[RP] NETTOYAGE DES ECURIES

Rien qu'à l'odeur, Gawin failli répandre son déjeuner sur le sol. L'odeur était terrible, personne n'avait nettoyé ces écuries depuis des millénaires. Même Hercule n'aurait pas pu terminer sa besogne... Gawin pris toutefois la fourche et commença à soulever le foin souillé. A ce moment là l'odeur douce qu'il avait senti en entrant se transforma en torrent de miasmes. L'odeur devint méphitique, non plus un gaz il lui semblait que cette odeur était liquide et coulait dans son corps comme les légions infernales !

Puis il vit une grande lumière, une femme le tenait ensanglanté et hurlant en l'offrant a une autre femme qui lui souriait. Sa mère. Ensuite il se vit enfant jouant dans les jupes de sa mère. Il la revit tomber malade puis s'éteindre petit à petit le laissant seul dans cette grande maison. Il se revit ensuite adolescent, travaillant difficilement la terre sèche du potager familial. Il se souvint de longues soirées d'hiver transi en mâchonnant le cuir de ses chaussures pour ne pas mourir de faim. Puis vinrent aussi les moments de joie, la découverte de la pêche et la capture de son premier poisson...

Puis à nouveau le terrible retour sur terre, ou plutôt en enfer, dans ces écuries monstrueuses. Il se promit de ne plus rêver sur la place d'arme et termina le nettoyage le plus rapidement possible.

Apres avoir reçu sa sanction, Jerone s'equipa afin de ne pas rentrer trop sale chez lui.

A l'attaque enfin un peu d'activité.

Une odeur nauséabonde regnais en ces lieux mais Jerone ne fut pas derangé par cela.

Alors a vue de nez comme ça rien qu'a l'odeur il y a une bonne dizaine de chevaux ici en permanence et autant de passage.

Jerone fit un tour des lieux afin de reperer où il devrais emmener la paille souillée et où il devais aller chercher la neuve. Il tomba sur les outils qui allais l'aider.

Et ben faudrais qu'il la repare cette brouette car elle rique pas de tenir longtemps.

Jerone attrapa la fourche et alla au bout des ecuries avec la brouette qui couinait tout le long du chemin. Il commeça a ramacer la paille avec la fourche et changea vite de position afin de n'avoir qu'a se tourner pour faire ce qu'il a à faire.

La brouette se remplissait en 5 coups de fourche et Jerone du faire des aller-retour avec cette brouette qui lui tapait sur le systeme plus que les odeurs ne le dérangeaient.

Ouh toi la brouette tu va pas tenir longtemps à couiner comme ça.

Jerone s'assis sur une botte de paille neuve et commença a regarder ce qui n'aillait sur la brouette.

Alala c'est l'axe de roue qui n'est plus enfonçé correctement.

Jerone sorti de sa besace un marteau (et oui il se balade toujours avec un marteau) et tapa un grand coup sur l'axe afin de le remettre en place

Voila maintenant ça sera plus amusant

Jerone retourna à la premiere chose qu'il devait faire et fit une bonne cinquantaine de tour avant de se poser une nouvelle fois sur les bottes neuves.

Je crois que je vais attendre dwiral.

Jerone ferma les yeux et attendit les oreilles à l'affut du moindre bruit

Il venait d'entrer dans l'ecurie. une odeur atroce lui monta au nez.

Fichtre, je pensais pas que les canassons de l'armée pouvait autant faire de crottin en une petite journée. c'est inhumain. on leur donne quoi a bouffer a ces cheveaux?!
de toute façon, moi je dis, un bon cheval bah c'est un cheval dans mon assiette, bien cuit, et avec une bonne grosse chopine de Binouse...

il fit une pause.


HEPPP Jerone, envoie moi la Gourde. cette odeur me donne soif.
bon.. humm.. voila comment on va faire. vu que je suis le soldat le plus gradé, tu vas tout me deblayer. et a la fin, je verifierai tout cela. et gares a toi. si il reste une pauvre petite boulette de caca de cheval, bah je te colle 3 jours de Gnouf!
Hein?!
on va pas finasser pour si peu!

Jerone entendit dwiral entrer et lui reclamer sa gourde

Sauf votre respect mon sergent c'est moi qui ai la saite gourde et donc je peux faire pression sur vous surtout que j'ai pas mal avancé le travail vous avez que le plus propre à faire.

Jerone lui montra les bottes de paille propre et le tas de fumier qu'il a ramassé en agitant la gourde de l'autre

Allez mon sergent un petit effort et apres le grand reconfort

il ecoutait Jerone...

toi mon gailllard... tu veux que je te colle trois jours au gnouf! fit le sergent en bougeant son doigt en signe de "je suis pas content"

bon allez, sort les cartes. on va se poser dans un coin. le gnouf.. c'est le repos du guerrier...
on se fait un ramponneau.. . manque juste un joueur. et jen doute que si je demande a l'aspirant, il accepte!
HastasN arriva, une bouteille a la main... la joie naquit sur le visage de Dwi lorsqu'il vit la bouteille


RAAAAA hastan.. ça sent de l'avancement rapide pour toi ça. ramenes donc la bouteille. j'ai grand soif. et puis, on a besoin d'un troisieme joueur pour le ramponneau. tu connais?!
Non mais et puis quoi encore. on va pas bosser toute la sainte journée non plus.

Jerone vit hartasn arriver et commença a battre les cartes

Bon allez parlez en premier sergent

roooo Aslan, ne t'enerves pas comme cela. on ne fait jouer qu'au carte!

il prit un autre verre, et commença a verser de la binouse dedans.

Bn allez, descends de ton canasson, et viens jouer avec nous. tiens.. regardes, je t'ai servis un verre!
allez viens.. et puis, il y a peu de chance pour que le capitaine, le Maistre d'arme ou meme l'aspirant viennent nous voir.

il regardait les ecuries.. elles etaient bien sales quand meme.

Fichtre, je ne sais pas comment vous faites pour laisser vos bestiaux dormir la dedans. Vous ne l'avez donc jamais les ecuries? c'est quoi ce travail??! pour des cavaliers.. vous etes pas fin!
fit le sergent un petit sourire aux levres.


je te mettre un bon petit coup de feu la dedans. tiens d'ailleurs.. personne a de quoi allumer un feu?! faut vaincre le mal par le mal.
et puis, je sur que l'aspirant m'en voudrait pas de foutre le feu a ses ecuries!

Jerone vit Seigneurdaslan arriver et le salua

Mon sergent

Jerone entendit la remarque de son instructeur

Oui mais si on met le feu je suis presque sur que nous devrons reconstruire, mon sergent.

Et puis d'abord vu que notre pitance a fini on a plus qu'a aller sur le terrain des artilleurs pour jouer aux cartes. Le mur doit etre fini maintenant.

Jerone se tourne vers le Cavalier

Vous vous joignez à nous mon sergent entre ancien de l'armée on a bien droit de se reposer un peu non ?