[Archive]Bureau de la Grande Intendante Dina

Citation :: Un bureau simple a été amménagé sur l'heure pour faire office de bureau de fonctions au nouveau lieutenant intendant de l'armée franche-comtoise. Le bureau est d'une propreté parfaite. La pièce comporte une fenêtre pour l'aération et l'ensoleillement de la pièce. Sinon, il est meublé d'une étagère à verrous pour protéger des documents et des livres, d'un bureau et d'un fauteuil de fonction et de deux fauteuils en face de lui. Bref, le bureau est identique à celui de son ancien bureau. Le bureau de son aspirant est identique au sien, à la différence que des livres sont déjà rangés, des documents et des dossiers de points de soldes, également.

Princess entra dans le bureau de Fenixum, elle frappa et comme la porte était entre ouverte,
elle s'autorisa a entrer,,

bonjour Fenixum, je vient vous annoncer que Aurel59 est pret pour le poste, et que nous vous
attendons a la place des cérémonies, d'hailleur je dois y retourner...
je vous y précède donc...

Princess était allée se changer pour l'occasion, elle voulait être présentable pour la nouvelle
nomination d'Aurel59..

Très bien, alors, je vais revenir à la place des cérémonies pour vous donnez vos nouveaux galons et ceux d'Aurel.

Sauf que faites attention à la manière que vous saluez. C'est pas très grave, je ne vais pas vous punir pour ça, mais certains officiers pourraient le faire. Bref, on se revoit à la place des cérémonies.

Dès qu'elle partit en direction de la place des cérémonies, il alla prendre les deux nouveaux galons dans un tirroir de son bureau et puis il se dirigea en direction de la place.

Legolas arriva a la porte du bureaux de l'intendant, il n'avait pas encore reçu de missive ou bien de lettre mais savait qu'il aller devoir se présenter ici. Il arriva comme toujours bien habillait et l'uniforme parfaitement propre et droit, on ne pouvais pas dire de même pour la personne avec qui il avait eu quelque problème auparavant.

-TOC,TOC,TOC

Trois coup suffisait, car se lieutenant n'était pas sourd, il n'avait donc pas besoin de crier ou de parler fort pour entendre sa voix. Alors, on se tient droit et on attend la permission d'entrée, ou alors qu'on vienne lui ouvrir. Il savait d'ors et déjà qu'il n'était certainement pas la pour partager un verre d'alcool avec son cousin, mais plutôt une petite mise au point ce qui ne lui faisait pas peur du tout, il en a connus des problème auparavant, dont plusieurs était bien plus difficile que celui la.

Vous pouvez entrer !

De plus, le Sergent doit être au courant, que le lieutenant intendant n'inviterait pas Légolas à boire à l'armée, encore moins dans un bureau. S'il boit dans un bureau, c'est vraiment une exception durant dix ans. Bah, oui, il boit des verres dans certaines ambassades, mais ça, c'est réellement très différent.

Un mots ce fit entendre, il compris alors qu'on l'invita a entrée. Il ne se fit pas attendre et d'un pas sur ouvrit la porte du bureaux, il tomba face a face avec le lieutenant intendant. On se met au garde a vous et on salut comme il faut, cela évitera plus de problème.

-Mes respect lieutenant, j'ai apprit que vous vouliez me voir alors je me présente a vous.

On se tien toujours au garde à vous et lorsqu'on lui dira repos alors il pourra détendre ses muscle qu'il contracte alors en ce moment. En effet, on demande position parfaite, le buste remonter et la tête droite.

Mes salutations, Sergent.

Repos.

En effet, j'ai demandé à ce que vous veniez dans mon bureau, car le lieutenant Zibob est très énervé pour une puerilité. Du moins, je considère ça comme peu grave et très puéril, sauf que c'est sa garnison. Alors, je voulais que vous m'expliquez vous-même, pourquoi, selon vous, le lieutenant Zibob est énervé.

L'homme se mit au repos, un sourire apparut alors, sans le vouloir mais cela après la permission de rompre. Alors on écoute la question, celle si permet d'expliquer les chose mais peut être pas de trouver une solution mais ce n'est que la première alors on réfléchit et on répond.

-Pour être franc mon lieutenant, je pense que le lieutenant n'aime pas ce qu'il ne contrôle pas, je pense qu'il connais d'ors et déjà le déroulement de l'exercice qu'il fait, Je pense aussi qu'il n'a pas pus s'adapter au nouveauté, en effet il n'a pas aimer ma présence dans la forêts ou il a fait son exercice, peut être un peu trop près de sa garnison. Ainsi, ne sachant pas quoi faire il s'est énerver et cela reste sa seul défense et en aucun cas je n'ai monter la vois non peut être qu'une de mes remarque fut ironique, mais il avait déjà monter la vois et se montrer de plus en plus agressif.

Alors on attend, on attend que le lieutenant réfléchisse et ne pose d'autres questions, ou alors qu'il fasse un commentaire

Normalement, n'oubliez pas un principe dans l'armée, Sergent. '' Un ordre, est un ordre ''. Un supérieur est votre supérieur, alors, par les principes, il ne peut avoir tord. Si vous n'êtes pas d'accord, ne le soyez pas, mais uniquement dans votre tête, car ça, personne ne peut vous le retirez, sauf Aristote et Dieu. Alors, si par exemple, le lieutenant de Garnison de Saint-Claude, vous ordonne de quitter, vous quittez. Si vous voulez vous expliquez, vous demandez la permission de parler. Je suis certain, humainement, que le lieutenant s'est énervé pour des puérilités totalement gamines, sauf qu'il est un officier de l'armée franche-comtoise. Alors, vous devez le respecter, simplement, car il porte ses galons. Si il ne mérite pas ses galons, comme n'importe quel militaire, alors, sans doute, le Capitaine va trouver plus compétent.

Bref, vous devez obéir à vos supérieurs. Vous êtes SOUS-OFFICIER, de l'armée franche-comtoise. Vous êtes un Sergent. Alors, conduisez-vous comme le doit un sous-officier, pas comme un gamin le ferait.

Vous devez pas répondre à une pique d'un officier, d'un sous-officier, bref, d'un supérieur hiéarchique, vous écoutez et ça se termine là.

Des questions, Sergent ?

Legolas écouta, il était de l'avis de son supérieur vis à vis de l'armée alors on le regarde et encore une fois on répond.

