forge

Rebonjour, et oui, je suis aussi ingénieur .
Comme je l'ai dis à vos frères d'armes, je m'occuperai de toutes les épées, boucliers etc d'un coup, à la fin du tournoi.
Puis Franchesco tandis une gourde à Zarby. Vous avez l'air assoifé !

Pourais tu m'en laisser quelque une a réparer. Je dois avouer que e ne suis qu'un débutant dans le dommaine des ingénieurs.

Et bien, a vrai dire, pour les épées, dit Franchesco en prennant les deux morceaux d'un épée et en les levant devant lui, on ne les réparre pas. On les jettes et en faisant de nouvelles. A près tout des épées en bois brisées, ce n'est pas faciles à réparer. En revanche ton bouclier.. je n'ai pas encore vu si il était en bois ou pas.

Je me permet de te tutoyer, ici on est chez les fous commes dirais Hart.

Plus on est de fou, plus on rit .

Soldat Lefelon.
Je suis l'instructeur adjoint des fantassins Franchesco, je vous propose d'aller voir du coté de l'atelier du facteur d'arcs. Il est plus compétant que moi en ce qui concerne les arcs. C'est la porte juste a coté dans le couloir.

-Bonjour instructeur adjoint , ou bonsoir plutot.... j'ai du mal comprendre mon instructeur..... je vous remerci a bientot peut etre!

Sur ces mots Lef quitta la forge "bien, trouvé la forge fut assez facile....je vais pas me perdre maintenant! la porte a coté a t'il dit"

Le réserviste qui passa par là, murmura au soldat que voici :

C'est par ici

Un moineau portant un parchemin lié avec une cordelette d'où pendait l'insigne des Sapeurs-Artilleurs.

L'oiseau tocqua à la fenetre et entra deposer son parchemin apres qu'un soldat lui ait ouvert.

Citation :

Bonjour cher forgeron,

Pourriez vous me faire 5 traits de fer de 4 pieds et 5 autres de 6 pieds s'il vous plait.
Vous me direz si il faut que je vienne les chercher avec mes hommes où si il me sont livré sur mon terrain.

Bien à Vous

Sergent-Instructeur Jerone.

L'oiseau tendit la patte afin qu'il rammene la reponse

Les bottes de Samuraispirit résonnèrent dans le batiment...
De la porte après avoir toqué s'exclama...

Salutation Sergent! dit il d'une voie calm et froide.

Permission de parler?

Samuraispirit se retourne d'un pas,,toujour sur le garde a vous, le regard impassible et froid...

Recrue Samuraispirit, garnison de Dole!
Salutation!
Je suis venu informer que je suis forgeron et que je possède deux épées en réserve, le sergetn Djivier69 m'a conseillé de me présenter comme prétendant au titre de forgeron pour la garnison. Est-ce possible?

Samuraispirit voyant la confusion qu'il avait fait des termes d'usage...

Mes excuses! Mon Aspirant!
Mes infini respects, mon Aspirant!
Permission de vous répondre Mon aspirants! improvisat-il pour se rattrapper de sa malpolitesse, impassiblement mais avec de la sincérité dans la voix...

Cessant d'etre au garde a vous, Samuraispirit dit ...

Je n'ai pas la prétention d'avoir fait des cours théoriques, d'ailleurs ce n'est pas le cas, par contre je suis forgerons en pratique(autrement dit producteur), et je connais en forge une tradition de mon pays si cela vous interresse:

La fabrication d’un sabre japonais prend un peu plus d’un mois : un mois de forge, et une semaine de polissage.La lame du sabre japonais est traditionnellement forgée à partir d’un acier brut (tamahagane) transformé en acier composite : le massiot d’acier est naturellement composé de deux nuances, il est brisé en petits morceaux et ceux-ci sont triés en fonction de leur dureté. Les morceaux durs (hadagane ou kawagane) contenant plus de carbone sont utilisés pour l’enveloppe, et les morceaux plus tendres (shingane) pour le noyau.Lors de la fabrication d’un sabre ou d’une épée, le problème principal du forgeron est de maintenir l’équilibre entre la capacité de coupe et la solidité. Un sabre coupant signifie souvent qu’il est fragile car la trempe nécessaire pour un bon aiguisage fragilise la lame. D’un autre côté, une lame souple risque de ne pas couper correctement.Après l’opération de réduction fait dans le tatara (cf. tamahagane), le forgerons peut commencer son travail.La première étape consiste à prendre chaque bout du tamahagane et à l’aplatir sous forme de galettes de 5 à 7 millimètre d’épaisseur et d’environ 10 à 20 cm de diamètre. Chacune des galettes est chauffée à rouge puis plongée dans l’eau froide. Cette galette ainsi trempée est re-brisée en petites galettes de 4 à 6 centimètre de long.Chaque galette est regardée attentivement sur sa tranche, celles qui se brisent facilement et dont la cassure présente un grain grisâtre sont fortement carburées, celles qui présentent un grain blanc sont faiblement carburées.La deuxième étape consiste à faire au minimum deux briques à partir de ces galettes. Chacune des briques est aplatie à haute température et re-cassée en petits morceaux. Cette étape répétée plusieurs fois sert entre autre à évacuer les impuretés du métal et à repartir les galettes en fonction de leur dureté.Une fois le résultat jugé convenable, le forgeron refait une brique qu’il va plier de nombreuses fois.Les différentes briques sont feuilletées individuellement, une bonne quinzaine de fois, pour épurer le métal. Selon les forgerons, le feuilletage peut aller jusqu’à 32 000 couches — en fait, le pain de métal est martelé, allongé, puis replié sur lui-même, selon la tradition, 23 fois — puis intimement soudés l’un à l’autre à la forge par martelage équilibré sur chaque face.Le résultat de cette étape sera plus tard visible, c’est ce qu’on appelle hada (grain de l’acier). Bien sûr, la méthode change en fonction du type de hada que l’on recherche, mais chaque école possède ses propres techniques, ce qui nous permet de les différencier. Contrairement à une légende largement répandue, le nombre de pliages est limité car sinon, le métal sera trop condensé et perdra de sa souplesse.Une fois que les différentes briques sont feuilletées suffisamment de fois, le forgerons les assemble en fonction du modèle voulu. Il soude ces différentes parties entre-elles et allonge le tout.Une fois la lame allongée et considérée comme prête, le forgeron prépare sa lame pour la trempe.Il s’agit là d’une autre étape essentielle pour faire la différence entre un bon sabre et un sabre de moindre qualité. Cette étape constitue en fait le moment où le forgeron doit s’assurer du tranchant, mais sans affecter la souplesse de la lame. Pour cela, les forgerons ont inventé le concept de la trempe partielle. Le concept est simple : en recouvrant d’un mélange d’argile réfractaire, de poudre de charbon de bois, de silice et d’autres éléments gardés secrets par chaque forgeron, isolant le dos et les flancs, la lame subit une trempe sélective, qui conférera à l’arme les qualités combinées de dureté extrême du tranchant, ainsi que de résistance aux chocs pour l’ensemble.Cette trempe sélective forme également la ligne de trempe (hamon) dont les formes sont caractéristiques des écoles et forgerons : la partie la moins protégée se refroidit rapidement (ce qui la rend plus dure) alors que la partie la plus protégée refroidit plus lentement (ce qui lui permet de conserver sa souplesse). Le point de contact entre les deux parties subit alors un choc thermique qui va permettre à l’austénite de prendre sa structure solide brillante dite martensite.Le polissage sommaire : après la trempe, il est difficile pour le forgeron de constater si la lame est de bonne qualité ou non. Pour cela, il effectue un polissage sommaire qui lui donne les indications nécessaires (bonne formation de la ligne de trempe, homogénéité de la solidité de l’acier…). Si le résultat lui convient, il peut alors la donner au polisseur qui la mettra en valeur.





