manger pour toute la semaine, à condition de ne pas se faire embrocher comme ton ancien partenaire.... Wink

Dina regarda le lapin, puis la flèche de 101112... Elle ne comprenait plus rien à ce qui se passait avec sa compagne, mais décida de la laisser faire comme elle l'entendait... Decidement cette chasse etait des plus imrévues !
Elle prit le lapin, le pendit par les pattes arrières à sa ceinture et regarda 101112.

Un lynx et un lapin... pour moi c'est suffisant...
A ton tour de montrer de quoi tu es capable...
On va se remettre à l'affût et attendre un nouvel animal... et là... je te laisse faire...

Dina retourna à la lisière de la forêt, grimpa sur les premières branches d'un chêne et se mit à attendre. 101112 l'avait suivie et paraissait enfin aux aguets.
Il etait temps que la jeune femme montre de quoi elle etait capable...

Spike avait franchi le pont du noyer au petit trot sur sa jument accompagnée par le sonneur en se rappelant l'histoire horrible qui se racontait au coin du feu à propos de l'accident qui s'y était passé voilà plusieurs années.
Ils s'étaient avancés tous le deux jusqu'à première fourche et la cavalière avait arrêté l'arabe.

Là... elle leur avait déjà laisser deux jours supplémentaires à ces archers, alors qu'elle avait dit une semaine.
S'étaient-ils tous perdus... ?
Elle avait rajouté le temps sur sa liste... oui, le respect du temps... c'était pas ça... mardi qu'ils auraient dû être tous de retour.
Mais le pire, c'était l'espace... certains ayant mis 4 jours pour faire même pas 10 malheureuses lieues, alors qu'en marche forcée en mission on en faisait 20 à la journée...
Elle avait aussi noté l'absence de certains... alors que c'était un exercice obligatoire !!!!
Pour certains cette petite manœuvre avait plus ressemblé à une ballade dominicale qu'à une chasse... manque de rapidité dans les prises de décisions, ce qui n'était pas très bon en temps de guerre.
Par contre le travail en équipe avait plutôt bien fonctionné et certains avaient pu enfin s'exprimer un peu...

Se penchant sur le côté vers le militaire qui portait le cor de chasse...

Allez soldat ... sonnez la fin de traque de cette chasse, cela a assez duré.

Le jeune militaire s'exécuta mettant l'embouchure à ses lèvres et gonflant son torse pour prendre un gros volume d'air.
Il envoya trois coups longs qui se répercutèrent loin entre les arbres...

En entendant au loin sonner trois fois un cor de chasse, Dina se sentit soulagée de voir cette chasse enfin arriver à son terme...
Se tournant vers 101112 elle lui fit signe de se mettre en route.

Tu as entendu ? La chasse est finie...
Ramassons nos affaires et partons.
Nous serons rendus dans quelques heures.

Pensivement, la jeune femme reprit le chemin du retour...
La nuit allait bientôt tomber... mais peu importait. Elles auraient le temps de regagner le chemin. De toute façon, ni l'une , ni l'autre n'avait envie de s'attarder dans ces bois humides.

101112 se sentit bizarrement déçue par la fin, mais elle était soulagée de ne plus avoir à faire honte à Dina. La nuit s'approchait et bientôt on entenda que le bruit des insectes. 101112 aima voir la lune, cela lui redonna courage pour marcher.
Il y avait le bruit de quelques animaux nocturnes; 101112 écouta tellement qu'elle ne vit pas la branche d'arbre et se la ramassa en pleine figure. Elle tomba lourdement, quand elle voulut se relever, Dina l'aida. 101112 rougit de cela.

Apo et Xaven avait finalement décidé de suivre les traces, ceux-ci menèrent à travers toute la
forêt et parfois à travers d'épais sous-bois, qu'ils durent contourner. Par deux fois, ils faillirent
ne plus retrouver de traces du passage des suidés.

