[RP] CELLULE N°1

Comme neuve !

La maître d'armes avait laissé ses yeux s'habituer à la pénombre et s'était alors avancée jusqu'à la porte de la cellule et avait observé un moment le soldat Lorenzor allongé sur la paillasse.

Elle se racla un peu la gorge pour lui faire entendre qu'elle était là

Soldat Lorenzor...

Elle attendit que le militaire se lève et se mette au garde à vous.

Vous avez le feuillet avec mes demandes... ?
J'ai dit que je passerai le chercher ici...

Le contenue des lettres:

-les dates d'engagement et de démission:
Les archives remontent pas a assez loin pour ma période de soldat, mais je me suis inscrit vers milieu aout.

Lun 4 Sep - 7:24, premier poste en temps que chercheur, Sam 23 Sep - 12:24 dernier poste en temps que chercheur (dernier poste trouvé)

Lun 27 Nov - 17:12 premier poste au terrain d’entrainement en temps que caporal fantassin, Sam 6 Jan - 13:17 dernier poste au terrain d’entrainement en temps que caporal fantassins

- le corps: Fantassins/chercheur/chirurgien/barbier

- la garnison:Poligny

- le dernier grade : Caporal

- éventuellement un événement marquant... une guerre... le nom d'un de vos lieutenant, le capitaine de l'époque:

Citation :

De: leconquerant
A: Lorenzor
Posté le: Jeu 17 Août - 17:26
Sujet: caserne

bonsoir, je vois que tu viens de t'inscrire a dole, tu ne me connais peut etre pas, je suis le capitaine de dole qui a demisionné il y a une semaine ou 2 à présent...Suite à l'inactivité de dole, j'ai crée une milice qui sera j'ai bon espour dans 15 jours l'armée officielle de FC. Son site est celui ci http://www.casusbelli.superforum.fr tu peux venir y jeter un coup d'oeil et pourquoi pas cumuler les 2 comme nombreux soldats, nous sommes actuellement 42 militaires principalement des anciens de dole a avoir choisit la milice.

Cordialement

leconquerant

Citation :

De: faross
A: Lorenzor
Posté le: Mar 22 Août - 8:01
Sujet: du capitaine faross

bonjour soldat,

veuillez vous presenter dans les plus brefs delais dans le bureau du lieutenant des fantassins afin d'y percevoir vos grades et ecussons d'armes:

https://chateau-de-dole.forumactif.com/viewtopic.forum?p=69726#69726

des instructions vous seront données par le lieutenant amytiville

capitaine faross

[quote]De: faross

Citation :

A: Lorenzor
Posté le: Mar 22 Aoû - 11:30
Sujet: Re: du capitaine faross

tres bien soldat!
bienvenue chez vous donc

Citation :

De: faross
A: Lorenzor
Posté le: Mer 23 Aoû - 11:22
Sujet: du capitaine faross

Officiers, Sous-officiers, Soldats,

Nous partons demain matin pour un exercice qui j’espère vous plaira a tous.

Au niveau du départ, ‘ingame’, j’ose espérer qu’il n’y aura pas de louper et que mes ordres préparatoires ont bien étés transmis

Au niveau du RP, nous allons jouer cet exercice sur la halle de Poligny, c'est-à-dire que tout le monde vous verra au travail ! Je vous demande donc de vous comporter en militaire responsable car vous serez la ‘vitrine ‘ de notre armée durant cet exercice.

Je serai à votre écoute et n’hésitez pas à me contacter par MP si vous avez un souci

Alors bon courage a tous et faites moi un RP de choc !

Capitaine Faross

Citation :

De: amytiville
A: Lorenzor
Posté le: Jeu 31 Aoû - 5:28
Sujet: les groupes d'intervention

Le Capitaine a décidé de créer des groupes capable de partir à tout moment en mission. Voici les groupes décidés par le Capitaine.
Citation:
groupe 1:

Citation :

AMYTIVILLE
ARTIX
RIANA
ZYANA
LORENZOR


Groupe 2 (dit de reserve )
faross
chevalier du dragon
snaky
curunir

vous pouvez envoyer. a savoir que les personnels du groupe 2 seront la pour remplacer les membres defaillants du groupe 1 en cas de depart.

Mais que je peux egalement faire partir les deux groupes en meme temps.


