[RP] Les écuries (+ Prairies)

arriva aux écuries , s'occupa des cheveux ensuite elle verifirait les clotures

Le sergent arriva aux ecuries avec une cajette de carotte pour son ane.

Soldate Draziel

Il alla chercher son ane qui lui etait tout le temps dans la prarie, il ne le rentrait qu'en hiver. Il lui donna ses carottes avant de le monter et de lui faire faire ses exercices.

salua Jerone qui venait d'arriver et alla vérifier les clôtures ( et les réparer si besoin )
le soir venu , elle s'en alla

arrive aux écuries et s'occupe des chevaux et de nettoyer les écuries

le lendemain revient et nourri les chevaux

elle arriva aux écuries s'occupa des chevaux , vérifia les clôtures une fois cela terminer elle fera une ronde

arrive aux écuries, vérifie que toutes les clôtures sont en état , nourri et brosse les chevaux.

Makita qui arriva au écurie, elle amena de la nourriture pour remplir leurs mangeoires et leurs abreuvoirs. Elle brosse les chevaux un par un.

Makita arriva aux écurie amena de la nourriture et de l'eau pour chaque chevaux et d'ânes.

L'archère s'occupa en priorité de son cheval et s'occupa ensuite des autres.

Iroutche entra dans les écuries et le spectacle qui l'attendait l'horrifia. Voilà presque un mois que personne n'était venu prendre soin des animaux. Une couche de poussière recouvrait le sol et les montures, qui disposaient heureusement de nourriture et d'eau à volonté, piaffaient d'impatience suite à leur inactivité.
Le soldat dut se retenir pour ne pas les faire sortir afin qu'elles puissent se défouler à l'extérieur mais ces bêtes ne lui appartenaient pas et la clôture avait bien besoin d'être réparée.
Il commença donc à rédiger la liste des travaux à réaliser, conformément aux consignes de l'Aspirant Bensira. Il jetait souvent des regards vers les balais et les animaux qui s'énervaient de plus en plus. L'envie de nettoyer ce désastre et de libérer les montures grandissait de plus en plus.

Iroutche commençait vraiment à s'énerver lorsque l'Aspirant Bensira entra dans les écuries, juste quand le soldat se leva. Heureusement, ce mouvement d'humeur pouvait faire office de salut. Il se mit au garde à vous et répondit à ses questions :

-Mes respects, Aspirant. J'ai en effet relevé quelques... éléments qui pourraient être améliorés.

Il écouta ensuite l'officier lui expliquer comment approcher les bêtes rendues très nerveuses par leur enfermement. Le soldat observa la méthode de son supérieur et tenta de se calmer avant d'entrer en contact avec les chevaux. Il approcha ensuite du box le plus proche, le plus doucement possible. Comme l'animal ne le connaissait pas, il faudrait être prudent. Iroutche lui parlait à mi-voix, autant pour le rassurer que pour lui-même. Au début, la monture jettait des coups de tête nerveux sur le côté mais, lorsqu'elle comprit que le soldat ne lui voulait pas de mal, bien au contraire, elle consentit à le laisser la toucher. Il prit alors le licol le plus proche et, avec des gestes très lents, l'approcha de sa tête.

Iroutche parvint à passer le licol autour de la tête du cheval alors que l'Aspirant Bensira revenait déjà pour faire sortir un autre animal. Il se tourna vers lui lorsqu'il s'adressa au soldat, écouta ses conseils et répondit :

-Merci, Aspirant. Je vais essayer d'être plus franc.

Il se détendit et, immédiatement, la monture en fit de même. Il dit :

-Oh merci, Aspirant cela marche beaucoup mieux maintenant.

Iroutche se dirigea ensuite vers la sortie, et guida le cheval, sans tirer trop fort sur le licol pour ne pas le brusquer. La bête comprit tout de suite qu'elle allait enfin revoir le jour et le suivit docilement. Elle était dressée, bin sûr. Une fois dehors, le soldat l'attacha à un arbre entouré de verdure en lui laissant assez de corde pour qu'elle puisse bouger librement. Il retourna ensuite dans l'écurie pour s'occuper du cheval suivant.

Iroutche suivit les directives de l'Aspirant. Ensemble, ils nettoyèrent en profondeur les écuries pour leur rendre une allure respectable. Le travail était fatiguant mais très satisfaisant. Il fit une pause avec Bensira et répondit :

-Oui, Aspirant, je suis content de voir le résultat. Les chevaux pourront enfin dormir décemment. Dois-je contacter informer personnellement les propriétaires lorsque je fais sortir leur monture pour avoir leur accord ? Ils ne semblaient plus s'en soucier...