Après deux bonnes heures de marches, Xaven s'accroupi et tira Apo par la manche pour qu'il
fasse de même. Il déplaça légèrement une branche feuillue devant eux et pointa vers l'ouest.
Ils étaient là, au bord de l'eau, en train de se rouler dans la boue sur les rives du Lac des sup-
plices. Pendant un moment, le sergent ne disait rien et se contenta de les observer. Puis il
relâcha la branche et passa de l'autre coté d'Apo en restant en profil bas et se mit à chuchoter.

On a de la chance, le vent vient d'ouest, nous pourrons encore nous rapprocher un peu. Tu
vois les deux jeunes mâles qui jouent à qui est le plus fort? Là, un peu à l'écart des autres.
Ce seront nos cibles. Tu tires sur celui à gauche, qui à la crinière ébourriffée et je m'occupe
de l'autre groin à droite.

Nous allons approcher en prenant garde surtout que le reste du groupe ne nous voient pas,
ce sont eux qui sont alertes et qui risque de nous repérer. Les deux bêtes rousses seront
plus facile à surprendre tant qu'ils sont occupé à se battre.

Xaven fit glisser une flèche du carquois, l'encocha, puis marcha lentement en restant accroupi
pour rejoindre un buisson plus avancé, fit encore quelques pas sur sa droite et se plaça derrière
un tronc d'arbre de sorte à ce qu'il cache le reste de la harde. Il redressa la tête en risquant un
coup d'oeil. Ça devait faire à peu près dix toises, même un peu moins. Apo le rejoignit sans faire
de bruit et prit position à son tour. Doucement, Xaven se dressa pour se mettre en position de tir,
pied fort en avant, ne quittant pas le sanglier du regard. Il leva son bras d'arc, cala sa respiration
et tendit la corde pour ramener l'empenne à sa joue, prit une seconde pour ajuster son tir et dé-
cocha.

A ce moment retentit un cor au loin, trois fois. C'était le signal de la fin de la chasse. Xaven rentra
la tête dans les épaules, pas à cause du cor, mais à cause des bruits assourdissant que faisaient
les sangliers en fuite. Le sergent enjamba la végétation et se dirigea vers les deux cadavres qui
gisaient dans la boue. Il se pencha dessus et retira la flèche plantée dans les poumons de l'animal
qu'il venait d'abattre.

C'est terminé, nous allons rentrer. On aura bien du mal à arriver avant la tombée de la nuit
avec ses deux jolis jambons. Joli tir Apo, juste là où il faut. Tu prends ta bête? Nous devons
grouiller.

Les deux jeunes femmes avait réussi a s'approcher suffisement pour pouvoir mieux distingué la silouhette au loin, c'était bel et bien leur ours. Observant prudement les environs, pour éviter qu'une branche qui casse, un caillou qui roule ou un frémissement de buisson, trahissent leur présence. Déja que l'animal devait sans doute s'être rendu compte qu'il était suivit.

Lentement, très lentement et avec beaucoup de concentration et de discrétions, elle avancèrent d'arbre en d'arbre, se cachant derrière les gros troncs et les buissons bien fournis. à un moment, Mieli manqua bien de lâcher un cri de terreur, une grosse arraignée velues se promenait sur son bras. En temps normal, elle ne craignait pas ces bestioles, mais cette fois la surprise avait bien faillit l'avoir, elle était bient trop concentrer pour l'avoir vu et senti montrer le long de sa jambe jusqu'a son bras.

Une fois la surprise passé, elle s'était débarasser de l'arraignée et s'était éloigner de Riese, ainsi, chancune de leur cotés, elles avaient un meilleur angle de tir. Les deux femmes continuèrent d'avancer encore un peu..puis encore quelque pas..encore un aure.voila!

