[Archive]Bureau de la Grande Intendante Dina

Jerone souria à l'annonce de son nom et repondit.

C'est pas moir qui l'ai mis sous cette forme le rapporte j'ai juste fais comme me le demandait le connetable.

Pour ce qui est du CAC et du Bailli si vous voulez qu'on fasse les commande il nous faut les clef speciale pour acceder à leur bureau.

Effectivement, vous pouvez récupérer votre billet.

Hop, il lui est rendu à Krane.

Je vais vous donnez les clefs, dès que les rapports seront uniformes, ne vous inquiétez pas à ce sujet, sergent chef !

Franchesco qui n'avait rien à ajouter resta silencieux.

la médecin se fit la plus petite possible et partit sur la pointe de pieds, son stratus comme
elle l'avait demandé venait de changer, donc c'est avec un grand soupire de soulagements
qu'elle s'en alla...

une fois la porte passée, et tourna sur sa droite et partit à petite foulée a la salle de classe..

Si tout le monde est aussi silencieux, c'est que vous êtes tous d'accord et également que vous avez très bien ce que je raconte ? C'est très parfait, voyez vous !

Ayant écouté l'homme qui semblait être le chef de ce bureau, et voyant son visage de découragement face au silence de tous, Ahainepeheux prit la parole pour donner son avis.

Messire, veuillez excuser mon silence mais personnellement, je ne vois pas de problème.
C'est pratiquement les mêmes rapports que le gouverneur Chevreux me demandais de faire lorsque j'étais à son service. Et de ce qu'il m'expliquait, cela lui permettait de savoir clairement ce qui se passait dans l'armée.

Il m'a expliqué que seul le logisticien pouvait savoir -- au moment présent -- le nombre de personne dans son Ost. Et le trésorier ne pouvait que déduire ce nombre de par un peu de mathématique.

Pour les demande de ravitaillement, je dois avouer que ce fut toujours le gouverneur Chevreux qui les faisaient, car il changeait souvent de trésorier et de logisticien, jusqu'à ce que je me mette à son service.

Depuis, avec la MS ou l'Armée Pourpre, je n'ai pas eu à faire de demande non plus.

Donc, pour moi, si je dois en faire, votre formulaire me convient.

Maintenant, si vous le permettez, je vais aller me repopser un peu, après avoir fait mon rapport au gouverneur Macricri.

Folinus avait suivi la conversation sans trop faire de bruit.
Il ajouta son avis.

-" Pour le rapport, aucun problème.
En ce qui concerne les demandes de ravitaillement,
là j'aurai besoin que l'on m'apprenne la procédure."

Jerone appuya la demande de folinus.

Si je dois assumer cette fonction autant que je sache quoi dire à mon beau frere le CAC

"Idem de mon côté" surenchérit Sire_Binou.

Naturellement, je vais vous montrez les procédures et vous donnez vos clefs, dès que je vais avoir terminé d'en parler à SaSa, à Lothilde et à Macricri. Sauf que c'est une question de deux jours, au grand maximum avant que vous soyez capable de tout faire ça.

Le soldat Debenja arriva devant le bureau du grand intendant, frappa à la porte et attendit qu'on lui permette d'entrer.

Quelqu'un frappe à sa porte ? Oh, c'est curieux, car ça doit faire bel et bien une dizaine, bien plus que ça que personne est venue ici. Sauf quelques missives ici et là, que ça, ça vient par flot constant.

Le Grand intendant se lève doucement de son siège de fonction pour se relever. C'est bien plus courtois d'attendre debout lorsque quelqu'un entre.

Vous pouvez entrer.

Debenja entra dans le bureau et salua l'intendant.

Soldat Debenja, Monsieur.

Si je viens vous voir monsieur c'est que je suis trésorier dans l'ost du gouverneur derdekan. J'ai donc lu la missive que vous avez envoyé mais je ne comprends pas tout à fait ce qui est demandé, pourriez vous m'expliquer cela, Monsieur?

Mes salutations, soldat.

