Entrainement obligatoire: "Mission de survies Comtoise"

Le capitaine arrive premier sur le terrain d'entrainements des éclaireurs, ayant constaté le manque de vocations dans cette discipline, il allait faire en sorte de sortir de leurs torpeurs ces locaux et qui sait peut-être susciter des vocations. Avec la récente et fort brève mobilisation, il n'avait pas su donné le coup d'envoi à la date escomptée. Sur son jeune étalon arabe, il arrive au trot sur le terrain d'entrainement et constate que les palefreniers sont en train de disposer les sacs de survies selon ses consignes en deux groupes distincts. Bensira et Rabatcho ne devraient plus tarder à le rejoindre avant l'Ost au complet une fois les pigeons ayant fait leurs boulots et convoqués tout le monde.

Convoqué par le capitaine pour superviser avec lui et le sénéchal un entraînement de survie, le lieutenant ADC Bensira se rendit sur le terrain des éclaireurs où l'entraînement en question allait se dérouler.

Il avait prit soin de seller un cheval et d'amener son faucon Falcon, fidèle compagnon, qui l'accompagnait dans les missions et les entraînements un peu spéciaux. Bensira avait fier allure sur son cheval, même si en tant qu'arbalétrier, il n'était pas un cavalier émérite, lui dont la spécialité était plutôt de se fondre dans la nature.

Une fois sur le terrain, il rejoignit le capitaine déjà présent, descendit de cheval, se mit au garde à vous et salua :

Mes respects mon capitaine ! Lieutenant ADC Bensira, à vos ordres!

Rab arriva en troisieme pour l'entrainement. Il fit un salut reglementaire.
Messieux! Me voila nous pouvons commencer.

Justin répond à leurs saluts mais à ses deux là, il ne parvient pas à dire repos pour avoir eu l'habitude d'être sous leur autorité et préfère prendre la parole immédiatement.

On dirait que les paquetages sont prêt! Il n'y a plus qu'à attendre nos braves soldats. Il y aura pour leur famille un compte rendu en gargote, puis ça nous fera aussi de la publicité.

Ayant reçu le message du capitaine, Sauveur se dirigea vers le terrain, là où tout aller pouvoir commencer. Il était heureux avant même le début de l'entrainement. C'est, donc, avec une bonne mine, qu'il arriva.

Il salua le capitaine, le sénéchal et le lieutenant ADC de manière réglementaire puis aller se positionner près d'eux au garde-à-vous.

Grace a un entrainement hors caserme spa avait pu se lié d'amitié avec sauvage, c'est donc avec lui qu'il se presenterait a l'endroit designé.

un large sourire se dessina sur ses levres lorsqu'il munissait de selle, mors et licol sa monture, ca lui rappela son premier entrainement en tant que cavalier, il se souvenait toujours de cela avant toute mission, ca le detendait.
il arriva au galop au lieu dit, la poussiere s'elevant derriere lui, les vibration du sol prevenant de son arrivé, il n'avait pas besoin d'etre discret l'entrainement n'avait pas debuter, il devait d'abord prendre connaissance de ceux qui l'accompagneraient.
a la hauteur du capitaine et des soldats deja present, et descendit de la bete de facon accrobatique non sans avoir jeter un oeil un peu partout si il n'apercevait pas la medecin-chef car il savait qu'elle le reprimenderait pour cela, le meilleur moyen de resister a la tentation c'est d'y ceder et ca faisait longtemps qu'il sentait le besoin de le faire.
il se tourna vers son compagnon a quatre patte, lui adressant quelques mots a l'oreille suvit d'une caresse rassurante apres quoi il se tourna vers ses camarades d'armes, un salut reglementaire s'imposait.

mes respects capitaine
ADC
senechal salut

sergent

je vois que nous sommes tous pret nous attendons juste les autres, je crois qu'on ne risque pas de s'ennuyez aujourd'hui

il souria , ne devant pas utiliser ses armes habituels, il n'avait donc pas apporter d'arme apart biensur....un petit outil, c'etait plus un souvenir qu'une armes, il sorti de sa poche un opinel, souvenir d'une rencontre plutot particuliere dans une taverne doloise.

il aborait devant le capitaine attendant sa reaction pour savoir si au moins cela lui etait permit puis son oeil s'arreta sur les sacs non loin ce qui le fit sourire .
le jeune officier vivait de souvenir ce qui n'etait pas plus mal vu qu'ils allaient s'enrichir

Le medecin chef qui ne savait pas à quelle section elle appartenait ,ce qui l'énervait un peu ,,se présenta et salua tous les superieurs et soldats présents

Elle se mit au garde à vous

Bonjour et respects à vous ! salut

Draugaran se présentait sur le terrain d'entrainement suite à la convocation qu'elle avait reçue. Elle qui était plutôt du genre a taper d'abord et poser des questions ensuite, était curieuse de voir comment elle se comporterait en tant qu'éclaireur. Elle avait été fantassin et archer, et jamais elle ne s'était penchée sur cette spécialité qui demandait des qualités de discrétion et observation. Qualité qu'elle possédait et dont elle usait parfois par ailleurs, mais pas dans le cadre militaire.

C'est donc intriguée que la jeune femme s'approcha de ses camarades, saluant dans l'ordre, le capitaine et les autres officiers, les gradés et les soldats déjà présent. Puis elle se planta là, en attente. Elle observait déjà les militaires, se demandant avec qui elle ferait équipe et qui serait le meneur. Etant très souple de caractère, elle ne doutait pas de s'intégrer rapidement et de collaborer efficacement.

La petite blondinette arrivait sur le terrain des éclaireurs, les bonbons pleins les poches. Enfin plein, c'était vite dis, elle avait été à la récolte auprès des soldats et avait reçu une dizaine de bonbons qu'elle avait rangé dans les poches de son uniforme.
Le Capitaine voulait réunir tous les soldats pour un entrainement obligatoire, Lanna était donc là, prête à exécuter sa mission.

Mes respects à tous, banjour salut

Après avoir salué, la petite blonde alla se mettre tout près de Spagnolo.

Entrainement d'eclaireur et de débrouillard, spécialité de Jerone en ce qui conserne la seconde aptitude. Et c'est tout naturellement, que le chapeau de paille du blond perdit son ruban rouge et fut peint en différents ton de vert, le visage tout aussi peinturluré ainsi que ses mains. Son uniforme bleu avait été remplacé par la version verte passée aux oubliettes mais plus discrete, les bottes bleue remplacée par la version marron tout comme les braies et les bas. Et niveau équipement le minimum vital l'équipait, sa cotte de maille était emprisonnée entre deux couches de peau, le blond chanceux aux fouilles avait de nouveau 3 épées, deux à la ceinture et la 3eme celle qui lui restait dans le dos. Bien sur un couteau était dans une de ses poches et surement quelques lames dissimulées dans sa tenue.

Afin de pousser le vice, le blond arriva par derrière et surtout sans se faire entendre ni voir, jusqu'à qu'a se retrouver derriere le capitaine et pour se manifester lui planter un baton entre les omoplates.

Nom de code : démolisseur, spécialiste en piège explosif et autre joujou qui fait bobo.
Mes respects, Mon capitaine.

Le blond enleva son baton et salua Justin.

salut

Il alla ensuite voir sa fille afin de lui faire vider ses poches, car meme de loin on pouvait voir qu'elles étaient bien pleines et surtout la préparer pour l'entrainement.

