[Archive]Bureau du Capitaine Bobyzz

Convié dans le bureau du Capitaine depuis un petit moment déjà, le Vétéran avait écouté le Capitaine avec attention.
Il savait qu'il avait dépassé les bornes dans le bureau de recrutement, faut le reconnaitre mais peut-être y avait-il une
explication; une explication qui ne sera pas approuvée par tout le monde certes mais qu'importe, seul l'avis du Capitaine
compte et décidera de son sort. Le Sergent-Chef et Aumônier GreenWarrior prit la parole en premier, ce qui n'était pas
une si mauvaise idée pour commencer à parler de la situation en bons termes et surtout sur la bonne tonalité. Quand il
eut terminé, Aslan s'éclairci la voix pour capter l'attention des autres officiers.

Capitaine,
...
Vous n'êtes pas sans ignorer que j'ai un problème avec le Lieutenant Spikelilou dans notre armée, je donne des noms
avant que vous ne le demandiez. Vous m'avez cotoyé dans l'armée par le passé sans pour autant être bien informé
du genre de relations que j'entreprenais avec cet officier. Vous connaissez sans doute son dossier, et ce que j'ai remarqué
en revenant ici, tout juste réengagé, c'est qu'elle n'avait pas changé.

Quand je suis intervenu dans le bureau de recrutement ce n'était pas pour chercher les ennuis mais bien pour rappeler que la
discussion qu'avait cet officier avec votre Aide de Camp n'était pas publique mais d'ordre privé. A sa première remarque
je n'ai pas tout de suite souhaité envenimé la situation, ce n'est qu'à l'arrivée de ce civil/gendarme avec la langue bien
pendue que j'ai réagi.

Ce qui m'a abattu et rendu fou de rage, c'est de voir toujours ce même officier nuir à ses propres hommes, en l'occurence
moi en me collant une punition devant des civils au lieu de me reprendre en privé. J'ai de suite mesuré combien elle n'a pas
pu digérer nos altercations qui lui sont manifestement restées au travers de la gorge ... n'étant désormais plus son égal, elle
me sabre.

Mais qu'ensuite elle reprenne le Lieutenant Aide de Camp Silver_Ghost ici présent pour connaitre la raison exact du refus
d'engager une personne en particulier dans l'armée, ET qu'elle se permette, voire qu'elle insiste même auprès de vous pour
connaitre la raison de ce refus?? j'ai explosé. Spikelilou ne connait pas non plus les limites de son titre d'officier, nullement
mérité mais cette remarque n'est pas à débattre, acceptez là. Toujours avec son ego démesuré, elle me fait de la peine mais
depuis le temps que ça dur, ça me tappe sur le système. Je parle en toute connaissance de cause pour avoir été officier de l'armée
Franc-Comtoise.

Capitaine,
Ce sera tout.

Il se retira d'un pas pour laisser la parole aux autres officiers.

Quand Princess eut la permission de prendre la parole, elle
s’avança calmement et regarda tous le monde et en faisant un signe négatif de
la tête, en disant..

Cette armée est en train de ce casser la gueule, et excusez
moi du terme mais je pense pas me tromper..

Je ne sais depuis quand, mais je vois tous partir en vrille,
depuis un moment les démissions qui s’enchaînent les unes après les autres, et
les petites gué guerres entres tous.

Et l’état major qui se tire dans les pattes, à fond de
querelles intestines, pour savoir à qui revient la palme de diriger cette
armée.

Cela va faire bientôt 2 ans que je suis là, et depuis je
dois dire que j’en perds mon latin, avec des ordres et des contres ordres on
arrive à rien.

Si déjà les dirigeants ne peuvent pas se mettre d’accord sur
le fond, je pense que cela ne sert à riens de continuer à avancer.

Je ne suis pas là pour dire quoi faire, car ce n’est pas mon
rôle, ni mon grade, mais si tous le monde pouvait déjà se parler sans se
bouffer le nez à chaque fois, on avancerait plus vite.

Et même ceux qui veulent avancer on leurs met des bâtons
dans les roue en ne les écoutant pas, et si par un heureux hasard, leurs idées
plaisent, et bien on les met un moment en attentes pour s’en glorifier tous le
médite, je trouve cela honteux.

