[Archive]Bureau du Capitaine Bobyzz

En cette après midi ensoleillée, Kaya parcourait les allées du chateau. Ces derniers jours avaient été riche en imprévus, et la jeune femme tentait de se remettre les idées en place. D'abord le conseil, puis le poste de Capitaine, l'Aspirante avait encore toutes les difficultés du monde à réaliser. Il ne fallait pas décevoir et tenter de se montrer à la hauteur de la tache confiée. Il fallait commencer par un discours, oui, le discours...

La jeune femme pris à peine le temps de s'asseoir à son bureau, de saisir un feuillet et une plume avant de rédiger un mot de sa plus belle ecriture.

_ Garde !!

Une grand gaillard entra dans la pièce.

_ Prenez ce mot et affichez le en place des cérémonies !! Au plus vite !!

Elle tendit le bout de papier.

_ Bien Capitaine !

D'une main, Kaya fit signe de se dépecher au garde.

De l'autre main la jeune femme saisit quelques feuillets, et son necessaire d'écriture, avant de se lever et de quitter la pièce. Il y avait encore bien des choses à faire. Elle pris le temps de remettre en place le panneau installé précedemment par Macricri avant de filer...


Rappel de la discipline :

Citation :

Citation :

Tout militaire pénétrant dans un bureau se doit de se présenter
(nom, grade) et attendre qu’on l’invite a y entrer.

Citation :

Sanction #1
Ne pas saluer un supérieur

1 jour de corvée ou trou si récidive

- FORMULAIRE DE PUNITION -

Citation :

Grade : xxxxxxxxxxxx
Nom : xxxxxxxxxxxx
Corps de métier : xxxxxxxxxxxx
Garnison : xxxxxxxxxxxx

Punition : xxxxxxxxxxxx
Motifs : xxxxxxxxxxxx
Durée : xxxxxxxxxxxx

Toujours dans ses pensées, Le Capitaine se rendit compte qu'elle avait oublié son materiel d'écriture sur la chaise. Surement en allant déposer le panneau. Elle était étourdie, trés étourdie... Revenant sur ses pas, elle apperçut Franchesco devant la porte de son bureau.

_ Bonjour !

La jeune femme enfonça la clé dans la serrure.

_ Je peux vous aider...? Mais entrez, entrez...

Elle poussa la porte, et entra. Elle récupéra ses effets sur la chaise avant d'inviter franchesco à s'y asseoir. Elle pris place en face du militaire.

_ Je n'ai que peu de temps, je vous écoute.

Franchesco fut surpris de voir le Capitaine arriver derrière lui. Dès qu'il l'eut vu il la salua.

_Capitaine !
Sergent Franchesco, de Poligny Capitaine !
Au rapport Capitaine ! dit il.

Après quoi le capitaine l'invita et entrer et ce fut ce qu'il fit. Il remercia le capitaine qui lui avait indiqué un siège et parla.

_Capitaine, je vous prends peut être de court. Excusez-m'en Capitaine. Mais cela fait un moment que je veux m'entretenir avec le Capitaine.
Comme vous le savez, le terrain des Recrues a fraichement vu le jour. Et je voulais savoir si j'étais autorisé à mettre en place un formulaire d'évaluation qui, à la sortie du soldat de ses classes, serait ajouter au dossier. Si vous le voulez, je peux vous fournir une esquisse de ce formulaire.
Je me souviens d'avoir eu d'autres idées mais depuis le temps que j'attends, plusieurs me sont sortient de la tête...Lorsqu'elles me reviendront, je reviendrait. Le terrain étant neuf tout est à faire, vous comprenez Capitaine.

La jeune femme prit le temps d'écouter Francheso.

_ Le terrain des recrues, oui... Un formulaire...?? Oui, c'est une idée. Quel meilleur moyen de constater si un homme est prêt ou non à quitter les classes pour un véritable corps d'armes... Oui, l'idée me plait.

Elle réfléchit une minute, se frottant le menton comme elle avait l'habitude de le faire...

_ Faites moi parvenir une esquisse comme vous dites. Nous en déciderons... Et concernant vos autres idées, n'hésitez pas à revenir quand elle vous seront revenues !!!

Kaya sourit.

_ Autre chose pour le moment...??

_Bien Capitaine, je vous envoies cette esquisse dès que possible.
Oui Capitaine, ce sera tout Capitaine. Merci de m'avoir reçu dans cette journée qui doit vous être très chargée Capitaine. Et félicitation Capitaine.

Franchesco se releva de son siège resalua et dit :
- Capitaine, permission de disposer Capitaine ?

Kaya sourit de plus belle aux paroles de Franchesco...

_ Merci ! Oui, vous pouvez y aller, et moi aussi d'ailleurs...

Le Capitaine se leva se dirigea ves la porte, laissant passer Franchesco, elle récupéra son necessaire à écriture avant de filer...