-Des question je n'en est pas mon lieutenant, seulement vous dire que lorsqu'il ma demander de quitter le terrain je l'ai fait, il attendais une réponse que je lui est donner, puis je lui est demander si il avait d'autre questions si non, alors je partirais, ce que je fait, je ne sait pas ce qu'il vous a raconter mais les faits sont la et je n'ai rien de plus a ajouter mon lieutenant.

Alors tout a était dis, on salut une nouvelle fois, on fait un demi tours et on marche en direction de la porte afin de rejoindre son bureaux pour y poser une affiche.

Les deux jeunes filles, Désirée et Sofia, ayant reçu l'ordre du lieutenant Geoffroy de Villers de venir à l'intendance demander un second mannequin pour leur entraînement au baton...avaient tout d'abord cherché après l'endroit exact où elles pourraient trouver le matériel en question...

Après avoir déambulé quelque peu dans le château...elles étaient passées devant l'entrepôt du matériel de l'armée mais comme celui-ci était pancarté "défense d'entrer"....elles avaient jugé plus approprié de venir faire la demande en bonne et due forme à l'intendant responsable des lieux.

Sofia, arrivée devant le bureau au pas de course....attendit que sa compagne la rejoigne avant de frapper à la porte de l'intendant.

Reprenant son souffle, elle s'adossa au mur et attendit.

[Archive]Bureau de la Grande Intendante Dina Recruesofialaurineponta

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Désirée avait encore beaucoup à apprendre et se retrouver dans le dédale du château en faisait partie. Au moins, elle commençait à connaître certains endroits à force d'y pénétrer, même si elle ne voulait jamais y aller. Sofia proposa d'aller voir un intendant, alors qu'elles étaient non loin de la forge, l'endroit que leur Instructeur leur avait dit d'aller voir [hrp: https://chateau-de-dole.forumactif.com/forge-et-entrepot-de-maintenance-des-machines-de-siege-f83/forge-t1156-360.htm#532528 ]. L'idée n'était pas mauvaise, mais Désirée ne comprenait, peut être qu'il y avait un problème avec la forge? Puisque son camarade était partie au pas de course, Désirée lui emboîta le pas le plus vite possible. Manquant encore d'entraînement, la jeune femme ne put la rattraper et donc elle la suivit jusqu'au bureau en question. Elle préférait la suivre plutôt que d'aller voir si la forge était ouverte ou non, le Lieutenant leur avait bien dit que l'unité était des plus importantes et même sans cela, elle était venue avec Sofia et ne comptait pas repartir sans.

Arrivant après Sofia et essoufflée, Désirée trouva son camarade adossé au mur. Elle lui sourit, puis s'accroupit afin de reprendre son souffle au plus vite, elles n'allaient pas passer des heures ici. Finalement, Désirée se leva, elle avait presque récupéré tout son souffle.

- On est ...passées à côté de la forge... elle était fermée?

Désirée n'avait pas encore récupéré tout son souffle, mais ce n'était pas en attendant patiemment que les choses allaient avancer. Elle se dirigea vers la porte, leva le poing puis s'arrêta. Peut être que la forge n'était pas fermée, peut être qu'elle l'était, si elle remettait en question le jugement d'un camarade maintenant elle prouvait peut être qu'on ne pouvait lui faire confiance. Mais d'un autre côté, il fallait parfois être capable de prendre des décisions allant à l'encontre d'une autre décision.
Elle souffla une longue fois par la bouche et posa ses mains sur ses cuisses, elle n'avait pas encore repris tout son souffle.

- On est ...passées à côté de la forge... elle était fermée? dit Désirée lorsque arriva à son tour...

Sofia comprit immédiatement à demi-mot qu'elle était une nouvelle fois devant la mauvaise porte...

Rhhhoo quelle distraite je fais!!...c'est "à la forge"???....dit-elle en souriant à la jeune femme qui avait couru elle aussi pour la rejoindre.

Je ne sais pas si c'était la forge mais j'ai vu une pancarte "défense d'entrer"...alors j'ai suivi la première consigne...l'intendance...

Elle avait eu beau penser ou dire que tous les chemins mènent à Rome...les dédales pour y parvenir nécessitaient peut-être une meilleure étude de l'endroit ou même pourquoi pas une carte du château afin de s'y retrouver...

Désirée...merci d'être venue jusqu'ici pour me le dire! ...et moi qui t'ai fais tant courir pour rien...j'en suis vraiment désolée...

En disant ces mots, elle posa une main légère et amicale sur l'épaule de sa compagne qui s'était à ce moment là accroupie afin de récupérer son souffle...

Oui, tu as raison, le lieutenant nous a bien dit d'aller à la forge mais j'étais déjà partie lorsqu'il a mentionné ce détail...j'avais entendu "bureau de l'intendant" puis j'ai accouru ici....

Précédemment me suis laissée distraire par "le paquetage"...qui somme toute, me semblait bien intéressant aussi...mais ce n'est pas urgent !!...

Terminé de courir à présent!!... pour ma part, je vais marcher tranquillement...

Et puis, Désirée...je préfère te laisser prendre les devants...si tu le souhaites...je t'en prie.

Mais attends moi pour soulever ce mannequin...je pense qu'on ne sera pas trop de deux pour l'amener jusqu'au terrain d'entrainement...

Elles attendirent encore un petit moment toutes deux au même endroit, afin d'être en mesure de reprendre le bon chemin sans se faire un point de côté...puis, comme Désirée ne souhaitait pas trop trainer et aussi pour ne pas trop faire attendre le lieutenant...elles repartirent....

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Dès qu'elles commencent à quitter le seuil du bureau de Fenixum, l'officier supérieur tombe vis-à-vis devant les deux jeunes femmes. Les deux prunelles émeraudes et dorées de l'Intendant effleurent doucement les deux uniformes. Quelles informations trouvent-il ? Elles sont toutes les deux des recrues. L'une vient de la garnison de Vesoul et la seconde, de celle de Pontarlier.

Naturellement, sans le vouloir, le couloir est bouché par le corps de l'homme, vu que le bureau du lieutenant intendant, maintenant, le grand intendant, quoique si on le nomme lieutenant sup. ne le dérange pas du tout, que c'est la dernière pièce du corridors.

Un sourire vient doucement illuminer la frimousse de l'officier supérieur franc-comtois, pendant que sa langue vient humidifier ses lèvres. Non. Il ne parle pas immédiatement. Les deux prunelles émeraudes et dorées glissent sur elles.

Il attend le protocole, qu'elles commencent.

Mes salutations, chères recrues. Me cherchiez-vous ?