Et maintenant en ce qui concerne la prise de bec, dans le
bureau plus tôt, j’ai juste une chose a dire.

si on ne veux plus d’une personne en tant que soldat, car
cette dite personne c’est laissée manipulé par d’autres, alors que nous avons
besoins de soldats, laisser donc vos préjuges de côté et prenez donc ces états
de services en comptes, et non ce qui c’est passé avant, car comme remerciement
pour tous les services rendus, je trouve lourd le chapeau que cette personne
porte..

ne vous a-t-elle pas rendu service, cet été, ne vous
a-t-elle pas demander de l’aides, et quand elle a entendu qu’une personne
préférait ces vache a elle, la je pense que moi aussi je n’aurait pas gardé mon
sang froid..

et bon dieu, Messieurs Dames, revenez sur terre, nous ne
somme pas des recrues, que diantre..

Et regarder donc encore une fois la valeur d’armes d’une
personne même si vous ne la porter pas dans votre cœur. Comme cela on ne
pourras plus parler de copinage..

Mais de réel bon travail dans l’armée.

Le sénéchal avait bien reçu la missive du capitaine. Soupirant, il avait jeté la pièce de papier à la table de sa petite chambre de Dole. Se déplaçant lentement vers l’ouverture donnant sur la cour, il avait terminé son verre et avait passé une chemise propre. Glissant la main au visage, le capitaine pourrait comprendre la barbe. Passant un lien de cuir neuf à ses cheveux, il se saisit de sa lourde veste, replaça ses médailles et passa sa spathe d’apparat.
Tirant la porte derrière lui, il remonta le col de sa veste et emprunta l’escalier et la suite de corridors conduisant au bureau du capitaine. Aux murmures, il souleva un sourcil. Que se passait-il dans ce bureau ? De nombreuses voix… Ralentissant le pas, il glissa le pouce à son ceinturon et pointa la tête à la porte. Redressant le dos, il fut surpris de voir tant de militaires. Il faisait quoi le capitaine ? Arfff…Spike ? Aslan et Silver ? Oh...mais ? Deneuch !? Faisant le pas devant la porte, il bomba un peu le torse en saluant.

Capitaine ! Blaireau, Sénéchal ! Mes respects ! Vous…vous m’avez fait demandé compagnon ? Préférez-vous que j’attende que vous soyez disposé à m’y recevoir ?

Hochant à peine la tête aux soldats et officiers présents en scrutant la pièce des yeux, l’artilleur serra la mâchoire en relevant le menton, rapprocha les talons et passa les mains au dos. Qu'est-ce qu'on lui voulait dans cette histoire ?

La lieutenante Spike, à la voix du capitaine qui donnait ordre que le Lieutenant Aide de Camp Silver_ghost, le Sergent Greenwarrior et elle-même entrent, se redressa du mur et les suivit . Tous les trois passèrent calmement le portique et s'avancèrent jusqu'à la table, sans un mot, attendant que leur supérieur s'adresse à eux.
La maître d'armes vit Dina debout non loin de Princessdeneuch et Djvier qui y étaient déjà et leur adressa un regard un peu appuyé.
Le capitaine ferma la porte derrière eux et rejoignit son bureau.

Elle fit petit hochement de la tête et salut militaire au capitaine et relachant doucement, fit un pas en arrière pour laisser le sergent-chef prendre la parole et s'expliquer. Passant ses mains au dos elle écouta sa version.
Elle allait parler à sa suite....

Capitaine, je...

... quand d'un coup à sa grande stupeur elle vit le soldat Seigneuraslan se précipiter et pénétrer dans le bureau et se mettre à parler sans avoir eu ni l'ordre d'entrer, ni l'ordre de s'exprimer....

Interloquée... elle en referma la bouche doucement... le laissant débaler encore... et continuer à faire hors des règles.

Mais le temps qu'elle recule pour laisser de la place, l'aspirante Princess qui elle était déjà là... reprit à la suite du soldat.
Effarée de ce qui se passait, elle resta un moment bloquée sur place ne sachant plus quoi faire... mais recula encore à l'entrée du sénéchal auquel elle fit hochement de la tête et léger salut militaire...

Le Capitaine s'était avancé sur son fauteuil, le Sénéchal Zephirin venait tout juste d'arriver.

Entrez Sénéchal, pour que vous puissiez vous aussi assister à cette petite mise au point qui, je l'espère sera la dernière.

