[RP] CELLULE N°1

Jerone accompagné de Jaquouille le Sergent chef Geolier arrive en cellule 1 qu'il à deja occupé seul pendant 11 jours lorsqu'il était gendarme. Il vit son artilleur lui faire un salut maladroit en se mettant au garde à vous tout aussi maladroitement. Jerone lui rendi son salut et lui donnant l'ordre de repos.

Repos soldat ici mon grade ne vaut rien.

Jerone remarqua qu'il y auvait un autre soldat dans la cellule et alla lui serrer la main apres avoir serré celle de son artilleur.

Bonjour soldat, je suis le sergent instructeur Jerone mais ici tu peux m'appeler Jerone tout simplement vu que le gnouf c'est un peu comme la taverne de notre ville il n'y a pas de grade qui tiennent sauf celui du geolier.

Jerone se tourna vers la grille et salua le geolier qui ne faisait que son metier.

A dans deux jours mon Sergent Chef.

Jerone se souvint d'un pierre mal jointe aux autre et la chercha. Apres l'avoir trouvé il tenta de tirer dessus mais senti immediatement qu'il ne devais pas aller plus loin. Il fit signe à Jehanic de l'enlever.

Jehanic eleve cette pierre et soulage toi par le trou.

Jehanic se réveilla en se disant qu'il allait bientôt sortir, et cette perspective lui mit un peu de chaleur au coeur. Il avait la gorge sèche et avala le fond d'eau qui restait dans le pot. Par contre il n'avait pas touché à ses deux bouts de pain. Manque d'appétit sans doute.
Pendant que le sergent Jerone dormait à poings fermés, Jehanic prit son bout de pain-graveur et alla vers son "tableau" sur lequel, à côté des deux précédents, il traça son troisième trait vertical.
Puis, comme il n'y avait rien d'autre à faire, il retourna s'assoir sur sa paille, le dos contre le mur, et attendit que quelque chose se passe.

Jehanic était bien content de voir la lumière du jour. Il salua le geôlier que finalement il avait trouvé sympathique.

"Je ne sais pas si je dois vous dire... au revoir..."

Apres avoir passé une journée endormi par tout l'exitation qu'il avait pu avoir à l'infirmerie Jerone fut reveillé par son moineau qui etait venu manger le pain.

A tien te voila toi tu va mieux à ce que je vois.

Jerone etait encore à moitié endormis lorsque que le Geolier vint le liberer.

Gné libre déjà j'ai autant dormis que ça.

Jerone se leva essuya son uniforme sorti de la cellule accompagné de son soldat. Apres que le geolier ait refermé la porte et les ait accompagné vers la sortie, Jerone le salua et alla à son terrain, avec une ferme intention de faire une mega explosion pour feter son retour.

[i]Umma sourit aux propos de Jacquouille, c'est vrai que cela le résumait bien étourdi qu'il était. Il en payait le prix de lourdes conséquences souvent.
Il faudrait qu'il soit plus scrupuleux à l'avenir. Mais, y-arriverait-il ?
Umma entendit le bruit de la porte lourde se refermer sur lui. Il soupire, et se recroquevilla dans un coin de son trou.
Il ferma les yeux et se prépara à passer une nuit tranquille.
Il révait de courrir libre nu comme un ver de terre en compagnie du belle dame... on pouvait toujours rêver, puis le ventre gargouillant il se mit à rêver de plats. Il voyait par là du boeuf, par là de la volaille, du sanglier... un gros banquet avec pleins de victuailles, des gâteaux et des fruits à perte de vue, le paradis sur terre.
Umma se réveilla en sueur, tout rabougri dans une pauvre cellule, seul, ayant froid et sans victuaille.
Il se tourna de l'autre côté faisant un autre trait sur le mur, et sourit pour s'encourager, il restait qu'une journée.
Ainsi, soulagé il s'endormit.

Kiboki suivit le geôlier dans les sous-sols qu'elle connaissait bien pour y avoir déjà été il y a de cela plus d'un an.
Apparemment cela faisait un petit bout de temps que personne n'y avait mis les pieds.
Elle regarda le geôlier.

Merci bien de m'avoir accompagné jusqu'ici.
Je vais y penser oui.

