Laboratoire de recherche

Parfait, recrue! Vous allez donc pouvoir me montrer les plans que vous avez conçus! dit 101112v d'une voix énergique.

Commençons par les perforantes, si vous le voulez bien, recrue.
Julie observait avec attention ce qu'il allait faire.

L'archère le regarda travailler pour bien retenir ce qu'il faisait. Elle voulait être capable de le faire aussi.
"Merci, recrue! Vous m'êtes utile."dit elle quand la recrue lui tendit la flèche.

Ensuite, le travail du Caporal Ecuyer pouvait commencer. La candide archère prit l'un des trois morceaux de restants de la buche de frêne, elle mit un peu de colle dans le trou de la pointe et y mit le fût. Ne restait plus qu'à mettre les flèches. Pour cela, il fallait des plumes. Il n'y en avait pas malheureusement ici.

"Recrue, sauriez-vous où trouver des plumes? Si ce n'est pas le cas, pourriez-vous aller demander au lieutenant DanTr?"dit la belle archère avec gentillesse.

101112v attendit la recrue. Soudain, la porte s'ouvrit, elle aperçut immédiatement SamouraïSpirit avec des plumes dans les bras, il y en avait beaucoup trop. Cela fit sourire la canidide archère.

SamuraiSpirit a écrit:

Voulez vous que je forge les autres pointes de flèches?
Ou que je fasse une incendiaire pour que vous voyez a quoi cela ressemble en vrai?

"Non, merci! Le but de mon expérience est d'abord de créer une flèche quelle qu'elle soit. Mon prochain objectif sera de créer une flèche adaptée à l'arc que j'ai créé."

La candide archère prit la flèche et fit trois trous de petite taille. Avec dextérité, le Caporal Ecuyer mit les plumes dans les orifices. Pour que cela tienne, l'archère, avec des fils de chanvre, attacha la base de la plume. La flèche semblait bonne. Il fallait tester.

"Recrue, nous allons à présent tester la viabilité de la flèche."

L'archère prit un arc anglais. Elle banda l'arc et tira sa flèche comme si elle se trouvait dans un entraînement. La flèche fila rapidement et droit. C'était réussi!

Le Caporal était très satisfait. Elle souriait énormément.

101112v sourit poliment.

Bien, à présent, nous allons nous occuper de créer une flèche adaptée à l'arc juliénien. Créez plusieurs pointes de flèches, je m'occupe du reste.

Le Caporal Ecuyer prit une buche et la coupa en quatre. Ensuite, elle donna la forme du fût au morceau de bois.

Quand 10112v eut fini ses fûts de flèches et de leurs mettre des plumes, elle regarda où était le jeune soldat. Nulle part! Par contre, il y avait beaucoup de pointes. Ce qui compensait sa non présence.

Le candide Caporal se mit à enfiler les pointes pour qu'elles tiennent. Une fois fait, il fallait tester si le poids était bien réparti pour l'arc juliénien.

Elle sortit pour aller sur le terrain d'entraînement faire les tests avec vingt-sept flèches.

La jeune archère arriva en espérant y voir le soldat. Il n'y était pas. Cela n'était pas grave, plutôt que de lui demander de faire des pointes flèches, elle essayerait.

Le candide Caporal commença par une grande reflexion, comment avait fait le soldat pour créer une pointe de flèche? Elle se rappela de tout, Julie voulait essayer.

L'archère s'approcha de la cheminée, y mit du bois et un peu d'huile pour que le feu parte rapidement. A l'aide d'un briquet de métal qui fonctionnait grâce à une pierre, l'archère envoya des étincelles sur l'huile qui s'enflamma aussitôt. Le feu était parti.

Le Caporal Ecuyer utilisa le souflet pour que le feu ne s'éteigne pas. Il faisait chaud, l'archère se mit à suer. Elle s'essuya le front avec son bras. A cause de la chaleur, 101112v ne portait que sa chemise retroussée et sa jupe.

La cheminée était faite pour la fonte. Quand il y eut assez de métal en fusion, l'archère le fit couler dans un moule prévu à cet effet. La candide archère rajouta du sable pour que le métal résiste mieux à la rouille.