Il avait posé ses coudes sur le bureau. Il attendit que ceux qui voulaient parler l'ai fait avant de se lever. D'une voix calme, mais trahissant toujours cette exaspération extrême il parla.

Je vais vous dire que j'ai été plus qu'extrêmement déçu par votre attitude à tous mais en particulier pour certains d'entre vous.
Il regarda le Lieutenant Spikelilou et reprit. Lieutenant, vous n'aviez en aucune manière le droit de remettre en cause la décision du Capitaine dans un autre endroit que votre bureau ou l'Etat-Major ! Vous n'aviez pas à agir ainsi, que ce soit bien clair pour vous !
Il passa devant le soldat Aslan. Décidément un ancien qui avait lui aussi largement perdu son calme. Quand à vous soldat Seigneuraslan ... Vous allez immédiatement faire des excuses au Lieutenant Spikelilou ici présente. En plus de ça, je vais confirmer la demande de punition qu'elle a faite pour insubordination envers un supérieur hiérarchique mais surtout pour les propos extrêmement grossiers que vous lui avez adressés ! Je vous rassure tout de suite. Cette sanction est bien plus légère que celle demandée à l'Etat-Major par le Sénéchal qui lui demandait carrément votre suspension pendant un mois ! Alors ravalez votre pilule ou bien cette sanction vous sera appliquée.
Il se mit devant l'Aspirant Djvier. Aspirant ... Vous ne deviez pas venir dans cette discussion pour remettre en doute l'intégrité et le commandement du Lieutenant Maitre d'Armes et ce quelle qu'en soient les raisons. Si vous en aviez contre les agissement d'un officier supérieur, il y a le Sénéchal ou moi-même pour vous écouter et pas dans ce bureau-là, ici dans le mien !

Il se recula pour parler enfin à tous les soldats présents devant lui.

Maintenant je m'adresse en particulier aux officiers. Votre travail n'est pas que de donner des ordres. Il est de votre devoir de maintenir l'ordre et la discipline dans l'armée pas d'envenimer la moindre crise qui pointe son nez ! Hors là, c'est exactement ce que vous avez fait ! J'espère que cela vous saurez prendre en compte ce que je viens de vous dire. La prochaine fois je risque d'être moins souple à votre égard si cela se reproduit.
J'espère m'être bien fait comprendre.

Il repassa derrière son bureau.

Maintenant vous pouvez disposer. Mais n'oubliez pas ce que je viens de vous dire. Vous êtes des officiers, vous devez maintenir l'ordre, pas mettre le désordre.

Il s'installa derrière son bureau attendant que tout le monde soit parti.

Hochant la tête à l'aspirnt Djvier, Zephirin s'écarta un peu. Regardant le capitaine, le sénéchal fit un pas devant en regardant l’ex-lieutenant de garnison.

Damoiselle Dina, je ne saurais guère faire mieux que de vous demandez de déclinez les noms de ces officiers qui…font plier…des soldats à l’ombre des salles de ce bâtiment. Si il est qui craignent pour leur acquis ou qui sont l’objet de manipulation ou d’intimidation, vous avez obligation de rendre la chose publique. Il serait préférable, bien sûr, d’en informer le capitaine et moi par voie privée, mais, s’il vous démange de vider la question ici. Permettez de libérer vos compagnons qui ont certes maintenant mieux à faire que de participer à ce procès ouvert. Sauf le respect du capitaine, je puis vous entendre à ce sujet en privé, à moins, que je ne sois l’objet direct de ce que vous avancer et en ce cas, il serait préférable que vous ayez meilleur témoin. Serais-ce le cas ?

La voix du capitaine résonnait maintenant dans la pièce surchauffée... elle regardait droit devant elle, les mâchoires serrées, c'est à peine si elle pouvait respirer.
A son nom qui vint en premier, elle ne pu que hocher légèrement la tête et savait qu'elle allait faire ce qu'il fallait. Elle laissa certains s'exprimer encore, surprise par ce qu'elle entendit, avant de faire un petit mouvement vers ses supérieurs.

Capitaine Léonin... mais aussi lieutenant aide de camp Silver...
Je suis désolée d'avoir insisté pour avoir la raison et c'était mal venu de faire à cet endroit...
Oui... j'ai souvent peine à attendre et à venir en privé lorsque je sens que quelque chose m'échappe ou ne me parait pas clair.
Ca n'arrivera plus... capitaine.