La jeune femme écarquilla les yeux en passant au tableau d'affichage après avoir été voté.
Un bureau juste accroché sur le mur... diantre mais c'était une nouveauté.
De peur que cela s'effondre à son entrée, elle préféra glisser le document sous la porte...

Citation :

Document utililisé à ce jour par le sergent-chef geôlier

Citation :

- FORMULAIRE DE PUNITION -

Date :xxxxxxxxx

Nom : xxxxxxxxxxxx
Grade : xxxxxxxxxxxx
Corps de métier : xxxxxxxxxxxx
Garnison : xxxxxxxxxxxx

Motifs : xxxxxxxxxxxx
Punition : xxxxxxxxxxxx
Durée : xxxxxxxxxxxx

Officier/Sous-Officier demandeur :

----------------------------------------------

Appréciation du geôlier

*Note de 1 à 10 pour comportement et assiduité

Entrée le :
Comportement :
Assiduité :
Sortie le :

Kaya était penchée sur les dossiers d'admission. Il y en avait toute une pile au vue du retard qu'avait pris le recrutement... Le bruit d'une personne frappant à la porte lui fit lever les yeux...

_ Entrez !!!!

Franchesco entra, avança jusqu'au milieu de la pièce et salua. Avec sa main dans le bandage, le geste était presque comique.

Mes respects Capitaine !
Sergent Franchesco de Poligny Capitaine !
Au rapport !

Je pensais que la salle de classes serait peut être, même surement mieux dans l'enceinte du terain des recrues. Et comme vous en avez la charge (modérateur) je me suis dis que je devais en parler à la personne apte à le faire.

Qu'en pensez-vous Capitaine ?
Ah, et tant que je vous ai là Capitaine, si je peux me permettre de le dire ainsi, qu'avez-vous pensé de "l'esquisse" ?

Le Capitaine vit entrer Franchesco. Aprés le salut et la présentation d'usage, le jeune homme exposa la raison de sa visite.

Le salles de classe... Oui, elle seraient plutôt bien plaçées sur le terrain des recrues... Mais, il y a quelque chose qui me gêne, c'est que les cours ne sont pas uniquement consultés par les jeunes recrues... Tout le monde peut en avoir besoin... Je ne voudrai pas faire passer un mauvais message.

La jeune femme se frotta un instant le menton, réfléchissant sur la question.

Je vais y réfléchir !!

Citation :

Ah, et tant que je vous ai là Capitaine, si je peux me permettre de le dire ainsi, qu'avez-vous pensé de "l'esquisse" ?

Ah oui, les esquisses....

Cherchant des yeux sur son bureau, soulevant quelques feuillets et en déplaçant d'autres, elle retrouva les esquisses en question...

Et bien, je ne vois bien l'évaluation, mais j'aurai voulu y voir plus... Je ne sais pas... Quels exercices passent les recrues avant de recevoir ce feuillet. Y a-t-il des questions écrites...?? Vous basez vous sur les exercices pratique au bâton uniquement ? J'aimerai en savoir plus, savoir si ce formulaire pourrait être plus complet...

Citation :

la capitaine est absent jusque dimanche au moins.
Ceci dit, vous pouvez tojours venir dans son bureau dont j'assure l'interim.

Bien à vous,
Lieutenant ADC Kiboki

HRP/ Re... /HRP

Le Capitaine s'était cachée sous le bureau tout ce temps... C'est fou ce qu'on est bien caché sous la table...

Elle réapparut d'un seul coup, le visage reposé, mais visiblement préssé par le temps...

Les galons tout d'abord, oui, c'est nécessaire comme vous dites.

Pour ce qui est du cours médical, c'est une trés bonne idée, mais j'ai bien peur que notre chère Lassa soit bien débordée ces temps ci... Mais c'est à creuser...

Pour le moment, le formulaire que vous m'avez présenté pourrait convenir, mais il faut vraiment développer cette idée, et mettre en place de véritables évaluations. Je suis sûre qu'il y a matière à faire quelque chose d'interessant, tant pour les recrues, que pour le devenir des futurs officiers...

un pigeon se posa sur le bureau du Capitaine, il en déposa non seulement un petit paquet, mais aussi une missive urgente

Citation :

Lassa et moi croulons littéralement sous les parchemins.
Je vous fais un topo
L’ors des remise de PS que nous devons faire, nous avons tant de paperasses (4 endroits a aller voire en même temps)
Que même une chattes ne retrouverait pas ces petits.
Donc j’ai pensé à un poste de plus chez nous à l’intendance.
Le fourrier.
Son rôle serait que, Lui fasse la transition entre nous et le Cac.
Je m’explique.
Quand nous allons chercher les PS que les lieutenants nous donnent quand une sortie est finie,
Nous les mettons dans une liste, avec bien sur le nom des soldats à payer
Ensuite cette liste vue par tous, est visualisée pas le fourrier, qui lui fait le changement de PS en victuailles, et donne au Cac pour la suite
Il me semble que tout le monde a vu les listings des infirmeries, je pense à la même chose pour ce projet.
Je vous donne un exemple.