Ecuyer prit une barettes d'acier et fit entrer un petit barot en fusion. Elle le retenait à l'aide d'une vieille pince. Quand tout fut fondu, l'archère plaça le métal sur l'enclume, maintint le barot et frappa avec un marteau pour donner la forme voulue. 101112v retourna le barot avec un gros marteau. Julie applatit l'arrière et le découpa avec un burrin en forme de triangle.

Le Facteur d'Arc tordit les bords du triangle pour en faire l'enveloppe du corps d'une flèche, ellle laissa assez ouvert pour que le fût de la flèche puisse entrer. Dernière étape, l'aiguisage, demoiselle Ecuyer utilisa une pierre ponce jusqu'à ce que la pointe soit parfaite.

La belle archère fit rapidement un fût et le mit dans le pointe pour que cela crée une flèche complète et parfaite.

Julie créa une vingtaine de flèches avant de s'arrêter.

Le Facteur d'Arc arriva dans l'après-midi. Elle était vêtue de sa chemise blanche qui avait été lavée depuis peu, de sa jupe rouge qu'elle avait elle-même faite et de la couronne de lys que son grand-père lui avait faite lors de sa maladie.

Le candide Caporal avait avec elle les plans de l'arc que le soldat lui avait demandé. C'était dommage, il n'y avait aucune indication utile. Il faudrait tout faire seule.

Julie prit une branche d'if qui avait été coupé verte sans avoir séché. 101112v prit la plane de menuisier, la posa sur la branche et tira vers elle.

Ensuite, elle détermina avec précision les trois cinquièmes du futur arc. Elle dégagea une latte d'une largeur de quarantaine de centimètres. Elle indiqua l'endroit de la poignée, de la partie droite de l'arc vers les extrémités, le jeune facteur d'arc coupa les bords en cône. Elle réussi à obtenir une ébauche, le début de la forme que prendrai son arc.

Une fois fait, elle prit trois modèles différents de râpes. Le premier modèle qu'elle prit s'appelait Rundfeile. Avec ce modèle-ci le candide Caporal dégrossit vulgairement mais rapidement. Cette étape finit, la jeune archère s'empara du modèle die Halbrundfeile, lime à demi ronde, elle fit une partie importante de dégrossissement avec le modèle demi rond. Et le dernier, mais de loin pas le moindre die Vogelzungenfeile. Elle l'utilisa pour continuer le dégrossissage.

Ce long et fastidieux travail enfin terminé, elle s'empara d'un rabot appartenant au modèle des varlopes. Elle pouvait finir le dégauchissement pour rendre le bois lisse. Puis elle continua jusqu'à ce que le bois soit aussi lisse que prévu. Elle apporta entre ses deux mains jointes le deuxième rabot qu'elle avait l'intention d'utiliser. Le rabot riflard allait aplanir de sorte que l'arc soit uniforme sans aspérité ni prospérité.

Tout cela lui prit quelques heures, c'était très fatiguant alors l'archère rentra chez elle pour dormir.

Le Caporal Ecuyer revint pour achever le travail que lui avait demandé SamouraïSpirit. Il ne restait plus qu'à faire la corde de chanvre.

Ce ne fut pas trop fatigant et elle repensa à ce qui c'était passé à Pontarlier et ce que son grand-père lui dit sur les propos d'un lion de Juda. Pour cette personne les lions avaient voulu libéré Pontarlier en l'obligeant à devenir une république.

L'archère décida de tester l'arc. Comme l'arc était fragile, elle dû faire grande attention. La flèche partit bien mais ne put que parcourir cent mètres.

Etait-ce réussi? Il fallait le demander au soldat.

Je voudrais savoir ce que vous en pensez. Je ne suis pas sûre de l'avoir réussi.

Le candide Caporal tendit l'arc au Soldat Samouraï et attendit qu'il l'essaye. Il y avait peu de chance de l'avoir fait à la perfection mais Julie espérait tout de même.

L'archère contempla le soldat quand il se mit à tirer. Il avait l'air impassible comme toujours. C'était un singulier spectacle.