Mesdames et messieurs, je compte sur vous pour faire honneur au groupe auquel vous appartiendrai mais surtout faire honneur à la Franche-Comté.

Lorenzor, veuillez rejoindre mon groupe.

_________________
Bien à vous,

Amytiville

(Chercheur)

Citation :

https://chateau-de-dole.forumactif.com/Quartier-General-de-l-Armee-Franc-Comtoise-c6/La-Cour-de-la-caserne-f239/Quartier-des-Fantassins-f80/Terrain-d-entrainement-des-fantassins-t4995-20.htm

https://chateau-de-dole.forumactif.com/Quartier-General-de-l-Armee-Franc-Comtoise-c6/L-intendance-f75/Laboratoire-de-recherche-f96/Labo-Attention-Danger-t1851-40.htm

(Fantassin(Caporal))

Citation :

https://chateau-de-dole.forumactif.com/Quartier-General-de-l-Armee-Franc-Comtoise-c6/La-Cour-de-la-caserne-f239/Quartier-des-Fantassins-f80/Terrain-d-entrainement-des-fantassins-t4995-600.htm

https://chateau-de-dole.forumactif.com/Quartier-General-de-l-Armee-Franc-Comtoise-c6/La-Cour-de-la-caserne-f239/Quartier-des-Fantassins-f80/Terrain-d-entrainement-des-fantassins-t4995-800.htm

Lorenzor tendit le paquet de feuille a Spikelilou. Son regard n'était pas froit, ni lourd de reproche, mais plutôt inexpréssif.

-Voila, je n'es pas tout mit, mais une bonne partie. Si vous voulez plus de preuve, j'ai encore plusieurs missive a l'appuis....Merci bien ma dame, âssé une belle journée.

Le solide polignois fit une petite courbette, restant bien au garde-a-vous.

La maître d'armes fronça les sourcils ... en prenant la liasse de documents que le soldat lui tendait... et feuilleta un peu...

Diantre !!!
Militaire tout ce temps...
Et pas capable de saluer son superieur avec son grade !!!

Le temps de service vous avez...
OUI !
Savoir s'exprimer...
OUI !

MAIS...

Qui va vouloir se porter garant d'une forte tête comme vous ?
QUI ???
Hein ??? soldat Lorenzor...
Pas mon aspirante...
NON !
pas le sergent-chef geolier...
NON !

Pas moi pour le moment.

J'ai besoin de l'avis de votre supérieur du corps des fantassins... et là RIEN...
Aux supérieurs qui viennent de vous cotoyer vous n'avez pas donné une bonne impression... et là les mots que j'utilise sont... je vais dire gentils...

Alors après les 3 jours aux arrêts vous allez sur le terrain des Fantassins et vous montrerez que vous êtes un soldat.
Entraînement, obéissance et politesse.
Dès que j'ai un avis positif, je passe votre dossier d'intégration aux éclaireurs, au capitaine.

C'est à prendre ou à laisser soldat Lorenzor.

La maître d'armes regarda encore une fois le militaire et tourna les talons pour remonter au jour et à l'air et fit résonner encore une phrase.

A prendre ou à laisser... soldat. Bien à vous.

-Mes respects, ma dame, mais j'ai de la misère a respecté les gens qui m'insulte....Se que dame Kryss et se que le géolier on fait était plus que dégradant et humilant, après tout le temps que j'ai passé a servire notre cause....

Lorenzor prit une pause. Son ton n'était ni froid, ni arrogant, mais plutôt innexpréssif. Son visage trahisait les nombreuse année de travail acharné et le temps passé sur les routes et dans les odres militaire avait formé sa forte musculature. Son regard d'un bleu profond était s'incére et laissait clairement paraître qu'il était un homme d'honneur et d'orgeuil. Un soldat. Ni plus, ni moins.

-Dame Zelda, Messir Bendith, Messir Gaunt et plusieurs autre, que je ne me rappel pas nécéssairement....Tous pourons vous témoingné de mes aptitudes militaire. Je n'es jamais manqué de respect a un supérieure avant aujourd'hui, et, comme je vous l'es expliqué, se manque de respect a comme raison, un manque cetain de respect envers ma carrière, envers mes valeurs et envers moi, simplement.

Le jeune homme prit une seconde pause, fermant les yeux. A trop parlé, il devenait légèrement étourdit. Ses plais commencé surment a s'infecté puisqu'il n'avait pas changé ses bandages en revenant en Franche-comté.