Oui, je crois que le message est devenu très peu compréhensif lorsque je l'ai demandé en tentant de l'expliquer sans trop le faire, ce qui a donné de piètres résultats. Alors, excusez moi, Votre Grandeur.

La franc-comtesse sortante, Macricri, m'a demandé à ce que responsabilise les soldats des différents ost, donc les trésoriers et logisticiens. Le Parlement et le Capitaine aiment bien connaître les coûts réels de l'armée franche-comtoise. Alors, Macricri m'a demandé à ce que je délègue les rapports hebdomadaires, du moins commencer à faire des rapports hebdomadaires, et que ce soit les trésoriers qui fassent ceux-ci et me les transmettent.

De plus, les trésoriers et logisticiens vont devoir être capable d'aller au bureau des payes, faire une commande de ravitaillement et de ravitailler l'armée dans lequelle ils ont position.

Est-ce mieux expliquer, soldat Debenja ?

Je pense Monsieur. Vous aurez donc besoin du montant total des salaires versé durant une semaine, c'est bien cela?

Je pense avoir compris alors, merci messire.

Oui, votre Grandeur. C'est exactement ce que j'ai besoin de manière hebdomadaire, le montant total des salaires versés durant cette période.

Avez-vous d'autres questions ?

Non Monsieur,

Merci Monsieur

Debenja salua l'intendant et quitta son bureau

Très bien, Soldat.

Je vous souhaite une bonne journée.

L'intendant lui adresse un bref salut militaire avant de le laisser quitter son bureau. Après ça, il retourne à ses chats, comme le dit l'expression.

Quelques jours plus tard le soldat Debenja était de retour au bureau de l'intendant. Il frappa à la porte et attendit qu'on lui donne l'autorisation de rentrer

Vous pouvez entrer !

Le Grand intendant se lève doucement de son fauteuil de fonction, contournant le bureau, pour être vis à vis de la personne qui va entrer dans son bureau. N'ayant bien entendu, aucune idée de la personne qui cogne à sa porte. Sauf que bon, c'est toujours un plaisir pour le militaire d'acceuillir respectueusement les gens dans son bureau.

Debenja entra dans le bureau comme on le lui avait demandé.

Soldat Debenja, Monsieur.

Je viens vous voir a propos du rapport que vous demandez.

Voila, je dois vous donner le chiffre total de la semaine ou bien un rapport jour par jour? Car le nombre de militaire à changé plusieurs fois durant la semaine!

Mes respects, Soldat.

Hm.

Le rapport est hebdomadaire. C'est le chiffre total de la semaine. Car le rapport jour par jour, je le vois au sein de vos OST. Sauf que la Comtesse Macricri désirait que les tresoriers soient responsabilisés, alors, capable de fournir un rapport.

Mon explication est utile ?

Debenja tendit le rapport qu'il avait préparer à l'intendant.

Est-ce que ceci est acceptable monsieur?

Citation :: Rapport du trésorier de l'armée Aequitas pour la semaine du lundi 6 juillet au dimanche 12 juillet :

Total des dépenses : 1554 écus

Effectifs :

Lundi : 13 hommes
Mardi - Jeudi : 12 hommes
Vendredi - Samedi : 22 hommes
Dimanche : 18 hommes

Trésorier :
Debenja von Riddermark

Le document est attrapé.

Il visionne doucement les informations.

La valeur du pain est-elle ajoutée, ou ne l'est-elle pas ?

Ah juste, je l'avais oublier cela. Je m'en vais de suite corriger le document et je vous reviens avec tous les détails.

Le soldat Debenja revint quelques instants plus tard avec le document complété.