Après son tir, elle demanda : "Alors? Etait-il bien fait?" L'archère avait beaucoup d'espoir.

Le samouraï prit l'arc qu'elle lui remit....
Se mit en face de l'arc, la cible sur sa gauche, le torse vers l'arc et la tête vers la cible....
Il leva les bras tendus avec l'arc et en bandant l'arc ses bras prirent naturellement la position basse, la flèceh au niveau de la tête....

En un mouvement fluide et inatendu la flèche fila droit et disparut....

C'est bien mieu que ce que j'attendait....
Vous avez fait un travail remarquable....
Comment allez vous la nommer?
C'est a vous de la batiser.

Dit il un sourir curieux et serein au visage...

"C'est bien mieu que ce que j'attendait...."
Julie se dit que c'était une remarque maladroite de sa part. Cela pourrait être interprété par "Je ne pensais pas que quelqu'un comme vous pourrait faire un tel travail (en bien)" ou par "Je n'ai jamais vu un arc aussi bien fait". L'archère y réfléchit un peu et se dit que ce devait être la deuxième. C'était plus logique, il était poli pas comme un autre soldat...

Le Caporal Ecuyer le remercia de ses compliment et répondit à sa dernière phrase ainsi : "Je pensais dire que c'était un arc de type écuyen. Ou bien vouliez-vous que je donne un nom à cet arc en particulier?"

La candide archère attendit la réponse du soldat en admirant son impassibilité. Il cachait à merveille ses émotions, contrairement à un autre...

Si vous n'y voyez aucun inconvénient, on dit que l'arc est a l'image de son fabriquant...


Cette phrase pouvait être interprétée de différentes manières : une possibilité était pour dire que Julie était très forte car la flèche était entrée dans le mur ; une autre que l'archère était une personne de qualité comme cet arc.

L'archère pensa ne pas avoir été totalement comprise par le Soldat. Quand elle proposait que l'arc soit écuyen, c'était pour le type. Par exemple, on dit des arcs droits courts que ce sont des arcs français. L'idée du Caporal était donc que les arcs asymétriques longs soient dit écuyen.

"Pour le nom alors que sa soit le votre..."
Julie accepta en faisant un signe de la tête.

Sourit satisfait de la qualité de l'arc, le samouraï demanda....

Et pour le prix du travail? A combien est fixé le montant?
Si vous ne l'avez pas encore faite, prennez votre temps, celon les matériaux et le temps que cela vous a prix.

Cet arc long est donc bien écuyen, et se nommera Julie-sama.

D'un air sérieux, il ferma les yeux prit l'arc entres ses mains jointes et soufla quelques mots en une langue ancienne....

Je vais redéposer l'arc anglais que j'avait emprunté, celui la me sera certainement d'un grand secour sur le champs de batail, que sa soit sa forme majestueuse ou ou sa détente extrème. Ah...oui...avez vous compris ce que, je vous montrai par la flèche? Je voulais seulement vous montrer que la puissance de l'arc dépasse de loin tout les autres, je ne l'avai même pas bandé totalement, il peu tirer jusqu'a 200 voir 250 mètre...

Je vais déposer l'arc maintenant....

Le prix, je n'y avais pas pensé. Mais, comme j'ai utilisé les ressources de l'armée pour faire une arme nouvelle, je ne pense pas que cela doive vous coûter quelque chose. Mais si vous voulez vraiment payer, il faudra sûrement voir le Lieutenant DanyTr.

L'archère était un peu perplexe depuis un moment, il lui semblait qu'il y avait quelque chose de différent chez le Soldat. Soudainement, elle se rendit compte que ce qu'il y avait de nouveau, c'était la médaille qui était accrochée à son uniforme. Le Caporal fut assez jaloux, mais le cacha à merveille.

Julie avait depuis un certain temps eut l'idée d'essayer de grader ou de gagner des médailles mais ne savait pas comment s'y prendre. Elle devrait sûrement en faire plus pour l'armée, mais en faisant quoi?

Le samouraï aquiéssa et dit, mais je parlait de votre travail, pas des matériaux de l'armée. Je voudrait vous remercier mais je en sais pas si l'argent ou des services pouraient vousconvenir.