-Je serais au terrain d'entrainement....Mais une dernière chose avant que vous partiez....Ais-je l'autorisation de me rendre a l'infirmerie....?

Les nombreuse bléssures que les brigands lui avait infligé l'avait mit dans un bel état, qu'il avait réussit a bien caché jusqu'a lors. Mais la perte de tout se sang avait surment altéré un peu son jugement. Lorenzor était toujours allé jusqu'au bout et là, il y arrivait...Ses bandages sale et souillée laissait de plus en plus échapée des goutes de sang, qui m'acculait l'habit de l'homme, au niveau des bras, surtout, mais aussi du torse et quelque peu des jambes.

Djvier revient quelque heure plus tard en compagne du médecin chef Marikosan il attendit que le soldat se lève et se mette au garde a vous ...

- soldat Lorenzor le médecin Mariko va regardé vos bandage ,et je ne veux pas vous entendre vous plaindre , c’est comme ca et c’est tout . je ne vous attache pas mais je reste pour surveillé , alors je vous fais confiance , pas de trahison OK

le geôlier ouvrit la cellule pour que Mariko puise entré , tout en surveillent du bonne oeil la main sur son épée prêt a partir au moindre dérapage !

Lorenzor observa longuement les deux nouveau arrivant, a moitié ''couché'', si on peu appelé ainsi la position assez peu gracieuse dans laquel le jeune homme occupait l'espace plutôt inconfortable de sa couche de fortune.

Après quelque seconde, le solide gaillard se releva et se mit assez molement au garde-a-vous. Il avait plus la force de l'adrénaline et de l'arrogance, il n'avait pas envie de s'attiré encore plus d'ennuis....Pour l'instant, tout du moins.

-Je ne me plaind pas quand c'es pour mon bien, messir. Et je suis un homme d'honneur. Vous me vexé en pensant le contraire.

Lorenzor déboutonna sa chemise et la laissa tombé sur le sol, laissant voir les multiple coupures sur son torse et sur ses bras. Étrangement, c'es bras étaient couverts de coupure, mais elle était toute paralélle, disposé le long de l'avant bras, par dessus les vestiges de vieille brûlure du temps qu'il était chercheur et qu'il aimait bien la poudre noire. Quand a son torse, les bléssures semblait plus a des preuve d'un combat que la plus parts celle sur les bras.

-C'es quand vous voulez.

Quelques coupures semblait déjà infectée, légèrement, mais somme toute, elles étaient propres.

-Ha, oui....Monsieur, je crois que votre garde n'es plus de mise, puisque téchniquement, je suis libre a partir de maintenant.

Poursuivit le jeune homme, de la même voix innexprésive et calme qu'il avait utilisé depuis le début de la conversation. Le robuste polignois s'assit donc docilement sur la palaisse et attendit les soin de la jolie infimière.

Un peu en arrière du geolier et du médecin en chef, la maître d'armes attendait et finit par s'avancer.

Sergent-chef geolier... ce militaire à purgé sa peine... 3 jours aux arrêts... c'est bien ça... j'ai apporté sa fiche...
D'ailleurs je dois vous féliciter... ces feuillets sont parfaits.
J'ai juste barré là... pour le corps.... il est fantassin.

Citation :

- FORMULAIRE DE PUNITION -

Grade : SOLDAT
Nom : LORENZOR
Corps de métier : NONE FANTASSINS garnison : POLIGNY

Punition : GNOUF
Motifs : VOL DE MATERIEL MILITAIRE
Durée : 3 JOURS

----------------------------------------------

Appréciation du geôlier

*Note de 1 à 10 pour comportement et assiduité

Entrée le :26-07-1455
Comportement :
Assiduité :
Sortie le :

Médecin Marikosan... vous me remettez ce soldat sur pied rapidement.
Il doit aller faire ses preuves sur le terrain d'entraînement.
Alors ne le dorlotez pas... surtout pas... il n'aime que la dure...
Il n'a pas encore fait sa visite, peut-être que vous pourriez faire d'une pierre deux coups.
Sergent, médecin... je vous laisse régler la sortie du soldat Lorenzor

La lieutenant hocha la tête et remonta les escaliers...