Citation :: Rapport du trésorier de l'armée Aequitas pour la semaine du lundi 6 juillet au dimanche 12 juillet :

Dépenses en écus : 1554 écus
Dépenses en pain : 112 pains

Total des dépenses : 2338 écus
(le prix du pain calculé à 7 écus)

Effectifs :

Lundi : 13 hommes
Mardi - Jeudi : 12 hommes
Vendredi - Samedi : 22 hommes
Dimanche : 18 hommes

Trésorier :
Debenja von Riddermark

Le document est attrapé dans la menotte de l'homme pour l'observer attentivement. Vraiment, le Comte Debenja a fait un excellent rapport. Un sourire se fend même sur ses lippes, pendant qu'il le prend doucement.

Merci, soldat.

Puis-je l'utiliser comme exemple pour les autres tresoriers ?

Et bien ma foi, pourquoi pas.

Mais essayez de voir avec madame la comtesse macricri pour savoir si c'est bien ce genre de rapport qu'elle souhaitait. Enfin ce n'est qu'une proposition. Elle souhaitait peut être voir d'autres éléments apparaitre.

Oui, votre Grandeur. C'est certain que la comtesse Macricri aurait vue ce rapport, sauf que personnellement, il est complet.

Mais bon, dès que j'ai toutes les informations en main, je vais pouvoir réessayer à faire en sorte que le trésorier et le logisticien puissent, eux-même, aller au bureau des payes pour demander un ravitaillement. Car actuellement, c'est le gouverneur qui fait cette tâche.

Franchesco vint taper à la porte du Grand intendant et patienta.

Oui, vous pouvez entrer !

Le Grand intendant doucement de son fauteuil de fonction, une nouvelle fois en quelques jours, contournant le bureau, pour être en face de la personne qui va entrer dans son bureau. N'ayant bien entendu, aucune idée de la personne qui cogne à sa porte. Au moment même, qu'il verra le Franc comte, il se met au garde-à-vous.

Mes respects, monsieur le comte.

À vos ordres.

Franchesco ouvrit la porte à la réponse du grand intendant et entra dans son bureau. Souriant de le voir se mettre au garde à vous, chose que peu faisaient alors qu'ils le devaient d'après le protocole, Franchesco se rappela l'Armée...

Repos, repos. Dit il amical.
Puis-je vous demander comment vous vous portez ? Demanda Franchesco en s'avançant dans le bureau.

À la demande de se mettre au repos, c'est ce qu'il fît devant le Franc-comte. En effet, selon le protocole, le franc comte est le chef de l'armée franche-comtoise. De plus, un protocole participe activement à la discipline, donc, est une chose assez importante.

Le Grand intendant fît signe au franc-comte de s'assoir sur son fauteuil de fonction. Du moins, si il en a de besoin. Ne sait-on jamais.

Bien entendu que vous le pouvez, votre Grandeur. Ma réponse est que je me porte assez bien actuellement. Puis-je vous poser la même question ?

Franchesco souriant prit place derrière le siège indiqué et s'y appuya, il resterait debout, il ne devrait pas en avoir pour longtemps.

Bien sur oui, et bien pour ma part je me porte bien aussi... mais tout ne va pas bien pour autant. Sourit. Je venais pour vous demander une petite chose.

Se retourne vers la porte du bureau et la montre du doigt en parlant.

Vous savez, vos archives dans le couloir. Se retourne vers le grand intendant. Les archives de l'intendance, il faudrait que vous déokaciez tout vers la salle prévue dans les archives centrales. Car cette salle, celle des archives de l'intendance, doit être détruite.

C'est normal que tout ne puisse pas aller parfaitement bien, Monsieur le comte. Surtout lorsqu'on est au plus haut poste de Franche-comté et qu'il doit y avoir des problèmes quoitidienne.

La petite chose, si je comprend bien, c'est que vous voulez que je transfère les archives de la vielle intendance jusqu'aux archives centrales, la salle actuelle va été détruite. Ce sera fait dans quelques vieux, monsieur le comte. Du moins, sauf si je tombe sur un pépin et que je ne puisse pas ouvrir la porte des archives centrales.

Avez-vous d'autres choses à me demander, monsieur ?

Souriant.

Non, c'est tout messire le grand intendant, je vous remercie.

Très bien, monsieur le comte.

Alors, je vous souhaite une bonne journée !

