[Bourgogne] prise de contact et TRAITÉ D'AMITIÉ

Je ne repondrais pas à tout ce que vous avez dit avant, nous n'avons pas la même opinion sur le sujet de toute façon.

sauf sur ce point, votre réponse à mon collegue le vicomte kalvin

Citation :

Non, cette amitié aristotélicienne vous demandait d'aider vos frères en religion qui étaient sous le joug d'armées hérétiques. merci d'appeler les choses par leur nom.

Aider nos frères en religion ? on nous a sommé de donner des agréments à des armées mettant le calme de la FC à mal et à la merci  des troupes royales, nous engageant dans une guerre des nerfs sans avoir consultés le peuple franc comtois, nous avons vus nos marchés pillés sans vergogne, à aucun moment l'eglise ne s'est posé la question du devenir de nos paysans qui avaient peine à se nourrir.

Citation :

Et "Pour info" le nouveau conseil est dirigé Par Azzar, qui est sous le coup d'une enquête royale pour le vol du trésor du Berry. Une fois encore, puis-je suggérer qu'on attende au moins la fin de l'enquête royale pour savoir de quoi il retourne de cette histoire?

Alors là permettez que je m'amuse,le berry qui a été pillé ? et bien ils n'ont que le revers de la médaille, quid du berry qui il  y a trois semaines a laissé des armées battant pavillon berrichon rallier les lions de juda, fatums alors à geneve, berry avec leur etendard qui a cautionné la prise de plusieurs villes de savoie. quid du berry qui a pris la ville de tonnerre il  y a quelques mois avec la cie des renards

Juste retour des choses.

Et nous n'avons pas a rentrer dans ce genre de consideration, qu'ils se débrouillent avec la bourgogne cela n'a rien  à voir avec le traité en question.

Citation :

on nous a sommé de donner des agréments à des armées mettant le calme de la FC à mal et à la merci des troupes royales

-Quelle est la devise de la Franche-Comté déjà? "Comtois rend toi! Nenni ma foi" Nenni sauf...quand le calme est mis à mal, là il ne faut surtout rien faire qui puisse suggérer le début de commencement d'idée d'entraide Aristotélicienne qui implique de porter secours a des alliés car je vous signale que le gouvernement auquel j'appartenais était le gouvernement légitime, au delà de toute question religieuse . j'ironise mais bon... avouez que ça fait sourire. Remarquez il est bon de savoir qu'on ne peut compter sur personne, au moins les choses sont claires.

Bref, inutile de revenir plus avant sur les événements du passé en cette matière, ce qui a été fait est fait.

Citation :

Alors là permettez que je m'amuse,le berry qui a été pillé ? et bien ils n'ont que le revers de la médaille, quid du berry qui il y a trois semaines a laissé des armées battant pavillon berrichon rallier les lions de juda, fatums alors à geneve, berry avec leur etendard qui a cautionné la prise de plusieurs villes de savoie. quid du berry qui a pris la ville de tonnerre il y a quelques mois avec la cie des renards

-Donc, on a le droit de voler les voleurs? De violer les violeurs? d'assassiner les assassins? Vous avez une conception de la morale pour le moins singulière car je vous signale que là il ne s'agit pas de la Bourgogne qui va se rembourser du pillage de Tonnerre, mais d'un homme qui vole 40 000 écus pour sa pomme. C'est peut être bien fait, n'empêche que c'est un vol. Et voler c'est mal, vos parents ont du vous l'apprendre, j'en suis certain.

Citation :

Alors l'église change sa façon de faire selon ses représentants.

J'ai ratifié l'an passé un traité qui plus tard fut dénoncé ... Et ou l'église affirmait très clairement que son rôle n'était pas d'intervenir dans le temporel. Une croisade, c'est un rassemblement militaro religieux pour combattre l'ennemi du très haut, pas pour combattre l'ennemi d'un Roy ou d'un Duché.

-L'Eglise peut intervenir "ratione peccati" c'est à dire "en raison du péché" comme elle fit pour l'hérésiarque Eusaias de Blanc-Combaz, car elle a estimé que le salut des gens de France sous le joug de ce tyran était en jeux. Ce n'est pas le cas pour ce traité, je n'entends rien imposer ni déclarer publiquement ma réprobation.

J'ai juste fais une mise en garde pour la simple et bonne raison que je pense que ce traité ne sera qu'un cache sexe pour la Bourgogne afin de vous entuber. Je fais le pari que c'est une nouvelle Genève d'ici six mois, et que quand les brigands iront loger là-bas parce que se sera devenu une terre de non droit, vous ferez une autre tête.

