[RP] CELLULE N°2

Comme neuve aussi ^^

Psycotik entra dans cette cellule qui devra l'abrité pendant 5 jours.

- Eh bien on va s'amusé ici.


Il entrprit de commencé par dormir ca fera passer le temps ce dit-il !

- Rooh encore 4 jour ... c'est long

Psycotik qui voulait un peu marché hors de cette cellule eu une idée...


- Il est dimanche non ? Si quelqu'un m'entend, pourai-je allé a la chapelle ??

La maître d'armes entendant des appels descendit les marches glissantes qui menaient aux cellules d'incarcération...
S'habituant doucement à la pénombre qui règnait dans ces lieux elle plissa un peu les yeux voyant un militaire accroché au barreaux...

Diantre soldat Psycotik... vous en faites du bruit...
Quoi... !!!
Le jour du Seigneur... vous croyez qu'on n'a que ça à faire de vous faire escorter à la chapelle ?
Si encore l'aumonier faisait son travail et venait vous voir... j'autoriserai... mais cet homme est un vrai courant d'air... des semaines qu'il n'a pas mis le pied au chateau... il ne semble pas avoir beaucoup d'attention pour ses ouailles... et ensuite il s'étonne de ne voir personne à la chapelle...

Tenez... voici un couverture... les nuits commencent à être fraîches...
Spike s'avança et fit passer la couverture entre les barreaux.

Hum... vous avez eu votre écuelle pour la journée ?

Psycotik deçu de ne pouvoir se degourdir, rpondit calmement:

-Non pas encor malheureusment ...

Le geôlier Djvier qui avait entendu le raffut , était descendu vers les cellules en râlent ...
- et bien , c’est quoi tous ce raffut soldat vous vous croyez ou ? .... en colonie de vacance ? .... a qui parlez vous en plus ?
le temps que les yeux de Djvier , s’habitue peu a peu a l’obscurité de le pièce ...
- qui va la ? .... Hô , mon lieutenant , excusez moi je ne savais pas que vous étiez la !
l’homme se mit au garde a vous et fit le salut de rigueur ...
veuillez me pardonnez maître d’armes mais on ne vois pas très bien ici ! je pensais que le soldat était devenu fou !

Psycotik qui regardai le mur et comptait les dalles:


-68, 69 ... piouf encor 2 jours, et en plus je parle tout seul.

Psyco-tik pensai qu'aujourd'hui etais la 5 eme jour mais n'etai pas sur donc appela quelqu'un pour comfirmation !


-S'il vous plait ... il y a quelqu'un ?,

- Euh Aspirante Kryss, se n'etait pas dans les condition. Pourquoi devrais -je resté encore parce que je ne parle pas tout seul ou que je ne derange pas souvent les gardes ?

Djvier croisa Kryss qui sortait de la cellule n°2 , un peu sur les nerfs . il avait entendu la conversation , il regarda le soldat qui n’avait manifestement pas lu les règles des geôles sur la porte de son bureau [HRP- première page , bureau du geôlier]

le grand geôlier arriva devant le porte de la cellule , et fixa le soldat d’un air terrifiant !

- Et bien soldat ? , comment ca , ce n’était pas dans les conditions ? ... vous me parlez de condition hein ? ...
quand vous vous êtes engagé , la condition était d’être présent au moins 3 fois par semaine dans votre corps d’arme ! l’avez vous fait ? et la , avez vous lu les règles des geôles ? 1 poste par jour , 5 lignes minimums ...
de plus , vous répondez a une Aspirante ! , qui est votre supérieur et vous êtes la depuis 4 jours ...

le colosse fit un pas en avant , en direction du soldat et fronça les traits de son visage . d’un aire menacent il lui dit :
- vous avez de la chance que je ne vous arrache pas la langue ou que je ne vous castre pas !
nous somme des soldats et la discipline est de rigueur ! donc vous savez se que vous avez a faire !
je vous garde encore 2 jours ici , étonnez moi ou ....

le geôlier ne fini même pas ca phrase , le soldat avait , je pense , compris le message et allait faire de son mieux ...
puis Djvier tourna les talons et quitta la pièce en rajoutant :

- 2 jours soldat , à vous de jouer !! ...

atla arriva dans sa nouvelle demeur elle se dit " heureusement que se n'est que pour 2 jours "
elle alla saluer tout les soldat présent dans la pièce

Bonjours a tous je m'apelle atla et je suis archée

atla regarda la date et sauta de joie en voyant que l'on étais déjà le 11 en disant:
yhoupi je suis libre
elle demanda si elle pouvait rentré chez elle et si tout étais en ordre.
elle pensa a voie haute il y a eu au moin un poind de positif dans ma peine "j'ai pu laver mes bottes"

Psyco-tik entra dans la cellule accompagné du geolier, qui lui expliqu'a qu'on allait lui apporter un peu de nourritur et une couvertur le soir meme, et s'en alla en saluant et refemant la grille ...