Le Médecin Chef Mariko salua avec respect le Lieutenant Spikelilou, s'avanca donc vers Lorenzor qu'elle avait deja croisé...,soupirant légérement et essayant de rechauffer l 'athmosphere...glaciale qui regnait entre les protagonistes...

Oui lieutenant, je vais m occuper de lui à la dure, cependant ne pensez vous pas qu'il ait deja assez souffert dans sa fiereté, sans que je lui enfonce force aiguilles et que sais je encore dans le corps ???

Bonjour Lorenzor, asseillez vous donc et montrez moi donc ses vilaines plaies ...

La jeune femme s'agenouilla pres du bléssé et examina avec attention les blessures qui commençaient à puruler, elle eut une grimace en reniflant l odeur nauséabonde qui s'echappait des coupures..

Hé bien il était tant que vous m'appelliez...encore 2 jours comme ca et on devait couper, regarder les rougeurs et les boussouflures...Mariko désigna les bras de Lorenzor au Sergent et au Lieutenant

dites mon ami, vous vous êtes fait cela comment ???

Tout en écoutant la réponse du fantassin, Mariko sortit diverses fioles de sa saccoche, elle les disposa pres d'elle sur le sol, puis tira un linge propre d'une petite boite de bois et l imbiba d'une lotion désinfectante de plantain et de grande camomille, apres avoir séché le tout, elle sortit un petit couteau, une morceau de plante qu 'elle incisa et enfit tomber le suc sur les plaies....puis massa legerement et fini par bander les bras ...

Voilà Lorenzor...venez me voir a l infirmerie centrale afin que je change les bandages et prennez donc ceci...quelques gouttes chaque matin et tout ira bien ...

La jeune femme se releva , defroissant ses jupes ..

Bien votre visite médicale maintenant...Je vous fais grâce des pompes, pas besoin de reouvrir les plaies...mais faites moi ...Hum...50 abdos...et pareil pour les flexions...parfait ...votre coeur et vos poumons sont en parfait état...vu votre ennergie je suppose que les reflexes sont excellents non ???? Bien ouvez la bouche...

Mariko s'approche d 'un peu plus pres du soldat et examine sa bouche ...
je vois quelques rougeurs, surement dûent aux cris que vous avez poussés. Mariko sourit...et lui tâte la gorge...

A priori tout va bien ...il nous reste le test de vue a verifier...
La jeune femme farfouille dans sa sacoche et en sort une image...
Soyez attentif..combien de voyez vous ???

Citation :

[b]

Lorenzor, malgrés la douleur des soin de la jolie infirmière, ne poussa aucun cris, trop orgueilleux, mais laissa échapé quelque grognement de mécontentement et d'inconfort. Il été habitué de se genre de soin, s'étant bléssé souvent. Il fit tout se que la dame lui dit, sans rouspetté.

-Des brigands qui m'ont fait sa, m'dame, pendant mon voyage. Des plutôt coriaces, d'ailleur....

Puis, la jeune femme lui montra des animals étrange, désiné sur une banderole.

-heu...J'en vois 15 madame....Ou 16, dépendant du point de vue.

Le solide Franc-Comtois fouillia un peu dans sa poche et tendit une feuille a Marikosan.



-Voila, sa va sauvé du temps.

A l’approche de Spikelilou , Djvier se retourna se mit au garde a vous puis il la salua avec respect .

- Mon lieutenant mes respect ... oui il a purgé sa peine ... c’est exacte 3 jours aux arrêts... je mettrais son dossier a jour ne vous inquiété pas le nécessaire sera fais ...

puis la maître d’armes salua et quitta les geôles .

- Mariko je vous laisse finir vos soin au soldat Lorenzor , on se vois plus tard ! vous me préviendrez de votre départ ?
Quand a vous soldat Lorenzor , vous quittez les geôles aujourd’hui , vous filé chez l’aspirante Kryss quérir un uniforme réglementaire et ensuite rendez vous sur le terrain des fantassins .

Léonin est devant une porte immense, beaucoup plus grande et imposante que toutes celles qu'il avait pu voir jusqu'a présent. Il en était encore loin et il s'en approchait doucement. Plus la porte était proche de lui plus elle était gigantesque. Arrivé au pied d'elle, il s'arrêta. Il leva la tête et il la contempla. Pour lui plusieurs personnes pouvaient y passer de front sans aucun problème, et même si lui il était grand, il ne pouvvait pas en toucher le montant supérieur. Il se retourna et regarda devant lui une grande pièce, lugubre sombre et humide.

