En tant que Franc-comtois.

Citation :

je note que votre suzeraine ne vous répond pas plus et ne vous aide pas plus que le reste de la FC. Je trouve cela bien étrange? Elle même pourrait aussi intervenir ici et vous faire taire.

Sourit, se dit que menacer hadrien n'est pas une très bonne solution.

Suzeraine oui et vassale aussi et ce qui se dit entre hadrien  et moi même relève du privé.

Bien, Sa Grandeur étant absente, j'aviserai demain sur la suite de la situation à prendre à votre demande.

En attendant, soignez votre langage vostre Altesse, le respect d'une personne, cela se mérite et cela passe également par un respect de l'interlocuteur.

Je m'en tiendrai à cette dernière intervention, je reviens vers vous demain avec une décision...

Hausse un sourcil.

Je crois m'être calmé, malgré votre abandon. Mon langage calmé et mieux contrôlé car ma fureur a baissée de niveau. De plus, la Franc-comtesse a déjà décidée. '' Par contre, si je ne note pas une amélioration de votre langage votre Altesse, je demanderai à votre suzeraine de faire quelque chose. '' Qui signifie en gros d'une perspective analytique : Surveiller language. Et c'est fait.

Un régent ne dispose pas de l'autorité de l'Empereur sur ses terres, ne dispose du droit que gérer le gouvernement. Donc, ne dispose d'aucun pouvoir de coercition sur les nobles. Sinon dans ce cas, c'est de l’usurpation de titre et de pouvoir.

Et si ca devrais arriver, je saisirai moi-même le Conseil Impérial et la Cour supérieure Impériale.

Le respect ne se mérite pas. Le respect provient du sang, du titre et de la puissance d'une personne ou des liens d'amitiés ou de rivalités.

Imladris est un ami, ca me concerne que lui et moi. De plus, c'est déjà affaiblis comme '' fleurissement du langage ''

La présidence de la Chambre des nobles ? Je ne respecte la respecte pas. Elle peut également ne pas me respecter, ca ne change rien à ma vie.

De plus, comment la Franc-comtesse est absente, quand elle est juste là ? Je viens de lui parler, il y a dix secondes...

Est-ce que le Vicomte de Chaussin et la Franc-comtesse étaient des sorciers ?!? Il commencait à être vraiment très inquiet... Le Vicomte était peut-etre fatigué.

De plus, comme dit, vu votre illégitimité à prendre cette décision, ce sera la Franc-comtesse LÉGITIME qui peut me sanctionner ou la Présidente de la Chambre. Pas le régent. Sinon, je devrais porter plainte pour une grave irrégularité structurelle.


Même si on sait tous, Monseigneur, que vous êtes le '' conseiller le plus écouté '' Celui qui dirige vraiment, ils le savent tous de la Franc-comtesse.

EDIT

Il décide de rédiger une petite lettre et de la donner. On comprendrait peut-etre enfin ce qu'il subis !

Citation :

À la noblesse de Franche-comté,

Je n'ignore pas que vous êtes parfois outrée, choquée, désespérée ou amusée pour ma vulgarité de plus en plus fréquente. Vous savez que normalement, je réussis à la digérer et que vous ne voyez pas celle-ci, uniquement mon comportement colérique habituel. Il faut dire que j'éprouve de nombreux ennuis ces temps-ci.

Ma femme à demandée la dissolution de mariage pour des raisons vraiment saugrenues, quand elle avait tout l'amour et tout ce qu'elle voulait.

Je suis extrêmement fatigué depuis un moment pour des raisons personnelles qui ne sont pas si importantes que ça, mais la somme de celles-ci est un poid important.

Je suis à Genève, si ils pourraient me torturer, ils le feraient. J'ai demandé de l'aide et je n'en ai pas reçu. Quand vous êtes ma famille, ma patrie, les miens, vous êtes autant franc-comtois que moi et c'est blessant. Surtout quand cet abandon provient de certains de mes amis, car ils préfèrent leurs visions politiques que leurs amitiés.

Je vous promet d'être plus courtois et plus respectueux, en essayant à nouveau de contrôler ma vulgarité que j'ai apprise sur les champs de batailles européens. Sauf que comprenez moi.

Je vous aime bien quand même, malgré que je sais que tous ne m'aiment pas.