Alors Lassa et moi ne feront que ça
Maintenant libre au fourrier, de donner au soldat et par rapport a ce que le soldat a besoin en réalité, voire sa fiche dans les dossiers des garnison, la viande etc. et de faire la reste.

Voila Monsieur le Capitaine, ce que mon projet peux donner
Je reste à votre disposition pour toute demandes.

Replaçant ses cheveux en remontant le corridor d'un bon pas, l’artilleur tira fermement sur le lien de cuir qu’il avait entre les dents et fit avec celui-ci quelques tours, et le serra fermement à sa tignasse. Tournant un peu la tête en levant le menton, il releva le col de sa chemise en serrant les dents avant de passer les mains à ses épaules pour débarrasser ses galons. Tournant le coin en franchissant les derniers pas le séparant du bureau du capitaine, il replaça les gants à sa ceinture avant de glisser les doigts au manche de son poignard, renfermement prestement sa lourde veste en pivotant devant la porte. Relevant la tête, il frappa à la porte en haussant le ton.

Capitaine Occorax !!? Zéphirin Blaireau ! Soldat sapeur artilleur ! Garnison de Vesoul ! Puis-je obtenir audience ?

Attrapant la poignée à la porte, il la poussa fermement débouchant devant large bureau.
Ramenant les talons, il salua immédiatement en fixant le capitaine.

Capitaine ! Mes respects !

S’avançant d’un pas en avant, il étira le bras et laissa tomber au bureau un tube sorti de sa poche. Reculant immédiatement en passant les mains au dos.

Voici mes lettres d’intentions à l’égard du poste de sénéchal messire. Espérant que vous porterez celles-ci en haut lieux comme le prévoit le protocole. Bien que je puisse avoir certaines réserves sur les modifications apportées au texte et visée initiales, vous laisser savoir qu’il serait pour moi un achèvement en soit de permettre à cette armée de retrouver de sa gloire d’antan. Après cette longue disette qui a vu plusieurs des nôtres quitter les rangs à la recherche de mieux, souhaitons que ce parlement qui fait maintenant preuve d’ouverture joigne la paroles aux actes en laissant la latitude nécessaire aux capitaines à venir pour qu’ils puissent de concert avec les sénéchaux agir dans les meilleures conditions. Les hommes et femmes qui ont crus en cette armée depuis le début méritent qu’on leur laisse cette chance de prouver qu’ils avaient raison d’exiger un peu de confiance et compassion pour leur implications, et certes qu’ils sauront le rendre vite et bien à ce parlement et à qui saura bien les diriger.

Baissant un peu le ton, il hésita en pinçant les lèvres et fit un pas devant en regardant le capitaine chuchottant presque.

Dès lors, vous faire savoir qu’il faudra revoir la...méthode de mise en candidature capitaine. À la question: Qui est sur les rangs ?- que je vous ai posé au détour d'un corridor, vous m’avez fait savoir que les applications étaient privées et que cette information demeurerait confidentielle jusqu’à la fin. En ce cas, il faut éviter de la montrer trop tôt compagnon. Enfin, souhaitez quand même bonne chance à Seigneur Aslan de ma part. Il a toujours été aimé être opposant respectable. Sur ce, je vous laisse capitaine. Je ne saurais abuser plus de votre temps.

Redressant le dos en ramenant les talons, il salua rapidement hochant la tête en sortie de parade.

Puis-je disposer capitaine ?

A droite ou à gauche! Bon a droite......non finalement à gauche on verra bien. Vrek en était encore a explorer les corridors du chateau. Sans but précis, se promener et penser à des solutions. Bonne exercise les pieds et le cerveau. En regardant les noms sur les portes elle vit celui de Occorax le Capitaine. Mais au départ un artilleur comme elle et le premier qu'elle avait décidé d'étriver sur le terrain! Pourquoi pas 2 sujets en suspend pour elle...

Vrek décide de frapper à la porte du Capitaine et attendit la réponse.

Vrek sursauta au ton du capitaine. Jamais elle avit entendu Occorax parler sur ce ton! Bon Capitaine quand même et il doit être ecraser sous une tonne de paperasse et de demandes! Finallement elle se demande si sa démarche est bonne mais puisqu'elle a cogné et dérangé ...

Vrek entre dans le bureau du capitaine

Monsieur
sergent Vrek
des sapeurs Artilleurs
permission de parler
Capitaine

[ Vrek ne comprenais pas pourquoi ce capitaine s'énervait de la sorte. On était loin de la personne aimable avec qui on pouvait converser. Bien drole cette attitude! Vaut mieux la prendre en riant! D'ailleur Vrek trouvait ca drole et c'est avec un grand rire qu'elle se permi de répondre au capitaine;

Ahah Je m'excuse capitaine !!.... Je ne suis qu'un petit sergent d'un petit terrain et sans connaissances ni formations aucune sur ...tous les détours qu'un sous officier doit faire afin de pouvoir communiquer avec son capitaine.
Vous avez mal saisi le pourquoi de ma démarche. Puisque dans l'armée on se plait à dire que nous sommes une grande famille et ce avec tout le respect que je dois à votre grade Monsieur J,ai voulu seulement vous communiquer une admiration que j,ai envers une personne qui se dévoue souvent dans l'ombre.