Soudain il remarqua quelque chose d'inquiétant. La pièce semblait être plus petite qu'il ne l'avait remarqué. Il observa les murs et il fut prit d'effroi. Les murs se rapprochaient inexorablement. La peur s'empara vite de lui. Cette pièce voulait l'écraser. Il se retourna de nouveau et tambourina autant qu'il put a la porte. Mais il avait l'impression de frapper contre un mur. Il regarda autour de lui, les murs se rapprochaient encore et toujours. Il tenta de pousser la porte mais elle ne cédait pas. Il sentait maintenant le froid intense d'un mur dans son dos qui commencait a l'écraser contre la porte.

Il sursauta et se réveilla brusquement.

Il regarda autour de lui. Il était encore dans sa cellule. Une petite lumière passait par la lucarne indiquant que c'était le petit matin. Il s'assit pour reprendre un peu ses esprits et il se frotta un peu le visage avec ses mains pour bien se réveiller.

Plus qu'une journée a passer dans ce lieu lugubre murmura t-il pour lui même.

Il se leva et marcha un peu en rond dans la petite pièce. Il s'arrêta d'un coup. Il se dit : *profitons de ce petit moment pour faire quelques pompes ca me remettra les idées en place au moins ...* Il se mit par terre et commenca ses pompes. Il faisait un peu par rage mais aussi et surtout pour passer un peu de temps. Au début il les comptait, mais très vite il perdit le fil. Il continuait a faire ses pompes, ses bras commencaient a lui faire un peu mal et il suait déja malgré le froid et l'humidité qui régnait dans la cellule. Soudain il s'arrêta.

Il se releva et regarda par la petite lucarne. Le soleil semblait s'être complètement levé cette fois-ci. L'air extérieur était frais et la cellule presque froide, mais après ses exercices Léonin n'avait plus froid. Il laissa son esprit vagabonder tout en regardant a l'extérieur la vie du chateau reprendre doucement.

[HRP : désolé pour des raisons IRL je n'ai pas pu poster avant pour ajourd'hui ]

C'était de nouveau le matin. Léonin avait eu froid cette nuit. Et comme la veille il avait fait un cauchemard. Mais celui-ci était moins terrible que le précédent. Il se leva et regarda par la lucarne. Il pensait : *Aujourd'hui je dois sortir. Espérons que ce moment arrivera bien vite ...* Il alla de nouveau se recoucher sur sa paillasse de fortune.

Alors qu'il était plongé dans ses pensées, il entendit un bruit dans le couloir. On aurait dit des clés qui raclaient le mur. Il entendit ensuite un cliquetis. C'était le geôlier Djvier qui ouvrai sa cellule.

Il se leva et se mit rapidement au garde-a-vous.

Citation :

- Caporal léonin ,
levez vous ! , c’est fini pour vous ^^ ... votre peine en terminer !
j’ai déjà remplit l’ordre de sortie , donc , vous êtes enfin libre ...
passer voir le medecin-chef pour une visite médical de sortie de cellule !
allez , filez !
et je ne vous dis pas a bientôt ! ^^

Bien Geolier !
Je vais me rendre immédiatement a l'infirmerie pour ma visite.
J'espère moiaussi ne jamais a y revenir ...

Il sortit de sa cellule et passa de nouveau devant les autres dans le couloir du gnouf et il sortit prestement de ce lieu.

Le Capitaine ThomasHawk arriva devant la porte de la cellule où dormait le Lieutenant Jacquouille.

Lieutenant Jacquouille. Vous allez, s'il vous plaît, me faire le plaisir de sortir de cette cellule et de de retourner dans votre garnison.
Et ne me dites pas que vous y êtes sur ordre de la Franc-Comtesse, je m'en tape! En tant que capitaine des armées de Franche-Comté, j'ai besoin que tous mes officiers soient actuellement à leur poste.

Je vous prierais donc de bien vouloir retourner dans votre garnison et de, au plus vite s'il vous plaît, rédiger le rapport d'effectif quotidient que j'ai demandé à tous les lieutenans de garnison.

Lieutenant Djvier, veuillez s'il vous plaît, ouvrir la porte de cette cellule.

Et le capitaine s'éloigna en direction de l'Etat-Major.