L'ours n'était qu'a quelque deux ou trois lieux devant elles. Les archères se regardèrent, d'un regarda entendu elles décidèrent de ne prendre aucunne chance, elles ne devaient pas le raté. Lentement elles encochèrent chacune une flèche bien coupante. Avec un sourire amuser, Mieli mumura quelque chose a Riese qui la regardait également. Bien qu'aucun son ne se fesant entendre, Riese semblait comprendre, elle lisait sur les lèvres de la jeune femme :

Attention a ne pas trop l'abîmer hen, on en fera un tapis^^
Ha oui, il parait aussi que la viande d'ours c'est délicieux

Sourire complice et déja elles avaient repris leur sérieux, fixant le tapis de fourrure noire devant elles. Les deux femmes prirent la bonne posture, celle qu'elles avait appris sur le terrain, cependant, étant donner que la forêt était bien différente du terrain d'entrainement, elles avait un peu modifier la position pour être un peu plus confortable et évité de se blesser inutilement. Retenant leur souffle, elles restèrent immobile un bon moment, puis suite a la réponde muette de Mieli a sa question silencieuse, Riese avair rammaser une petite roche qui servirait a distraire l'ours pour qu'il soit plus exposé aux flèches. Mieli, camouffler par un grand buisson était prête a laisser sa flèche atteindre mortellement la bête.

Riese passa alors à l'action, elle lanca la roche le plus loin qu'elle pus, le plus fort aussi et repris rapidement son arc pour encocher une flèche a nouveau.

Maintenant! Cria-t-elle a Mieli alors que l'ours, furieux d'avoir été heurter par la pierre, s'est levé sur ses deux pattes arrières en grognant, les pattes avant bien écartées. Sans perdre une seule seconde, Mieli lacha la corde de son arc qui vibra, la flèche siffla fendant furieusement l'air pour ensuite, avec un son peu ragoutant, se ficher juste entre le cou et l'épaule. Riese ne perdi pas de temps pour en faire autant, l'ours semblait vouloir se rapprocher d'elles et les dévorées. Flèche encocher, elle banda son arc et laissa a son tour son projectile frapper l'ours de plein fouet, la flèche venait de perforer un rein. Refusant de laisser l'animal souffrir, elles encochèrent chacune une autre flèche qui eurent tot fait d'abattre la bête, effondrer sur le sol.

Prudement, elles allèrent vérifier qu'il était bel et bien mort. Puis la question au fait de savoir comment le ramener maintenant, fut très vite élucidé. Avec leurs épées courte, la corde qu'elles avait enmener dans leur paquetage et toute la volonter du monde, elles avaient construit une plateforme assez solide pour trainer l'ours. Elle glissèrent la luge sous l'ours et le ficellèrent solidement. Prenant chacune une bout de corde, elle tirèrent de toute leur force. Puis le cor de chasse sonna, elles furent soulagée d'un coté, mais d'un autre, elles avaient déja hâte à la prochaine chasse.

Les deux jeunes femmes sortirent donc du bois avec leur proie, fesant attention ou elles mettaient les pieds.

apo et Xaven partirent, avec les sangliers sur le dos, comme dans l'histoire des deux gaulois, sauf que apo et Xaven ressemblaient plus au petit plutot qu'au gros.
ils marchaient rapidement, ayant encore les peaux de lapin sur le dos, ils marcherent longtemps, faisant demi tour parfois, et arrivèrent finalement au chateau, sales et puants, avec leurs sangliers sur le dos et leurs peaux de lapin sur les épaules pour avoir plus chaud. ils effrayèrent quelques nobles qui passaient par la, et arriverent devant l'aspirant spyke.
Bonjour, salut

je crois qu'on est un peu en retard?

Silencieusement, les jeunes femmes reprirent le chemin du retour... Peu à peu la nuit tomba... Mais le clair de lune leur permit de continuer à avancer...
Elles avaient hâte de retrouver les autres archers et d'en finir avec cette chasse...

Les deux archères gagnèrent enfin le chemin qui longeait le Bois Perdu d'un côté et la Vicieuse de l'autre...
Toute la nuit elles marchèrent accompagnées par le doux chant de la rivière et les bruits plus mystérieux des animaux nocturnes....

