[Clos-Coupable] TALP (loi martiale) : Kayte [24/01/1461]

12 Janvier 1461

Kayte est accusé de trouble à l'ordre public en étant présent en Franche-Comté sans laissez-passer au 12 janvier 1461 et ayant été préalablement averti au 6 janiver 1461.

Citation :

Informations sur Kayte


Créé(e) le 04 Juin 2011

Kayte fête son anniversaire le 01 Janvier.

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Dernière adresse connue
Pays : Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ
Comté/Duché : Schweizerische Eidgenossenschaft
Village : Genève

Niveau : 1
Points de réputation : 21
Argent : 40

Kayte ne cultive ni n'élève rien.

Dernière connexion le 12 Janvier 2013

Ses filleuls : Khaan

Dossier

Acte d'accusation :

Citation :

*Une soirée sous le thème de la loi martiale...

Le Procureur s'avança à la barre.*

Votre Honneur,

le 5 janvier de cet an 1461 a été déclaré la loi martiale, qui je le rappelle laisse 48 heures, à partir de la date du courrier envoyé par la Prévôté, aux étrangers pour quitter le territoire s'ils n'ont pas de laisser-passer, ou n'en obtienne pas un durant le délai laissé.

Dame Kayte, étant toujours présente sur nos terres, sans laisser-passer et prévenue le 6 janvier 1461, est donc accusé de trouble à l'ordre publique...

Fait à Dole, le 16 janvier 1461.

Signé : Artifice d'Ollivaud, Procureur de Franche-Comté.

Première plaidoirie de la défense

Citation :

*La sortir de sa paillasse par les temps qui court, si ça, ce n'est pas inhumains, Dieu seul sait se que c'est alors !
Elle se rendit alors au tribunal, vu que la Chaperonne avait été convoquée. Elle qui ne faisait jamais rien de mal, qui était douce comme une anguille et non pas poisseuse.
Pour les remercier de l'avoir convié, elle prit deux trois petites choses, indispensable !

Une fois au tribunal, elle écouta le procureur, puis se leva pour prendre la parole.*

Bien le bonjour, gens du tribunal. *légère petite courbette*

Avant de commencer ma plaidoierie, je tiens quand même a vous offrir ceci, et n'y voyez pas de la corruption hein, loin de là ! *Elle leurs offrit des Tutu rose. A Madame la Juge et Monsieur le Procureur* Bien évidemment c'est à enfiler sur place, surtout ne vous inquiétez pas pour moi, j'ai déjà vu pire.

Madame le Juge, que vous me trouvez sur le sol franc-comtois est une chose, mais est ce que j'ai été une menace une seule fois ? Eh bien, non ! J'ai travaillée comme tout le monde, en aidant aussi à vous remplir vos caisse du comté en allant travailler à la mine, quelques fois par ci par là . Greffière notez, ce fait en gros !
Vous vous plaignez que je sois encore ici, bienheureux êtes-vous, alors ! Sinon sans moi, vous ne vous seriez même pas rendu compte que la police de ce comté ne faisait pas son travail, journalier ! Une fois de plus, est-ce ma faute ?
Aussi, votre "gendarme" avec qui j'ai échangée quelques courriers m'a affirmer que si vous aviez fermé les frontières c'est parce que vous aviez peur de la maladie qui circule dans des régions du royaumes, hors quand nous lisons votre annonce comtale qui déclare la loi martial vous faites référence a trop d'étranger sur vos terres, vous les considérez comme une menace, quand ils travaillent à la mine et vous rapporte des écus sont-il une menace ? Bougre de Dieu, que c'est bon les écus ! Quand ils vendent leurs marchandise sur le marché avec vos taxe que vous récupérez dessus, pour vous engraisser, on vous entends pas vous plaindre! Mais vous foutez, les gens dehors .
Comme je l'ai dis à votre pantin bien sympathique --je l'avoue-- qui vous sert d'agent de prévôté, votre mise en demeure de procès est obsolète. Vous en avez les tenants et aboutissant dans les courriers que je lui ai envoyée. Désolée, je n'aime pas me répéter, sinon je vais en croire que vous êtes bête. Sans vouloir vous offenser, bien sûr !

je demande donc la relax, et si vous en voulez plus, eh bien j'en ai encore à dire !