Des gros bisous princiers,

Hadrien

secoue la tête en soupirant

Votre altesse, je ne parlais pas de sanction, je parlais de votre situation à Genève, mais comme vous n'êtes pas foutu de percevoir une volonté de main tendue pour vous sortir du mauvais pas dans lequel vous êtes, que voulez vous que je fasse...

J'envisageais d'écrire à Genève...mais vous semblez plus enclin, a craché sur une main tendue que sur vos ennemis de ce jour.

Fort bien, je prends acte, je laisserai à la Franc-Comtesse le bon soin d'apprécier votre situation à Genève et de voir si elle interviendra ou pas.

Je n'aime guère me faire cracher dessus, même par des mots, lorsque mes intentions étaient louables.

Le Vicomte de Chaussin et régent vous salue bien bas et vous souhaite un bon repos auprès du lac Léman...

Au passage manger des légumes, cela rend sympathique...

J'aviserai demain...et ce n'est pas parce que je suis amusé par votre situation que je ne suis pas sensible à celle-ci non plus...

Je prends acte de votre réflexion et apprécie de voir que son Altesse est en mesure de se remettre en question.

J'en ferais autant...mais je doute sincèrement payer une rançon...dans l'état actuel des choses ce serait mettre la FC dans un embarra financier important.

voici un courrier pour Genève

Citation :

A l'intention Curtis lemansky l'avoyer Genevois,
De nous, Riese, Franc Comtesse,

Nous prenons plume ce jour suite à une situation qui interpelle le Parlement Comtois et l'ensemble de la Franche-Comté.

Nous avons appris par courrier qu'un noble Comtois, ayant rejoint l'armée impériale lors du dernier combat, pour la reprise de liberté de votre cité, est tombé en vos murs et est retenu à vostre bonne garde.

Bien conscient que l'Empire a mené des exactions devant vos propres hommes, nous nous permettons, en tant que Comtois, et neutre dans la présente situation de guerre, de vous demander de respecter le noble comtois comme nous avons respecté l'ensemble des brigands Genevois ayant été mis en procès pour leur exactions.

Toutefois, nous ne nous opposons donc pas à un procès légitime et en bonne et due forme du présent comtois retenu en otage à condition que ses droits les plus fondamentaux soient respectés, afin qu'il puisse se défendre dans de bonnes conditions.

Nous vous demandons, toutefois, en vue de rapports cordiaux à venir entre nos terres, de tenir compte du caractère franc-comtois de cet homme, resté sur Genève pour des affaires, autres, que guerrières.

Entendez par là, la non agression de nos armées en vos terres, malgré les nombreux appels aux armes reçu.

A vous lire donc.

Faict à Dole
Le 27 octobre de l'an de grace 1461

Bien le sujet, est ouvert et cela n'est pas plus mal. Voici une proposition reçue par le Régent pour ce genre de cas. Ce dernier demande de voir et de dire ce que nous pensons de cela. J'affiche cela aussi au parlement, vu qu'il y'a peut être une signature de traité. Il faut m'excuser ma traduction n'est pas toujours fiable à 100%

Comyr a écrit:

I pass a proposal of Geneva for international rules of fight.
Passing this proposal is part of the approach to one another.
It isn't a draft for a treaty with them, more a draft for all european states. Obviously in my opinion this would only make sense, if there are many contractors.
It also has already seen weak points - that make it look like as it is made for helping robbers and criminals by calling himself "resistance".
I don't agree in that point - others are in my eyes worth an open discussion.

Citation :

Geneva Convention relative to the Treatment of Prisoners of War

Entry into force on the first day of June 1458
Adopted by the Diplomatic Conference to come
for the Establishment of International Conventions
to protect victims of war,
meeting in Geneva

Preamble

The undersigned Plenipotentiaries of the Governments represented at the Diplomatic Conference held in Geneva to establish a Convention relative to the Treatment of Prisoners of War,
have agreed as follows:

First Article.

The High Contracting Parties undertake to respect and to ensure respect for the present Convention in all circumstances.

Second article.