Je vous salut capitaine et n'oserez plus regarder vos hauteurs!

Capitaine
Mes respect
Capitaine

Et Vrek sortit à reculons en riant et en faisant en pensée à ce capitaine un grand salut révérentieux que l'on donne aux gens qui croient avoir du sang bleu dans les veines.|

Princess avait préparé ces affaires, avant de partir pour un congé bien mérité.

Elle passa devant le bureau du Capitaine, et y vit une silhouette en sortir et en la voyant se fondre dans le
couloir Princess se dit que comme elle n’avait pas eu de nouvelle à son message elle se devait de lui en
demander la cause, elle frappa a la porte, et attendit.
Occorax bien avant d’être capitaine, avait été un ami, et elle l’avait aidé dans le passé, s’en souvenait-il,
allons savoir, mais de toutes évidences, elle savait que le travail qu’elle venait de produire ces derniers temps,
il ne l’avait pas remarqué, bien trop impliqué pensait-elle a mettre quelques amis a lui a la tête de quelques postes
a pourvoir, et même si il avait pris son ami Seigneuraslan en modèle pour le début, il en prenait pas la bonne
suite en ce moment..
Elle se devait de savoir vraiment ce qu’il avait dans le crâne, surtout à son sujet.
Dès qu’elle entendit du bruit derrière la porte, elle l’entrouvrit et passant la tête elle demanda audience.

Capitaine Occorax, mes respects.
Princessedeneuch, bouche trou de l’intendance, puis je vous entretenir quelques instants avant de me prendre
un congé bien mérité.

Le Capitaine Occorax avait la réputation d'être un peu sec dans son ton. Chriskhan aimait cela : aller droit au but sans mettre à tout prix une fleur au bout de son arbalète. Et puis à titre personnel, Occorax était par deux fois intervenu pour lui et par deux fois avait résolu les soucis d'un va-nu-pied à peine débarqué depuis deux jours dans le village... Comme respect, cela comptait !

Chriskhan se présenta au bureau du Capitaine non sans quelques craintes malgré tout ; pour déranger ainsi cet officier supérieur, il lui fallait une bonne raison ... Il l'avait !

Chriskhan frappa à la porte du Capitaine et attendrait sagement qu'il fusse prié d'entrer !

Les motivations pour ainsi déranger les plus hautes autorités étaient celles d'un soldat qui ne devait pas être seul à s'y perdre un petit peu quant à savoir qui dirigeait et où faire des rapports dont les ordres étaient flous... Tout un programme en fait.

Chriskhan faisait partie de ces cartésiens pour qui l'armée justement représentait la meilleure façon de penser. Encore aurait-il fallu qu'ici les choses soient claires et précisées.
Des officiers qui disparaissaient sans donner plus d'explications, des sous-officiers pas plus au courant qu'une recrue, des soldats qui semblaient "protégés" et ainsi pouvaient se permettre de discuter des ordres. Des Aspirants qui promettaient mais qui n'avaient même plus droit d'officier. Enfin des ordres donnés avec des "peut-être", des vagues promesses et surtout des promesses encore d'informer... la semaine des quatre jeudis.
Et on s'étonnait en haut lieu que certains soldats ou recrues ou encore caporaux préfèraient retourner planter leurs choux et se péter dans les tavernes.

Chriskhan en avait ras-le-bol de ne pas disposer quelque part d'un plan de la hiérarchie avec les noms de ceux à qui rendre compte et surtout où les trouver. Le jour venu, il saurait faire en sorte que cela soit afin que les soldats s'y retrouvent dans les méandres du "gouvernement".
Pourquoi donc tout cela était-il si compliqué alors qu'un simple bout de papier suffirait à s'y retrouver.
Cela était fait exprès peut-être.....

Chriskhan entendant une voix féminine le prier d'entrer, il se demanda encore une fois où allait tomber. A moins que ce ne soit Occorax avec une fameuse extinction de voix...
Rien que cela lui faisait songer qu'il ne serait pas venu pour rien... C'était même ce genre de chose qui l'amenait là-bas.

Chriskhan entra ainsi qu'on l'en priait. A peine pénétré dans la pièce, il vit cette Dame qu'il ne connaissait pas portant les grades d'Officier supérieur...