*Courbette pour signifier qu'elle a finit pour le moment et s'attends mot pour mot a se qu'ils vont dire , elle sourit, s'emmitouflant dans sa cape.*

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :

*Le Procureur ouvrit de grands yeux face au plaidoyer de l'accusée,

elle avait pas vraiment a qui elle avait affaire. Une cour de justice n'est pas une cour de récréation, faudrait peut-être l'en informer...

Le Procureur qui laissa le cadeau qui aurait voulu être comique sur son bureau. Il pourra bien faire plaisir à une enfant dans son village. Il s'avança à nouveau à la barre.*

Votre Honneur,

vous en conviendrez que l'accusée semble oublier où elle est. Je ne vais pas m'arrêter sur ces mesquineries. J'ai passé l'âge des gamineries.

Suffit de voir ces fréquentations, vous vous rappelez cette Musartine ? celle qui s'est enfuie avec les caisses et le stock de la maire de Pontarlier. Celle qui se dit Aristotélicienne et qui a un discours de réformée, enfin maintenant Ex-communié. Enfin soit, revenons à l'accusée et son plaidoyer.

En effet, nous avons pu prendre connaissance des courriers échangés mais elle semble avoir du mal à comprendre ce qu'on lui raconte car notre gendarme lui a très bien répondu et est loin d'être un pantin. A croire qu'elle n'a pas passé l'âge de l'enfance à prendre tout le monde pour des jouets. Qu'elle descende de la lune, ici c'est le monde réel avec ces contraintes et dont celui de quitter notre territoire comme le stipule notre loi martiale qui n'est en rien devenue obsolète. Elle peut considérer avoir eu de la chance d'avoir eu des jours en plus pour quitter notre sol mais non, elle s'obstine à y rester donc je vous prie, condamner-la pour le lui faire comprendre !

Quelques jours en prison lui suffiront peut-être à lui prendre conscience de la réalité.

Fait à Dole, le 18 janvier 1461.
Signé : Artifice d'Ollivaud, Procureur de Franche-Comté.

Dernière plaidoirie de la défense

Citation :

*Si Monsieur le procureur fut un brin choqué de sa plaidoierie, Kayte l'est davantage devant autant de baliverne, il la prend pour quoi ou même pour qui ? Prendre son amitié en compte avec Musartine, elle ne voyait pas le rapport. Bref, elle s'avança et prit la parole. *

Madame le Juge !

je fais objections aux paroles du procureur concernant ma filiation avec Musartine. je ne vois pas en quoi, elle a à faire dans cette histoire. Je ne vois pas en quoi mon amitié avec elle serait un crime et je vois encore moins pourquoi nous parlons de son excommunion ici. * Se tournant vers le procureur, elle lui dit droit dans les yeux* T'es curé p't'être ?

Seul le Déos est en mesure de nous juger, pas un homme concernant notre spiritualité. Est ce que moi je vous juge peut être ? Je m'en garde bien alors gardez vos remarques pour vous, concernant Musartine et nos chèvres seront bien gardés. Pareil, ais-je participé à la prise de Pontarlier ? Non ! Alors pourquoi me fait-on une sorte de procès pour ça ? Pour que cela me défavorise ? Je trouves cela très mesquin de votre part. Musartine est une très vieille Amie, je ne lui tournerais pas le dos pour sauver ma peau alors si vous devez me juger pour ma formidable et vieille amitié avec elle, foutez moi en prison, mais je crains que vous ne serez pas débarrasser de moi pour les années à venir. Je n'aime pas les injustices et encore moins le manque d'objectivité dont vous faites preuve ici !