Elle fit un pas en arrière et tourna les yeux à Djvier les plongeant aux siens et murmura... avançant maladroitement sa main vers lui...
Euh... aspirant... facile... jamais il n'est facile... juste que je suis surprise... je m'attendais pas... et ça me touche...
Oh... bien... sûr... je les accepte...

Déjà il lui sembla respirer un peu mieux...

Quand le Capitaine reprit la parole dans son bureau, on pu observer qu'il n'y avait plus aucun chuchottement,
tous les soldats présents respectèrent au moins son autorité. La première remarque fut adressée au Lieutenant*
Maître d'Armes Spikelilou pour avoir ouvert son clapet dans un lieu où elle n'avait aucune autorité, devant des
civils. Ensuite ce fut son tour, le Capitaine se présenta devant lui pour l'entretenir maintenant qu'il le fixait
dans les yeux. Le Vétéran se détâcha du mur pour se mettre au rang fixe afin d'éviter de lui manquer de respect.

Son cas fut heureusement débattu à l'EM, certains supérieurs demandaient la mise à pied de ce soldat mais étran-
gement on avait écourté sa peine au Gnouf. Que le Sénéchal demande cette peine lui paraissait tout à fait normal,
après tout il avait vraiment dépassé les bornes. Quoiqu'il en soit la sanction était bien là, il savait qu'il n'aurait pu
y échapper..., cela dit pour que celle-ci soit moindre il devait y avoir une part de vérité et une bonne raison qui jus-
tifiaent le fait qu'il se soit emporté devant ce Supérieur. Bref, en clair il ne pouvait pas s'en sortir indemne, et main-
tenant il fallait présenter des excuses à ce Lieutenant*.

Une fois que le Capitaine eut terminé, le soldat hocha la tête à son intention pour affimer qu'il avait parfaitement bien
compris sa décision; et lorsqu'il détourna le regard, le Vétéran se retourna face au mur attrapant le chambranle de
la porte du bureau pour s'aider à s'encastrer la tête dans le mur afin de essayer de dissiper sa colère. Quand il se
retourna à l'intérieur de la salle, le soldat fixa le Sénéchal, sans mot dire jusqu'à ce que le Capitaine soit revenu à
l'arrière de son bureau. La meilleure chose qu'il avait à faire en somme, s'était d'ignorer ce Lieutenant* pour son bien
et celui de l'armée toute entière. Puis il s'avança devant Spikelilou pour l'entretenir:

Quoi que vous puissiez dire ou faire Lieutenant*, on s'en tire bien tous les deux. Mon opinion à votre égard ne change
pas pour autant sachez le. J'ai peut-être été grossier mais s'il n'y a que de part ces termes qu'on puisse se faire enten-
dre, je ne regrette pas de les avoir employé.

Puis il se tourna vers le Capitaine, en jettant un coup d'oeil au sergent-Chef qui semblait agacé:

J'adresse des excuses à l'Armée Capitaine, je vous adresse des excuses Capitaine ainsi qu'aux officiers ici présents.
Je suis désolé pour le gène occasionné, et d'avoir plongé l'armée dans la honte de part mes agissements.
Le Lieutenant* Spikelilou n'aura que faire de mes excuses, Que je lui en présente n'arrangera rien, Je m'abstiendrai donc!
Tous deux, elle et moi, nous évoluerons dans ce sentiment de malaise à l'égard l'un de l'autre.
Bien à vous Capitaine. Je demande la permission de me retirer de votre bureau.


Le Sergent-Chef avait sans doute quelque chose à dire, de fort intéressant amsi tant pis, il aurait vent de ses saintes
paroles à un moment ou un autre...

Hésitant un instant quand cet hommes s'était approchée d'elle, Spike avait avancé la main un peu gauchement vers le soldat Seigneuraslan... se rappelant de la lettre qu'elle lui avait envoyée à son réengagement, lui disant son plaisir de le revoir dans l'armée.

Elle resta interdite à ce qu'il lui murmura... chercha un peu son air pour tenter de lui répondre... le regardant longuement… et laissa retomber sa main le long de son corps.