Merci, vous de même.

Quitte le bureau après un signe amical.

Le signe amical est rendu.

Cassandre se dirigeait vers le bureau du Grand Intendant après avoir eu un échange de courier. Elle avait apprise que depuis le 19 juillet elle était la trésorière sans en avoir été informé. La situation avait fâché la jeune femme parce qu’elle a toujours prit son travaille avec l’armée à cœur et l’a toujours effectué comme demandé. Elle marchait donc vers le bureau de Fenixum tout en marmonnant. Cass frappa à la porte du Grand Intendant, elle replaçait ses cheveux puis regarda rapidement son uniforme pour être certaine qu’elle se présentait bien devant lui.

Vous pouvez entrer.

L'homme se levant encore une fois de son fauteuil de fonction. Refermant quelques dossiers vu que de manière très matinale, il avait joué avec le coffre-fort des PS. Cassandre devrait s'y rendre, car de toute manière, tout le monde va devoir commander très bientôt. Elle est fachée, car elle ne le savait pas ? C'est des choses qui arrivent. Sauf qu'elle devrait être plus calme, pour être plus efficace. Ce n'est pas de sa faute et elle devrait le savoir. Alors, en espérant, au nom du Très-Haut que ça n'affecte pas son efficacité.

Cassandre entendit l’invitation de l’homme à entrer. Ce qu’elle fut pour ne pas le faire attendre. Elle entra donc dans le bureau tout en faisant son salut militaire, main au front, elle parla sur un ton comme il lui avait été enseigné lorsqu’elle était en présence de supérieurs

Bonjour Grand intendant, je suis venue vous portez le rapport demandé lors de vos écrits de ce matin.

La jeune infirmière restant droite tendit vers Fenixum le rapport.

Citation :: Le solde de la trésorerie en date du 25 juillet 1457
est de 232.00 écus

J’ai 6 soldats a payé et avec un retard de 5 jours. Donc j’aurais
dû verser pour 420.00 écus aujourd’hui. Il me manque donc 188.00 écus

Je verse donc aujourd’hui les salaires à 6 soldats en attendant ce qui manque

Donc nouveau solde de la trésorerie est de 148.00 écus

J’espère qu’il est comme vous le désiriez. Je vous amènerai dans les prochains jours à la première heure, comme ça vous l’aurez en arrivant ici le matin.

Elle lui avait posé sur le bureau puis refit un pas en arrière, attendant la suite sans dire un mot, restant droite comme une barre de fer.

L'homme laisse naturellement le Soldat Cassandre d'Avantie entrer dans son bureau. On lui adresse un salut militaire exécuté de sa menotte gauche. Sa langue venant doucement glisser sur ses lippes pour avoir une élocution parfaite, du moins meilleure que si ses lèvres auraient restée seches.

Repos, soldat.

Le rapport est doucement attrapé, observé pendant quelque instants avant que le Grand intendant face un demi-pivot pour prendre une feuille de rapport vierge.

Citation :: Date : --

Trésorie avant paye :
Trésorie après paye :
Coût quotidienne des soldes :

Nombre de soldats et solde versée à chacun :

Notice : Si il y a.

Est-il possible de mettre ce rapport là au lieu du rapport que vous venez de me montrer ? Car, lorsque vous faites vos rapports et que vous les déposez dans le casier à rapports au sein de l'armée pourpre, je préférais que ce soit lui.

Cass l'écoutait sans rien dire, au repos comme il lui avait demandé. Elle prit le papier tendu puis se permis d'approcher le bureau de l'intendant, prenant plume et transcrit les informations demandés

Citation :: Date : 25 juillet 1457

Trésorie avant paye :232.00
Trésorie après paye :188.00
Coût quotidienne des soldes :84.00

Nombre de soldats et solde versée à chacun : 6

Notice : Nous devions donné les payes de 5 jours, mais comme il n'y a plus assez d'argent je n'ai que donné que pour cette journée.

Elle se recula en donnant le papier à Fenixum.