Le soldat appréciait la position de l'Aspirant envers les animaux. Il avait enfin trouvé quelqu'un qui pensait comme lui. Iroutche se releva et suivit l'officier dans la prairie.

Tout en marchant à ses côtés, Iroutche écouta la réponse de l'Aspirant. Il hocha la tête et répondit :

-Oui cela éviterait ce genre de situation désastreuse...

Bensira lui demanda ensuite de vérifier l'état des montures. Ce n'était pas fameux, naturellement. Après son observation, il dit :

-Aspirant, je pense que ces chevaux auraient bien besoin d'être brossés et leus sabots devraient être recoupés. Cela risque de les gêner sur un sol accidenté.

(HRP : désolé je ne connais pas tous les soins à apporter à un cheval /HRP)

Le soldat attendit ensuite l'avis du Maréchal des Logis.

Suite aux conseils de l'Aspirant, Iroutche vérifia l'état des fers à chacune des jambes des chevaux. Ils avaient été forgés avec soin et le temps n'avait eu qu'un faible impact sur eux. Il en informa l'officier puis lui dit :

-Puis-je aller chercher des brosses à l'écurie, Aspirant ? Et en désirez-vous une pour vous-même ?

Bien sur, aller chercher des brosses. Je crois qu'il faut que nous prenions le temps de faire du bien à ces animaux.
Un bon quart d'heure au moins de brossage par animal, puis nous les aménerons marcher un peu avant de les ramener à l'écurie pour le repas et la nuit.


(HRP : désolé, je n'ai pas beaucoup de temps IRL en ce moment... soldat Iroutche, vous pouvez faire avancer le RP, si vous le souhaiter, par une belle description du brossage des animaux puis de la balade et du retour aux écuries. Je répondrais en fonction de mes disponibilités de présence)

Iroutche courut donc en direction des écuries et en rapporta deux brosses. Il en tendit une à Bensira.

- Voici, Aspirant.

Il se mit ensuite à brosser les chevaux, qui semblaient apprécier ce soin après un mois d'abandon.

(hrp : d'accord pas de problème. Je ne ferai pas trop avancer, je préfère vous attendre et je n'ai pas non plus beaucoup de temps pour l'instant. Je développerai tout de même un peu plus qu'aujourd'hui)

Ensemble, les deux hommes brossèrent longuement les chevaux. Chacun eut droit à une attention particulière. Les animaux semblaient enfin se calmer après la période de délaissement qu'ils avaient dû traverser. Ils en resteraient sans doute choqués à vie mais peut-être les soins attentifs de l'Aspirant et du soldat leur redonnerait confiance en l'homme ? Cela serait long mais ils y parviendrait avec de la patience.

Iroutche suivit l'Aspirant vers le bois, tenant dans sa main l'extrémité des licols dont il était responsable. Le soldat n'était allé qu'une seule fois dans la forêt où il s'était perdu. Il était finalement arrivé au chantier de construction du CRAB après avoir déambulé dans divers chemins. Cette fois, au moins, quelqu'un était là pour le guider.
Cette promenade au calme lui faisait autant de bien qu'aux chevaux, après toute l'agitation du château. Tout comme les animaux, il ressentait enfin un peu de liberté, comme à chacune de ses expéditions dans la nature. Il se prit à sourire, ce qui était assez rare, vu sa nature plutôt réservée. Il aimait cette fonction qui l'autorisait à s'échapper quelques heures et à rester à proximité des bêtes. Iroutche appréciait aussi la présence de Bensira, qui lui donnait de nombreux conseils éclairés et considérait les chevaux comme des compagnons, et non comme des esclaves, ce que de nombreuses personne faisaient, malheureusement.

Iroutche se tourna vers l'Aspirant lorsque celui-ci lui adressa la parole. Il n'avait pas eu conscience de sourire mais, pour la première fois de sa vie, cela ne le gêna pas. Le soldat regarda ensuite vers les chevaux, qui semblaient en effet beaucoup plus confiants et heureux qu'avant. Il répondit, toujours souriant :

- Merci, Aspirant. C'est grâce à vos conseils que j'en suis arrivé là.