Jean écouta l'Aide-Geolier , et comme bon garcon, suiva ses ordres et arrêta de rire . Il regarda le seegent puis dit d'un air assez calme :

-Bien ! je ferais ce que je dois faire .

L'homme qui était devant lui quitta la cellule puis Jean s'occupa dans cette cellule qui sentait le moisit

A midi et demi l'aide géolier arriva et lui donna une piche de vin et un morceau de pain et remercia puis l'aide géolier partit et mangea le morceau de pain et mit la piche sur son tabouret parce qu'il ne buvait pas en service
puis monyella se couvit sous une couverture et se revailla a dix-sept heures et dit et appella l'aide géolier, l'aide géolier arriva et demanda

Citation :

il y a un gouter au gnouf?

bonjour sergent geolier chef , je me présente soldat mamancalin , je viens pour la premiére fois fois en prison et j aimerais savoir comment est ce que ca va se passer ? je suis un peu inquiete , je me tiens a votre disposition

J arrive a la porte de ma prison et j entre , et vois un long couloir avec plein de portes puis d un coup , je me retrouve devant ma cellule accompagné du sergent chef géolier qui me dit d y entrer et referma la porte et la je vois une paillasse , regarde autour de moi les murs etaient sinistres et ca sentait l humidité , je me disais cela aurait pu etre bien pire du coup je m allongeais sur ma paillasse et m endormit en pensant a ma vie personnelle et zut pourquoi j ai avertie personne de mon depart .

bonsoir , j ai passée ma premiére nuit dans ma cellule et cela a été difficile pour s endormir, je n avais pas l habitude de dormir comme cela , a mon reveil , je me suis lavée et attendit mon repas , j etais patience donc je marchais dans ma cellule et d un coup mon repas arriva c etait pas grand chose , mais j en etais satisfaite , et puis je tenais le coup pour mon amour qui m attendait a ma sortie , donc je fis les corvées demandées et puis je revenais dans ma cellule et vous saurez la suite demain .

bonsoir sergent chef geolier ; je m excuse pour hier soir ( hrp absente toute la soirée donc rentrée tres tard) je viens de passer ma deuxieme journée en prison et ca va bien je reste calme et ecoute ce que l on me dit , je tiens a me faire des ennemis ici , au niveau des repas je m y fait et c est toujours aussi lugubre et ma paillasse un peu dure mais ca va ca pourrait etre pire , j ai peur des autres prisonniers donc je me cache d eux et je fais toujours attention a moi de ne pas etre desagréable avec nos gardiens .

Un petit crack se fit entendre dans la cellule alors qu'un petit rayon commencea à rendre visible les seules choses pouvant être distinguée dans ce trou. Le Lieutenant ouvra doucement les yeux, encore à moitié dans son sommeil puis chercha du regard d'ou pouvaient bien venir ces petits bruits étrange. faisant le tour du regard de la cellule, il finit par distinguer une petite silhouette qui bougeait assez vivement. Cette silhouette qui était l'origine de son réveil. Qu'était-ce ? Se frottant les yeux, avant de secouer un peu la tête, il regarda ensuite la silhouette plus attentivement.
Un rongeur sans nul doute, cette pensée qui fut confirmée par un petit cri poussé par la bestiole.... Krane l'observa sans bouger pendant un moment, puis l'animal se dirigea vers lui. Une fois à distance suffisante, Krane l'attrapa d'un geste vif et la porta à hauteur de ses yeux.
Un rat ... Krane réflechit un instant puis déposa l'animal qui partit au quart de tour dans un petit trou de la cellule une fois l'étrainete desm ains de Krane levée. Ce petit trou devait surement être ce même trou par lequel la bestiole était entrée ...
se frottant de nouveau les yeux, Krane se redressa pénniblement, puis il s'assit dos contre ce mur, puant et humide qui le retenait dans cette foutue cellule. Baillant un grand coup, il leva les yeux vers le plafond, cherchant un petit rayon de lumière dans l'obscurité, bien qu'il savait pertinament qu'il n'y en aurait pas, il espérait tout de même ...