- Et c'est parti pour une journée de folie ... ca m'apprendra a ne pas mettre mon uniforme ... :S


Et il s'alongea et continua a faire son jeu de la derniere fois, il compta les briques ...

A vos ordres Sergent-chef. Je suis bien conscient de mon erreur vous savez... et je m'en repens. Bon, il paraît que la nuit porte conseil... alors à demain. Je vous souhaite une bonne nuit

Thegaule se mit dans un coin. Il partagea sa pitance avec le pauvre bougre qui croupissait au fond de la cellule. il se fit un petit nid avec la paille qui jonchais le sol, et s'endormi très vite, en espérant que les rats ne viennent pas trop lui mordiller les pieds, et que le géôlier ne l'oublie pas demain à l'aube, car on avait besoin de lui pour une mission qui semblait importante.

L'entraînement des derniers jours avait été rude, et l'alcool aidant, Thegaule se mit à ronfler prestement

Thegaule n'avait pas fermée l'oeil... entre les rats qui courraient dans tous les sens, les gémissements de son camarade d'infortune, la dureté de ce qui lui servait de matelas, il y avait tout pour bien faire... Il ne fut donc pas furieux de voir arriver le géôlier.

Sergent, mes respects Sergent. Je vous remercie, on ne m'y reprendra pas. Je ne vous dit pas à bientôt...

Thegaule ne s'attarda pas et sortit dans la cour. Là, il se jetta dans l'abreuvoir à chevaux, question de finir de le dégriser complètement, et pour se laver un peu... Il devait retourner chez sa cheffe de groupe, et il fallait cette fois qu'il n'ait pas trop mauvaise façon

Merci Mon Lieutenant et Bonjour chez vous.

Green s'allongea sur la paillase le temps que le Lieutenant s'en aille. Après que les bruits de pas disparurent, il se relva prestement et s'agrippa aux barreaux pour attraper les champignons bleux se trouvant dans l'angle entre le plafond et le mur de la porte.

Il s'empara d'une cruche d'eau trainant par là et avala les moisissures. Une gorgée d'eau et quelques instants plus tard, Green se retrouvait sur sa paillasse à voir de la musique défiler sous ses yeux.

Oh oui... Que mon esprit parte de ce monde.

Jour 2 :

Greenwarrior n'avait pas retouché le sol depuis on incarcération. on lui avait pourtant apporté à manger mais il fixait l'écuelle comme si les trucs étranges qui s'appelaient aliments il y'a 15 jours à peine, bougeaient.

Gnhein?!? Qu'est c'est ça?

Il commençait à avoir de plus en plus de mal à s'exprimer, son language devenait incompréhensible, comme si son cerveau ne faisait plus l'effort d'être correct avec ses paroles.

Oune foa je soui partait dent hein mondeuh faiairic est je fut (de bière? ) con temps.
C'et mat gnific deux noeud pa con prandrre ce con rat compte.

Il décida que son état était grave et préfera se rendormir sur sa couche.

JOUR 3...

Greenwarrior prit le tabouret qu'il plaça sous la lucarne. Il se sentait bien mieux et décida d'exercer sa fonction malgré son incarcération...

Il monta sur le tabouret, tenant son missel et le parchemin de l'homélie du jour dans les bras. Il hurla à travers les barreaux.

LA MESSE SERA CELEBREE DEPUIS LA LUCARNE DE LA CELLULE 2 DU GNOUF!!!!!

Les troupes arrivèrent, il ouvrit alors son missel à la page de l'évangile du jour.

Evangile selon Saint Mateo, chapitre 13, versets 44-52

Green fit les trois croix sur son corps puis entama la lecture.

Aristote disait à la foule ces paraboles : « Le Royaume des cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. « Ou encore : Le Royaume des cieux est comparable à un négociant qui recherche des perles fines. Ayant trouvé une perle de grande valeur, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète la perle. « Le Royaume des cieux est encore comparable à un filet qu’on jette dans la mer, et qui ramène toutes sortes de poissons. Quand il est plein, on le tire sur le rivage, on s’assied, on ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien. Ainsi en sera-t-il à la fin du monde : les anges viendront séparer les méchants des justes et les jetteront dans la fournaise : là il y aura des pleurs et des grincements de dents. « Avez-vous compris tout cela ? - Oui », lui répondent-ils. Aristote ajouta : « C’est ainsi que tout scribe devenu disciple du Royaume des cieux est comparable à un maître de maison qui tire de son trésor du neuf et de l’ancien. »

Il s'arrêta un instant avant d'énnoncer son homélie un peu longue suite à une courte évangile.

Les deux paraboles à peine ébauchées que nous venons d’entendre, nous montrent l’inestimable valeur du Royaume des Cieux vers lequel nous marchons à grands pas, suivant une expression du St Curé Huon.