Après avoir racompter ces vieux épisodes d'un passé lointain, Samuraispirit resta un instant la tête ailleur, son abituelle expression impassible avait laissée place a un mélange de nostalgie et de tristesse.

Le samouraï entra dans la forge....
L'odeur de la forge froide l'attristat, alors il décida de raviver cet lieu sacré......
Il enleva les cendres du foyer éteint, mit des buches et du bois qu'il enduit d'huile et allumat la cheminée du four....
Il néttoya en attendant que le feu prenne, il prépara l'enclume et le soufflet...
Il prit un bloc de pierre moyen qu'il taillat d'une de ces faces avec un marteau et un burin: il creusa un large sillon de la taille d'unmanche d'épée et le mit de coté....
Tout les outils était la, accrochés a un murs près de la cheminée, il les remit dans l'ordre et épousseta un peu les lieu.....
A l'aide du soufflet il fait du feu un brasier, rajouta du bois et les organisa pour forger.....
Sorti le minerait et quant le feu fut sufisament puissant il versa petit a petit le minerai dans le feu....
Quant tout le minerait fut mit dans le feu, le samouraï laissa l'acier se former en utilisant le souflet pour maintenir les flammes, et cela jusqu'a ce que le métal fut totalement en fusion et fondu au font de la cheminée dans le creux qui y est taillé...
Le petit orifice de la cheminée, qui sert à laisser couler l'acier en fusion était encore bouché par un bloque de pierre. Le samouraï prit le moule qu'il avait taillé et le plaça en dessout de la cheminée, avec ses mains gantées, un marteu et une pince large, il retira la bouchons de pierre en le tenant avec la pince et en frappant du marteau dessus....
Le liquide en fusion coula dans le moule et rempli le creux.....
Il laissa refroidir.....
Quand le métal reprit sa couleur foncée et cassat le bloc de pierre et récupérat le lon bout de métal.....


Nous y voila....

Il sorti une flèche qu'il avait récupérée de l'archerie et observat le long bout de bois lourd et sa pointe inadaptée....

Eh bien...Une pointe d'arc bourgignon sur une flèche de longbow....

Avec une pince à clou il retira la pointe et la mis sur le plan de travaill.....
Se posta devant l'enclumetenant le bout de métal avec une pince a fourneau ( plus longue et qui sert a faire chauffer les métaux), le feu tenait toujours et ille raviva puis placa le bout du baton de métal au feu jusqu'a ce qu'il blachit....

Le mit vite sur l'enclume tout en le maintenant et avec un marteau frappa....

tching! tching! tching!

Les bruits du martèlement résonnèrenent dans la forge.....
Au bout d'un moment, a l'avoir retourné, martéllé, réchauffé....
Le batton devin une pointe, plus grosse et lourde que les autres mais du même diamètre que les pointes des flèches qu'il avait....
Il comparat les extrémité de l'ancienne pointe qu'il avat mis sur le plan de travail pour que la nouvelle soit facilement acrochable....

Il finit enfin la forme de la pointe et reproduit cette pointe avec le reste du métal qui lui restait, il put ainsi en faire une dixaine....
Quant il eut forgé les dix pointes il les aiguisa dangereusement....
Les plaçat sur les flèches du longbow et mit de coté les petites pointes d'entrainement.....


Maintenant, allons les équilibrer....

Il prit un couteau pour pouvoir tailler le bois et ajuster les flèches....
Il étégnit la cheminée ouvirt l'aeration et parti après s'être un peu débarbouillé de la sueur et de la cendre.....

Le samouraï entra dans la forge suivi de la jeune archère....

Il lui dit....

Voila je vais me mettre au travail, faite comme moi et n'hésitez pas a me poser des questions (mp si néssécaire), je me met au boulot....