Kiboki salua alors le geôlier puis entra dans sa petite cellule.
Elle était persuadée que certaines personnes allaient lui rendre visite.

le gouverneur était en pleine patrouille quand il appris la nouvelle ... il avais sauté sur son cheval et c'est diriger vers le château à vive allure, arrivé a celui ci, il avais prit une couverture et le peu de vivre qu'il avais et c'etait dirigé vers le gnouf, passant a coté du bureau du geolier il commença a faire le tour des cellules quand il entendi kiboki appeller le geolier, il se dirigea à vive allure devant sa cellule et l'appella

kiboki, tu es la? mon amour...?

Jacquouille avait amené de quoi se nourrir à Kiboki. trois fois, le repas était seulement une soupe faite plus avec de l'eau que de légumes et une boulette de viande. Le tout accompagné d'eau en guise de boisson. Habituellement, il ne s'agissait que de pain rassis et d'eau croupie, mais le geôlier voulait changer un peu les habitudes.
Il était en train de descendre les escaliers et arrivait au bas de ceux-ci lorsqu'il entendit crier dans les couloirs à travers la porte de la seule cellule occupée.
Quand Jacquouille arriva à proximité de la cellule, il vit le gouverneur Pendarric devant la porte.

- Eh bien, eh bien !! Bonjour Gouverneur Pendarric. Une visite pour le sergent Kiboki ? A croire que j'ai une prisonnière de marque...Très bien, cela lui fera un peu d'occupation. Mais veuillez me pardonner un instant...

Jacquouille avança vers le devant de la porte, obligeant Pendarric à reculer. Le geôlier ouvrit la lucarne en grand puis appela Kiboki.

- Sergent kiboki ? Tenez, voilà de quoi tenir une journée. Bon appétit !! Et à demain.

Jacquouille referma la lucarne, regarda le gouverneur :

- Gouverneur Pendarric ! Je vous souhaite une bonne journée !

Jacquouille se retourna puis s'en alla vers ses occupations...

Kiboki entendit des pas rapides dans le couloir menant à sa cellule.
Elle se dit que finalement le geôlier n'était pas si loin que ça.
Mais la personne qui était là fut la meilleure visite qu'elle pouvait espérer.

Oui je suis là.
Tu peux pas savoir à quel point je suis ravie de te voir.
En plus ça va pas très fort aujourd'hui.
Et toi, ça va ?

Kiboki entendit alors d'autres pas qui était cette fois-ci celui du geôlier qui lui apportait son repas.
Il fit passer le plateau par la lucarne.
Il était pas si mal que ça le repas

Merci bien Sergent-chef Jacquouille, bonne journée à vous aussi.

Une fois le geôlier parti, Kiboki reprit la discussion avec son futur époux.

Pendarric regarda le geolier nourrir sa futur femme, puis il lui repondit avant que celui ci repartent

bonjour sergent, passez vous aussi une bonne journé...

Il se retourna vers kiboki

moi sa vas mais c'est pour toi que je m'inquiète, quesque ta encore fait ... la dernière fois que je t'ai vue ici tu avais critiquer trop fort une mission si je me rappel bien... a tien tant que j'y pense j'ai sa pour toi!!

Pendarric lui glissa une couverture accompagner de quelque vivre et d'une gourde de vin

Kiboki avait l'air gêné à l'allusion de Pendarric à son ancienne visite ici.
Son sale caractère avait pris le dessus une fois de plus.

Euh... eh bien c'est casi la même raison qui fait que je suis encore là aujourd'hui.
Disons que j'ai refusé de partir en mission et que j'ai été un peu trop sévère dans ma réponse ^^
Enfin bref tu me connais, moi et mon sale caractère.

Pendarric lui tendit alors une couverture et des victuailles pour mieux tenir le coup.
Cinq jours c'était quand même beaucoup mais bon, il ne fallait pas répondre de la sorte à son supérieur.