Passons au vif du sujet.

Vous désirez que je partes ? Avec une armée aux portes de la ville ? Hors n'est-il pas dit sur le premier courrier que j'ai reçu que si je quittais pas la ville dans un délai de 48h -- délai largement passé à réception du courrier-- Les étrangers seraient poutrer sans sommation ? Peut être vais-je vous paraître arrogante dans les propos suivants, mais je ne suis pas masochiste ou assez folle pour quitter une ville dont je sais qu'a peine sortie je me ferais tuer ou bien malmenée.
Ne vous en déplaise d'avoir toutes mes facultés mental ...

Sachez aussi, gens de la cours, que je sais ou je me trouves et à qui j'ai à faire. Seulement, en quoi devrais-je me sentir inférieur ou mesurer mes propos alors que vous n'en faites pas autant ? Vous voulez du respect alors témoignez en aux autres, soyez francs et honnêtes en reconnaissant que cette affaire est pourrie de malformation et d'incohérence.
Je vous dis où ça cafouille et vous désirez me mettre en prison pour vos conneries ? Ben faites, cela montrera au royaume entier votre incompétence et votre mauvaise foi.

Ne vous en déplaise, je n'ai jamais eu à faire à la justice je me sens toujours aussi blanche qu'une oie, même si je me trouves sur le banc des accusés.

Ainsi je finis ma plaidoirie, demandant toujours la relax.

*Se tournant vers le procureur*

Concernant cette histoire de gamine, est ce que je pourrais vous citer quand les gens diront que je suis vieille ? Disant que vous avez reconnu quand même ma jeunesse, vous leurs confirmerez ? En passant s'il vous plait... Parlez aussi de ma beauté.

* Elle lui fit un clin d'oeil et alla s�asseoir, non elle ne draguait pas, c�était plus une faveur qu'elle demandait.*

Enoncé du verdict

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.

Citation :

*Soupir. Provocation bien vaine de la prévenu qui tendait dieu seul sait quoi en sa direction et ensuite dans celle du procureur. Certaine personne ne savait vraiment pas quoi inventer pour ce rendre intéressant et se faire voir. Regard d'ébène toujours acéré de la jeune juge elle attendit que tour à tour le procureur et la dame ai fini pour prendre la parole.

Madame, vous semblez ne pas bien comprendre ce que signifie lois martiale et ce que cela engendre comme procédure. Au lieu de perdre de votre temps et de celui du gendarme en courrier divers, vous auriez pu depuis longtemps faire une demande pour rester sur nos terre. Or nous n'avons rien eu, juste des reproches qui à mes yeux sont non fondés. Comme expliqué le délais de 48 h est à partir de la réception du courrier, nous vous avons laissé bien assez de temps me semble t'il pour partir et donc non vous n'auriez pas été poutré par l'armée.Votre argumentaire ne me scié guère, je ne vois la ni incohérence ni malformation, vous êtes bien la seule a voir tout cela. Bien d'autre que vous travaillant aussi de temps en autre dans nos mines ont soit demandé leur LP soit pris leurs affaires et sont partis.

Quoi qu'il en soit puisque vous aimant tant rester sur nos terres et ce sans accord je vous octroie quelques jours au frais.

Au vu de l'acte d'accusation de trouble à l'ordre public
Au vu des faits qui sont reprochés à l'accusée de ne pas avoir quitté le territoire comme demandé par la prévôté et de ne pas détenir de LP
Au vu de la défense de l'accusé de salir le travail de la gendarmerie et non de reconnaître ses tords

Nous, Ilays de Monmouth, Juge de Franche Comté, condamnons l'accusée Kayte, à une peine de deux jours de prisons.

*Coup de maillet, signature et date en bas de page, elle en avait fini pour ce jour des verdict concernant la loi martiale*

Verdict rendu à Dole, le 24 janvier 1461
Par Ilays de Monmouth, Juge de FC.

Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 2 jours.