Voilà à présent deux heures que le Lieutenant s'était réveiller. Quelle heure pouvait-il bien être ? Il n'en savait rien. Impossible, impossible d'avoir quelconque notion du temps dans cet endroit obscur. Tout comme la journée précédente, chaque heure passée avait l'air de durer des jours, chaque minute passait pour des heures ... Chaque seconde pour une éternité ... Krane n'avait toujorus pas bougé du mur sur lequel il s'était adossé depuis son réveil. Mur contre lequel il méditait sur ses erreures. Il n'avait de toute façon riend d'autre à faire, à part peut-être attendre tout simplement que le temps passe. Mais attendre, attendre simplement que le temps passe rendrait fou n'importe qui qui serait enfermé entre ces 4 murs. Un véritable piège psychologique et mental pour un fond de conception très simple de la cellule...
Un "CLAC" sortit Krane de ses pensées. Se tournant directement vers la porte, il vit un morceau de pain sec voler dans sa cellule, puis le clapet supérieur de la porte se refermé pour laisser place au clapet inférieur par lequel l'homme derrière la cellule fit passé un bol d'eau avant de refermé le clapet violemment. Krane perturbé par cette interruption subite de ses pensées reprit rapidement ses esprits, et d'un bon il se jeta sur le morceau de pain sec, de peur que son compagnon de cellule, dont il avat fait connaissance plus tôt le matin, ne le lui pique.
Le pain passa tel un repas de luxe dans un lieu aussi glaucke. Au grand jamais Krane aurait pu s'imaginer qu'il mangerait un vieu bout de pain sec, surement rongé par la pourriture, avec autant de plaisir ... Il attrapa ensuite son petit bol d'eau qui serait son seul rafraichissement de la journée, puis se remit à méditer. ..

Krane salua son ami et Lieutenant Maitre d'armes Djvier.

Lieutenant Maitre d'armes, comment allez-vous ?
Moi je dirais que je me suis déja sentit en plus grande forme ... Et j'ai déja eu une odeur plus agréable aussi.

Le Lieutenant prit avec plaisir le morceau de jambon que lui présenta le Lieutenant maitre d'armes.

Du jambon ? oulah, c'est une denrée de luxe à côté de ce qui est servit ici !

Krane sourit.

Rien de tel qu'un bon morceau de jambon après trois jours passés dans ce trou puant.
Oulah, mais ne parlant des trois jours, c'est la fin de ma peine non ?
Je me disais bien ! Vite, que je sorte de ce trou !

A ces mots, le sergent chef Jacqouille vint appeler le détenu à sortir.

Oh, ca fait plaisir de vous voir sergent-chef !.
En effet, je sens pas la rose, héhé.

Le lieutenant sourit de nouveau.

au fait, Jacqouille, ou plutôt dirais-je Sergent-chef ... Félicitation pour votre promotion au rang de sergent-chef !
Oh, er, oui, je vais allez prendre un bain, il vaut mieux ...
J'aimerais pas vous intoxiqué plus longtemps.
Lieutenant maitre d'armes, Sergent-chef .... Bien à vous...

Le Lieutenant les salua puis partit à la recherche de la première baignoire utilisable.

Citation :

Bien, entrez là ! Je vous souhaite un agréable séjour en ces lieux, et attention : pas d'entourloupe, ou gare ! Je viendrai vous sortir de là, dans un jour pour Ketchoupi, trois pour Jehanic. Allez ! Et réfléchissez un peu à votre situation...

Ketchoupi entra dans la cellule,c'était un endroit sombre et humide,on pouvait voir des rats qui traversait la pièce.Le jeune soldat distinguait une petite paillasse sale sur le sol,ça devait être là où l'on dormait...Il s'assit sur la paille...

Citation :

Prochain repas dans quelques heures : pain sec et rassis et de l'eau à moitié croupie...Un régal !!

Hum je sens qu'on va se régaler!Pas vrai Jehanic?

Son ventre gargouillait,il n'avait pas mangé avant de se présenter au bureau du géolier.

Quel idiot je suis de ne pas avoir pris un bon repas avant de venir .Mais bon,juste un jour ça va aller,on est à l'armée tout de même!

Puis Ketchoupi se tourna vers le soldat qui était en cellule avec lui...

Bonjour Jehanic,qu'avez vous fait pour vous prendre 3 jours de gnouf?Moi c'est le capitaine Macricri qui m'a envoyé au trou pour insubordination...Je l'ai bien cherché aussi...

Enfin bon,c'est déja pas mal que je passe ma journée de gnouf avec toi...Mon pauvre tu en as pour 3 jours,je te plainds...