Va te falloir des peintures de guerre, jeune demoiselle.

Saffig avait prit soin de laisser son épée et sa dague chez elle. Ils n'auraient pas le droit de les emporter, et elle ne voulait pas les laisser entre les mains de n'importe qui.

Ce fut donc désarmée qu'elle se présenta sur le terrain, déjà rempli de monde, et il en manquait encore.

Capitaine, Sénéchal, ADC, mes respects.

Bien le bonjour à vous, Sergents et Soldats.

Une fois salué, elle alla se poser à côté de Spagnolo

Surpris, ne l'ayant pas vu venir, Justin reçoit un bon coup entre les omoplates de la part de Jerone en guise d'arrivée. Il ne sait si c'est l'effet de surprise ou l'impact mais il en reste quelques secondes bouche bée. Il fait ensuite son salut, du coup rien à lui redire, à part de se mettre au repos et constate qu'il n'a pas fais les choses à moitié, peinturluré des pieds à la tête. Par contre, il s'en va vider les poches de sa gamine, mais il allait devoir ensuite vider les siennes, les armes se sera direction la carriole qui attend leur bardât.

Le lieutenant Saffig arrive, il lui dit comme aux autres avant elle "repos"... Il compte vite fait les plus réactifs, les recrues avaient toutes un petit contre temps, on allait devoir les attendre.

Elvyna arriva suite au message du Capitaine. Eclaireur? Que cela pouvait t'il être? elle n'en savait absolument rien. Intriguée, elle arriva sur le terrain d'entrainement. Elle salua ses supérieurs, ne regarda pas devant elle et prit peur en voyant une personne au visage couvert de... elle ne savait pas quoi.

- Hiiiiiiiii un monstre dans la caserne!!! aux armes!!!!

Le soldat se reprit en constant que c'était le soldat Jérone. Les yeux ronds, elle le regarda de la tête aux pieds se demandant ce qui lui était arrivé. Peut être un maladie contagieuse! Elle s'empressa donc de s'éloigner de lui et s'approcha de son lieutenant instructeur.

Dernière édition par Loanne le Mar 22 Oct 2013 - 18:28, édité 1 fois

Sitôt le message du Capitaine reçu, la jeune femme acheva son activité du jour, le pansage de Baron auquel elle s'habituait doucement, le remit dans le box et fila se débarbouiller et enfiler sa tenue pour être présentable. Elle épousseta le vêtement, se disant qu'elle devait toujours le porter à Eulalie pour coudre son insigne de soldat, laça ses bottes et natta ses cheveux sur le côté pour qu'ils ne la gênent pas pendant l'entraînement. Passant la main sur l'épée, elle réfléchit longuement avant de la laisser là. S'ils avaient besoin d'arme, ce dont elle doutait, il y en aura d'entraînement sur place. Elle se munit quand même d'un couteau de chasse dont elle glissa l'étui à sa ceinture, vérifia rapidement qu'elle n'oubliait rien, puis se dirigea vers le terrain.

Quand elle arriva, une petit dizaine de soldats s'y trouvaient déjà, dont un hurluberlu en tenue verte. Elle leva les yeux au ciel en reconnaissant Jerone, puis alla se placer non loin de Draugaran. Elle salua toutes personnes présentes par grade, pointant les doigts sur la tempe, droite, et attendit l'ordre de repos. Une fois celui-ci accordé, elle observa rapidement les personnes présentes, des jeunes soldats aux plus expérimenté, ceux qu'elle appréciait et ceux qu'elle ne connaissait pas encore bien. Elle tressaillit lorsqu'elle rencontra le regard du sergent Sauveur et se dépêcha de reporter son attention sur le Capitaine.

Lanna vit son père arriver peinturluré de la tête aux pieds. Pourquoi ne lui avait-il pas dis de faire pareil? La petite mascotte plissa les yeux en voyant venir le coup de bâton dans les omoplates.

Lanna laissa échapper un petit rire mais défit son sourire en voyant son père arriver vers elle. Elle sur tout de suite ce qu'il avait en tête et le regarda prendre ses bonbons.

Mais c'est les miens... Je les ait gagné rend les moi.

La petite blonde regarda son père en essayant qu'il comprenne que c'était ses bonbons à elle.

Loquace Nombre de messages : 920 Date d'inscription : 18/08/2013

Le vent de fraîcheur de la soirée était encore présent lorsque sous une pluie menaçante au fond du couloir de la caserne là ou derrière la masure de marbre,derrière la porte de bois moulé se trouvait l'établis des soldats,les quelques lits faits de bois simple et de couvertures de lins ou de draps brodés,la main glissant à travers la nouvelle texture de son uniforme de bleu azur vêtu le blond entendit un toquement à la porte,ce n'était autre qu'un messager de l'état major,un de plus que ceux qui habituellement circulaient donnant missives sur missives,il se pouvait qu'une dizaine,vingtaine voir trentaine de dépêches circulent par jour en temps de guerre ou de manœuvres,mais aujourd'hui le va et vient de ces hommes en panache semblait moins cadencé,moins pressant et moins impératif. Au contraire il semblait que le jeune homme qui faisait le messager était plus rêveur que soldat,plus poétique que soldatesque,en réalité l'orléannais se demandait même si celui ci faisait partie de l'armée ou n'était qu'un brave homme de village dont la mission avait été pour la demi heure de jouer les messagers.

Il est vrai que l'armée était bien étalée en le comté ces derniers temps,l'ordre de mobilisation dans chaque ville s'était renforcé et tous les soldats de faction qui étaient partis n'étaient pas encore revenus,pour autant la terre sur laquelle marchait tous les hommes ici présent demeurait libre,un rempart trop serein dans un monde incertain,les vastes contrées au sud apparaissaient également fertiles,et là,jusque dans le confins des fourrés et des champs la moindre petite fermiére cultivant son blé craignait l'arrivée d'un cavalier de gris vêtu,même en franche comté cette crainte demeurait,et tous,recrues comme soldats étaient devenus les serviteurs de la civilité,et du gouvernement franc comtois dont la ligne était avant tout celle de protéger tout franc comtois mais franc comtois...en était t-il un lui même à part entiére?

Le blond fut sortit de ses pensées par une tape d'un camarade de chambre sur l'épaule,le cachet de cire de l'état major absout il avait prit le temps de lire la lettre que lui avait remit le messager à sa section,prenant une voix distinctive pour que le plus rêveur à moitié réveillé au fond écoute:

Messires l'état major nous demande d'aller sur le corps d'armes pour une mission d'entrainement.

Tendant le document à un frère d'armes et retouchant une dernière fois son uniforme il replia ses baguages et se rendit avec ses camarades sur le terrain d'entrainement,le couloir de marbre et les escaliers en tourelles de la forteresse permettait au blond de repenser une dernière fois aux événements qui l'avaient marqués ces derniers temps dans sa vie,le voila jeune marié,il se demandait au fond de lui s'il pourrait régler tout ce qui lui tombait dessus ces derniers temps,mais le plus simple était encore de faire abstraction de tout sauf de l'instant présent,qui lui seul apparaissait comme unique et clé dans la tête d'un homme qui n'avait passé que ses 24 premiers printemps,d'ailleurs le temps commençait à devenir plus clair au loin,et sans doutes les pensées internes devaient laisser place au champ frais et battu par le vent de matinée au bas de la forteresse.