Il n'est pas question ici de Foi, je ne cesse de le répéter mais j'ai l'impression que certains veulent entendre ce qui les arrange.

Non, on entend bien vos remarques, et on ne le néglige pas...mais disons que l'apport diplomatique apporté ne correspondt pas forcément avec nos idées...

En contre partie si ce que vous dites est objectif et si vous êtes devin, l'adage populaire ne dit il pas "soit proche de tes amis et plus proches encore de tes ennemis".

Un tel traiter nous offres cette possibilité...

Pour le reste, ca dépendra de l'évolution des deux provinces, mais tout peut être préparer en prévention de...

Ce sera visiblement au prochain conseil de prendre la décision.

A-t'on un retour de la chancellerie de Bourgonne ?

Non tout semble mort à la Chancellerie . Le chambellan n'y a pas été vu depuis le 11 septembre.

Décidement, ils se donnent le mot, votre Grandeur, ne serait il pas interessant de relancer le Duc de Bourgonne sur la question ?

Normal c'est un peu brouillon chez eux

Le duc elu vient de demissionner suite au refus de son allegeance par le roy de france et donc nouvelle election

la nouvelle duchesse est Effelissianor

Texte présenté au Parlement

Citation :

TRAITE D'AMITIE entre le Duché de Bourgogne et la Franche-Comté

Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues. Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.
Livre des Vertus, l'Exode.

Dans leur grande sagesse, les Régnants de Bourgo gne et de Franche-Comté ont souhaité mettre par écrit l’amitié qui lie les peuples de Franche-Comté et de Bourgogne, afin que celle-ci perdure pour les générations à venir.

Préambule :

Le présent traité amende et remplace le traité d'amitié entre la Bourgogne et la Franche-Comté, signé le 23 mars 1455, par Astérius et Lluna, respectivement Duc de Bourgogne et Franc-Comtesse ainsi que le traité d'amitié signé le 29 juillet 1459, par Armoria de Mortain et Lara von Dumb, respectivement Duchesse de Bourgogne et Franc-Comtesse.


Article I - De l'amitié sincère et de la paix

Les Régnants, au nom de leurs peuples, provinces, héritiers, successeurs et vassaux, s’offrent mutuellement une paix et une amitié sincère et durable et mettront tout en œuvre pour que les parties contractantes s’assurent que la dite amitié soit maintenue.

Il sera évité, de part et d’autre, tout ce qui pourra altérer cette amitié, tout soutien direct ou indirect à ceux qui en voudraient à une des deux parties contractantes.


Article II - De l'entente commerciale

Les parties contractantes s’engagent à favoriser toute entente commerciale entre elles selon l'étendue de leur pouvoir.
En cas de crise économique majeure dans l'une des provinces contractantes, les partenaires s'engagent à l'aider et ce, dans la mesure de leurs moyens.
En partenaires civilisées, elles s'engagent à punir toute déstabilisation économique envers l'une ou l'autre, dont les auteurs comptent parmi leurs citoyens.

Des accords commerciaux pourront être conclus, au cas par cas, entre les provinces signataires.


Article III - Des échanges culturels, de la religion et de la science

Les provinces signataires favoriseront les échanges culturels et festifs entre eux. Ils seront à l'initiative de projets en ce sens, et soutiendront également les volontés municipales dans cette optique.
Des jumelages entre villes pourront être organisés pour renforcer les liens entre cités des provinces signataires.
En accord avec l'Eglise, il ne sera fait nul obstacle aux pèlerinages ou autre(s) procession(s) religieuse(s) qui pourront être menés par des autorités compétentes.
Seront également étudiées des possibilités d'échanges universitaires privilégiées par coopération poussée entre recteurs des parties contractantes.


Article IV - Du principe de non-agression

Les provinces signataires s'engagent réciproquement à ne mener aucune action militaire, ou agression l'une envers l'autre. Elles garantissent mutuellement l'inviolabilité de leurs frontières existantes.
Les provinces signataires s'engagent à considérer leurs armées comme amies et à ne pas pénétrer sur leur territoire réciproque sans accord préalable.

Il appartiendra aux Conseils des provinces concernées de juger de leur degré d'engagement dans le cas d'une demande d'assistance. Cette entente ne créant aucune obligation de défense mutuelle.


Article V - De la procédure

Les Régnants ainsi que leurs héritiers et successeurs s’engagent à respecter les articles de ce traité. Tout manquement à une clause par l’une des deux parties libère l’autre de ses engagements.

Par consentement mutuel, la réécriture du traité dans son intégralité ou partiellement, voire son annulation, peut être décidée.