Heureusement que tu es là, je serai moins gelée cette nuit.
Tu penses vraiment à tout

il faut bien que quelqu'un prenne soin de toi, et j'ai pas envie que tu choppe la mort dans ses geôle

pendarric sourit a sa futur femme la voyant se mettre au chaud dans sa couverture

donc si je comprend bien je doit allez assomer sologui

En tout cas ça va mieux, j'ai beaucoup moins froid
Cinq jours c'est quand même beaucoup mais bon fallait pas que je réponde comme ça.
J'ai tendance à encore me croire lieutenant ^^

Si ça te soulage, tu peux aller lui dire quelques mots

On voyait bien que Kiboki allait mieux, elle retrouvait le sourire en la présence de son futur époux.

Kiboki entendit des pas venir dans la direction de sa cellule.
A sa grande surprise c'était la personne qui l'avait mise au gnouf qui lui rendit visite.

Bonjour mon Lieutenant, je ne m'attendais pas à vous voir ici
Quelles sont les nouvelles ?
L'inspection de la garnison est finie ?

Kiboki regarda le Lieutenant Sologui l'air plein d'interrogation..

Citation :

Quelles sont les nouvelles ?
L'inspection de la garnison est finie ?

Oui, l'inspection est finie. Les groupes sont partie en effectif réduit .

Je venez prendre de vos nouvelles. Il est vrai que ce n'est pas un lieu confortable mais je me devais de vous y envoyer. Sinon certains aurait pu croire qu'ils pouvait faire ce qu'ils veut sans être sanctionné.

J'espère que vous comprenez sergent ?

Pas de problème, vous faites votre travail et moi je n'ai pas fait le mien.

Par contre vous êtes la deuxième personne à m'avoir mis au gnouf.
Sincèrement je ne vous aurais pas vraiment cru capable de ça.
Donc maintenant je vous montrerai le respect qui est dû à votre rang et je ferai moins ma tête de mule ^^

pendarric sourit en entendant kiboki dire sa

bah sologui peut être aussi plus patient avec toi

Kiboki commençait à s'endormir, sa tête était lourde et ses yeux se fermaient tout seul.
Elle dût donc prendre congé de son Lieutenant et de son futur époux.

Mon Lieutenant, merci pour votre visite.
Dans 2 jours je serai dehors et je pourrai enfin reprendre le cours normal des choses.

Elle regarda ensuite son homme.

Merci pour toutes ces victuailles et la couverture
On se revoit sous peu et on mettra en route nos projets

Kiboki se mit alors sur ce qui lui servait de lit et s'endormit paisiblement.

Kiboki se réveilla avec une humeur maussade.
Le gnouf ne la réussi pas du tout.

La journée se passa vite malgré qu'elle n'ai pas eu de visite.
Elle prit le reste des provisions que lui avait apporté son homme pour le repas du soir.
Elle bu le vin à la bouteille vu qu'elle n'avait pas de verre à disposition.

Elle se motiva toute seule.

"Allez Kiki plus que un jour puis tu pourras sortir de là et enfin avoir la possibilité de reprendre tes activités."

Les terrains d'entrainement lui manquait fortement.
Elle avait cependant fait des exercices tous les jours pour ne pas se rouiller par l'inaction.
Une fois sortie, elle pourra directement reprendre les entrainements intensifs.

Kiboki fut réveillée par le geôlier.
Elle prépara ses affaires pour sortir au grand jour.
Jacquouille lui adressa quelques mots.

Ne vous inquiètez pas, j'ai parfois des sautes d'humeur et là ça en était une.
Ce que je considère être mon rôle c'est de conseiller et de faire part de mon expérience.
Le climat actuel de l'armée ne me convient pas et donc ça a favorisé mon emportement.

Je vais vous laisser à vos occupations.
Je vous dis à la prochaine mais en d'autres circonstances.

Une fois à la lumière du jour, Kiboki eu d'abord du mal à s'y habituer puis tout allait bien.
Elle se dit qu'elle allait voir à l'infirmerie pour un petit check-up.

Jacquouille arriva en compagnie des deux gendarmes. Il ouvrit la cellule numéro 1 et parla à Osadus. Le gendarme étant peu bavard, Jacquouille fut bref.

- Bien, Osadus ! Voici votre cellule pour les trois prochains jours. Je vous apporterai de quoi vous nourrir. Bon séjour !!


Le gendarme entra et le geôlier referma la porte et se dirigea vers la cellule numéro 2 avec Artmaniak....