Rejoignant le rassemblement le blond se mit à son tour au garde à vous.

Invité

Theodore venait de recevoir les clefs pour des nouveaux endroits autour de la caserne. Il se promenait dans les alentours pour découvrir les recoins de la caserne quand il remarqua le capitaine entouré d'une grande foule.

Soudainement il se rappela de la missive qu'il avait reçu la veille. L'entrainement obligatoire sur le terrain d'entrainements des éclaireurs. Le brun avait hâte de commencer son entrainement, il s'approcha donc rapidement de la foule, se mit devant le Capitaine en garde à vous et dit:

Mes respects mon capitaine ! Je suis prêt physiquement et moralement pour commencer cet entraînement.

Le blond rangea les bonbons de sa fille dans un sachet, qu'il lui lui mit en collier, apres il se mit à lui peindre le visage en différents tons de vert. Il attendit de savoir qui étaient ses camarades et qui allait diriger son groupe. En tout cas lui était pret à peindre le moindre camarade et a leur apprendre toutes les petites astuces de débrouillardise et de discretion en foret. Il attendait aussi le début de l'entrainement pour voir sa fille à l'action et lui faire remarquer tout les instincts qu'elle a pu apprendre bébé quand elle était sous la protection de Roxie.

Pour pas etre vu faut savoir se fondre dans le paysage ma puce et tu as la chance d'avoir un papa qui en sais un rayon sur la guerre et la débrouillardise, tu fera ce que je te dirais de faire, c'est tres important.

Le lieutenant avait reçu le message par pigeon. Quand il arriva sur le terrain il voit déjà la moitié de l'armée au rendez-vous. Il se dit : ahh merde ils sont presque tous là, foutu pigeon je vais arrêter de lui donner des biscuits, il va voler plus vite.

Lic0 salua salut

tout le monde et se joins au groupe

Son captieux capitaine l'avait prévenue : un entraînement obligatoire se déroulerait dans la garnison des éclaireurs, plutôt déserte ces temps-ci, paraissait-il.
Que ne faut-il pas faire patienter un homme quand il vous requière, aussi la brune valkyrie avait fait chemin jusqu'au lieu dit, mastiquant allègrement un morceau de maïs qui avait cuit dans l'eau bouillante et apaisant ainsi son estomac qui réclamait pitance.
La promenade ne fut pas longue car ces jours-ci la mignonne avait passé le plus clair de son temps à la caserne, entre taverne où elle s'affairait à la recherche d'un mari-officier et le terrain d'entraînement où elle montrait patte blanche et une conduite exemplaire, pour n'éveiller aucun soupçon.
Quand au loin elle vit l’attroupement, elle jeta la carcasse blanchâtre de son repas et, avec cet air de ne pas y toucher qu'elle affectait le plus souvent car il lui conférait une exquise expression d'innocence, rejoint ses compagnons de chasse. Une louve dans la bergerie, comme c'était approprié !

Il y avait donc là la fine-fleur - pour le moins hasardeuse - de l'Armée franc-comtoise ? Il lui semblait même apercevoir une enfant, encore en âge de jouer dans les jupes de sa mère. Après tout, en Franche-Comté, l'âge requis était-il peut-être celui où l'on est capable de fermer ses doigts sur une lame et encore, la petite blonde, était-elle tout juste à la bonne taille pour émasculer un adversaire. De ce point de vue, ça en faisait un excellent soldat.

Sourire de connivence au capitaine, dissimulant une intention à peine coupable, et salut réglementaire à son adresse ainsi qu'à celle des autres officiers.

Mon capitaine, Lieutenant Aide de Camp, Sénéchal, ...

Et apercevant Spagnolo dans la foule : Sergent, quel plaisir !

En retard, elle était très en retard. Mais ce n'était pas sa faute, elle n'avait pas jusqu'à présent accès à la caserne, normale pour la civile qu'elle était. Mais en temps que Gouverneur, participer pour la première fois à une mission de survie l’intéressait, surtout que ce serait la première et dernière fois avant un moment... C'est donc vêtue seulement de son uniforme qu'elle se présenta sur le terrain des éclaireurs, laissant chez elle toutes les armes et boucliers qu'elle avait en sa possession. Elle salua avec un salut militaire impeccable, le capitaine, les gradés, soldats et recrues.

Elle avait hate que cela commence.

Makita arriva sur le terrain d'entrainement voyait du monde déjà arriver. Elle salua tout le monde comme d'habitude.

A la lecture de la missive du Capitaine, ça sentait définitivement le purin. La rouquine plissa les yeux en se grattant furieusement les sutures à la mâchoire. Au terme de sa ronde, elle distribua les ordres à ses hommes. Ainsi, si la Gouverneur n'était pas de retour avant la tombée de la nuit, ses Loups garderaient la bergerie. Bon, d'accord, dit comme ça, pas très rassurant l'histoire.

Elle enfila sa large cape par dessus la maille et empoigna une bouteille d'eau de vie qu'elle descendrait sur la route. Arrivée aux abords du terrain indiqué, après s'être planté trois ou quatre fois d'endroit, bien entendu -fichu sens de l'orientation- ses émeraudes coulèrent sur les présents. Un sourcil se haussa à la vue de la Gouverneur Katarina qu'elle n'avait encore jamais croisé dans les locaux, puis sur un Jerone étrangement déguisé. Celui-là, il en faisait toujours des tonnes, mais cela pouvait donner une indication de ce qui les attendait.

Les pas de la Fiole étaient déjà beaucoup moins francs comme elle se demandait ce que ça cachait comme malabar.. Raaaaaa vilain omniscient qui raconte n'importe quoi ! 1461 disions nous. Elle se demandait donc ce que le Capitaine leur réservait comme petites Kinder surprises. Bon, ça suffit la déconnade de l'omniscient, oui ? Pardon : ce qu'il cachait comme petites surprises.. tout court.

Torse bombé et visage moitié dissimulé sous le tissu, les doigts tendus se portèrent à la tempe comme elle saluait tout le monde de manière ordonnée. Restait plus qu'à espérer ne pas -trop- se faire taper sur les doigts pour le temps qu'elle a mis à arriver. Mais bon, faut la comprendre aussi la pauvre petite Loute.. euh Louve.. Entre les milles explications aux gardes, le petit bisous obligatoire et incontournable à ses gamines qui nécessitaient forcément un détour par chez elle, le petit mari chéri qu'on salue au passage du haut de toute son affection -Dans le genre : Ah c'est bon, j'ai du travail, t'verras bien quand j'rentrerai, pis si j'ai envie d'rentrer surtout, ça c'est encore autre chose- le temps de faire la route et de se diriger directement à lieu indiqué -pour rappel : après s'être paumée un nombre incalculable de fois-. Et puis, c'est pas comme si elle avait été convoquée, hein ! Ah, si en fait. Non mais dis, l'omniscient, tu crois VRAIMENT que les officiers en auront quelque chose à carrer de sa petite vie si elle venait à leur raconter ça ?

Voilà donc la petite rouquine teeeellement adorable, au garde à vous, et toute perdue au milieu de ce monde de grosses brutes. Décidément, y'a pas à dire, ça sentait le purin.

Bien, les retardataires font dés à présent perdre des points à leurs équipes. Pour commencer, prière de laisser, épées, couteaux, lames, arc et toutes armes dans la charrette à ma gauche prévue à cet effet, nous prendrons bien soin de vos armes et autres effets personnel durant la durée de l'exercice. La véritable débrouille ça consiste à se servir des éléments naturels, de tout ce qui vous entoure, de se fondre dans le paysage afin de ne pas être repéré.