Madame, Mes Respects, Capitaine. Soldat Chriskhan, arbalétrier en garnison de Dole.
Je suis venu rencontrer le Capitaine Occorax qui, à quelques reprises, a su excellemment me renseigner sur les us et coutumes de notre armée.
Je voudrais tout d'abord que vous me pardonniez de ne pas m'être à vous annoncé. Encore aurait-il fallu que je sache que je n'aurais point affaire au Capitaine Occorax. Qui soit dit en passant m'a toujours paru bien ouvert et prédisposé à aider son prochain.

(HRP : au risque de me répéter" !)
Chriskhan faisait partie de ces cartésiens pour qui l'armée justement représentait la meilleure façon de penser. Encore aurait-il fallu qu'ici les choses soient claires et précisées.
Des officiers qui disparaissaient sans donner plus d'explications, des sous-officiers pas plus au courant qu'une recrue, des soldats qui semblaient être "protégés" et ainsi pouvaient se permettre de discuter des ordres. Des Aspirants qui promettaient mais qui n'avaient même plus droit d'officier. Enfin des ordres donnés avec des "peut-être", des vagues promesses et surtout des promesses encore de tenir informer... la semaine des quatre jeudis.
Et on s'étonnait en haut lieu que certains soldats ou recrues ou encore caporaux préfèraient retourner planter leurs choux et se péter dans les tavernes.
Chriskhan en avait ras-le-bol de ne pas disposer quelque part d'un plan de la hiérarchie avec les noms de ceux à qui rendre compte et surtout où les trouver et encore mieux les compétences qu'ils chapeautaient. Le jour venu, il saurait faire en sorte que cela soit afin que les soldats s'y retrouvent dans les méandres du "gouvernement" et de l'Etat Major.
Pourquoi donc tout cela était-il si compliqué alors qu'un simple bout de papier suffirait à s'y retrouver.
Cela était fait exprès peut-être.....

Madame, je suis actuellement chargé d'une mission qui m'a été confiée par l'Aspirant Léonin. Celui-ci manifestement ne semble plus trop à sa place et doit démissionner. Il m'a ordonné de de rester en contact avec le capitaine afin d'auprès de lui, d'elle maintenant si j'ai bien tout compris..., prendre mes ordres et fournir mes rapports.
Voyez-vous Madame, je ne vous cacherai pas, et je ne suis pas le seul à le penser, que de maintenir le flou n'est pas dans l'esprit de l'armée.
Voilà ! Je ne viens pas faire un coup de gueule, Madame, j'ai trop de respect pour cela. Toutefois, si vous avez pris en main notre destin dans l'armée, je sollicite de votre part une plus grande clarté. Je ne suis certes pas autorisé à ainsi vous parler mais mes convictions et ma motivation personne au monde ne pourra me les enlever.

J'en terminerai, Madame, si vous me le permettez. Et pour l'heure j'attends de vous Madame que vous me disiez à qui je dois rendre compte à présent.Vos ordres donnés, si vous le désirez, je me ferai une joie de les transmettre aux autres groupes armés.

Chriskhan craignait tout de même que Dame Lothilde dont il venait d'apprendre l'existence par un message de Francesco, ne se courrousse par la question demandée. Mais il savait aussi que la Belle Cavalière disposait d'une réputation sans tache à laquelle il portait beaucoup d'admiration.

Le regard métallique, derrière les paupières légèrement plissées du capitaine, fixait attentivement le soldat debout devant elle. Elle laissa planer quelques instants de silence à la fin de son discours et détachant le dos du fauteuil elle posa ses coudes sur le bureau et appuyant son menton sur les pouces de ses mains jointes, elle désigna d'un mouvement de tête la chaise des visiteurs

Soldat...Chriskhan, c'est ça.. Et...si vous en veniez au but réel de votre visite ?? Asseyez vous..Soldat...je crois percevoir votre déception de me voir à ce bureau et vous m'en voyez désolée pour vous...néanmoins, il faudra vous y faire...Maintenant, c'est moi qui commande cette caserne, et j'y appliquerai les méthodes qui sont les miennes..meilleures ou pires que celles du capitaine Occorax, peu importe...c'est mon problème...Mais soyons sérieux, soldat Chriskhan....vous êtes citoyen comtois autant que soldat, non ? Prenez ça...

Elle souleva un petit paquet de parchemins sur son bureau et en fit glissez un du bout des doigts en direction du soldat

Lisez ça ! ..tout en bas, je vous épargne le reste...surtout que le copiste a serré son écriture...et tiens...prenez donc ça aussi, soldat..Plus récent, je vous l'accorde..Je vous les laisse, prenez le temps de les lire...

Le capitaine reposa sa tête sur son menton, attendant, imperturbable, que le soldat repose les parchemins après les avoir parcourus et reprit

Soldat, qu'est ce que vous voulez savoir exactement ? Votre aspirant vous a confié une mission, soit...en général, c'est comme ça que ça se passe, n'est-ce pas ? mmm ? L'aspirant Léonin était bien votre supérieurs hiérarchique direct, non ? Quel est le suivant pour vous, puisque vous savez qu'il a démissionné et que votre lieutenant est toujours chez les moines ? ...J'attendrai donc ce rapport, soldat...Sauf si cette mission concerne la vie de la caserne. Dans ce cas, c'est au sénéchal Zephirin que vous devrez le remettre..C'est...la hiérarchie militaire..

