[RP] Que fera la Franche-Comté face à...

Oui eh bien je veux pas dire, mais l'empire semble gigoter un peu. Que compte faire la Franche-Comté face à ceci:

Texte originel:

C'est en anglais, je ne prendrai pas la peine de traduire, c'est assez clair il me semble, mais je vais quand même résumer. Des helvètes pas content se sont rassemblés en Berry, au nombre de 80 selon les services de renseignement impériaux ainsi que berrichons. Ils marchent sur l'Empire et ont menacés le Lyonnais de les détruire s'ils leur barraient la route. Les helvètes sont donc en marche et veulent à mon avis récupérer leur confédération libre et forte. Cameliane entre autre commande l'une des trois armées qu'ils ont assemblés. Le régent impérial appelle donc le ban à se lever afin de servir l'Empire et met en garde qu'ils ne toléreront pas la passivité.

Ma question est donc d'ordre général, qu'ont envies de faire les comtois sachant que la politique impériale vis à vis de la CH et plus particulièrement de Genève ne nous a causé jusqu'ici que des ennuis? Que compte faire notre Franc-Comte fraichement élu - félicitation au passage - vis a vis de cette situation?

Et parce que je ne suis pas du genre à me taire et que je n'ai pas forcément envie de me taire et que tenter de me réduire au silence par le menace n'est pas la meilleure manière d'obtenir mon silence, je joins à cette petite altercation ma lettre d'abdication que j'ai également fait parvenir à l'hérauderie. Je ne souhaite pas servir un homme qui dénonce des amis chers dans une salle sous la protection du Franc-Comte, qui menace mes amis proches et serviteurs tel qu'Haynard parce qu'ils ne respirent pas le même air que lui et qui en plus se permet de me donner des avertissements lorsque je tente de m'exprimer librement comme le garantie la constitution comtoise. Hop, ça c'est fait.

Lettre d'abdication:

Jette ses blasons et autres au milieu de la rue, une seigneurie, il aura la chance d'en trouver ailleurs.

Maintenant que je peux parler librement sans risquer la menace de destitution de la part de mon suzerain, cet empereur de ]hum hum] nous cause beaucoup de maux ces temps-ci et j'ai envie de dire que si ces brigands déferlent sur la Franche-Comté, c'est nous qui allons y gouter à la place de l'Empereur. Que fait-on?

J'accuse réception de votre désire de me traduire en justice pour trahison devant la cour impériale votre altesse, mais je vois mal ce qu'ils feront de plus. Je n'ai rien de plus à leur donner. Oh si, un poste de "poursuivant". Je me verrai fort déconcerté en effet. Le plus ridicule dans l'histoire, ce ne sera pas moi soyez-en sûr.

D'ici notre belle entrevue avec le juge votre altesse lèche-c**, vous n'êtes pas le centre de l'attention ici. Ce qui m'intéresse c'est l'avis du peuple comtois, de ses représentants et autre quant à cette belle menace qui plane sur notre tête.

Vous vous emportez votre altesse, vous vous emportez. Ce n'est pas digne d'un Duc Impérial ou d'un Prince du Luxembourg. Nous règlerons tout cela devant la cour impériale puisque c'est un fait.

Passons, c'était une grande libération pour moi, mais pas le centre du sujet.

Personnellement, je fais des efforts pour comprendre et apprendre sur les choses que je ne sais pas, au risque de me tromper parfois et de me faire rabrouer par d'autres. Il y a quelques années je ne comprenais rien aux politiques comtales, royales et impériales. Aujourd'hui je suis en mesure de voir un peu plus loin avec une lanterne certes faiblement éclairée mais je n'ai de cesse de chercher chez des gens une meilleure lanterne.

Pour votre part, vous avez la science infuse. Vous êtes la bonté et la grâce incarnée. Je suis sarcastique bien entendu car jamais je ne vous ai vu faire le moindre effort pour régler vos problèmes de vulgarité et votre tempérament colérique. Chacun ses problèmes comme on dit.

Une dernière fois, ce n'est pas le centre du débat et si vous continuez d'être ainsi vulgaire, je demanderai aux patrouilles de l'agora (Intendance) de soigner votre langage si nécessaire.

Il réfléchit. Un instant. Deux instants. Trois instants. Il lève légèrement l'oreille pour sonder attentivement les paroles. Hm. Hm.