Dans les temps d’instabilité politique ou sociale, au milieu des guerres civiles ou étrangères, quand personne n’est sûr du lendemain, bien des gens enfouissent dans la terre leur argent ou leur or, pour le soustraire au pillage.
Quand un glissement de terrain ou un accident quelconque ramenait au jour un de ces trésors oubliés et sans maître, le droit romain, et probablement aussi le droit du parlement, l’adjugeait tout entier à celui qui l’avait découvert, pourvu que ce soit dans sa propriété ou dans un endroit public.
L’homme de la parabole agit sur ce principe. Il ne veut pas s’emparer d’un bien trouvé dans le champ d’autrui, mais il l’estime qu’il lui reviendra s’il se rend acquerreur du champ. Qu’il ait tort ou raison, c’est aux casuistes d’en décider. Aristote ni ne l’approuve, ni ne le blâme; il ne juge pas son acte. Il propose seulement à notre imitation le fait de consentir à tous les sacrifices pour acquérir un trésor sans prix. Et rien ne dépasse le prix du Royaume des Cieux, puisqu’on aurait beau gagner le monde entier, cela ne suffirait pas pour l’acheter.

L’homme à la perle nous donne la même leçon. On peut se figurer un de ces marchands de bric à brac, si nombreux en Orient, qui vendent de tout, même des bijoux. Celui de la parabole n’ignore pas que sa fortune est faite s’il peut mettre la main sur une perle fine. La passion des belles perles sévissait dans l’Antiquité plus que de nos jours, et allait parfois jusqu’à la frénésie.
La perle de Cléopatre aurait coûté 10 millions de sesterces. Et celles qui ornaient la tête et le cou de Pauline, femme de Caligula, valaient, dit-on, 4 fois plus.
L’homme de la parabole cherche donc une perle possédant toutes les qualités les plus appréciées des connaisseurs. S’il vient à la découvrir, il n’hésite pas à vendre tous ses biens pour s’en rendre maître, sûr qu’il sera très riche en la revendant. L’homme à la perle pourrait donner lieu au même cas de conscience que l’homme au trésor caché. Mais là n’est pas la question. Ce qu'Aristote veut nous apprendre, c’est que le royaume de Dieu ne saurait être payé trop cher. Qu’il s’offre à nous sans l’avoir cherché, ou qu’il soit le fruit de longues et laborieuses recherches, on doit être prêt à tout sacrifier pour y être admis. Rompre avec le passé, avec certaines mauvaises habitudes, son milieu ou sa famille qui s’opposent à Dieu; briser des liens si chers, vaincre tant d’oppositions; surmonter tant d’obstacles : tout cela exige souvent un courage héroïque comme en témoigne l’histoire des grands convertis de tous les temps.

Frères et Soeurs par Christos, pourquoi tant de nos contemporains montrent tant d’indifférence pour le royaume des cieux?
N’est-ce pas parce qu’ils en ignorent la valeur ? Un trésor n’est estimé qu’autant qu’il est connu. Et si nos contemporains ignorent la grandeur du Royaume des Cieux, c’est parce qu’ils ne prient pas, ne vont pas à la messe qui est elle aussi un trésor méconnu. “La messe, déclare St Léonard de Port-Salut, n’est rien de moins que le soleil de l'Aristotélicisme, l’âme de la foi, le coeur de la religion”. La messe, c’est bien plus qu’un rassemblement de guerriers croyants, c’est le renouvellement quotidien du sacrifice de la Croix offert par Aristote lui-même, à l’autel comme jadis au Calvaire.
C’est l’oeuvre de notre rédemption qui s’accomplit de nouveau. C’est par elle que le Ciel nous est offert. Si l’on savait tous les bienfaits que l’on retire de la messe, il y aurait sûrement plus de monde à la chapelle. Et il y aurait aussi plus de bonheur et de justice sur terre parce qu'Arisotote y répandrait toutes les grâces et tous les biens que le sacrifice de la Croix contient et que notre bras armé peut donner pour lutter contre nos ennemis, les forces du mal représentés en chaire par les brigands...

Ouvrons donc les yeux de notre âme pour découvrir les richesses que nous possédons à travers la Foi puisqu'Aristote se donne tout à nous, et se donne à Deos pour nous.

Qu'Aristote nous donne la force de massacrer nos ennemis et d'offrir leurs dépouilles au ciel.

Amen.

Epsonstylus s'étonnait toujours de la vivacité d'esprit de l'aumônier. Elle arriva au gnouf, endroit où elle n'avait encore jamais mis les pieds et vit que certaines personnes y étaient déjà. Elle sourit bêtement. Et écouta la prêche de Greenwarrior jusqu'à la fin.