Le capitaine détacha ses mains et les posa à plat sur le bureau, pianotant des doigts sur le bois, le buste penché légèrement en avant

Soldat...qu'il y ait des problèmes de communication dans l'armée, ce n'est pas nouveau. Sachez pourtant une chose. Jamais un soldat ne sera envoyé en mission hors de son village sans savoir pourquoi il part et ce qu'on attend de lui. Je m'y engage formellement...La garnison de Dole est en difficulté, je ne vous le cache pas. Plus d'aspirant, et un lieutenant qui prolonge son séjour chez les moines...Des décisions vont être prises rapidement et vous serez informé...Pour l'instant, vous connaissez la porte de mon bureau..

Reprenant sa position, le capitaine souleva les sourcils et ébaucha un demi-sourire à l'adresse du soldat

Vous êtes venu...pour autre chose, n'est-ce pas ? Alors prenez le temps...de trouver les mots pour le dire...je ne suis pas devin, soldat. Revenez quand vous pourrez me dire clairement sur quoi nous devons...réfléchir pour le bien des soldats. Nous aviserons...
Je ne vous retiens pas, soldat...ah ! et puisque vous êtes là, prévenez vos compagnons que je passerai avant la nuit à la garnison de Dole...
Vous pouvez y aller, soldat !

Chriskhan avait écouté religieusement sa Capitaine et il se disait intérieurement que les choses allaient peut-être enfin bouger, dans le bon sens, ici à Dole.
A chacune des questions que se posait la Capitaine, elle y apportait la réponse ; répondant ainsi pratiquement point par point aux questions que se posait le soldat. Le seul truc qui clochait c'est qu'il lui semblait bien qu'on trouve naturel qu'un soldat doivent deviner que deux échelons hiérarchiques manquaient et qu'il devait, lui simple trouffion, faire un rapport à un officier supérieur. Peut-être devait-il passer chaque journée 8 heures a fouiller dans toutes les archives du château comme lui avait suggéré par MP le sergent Francesco. Mais le soldat n'avait pas que cela à faire...
Il avait aussi une femme dont il aimait à s'occuper....

Madame, Capitaine Lothilde, trouvez-vous normal qu'un sergent qui, par hasard, a vent de notre conversation m'envoie un message, sur un ton plutôt condescendant, pour répondre à une de mes question ?
Chriskhan ne doutait pas de la positivité de l'action dudit sergent mais toutefois aurait aimé pouvoir trouver lui-même, plus facilement les réponses à ses questions... Quant au ton... Il n'en ferait pas une maladie, on ne peut pas demander à tout le monde d'avoir de la diplomatie...

Je ne prendrai pour exemple de ce qui me dérange que la journée d'aujourd'hui. Le soldat Chriskhan se levant le matin constate avec la même habitude que rien dans son courrier ne lui indique quelque changement dans les ordres reçus voici trois jours par un individu qui "aurait" démissionné. Ainsi donc le soldat sans ordres reçus se dit, comme un c.., qu'il doit continuer sur le même pli. Et ainsi se retrouve-t'il comme un imbécile tout seul le matin aux portes d'une ville dont il apprendra en toute fin d'après-midi qu'il aurait mieux fait d'aller labourer son champ... AH oui, en plus dans le courant de la journée, son pote Wykaël l'a rejoint. Ainsi ils étaient donc deux imbéciles au lieu d'un. On progressait ! Il passerait sous silence le fait que deux de ses hommes brillaient par leur absence.
Problème que le Sergent Vrek aussi connaissait...
A cet effet, j'ai une dernière question. Les soldats lorsqu'ils suivent le meneur, quand ils le font, ne devraient-ils pas remettre aussi un rapport au chef de groupe armé ? Comment savoir si ils ont suivi le meneur ou non. Impossible n'est-ce pas ... On doit encore...supposer...

Madame, j'ai bien lu les rapports que vous venez de me donner. Avec un peu de chance, et beaucoup de temps consacré, il est vrai que j'aurais pu les trouver. Ils sont éloquents te voici donc en fait le genre de document qui permet au soldat de savoir ce qu'il en est.
A une chose je vous répondrai "Oui Madame" ; je vous présente ma modeste candidature afin d'apporter mes modestes connaissances des rouages de l'armée à la refonte du code militaire. J'y ajouterai en tout premier lieu le B.A.-ba du soldat. Son manuel de base qui lui permettra de ne pas aller se faire raser dans le bureau d'un officier qui entretemps a été remplacé...