Quel trouillard. Il se sauve encore du duel.

Voici comment fonctionne Devilfred : On prend un air féroce, on gueule toute la crotte qu'on veut, ensuite, on insulte tout ce qui ne va pas comme bibi le souhaite. Finalement, quand il est le temps d'être adulte, on se sauve.

Il est sidéré. Il a enfin compris ce que tant de gens disaient sur son vassal. M'enfin, c'est pas le seul. Les gens parlent souvent contre certains de ses vassaux. Ça fonctionne ainsi la vie. On peut pas aimer tout le monde.

Hadrien lui il est détesté par les criminels, les helvètes, les indépendantistes, les fous, les félons, les traîtres et quelques autres personnes.

Devilfred a seulement franchit la porte qu'il voulait tant franchir.


A votre différence, trouillards, j'ai grandis sur les champs de batailles. J'ai combattu pour le Ponant contre le Royaume de France pendant très longtemps. C'était pas du charge-fuite contre les brigands. C'était de la vraie baston.

Les militaires parlent avec une grande vulgarité, sauf quelques militaires qui n'ont absolument pas l'air de soldats, mais d'étudiants trouvant qu'une épée et crier baston, c'est vraiment trop amusant.

Que la trahison s'est vraiment trop amusant, que contester tout ce que les autres font car on est encore puéril ou qu'on est des parias, c'est vraiment trop amusant. Désolé, je fonctionne pas ainsi.

Ma vulgarité vous déplait ? Écrivez une missive à ma mère. Dites lui de me faire chercher un percepteur pour ma vulgarité.

En ce qui concerne ma science infuse ? Désolé, je ne l'ai pas. Je ne suis pas bon, je ne suis pas gracieux. Je ne parle pas de stratégies militaires, je ne m'y connais ps. Je ne parle pas d'économies, je ne m'y connais pas.

Vous vous parlez de tout ce que vous voulez, quand vous avez une connaissance nulle. Donc de fait, c'est vous qui croyez avoir la science infuse.

Moi, je connais les sciences politiques. Je connais la diplomatie. Je connais le droit. M'enfin, je connais bien la logistique militaire, j'ai ça dans le sang. Je ne parle pas de ce que je ne connais pas.

Par contre, insultez l'Empereur, c'est de la trahison. Vous dites aimez la Franche-comté ? La Franche-comté était dans l'Empire quand vous étiez encore...inexistant dans votre paternel. CA, c'est la Franche-comté. Dans l'Empire. Avec l'Empire.

Vous jouez qu'aux braillards, aux geignards qui veulent que tout soit cuit dans leur bouche. Qu'ils veulent que rester dans leur coin.

J'ignore comment fonctionne votre tête, mais j'ai suffisamment de connaissances médicales pour savoir, que vous faites fausse route.

Bref, bon vent pour un vassal félon et incapable d'honneur et de se battre quand il doit se battre. J'applaudis.

Je vous laisse discuter entre furieux, parias, traitres, félons et tout ce que vous voudrez. Je suis certain que toute personne venant ici n'est pas traitre.

Il y a des gens curieux qui veulent discuter par sociabilité. Donc qu'eux me pardonne. Vous ? Tout vous reviens trois fois au visage quand on fait une mauvaise action.

Bon matin et amusez-vous bien dans vos enfantillages.

Et ps, j'adore ceux qui refusent les duels. Tout le monde s'en souviendra. Et je le rappellerai à chaque fois que je le peux, comptez sur moi. Le peuple a le droit de le savoir.

Il fait un grand geste de la main au pseudo-ancien vassal, lèche-cul pour les titres. Un jour, il décidera d'en parler et de le prouver. Les gens verront bien le visage de Devilfred, le geignard petite-victime assoiffés de grands titres et hypocrite.

Tout le monde savait que Hadrien était colérique, grognon, quelques fois arrogants, mais populiste. Son programme royal le prouvait. Son programme sur les plébiscites le démontraient avec toute la force du plébiscite, l'arme du peuple.  Il se savait également vulgaire. Certains verraient en lui un politicien, mais ceux connaissant son histoire et le refus de nombreux titres seraient que c'est parce qu'il aime travailler dans l'État et pour l'État.

Bref, il partait. Attendait avec impatience des directives de la HR et de l'Empereur pour le petit Devilfred qu'il laissait dans son berceau. C'est une métaphore.