Désirée, sourit à Sofia, elle était contente de la voir sourire et la main posée sur son épaule, un geste amical, lui alla droit au cœur. Elle secoua la tête en l'entendant.

- Sûrement mon erreur, je n'ai pas vu ce panneau, et c'est vrai que le premier ordre du Lieutenant était de venir ici.

Elle n'insista pas et se tourna donc, pour se rendre vers la forge, contente de voir que Sofia ne semblait pas non plus lui en vouloir pour le fait qu'elle l'ait contredite. Quand elle entendit le mot paquetage elle hocha la tête, elle avait ce détail en tête depuis un moment, quelques morceaux de viande ne lui feraient guère de mal, même si elle était un peu plus forte que lors de son arrivée dans le château.

- T'inquiètes, je ne compte pas porter ce mannequin, je me demande si j'arriverai à soulever une épée avec ma force. D'ailleurs! Ta prestation avec le bâton lors de l'entraînement ... à couper le souffle!

Désirée avait légèrement plus confiance en elle et sentait qu'elle pouvait vraiment être comme elle l'était avec ses amis Vésuliens, elle se disait donc que Sofia ne la jugerait sûrement pas de trop, ne supportant pas tellement le silence qu'elle trouvait parfois lourd, elle enchaîna sa remarque avec le mannequin avec un compliment qu'elle aurait aimé faire tantôt à sa campagne, mais qu'elle n'avait pas encore pu faire. Son commentaire fut suivi d'un rire bref, mais sincère et chaleureux.
Poursuivant le couloir, elle se dit qu'il ferait bon de regarder devant elle, les couloirs n'étaient pas vide et elle pouvait parler à Sofia sans la regarder. Elle fit bien de se dire quelque chose pour une fois, car un homme suivait lui-même ce long couloir, mais en sens inverse. Lorsqu'elle leva les yeux - car elle n'était pas bien grande, même si elle n'était pas petite - elle se retint pour ne pas hoqueter de surprise, elle ne pensait pas croiser l'officier supérieur dans un couloir. Elle se redressa et salua l'officier.

Sofia lui avait dit d'ouvrir la marche, et c'était Désirée qui tombait presque nez à nez avec l'Intendant ... le Grand Intendant... un Lieutenant Supérieur. Bref, elle se permit donc de prendre la parole. Elle garda sa main au niveau de sa tête, n'ayant pas encore reçu d'ordre de se mettre au repos et prit la parole. Il ne restait plus une once de sourire, malgré son sourire de tantôt. Son dos était droit, ses trapèzes tendus. Elle avait pu constater avec Jasona, qu'elle connaissait déjà, et avec Geoffroy de Villiers, que l'humeur des officiers était souvent à la cordialité et l'amabilité. Mais elle tenait tout de même à se montrer digne de l'armée, elle voulait montrer son sérieux, surtout que le Grand Intendant l'avait sûrement entendue rire.

- Recrue Désirée au rapport, Lieutenant Sup. La recrue Sofialaurine et moi avons été envoyées par notre Lieutenant Instructeur pour chercher une mannequin, Lieutenant.

Sofia, lorsqu'elle avait les idées sombres par moments....faisait toujours en sorte de garder son sourire intact pour rester agréable aux personnes qui l'entouraient et qui, bien entendu, n'y étaient pour rien dans les causes des langueurs de son coeur...

Et à ce moment même...Sofia avait plutôt envie de traîner un peu la patte comme on dit souvent...le coeur en peine...Heureusement que la jovialité sympathique de sa compagne mettait juste bien à propos le baume nécessaire à la reprise de son enthousiasme légendaire.

Mais non Désirée...ce n'est pas de ta faute...c'est moi qui fonce toujours tête baissée...

Puis lorsque sa compagne lui fit ce compliment sur sa manière de s'entrainer au bâton...elle sourit en lui disant merci...^^étant persuadée que Désirée pouvait tout aussi bien en faire autant, elle aussi...

Elle lui dit..."tu verras, on va en faire de ces combats, que même les soldats viendront reluquer notre zèle!!!!...."

D'ailleurs, Désirée était à présent pour elle pratiquement une amie avec qui elle se sentait très à l'aise et avait envie de faire les quatre cent coups sympathiques pour la franche rigolade.

Bien sûr, étant à l'armée...il y a des comportements à respecter, mais c'est tout de même en pouffant de rire que Sofia vit arriver au bout du couloir le Suprême Intendant qu'on aurait pu comparer au Roi des Animaux car selon la jeune fille il y avait entre eux une belle similitude aussi bien au physique, qu'à cet orgueil démesuré qu'elle avait pu constater chez cet homme.

De plus, l'homme se pourléchant les babines ressemblait surtout à un prédateur regardant sa proie.

Elle voyait Désirée se retourner de temps à autre vers elle distraite malgré tout et prévoyait la rencontre inévitable des deux personnes dans ce couloir étroit et sombre...

Elle voulut la prévenir mais n'en eu pas le temps et la jeune femme dût s'arrêter net juste à temps devant le grand Manitou.

Sofia ne pût qu'admirer la rigueur des réactions de sa compagne...mais elle ne l'imita pas et attendit sagement derrière elle, de pouvoir passer...toujours le sourire aux lèvres.

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Sofialaurine n'a jamais rencontrée le Grand intendant. Alors, il est bel et bien mensonger d'affirmer de telles choses, n'est-ce pas ? C'est très dommage, visiblement que des gens osent juger par des récits faux et sans la moidre véracité. Elle est dans l'armée franche-comtoise, alors, elle va devoir apprendre à juger par elle-même. Apprendre le sens critique, l'argumentation et la discipline et d'être capable d'assumer des ordres.

Pour l'instant, ses pensées ne sont qu'influencer par des mensonges, des fausetés et diverses balivernes. Quoique, c'est à elle de le voir en temps et en heure. Elle pense, décide et voit, ce qu'elle souhaite. Fenixum n'influencera, ou manipulera jamais une personne. Du moins, jamais volontairement. Par contre, qu'elle ose pas affirmer avoir DÉJÀ rencontré le lieutenant supérieur, car c'est faux. Absolument faux. Sauf qu'elle pense, ce qu'elle veule, c'est son droit.

Alors, c'est la première fois que le Grand intendant rencontre les deux recrues qui sont actuellement devant lui. Il s'écarte de quelques pas pour débloquer le chemin pour qu'elles puissent quitter facilement, sans se bousculer l'une contre l'autre, ou de le bousculer. Simple question de respects, envers des membres d'une même instution, d'une même patrie.