Je laisserai au Sergent Vrek, qui doit venir aussi vous rapporter, une chance que je lui ai dit, je lui laisserai, disais-je, le soin de vous dire combien nous sommes désabusés de ne pas recevoir d'ordres écrits (HRP : en RP sur le jeu).

Madame, je suis de tout coeur avec vous. Je ne comprends pas comment un soldat se retrouve avec vous ici même alors que vraiment vous devez avoir autre chose à faire. Trouvez-vous vite Madame des assistants capables, diplomates et disponibles ; il en va de la réputation de notre bien-aimé Chateau de Dole. De sa survie peut-être même...

Madame j'en terminerai en vous disant que le sergent Vrek, avec qui je suis venu attend certainement dans le couloir que vous la fassiez entrer.

Madame, à toutes fins utiles voici mon rapport pour la journée d'aujourd'hui. Mes rapports pour les deux jours précédents figures au bureau des PS pour la défense de Dole. Léonin a reçu aussi le sien le moment venu.


Chriskhan attendait à présent que la Capitaine Lothilde lui donne ses ordres ; après quoi, poliment il l'a prierait de l'autoriser à se retirer.

Edition du message à 20h20 ce lundi 8 septembre à 20h20... Je reçois ceci de Leonin...
A cette heure, cela ne devrait servir à rien mais je transmets malgré tout aux soldat de mon groupe armé...

L'aspirant Léonin ayant demandé de faire rapport au Capitaine Lothilde [/b[b]], Vrek se dirige donc vers ce bureau non sans se souvenir de sa dernière visite qui eut une suite plutôt orageuse. Vrek doit connaître les ordres pour son groupe armé.

En arrivant au bureau de la Capitaine elle reconnu la voix de Chriskhan. Elle attendit dans le corridor qu'ils aient terminé leur entrevue.
N'ayant plus vraiment le temps d'attendre et sachant que les interventions de Chryskhan était toujours très longues, Vrek décida de rebrousser chemin.

Vrek sourit en pensant à la situation! Elle n'arrivait plus à rencontrer son fiancé tellement il était occupé par tout ce qui se passait...

Bien drôle Jolicoeur

Vrek se surprit à penser à voix haute!

Il me faudra bientôt moi aussi convoquer mon fiancé à mon bureau afin de pouvoir moi aussi lui parler. Depuis quelques jours les officiers supérieurs ont plus de chance que moi.

Tiens, elle avait fait mouche...Il n'avait pas eu besoin de beaucoup de temps pour que le flot de récriminations sorte enfin...Il allait falloir démêler tout ça...et remettre les choses en ordre...A la dernière remarque, elle souleva simplement la main du bureau pour l'interrompre

Soldat Chriskhan...vous êtes venu frapper à ce bureau, vous avez des questions, c'est à vous que je réponds..Si le soldat Vrek a quelque chose à dire, elle fera la même démarche et viendra elle même..Ne vous sentez pas obligé de faire des convocations...dans mon bureau. Je sais faire ça très bien toute seule, et...vous vous débrouillez très bien tout seul, vous aussi, pour ne pas avoir besoin de me présenter des témoins de l'état de la garnison de Dole...Je m'étonne d'ailleurs que cet état de délabrement dont vous parlez soit si récent...En aviez vous déjà parlé au capitaine Occorax ? C'est pour lui ..dire tout ça que vous êtes venu ? ou alors...?

Se penchant un peu plus vers le soldat en haussant les sourcils

Suggéreriez-vous que le problème date...du 8 septembre ? d'hier ? l'ordre que vous me montrez..là...Il date bien... d'hier ? et il est de votre aspirant de garnison, responsable en l'absence de votre lieutenant, n'est-ce pas ?...Vous me dites ne pas avoir d'ordre, soit, je ne demande qu'à vous croire ...mais vous me prouvez le contraire ! je lis...pour ce soir vous pouvez travailler et ne pas défendre etc etc...ce n'est pas un ordre ? ...Soldat, qu'est ce que c'est un ordre, pour vous ? Je vais...prendre la liberté de vous en donner un... Vous avez...une semaine pour recruter 5 futurs soldats...et...2 jours pour récupérer les soldats de Dole et être prêt à entrer avec ce groupe dans l'armée qui est stationnée en dehors des remparts... le drapeau bleu...visible de partout dans le village...Vous voyez..un ordre peut faire comme certaines tares qui sautent les générations... sauter un barreau de la hiérarchie. Non ?