Puis voyant que la caporal posait son regard sur son uniforme le samouraï pensa avoir négligé sa tenue et vit bientot ce qui attirai l'attention de la caporal.

J'ai ressu ce bout de métal qu'ils appellent médaille de la loyauté, apparemment parcque moi et mon frère d'arme Sire_binou avons suivis et combattus sans relache et avec courage. Alors que je ne me dévouait que naturellement à ma tâche....
Je ne comprend pas pourquoi on nous "décore" pour des actes naturelles....
Somme nous moches?
Pouvez vous me dire à quoi elles servent caporal?

Ses médailles revêtent une certaine importance. Dans votre cas, il faut croire que même si vous n'avez fait que votre devoir, cela a dû être très bien fait avec beaucoup d'énergie. Une médaille, sert aussi à se distinguer des autres pour montrer les exploits, par exemple.

Le Caporal ignorait si elle exprimait correctement l'honneur que de recevoir une médaille, le mérite nécéssaire.

Hum... Ni queu ni tête tous ca....
Si je comprend bien, c'est une récomprence...

Le Samouraï hocha négativement la tête la main sous son menton, pensif....

Cela veut dire qu'on est des salariés pas des défenceurs....
Car c'est pour la récompence l'honneur et la paye qu'on se bat....
Hum....Ce n'est pas sérieux comme code d'honneur.....
Mais peu importe si c'est la coutume...

Dite moi.... Avez vous besoin de quoi que se soit de la forge?
Vous savez vous m'avez fort bien aidée, vous pourez toujours compter sur moi...

Il parlait d'un ton posé et sérieux, le visage sincère et impassible, scrutant le regard de la jeune archère, attendant une réponce....

C'est une façon de voir...
Julie avait de la peine à comprendre le Samouraï. Chacun sa culture, après tout. Ce n'était pas trop dérangeant, du moment qu'il comprenait que les gens ici ne voyaient pas cela comme un salaire...

La forge? Je ne crois pas. J'ai tout le matériel qu'il me faut...

101112v réfléchit un peu mais ne voyait pas ce dont elle aurait besoin, elle avait une épée, grâce à lui, l'archère pouvait fabriquer des pointes de flèches. Ce qui lui fit penser qu'elle n'était pas sûre de la qualité. Le Caporal tendit quelques flèches qu'elle avait faite et lui demanda : Qu''en pensez-vous? je les ai faites seule et je voulais savoir si c'était de bonne qualité.

Par l'ennui le plus total, l'officier de l'intendance décide de quitter son bureau. Hop, tout est vérouillé. Le trousseau de clefs est accroché au ceinturon qui contient son épée longue constitué d'un acier d'une sublime qualité. Un reflet bleuâtre, pour les connaisseurs, dévoile cette qualité. La lame est contenue dans un fourreau de cuirs bouillis et tressés, à sa hanche droite. Pourquoi ? Probablement, car il est gaucher. Ce serait pas stupide pour un dégainer-frapper. La hanche gauche est pourvu d'un poignard, à la lame d'un acier d'une qualité acceptable. Bref, il déambule dans les couloirs de l'intendance avant que le bruit de deux comparses soient entendus dans le laboratoire de recherche. Ahem. C'est sans doute deux chercheurs-ingénieurs. Que va-t-il faire ? Aller embêter. Bah ouais, il faut bien motiver les troupes, n'est-ce pas ?

Alors, l'aspirant entre dans le laboratoire de recherche. Son uniforme est impeccable contenant naturellement son grade et ses galons visibles pour ne pas constituer de conflits avec des militaires. Ses deux prunelles émeraudes et dorées se posent sur le Caporal Julie et le Soldat Samuraispirit. Son visage bronzé, sans l'être trop, porte une barbe qui nait sous son menton, enveloppe ses lippes, pour finalement trépasser sous ses deux narines. Sa chevelure mi-courte est d'un jais total, comme sa barbe. Le corps musclé, d'une taille moyenne. Les deux minines de l'homme viennent se poser sur ses hanches après avoir refermé la porte.


Oh ! Que faites-vous ici ?