Outside the provisions which shall be implemented in time of peace, the present Convention shall apply to all cases of declared war or of any other armed conflict which may arise between two or more of the High Contracting Parties, even if the state of war is not recognized by one of them.
The Convention shall also apply to all cases of occupation of all or part of the territory of a High Contracting Party, even if the said occupation meets with no armed resistance.
If one of the Powers in conflict may not be a party to the present Convention, the Powers who are parties thereto shall remain bound by it in their mutual relations. They shall furthermore be bound by the Convention in relation to the said Power, if the latter accepts and applies the provisions thereof.


Third Article.

A. Are prisoners of war, in the sense of this Convention, persons belonging to one of the following categories, who have fallen into the power of the enemy:

1. members of the armed forces of a Party to the conflict as well as members of militias or volunteer corps forming part of such armed forces;
2. Members of other militias and members of other volunteer corps often commonly called "bandits" by the other Party, including those of organized resistance movements, belonging to a Party to the conflict and operating inside or outside their own territory, even if this territory is occupied, provided that such militias or volunteer corps, including such organized resistance movements, fulfill the following conditions:

a) that of being commanded by a person responsible for his subordinates;
b) having a fixed distinctive sign recognizable at a distance;
c) carrying arms openly and consist single group, an armed group, spear and army;

3. Members of regular armed forces who profess allegiance to a government or an authority not recognized by the Detaining Power;
4. persons who accompany the armed forces without actually being members thereof, such as military pigeons, war correspondents, army contractors, members of labor units or of services responsible for the welfare including luxury, military, provided they have received authorization from the armed forces which they accompany, they are required to issue them a license for this purpose;
5. crew members of the merchant marine of the Parties to the conflict;
6. the population of a non-occupied territory who, on the approach of the enemy spontaneously take up arms to resist the invading forces, without having had time to form themselves into regular armed forces ig, if it carry arms openly .

B. Also benefit of prisoners of war "of the armies ig" treatment: Namely, they can not be put on trial IG, tortured, starved, impaled, reduced to the status of leisure for the soldiers in rut, where their frames, reduced to the status of a minor or other treatment contrary to the book of virtues.

For peace, perpetual understanding between peoples, under the gaze of Deos, signed and sealed by the treaty participants that blessed day.

Citation :

Je passe une proposition de Genève pour les règles internationales de lutte.
L'adoption de cette proposition s'inscrit dans le cadre de l'approche de l'autre.
Ce n'est pas un projet de traité avec eux, plus un projet pour tous les Etats européens. Évidemment, à mon avis, n'aurait de sens que si il ya beaucoup d'entrepreneurs.
Il a aussi déjà vu des points faibles - qui font qu'il ressemble comme il est fait pour aider les voleurs et les criminels par lui-même "résistance", appelant.
Je ne suis pas d'accord à ce moment-là - d'autres sont à mes yeux une valeur d'une discussion ouverte.

Citation :

Convention de Genève relative au traitement des prisonniers de guerre
Entrée en vigueur le premier jour de Juin 1458
Adoptée par la Conférence diplomatique à venir
pour l' élaboration de Conventions internationales
pour protéger les victimes de la guerre,
réunion à Genève

préambule

Les soussignés, Plénipotentiaires des Gouvernements représentés à la Conférence diplomatique tenue à Genève pour établir une Convention relative au traitement des prisonniers de guerre ,
Sont convenus de ce qui suit:

Premier article .

Les Hautes Parties contractantes s'engagent à respecter et à faire respecter la présente Convention en toutes circonstances.

Deuxième article.

En dehors des dispositions qui doivent être mises en œuvre en temps de paix , la présente Convention s'applique à tous les cas de guerre déclarée ou de tout autre conflit armé surgissant entre deux ou plusieurs des Hautes Parties contractantes , même si l'état de guerre n'est pas reconnu par l'un d'eux .
La Convention s'appliquera également à tous les cas d'occupation de tout ou partie du territoire d'une Haute Partie contractante, même si cette occupation ne rencontre aucune résistance militaire .
Si l'une des Puissances en conflit n'est pas partie à la présente Convention , les Puissances parties à celle- ci resteront néanmoins liées par elle dans leurs rapports réciproques. Elles seront liées en outre par la Convention envers ladite Puissance, si celle -ci en accepte et en applique les dispositions .


Troisième article .