Il montre des sacs disposé devant lui en deux rangs.

Dans ses sacs, des rations de survie pour deux jours, vous pouvez voir qu'ils sont réparti en deux équipes, chacune a son meneur, vous êtes tous à pieds d'égalité dans cette exercice, c'est cependant le meneur qui tranchera au final pour les directions à suivre ou qui prendra les grandes décisions de son équipe, lui seul à un couteau dans son barda, chaque équipe reçoit également un pigeon, seul lien vers l'extérieur, d'indice en indice, vous en retrouverez un. Je vais maintenant lire la répartition des deux équipes, à mon signal, rejoignez votre meneur, ce sont eux qui détiennent le premier indice.

Le capitaine appelle les deux meneurs, leur montre leur sac de survie, puis lit la liste et donne le signal.

Entrainement obligatoire: "Mission de survies Comtoise" 438966b815efa5

Entrainement obligatoire: "Mission de survies Comtoise" 438966b815efa5

Citation :: Sergent, quel plaisir !

et le voila qui se retourne decouvrant la nouvelle recue qui avait rejoint les rangs, pour son plus grand plaisir et pour celui de la demoiselle d'apres ses dires.
Toutes fois on pouvait toute meme remarquer un manque a la regle mais spa ne lui en tiendrait pas rigueur tant il etait encore consterner face a l'appartion peu conforme de jerone.
Neamoins comme reponse elle n'eu qu'un large sourire mais qui suffit pour lui faire parvenir le fait que lui aussi etait content de la voir .

D'autres personnes rejoignerent les rends et le temps ne faisait que passer, spa jeta un oail au capitaine attendant ses instructions, chose qui arriva bien assez vite , ce dernier prit la parole donnant aussi dans son discourt la composition des groupes .
Tout etait parfait sauf un petit b-mol, sa mascotte se retrouvait dans un groupe different que celui de son pere, c'est alors qu'un air glacial penetra a travers son uniforme comme pour lui prevenir d'un probleme imminent et lui savait lequel d'ailleurs il se posait deja la question : connaissant jerone, comment bon sang allait-il reagir sachant que sa fille ne serait plus sous son aile?
Il regarda jerone une ou deux minutes avant de detourner son regard et de se concentrer sur comment il allait guider son groupe.

Ah oui j'oubliait c'etat lui le meneur de son groupe , chose qui lui semblait bien interssant, ca permettrait surement a enrichir ses connaissances militaires, il ne se passait jamais de faire de nouvelles experience .

Le lieutenant était content de voir Sauveur à la tête de son équipe. Avec l'expérience du lieutenant instructeur Saffig la victoire était a portée de main. Lic0 pris son épée et bouclier et le mit dans la charrette. De toute façon quelqu'un pouvait partir avec le bouclier il n'était pas beau. Il décida de se porter volontaire pour amener les rations pour l'équipe. Des miche de pain c'est pas très pesant.

L'entrainement allait enfin pouvoir commencer. Sauveur se tenait prêt ! Au coup de signal du Capitaine, il déposa toutes ses affaires, prit son sac et se plaça de sorte à ce que tous les membres de l'équipe puissent le rejoindre. Le sergent savait déjà comment il allait gérer la chose : il partagerait les informations qu'il avait en possession avec toute l'équipe, écouterait l'avis de ceux qui en avaient avant de prendre une décision, d'autant plus que des soldats expérimentés faisaient partis du groupe.

Invité

Theodore écouta la répartition des équipes calmement. A part Dame Katarina, sa copine de taverne, il ne connaissait pas grand monde dans son équipe. Il connaissait certains de nom, mais rien de plus. Mais la présence de Dame Katarina dans l'équipe lui fit tout oublié. Ils avaient passé tellement soirées avec Kran en taverne, à picoller jusqu'à pas d'heure. Le maire se contenta au final de son sort.

Après avoir écouter et compris les consignes du Capitaine, il alla déposer son baton dans la charette prévue à cet effet. Le brun, qui adorait bien manger, n'oublia pas de récuperer les sacs de survie. Il se demandait comment va t-il pouvoir survivre avec cette quantité pendant deux jours. Habituellement, il mangeait la même quantité en deux heures. Mais il n'avait guère le choix. Theodore mit le sac sur son dos puis rejoigna spagnolo.

Le médecin chef ,ecouta le capitaine et fut ravie de faire équipe avec des soldats chevronnés ,d'autres moins ,mais ils apprendraient ,et d'avoir comme meneur de leur équipe le Sergent Sauveur qu'elle connaissait .Ellle salua toute son équipe et éspérait qu'ils se tiendraient tous les coudes .

Elle déposa ses armes dans la charette prévue à cet effet .

Elle fit un petit signe discret à Spa qu'elle aimait beaucoup et se dit qu'avec l'équipe qu'il devait commander ce ne serait pas une mince affaire de gagner ce challenge .

Puis rejoint son équipe afin d'y attendre les ordres de son chef

(Edit pour correction)

Misère. C'est le seul mot qui vint à l'esprit de Draugaran tandis qu'elle prenait connaissance des membres de son équipe. Premier constat, elle n'était pas avec la patronne, ce qui s'avérait un poil problématique, car comment assurer la protection de quelqu'un en étant séparée d'elle ? Deuxièmement Jérone était dans son équipe, et vu la touche qu'il affichait, cela risquait de s'avérer difficile. Mais enfin, elle s'adapterais et ne se montrerait civilisée.
Troisièmement enfin, elle connaissait peu les membres de son équipe mis à part Loanne et Casiope. Cela dit c'était l'occasion de les connaître mieux et la mission leur permettrait de créer un lien nécessaire au bon fonctionnement de l'armée.

Pour couronner le tout, il fallait déposer les armes. Avec suspicion, elle laissa son épée dans la charrette, se promettant de faire un massacre si jamais elle ne la récupérait pas entière. Le plus dur étant fait, la blonde se tourna vers son chef d'équipe qui s'avérait être Spagnolo, bonne nouvelle de cette journée. Elle ne doutait pas qu'il se débrouillerait très bien et pour l'aider, elle comptait bien se montrer exemplaire. Enfin, encore plus que d'habitude, puisqu'elle était militaire depuis longtemps tout de même et savait se tenir.
En attendant que les choses se lancent, un petit coup d'oeil à ses camarades s'imposait tandis qu'elle se joignait à eux. Elle fit un clin d'oeil (ce qui n'est pas évident quand on en a qu'un) a Loanna, qu'elle aimait bien, et sourit aux autres. Ils auraient largement le temps de faire connaissance sur la route.

La blond manqua de tomber comme une feuille morte quand de une il devait se balader nu, enfin, etre sans arme et encore pire sans son couteau c'était etre nu pour le blond. De plus il était séparé de sa fille. Il senti que quelqu'un l'observait intensément. Le blond fit un sourire crispé qui en disait tres long avant d'aller pres de la charette, tout en observant le capitaine avec un regard qui en disait tres long (en gros si erraflure je te montre comment je fais sauter un mur, mais le mur c'est toi). Jerone posa sa première épée, la deuxieme, la troisième, son arc de fortune, ses flèches une à une, il enleva retira les quelques couteaux présent dans ses bottes, mais il prit soin de bien garder son couteau, le couteau reçu par son père alors qu'il avait 6 ans et qui ne le quittait jamais, meme pour dormir quand il dort. Durant 2 si ce n'est pas 3 longues minutes durant lesquelle le blond posait son kit de survie, il plantait son regard dans le regard du capitaine qui avait fait l'enorme erreure de mettre le plus instable des militaires et le plus débrouillard en colère.