Un sourire réconfortant et amusé se dessine sur les lèvres du jeune homme, pendant que les deux billes émeraudes à la lueur de l'or en fusion, glissent d'une femme à l'autre.

Ses deux mains viennent doucement remettre l'uniforme en place sur son torse, pour ne pas sembler trop cinglé. Après de nombreuses heures dans les archives, c'est normal que l'homme à eu besoin de remettre en ordre sur son uniforme, surtout, lorsqu'il doit montrer l'exemple devant les deux jeunes demoiselles.

Les deux prunelles émeraudes et dorées du Grand intendant glissent continuellement d'une personne à l'autre pour l'observer attentivement. Le sourire amusé et réconfortant est naturellement toujours dessiné sur la frimousse de l'officier. En effet, il est heureux de voir encore une fois, des nouvelles personnes au sein de l'armée. De plus, elles semblent de bons soldats. Alors, Augustin Aklvruzar, par Aristote, il est très heureux de voir les deux demoiselles devant lui. Ça le fait sourire et celui-ci est très explicite sur son visage. Elles doivent bien le voirent ! Huhu.

Repos, recrue Désirée.
Je vous félicite de votre tenue et du suivit du protocole militaire. De plus, Je suis heureux de vous voir, toutes les deux devant mon bureau. Ça fait un petit moment que je n'ai pas eu de visites, à part celles pour les finances militaires. Je vous souhaite à vos deux, bienvenue dans notre armée, je vous souhaite des classes très agréables et très intéressantes au niveau de l'enrichissement personnel et des connaissances militaires. Je vous dis également, merci, de faire vivre l'armée par votre présence dans cette institution, que j'espère, va être une expérience formidable et une seconde famille pour vous !

Vous cherchez un mannequin ? Hm. Avez-vous essayé le bureau du Chercheur-chef Ecuyer à l'Intendance ? Si vous voulez, je peux vous indiquer le chemin. Je suis certain que le Sergent Ecuyer va vous octroyez un mannequin.

Au fait, toutes les deux, depuis combien de temps, êtes-vous recrue ? Car, selon le lieutenant Geoffroy, lorsque je lui ai parlé, vous étiez ces deux seules recrues. J'ai besoin d'avoir cette information pour demander au Capitaine, son aval, pour vous fournir vos paquetages. Du moins, si vous voulez vos paquetages. Vous pouvez toujours le demander plus tard, si vous le souhaitez, tout de même. Pendant que je suis là, et que je dois, donner un document à ce sujet dans le quartier des recrues, avez-vous des questions, mesdemoiselles ?

Ce fut avec plaisir que Désirée exécuta l'ordre, ou plutôt la permission de se mettre au repos. Les jambes écartées, les mains dans le dos, elle écouta attentivement L'Intendant. Chassez le naturel et il revient au galop, malgré ses efforts, encore une fois, elle était mise en confiance par un de ses officiers supérieurs et donc elle se relâchait quelque peu et son sourire ornait son minois. Était-ce ce message personnel de bienvenue à l'égard de Sofia et elle? Ou était-ce simplement de le voir remettre son uniforme en place? Toujours était-il qu'elle aimait l'ambiance qui régnait au sein de l'armée Franc Comtoise, qu'elle ne regrettait nullement son choix et qu'elle espérait montrer à ces officiers qui l'accueillaient chaleureusement qu'ils avaient raison de se montrer aussi généreux.

Lorsqu'il leur fit part du bureau de Chercheur Chef-Écuyer, Désirée se mordit la lèvre, décidément le bâtiments était bien plus grand qu'elle ne l'aurait jamais cru. Elle avait pourtant était à droite et à gauche dans l'intendance, mais elle n'aurait jamais pensé à ce bureau.

- Nous n'avons pas encore était voir le Chercheur Chef-Écuyer, Lieutenant Sup.

Désirée qui se tenait au repos se sentait moins le besoin de répondre précipitamment, comme elle l'avait fait quelques instants auparavant. Elle avait juste notifié le Grand Intendant qu'elles ne s'étaient pas encore rendues à ce bureau là. Et bien entendu, dès qu'elles en auraient fini, elles s'y rendraient. La jeune femme commençait à s'en vouloir pour le temps qu'elles perdaient dans les couloirs, et espérait de tout son cœur que le Lieutenant Instructeur ne leur en tiendrait pas rigueur... ou qu'il ne leur en tiendrait pas trop rigueur. Encore une fois l'idée qu'il fallait qu'elle devienne non seulement plus forte, mais plus endurante lui traversa l'esprit, et elle se promit de se mettre à l'œuvre dès qu'elle le pourrait et donc dès que le Grand Intendant les renverrait.

Paquetage? Il avait prononcé le mot magique, mais bien qu'elle souhaitât en avoir un de tout cœur, la jeune Vésulienne restait persuadée qu'elle n'y avait pas encore le droit. Enfin, elle pensait ne pas encore le mériter, bien que par plusieurs occasions elle en avait entendu parler. Elle prit un bref moment à réfléchir avant de répondre. Avait-elle été considérée comme une recrue dès que l'Aide de Camp lui avait remis sa fiche avec laquelle elle était allée se présenter aux différents bureaux? Ou sa formation de recrue commençait-elle avait son arrivée sur le terrain? Elle misa sur la première, se disant que c'était là que commençait le registre la concernant.

- J'ai été acceptée en tant que Recrue le 2 Mai 1457, Lieutenant Sup. Mais n'ai commencé mon entraînement sur terrain que depuis peu. Et je n'ai pas de questions Lieutenant, merci!

Geoffroy passant par l'intendance en vitesse, déposa un coupon à l'intention du Lieutenant intendant.

Citation :: Lieutenant,

Veuillez prendre note que suite à la démission du Soldat Kendopach, sa commande qui lui était dûe pour le versement de points de solde gagnés en service actif est considérée, sauf contre-ordre de votre part, comme étant annulée et perdue.
Il ne me restera qu'à livrer mon Aspirant, Riese, et puis, de rentrer le mandat ainsi clôturé.

Bien à Vous,

Geoffroy de Villers
Lieutenant

Sofia, en entendant le lieutenant Intendant leur parler d'aller voir encore dans un autre endroit que celui prévu...en principe c'était la forge, où leur lieutenant Geoffroy les avait envoyées...et lui, semblait vouloir les envoyer encore dans un tout autre lieu qui était d'aller voir le chercheur chef écuyer....à moins que celui-çi ne se trouve à la forge...que de complications en vue!...