La province signataire souhaitant mettre fin au présent traité devra faire parvenir une lettre officielle à son homologue signataire. Ce dernier dispose d'une semaine pour en prendre acte. Sans réponse officielle le mentionnant, le présent traité est réputé nul passé ce délai. Les provinces signataires s’engagent à publier de façon officielle une lettre spécifiant la rupture du contrat.


Le présent acte prendra valeur effective dès les signatures et les sceaux validant le dit acte seront apposés.
Car il en est ainsi de notre honneur et de notre volonté, et heureusement.


Ratifié le (...)  1461,
A la Basilique Saint André.

Pour la Bourgogne,

Sa Grâce Effelissianor de Vosne-Romanée
Duchesse de Bourgogne.


Son Excellence Cuche de Fronsac,
Chambellan de Bourgogne

Pour la Franche Comté,

Sa grandeur Riese
Franc Comtesse.


Son Excellence Verania von Dumb,
Chancelière de Franche-Comté

Citation :

TRAITE D'AMITIE entre le Duché de Bourgogne et la Franche-Comté



Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues. Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.
Livre des Vertus, l'Exode.




Dans leur grande sagesse, les Régnants de Bourgo gne et de Franche-Comté ont souhaité mettre par écrit l’amitié qui lie les peuples de Franche-Comté et de Bourgogne, afin que celle-ci perdure pour les générations à venir.

Préambule :

Le présent traité amende et remplace le traité d'amitié entre la Bourgogne et la Franche-Comté, signé le 23 mars 1455, par Astérius et Lluna, respectivement Duc de Bourgogne et Franc-Comtesse ainsi que le traité d'amitié signé le 29 juillet 1459, par Armoria de Mortain et Lara von Dumb, respectivement Duchesse de Bourgogne et Franc-Comtesse.


Article I - De l'amitié sincère et de la paix

Les Régnants, au nom de leurs peuples, provinces, héritiers, successeurs et vassaux, s’offrent mutuellement une paix et une amitié sincère et durable et mettront tout en œuvre pour que les parties contractantes s’assurent que la dite amitié soit maintenue.

Il sera évité, de part et d’autre, tout ce qui pourra altérer cette amitié, tout soutien direct ou indirect à ceux qui en voudraient à une des deux parties contractantes.


Article II - De l'entente commerciale

Les parties contractantes s’engagent à favoriser toute entente commerciale entre elles selon l'étendue de leur pouvoir.
*** En cas de crise économique majeure dans l'une des provinces contractantes, les partenaires s'engagent à l'aider et ce, dans la mesure de leurs moyens.
En partenaires civilisées, elles s'engagent à punir toute déstabilisation économique envers l'une ou l'autre, dont les auteurs comptent parmi leurs citoyens.

Des accords commerciaux pourront être conclus, au cas par cas, entre les provinces signataires.

***Si on à pas les moyens du tout on peut dire non? Puisqu'il est écrit qu'on s'engagent à aider quand-même?

Article III - Des échanges culturels, de la religion et de la science

Les provinces signataires favoriseront les échanges culturels et festifs entre eux. Ils seront à l'initiative de projets en ce sens, et soutiendront également les volontés municipales dans cette optique.
**Des jumelages entre villes pourront être organisés pour renforcer les liens entre cités des provinces signataires.
En accord avec l'Eglise, il ne sera fait nul obstacle aux pèlerinages ou autre(s) procession(s) religieuse(s) qui pourront être menés par des autorités compétentes.
Seront également étudiées des possibilités d'échanges universitaires privilégiées par coopération poussée entre recteurs des parties contractantes.

Nous n'avons pas à prendre position pour l'église et c'est déjà dans un accord puisque la phrase commence par : En accord avec l'Église.

**Jumelage de ville je met un bémol elle doit être fait en partie avec l'accord du parlement Franc-Comtois et ne pas mettre en péril la Franche-Comté. Je dis cela, car je me rappelle pendant la crise. La mairie de Poligny préférait aider certaines ville en Bourgogne au détriment de la Franche-Comté et de ses propres habitants et même de l'Empire. J'ai pas envie de revoir se genre de situation.

Article IV - Du principe de non-agression

Les provinces signataires s'engagent réciproquement à ne mener aucune action militaire, ou agression l'une envers l'autre. Elles garantissent mutuellement l'inviolabilité de leurs frontières existantes.
Les provinces signataires s'engagent à considérer leurs armées comme amies et à ne pas pénétrer sur leur territoire réciproque sans accord préalable.

Il appartiendra aux Conseils des provinces concernées de juger de leur degré d'engagement dans le cas d'une demande d'assistance. Cette entente ne créant aucune obligation de défense mutuelle.