Ketchoupi s'arrêta de parler attendant une réponse de "collocataire" ...

Il regardait la cellule,il entendait,au loin, le géolier accompagner les autres punis dans leurs cellules ou leur salles de corvée respectives...

Hum je sens qu'on va se régaler!Pas vrai Jehanic?

Se régaler de pain sec et d'eau croupie comme le disait le geolier, si vous appelez ça se régaler, j'apprécie votre humour de situation... mon estomac sans doute un peu moins... Ravi de faire votre connaissance Ketchoupi, même si le lieu n'a rien de convivial.

Bonjour Jehanic,qu'avez vous fait pour vous prendre 3 jours de gnouf?Moi c'est le capitaine Macricri qui m'a envoyé au trou pour insubordination...Je l'ai bien cherché aussi...

Je n'ai pas respecté mon engagement militaire, j'ai manqué aux entrainements et n'ai pas répondu aux rappels de mes supérieurs hiérarchiques, de plus j'ai tenté l"impossible en cherchant l'aide du Sergent Erebe, mon chef de groupe, afin qu'il intervienne... ça fait pas mal pour un début... On se tutoie ?

Enfin bon,c'est déja pas mal que je passe ma journée de gnouf avec toi...Mon pauvre tu en as pour 3 jours,je te plainds...

Jéhanic commençait à se gratter les mollets, puis les épaules et puis les cuisses...

Nom d'Aristote... C'est plein de puces dans cette paillasse

Ketchoupi discutait avec Jehanic quand le géolier apparu devant la grille...

Citation :

Ketchoupi, vous pouvez sortir de là ! C'est terminé pour vous ! Retournez au boulot.

Bonjour sergent chef géolier .Bon et bien,c'est fini pour moi,au revoir Jehanic et bonne continuation...

Citation :

Jehanic ! Tenez, voici ce que je vous avais promis : pain sec et eau. Encore deux jours à tenir.

Et bon appetit bien sûr ^^...

Ketchoupi et le géolier remontèrent vers la lumière du jour...

Jehanic prit le plateau, remercia le geôlier et salua son compagnon de cellule

"Bonne continuation Ketchoupi, et à bientôt"

Et puis la porte se referma, on entendit deux tours de clefs et ce furent silence solitude et obsurité.

Jehanic posa le plateau à même le sol et se saisit du morceau de pain qu'il examina. Un morceau de pain comme ça, ça casserait des dents même à un loup. Alors il le reposa sans même tenter d'y croquer dedans et bu une gorgée d'eau. Il soupira. Encore deux jours à tirer. Ses yeux commençaient à s'habituer au peu de lumière qui filtrait dans la pièce et c'est alors qu'il aperçut une inscription à un angle du mur. Pas bien grande, mais lisible tout de même. Il y était écrit :
"Il m'estoy moult espoyr qui me'"
Quelqu'un qui n'a pas eu le temps de finir sa phrase ? pensa Jehanic. Et là-bas, une autre inscription :
"Je te bayse"
Et ainsi de ci de là sur les murs du cachot, pouvait-on lire, parfois deviner seulement, des noms, des prénoms, là un dessin maladroit on aurait dit une potence. Alors Jehanic prit son morceau de pain qu'il cassa afin d'obtenir une bonne arête et sur un mur à côté d'une obsénité, il tira un petit trait vertical qui symbolisait son premier jour de cachot.

Jehanic avait passé une mauvaise nuit et avait faim. Il n'avait rien mangé. Il aurait d'ailleurs été incapable de croquer dans ce... pain. Autant donner des roches bouillies. Il ne lui restait plus qu'une journée à tirer et il n'avait qu'une hâte : sortir de ce trou. Encore une journée... Il prit le morceau de pain et se mit en devoir de continuer son oeuvre de la veille...

Il était à genoux en train de graver au mur un deuxième trait vertical près du premier lorsque soudain la porte de la cellule s'ouvre et l'on y pousse quelqu'un. Jehanic, reconnaissant le sergent Jerone se lève vivement et tente un ridicule garde à vous accompagné d'un salut militaire pas plus rayonnant.

Oh ! Sergent... vous... ici...

Puis Jehanic se dirigea d'un pas rapide vers la porte de la cellule avant que celle-ci ne se referme et s'adressa au geôlier et lui dit

S'il vous plait... J'aimerais aller aux... vous savez... aux...