Voilà c'est fait. Pardonnez moi je dois retourner à mon infirmerie si vous me le permettez, des soldats doivent faire leurs visites. En passant, vous aussi.

Elle le regardait se taisant, attendant sa réponse si elle pouvait quitter.

Le formulaire est doucement reprit au sein de sa menotte pour être rangé un peu plus loin.

Très bien, merci Cassandre. Vous n'avez plus qu'à remplir cette feuille à chaque jour et à le déposer à l'endroit prévu pour cet effet.

Merci d'être venue rapidement.

Et au fait, si vous avez des questions, ma porte vous est ouverte.

Le Grand intendant va s'approcher pour déposer un baiser contre sa joue gauche avant de lui adresser un léger salut militaire.

Bon amusement à votre infirmerie, vous pouvez disposer.

Cassandre resta surprise de voir Fenixum lui faire un baiser sur la joue. Elle en était même figée. Elle l'écouta avant de sortir au moment même qu'elle allait passer la porte la blondinette se retourna pour regarder son suprérieur

En passant... je m'amuse pas à l'infirmerie, je travaille ...

Elle tourna sur ses talons et franchit la porte retournant à ses quartiers.

Ce n'est pas si étonnant que ça qu'il bisoute la joue de la blondinette. Cassandre est une amie très proche. De plus, Augustin a toujours été sympathique. Bon, pas toujours, car il n'est pas parfait. Sauf qu'il voulait embrasser la joue du soldat.

C'était une manière de parler. Je sais que vous travaillez.

Bonne journée.

Le capitaine arriva dans le bureau de l'intendant frappa à la porte et entra, il salua l'infirmiere et l'intendant

Escusez moi de vous dérangez, je n'en ai pas pour longtemps

Il sourit au 2 personnes, puis se tourna vers l'intendant

Pouvez vous me préparez un bilan des dépense de l'armé depuis le début du mandat, fait simple quelque chiffres suffiront a apaiser la soif d'information de certaines personne

Il resalua d'un salut bref puis repartit aussi vite qu'il etait venu, mais rajouta quelque chose avant de partir

A oui, vous n'avez qu'à le déposer à l'EM, je le transmettrai au parlement ensuite

L'homme se mettant immédiatement au garde-à-vous lorsque le Capitaine entre dans son bureau. Le torse bombé, le corps droit et les prunelles stoiques jusqu'à ce qu'il puisse se positioner de manière plus confortable. En effet, malgré la beauté du garde-à-vous militaire et de la discipline entourant ça, c'est vraiment inconfortable.

On écoute attentivement le Capitaine avant de sourire.

En gros, je prend le rapport du mois passé, je vous le redonne. Techniquement Sacrai a le rapport des dépenses du mois de juin. Juillet va arriver très prochainement, j'attend que les jours finissent du mois pour finir le rapport de juillet et vous le donnez.

Est-ce que ça vous convient ?

À la demande du grand homme , la militaire vient au bureau frapper à sa porte...
Maître, maitre où es-tu ,réponds où je ne serai plus !!! songea t-elle silencieusement en subissant quelques spasmes céphaliques habituelles à son état....

Toc toc toc !!!

QUI EST LÀ ?....LES JOYEUX TROUBADOURS ... ... lui répondit son démon intérieur.

Souriante tout en étant dévorée d'étranges songes ...
La jeune femme subissait les assauts répétés
de ses voix intérieures depuis tellement longtemps ,
qu' elle ....s'en amusait sans cesse..
Bien sur ,tout en faisant bien attention de ne pas se faire prendre....
toc toc toc Confused

Une nouvelle personne qui frappe à son bureau. Par le très-haut, c'est sans doute le temps le plus occupé qu'il a dans ce nouveau bureau et dans cette nouvelle aire. C'est assez amusant, en fait. Alors, il vient se relever de son bureau. Ses minines viennent glisser sur son uniforme pour retirer la poussière de celui-ci pour finalement s'approcher de la porte.

Vous pouvez entrer.

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