Article V - De la procédure

Les Régnants ainsi que leurs héritiers et successeurs s’engagent à respecter les articles de ce traité. Tout manquement à une clause par l’une des deux parties libère l’autre de ses engagements.

Par consentement mutuel, la réécriture du traité dans son intégralité ou partiellement, voire son annulation, peut être décidée.

La province signataire souhaitant mettre fin au présent traité devra faire parvenir une lettre officielle à son homologue signataire. Ce dernier dispose d'une semaine pour en prendre acte. Sans réponse officielle le mentionnant, le présent traité est réputé nul passé ce délai. Les provinces signataires s’engagent à publier de façon officielle une lettre spécifiant la rupture du contrat.


Le présent acte prendra valeur effective dès les signatures et les sceaux validant le dit acte seront apposés.
Car il en est ainsi de notre honneur et de notre volonté, et heureusement.


Ratifié le (...)  1461,
A la Basilique Saint André.

Pour la Bourgogne,

Sa Grâce Effelissianor de Vosne-Romanée
Duchesse de Bourgogne.


Son Excellence Cuche de Fronsac,
Chambellan de Bourgogne

Pour la Franche Comté,

Sa grandeur Riese
Franc Comtesse.


Son Excellence Verania von Dumb,
Chancelière de Franche-Comté

Sinon le reste ça me va. Gênez vous pas pour me dire si je fais fausse route.

Citation :

En accord avec l'Eglise, il ne sera fait nul obstacle aux pèlerinages ou autre(s) procession(s) religieuse(s) qui pourront être menés par des autorités compétentes.

Je peux savoir ce qui vous dérange lâ-dedans ? Il ne s'agit pourtant pas d'armées.

Pour moi j'approuve ce traité... Il aura fallu 4 mois pour y parvenir depuis mon règne mais on y est

le texte me semble bien écrit et il n'y a pas de restriction sur le texte.

je ne veux plus revoir les problèmes comto-bourguignons que nous avons connu à cause d'une croisade.

L'amitié avec la Bourgogne est primordiale

Comme je l'ai déjà dis, j'ai émis mes avis sur le premier texte, ceux-ci ont été corrigés, j'approuve le texte présenté...d'où mon silence...

Mousseline le fera. Elle a été élue

Mis au vote ce jour

Merci Mouss! Il était temps.

Citation :

TRAITE D'AMITIE entre le Duché de Bourgogne et la Franche-Comté

Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues. Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.
Livre des Vertus, l'Exode.

Dans leur grande sagesse, les Régnants de Bourgo gne et de Franche-Comté ont souhaité mettre par écrit l’amitié qui lie les peuples de Franche-Comté et de Bourgogne, afin que celle-ci perdure pour les générations à venir.

Préambule :

Le présent traité amende et remplace le traité d'amitié entre la Bourgogne et la Franche-Comté, signé le 23 mars 1455, par Astérius et Lluna, respectivement Duc de Bourgogne et Franc-Comtesse ainsi que le traité d'amitié signé le 29 juillet 1459, par Armoria de Mortain et Lara von Dumb, respectivement Duchesse de Bourgogne et Franc-Comtesse.


Article I - De l'amitié sincère et de la paix

Les Régnants, au nom de leurs peuples, provinces, héritiers, successeurs et vassaux, s’offrent mutuellement une paix et une amitié sincère et durable et mettront tout en œuvre pour que les parties contractantes s’assurent que la dite amitié soit maintenue.

Il sera évité, de part et d’autre, tout ce qui pourra altérer cette amitié, tout soutien direct ou indirect à ceux qui en voudraient à une des deux parties contractantes.


Article II - De l'entente commerciale

Les parties contractantes s’engagent à favoriser toute entente commerciale entre elles selon l'étendue de leur pouvoir.
En cas de crise économique majeure dans l'une des provinces contractantes, les partenaires s'engagent à l'aider et ce, dans la mesure de leurs moyens.
En partenaires civilisées, elles s'engagent à punir toute déstabilisation économique envers l'une ou l'autre, dont les auteurs comptent parmi leurs citoyens.

Des accords commerciaux pourront être conclus, au cas par cas, entre les provinces signataires.


Article III - Des échanges culturels, de la religion et de la science

Les provinces signataires favoriseront les échanges culturels et festifs entre eux. Ils seront à l'initiative de projets en ce sens, et soutiendront également les volontés municipales dans cette optique.
Des jumelages entre villes pourront être organisés pour renforcer les liens entre cités des provinces signataires.
En accord avec l'Eglise, il ne sera fait nul obstacle aux pèlerinages ou autre(s) procession(s) religieuse(s) qui pourront être menés par des autorités compétentes.
Seront également étudiées des possibilités d'échanges universitaires privilégiées par coopération poussée entre recteurs des parties contractantes.