Elle comprenait mieux maintenant certaines phrases de l'aspirant Princess qu’elle avait entendu sans le vouloir dans le couloir...
Il ne regrettait ni son comportement, ni surtout ses insultes...
Qu'était-il arrivé à cet homme qu'elle avait cru d'honneur ?
Elle finit par articuler…

Vous me prêtez des pensées complètement fausses, soldat…
Votre haine est telle qu’elle vous aveugle et vous perdra. Vous avez perdu tout sens de l’honneur. Faire des excuses ou même simplement regretter une erreur… n’est pas chose facile… mais elles montrent le courage d’un individu et le respect qu’il a pour ses semblables.
Aussi je n’ai aucun sentiment de malaise à votre égard, qu’un sentiment de lassitude envers votre comportement.
Bien à vous.

La maître d’armes s’écarta légèrement et se retourna vers son capitaine.

Je demande autorisation de disposer… capitaine Léonin.
Je vais rejoindre la MS comme l’aspirant Djvier.

La lettre, pour sûr qu'il s'en souvient pour avoir été celui qui eut décidé de correspondre avec elle pour répondre à ses
obligations de soldats. Tout ce qui s'est passé est allé trop vite et leur collaboration passée n'eut pour effet que de ravi-
ver les flammes d'un brasier presque éteint. La conversation qu'elle eut pu entendre, que tous eurent pu entendre d'ail-
leurs avec l'Aspirant Princessedeneuch le concernant n'avait rien à faire non plus dans ce château. Mais manifestement
il n'avait pas envie d'en parler avec d'autres et il préférait leur laisser leur libre arbitre, ... cette liberté. Aslan avait
changé, beaucoup de personnes le pensent mais il n'avait pas perdu pour autant tout honneur comme le lui dit le Lieu-
tenant* Spikelilou avant de demander l'autorisation de se retirer. SeigneurAslan pivota sur le côté pour l'entretenir
encore un petit peu:

Lieutenant*, sachez que je préfère encore parler avec les Comtois, traiter avec eux et faire avec euxdans la bataille que de les
tuer car c'est une des raisons qui fait, que vous avez encore les deux pieds sur cette terre et je puis vous assurer que ce n'est
pas le cas de tout le monde si vous voyez de qui je veux parler. Ce ne sont peut-être pas là de bons sentiments Aristo-
téliciens et peut-être que je devrais me confesser aurpès de notre aumônier..
Pardon de vous avoir offensé Lieutenant* disons que ce sentiment de lassitude est réciproque.

Le soldat acquiessa à son intention pour espérer clore la conversation. Il attendait de pouvoir prendre congé..

La maître d'armes mit l'index à sa bouche... en écoutant le rouge aumonier.

Chut... mais chut... aumonier... regardez mieux... la signature...
Pfuu... les décorations... c'est moi qui les lui ait posées...ne sachant pas... ensuite j'ai fait les miennes me doutant qu'il avait quelque chose qui n'allait pas et vous m'avez confirmé dans le couloir... et là... mais chut... tous ceux qui ont deux rangées de médailles sont mal fait... sauf le mien.
Arf... chut... j'ai pas encore eu le temps de lui refaire... regardez plutôt l'uniforme du soldat Seigneuraslan... c'est un faux... les barettes... les écritures suprimées...
Aussi, dans ma fonction... j'ai pas à gérer ce que fait le sénéchal... que les terrains et les manoeuvres et là la guerre a tout bloqué celle qui était prévu et prête...
Le sénéchal est un équivalent du capitaine pas le maître d'armes qui n'est qu'un lieutenant, l'aide de camp est plus gradé que moi...
Arf... vous mélangez tout là..

Capitaine... suis-je enfin autorisée à disposer...

Le soldat, qui n'était pas très loin de ses supérieurs, esquissa un large sourir en écoutant les murmures
Il roula des yeux en sifflottant, puis fléchit légèrement sur ses appuis pour passer la tête dans le dos du
Sergent-Chef et aumônier afin d'entretenir le Maître d'Armes* d'un murmure.. une main au coin de la bouche:

Sauf que moi...ben je ne suis qu'un soldat aujourd'hui hein! hein! J'avais pris cette initiative pour ne pas
pomper le temps à celui qui en avait la charge, vu l'urgence. Bon je reconnais que je ne suis pas doué pour
la couture.. Mais maintenant que je sais que c'est vous qui fournissez l'uniforme, je ne vais pas manquer de
venir vous voir Lieutenant* dit-il en ricanant, dès que j'aurai un moment à moi.