La jeune fille s'avança d'un pas...et comme elle avait entendu sa compagne Désirée appeler le messire "lieutenant Supérieur"....n'étant pas, elle en tout cas, encore très familiarisée avec les grades surtout pour reconnaître les différences des médailles dans un couloir sombre, elle lui dit à son tour, respectueusement et avec le sourire :

Euh, Lieutenant...., c'est très aimable à vous de nous conseiller...cependant, pourriez-vous s'il vous plait nous dire, où se trouve le bureau de ce chercheur-chef écuyer dans l'intendance, car notre lieutenant De Villers nous avait dit d'aller à la forge...et là, ma coéquipière Désirée et moi-même commençons à nous sentir un peu perdue dans cette immense caserne...

Ayant terminé sa longue tirade d'un trait, mais très calmement, Sofia regarda l'homme convenablement, analysant le comportement plutôt sympathique de ce gradé supérieur qui leur faisait à toutes deux des compliments et semblait apprécier leur présence à l'armée.

Comme elle était à présent aux côtés de Désirée...elle la poussa doucement du coude et lui jeta un regard de biais un peu complice...un léger sourire en coin et une étincelle dans le regard...mais sans oser dire mot tout bas à Désirée devant le lieutenant.

Puis se souvenant de la proposition bienveillante de l'Intendant à propos du paquetage, elle ajouta...

En ce qui me concerne, lieutenant, j'ai été admise comme recrue au sein de l'armée, le 22 avril 1457...mais je ne pense pas non plus être déjà en droit de bénéficier du paquetage.

Sofia, tout comme sa compagne Désirée, émanait de cette joie d'être présente dans l'ambiance de leur nouvelle grande famille de l'armée de Franche Comté.

Toutes deux attendirent du lieutenant supérieur qu'il les aiguille enfin dans la bonne direction et Sofia eut même la furtive et folle pensée de pouvoir trouver, qui sait?!!!...., sur leur chemin, une bonne âme...pour les aider à ramener le mannequin à bon port.

Elle soupira discrètement...les pensées en vadrouille.....

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Le message de Geoffroy est attrapé dans la menotte gauche de l'homme. Rapidement, l'homme à la chevelure noirâtre, d'un jais impeccable, ses deux prunelles émeraudes et dorées viennent scruter les mots qui défilent devant lui. Par la suite, il vient doucement plier soigneusement le document en quatre avant de le faire disparaitre dans son uniforme.

Retour aux deux demoiselles, maintenant. Le sourire est bien entendu resté accroché sur le minois du Grand intendant. L'homme prenant connaissance des paroles de Désirée et celles de Sofia. On écoute attentivement les paroles des deux jeunes recrues pour comprendre ce qu'elles veulent, afin de le leur procurer. Déjà qu'elles doivent traîner depuis un moment dans l'Intendance. C'est déjà un peu le fouillis dans les différents bureaux, vu qu'ils doivent faire le ménage du bâtiment. Ce qui est vraiment une bonne idée, car Désirée et Sofia n'imaginent pas les différentes tonnes de parchemins qui traînement ici et là, des parchemins totalement inutiles à la grande majorité et des documents très importants concernant l'histoire de l'Intendance, et celle de l'armée, en faible minorité, mais on doit conserver ce type de documents.

La forge est tenue par le Sergent Samuraispirit, de la garnison de Dole. Sauf que le Sergent m'a déjà prévenu par missive, il y a quelques jours, qu'il a prit congé de l'armée, sans la quitter, pendant quelques jours pour régler des problèmes personnels très importants. Alors, je vous refère au Chercheur-chef, car, c'est elle qui est le plus à même de vous aidez, rendu dans les différents entrepôts de l'armée. Sauf si vous avez besoin d'un nouveau mannequin, tout neuf, ce qui peu peut-etre long, mesdemoiselles.

Attendez une minute, je vais vous signez deux petits messages pour éviter que vous ayez des problèmes. J'en doute, sincèrement, mais vu que je préfère être prévoyant, je vais donc essayer d'éviter que vous ayez des problèmes. C'est à cause de moi que vous êtes retenue devant mon bureau, après tout ! Alors, c'est très normal que je fasse ça.

Citation :: Mes respects, Lieutenant Geoffroy

Vos deux jeunes recrues que vous avez été envoyée à l'Intendance, sont peut-etre en retard, si vous leur avez donner des délais, mais c'est de ma faute. Elles sont venues près de mon bureau pour avoir une bonne indication à la forge et j'ai discuter avec celles-ci. Alors, ne leur en voulez pas trop, si elles sont en retard, lieutenant !

Je vous souhaite une bonne journée,

Bien à vous,

Augustin Aklvruzar
Grand intendant

C'est le premier mot, que je vous rédige. Tenez, mademoiselle.

Citation :: Mes respects, Chercheur-chef

Ces deux jeunes recrues devant vous ont besoin d'un mannequin. Pouvez-vous leur en procurer un ? Ce serait vraiment très gentil de votre part, chercheur-chef. C'est le lieutenant Geoffroy, qui s'occupe toujours du quartier des recrues, le temps d'un sucesseur, probablemen, qui a envoyée ces deux demoiselles.

Bien à vous,

Augustin Aklvruzar,
Grand intendant

C'est le deuxième mot ! Tenez.

La menotte gauche de l'homme venant glisser le document dans la main de sofia pour revenir écrire un nouveau message. Le prochain message sera aussi glisser dans une main, mais cette fois-ci, dans celle de Désirée. Bah oui ! Elles ont toutes les deux, un message !

De plus, pour vos paquetages. Si vous le désirez, toutes les deux. Dites le moi maintenant, je vais demandez l'aval du Capitaine Lothilde, pour que je puisse envoyer une commande au CaC Sacrai pour que celui-ci vous envoie vos mandats le plus tôt que possible.

En ce qui concerne le bureau du chercheur-chef, voilà les indications sur ce morceau de papiers. Vous allez trouver très rapidement l'endroit.

Avez-vous des questions ?

Le bureau du Cercheur-chef

A nouveau , un pigeon arriva au bureau de l'Intendant, il s'agissait encore une fois du fidèle messager du Lieutenant de Villers qui venait déposer une missive pour le Lieutenant Intendant.

Citation :: Cher Ami,

J'ai honneur et plaisir à vous adresser par la présente le récapitulatif du mandat qui m'avait été confié pour livraison des commandes relatives au point de soldes des soldats Magnusvonwoolf, Riese, Kendopach et moi-même.