Le samouraï considéra un instant la forge….

La salle était assez grande mais il fallait ouvrir beaucoups de fenêtres d’aération qui était pour le moment fermés…..

Il prit donc un chaise et se mit de mur en murs pour ouvrir totalement les fenêtres……

Une foit cela fait, il vida le centre de la salle de sa table et entrepris de construire un four de taille…..

Le plan était celui d’un large rectange de 4 mètres sur 2 qu’il traça sur le sol et sorti une pelle et alla dans un terrain chercher de la terre qu’il jetta ensuite sur le rectangle, tapissant ainsi le sol…..

Avec des bloc de pierre et de la terre qui durci au four, il construit le contour mural du four, qui mesurait un mètre et demi de haut….

Une foit un solide façade construite il plaça des pouttres pour maintenir le tout à l’extérieur et alla chercher du bois, du charbon et de l’huile….

Il remplit le grand bassin de bois et de charbon ce qui lui prit un moment mais une fois cela fait il allumat négligemment avec un bout de tissus huileux après avoir arrosé un peu le bois d'huile…..

Le feu prit vite et il rajouta du bois au fur et à mesure que le bois déjà présent devenai braise, il jetta aussi des petits blocs de pierres lisses…..

Quant tout le four fut remplit le contour avait déjà durcit fortement, le samouraï creusa des trous au bas du four sur tout son long, il s’apretta après cela à jetter le minerai qu’il possédait dans la forge, il les broyaient avec un marteau et jettait les petit perles sur toute la surface du four, il avait aussi du sable ferreux qu’il avait découvert sur la route de pontarlier et qu’il avait rapporté au retour, ca formait un grand tas a coté du four…..

Le feu qu’il allimentait petit à petit dégagait une chaleur imprassionnante qui chauffait toute la salle et certainement tout le batiment…..

Il continua la maneuvre toute la journée échangeant son poste avec le caporal pour pouvoir se raffraichir….

Puis la nuit s'annonçait….

Il continuait avec le grand soufflet de la forge à aérer le four pour qu’il reste constant….

Il rajoutait une pellée de sable ferreux à chaque heure passée….

Il dit alors a la caporal...

Caporal, on va faire une sorte de tour de garde, vous allez vous reposer et dormir pendant quelques heures et ons 'échangera les rôle...

Des questions?

La candide archère suivait le Sergent forgeron quand ils entrèrent dans la forge. 101112v n'y était jamais entré auparavant et vit que c'était très différent.

Le Caporal écouta les instructions simples de son supérieur. Parce que c'était lui qui donnerait les ordres aujourd'hui.


Demoiselle Ecuyer le vit regarder la pièce. Elle attendit, ne sachant que faire en attendant. Enfin, il se mit à bouger, il ouvrait les fenêtres, alors l'archère l'imita.

Peu après, Samouraï, sortit une pelle. Julie ne sut pourquoi mais l'imita. Très fidèle à ce qu'il faisait, elle jeta de la terre sur le rectangle. Cette zone était devenue d'un beau brun irrégulier.

Ecuyer suivit encore l'archer quand il prit des blocs de pierre et de la terre durcit par le four et qu'il construit le contour du four qui mesurait environ cinquante-neuf pouces..
A l'instant où la première façade fut sèche, Julie copia le nouvellement Sergent placer des poutres de chêne pour maintenir l'édifice. Ensuite, Samouraï prit des bouts de bois, du charbon noir d'ébène et de l'huile.

C'est suivant cela, qu'ils se mirent à remplir le bassin de bois et de charbon. Cela fut une opération longue et dont l'archère ignorait encore le but. Quand Samouraï mit un bout de tissu imbibé d'huile sur le bois, elle comprit qu'il y mettrait le feu, ce qu'il fit.