QUOI? Je fais 5 jours de gnouf? AH non, c'était 3, pas 5....Liberrreeezzzzzz-moiiiiiiiiiiiiiiii

Green se demandait... Il pourrait facillement se débarasser de son tenardier si il arrivait à le faire rentrer, puis soudian lui vint une idée beaucoup plus machiavélique...

A MOI LA PREVOOOTTTTTEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!!!!

PREVENEZ LA LIEUTENANTE DINA70 QUE L'ON VEUT ME SEQUESTRER DEUX JOURS DE PLUS

Il regarda l'écuelle avec un sourire des plus sanginaires pui son regard se plongea dans celui de Jacquouille94

Je n'en veux pas de votre brouillot, il m'est avis que je vais bien manger sous peu. Gnarkgnarkgnarkgnark.

Niet ma Lieutenante, je me suis présenté vendredi dans le bureau du Lieutenant geolier... Pas samedi. 3 jours, j'aurai dû être libéré à minuit ce matin... Pas de ma faute si le lieutenant est débordé, j'étais là vendredi!

Green croisa les bras derrière la porte.

Jacquouille était remonté lorsqu'il entendit brailler le sergent Greenwarrior. Il redescendit aussitôt, et fut rejoint par le lieutenant Dina. Il écouta les doléances du sergent.

- Désolé, Sergent, mais vous êtes entré le 26. Cela fait donc un jour. Vous avez triché, vous avez posté une seconde fois le 26 juillet en mettant jour 2. cela fait donc deux posts le même jour. Vous avez ensuite posté le 27 juillet en mettant jour 3. Or, si on regarde bien, cela fait au total deux jours. Or, c'est un post par jour de punition. Vous avez été condamné à trois jours, et non 5. Aujourd'hui est le troisième jour, donc vous serez libre demain. Cela dit, c'est bien tenté, j'ai failli vous libérer aujourd'hui.
Merci à vous, Lieutenant Dina, de confirmer... J'ai bien cru, l'espace d'un instant, que je ne savais plus compter jusqu'à trois.
Sergent Greenwarrior ?! Je vous souhaite une bonne journée et vous dis donc à demain pour votre libération !

Le geôlier remonta vers ses affaires.

EDIT : Ah, j'oubliais, vous vous êtes présenté effectivement le 25, mais dans mon bureau. Cela ne compte pas comme jour de punition.

C'est ça, bonjour chez vous...

Green retourna sur sa paillasse et fouilla dans une de ses poches. Il en sortit quelques plantes médicinales qu'il enroula dans une feuille de platane séchée. Il alluma la bouffarde au moyen de la bougie et commença à imaginer un arc en ciel sur le mur en face de lui...

pfff mais y'a rien à faire là dedans.

Il se releva et se mit à tourner en rond dans sa cellule tout en réfléchissant sur ce qu'il pouvait faire... l'idée lui vint subitement... il dépléça la paillasse à la recherche de la partie la plus friable du mur. Puis il revint vers le brouillot anglois afin de s'emparer de la cuillère. il mélangea ensuite le brouillot à de la terre afin d'obtenir la couleur du mur. Dès lors il pourrait préparer une future évasion.

Il s'allongea donc, bouffarde en bouche et cuillère à la main puis commença à gratter le mur.

j'suis arrivé vendredi. il n'avait qu'à réagir avant. maintenant au moins, j'aurai ma tête de turc... Ah tu ne connais pas Green andouille. bah j'vais te montrer mais tu vas souvent avoir des frayeurs mon gars.

Et Green ronchonait seul dans son nuage de fumée et ses scritch scritch de gratouillage.

scritch scritch scritch...

Green entendu des pas furtifs s'approcher de sa cellule, faist-il trop de bruit.
Il dissimula la cuillère dans la paillasse et repoussa cette dernière de manière à masquer le trou.
Il s'approcha de l'ouverture dans la porte afin d'identifier le visiteur.

Riese? C'est toi? Pari ici... Cellule n°2.

Green passa la porte et fiwa Jacquouille du regard.

Vous l'avez déjà provoqué... Aristote.

Puis il monta les marches à la recherche de la liberté, c'est à dire 4 marches par 4 marches.

Bon alors vous venez mon Lieutenant? J'ai encore des choses à faire moi.

Jacquouille arriva en compagnie des deux gendarmes. Après avoir enfermé Osadus, il ouvrit la porte de la cellule numéro 2 et regarda Artmaniak. Jacquouille fut aussi bref qu'avec Osadus.

- Artmaniak , voici votre cellule pour les trois prochains jours. Je vous apporterai aussi de quoi vous nourrir. Je ne porte aucun jugement suir votre attitude, ce n'est pas mon rôle et cela ne me regarde pas, mais tâchez de réfléchir sur votre situation. Pensez-vous qu'un gendarme au trou est un exemple à suivre ? Allez, je vous laisse....