A. Sont prisonniers de guerre , au sens de la présente Convention , les personnes appartenant à l'une des catégories suivantes, sont tombées au pouvoir de l'ennemi :

1 . les membres des forces armées d'une Partie au conflit ainsi que les membres des milices et des corps de volontaires faisant partie de ces forces armées ;
2 . Les membres des autres milices et les membres des autres corps de volontaires souvent communément appelés «bandits» par l'autre Partie, y compris ceux des mouvements de résistance organisés, appartenant à une Partie au conflit et agissant à l'intérieur ou en dehors de leur propre territoire , même si ce territoire est occupé , pourvu que ces milices ou corps de volontaires, y compris ces mouvements de résistance organisés, remplissent les conditions suivantes:

a) d'avoir à leur tête une personne responsable pour ses subordonnés ;
b ) avoir un signe distinctif fixe et reconnaissable à distance ;
c) porter ouvertement les armes et se compose seul groupe , un groupe armé , lance et de l'armée ;

3 . Les membres des forces armées régulières qui se réclament d' un gouvernement ou d' une autorité non reconnus par la Puissance détentrice ;
4 . les personnes qui suivent les forces armées sans en faire directement partie , tels que les pigeons militaires , correspondants de guerre , sous-traitants de l'armée , membres d'unités de travail ou de services chargés du bien-être , y compris de luxe , militaire , à condition qu'ils aient reçu l'autorisation des forces armées qu'elles accompagner , ils sont tenus de leur délivrer un permis à cet effet;
5 . Les membres de l'équipage de la marine marchande des Parties au conflit;
6 . la population d'un territoire non occupé qui, à l' approche de l'ennemi , prend spontanément les armes pour combattre les troupes d'invasion sans avoir eu le temps de se constituer en forces armées régulières ig , si elle porte ouvertement les armes .

B. bénéficient également des prisonniers de guerre "de l' armée ig" traitement : savoir, ils ne peuvent pas être mis à l'essai IG , torturée , affamée , empalé , réduit à l'état de loisirs pour les soldats en rut , où leurs cadres , réduits à la situation d'un mineur ou d'autres traitements contraires à l'ouvrage de vertus.

Pour la paix , la compréhension perpétuelle entre les peuples, sous le regard de Deos , signé et scellé par les participants traités que le bienheureux jour.

Merci Votre Grandeur pour ce très bon courrier ! j'ai exprimé mon opinion au parlement ,approuvant totalement ce texte !

techniquement on applique déjà une partie de cette convention... donc en théorie elle ne pose pas de problèmes pour nous.

je ne sais plus pourquoi on avait refusé de la signer à l'époque par contre...

Hadrien a écrit:

Signer un truc avec eux, c'est vraiment signer ?

Sur certains de leurs textes, généralement oui. Le texte en question est un texte de principe pour eux

Par contre les conventions de type militaire, il ne vaut mieux pas les signer... Car ils seront jetés dans des latrines quand ça ne sert pas l'intérêt de l'un ou de l'autre

D'ailleurs, ton vassal devrait avoir ça en tête en négociant avec Sanctus

Citation :

Ce jour, un de nos combattants a été relaxé par la cour de justice de Lorraine. Nous prenons acte de ce geste de la part de l'Empire, qui rapproche nos peuples respectifs de la paix et de la bonne entente. Bien que les combattants genevois en Lorraine et en Augsbourg aient écopé déjà de plusieurs peines, tâté du cachot et essuyé force amendes et quolibets, et parce que nous n'agissons pas dans un esprit de vengeance mais de concorde, la République de Genève relâche ce jour le soldat lorrain Zeiss. Dès que les autres conditions que nous avons posées seront satisfaites pour nos soldats en Lorraine, Enzo sera libre à son tour. Toutefois, s'il veut que nos peuples veulent un jour trouver la paix, nous l'encourageons vivement ce dernier à renoncer à son soi-disant titre de Comte de Genève, qui est tromperie et calembredaine.Les trois autres soldats impériaux présents à Genève, à savoir :

-Elecktra
-Hadrien Marcus
-Hobb

Seront libérés dès que nos soldats captifs dans le duché d'Augsbourg seront libérés de toute accusation judiciaire, retirés définitivement des listes dressées par les armées impériales, et que la Convention de Genève sera ratifiée.