Le jour se levait lorsqu'elles arrivèrent au pont du noyer où les attendaient l'Aspirant Maître d'Armes Spikelilou.
Dina et 101112 se mirent au garde à vous et saluèrent dans les règles la militaire, puis Apo.

Soudain Dina eut une pensée pour le lynx laissé derrière elles dans la grotte où elles avaient dormi... Et surtout du fait qu'elles avaient complètement ignoré la notion de temps durant cette épreuve... Elles etaient effroyablement en retard !...

La nuit était tombée, accompagnée de nouvelles averses, lorsque nos deux compères, portant
leur butin sur le dos, arrivèrent enfin à la caserne, et pas comme l'auraient été les deux gaulois
de l'histoire, tout frais et rieurs, mais essoufflés et en sueur. Spikelilou les attendaient depuis
bonne lurette et le groupe orange arriva presque en même temps qu'eux. Xaven fit glisser le
sanglier par dessus l'épaule et, le tenant encore à peine, le laissa tomber devant lui. Il se mit
au garde-à-vous et dit d'une façon saccadée, reprenant encore son souffle en se tournant
d'abord vers Spike, puis vers Dina et finalement vers l'archère 101112v.

Aspirante salut

... Aspirante salut

... Soldat salut

.

Il décrocha ensuite sa gourde et avala le reste d'eau qu'elle contenait. Ensuite il enleva son
bandeau olive, en se disant que s'il avait su qu'il fallait le porter de cette manière et pas comme
à la chasse précédente, il aurait plutôt choisi le rouge foncé. Bien qu'olive n'était pas trop moche
non plus.

Après plusieurs heures de labeur a trainer leur ours sur l'espèce de luge qu'elles avaient construit pour parvenir a ramener leur proie. Ce ne fut pas très facile, la terre boueuse par endroit rendait difficile leur tâche déja ardue, les deux jeunes achères, épuisées, commencèrent a appercevoir au loin le pont ou les attendait les Aspirantes et quelque archers qu'elles ne purent identifier que par la couleur de que leur groupe avait chosit.

Ceci redonna un peu d'énergie aux demoiselles qui redoublèrent d'effort, l'odée aussi d'abbattre un ours, non mais, elles n'aurait pas pu faire comme tout le monde et chasser des lapins,des cerfs.. ben non, fallait que ce soir un ours noir pfff!

Elle se raprochèrent aussi vite que leur permettait encore leur muscle fatigués par tout cet effort, cependant, elles n'abandonneraient pas là le fruit de leur chasse, leur principe bien encrés en elles, rien ne les aurais arrêter : une volonté de fer et une persévérance sans faille.

Dès qu'elles eurent rejoind les autres, Mieli ne pu s'empêcher de sourire, s'attendant déja a la surprise que suciterais sans doute la proie qu'elle et Riese avait si longtemps traqué dans les bois. Les deux femme saluèrent les aspirantes d'une même voix.

salut

Navrées du retard Aspirantes, il est un peu difficile de trainer une telle bestiole dans les bois

Elles s'écartèrent alors un peu pour montrer l'ours qu'elles avait abattu.

101112 était très pâle en arrivant au matin au pont. Elle remarqua à peine l'Aspirant Maître d'Armes Spikelilou. Quand 101112 vit que Dina se mettaient au garde à vous, elle l'imita aussitôt.

101112 repensa aux émotions de la semaine et se rappela qu'elle avait eu la nausée avec le lynx. Elle chercha du regard la viande salée, mais ne la vit pas. Elle chuchota à Dina : "Es-ce toi qui a la viande?"
Comme Dina devint bien sombre, 101112 devina que la viande avait été oubliée par les deux archères. Avant que 101112 ne se remette à parler les oiseaux s'envolèrent, les insectes devenaient de plus en plus bruyant et les écureuils avaient l'air menaçant - où se faisait-elle des idées pour les écureuils; elle leur avaient toujours trouvés un air de tueur sanguinaire. Elle finit par demander à Dina : "Devrons-nous aller la chercher?"

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