[Clos-Coupable] TALP (loi martiale) : Trustmahyzen [26/01/1461]

12 Janvier 1461

Trustmahyzen est accusé de trouble à l'ordre public en étant présent en Franche-Comté sans laissez-passer au 12 janvier 1461 et ayant été préalablement averti au 6 janiver 1461.

Citation :

Informations sur Trustmahyzen


Créé(e) le 09 Février 2012

Trustmahyzen fête son anniversaire le 01 Janvier.

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Dernière adresse connue
Pays : Royaume de France
Comté/Duché : Duché de Bretagne
Village : Rennes

Niveau : 1
Points de réputation : 38
Argent : 82

Trustmahyzen possède un culture du maïs.

Dernière connexion le 12 Janvier 2013

Son parrain : Vivlyne

Dossier

Acte d'accusation :

Citation :

*Une soirée sous le thème de la loi martiale...

Le Procureur s'avança à la barre.*

Votre Honneur,

le 5 janvier de cet an 1461 a été déclaré la loi martiale, qui je le rappelle laisse 48 heures, à partir de la date du courrier envoyé par la Prévôté, aux étrangers pour quitter le territoire s'ils n'ont pas de laisser-passer, ou n'en obtienne pas un durant le délai laissé.

Messire Trustmahyzen, étant toujours présent sur nos terres, sans laisser-passer et prévenu le 6 janvier 1461, est donc accusé de trouble à l'ordre publique...

Fait à Dole, le 16 janvier 1461.

Signé : Artifice d'Ollivaud, Procureur de Franche-Comté.

Citation :

Première plaidoirie de la défense

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

La défense a appelé Trustmahyzen à la barre
Voici son témoignage :

Citation :

*Le jeune homme vint se présenter au tribunal après avoir reçu la convocation à son auberge à Dôle, l'air quelques peu inquiet mais plutôt serein dans l'ensemble, il écoutait l'acte d'accusation, attendant tranquillement son tour pour répondre, une fois que le juge lui accorda la parole, le voila qui s'exprime sur un ton à la fois calme et sérieux, tout en fixant celui-ci (le juge) dans les yeux, le genre de regard qui peut vous mettre mal à l'aise si vous plongez également votre regard dans le sien et que ceci dure plus de dix secondes*

- Bonjour votre honneur, et bonjour tout le monde.

Il est clair que je suis mis en accusation aujourd'hui à cause de mon lieu d'appartenance, à savoir la Bretagne, les étrangers ne sont donc pas les bienvenus en Franche-Comté, cela, je peux le concevoir, et ainsi je comprends parfaitement ma mise en accusation, surtout après avoir reçu un courrier de la prévôté me demandant de faire l'acquisition d'un laissez-passer que j�admets avoir ignoré.

Maintenant que les faits sont établis, je vais me justifier devant la cour, croyez le ou non, Dôle est pour moi un lieu d'appartenance, je suis aujourd'hui mis en accusation parce qu'officiellement je suis "installé" en Bretagne, mais ma vie est ici, je suis là depuis bien plus longtemps que Janvier 1461. Cela fait plus de six mois que je suis ici, les raisons de ma présence? Une future installation ainsi que l'attente d'une très vieille amie à moi qui revient d'une quête, peut-être la connaissez-vous, il s'agit de dame Vivlyne.

Sachez que je suis ici en paix et que non seulement je compte m'installer ici (dès que j'aurai trouvé une escorte pour aller chercher mes biens à Rennes, la capitale de Bretagne) mais aussi que je contribue d'une manière positive et engagée à ce cher comté de Franche-Comté en allant chaque jour travailler très dur à la mine de fer se trouvant au nord-est de la capitale. J'espère que vous comprendrez ma situation et que votre clémence est à la hauteur de l'accueil que l'on me fait depuis plusieurs mois à Dôle.

Si ce n'est pas le cas, je suis prêt à subir les conséquences de ma présence, je m'en remet à vous, sans aucune réserve. Tout en espérant que le sens de la justice soit respecté que que vous sachiez reconnaître l'un des vôtres, même si "officiellement" il ne l'est pas encore.

*Le jeune homme à la cicatrice au front se recula d'un pas, laissant la parole à qui voulait la prendre, il arrêta de fixer le juge et baissa légèrement la tête, puis s'assit à sa place, et releva la tête l'air à la fois calme et préoccupé.*

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :

*Le Procureur s'avança à nouveau à la barre*

Votre Honneur,

au vu des explications, nous demandons qu'un témoin dolois puisse témoigner de la bonne foi de l'accusé.

Sans ça, nous demandons qu'il soit juger coupable pour avoir ignorer le courrier de la Prévôté avec une simple amende de 10 écus.

Fait à Dole, le 21 janvier 1461.
Signé : Artifice d'Ollivaud, Procureur de FC.

La défense a appelé Allhia à la barre
Voici son témoignage :

Citation :

*Allhia s�avança à la barre. Elle était consciente d�avoir préparé des tas de dossiers, mais elle ne pouvait pas laisser son ami dans le pétrin, surtout qu�elle n�avait pas remarqué que le nom de son ami faisait partie du lot� *

Madame la juge, monsieur le procureur,

Ce que dis mon ami ci-présent, Trustmahyzen, communément appelé Slaine, est vrai. Il est en ville depuis très longtemps et participe activement à la vie en taverne. J�ai même un portrait de lui dessiné au charbon dans ma collection, pour un projet futur. Si vous voulez le voir, il est très représentatif.

L�accusé ci-présent n�est pas dangereux et je suis prête à le prendre sous ma responsabilité. Désolé de vous avoir fait perdre votre temps avec ce dossier.

Bien à vous,
Allhia

Citation :

Dernière plaidoirie de la défense

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Le juge va rendre son verdict

Enoncé du verdict

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.

Citation :

*La jeune juge écouta les explications et pris rapidement la parole afin de rendre son verdict*

Bien,

Au vu de l'acte de trouble à l'ordre public
Au vu des faits qui sont reprochés à l'accusé d'être resté sur nos terres malgré la loi martiale et s'en demander de LP
Au vu de la défense du prévenu

Nous, Ilays de Monmouth, Juge de Franche Comté, condamnons l'accusé Trustmahyzen, à une amende de 10 écus.

Qu'il soit su que justice vient d'être rendu.

*Coup sec de maillet suivie d'une rapide signature et de la date du verdict.*

Verdict rendu à Dole, le 26 janvier 1461
Par Ilays de Monmouth, Juge de FC.

Le prévenu a été condamné à une amende de 10 écus.