Le Consistoire de la République de Genève, ce vingt-septième d'octobre 1461

Citation :

Au régent,
aux prétendants au trône impérial,
aux autorités des duchés de Lorraine et d'Augsbourg
à tout ceux qui liront ou se feront lire la présente,

Annonce fut faite par la République souveraine de Genève qu'elle retiendrait les soldats impériaux tombés lors de la bataille de Genève, et ce tant que les conditions suivantes ne seraient pas satisfaites:

- abandon des peines allant à l'encontre des soldats genevois, dans le cadre des actions militaires
- ratification de la convention de Genève.

A l'heure actuelle quelques étapes ont été franchies.
Néanmoins, à ce jour, le sort des Genevois détenus par le duché d'Augsburg n'est toujours pas définitif.
Aucune annonce émanant des autorités de Lorraine n'est parue quant à l'annulation des peines déjà prononcées. Si la convention de Genève a été présentée en Diète impériale, aucune ratification ne semble cependant être à l'ordre du jour.

Parce que ces élections à venir sont susceptibles de changer les interlocuteurs concernés, parce que les patries et les foyers des deux camps manquent aux combattants des deux camps, parce qu'au temps des palabres et de la réflexion doit succéder celui des actions concrètes, et enfin parce que les meilleures choses ont une fin,

Nous faisons solennellement savoir à l'ensemble des acteurs en présence, que si nous n'avons pas de nouvelle avant le 15 novembre prochain, nous considérerons que les négociations sont rompues et appliquerons la loi du Talion.

le consistoire de la République de Genève, ce douzième jour de Novembre 1461

Voilà une bonne nouvelle. L'escorte impériale va traversé la FC et vous avez aussi vu je pense le courrier de Louis Track

Citation :

De Nous, Louis Track de Lioncourt, Capitaine de l'Escorte Impériale,
A Vous, Riese, Franc Comtesse,

Salutations.

Nous vous informons que conformément à la décision du Régent Comyr, trois genevois sont libérés, et vont rentrer chez eux. L'Escorte Impériale va les raccompagner dans une dizaine de jours.
Comme vous pouvez l'imaginer, l'Escorte passera donc par vos terres. Nous vous informons qu'ils sont sous la protection de l'Empire, conformément aux accords passés, en vue des négociations pour la Paix.

Cordialement,

Fait à Epinal, le 09 novembre 1461

Louis Track de Lioncourt.

Louis track alias le gaucher avec un groupe arme escortant trois brigands connus et reconnus a nos portes ...

Qu'on fasse en sorte de faire au mieux pour respecter les directives du régent mais en protégeant nos villes !

S'il fait quoi que ce soit, le régent en sera avisé de toute façcon

Oui bien sur. Mais je préfèrerais qu'il soit contré et puni pour tentative de que d'arriver a ses fins et puni.

Nos villes n'ont pas besoin de ça.

Ils traversent le comté sur ordre du régent donc je ne vois pas l’intérêt qu'ils auraient de faire quelque chose tant qu'ils sont en mission impériale.

Vu la façon dont il a menacé les relations avec la lorraine juste par ego, je ne suis sur qu'il ne puisse pas envisager de risquer même en mission impériale...

Après je dis juste prenons nos précautions. J'ai pas dit de préparer l'échafaud. Juste de mettre quelques gardes en plus...

Citation :

Juste de mettre quelques gardes en plus...

Allez donc dire cela au bailli, vous allez voir ce qu'il va vous répondre

On bah moi je dis ça ... C'est juste un avis. Je connais les contraintes et je n'ai pas a savoir les détails de la gestion sécu.

Cela dit si j'ai l'itinéraire et les dates je veux bien me mettre en défense dans une ville.

Pour quelle raison, le bailli n' est pas responsable de la sécu... C'est nouveau ça?

Il ne gère pas la sécu, mais c'est lui qui allonge l'argent, et qui dit plus de sécu, qui dit plus d'argent.
Sinon, je doute qu'il ait le culot d'agir tant qu'il sera dans le giron impérial...

Question de calcul et de dépenses qui paraissent quelques peu exagérée par le pôle économique, surtout en situation comme celle du moment...

je vous developperai bien un bilan , mais ce n'est ni le lieu, ni l'endroit...

S'ils font quelque chose, le régent réagira vue que c'est lui qui les envoie, et je doute pendant les élections qu'il ne réagirait pas advenant le cas...