Livraison de Magnusvonwolf : opérée et en ordre
Livraison de Geoffroy de Villers : opérée et en ordre
Livraison de Riese : à opérer - non accomplie
Récapitulatif de la commande de Riese : 150 écus + un bouclier + un poisson (40 PS)
Livraison de Kendopach : non opérée et à annuler (démission du soldat)
Récapitulatif de la commande de Kendopach: 1 épée + 40 viandes

Je vous souhaite bonne réception de cette missive et vous prie de croire à l'expression de mes sentiments les meilleurs.

Geoffroy de Villers
Lieutenant
Quartier Maître des Recrues
Garnison de Poligny

Désirée ne dit plus mot écouta l'intervention de Sofia et lui sourit en échangeant un sourire amusé à son petit coup de coude amical. C'est vrai qu'elles étaient un peu perdues, enfin peut être plus qu'un peu même. Désirée était contente une fois de plus de sa rencontre avec un officier supérieur, tous semblaient bienveillants et à l'écoute. Chaque personne qu'elle avait croisé jusque maintenant lui avait toujours demandé par exemple si elle avait des questions. La Vésulienne jeta un coup d'œil à la note que le Lieutenant Supérieur avait rédigé pour elles. Elle se retint de regarder par-dessus l'épaule de sa compagne pour lire la note que l'Intendant lui avait donnée.

Le mot, le chemin du bureau de chercheur chef donné, Désirée ne pensait à aucune question en particulier, elle espérait que Sofia n'en avait pas non plus car l'heure tournait malgré tout et elle ne voulait arriver sur le terrain d'entraînement avec un mannequin dont elle ne se servirait point.

- Si on ne trouve pas le Chercheur Chef-Écuyer, Lieutenant Sup, comment fera-t-on? Euh..

Désirée se rendit compte qu'il pouvait croire qu'elle insinuait qu'une personne de mérite et de confiance n'était pas dans son bureau et donc que l'officier ne faisait pas son travail, et ce n'était pas du tout dans son intention de critiquer quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Son rendant de compte de cela, elle ne put marquer un temps d'hésitation avant de poursuivre:

- Le déménagement des locaux fait que les gens sont très pris. Et peut-être qu'il vaut mieux envoyer une missive si jamais on ne le voit pas?

La jeune femme espérait que ce n'était pas déplacé de la part d'une recrue de prendre ainsi la parole, mais l'ayant invitée à parler, Désirée prit la liberté de s'exprimer, afin de pouvoir poursuivre la quête de ce mannequin. Elle espérait qu'elles l'auraient avant que le temps imparti pour l'entraînement ne prendrait fin. Elle espérait surtout qu'elle verrait le fameux Chercheur Chef-Écuyer dans son bureau, pour éviter d'avoir de longues explications à fournir au Lieutenant Instructeur.

Une fois encore, Désirée se tourna vers Sofia, pour voir si elle avait une question quelconque ou bien quelque chose à dire. La jeune recrue admirait le calme de Sofia et son assurance. Son regard retourna ensuite vers l'Intendant, elle ne savait pas s'il approuverait de sa prise de parole, mais s'il avait quelque chose à lui dire, elle préférait le regarder dans les yeux et ne pas lui donner l'impression qu'elle cherchait du renfort auprès de son camarade.

Désirée s'éclaircit la gorge, le silence était lourd, et elle savait que le temps qu'elle passait ici était du temps perdu, du temps qu'elle ne passait pas sur le terrain d'entraînement. Donc elle s'éclaircit la gorge, sans laisser de temps à l'Intendant de lui répondre.

- Avec votre permission Lieutenant nous allons vous laisser et aller voir de ce pas le Chercheur Chef-Écuyer.

La jeune femme salua son supérieur hiérarchique, espérant que prendre la liberté de poser une question, pour finalement décider de partir ne lui causerait pas de problèmes. Elle regarda Sofia et espéra de tout cœur que le parchemin que sa camarade tenait allait les aider à avoir moins de pompes, moins de tours de terrains, bref moins de la punition qu'elles auraient sûrement à faire car elles allaient être plus qu'en retard à ce rythme là. Elle lui sourit faiblement et lui fit un vague geste de la tête et partit au pas de course, l'heure n'était plus à la rigolade.

Grâce à l'Intendant elles savaient exactement par où passer, Désirée suivit donc le dédale sinueux des couloirs, des cours et se rendit directement au bureau en question, espérant qu'elles ne perdraient pas trop de temps là-bas.

Vous pouvez disposer, tout naturellement, mesdemoiselles. Je crois avoir fait attendre assez nos deux nouvelles recrues pour un blablabla pas essentielle, surtout que Geoffroy vous avait octroyer une mission. Alors, oui, vous pouvez quitter.

J'espère vous revoir prochainement, mesdemoiselles.

Passez un bon apprentisage chez les recrues et encore une fois, bienvenue dans notre grande famille.

Un sourire reste accroché aux lèvres du jeune homme pendant qu'il laisse Desirée et Sofia quitter cette section de l'Intendance. Elles doivent arriver au bon port, si elles continuent sur cette trajectoire. Tout est réglé pour elles ! Ravi, le Grand intendant rentre dans son bureau, dès qu'il ne peut plus voir les deux recrues se diriger chez le Chercheur-chef.

Le Lieutenant Jasona frappa à la porte du bureau et attendit qu'on lui dise d'entrer. Elle devait régler se petit problème.

Franchesco vint taper à la porte du bureau du grand intendant. Devant cette même porte se trouvait déjà Jasona qu'il salua militairement puis amicalement avant de s'adosser au mur du corridor.

Mes respects ! Oh ! Lieutenant Jasona, je suis un peu surpris de vous voir dans mon bureau, j'attendais tous les trésoriers et les logisticiens de l'armée...Ah..Toutes mes salutations Franchesco, je m'occupe du lieutenant Jasona, ensuite, vous pouvez entrer.

Que puis-je pour vous, Lieutenant Jasona ?

Effectivement, le Grand intendant est surprit de voir Jasona arriver dans son bureau. Au moins, elle a réussit à le surprendre. Par contre, il vient doucement esquiser un salut de sa menotte, en signe courtois militaire avant de faire un geste de la menotte et ainsi inviter le lieutenant à s'assoir en face de lui.

Le maitre d'armes salua la populasse attendant devant la porte. VOyant qu'il n'était poiint seul à attendre, il ne toqua point à la porte, cela étant non nécessaire, le Lieutenant intendant voyant qu'il serait là lorsqu'il ouvrirait pour celui ou ceux/celles qui auraient déjà toqués.