Question stupide, réponse stupide. Ou pas.

HRP : Pour que ce soit clair, Julie est le surnom de mon personnage et non pas son vrai nom. Pourquoi tout le monde se trompe?

L'archère était en train de parler avec le Soldat quand quelqu'un entra. En voyant l'uniforme de Lieutenant d'intendance, 101112v (prénom) Ecuyer (nom de famille) se mit au garde à vous.

Ce qu'elle faisait là? Il n'y avait en théorie qu'une réponse : de la recherche, mais il était vrai qu'actuellement, elle discutait avec le solat. Julie (surnom) dit la vérité : "J'étais en train de discuter avec le Soldat Samouraï sur des flèches que j'ai faites."

Le samouraï prit les flèches que lui tendait la caporal au moment ou l'aspirant entra et comme s'il les prenaient en flagrant délit de travail dit:

Citation :

Oh ! Que faites-vous ici ?

Le samouraï se mit au garde à vous et saluat l'aspirant.

Mes respects mon aspirant!

Sa voix impassible et calme ne laissait refléter aucun sentiment....
Puis entrepris de répondre à la question.....
Nous travaillons....
Mais ètes vous venu pour cela ou pour une commande mon aspirant?

Le samouraï étudiait machinalement la texture des pointes de flèche tout en gardant le regard fixé sur l'apirant, il en tirait déjà quelques remarques qu'il se gardait pour plus tard....

Julie écoutait les deux hommes tout en regardant dans les yeux de l'Officier d'Intendance et ce parce que les siens étaient verts. Elle aimait beaucoup le vert, c'était d'ailleurs pour cela que Kalosskagatos avait été peint de cette couleur.

L'archère n'avait rien à dire.

HRP : "Si on joue dans le registre du rp, comme prénom, c'est excessivement pas crédible. J'aimerais bien appeler mon fils 3525677."

Tout dépend de ce que l'on veut interprété. Dans ce monde, peut-être que 101112v est courant...
Et ne me sortez pas l'argument sur l'histoire à cette époque, s'il vous plaît.

Le Samouraï réflchit un instant puis fit le compte....

Cela prendra un moment, mais je le ferait....
Pour le minerai, cela me prendra trois jours de fonte pour former un acier semblable a l'acier tamahagané.....
Et les pièces des kakana me prendrons une journée a préparer (pièces de la garde, foureau).....
Et finalement pour trois lames (dont les deux premièr sont les commadés) serons forgés, martelés et pliés lors de la fonte en couches (matelassés...) cela prendra une journée pour chacune des lames (comme je suis seul à forger c'est plus long)......
Puis je les polieraient et les graveraient en une journée....
Voila le programme, en tout et pour tout j'en ai pour une semaine entière....
Je commencerait dé aujourd'hui mon aspirant....

Le samouraï légèrement pensif, regardait droit dans les prunelles de l'aspirant.....
Son regard s'était enflammé d'une lueurs qu'il n'avait pas souvent en ces temps....
Celle des forgerons d'âmes Samouraï.....

"Si vous le voulez, le caporal ici-présent pourra peut-etre apprendre cet art, si vous le maitrisez et si, tout naturellement, elle est intéressée à forger."



La candide archère écouta attentivement le Lieutenant. L'archère acquiesça légèrement de la tête à sa proposition. Apprendre l'art de forger, ce serait intéressant. Du coup, elle assisterait Samouraï alors qu'il y a peu c'était l'inverse. Très amusant.

Comme elle était songeuse, elle plissa légèrement ses magnifiques yeux bridés en regardant le Lieutenant et ne bougeait pas d'un pouce.

"Caporal, ma présence, vous ennuit-elle ?"

Le Caporal Ecuyer fut comme rappeler à la réalité. Elle sortit de sa rêverie pour répondre ainsi : "Non...non... Vous ne m'ennuyez...pas..." L'archère se demanda si elle devait lui en demander la raison mais préféra s'abstenir.

Mes respects mon aspirant!

L'archère n'avait pas compris qu'il faisait de l'humour ne et rit donc pas.
Julie se mit au garde à vous quand l'Aspirant partit.