Une fois son arsenal déposé dans la charette, moins son couteau familial, il n'alla pas vers son équipe mais vers Saffig.

Tu prends soin de Lanna s'il te plait.

Plus glacial, il ne pouvait pas faire, le blond, désormais "nu", rejoignit Spagnolo et son regard en disait long sur ses intentions.

Quels sont les ordres, mon Sergent ?

Il allait surement rester aussi glacial tout le long de l'entrainement et cela ne présageait rien de bon pour leurs adversaires, ses equipiers il s'en fichait, de toute manière il allait faire cavalier seul pour mettre un terme rapide à cet entrainement afin de s'expliquer avec le capitaine.

Usant de son intelligence superieur (ouais c'est ca) , le sergent avait recopié l'indice donner par le capitaine , ce qui lui prit un bon apres midi mais bon il n'allait pas s'en plaindre, il voulait que chaque membre de son equipe ai une trace de la mission qui leur incombait , une bonne demonstraction de sa bonne fois.

Quelques membres de son equipe l'ayant deja rejoint il leurs refila le mot ecrit, qu'il n'oublierait pas de repeter dans le discourt, oui il s'etait preparer un discourt ( ok d'accord s'etait pas tout a fait au point mais il avait les grandes ligne c'est deja pas mal non?). Il se decida finalement d'aller prendre son sac de survie, un leger sourire lorsqu'il remarqua la ration de nourriture qu'il contenait, il se dit toutes suite que niveau nourriture ils n'auraient pas en s'en plaindre ou peut-etre si ,ils le sauraient plus tard.

Avant de s'eloigner il faufila des exemplaires de l'indice qu'il avait dans les sacs des coequipier qu'il ne l'avait pas rejoint, il decouvrirait l'indice en regardant dans leurs poches puis il retourna a sa place initiale . Il n'eut pas a mettre d'arme dans la charette etant donner qu'il etait desarmé ou presque, il ne s'etait toujours pas detaché de son opinel ne la considerant pas comme une arme mais plutot comme un soutient moral.

Peu de temps s'ecoula avant qu'un de ses camarades viennent le solliciter, c'etait jerone et son regard fit toutes suite comprendre au sergent qu'il etait temps de donner des instructions.

Nous devons nous rendre a pontarlier, d'apres ce qu'on sait un de nos camarades et donner des informations ragardant les brigands de FATUM a un hermite vivant dans la foret de pontarlier, vous avez toutes les informations dans exemplaire que je vous ai donner, certains l'ont dans une des poches de leurs sacs de survie.
Nous devons les recuperer mais le plus discretement possible afin de ne pas attirer l'attention .
De ce fait je peux deja dire qu'un groupe de soldats debarquant dans une ville c'est tres peu discret, de meme les pintures sur ton visage sont peut-etre adequate dans la foret ou nous nous rendons mais nous ferons toute suite remarquer si nous descendons en ville

il materialisa la carte de fc dans sa tete du mieux qu'il pouvait parceque niveau geographie... c'etait probablement le moins doué, Dole-pontarlier? ca en faisait de la route environs deux jours de marche si il ne se trompait pas, ajoutons une demi-journée pour rejoindre la foret, fallait en plus etre discret pendant le trajet

Aussi je conseille tout le monde de s'habiller a civile c'est probablement plus discret, il n'est pas rare de voir des voyageurs arriver en ville les gens se posent moins de questions , ensuite prenons la route. D'apres la description je pensais que l'homme que nous cherchons pourrait etre en faite le vieux sage de pontarlier, celui qui organisa les enigmes de pontarlier mais je pourrait me trompé .
Je pense qu'on pourrait facilement avoir plus d'informations par dame lecylane, si je ne me trompe pas elle etait tribun du village avant d'etre maire, elle pourrait certainement nous etre utile .

Sourit Et puis nous avons la chance d'avoir une pontassilienne parmis nous regarde casiope

voila j'ai tout dis, j'ai peut-etre oublier quelques chose mais je pense que le tout y est, reactions? conseils? idees? n'hesitez pas je n'ai pas la science infuse

il se planta sur place attendant n'importe quel reaction de ses camarades

Saffig avait senti venir les ennuis dès que le prénom de Lanna n'avait pas été suivi de celui de Jerone. Pour le reste, elle était bien contente de son équipe. Elle n'avait rien à déposer, étant venue sans rien, et alla donc tout de suite chercher deux des sacs. Un pour elle, et un pour Lanna.

Elle rassura Jerone qui venait lui confier la petite.

Ne t'en fais pas, je veille sur elle comme si c'était ma fille.

De toute façon, elle savait que Lanna était très débrouillarde. Elle donna donc son sac à la mini soldate.

Si c'est trop lourd, un de nos coéquipers costauds t'aidera.
Allons rejoindre le sergent Sauveur.

Et elle se dirigea avec elle vers leur meneur.

Regard et oreilles concentrés sur le Capitaine, la rouquine écouta attentivement ses instructions.

"Bien, les retardataires font dés à présent perdre des points à leurs équipes."

Bon, ben là, elle avait clairement eu de la chance.

"nous prendrons bien soin de vos armes et autres effets personnel durant la durée de l'exercice"

Pas d'arme, rien. Bon, ben voilà, elle était là l'embrouille.

"se fondre dans le paysage afin de ne pas être repéré"

Alors là, mis à part s'il y avait des arbres pour l'aider à passer pour un écureuil, la rouquine.. Heureusement qu'elle avait de l'entraînement.. et surtout une bonne capuche !

"des rations de survie pour deux jours"

Alors là, c'était la deuxième partie de l'embrouille. Certes, elle venait de finir une bouteille et avait probablement son compte pour la matinée, mais qu'en serait-il pour la suite puisqu'ils devaient déposer toutes leurs affaires ? Plissant les yeux, elle murmura, à peine audible

Ils ont clairement tous décidé d'essayer d'avoir ma peau, c'pas possible autrement..

A la lecture de la liste, un fin sourire amusé se dessina sur son visage alors qu'elle murmurait cette fois

Petit malin..

Séparation de Jerone et Lanna, de Sarani et Draugaran, de Casiope et Fredyanne, de Fredyanne et Artaban. Ce procédé avait pour intérêt de pousser quelques uns à s'ouvrir aux autres, mais aussi que ces scissions permettraient peut-être aux autres de moins craindre de les approcher. Peut-être que certains liens se tisseraient.

Au signal, elle déposa son épée, le poignard lié à sa cuisse, abaissa sa capuche pour ôter le stylet qui retenait en vrac sa crinière emmêlée, la laissant retomber en lourdes boucles sur ses épaules. Finalement, elle y abandonna également sa besace, non sans regret.

Les émeraudes se rivèrent à Sauveur alors qu'elle rejoignait son équipe, puis coulèrent sur les autres avant de revenir à lui. La résultante de son séjour au gnouf lui restait encore en travers de la gorge, humiliée qu'elle était. Elle espérait sincèrement qu'elle tiendrait afin de ne pas se donner une nouvelle fois en spectacle. La survie sur un champ de bataille, elle s'y connaissait bien, la bourrine, pour le reste, c'était une toute autre histoire.