Le sergent Sire_Binou arriva au bureau du grand intendant, frappa et, une fois invité à entrer, salua

"Sergent Sire_Binou à vos ordre Intendant." salut

Je viens vous faire mon rapport concernant la distribution des denrées alimentaires dans l'armée pourpre:

Les soldes en pain ont été payées (avec un jour de retard comme prévu).
Il reste 18 miches de pain, soit 3 jours de vivre pour chaque soldat."

Puis le soldat se mit au repos en attendant les instructions de l'Intendant.

Folinus salua tout le monde en arrivant devant le bureau de l'intendant.
En charge de la logistique de l'armée Ad Gloriam Dei, il avait été convoqué
sans trop savoir pourquoi.

Il patienta donc.

Convoqué à Dole le Logisticien interimaire pas encore officiellement designé comme tel se presenta chez le grand intendant. Il arriva devant la porte et salua les personnes presentes.

salut

Bonjour bonjour

Jerone rejoint son maitre d'arme arrivé auparavant devant la porte de l'intendant.

Maitre d'armes.

Dites moi si je suis ici c'est que je suis officiellement plus que l'ancien geolier de ce chateau. Apparement je serais logisticien mais je le suis juste par interim non le temps qu'on en nomme un pour de bon.

Legolas arriva dans le bureaux de son cousin, il frappa a la porte et se demander bien ce que pouvais vouloir celui si a tout les trésoriées et logiciens. Pour le moment, on attend a la porte sagement quelqu'un vienne lui ouvrir, saluant les quelque personnes déja présentes.

Actuellement, la porte est fermée du bureau de Fenixum. Si les trésoriers et logisticiens qui viennent d'entrer ont un bon sens de scrutation, ils voient déjà que tout le monde attend. Ouais, le Grand intendant doit parler au lieutenant Jasona, après, tout le monde va pouvoir entrer dans le bureau et la réunion pourra commencer.

Princess passa en coup de vent et comme elle vit qu'il y avait déjà la queue devant le bureau
de l'intendant, elle se dit qu'elle avait mieux a faire en attendant.. elle décida donc de passer
son chemin et d'aller voir si dans son bureau a elle, elle ne se trouerait pas quelques occupations.

l'armée de son frère étant déjà représenté par le trésorier, elle se dit qu'elle repasserait quand
tous serait déjà entrer.. cela ne servait a pas grand chose de rester a de regarder dans
le blancs des yeux..
surtout qu'elle ne savait pas non plus si son frère l'avait déjà remplacée au poste de
logisticienne..
le Médecin fit un salut de la mains a ceux déjà présent et s'en alla a son bureau..

Ahainepeheux avait été convoqué auprès d'un homme qu'il ne connaissait pas.
Il lui avait été dit qu'il était en charge des Logisticiens et des Trésoriers.

Étant trésorier de l'Armée Pourpre, il se devait d'aller le rencontrer.

Mais il n'était pas habitué avec les corridors du Château de Dole.
Il n'était pas bavard et encore moins habitué de devoir répondre à des questions autre qu'aux gouverneurs sous lesquels il avait servi... car il en était à son troisième gouverneur.

C'est en demandant a quelques soldats qu'il croisait qu'il finit par arriver au bureau de l'homme qui l'avait convoqué. La porte était fermée et il y avait déjà quelques personnes qui attendaient.

Il les salua discrêtement avant de prendre place le dos contre le mur, là où il n'y avait personne.

Voyant la foule qui s'amassait, elle hésitait à revenir plus tard. Elle salua les militaires qui arrivaient les uns après les autres. Au moment ou elle c'était décider à partir, la porte du bureau s'ouvrit sur l'intendant. Elle le salua.

-Oh, bonjour, ... oui je suis navrée de vous déranger dans un moment pareil, je ne m'attendais pas à ce monde.

Le Lieutenant entra dans son bureau et s'assit sous son invitation.

-oui... c'est à propos du Sergent Francoisol. Il me dis qu'il n'a toujours pas reçus son mandat. Je lui ai quand même demander de vérifier avant de venir vous voir. Mais apparemment il n'a toujours rien reçus. C'est le mandat que j'avais rendu parce que je ne pouvais pas le rencontrer pour lui donner... Comme cette affaire commence un peu à trainasser, je suis venue directement pour que sa se déroule plus vite et en profiter pour vous saluer bien entendu. Mais notre rencontre amicale va être courte, vu le monde à votre porte.

Elle lui sourit amicalement.

Effectivement, il y a plusieurs personnes à l'extérieure de cette porte. Je rencontre ceux-ci pour discuter de trésorie et de logistiques ! Je ne m'attendais pas à vous voir, Jasona, mais je suis très content de voir votre minois dans mon bureau. Je n'ai pas vraiment eu la chance de vous croiser ailleur, et jamais, dans mon bureau.

Vous venez pour son mandat ? Effectivement, il est dans mes listes que je dois régler très bientôt. Je sais qu'il attend depuis six mois, sauf que je ne peux pas vraiment lui faire de mandat personnel. Quoique, je vais demander au CAC Sacrai si il est d'accord, sauf que le Sergent Francoisol doit attendre. Il doit apprendre une vertu, qui est la patience. Car bon, le mandat a été rendu, je sais, comtesse, que vous avez tout fait pour le rencontrer, je ne blâme personne. Il fait très bien d'insister pour recevoir sa solde qui traîne depuis un très longtemps déjà.

Rassurez le. Tous les points de soldes doivent bientôt être consommés à nouveau, vu que nous rentrons dans un nouveau systême. Les mandats seront tous identiques, et donné par avance lors des missions. Alors, on supprime toute attente. Ce que je suis vraiment satisfait, malgré que ça va être très différent.

Puis-je faire quelque chose d'autre pour vous, comtesse ? Du moins, maintenant, vous êtes au courant. Rassurez vous, je suis là à l'Intendance pour octroyer rapidement et efficacement la solde de nos soldats, pas faire attendre ceux-ci, car ça engendre une frustration telle que notre armée en devient inefficace.

Un sourire est dessiné sur le visage du grand intendant, tout en glissant ses deux prunelles émeraudes et ici. Au bruit des pas, des déplacements et des respirations, il semble y avoir déjà plusieurs hommes être arrivés devant le bureau. Hm hm. C'est une bonne chose visiblement. Jasona peut prendre le temps qu'elle a de besoin, Fenixum est courtois. C'est normal, elle est venue bien avant qu'il finisse d'envoyer 8 pigeons voir tous les trésoriers et logisiticiens, alors, elle est prioritaire.