Article IV - Du principe de non-agression

Les provinces signataires s'engagent réciproquement à ne mener aucune action militaire, ou agression l'une envers l'autre. Elles garantissent mutuellement l'inviolabilité de leurs frontières existantes.
Les provinces signataires s'engagent à considérer leurs armées comme amies et à ne pas pénétrer sur leur territoire réciproque sans accord préalable.

Il appartiendra aux Conseils des provinces concernées de juger de leur degré d'engagement dans le cas d'une demande d'assistance. Cette entente ne créant aucune obligation de défense mutuelle.


Article V - De la procédure

Les Régnants ainsi que leurs héritiers et successeurs s’engagent à respecter les articles de ce traité. Tout manquement à une clause par l’une des deux parties libère l’autre de ses engagements.

Par consentement mutuel, la réécriture du traité dans son intégralité ou partiellement, voire son annulation, peut être décidée.

La province signataire souhaitant mettre fin au présent traité devra faire parvenir une lettre officielle à son homologue signataire. Ce dernier dispose d'une semaine pour en prendre acte. Sans réponse officielle le mentionnant, le présent traité est réputé nul passé ce délai. Les provinces signataires s’engagent à publier de façon officielle une lettre spécifiant la rupture du contrat.


Le présent acte prendra valeur effective dès les signatures et les sceaux validant le dit acte seront apposés.
Car il en est ainsi de notre honneur et de notre volonté, et heureusement.


Ratifié le 6 décembre 1461,
A la Basilique Saint André.

Pour la Bourgogne,

Sa Grâce Effelissianor de Vosne-Romanée
Duchesse de Bourgogne.


Son Excellence Cuche de Fronsac,
Chambellan de Bourgogne

Pour la Franche Comté,

Sa grandeur Alexandrine de Réaumont-Kado'ch dite Mousseline
Franc Comtesse.




Son Excellence Verania von Dumb,
Chancelière de Franche-Comté

Vera si tu peux sceller?

13 votant... 13 pour c'est déja pas mal

c'est un sceau vert pour les traités ma chère et tendre

L'art de vouloir aller trop vite.

Merci de m'avoir corrigé

(edit sur le traité plus haut pour changement de sceau)

j'annoncerai le traité et le publierai a qui veut le lire dans la soirée.

Faut attendre la signature de nos homologues pour que le tout soit conforme

d'accord, j'attends alors!



Par contre, une question par rapport a ce traité qui me vient que maintenant et qui ne remet pas en cause le dit traité.
c'est juste pour savoir...

On avait pas déja un traité avec la Bourgogne? genre coopé ou alliance??
il m'avait semblé, mais je n'en trouve pas trace...

Il avait été surement dénoncé...

hummmmm

il avait été dénoncé dans le cadre d'une nouvelle politique diplomatique de la Bourgogne... En tant que premier allié des bourguignons, j'avais accepté cette optique par amitié pour eux

Quand cela avait été, il avait été clairement stipulé que la dénonciation des traités n'impliquait pas la fin de nos coopérations à tous les niveaux.

Excepté l'épisode sous Confucius, les relations ont toujours été bonnes avec la Bourgogne

Néanmoins quand je suis devenu franc comte, je me suis rendu compte que les papiers étaient toujours mieux que les belles paroles, raisons pour laquelle j'avais demandé à Verania de tout faire pour avoir de nouveau un traité

nous l'avons et j'en suis heureux!

maiissssss tu es partout Imla!!!

j'attends toujours pour le publier ... hein...


il manque un sceau non?

il en manque 3

je suis pas pret de l'annoncer celui la...

il manque la chancelière et les sceaux bourguignons.


Vera tu sais ou s'en en est?

Je transmets à mon homologue bourguignon.

ils se sont endormi sur le traité les bourguignons ou bien???

il leur faut Deux semaine aux gars pour coller de la cire et leur bagouse???

Faut croire...

Ca nous a bien pris plus de temps que ca a nous...   

Je ne sais pas. Le chancelier n'a pas l'air trop présent. Pourtant je lui ai envoyé un pigeon (ig) ...

Mousseline a écrit:

Ca nous a bien pris plus de temps que ca a nous...    

ouai, mais nous sommes une bonne de pimpim nous...
j'aurais cru que la Bourgogne était mieux que ça!   

Dans l'attente de la bourgogne