Elle n'attendait pas vraiment de réponse...L'orage était dans l'air et il était rarement bon conseiller...Elle repoussa à nouveau le dos au dossier du fauteuil sans lâcher le regard du soldat. ..pour le moins... courroucé qu'elle avait devant elle ...toutefois, elle ne détestait pas un peu de mesure dans les propos et tenait à le faire savoir

Soldat...l'individu qui aurait démissionné l'a fait par obligation et a même obtenu du parlement de rester plus longtemps qu'il n'aurait du...L'individu cherche des solutions parce qu'un autre individu, son lieutenant, n'est pas rentré de retraite, et qu'il n'a pas voulu abandonner la garnison...Soldat...Vous aviez envie de vider votre sac, videz-le...mais faites le avec sinon de l'élégance, du moins un peu plus de mesure...et d'objectivité...Parce que le problème de Dole, c'est son manque d'effectif, et ce n'est pas une nouveauté. Vous n'avez pas d'ordre ? allez travailler, simplement ! Je vous avais dit que je passerais à votre garnison...c'est vous qui êtes passé...et je suivrai votre conseil, je recruterai...des assistants diplomates, capables et disponibles...ceux que vous allez trouver, soldat...Pour les rapports de mission, c'est dans le bureau de la garnison qu'il faut les mettre..Oui...vous pouvez disposer, soldat...Nous nous verrons...dans 2 jours !

Un pigeon voyageur arriva du sud, porteur d'un message.

Citation :

Saluations mon capitaine,

je me permets de vous écrire suite au racket dont nous avons été victime, Zibob et moi-même, alors que nous étions en mission pour l'armée Franc-Comtoise. C'était il y a deux mois environs.

Depuis, on nous a dit que les coupables, des Lions de Judas, étaient jugé à Genève pour leurs crimes, et que nous pouvions espérer récupérer partie des biens qui nous avaient été volés. Je pense que le Lieutenant Snaky avait suivi l'affaire. Or depuis plus d'un mois, je n'ai plus eu aucune nouvelle à ce sujet.
Savez-vous ce qu'il en est ?

Je viendrai vous voir en personne dès que je serai rentré de campagne (nous nous sommes battus cette nuit). Vous remerciant d'avance,

Cordialement,

soldat réserviste Thoram

Le capitaine avait regardé le soldat de Dole quitter le bureau et rangeait ses notes dans un coffre. Le front soucieux...Il y avait un vrai problème dans cette garnison et elle allait y aller tambour battant. Elle leva les yeux à l'entrée du garde préposé aux pigeonniers du château et tendit la main pour s'emparer du message...Thoram...vieux de deux mois...décidément, c'était le jour à...machinalement elle leva le pied gauche pour examiner le dessous de ses bottes...non, rien dessous ! c'était bien la seule bonne nouvelle de la journée. Elle fit signe au garde d'attendre et rédigea rapidement une réponse

Citation :

je m'en occupe aujourd'hui...bonne campagne et qu'Aristote vous garde !
L. Capitaine

Tenez...Par retour de pigeon, je vous prie...

Vite...partir d'ici..l'épaisseur de la pile de documents posés sur le bord du bureau aurait fait fuir le plus courageux...Elle l'affronterait à la nuit...comme toujours. Le temps était clément, une petite promenade jusqu'à la garnison de Dole s'imposait. Elle ferma la porte et retrouva son ami Doko à la porte de la caserne...Nouveau soldat de Dole, tant mieux..Il était grand temps d'aller voir ce qu'il se passait là bas.

Avant la venue de Thoram, Chriskhan en termina...

Citation :

Je vais...prendre la liberté de vous en donner un... Vous avez...une semaine pour recruter 5 futurs soldats...et...2 jours pour récupérer les soldats de Dole et être prêt à entrer avec ce groupe dans l'armée qui est stationnée en dehors des remparts... le drapeau bleu...visible de partout dans le village...Vous voyez..un ordre peut faire comme certaines tares qui sautent les générations...

Aaaahhh ! Et bien voilà ! Vous avez tout compris, ce qui, soit dit en passant ,je n'en ai jamais douté.
Je vais vous demander, Madame, d'excuser votre serviteur si le ton qu'il a employé vous a paru déplacé. Certes j'étais un brin courroussé mais votre réponse m'a donné ce petit coup de fouet ("Ouilllle, pas trop fort tout de même...") qui me manquait.

Vos ordres sont clairs et je vais les exécuter. Dire que je vais réussir est certes prématuré mais je vais en tout cas m'y atteler !
A chacune de mes questions vous avez répondu et c'est certainement dans votre promesse d'essayer de remettre le pot droit que je vais croire pour l'instant.
J'en terminerai en vous disant que dans mon verbe, le mot "individu" n'est pas choquant. Ou du moins ne voulait pas l'être ! J'éprouve beaucoup de respect pour mon Ami (IRL) Léonin et plus encore à son grade. Seulement voilà, quand ça part en vrille cela a tendance à me laisser dépasser mes pensées...

Chriskhan était rassuré sur la tournure que prenaient les événements. Il retrouvait peu à peu sa bonne humeur naturelle ; presqu'assez joyeux pour avoir envie de bagatelle... Et la cavalière face à lui l'inspirait ! Et puis le petit coup de fouet MMmmmm l'avait bien remonté...
Mais ce serait Vrek qui en profiterait !

Madame, vous m'avez, je crois, autorisé à me retirer. Je vous présente mes respects, Capitaine.