Iroutche écouta ensuite les instructions du Maréchal des Logis et l'itinéraire qu'ils allaient suivre. Le Vésulien observa attentivement les animaux qui broutaient à côté. Tous étaient tranquilles, sauf une jument, plus âgée que les autres, qui regardait souvent les alentours, comme si elle montait la garde, et les autres semblaient se fier à sa vigilence. Si elle arrêtait de manger plus longtemps, les autres bêtes attendaient de voir la suite des événements. Le soldat fit part de ses observations à Bensira et attendit l'avis de l'expert.

(hrp : j'ai dû faire des recherches en éthologie, je ne connaissait pas les signes d'un cheval dominant)

Le soldat réfléchit puis dit ce qui lui semblait le plus logique :

-Aspirant, je pense que nous devrions laisser la jument dominante en tête du groupe. C'est elle qu'il faudrait tenir et je crois que les autres la suivront. Si le chemin devient étroit, je placerais les chevaux en fonction de leur expérience. Les plus jeunes devraient suivre les plus âgés si ils ont confiance en leur jugement. Avez-vous bien dit que l'un de nous resterait derrière ? Cela rassurera les derniers, je pense...

Iroutche attendit l'avis de l'officier, qui connaissait bien mieux que lui les chevaux et la manière de les guider.

Iroutche écouta attentivement l'Aspirant, qui le rassura en disant que les chevaux se placeraient eux-même selon la hiérarchie établie. Il n'aurait donc pas à déterminer la position de chacun. En revanche, il devrait rester vigilent pour déceler une quelconque animosité entre les animaux. Il faudrait sûrement séparer les étalons, qui voudraient impressionner les juments en montrant leur dominance sur les autres. Le Vésulien devrait réutiliser la technique qui avait fait ses preuves à l'écurie. Au moins, maintenant, les chevaux le connaissaient un peu et avaient sûrement envie de continuer la balade, la première depuis longtemps. Iroutche répondit à l'officier :

-Merci, Aspirant. Je vais chercher la jument dominante.

Il se dirigea vers le groupe, qui avait cessé de manger, et prit gentillement le licol. Sa bonne humeur n'avait pas disparu et le cheval le sentait. Le soldat n'était plus un total étranger dont il fallait se méfier et son attitude était devenue plus sûre grâce aux conseils couronnés de succès de Bensira. Il invita la bête à le suivre et s'engagea dans le chemin indiqué par l'officier.

Le début du chemin était large. Les chevaux ne rechignèrent pas à se mettre en marche, encouragés par la confiance de la jument dominante et par la présence de leur Maréchal des Logis à l'arrière. Le soldat marchait légèrement devant le cheval de tête, laissant du mou au licol afin de guider l'animal sans tirer sur la corde pour ne pas le forcer à avancer par la douleur. Les bêtes avaient reçu une bonne éducation, martiale même, et ne s'arrêtaient pas sans cesse pour brouter les plantes le long du chemin. Jusque là, aucune dispute équine ne s'était déclarée et Iroutche s'imprégnait du calme de ces lieux, tout en restant alerte en cas de problème. Au bout d'un moment, le chemin commença à se rétrécir et les chevaux durent changer leurs positions pour passer. Si un incident devait se produire, ce serait à cet instant (je vous laisse choisir, Aspirant)

Le début de la balade se déroulait à merveille. Le soldat Iroutche semblait confiant dans sa manière de diriger la marche et les chevaux suivaient aisément sous le regard attentif de l'aspirant.

Lorsque le chemin se rétrécit, l'aspirant sentit une légère appréhension dans le langage non verbal du soldat Iroutche. La jument dominatrice le ressentit également immédiatement, s'arrêta net. Les autres animaux eurent des réactions divergentes. Certains s'arrêtèrent également, d'autres continuaient leur avancé.

Iroutche, n'ayant pas senti l'arrêt brusque de la jument ,avait continué à avancer sur le chemin ce qui provoqua une tension sur le licol. Paniquée, la jument se mit à hennir, se cabra.

L'aspirant tenta de maîtriser le comportement des autres chevaux en se précipitant ers le second plus dominant afin d'éviter une cohue.

Quant au soldat Iroutche, il se devait de réagir rapidement face à la panique de la jument dominante...

(voilà un premier incident dont je vous laisse essayer de vous sortir soldat... J'en avais prévu un autre, mais il viendra peut-être un peu plus tard.... )

En arrivant devant le rétrécissement, Iroutche s'était légèrement tendu puis s'était décidé à avancer, regardant droit devant lui, espérant que la jument n'avait pas ressenti son hésitation.