Le bois flamba d'un seul coup ; la lumière était vive et Julie détourna les yeux quelques instants. L'archère vit le Sergent rajouter des pierres, 101112v décida de lui demander pourquoi : "Pourquoi avez-vous mis, Sergent, des pierres dans le brasier?"

Le four avait déjà fortement durcit quand le Samouraï creusa des trous au bas du four, puis tout le long.

L'archère aida de son mieux son supérieur à écraser le minerai avec un marteau et ensuite en jetant la poussière dans le four. Julie le vit mettre du sable dans le four. L'archère ne comprit pas, il lui semblait qu'en mettant du sable dans le feu, cela devait former du verre. Ce qui ne se produisit pas...étrange...

Le Caporal Ecuyer laissa Samouraï s'occuper d'entretenir le feu, elle aima autant ne pas s'en approcher sans raisons. C'était chaud! On se serait cru dans une pièce de sudation.

Quand fatalement le Sergent devait s'éloigner du feu pour se rafraichir, elle prenait sa place sans rechigner. Il aurait été malvenu de se plaindre alors qu'il était en train de lui apprendre son dur métier et puis il n'est jamais agréable d'entendre des gens plaintifs. Par contre, c'était d'un pas leste qu'elle rendait la place mais elle l'a récupérait plus tard...
Puis la nuit s'annonçait….

Julie observa sa façon de manier le souffler pour éviter que le feu ne s'éteigne.

Environ toute les heures, s'opérait un étrange spectacle, le Sergent mettait du sable dans le feu...
"Pourquoi mettez-vous du sable, Sergent?" demanda l'archère qui avait remarqué depuis peu son nouveau grade.


De nouvelles directives furent données par son supérieur, elle n'avait de questions et n'en posa donc pas. Elle obéit à l'ordre et alla se reposer. Elle rendit compte qu'en fait elle avait une question : "Dans combien de temps dois-je me réveiller?"
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Quand la caporal lui demanda il dit...

Les pierre c'est a cause de la grande quantité de brasier , pour laisser des espaces et pour prendre un peu de place, ces pierres lisses dégagent une fumée qui purifie l'acier.

Quant il jettait le sable ferreux dans le four géant et que la caporal ouvrit de grands yeux et lui demanda pourquoi faire il répondit...

Pour le sable, c'est du sable ferreux donc riche en minerrais de fer sous forme de sable, donc cela fondera et formera l'acier.

A la fin de la journée quant elle lui demanda combien de temps elle devait se reposer il lui dit....
Et pour le réveil comptez juste assez pour vous reposer mais pas trop pour que je reste encore en viande crue et non cuite ^^.
Donc comptez 5 ou 6 heure, bien sure on échangera pour 2 ou 3 heure maximum et vous retournerez vous coucher, je ne demande que quelques heures de repos pas plus. Bonne nuit caporal.

Sur ce elle parti....
Il se reconcentra sur le four et jettait des regard au bas des four dans les petites ouvertures et les réouvrait (car elle se refermaient avec le cendres) avec une tige de métal....
Continua a s'ocuper du four chercher du bois et jetter du sable....

Au bout de 5 heures le samouraï était a bout.
Il avait pratiquement fondu avec la chaleur et ces vetements étaient aussi sales que transpirants. Mais il continua le travail jusqu'a ce que la caporal revint, il lui dit alors...

Vous voila. Bien dormis caporal?
Alors, pour le four ce n'est pas bien compliqué, il vous faut mettre une pellée de sable de temps en temps (toute les heures), et bien s'assurer que les trous lattéraux au four son bien ouverts. Sinon quant le feu perd de sa puissance utiliser le grand souflet pour le maintenir.
Je revient dans 3 heures, le temps de régler quelques affaires et je revient.

Attendit la réponce de la caporal....