Le blond tiqua, il n'avait pas lu la meme chose sur son bout de papier que ce que disait Spagnolo.

Mon sergent, je suis deja en civil, je peux pas etre plus civil que ça, surtout quand je suis nu.

Le blond alla se passer un coup d'eau sur le visage et les mains avant de prendre son sac. Il l'ouvrit et en vida le contenu dans ses poches. Contenue bien maigre. En attendant que tout le monde ai prit sa nourriture, le blond parti deja à la chasse d'un baton, il brisa 5 branches sur un tronc avant d'en récupérer une assez solide.

Voila, ce qui est louche c'est que je me balade sans arme, tout le monde me connait, brigand compris, ils savent tous que je suis militaire alors sans arme ils vont flairer l'arnaque.

Il est plus probable que les brigands se rejouissent de l'absence d'arme sur Jerone et surtout en profitent. Mais bon le blond et son fidèle chapeau de paille vissé sur le crane pouvais encore compter sur une arme, son fidèle moineau, deja dissimulé parmis les nombreux autres oiseaux, son rouge-gorge continant sa mission : Surveiller Lanna.

Mon Sergent, il va falloir faire des arcs et des flèches pour chasser et pour ça faut un couteau, on pourra aussi faire des lances pour chasser le gibier. Faut des pierres et de la corde, du lierre fera l'affaire ou toute plante grimpante et vivace. Faudra etablir un camp en foret pres de pontarlier et j'y resterais pour le garder pendant que vous patrouillerez à Pontarlier, je suis trop connu, si je me montre ça veut d'office dire Militaires présents.

Non, Jerone ne donne pas d'ordre au meneur, il le conseille, il est le seul à avoir combattu à Geneve dans l'équipe et possède donc bien plus d'experience que les autres dans ce domaine, il avait été chef de section lors de ce combat, seul en foret surplombant les portes de Geneve, il y a survécu 2 semaines sans mettre le pied au camp de base et si ça plaisait pas à certains membre de son équipe, le blond allait surement diriger la manoeuvre et faire office de référent pour le chef du groupe. Meme si il y a d'autre militaire experimenté dans l'équipe, Jerone est le seul à avoir vécu une vraie campagne.

Des rations pour deux jours? Deux jours. Ça signifiait que, bientôt, une demi-lune lorgnerait la bleue et sa bande, qu'il faudrait monter un camp et faire un feu, avec du bois humide. Nul doute qu'ils auraient froid et que sa pèlerine éraflée ne lui serait pas d'un grand secours. Aujourd'hui encore, la nue augurait de mauvais présages, avec ses nuages bas et ternes.

Mahaut restait plantée là, droite, circonspecte et interdite. Elle sortit de son songe en entendant quelqu'un - qu'elle n'avait jamais vu auparavant - prendre la parole d'un ton souverain, gesticulant de toutes parts, allant casser du bois à gauche, revenant discourir à droite. La brune esquissa un demi-sourire face au spectacle amusant de ce blond, chapeau de paille vissé sur le crâne, qui se pavanait éhontément en donnant ses ordres. Tiens, on n'avait pas dit que c'était le Sergent Spagnolo qui était aux commandes ?
Bref, quand il eu terminé son laïus, elle leva deux doigts discrets à hauteur de ses yeux, comme pour demander un droit de parole et dit doucement :

Sergent, je dois vous avouer que je n'ai que très peu compris l'intrigue de ce premier indice, si ce n'est qu'il nous fallait rejoindre Pontarlier. Mais je vous fais entièrement confiance et m'en remets à votre décision.

Lanna écouta attentivement la répartition des soldats dans les deux équipes. Elle comprit très vite qu’elle ferait partie de l’équipe verte avec comme chez de groupe ou meneur Sauveur. Lanna grimaça, elle espérait que le sergent ait oublié leur petite « altercation » en taverne.
Ce qu’elle mit plus de temps à comprendre c’était le fait que son papa ne serait pas avec elle lors de cet entrainement. Pourtant, il n’avait jamais été absent lors d’un entrainement avec elle. Il était toujours avec et derrière elle pour qu’elle donne le meilleur de ses capacités. Lanna fit sa mine boudeuse en regardant le Capitaine.
Pourtant au début lorsqu’on lui avait parlé de cette mission Lanna était très heureuse. Car enfin, elle pourrait montrer aux adultes sa spécialité : la survie. Et oui car la petite blondinette avait passé trois ans de sa petite vie auprès d’une louve qu’elle considérait comme sa maman. Depuis ce temps, Lanna avait appris à vivre dans la forêt ce qui lui donna un côté de sauvageonne et un très mauvais caractère.

Lanna alla déposer ses armes comme son papa l’avait fait auparavant non sans grogner. La petite blonde elle ne dit aucun bruit. Elle posa son épée qui était beaucoup plus petite que celle des autres soldats déjà dans la charrette. Elle posa ensuite sa dague, celle qui avait appartenus à sa maman. La blonde sentit un petit pincement dans sa poitrine, sa dague n’avait jamais été loin d’elle a pars quand son papa l’avait pris. Lanna s’apprêtait à déposer son couteau mais se ravisa. Son père le lui avait offert pour ses six ans et par contre celui là, jamais elle ne s’en était séparé. Et ça ne serait pas aujourd’hui que ça commencerait.

Après avoir posé son épée et sa dague, Lanna alla voir son papa et le serra dans ses bras.

On va faire la course de qui va gagner papa ?

Saffig les rejoignit peu après et lui tendit son arc.

Si c'est trop lourd, un de nos coéquipers costauds t'aidera.
Allons rejoindre le sergent Sauveur.

Mais Saffig j’suis forte moi je peux porter toute seule. Et t’oublies que j’ai fait plein de points pour les olympiades à l’arc.

Lanna regarda le signe que Saffig lui fit pour lui dire qu’elles devaient aller voir leur meneur Sauveur. La petite blonde fit un énorme câlin à son papa.

Si t’es pas dans mon iquipe ça veut dire que je te verrai pas pendant longtemps ?

L’idée pouvait être minime pour une personne adulte mais pour Lanna, sans son père elle n’était rien. Elle essaya quand même de ne pas montrer que l’initiative l’effrayait un peu, pour cela elle garda son beau sourire jusqu’au bout.

Tu viens Saffig on va avec Sauveur ?

Lanna prit son arc qu’elle mit en bandoulière sur son épaule et se dirigea vers le sergent Sauveur pour avoir les instructions sans oublier de faire un dernier au revoir à son papa avec la main.

J’crois que le sergent Sauveur bah il m’aime pas...

Loquace Nombre de messages : 920 Date d'inscription : 18/08/2013

Le capitaine parlant de sa voix puissante et imposante,le soldat dut lutter contre son esprit rêveur,habitué à laisser les pensées l'envahir de manières répétées quand cela le prenait,il n'écouta qu'à demi mots les consignes,ayant tout de même bien comprit qu'ils allaient devoir tenir deux journées dans la nature avec peu de rations pour chaque groupe et..désarmé,essayant de cacher son attitude rêveuse à ce petit matin ou l'air frais mélangé à l'odeur des pins mouillés des alentours procurait une odeur de nature et de fraîcheur propice à ceux qui aimaient la nature,pour une fois c'était bien l'un des rares exercices n'ayant pas lieu au sein de la forteresse,pour l'orléannais cela apparaissait comme une délivrance,il n'avait jamais aimé vivre entre quatre murs,cela pouvait lui procurer un sentiment d'isolement,de renfermement,c'était en cela que le jeune homme avait choisi l'aigle doré comme animal et symbole sur son écu,c'était aussi quasiment le même que portait son frère jumeau félix, retira l'épée de son ceinturon et alla la déposer à l'endroit indiqué avec son fourreau.