Puis il se redressa à l'intention du Capitaine, attendant les directives et peut-être sa convocation au gnouf

Leva un sourcil et le fixa longuement comme l'homme quittait... et ne préféra rien répondre au soldat mal élevé, cela n'en valait pas la peine de perdre sa salive et son temps...

Se mit au garde à vous pour le capitaine et claqua des talons...
Merci capitaine...
Faites bonne continuation.

Spike relacha doucement et pivota pour sortir rapidement... faisant clin d'oeil au moine soldat... en lui passant devant et lachant...
... fait !

Referma la porte derrière elle.

Courre très vite en direction du capitaine, dérape et défonce la porte heureusement juste entrebaillée donc ne l'a pas cassée.

Mon Capitaaaaaaiiinnnnnnneeeeeeaiiiilllleeeeuuhhhh...

Vous devriez aller voir les évènements de la grande Maxima Sequanorum...

Des brigands espagnols, chefs d'armes de brigands.

Des brigands portugais, des mercenaires italiens à tendance brigands et des anglois, brigands eux aussi... Ils ont tous étés repérés cette nuit... Ca va déféquer.

Ah pardon :

Revient en défoncant la porte cette fois, trop c'est trop, il irait au gnouf si des actions sont entreprises.

C'est quoi ce bordel mon capitaine? Plus aucun ordre, une invasion de brigands et rien en provenance de la sécurité du parlement... Donc, soit vous êtes tous aveugles, soit y'a un grain de sable dans les rouages.

On est là à voir en attendant les ordres. or, il n'y a aucun ordre!!!

Mais qu'est ce que vous foutez là haut?

Il est là, il est beau mon bureau.

Le soldat ThomasHawk se présenta devant le bureau du Capitaine, frappa quelques coups à la porte et attendit la permission d'entrer.

Ah euhhhh attendez...

Il ouvrit son tiroir et en extirpa une clé qu'il remit au fantassin.

La voilà.

Il va y en avoir, ne vous en faites pas. Prennez un balai à dents d'acier, j'ai très envie de vous faire laver les routes.

Le petit sourire de chasseur en coin, il laissa partir le fanta.... Quoii?

Soldaaaaattttt... Qu'est ce que cet uniforme que vous portez sur le dos? Si vous êtes éclaireur, vous n'avez pas les bons insignes!!!

Dany arriva au bureau du capitaine et il aperçu Francheso, il lui souria et alla lui dire un «Bonjour» de même que le garde à vous, biensur, ne pas faire un garde à vous devant le bureau du capitaine, c'est jouer avec le feu.

Mes respects Sergent instructeur

Il parti pour cogner à la porte, mais comme le sergent était la avant lui, il l'avait surement fait... Le capitaine serait sans doute en colère d'entendre deux fois de suite des toc-toc. Il parti alors la conversation avec son bon ami...

Alors vous allez bien Sergent? Avez vous quelques chose de prévu pour la célébration du nouvel an?

Demanda t-il tour à tour le jeune soldat, heureux de revoir son 'recruteur'.

Entreeeezzzzzz....

Green n'eut même pas le temps d'ouvrir sa bouteille qu'il fallait déjà la ranger dans un tirroir.

Zibob arriva juste quelques temps après les 2autres soldats qui attendaient,il leur fit un petit salut militaires et juste quand l'aspirant allez frapper le capitaine dit le mot"ENTREZ".Zibob poussa donc la porta,la laissa ouverte pour ses amis et prit la parole en premier:

Capitaine!
Mes respects capitaine!
Je suis venu en ce lieu pour vous posez une question:

"Avez vous les archives de la MS pour savoir combien ai-je de PS en ma possession?

Oulah euhhhhhhh... Je vais voir ça dèès que possible.

Permission accordée.

Sergent -chef franky-k je m'occupe de vous dès que le sergent instructeur franchesco m'aura dit ce qu'il se passe.

Il ouvrit son tiroir et versa le contenu de sa bouteille dans un verre.

Tenez, prennez et détendez-vous.

Merci capitaine!
Je retourne à mes occupations.
A bientôt!

Et l'aspirant partit,dans la pénombre du couloir.

Green hésita un instant à lui rajouter un jour pour cette question et puis non. Sévère mais indulgent.

Jacquouille vous expliquera ce qu'est le gnouf.