Malheureusement, elle s'était arrêtée et le soldat, ne l'ayant pas remarqué, avait tiré sur le licol. La réaction de l'animal ne se fit pas attendre et, en se cabrant, elle tordit légèrement le bras du Vésulien. Il parvint à ne pas lâcher la corde, qui lui brûla la paume mais Iroutche pensait que, si il lâchait le licol, il ne parviendrait plus à calmer la bête.

Il tenta de garder son sang-froid et ne montra rien de la tension qui menaçait de le submerger. Au contraire, il se fit le plus doux possible et, lorsque la jument retomba, il caressa doucement son encolure et lui parla pour la calmer. Elle ne se cabra plus mais restait nerveuse. Le soldat continua à prendre soin de l'animal.

De son côté, l'Aspirant s'était précipité vers le second cheval et tentait également de le raisonner. Si ils parvenaient à regagner la confiance de ces deux-là, le reste de la troupe suivrait sûrement.

(merci, c'est rassurant ^^)

Iroutche parvint à calmer la jument et, pendant ce temps, l'Aspirant était parvenu à raisonner les autres chevaux. L'officier avait dû s'occuper en priorité du second, qui avait tenté de prendre la tête du groupe.

Une fois que tout le groupe eut retrouvé son sang-froid, le soldat dit :

-Je vous présente mes excuses, Aspirant, j'aurais dû m'engager plus franchement dans ce chemin.

Iroutche, rassuré par l'officier, sourit et dit :

-Merci, Aspirant. Je ne l'oublierai plus.

Le soldat s'engagea ensuite dans le chemin, sans montrer de signe d'inquiétude ou d'hésitation cette fois. Les chevaux le suivirent et passèrent le rétrécissement. Le groupe continua sa promenade à travers les bois, redevenus calmes après l'incident.

La balade avait repris son cours. Le soldat Iroutche ouvrait le chemin en tenant la jument dominante au licol. Les autres chevaux suivaient en file indienne et l'aspirant fermait la marche.

Soudain, des branches craquèrent au bord du chemin. Puis un fourrée se mit à bouger. UN loup surgit et se précipita vers le premier cheval qu'il aperçu...

(voilà le début du second événement inattendu...)

Le groupe marchait tranquillement lorsque, soudain, un loup sortit des fourrés et se précipita vers les chevaux. Ceux-ci commencèrent à paniquer. Décidément, ce n'était pas leur jour...

Heureusement pour eux, il s'agissait d'un loup solitaire, mais il n'en restait pas moins dangereux.

Le soldat dégaina son épée et s'interposa entre l'animal et les chevaux pour tenter de montrer à ces derniers que lui et l'officier maitrisaient la situation. Il n'avait jamais dû combattre de loup et la tâche ne serait pas aisée. Le Vésulien et la bête se défièrent un instant et Iroutche cria à l'attention de Bensira, qui ne voyait peut-être pas la situation :

-Aspirant, un loup attaque les chevaux !

Ce n'était pas exact vu que, maintenant, le soldat était devenu la cible privilégiée de l'animal sauvage. Il espérait ne pas devoir tenir les chevaux tout en combattant car, alors, leurs chance de survie seraient faibles.

Iroutche n'entendit pas les chevaux s'enfuir au galop et cela le rassura. Par contre, leur tension était perceptible et ils ne tarderaient pas à s'échapper.

Cependant, il devait garder son attention sur le loup qui pouvait décider d'attaquer à tout moment. Le soldat regrettait de ne pas avoir pris son arbalète, bien qu'il soit toujours en formation. Bien sûr, il n'avait pas prévu de devoir se battre durant cette promenade.

Le Vésulien remarqua soudain une ombre derrière l'animal. Ce devait être l'Aspirant qui venait l'aider à combattre.

Il hocha alors discrètement la tête, sans cesser de fixer le loup du regard, pour signifier qu'il était prêt à coordonner ses mouvements avec l'officier.

Alors qu'Iroutche finissait sa communication silencieuse avec l'officier, ce dernier se précipita vers le loup, l'épée pointée vers l'avant.

Le soldat s'élança immédiatement et cria pour maintenir l'attention de la bête sauvage sur lui et l'effet de surprise causé par l'attaque de l'Aspirant.

De son côté, l'animal courut aussitôt vers Iroutche, ignorant la présence de Bensira.