Revenant les bottes imprégnant l'herbe mouillée au sol vers rassemblement prés du sergent Sauveur et de ses frères d'armes,elias commença à se montrer plus loquasse,essayant de sonder l'enthousiasme du groupe et notamment celui de son supérieur,cette mission l'amusait bien,le sentiment de pouvoir battre la moitié de la garnison sur un jeu de survie devait être un véritable test,il fallait donc ne pas prendre de retard,mais plus encore,il fallait que tous les membres de l'équipe demeurent solidaires,la fraternité dans cette épreuve aurait-elle aussi un grand rôle à jouer,ce pourquoi sans avoir été très bavard jusque là elias s'était préparer à se montrer bien plus bavard et communicatif en portant l'uniforme qu'il ne l'avait été jusqu'à présent..du moins au sein de l'armée.

Un leger sourire sur ses levres tandis qu'il voyait jerone faire des allés et viens lui rappellant ce qu'il avait oublier, les armes pourquoi n'avait-il pas parler des armes? probablement parcequ'il considerait le fait normal et n'avait pas juger cela important grave erreur a ce qu'il paraissait.
Spagnolo pour aprouvant bien ses dires il remarquait que jerone etait plutot pressé chose qui ne les aiderait pas dans cette mission .
Ensuite vint le tour de la recrue mahaut qui prit elle aussi la parole se remettant a son jugement.

Se ballader avec un arsenal c'est pas discret non plus, nous nous contenterons sur le trajet juste d'un manche, cela devrait suffir , une fois que nous aurons rejoint la foret de pontarlier, nous pourrons construire nos armes.Nous avons de la nourriture pour deux jours ca suffit largement pour arriver a pontarlier du moins si il ne se trompait pas sur les carte j'ai un couteau dans mon sac de survie ca permettra de les construire , le lieutenant makita excellance archere sera tres utile a la chasse du gibier .
Il va de soit que nous construisons un campement a atour de la foret une fois arriver , mais il est hors de question que tu y reste seul.
Bon en tout cas nous avons deux jours de marche qui nous attendent alors ne cherchons pas de nous presser

Katarina regarda avec attention les noms des membres de son équipe, elle n'en connaissait que peu. En même temps, elle était civile, gouverneur certes, mais civile avant tout, et ne se rendait que très peu à la caserne, ne se sentant pas forcement à sa place. Elle suivait juste les débats à l'Etat Major. Vu qu'elle n'était pas que gouverneur mais aussi Greffière, poste qui lui prenait certainement le plus de temps.

Elle se dirigea vers le meneur de leur groupe et l'écouta attentivement. Elle avait eu le mot du sergent contenant leur indice. Elle arqua un sourcil, trouvant bien énigmatique tout cela. Mais elle était prête à suivre. Elle n'avait pas d'armes et les poches vides, rien à laisser dans la charette prévue à cet effet.

Le médecin-chef ,sans son barda médical se sentait pas trop à l'aise fallait le dire elle habituée à soigner ne le pourrait qu'avec l'aide de la nature ,qu'elle connaissait fort heureusement assez bien , regardait son équipe se former ,regarda et salua respectivement le lieutenant instructeur Saffig ,la recrue Sarani et les soldats Lanna ,leur mascotte ,qu'elle resterait toujours et son ami Elyas de Cheroy .

Puis discrètement tendit un sucre d'orge à Lanna et lui dit en souriant

Tiens ma chérie ça te donneras des forces supplémentaires mais ne dit rien et tu le mangeras en planque sinon on va se faire enguirlander toutes les deux !

Elle resta aux côtés de son équipe en attendant les ordres de leur chef le sergent Sauveur

Saffig voyait que Lanna ne semblait pas très rassurée à l'idée de quitter son père le temps de la mission. Elle lui posa une main qui se voulait rassurante sur l'épaule.

Tu vas pouvoir faire quelque chose de très important pour ton papa tu sais ? Tu vas pouvoir prouver à tout le monde qu'il a été un très bon enseignant avec toi, et que tu sauras bien te débrouiller grace à ce qu'il t'a appris.

Elle soupira lorsque Fredy tendit un sucre d'orge à la petite. Déroger aux règles dès le début, cela ne serait d'aide pour personne, surtout pas pour Lanna. Cependant elle ne dit rien.

Sergent Sauveur ? Par quoi commençons-nous ?

Lic0 écouta le monde parler, Il allait proposer de commencer quand Saffig le fit à sa place. Il était content d'être avec cette équipe. Il savait que les choses allaient bouger de place. Lic0 regarda Sauveur qui griffonna quelque chose sur du papier. Surement des notes ou un trajet. Seulement les équipes on été dites mais les ordres de mission personnes ne l'est connaissaient.

Content, Sauveur l'était. Il y avait dans l'équipe qui allait diriger beaucoup de personnes qu'il appréciait. Lorsqu'il se plaça de sorte à ce qu'il soit repérer par chacun et qu'il puisse, lui aussi, repérer les membres qui venaient à lui, il ne put s'empêcher d'avoir une pensée pour Loanne. Il aurait aimé partager cette aventure avec elle.

Petit à petit, les soldats arrivaient. Là, Saffig et Lanna, que Sauveur appréciait malgré leur petit accrochage un soir de taverne, plus loin Sarani, à qui le sergent s'était attaché depuis le terrible épisode de l'infirmerie. Il y avait aussi Freddy et Lic0, des amis de longues dates et surtout son cousin gringalet que Sauveur adorait taquiner et ça n'allait pas changer de si tôt.

La plupart des membres étaient présent et commençaient à se réunir autour de Sauveur. Un peu gêné, dans un premier temps d'être le chef d'une équipe qui comportait des personnes d'expériences tel que Saffig ou Lic0, le sergent se reprit en main. Il se plaça face eux, son sac au sol, entre ses jambes, prit un ton sérieux, se racla la gorge et débuta :

Bon bon bon... J'ai la chance de connaitre, plus ou moins, chacun de vous et je vous sais courageux et débrouillard. Le sergent jeta un rapide regard vers l'assistance et avec insistance vers son cousin, histoire de le l'embêter. Avant de continuer et de partager avec vous l'indice qui m'a été remis, je tiens à souligner un point qui me semble plus qu'important, surtout dans ce genre d'exercice. En fait, ce que je vais dire se résume en un mot : SO-LI-DA-RI-TÉ. Il est et sera primordial que chacun puisse compter sur son frère d'arme, que chacun puisse se reposer sur l'autre et surtout que chacun pense au bien commun avant le sien. En ce sens, je veux que nous nous considérions comme un seul corps. Si un membre est affecté, c'est l'ensemble du corps qui le ressent.