Jasona écouta attentivement Fenixum.

Très bien, je lui ferrai savoir. Merci de m'avoir répondu. Je ne vous embête pas plus longtemps. Vous avez du monde à votre porte. Merci de m'avoir reçus. Bonne journée.

Elle le salua et sortit. Elle enjamba des pieds pour ne pas marcher dessus avant de quitter le quartier.

Vous êtes naturellement à nouveau la bienvenue dans ce bureau, même si c'est uniquement pour venir me dire bonjour, lieutenant, comme tout le monde, en fait. Huhu, je vous souhaite une excellence salutation, madame.

Bon..

Ses deux prunelles se glissent sur les trésoriers et logisticiens.

Messieurs les trésoriers et logisticiens, vous pouvez rentrer, c'est à votre tour. Je vais attendre que vous soyez entrer.

Sire_Binou entra sur l'invitation de l'Intendant, se mit au gare à vous et salua. salut

Franchesco à la suite du sergent entra dans le bureau, salua le grand intendant et se plaça derrière une chaise.

Legolas entra dans le bureaux et resta au coin de celui si, prenant le soin de saluer l'intendant au passage.

Krane passa la porte suite à l'appel du Lieutenant intendant, de demandant pourquoi autant de monde avait été convoqué ... Serait-cetous les logisticiens et trésoriers des Osts de FC ? Peut-être, il allait le savoir. Saluant le Lieutenant intendant en entrant, le trésorier maitre d'armes alla sa placer derrière une chaise, les bras croisé, regardant tous ce petit monde entrer.

et un petit tour du côté de l'intendance histoire de voir si il y avait encore la
queue dans le couloir..

Flûte se dit Princess ca y est ils sont tous entrés...

se précipitant vers la porte que venait de passer Krane elle entra a sa suite,
essayant de ne pas le bousculer..
saluant au passage et comme il se devait tous le monde présent.. salut

Médecin et Logisticienne Princessedeneuch, je suis la aussi...

Le Médecin se trouva une petite place pas loin de la sortie au cas ou une
urgence serait a déplorer..

Jerone le truglion de service fit la circulation à l'entrée du bureau de Fenixium et entra le dernier saluant l'intendant au passage.

salut

Mes respects, Grand intendant.

Jerone alla se placer à coté de Krane afin de suivre ce qui semblait etre une reunion.

Riese envoya un pigeon au Grand intendant

Citation :: Grand intendant,

Je vous ecrit pour vous dire que je suis toujours dans l'attente du mandat que vous auriez du me refaire suite au depot de ce dernier par Geoffroy de Villier car j'ai trop trainer pour le recupérer! Dite moi ce que je peux faire pour vous aidez!

Bien a vous

Aspirant Riese

Le document que Riese est attrapé et il redige une réponse. Avant de se retourner en direction des trésoriers et logisticiens vis à vis de lui. Hop, il se lève doucement de son bureau avant de s'avancer devant eux par un soucis de courtoisie. Sa langue venant humidifier très légèrement ses lippes pour être capable de parler facilement sans avoir trop de difficultés de discours oratoires.

Tous mes respects, messieurs et mesdames. Je tiens à vous signalez que la Réforme a apporté des changements dans les garnisons que nous nommons maintenant OST. Les infirmiers, chercheurs/ingénieurs, cantiniers et courturier et tout ce qui se rapportait à la Vielle intendance est maintenant sous l'autorité exclusif des lieutenants des OST, alors, c'est eux qui prennent les décisions, les nomment et peuvent leur donner des ordres. Naturellement, le Capitaine a toujours son mot à dire.

En ce qui concerne la Nouvelle intendance, c'est maintenant un travail plus chiffrés, de budgets militaires, de rapports de coûts hebdomaires et mensuels. Les trésoriers et logisticiens sont sous ma responsabilité. Alors, si vous avez besoin de formation, vous me le dîtes, si vous hésitez, vous venez me voir. Bref, je suis certain que vous avez très compris ce que je vous dis.

Également, la franc-comtesse Macricri désire également que les trésoriers et logisticiens soient capable, donc formé, à aller voir le CAC et le bailli dans le bureau approprié pour faire les demandes de ravitaillements. Le Gouverneur militaire a suffisament de travail à faire comme ça, et par simple logique, c'est aux responsables financiers et logistiques d'une armée à faire ce boulot, pas à son gouverneur.

Mais ça, on en reviendera un peu plus tard.

Également, ce que je vous demande, c'est de faire des rapports quotidiens identiques d'une armée à l'autre. Je vais vous donnez l'exemple immédiatement de ce que j'attend pour les logisticiens.

Citation :: Aujourd'hui 9 juin 1457

Nombre de soldats : [ À ajouter ]

Avant distribution

Trésorerie de l'armée : 398,00 écus
Inventaire de l'armée : 102 miches de pain

Après distribution

Trésorerie de l'armée : 398,00 écus
Inventaire de l'armée : 98 miches de pain

Ce rapport a été rédigé par le Sergent-chef Geolier, Jerone.

Seul le Logisticien a les chiffres exacts pour donner le nombre de soldats dans son armée, car il arrive, parfois, quoique rarement, que des erreurs se glissent comme l'arrivé de '' soldats fantômes '' dans vos rangs. Ça, on veut le savoir.

Maintenant, je donne l'exemple que je veux pour les Trésoriers :

Citation :: 08 juin 1457

Trésorerie de l'armée avant les paies: 482,00

Trésorerie de l'armée après les paies : 398,000

Total des paies : 84 écus (4 soldats)

Salaire à 21 écus pour pallier à l'oubli du versement du 05 juin

Ce rapport a été rédigé par le Soldat maitre d'arme Krane, que je trouve très bien, vraiment très bien.

Il y a le nombre de soldats, la trésorie avant et après, le total des paies, le nombre de soldats et pour finir, une notice très informative.

Avez-vous des commentaires, des critiques ou des questions ? C'est le temps.

Rien à redire.

Krane écouta attentivement le grand intendant. Fin du briefing, il s'avança pour ce qui était de parler de questions critiques ou commentaires.

Hum, rien à redire ... Ah euh si peut-être une ... Fin de la réunion je pourrais récupérer la fiche de paie ? Juste ... Histoire de pas avoir de trou dans mon carnet de trésorerie ...

Le maitres d'armes sourit, attendant la réaction des autres, la permission de regagner son Ost avec sa fiche qu'ilm pourrait dès lors reclasser.

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