Le jeune Caporal avait bien dormi et arriva de bonne humeur pour s'occuper du four. En ouvrant la porte, elle ressentit une grande chaleur et vit le Sergent dans un état répugnant. Ses vêtements étaient sales et sentaient très fortement la transpiration. Il y avait au moins un avantage, on pouvait être sûr qu'il n'était pas allé dormir au frais...

Le forgeron lui donna quelques instructions simples que Julie n'aurait aucun mal à exécuter. Elle répéta à haute de voix ce qu'il fallait faire en guise de confirmation.

Son supérieur annonça qu'il avait des choses à régler : se laver, espérait la belle archère...

Une fois Samouraï partit, la candide archère décida qu'il ne fallait pas qu'elle pense trop au temps qui s'écoulait. Il valait mieux passer son temps à faire correctement son travail. C'était la première fois qu'elle forgeait - sauf des flèches -, alors elle n'était pas certaine d'être bonne.

Au travail! 101112v commença par vérifier que les trous étaient ouverts. Ce n'était pas le cas, elle réfléchit un peu et se dit que ce n'était pas plus compliqué qu'une cheminée. Alors, Julie prit la tige en métal et déboucha. Puis, par précaution, utilisa le soufflet pour être sûre que le feu était au maximum de sa puissance. C'était le cas, le Sergent avait dû s'en occuper peu avant l'arrivée du Caporal.

Avant qu'une heure se fut écoulée, l'archère avait déjà vérifié des dizaines de fois si le feu était bon - elle utilisait le soufflet et rajoutait un peu de bois - et si les trous étaient bien ouverts - l'archère utilisait le tige de métal plus souvent que nécessaire.

Quand une heure se fut écoulée, 101112v Ecuyer jeta du sable ferreux.

C'est ainsi que les trois heures s'écoulèrent pendant lesquelles elle ne pensait qu'à bien faire son travail.

Le samouraï ne tarda gère, et fut la exactement a la fin de l'heure.
Il entra et salua la caporal, il était propre comme un sou neuf et sentait le musc...
Il observa le tas de sabre pensif puis s'adressa à la caporal....

Finalement se soir sa sera fait, je n'avai pas compté le fait qu'on le fasse a deux....
J'avais compté pour demain soir mais c'est avancé....
Si vous voulez partir cela ne me pose pas de problème, vous pouvez aller vous reposer ou rester comme vous le sentez.....
Le programme est simple: Quand sa sera pret on laissera refroidir le four et on le cassera pour extraire le métal fondu, puis on choisira le bon métal (le plus pure) et on poura commencer la forge des l'armes....
Des questions?

Il parlais sur un ton bas et calm, le visage impassible bien que dez cernes montraient qu'il n'avai pas dormis.
Il avait une lueur de fierté dans le regard quant il voyait le four gronder....

Julie remarqua très bien les cernes du Sergent grâce à la lumière du four. Par précaution et par envie elle dit : "Je préfère vous aider."

L'archère avait très envie d'apprendre, d'augmenter ses connaissances.

Ainsi la courageuse archère resta et le soir venu le samouraï laissa le feu s'éteindre et quant tout fut enfummé mais froid, il prit un grand marteau et brisa le four....

Après avoir déblayer un peu le contour avec l'aide de l'archère, il ne restait q'un gros bloc diforme et noirâtre d'acier.....

Il faut nétoyer tous ca....

Alors il entrepris avec Julie de tout retirer comme cendres et charbon restant, les pierres et terre cuite....
Les jetta dans un coin et ne laissant que le bloc d'acier au centre....
Balaya et gratta avec une pelle la terre au sol qui s'avéra facil a enlever ....
Il remit la table a coté du bloc et laissa encore le centre du bloc se refroidir.....

Voila donc il ne reste plus qu'a le laisser refroidir intérieurement puis on le brisera en morceau, on triera les aciers celon leurs pureté et leur teneur en carbone.
Après cela on commencera la forge a proprement parler si je n'ai pas sauter une étape....

Maintenant on va dormir ^^

dit il les paupières a mointié fermés....