Après ses quelques phrases pleines de "sagesses" ou... pas, le sergent marqua un temps d'arrêt, histoire de voir les réactions de chacun. Ce n'était pas pour rien qu'il insistait sur ce point et ça, le groupe aura vite fait de le découvrir.
Avant de continuer, Sauveur sortit de sa poche un bout de parchemin et le lu à haute voix :

Citation :: Indice 1A : Des fuyards ont été mis en déroute en direction du SO de Vesoul, leurs traces ont été perdues à la lisière de la forêt, non loin d’une ancienne tour de guet.

Le sergent laissa un petit de réflexion à la troupe avant d’enchaîner.

Des suggestions ? Des idées ?

Fredy écouta le premier indice donné par leur chef le sergent Sauveur,elle réfléchit quelques minutes avant de dire des bêtises et se lança en avançant d'un pas

Sergent je suggererais que nous regardions tous bien la carte pour y reconnaitre le lieu avant de se lancer tous ensemble à leurs recherches !

Heu....... vous en avez une ?car nous ne possédons que le minimum ! lui dit elle taquine

Loquace Nombre de messages : 920 Date d'inscription : 18/08/2013

Le blond les yeux réveurs et figés vers un endroit que seul lui regardait conserva toute la fraîcheur d'écoute et de réponse de son esprit,il finit au bout de quelques instants par lacher du regard la chose qui l'obnubilait du regard et demeurait ainsi son plus grand mystére,écoutant instinctivement le laïus motivé de son jeune cousin à la barbe à peine rasée du matin et à l'uniforme chamarré par le vent ses gesticulations qui accompagnaient ses consignes le soldat commença à se montrer plus réactif,se retournant pour montrer un regard plus avenant aux autres membre de son groupe le blond prit le jeune pigeon entre ses mains et lui caressa le ventre de son doigt,le reposant dans sa petite cage il finit d'écouter les consignes de son sergent et lança du regard le ton calme et reposé par cette nature qui lui rengorgeait les poumons.

On peut manger le volatile si le sac ne tient pas les deux jours? Avec les herbes en fôret il y a de quoi se régaler,si on me le confie je jure de ne pas le cuire avant le crépuscule.

C'était un empressement naissant qui accourait dans les deux groupes depuis le signal du capitaine,l'envie de montrer sa valeur semblait faire partie de chaque corps et chaque âme des participants,c'était encore plus présent dans les groupes que dans les meneurs des deux équipes,ayant connu un pigeonnier tout petit elias adorait jouer avec tout ce qui avait des ailes,cela avait le don de restituer en lui un sentiment d'amusement,il espérait bien avoir à s'occuper du pigeon pour voir si son bras et sa plume n'étaient pas encore définitivement endormies.

Écoutant désormais de ses deux oreilles la question de la damoiselle qu'il connaissait maintenant depuis un bon moment l'orléannais sourit en coin,sans doutes le chef barbu avait une carte mais il faudrait dans ce cas que tout le monde fasse cercle pour pouvoir la lire,se retournant vers fredryanne qui attendait la réponse du sergent le blondinet lui posa une question qui l'amusait sur un ton amical suffisamment bas pour que le sergent ne puisse entendre.

Tu sais soigner dans la nature fredy? Si oui fais attention je risque d'être un peu casse cou,surtout avec le nerveux qui nous dirige,on dit que les femmes soignantes sont les plus précieuses je te salue donc mon amie.

Faisant une révérence surjouée le jeune homme avait l'âme à plaisanter ce matin,d'autant plus que pour fréquenter assiduement les tavernes il avait apprit nombre de dictons et d'histoires des plus passionnantes aux plus ridicules qu'il gardait pour sa personne sauf quand il désirait s'amuser ou faire des farces.

Il était en retard , décidément , toujours en retard partout. La faute à qui? Il était lent, voila tout.
Hochement de tête du brun à cette implacable constatation et regard rivé sur son groupe alors qu'il les rejoint, en petite foulée et tente de se faire discret. Il salue tout son groupe , impeccablement.

Qui connait il ? le lieutenant Saffig , tiens , a qui il décoche un sourire, heureux de ne pas être en terrain totalement inconnu. Elias également, boute-en-train de la taverne doloise est dans son groupe, toujours aussi bavard d'ailleurs.

Farpait !

Le sergent sauveur a pris la parole et révélé le premier indice.

Une tour de guet , des fuyards qui ont été perdu en lisière de forêt

Engueyran a une idée et évidemment , il faut qu'elle sorte, telle quelle

Et si simplement, nous nous tenions en lisière de forêt, et que nous lâchions les chiens sur les fuyards ? Munis de leur odorat puissant, ils nous conduirons jusqu'à eux.
Comment ça, nous n'avons pas de chien ?

Du haut de sa monture, il regarde tout l’Ost s’agiter pour l’entrainement, les indices circulent, ça participe plutôt bien dans l’ensemble. De son œil de Lynx, il parcourt l’assemblée, croise quelques visages dépités, déçus, ou tout sourire étrangement.

Intérieurement, il est hilare de voir les roublards, plus que désolé d’abandonner leurs armes. Ils sont là pour se souvenir des rudiments, apprendre à se connaître tous, les binômes par le plus grand des hasards sont pour la plupart scindé, ils vont être obligé d’apprendre à faire connaissance, partager leurs expériences et les nouveaux apprendre sur le tas. Bon la réglisse, on va faire genre, on a rien vu, elle n’a que six ans.

Le capitaine se rapproche des deux équipes:

Je serais de vous, je m'activerai, à la première pluie certains indices vont disparaître, ce sera difficile pour vous de retrouvez vos brigands. La première équipe qui déboulera sur l’indice suivant remporte un avantage sur l’autre, pensez-y !

Descendant de sa monture, il passe dans les deux équipes tour à tour:

Sergent Sauveur : Qu’avez-vous décidé ?

Sergent Spagnolo : Quelle direction comptez-vous prendre ? N’oubliez pas, que vous ne pouvez être vu de la population et encore moins des brigands.

Peut-être était-il temps de s'activer. Une patte après l'autre, car ils n'auraient que leurs jambes pour les supporter durant le voyage.
Pour l'heure, ils étaient à Dole. S'ils partaient en voyage d'agrément, avec des escales, la nuit, pour dormir, ils avaient trois jours de marche jusqu'à Grandson. Or le voyage était loin d'être d'agrément et ils avaient une journée tout au plus pour atteindre le lieu dit. Il était décidément grand temps qu'ils s'activent.
L'arrivée du capitaine, qui les toisait du haut de sa monture, devrait accélérer les choses.
La brune attrapa son bagage et le mis à son dos, enfilant la lanière devant sa poitrine, par-dessus son épaule d'un côté et sous son aisselle de l'autre, comme on porte un carquois.

Sergent ? Si vous le permettez, je pense qu'il faudrait nous rendre sur le nœud entre Pontarlier et Grandson. Là-bas la forêt est dense, et ça ne m'étonnerait pas qu'un groupe de coupes-gorge helvètes rôde pour détrousser les voyageurs.

Le blond fixa le capitaine avec un regard qui en disait tres long, le séparer de sa fille alors qu'il en est responsable, ça ne lui plaisait guère. Et que celui lui-là les pressa, le blond lui envoya une réponse assassine.

Faudrait deja que l'équipe soit au complet, on est pas censé etre 5 à ce que je sache.

Le blond prit son sac sur le dos et décida de partir, suivrons ceux qui le suivrons.

J'ouvre la marche, suivez moi et marchez dans mes traces.

Direction Pontarlier pour le blond qui allait couper à travers champs.

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