Pour répondre à Devilfred, nous sommes au courant du problème et nous avons déjà prise des mesures sous la fin de mon règne.

Donc les comtois agiront si on nous force à agir

Quant à ce que fera l'Empire ou pas, le staff impérial n'a pas invité les régnants comtois, lorrains ou savoyards pour la coordination donc je suppose qu'ils feront leur popotte dans leur coin et avertiront les comtois au dernier moment comme d'habitude.

Pour le reste, Hadrien, il n'y a rien à traduire en terme de trahison. Les coutumes comtoises autorisent la liberté d'expression et l'Empereur lui-même a fait sa campagne sur le respect des coutumes provinciales.

Hadrien, je n'ai reçu aucune missive donc je ne peux parler sur des courriers privés me semble-t-il.

Donc en tant que comte, je n'apprécie pas le lèse-majesté mais je ne suis pas homme à lire les courriers qui ne me sont pas adressés

en effet, les disputes privées ne regardent pas...

Hadrien, tu me demandes où je suis pour défendre l'Empire... J'ai répondu positivement à la demande d'auxilium de Comyr...

Donc j'attends les réponses de Ranian et je serais mobilisé. Je ferais mon devoir.

J'aimerais demander à l'Empereur pourquoi il nous tient à l'écart de la coordination.

Nous risquons nos propres hommes dans l'affaire, de braves combattants, il ne me parait pas anormal que nous puissions de ce fait participer aux discussions y affairant. Nous tenir à l'écart comme fait actuellement, si je comprends bien, est insupportable. Quoi qu'il en soit, je vais d'abord voir de mes propres yeux ce qu'il en est avant de m'avancer.

Actuellement, je n'accuse rien, je m'informe. Aussi mes requêtes maintenant à l'empereur seront des questions sur la situation actuelle.

Le connetable a demissionné de son poste de grande enquetrice depuis un moment( voir mon courrier posté la bas du 23 juin) mon dernier passage au conseil de securité date du 20 juin alors j'avoue que je ne comprends pas que l'on dise que je suis passée la bas ce jour pour parler du dossier actuel.

Toutefois si je dois reprendre du service provisoirement au conseil de sécu avec la lorraine et la savoie pour un bonne coordination je le ferais.

Dernier Point, ce n'est pas l'endroit ici pour parler de la securité qui est ou sera mise.

encore une fois, parler de stratégie, et comment elle sera mis en place, je pulsoie vos dires, à l'inverse, il est légitime que le citoyen comtois s'interroge sur la question et attendent de ses conseillers ce qu'il est prévu.

Messire Devilfred ne fait que demander si la FC agira, regardera, restera passive, il ne demande pas à quel mesure précise elle interviendra pour autant...

Sur ce sujet,je ne peux repondre nous venons juste tous d'arriver au conseil parlementaire et il nous faut prendre nos marques.

Il y a beaucoup trop de courant d'air ici pour definir quoique ce soit.

Mais les décisions doivent être rapidement prises.
J'attends actuellement de recevoir mes clefs dans les institutions Impériales et de rencontrer les hauts dignitaires.

Passant en grignotant un épi de maïs prélevé dans sa réserve, histoire de s'occuper les mandibules à défaut de satisfaire sa soif d'apprendre des tas de choses intéressantes, la déchue se mit à rire, à rire, à rire...Tellement qu'elle sortit en toute hâte pour foncer aux latrines avant de revenir dans la salle, calmée.
De loin, elle adressa à Devilfred un large sourire. Il avait quelque chose dans les braies, lui, et elle espérait bien que là où elle avait échoué, lui, il y arriverait...Redresser l'honneur comtois, bafoué, rebafoué, re-rebafoué, par des cohortes de cloportes prêts à tout pour sauvegarder leurs petits privilèges

Au cri enthousiaste du jeune soldat, elle ne put s'empêcher de lever les sourcils, étonnée qu'on puisse encore y croire...

je pense comme Confucius....quand les galinettes cendrées auront des dents, on verra peut-être les comtois dans les échauguettes !...quand il ne faut pas y aller, ils y vont....Alors maintenant qu'il faudrait, ils n'iront pas !...Mais c'est beau d'avoir une telle foi !...Bonne chance, jeune homme !...