[Archive]Bureau du Capitaine Jontas

Une demoiselle quelque peu claudiquante et encore bandée par-ci par la traversa la cour, et toqua à la porte du capitaine.

Apres avoir obtenue l'autorisation d'entrer, la jeune dame le fit et salua respectueusement son supérieur.

N'attendant pas d'autorisations paticuliere,.. elle s'assit face à lui et commença à lui parler.


"Pardonnez capitaine si je m'assied,... je ne puis je pense rester debout beaucoup plus longtemps sans souffrir le martyr. Nos médecins et infirmiers ont fait un travail admirable,.. mais la remissions complete n'est pas pour tout de suite... enfin,.. je ne suis pas venu pour me pleindre...

Juste pour vous poser des questions simple, je pense, qui amene réponse,.. réponse qui je pense pourrait aussi interresser d'autre que moi.

Aussi commencerai-je,

Serait-il possible de nous informer quant à l'issue de l'audit de l'armée, qui me semble-t-il,.. est en suspend depuis un petit temps deja,..
Il serait interessant de savoir ce que cela va impliquer pour nous soldat, étant les premiers visé par cet audit, quels en seront les conséquences,..

Secondement, les recent evenement, mon amené à me pencher un peu plus sur une interogation sur le cadre et le fonctionnement des cours martiale, étant entre autre en dehors du cadre militaire avocate, ce point m'interesse plus spécifiquement.

Et pour cloturer, quelque chose de plus spécifique, à savoir lors des dernieres manoeuvres lors de la campagne contre les briguand mon equipement: épée et bouclier ont été détruits, aussi maintenant n'étant plus efficace au combat, jen viens à me questionner quant à mon utilié, ma présence, monrole à jouer au sein de notre armée,... et si des disposition sont prevue quant à ceci.

Étant certainement très occupés, sur ce, je vais vous laisser, vous aurez ainsi le temps de reflechir à mes questions,.. et de me faire parvenir réponse aux questions qui me sont propre, et annonce aux sujets qui vous semblent opportuns."

La vesulienne se releva en s'apuyant qur le dossier de la chaise sur laquelle elle était assise et se dirigea vers la porte massive de la piece.

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Réserviste, garnison de Vesoul

Le Capitaine avait vu la demoiselle entrer dans son bureau, s'asseoir, lui poser plein de questions avant de se relever puis de commencer à partir. Il la retint d'un geste de la main.

Attendez !

Puis, Jontas sourit avant de la réinviter à s'asseoir.

Tout d'abord bonjour.

Ensuite, je peux répondre à vos questions dès maintenant, pas la peine pour moi de prendre une quelconque réflexion.

Au sujet de l'Audit de l'Armée. Des conclusions vont être faites mais la Franc Comtesse étant très prise par les procès en cour martiale qui ont lieux actuellement n'a pas pu les faire plus tôt. Cela ne saurait tarder, mais je peux vous dire que très bientôt des mesures présentées dans l'Audit et par mon succésseur vont être mises en places après discussion à l'Etat-major. Ce sera dans un premier temps seulement d'ordre fonctionnel. De plus, vous n'avez pas du vous en rendre compte actuellement étant à Vesoul, garnison qui possède un statut particulier actuellement, mais une politique intensive de recrutement et d'action en halle est mise en application, cela devrait porter ses fruits au fil du temps.

Pour la cour martiale, pouvez-vous m'en dire plus sur vos interrogations ?

Pour votre bouclier et votre épée, j'en suis fort navré, mais le seul moyen est que vous économisiez pour racheter une épée à moindre prix avec vos PS, c'est le seul moyen que nous ayons actuellement. Mais votre utilité pour l'Armée peut être énorme, il ne faut pas se démoraliser après une défaite et au contraire, il faut rebondir pour devenir plus fort et que la prochaine fois, ce soit différent.

Le Capitaine attendit alors une question supplémentaire de la demoiselle.

Voyant que Davina réflechissait, Jontas décida de faire entrer la personne qui venait de frapper.

Entrez.

Repos sergent, je vois, vous avez donc besoin de mon autorisation pour recevoir votre bouclier, c'est bien cela ?

Bien, je vois, c'est normalement auprès du Connétable Thomashawk que vous devez aller, c'est lui qui fait les mandats pour les armes et donc, pour les boucliers, mais si vous n'arrivez pas à le joindre, je peux tenter à mon tour de le contacter.
Mais ceci sauf si l'intendance préfère s'en occuper. Allez demander à la Lieutenante-Intendante, si elle vous dit de contacter Thomashawk, laissez moi une missive, je m'en occuperai.

Mais de rien Sergent.

Le Capitaine salua le Sergent Fitz et le regarda sortir.

Nathdeg toqua a la porte du capitaine Jontas.Elle avait quelque chose a demandé.Lorsque celui-ci lui donna l'autorisation d'entrer,elle ouvrit la porte et le salua comme elle le devait.

-Bonjour capitaine Jontas.

Lorsque cela fut fait,elle s'avanca de 2 ou 3 pas,pour refermé la porte.

-Comme vous le savez,mon procès préventif à été relaxé et je me demandais si je pouvais récupéré mes accès au dossier et à la garnison a laquelle je suis assigné ?

Lorsque sa question fut posé,elle sourit au capitaine en attendant une réponce de sa part.Elle espérait qu'il le lui redonnerait,pour qu'elle puisse enfin reprendre le travail comme avant.

Jontas salua Nathdeg et sourit quand il entendit sa question.

Mais bien entendu, voici vos clefs pour vos différents accès.

Le Capitaine lui tendit un trousseau de clefs.

Vous avez besoin de quelque chose d'autre ?

Nathdeg fut surprise de la rapidité a laquel le capitaine lui redonna ses clés.

-Merci.

Nathdeg sourit au capitaine avant d'ajouter:

-Non,je n'ai rien d'autre a demander.Je vais retourné au travail.Encore merci.

Nathdeg se diriga vers la porte puis le salua.

-Aurevoir capitaine et a bientot.

Nathdeg ouvrit la porte ressortit et la ferma derrière elle.

Bonjour, il faut que vous fassiez la demande auprès de l'intendance. Ce sont eux qui gèrent l'utilisation du paquetage.

Athenys fut quelque peu surprise de l'accueil plutôt glacial du Capitaine... Elle tombait mal sans doute...

Elle le remercia, le visage crispé, oubliant même de le saluer...( A vrai dire elle n'en n'avait pas envie..) et claqua la porte derriére elle... Son comportement pouvait lui valoir un séjour au gnouf mais elle n'en n'avait cure. Elle assumait ses actes...

Le Capitaine salua le soldat qui venait d'entrer et sourit quand il vit la raison de sa venue.

Il n'y a pas de problème, c'est tout à fait normal, ce noeud fait partie des terres de la Savoie depuis toujours. Nous sommes actuellement en train de tout faire pour qu'une vente soit effectuée entre nos deux contrées pour permettre la circulation de nos hommes sur ce noeud.

Néanmoins, merci de vous préoccuper de ce genre de détails. Cela peut être important.