Demain matin on retourne au travail.

Le belle archère aida de son mieux bien qu'elle ressentit des fatigues. Elle décida de contunuer même à ce moment là. Le soir, ils laissèrent le feu mourir. A ce moment-là, la fumée devint plus épaisse et tout fut enfumé. La suie recouvrie les vêtements de la candide archère qui se promit de se laver à grand renfort d'eau...

Samouraï prit un grand marteau et frappa avec force le four jusqu'à l'avoir détruit. Tout deux se mirent à retirer les blocs du four jusqu'à ce qu'il ne reste que de l'acier au centre qui avait pris la couleur de la suie.

Il faut nétoyer tous ca....
Le Caporal Ecuyer aida à nettoyer. Elle s'occupa principalement du balai parce que c'était facile. Quand elle eut fini, Julie aida à retirer les blocs de pierre et de terre cuite. C'était beaucoup plus fatigant...

La belle archère écouta distrsaitement son supérieur parce qu'elle était fatiguée. Elle se dépêcha de rentrer chez elle pour dormir, pour cela, 101112v avait été très attentive.

Le Caporal se réveilla avec quelques courbatures qu'elle désirait ignorer. L'archère était debout depuis l'aube parce que son chat aime manger à cette heure-là. Le Caporal Ecuyer s'était habillé rapidement, enfilant sa chemise blanche et sa jupe rouge.

Arrivée, 101112v aperçut Samouraï en train de travailler. Sans essyer d'être discrète, elle le regarda travailler pour un apprendre à faire une épée.

Il avait l'air très concentré. Cela lui plaisait assurèment.

Quand le Sergent la salua, elle fit de même parce qu'elle avait reçu une bonne éducation du prêtre.

L'archère s'approcha et observa avec beaucoup d'attention ce qu'il faisait. Ecuyer mit de côté ce qu'elle voulait lui dire d'important...

Vennez caporal...je peu vous appeler par votre prénom ou surnom?
Caporal sa fait un peu lourd...

L'archère y réfléchit un peu. Ils n'étaient pas vraiment amis. Ils travaillaient ensemble. C'est cela qui la motiva à refuser mais à la place : "Vous pouvez m'appelez Ecuyez. C'est le nom de mes ancêtres"

101112v prit le marteau qui était en forme de cylindre avec un mache très long.

Julie frappa un grand moment et frappa jusqu'au bout. Elle en fut très fatiguée et profita d'une pause pour parler à son supérieur : "Sergent, je dois partir demain à l'aube pour Vesoul. Je ne serai donc pas là".

HRP : Mon personnage sera en retraite.

Le samouraï revint dans sa forge et réobserva les objets réussi....
Il arrangea quelques détailles de la lame et du polissage et prit finalement la direction de l'autre bout de la forge: le plan de travail...
Il avait tout ce qu'il lui fallait, il découpa du cuire a défaut de peau de requin, et le tissu corde....
Une fois découpés et arrangés il ponssa du pin massif pour faire les manches....

Après cela il alla rallumer le feu de la forge et avec de l'acier qui lui restait il le fit fondre et s'affaira a tailler les moules....
Les moules de garde rondes sans signes pour pouvoir après graver les dessins....
Des arrière manche, et de petites pièces de décoration et de maintien.....
Et ainsi de suite pour toutes les pièces du pommeau....

L'acier en fusion coula dans la petite ouverture du four et il remplit avec les moules, mains gantés et visage protégé....

Il laissa le feu s'éteindre quand les moules furent remplit et laissa refroidire....

Ensuite il préparra le matériel de sculpture d'acier et rangea la fogre la rendant presque brillante....

Quelques heures après il s'assit avec les moules qu'il brisa et tailla les pièces....

Une fois la taille fini il rentra chez lui avec les pièces pour terminer de les monter en forme et pour leurs faire leurs finition (foureau, boite...).....