Poste de rassemblement

Qu'elle discours ce disait le jeune soldat qui ne pouvait s'empêcher de hocher la tête de haut vers le bas, yeux fermé en s'exitant de plus en plus, bougant le haut de son corp de gauche à droite tennant bien serré son bâton, il ne pouvait tout comme les autres soldats crier bien fort des ''WÉÉÉÉÉÉ''. Ce discours en était de trop, il fallait qu'il trouve un ennemi vite pour apaisé sa colère envers ces racailles, ces rebus que sont ses adversaires pourris. À la fin du discours de l'officier supérieur il ne put ne pas s'écrier à son tour sans vouloir prendre place par dessus un supérieur mais son ''esprit d'équipe'' le poussa à crier par dessus le vacarne des soldats prêt à la guerre;

Mes amis, Aristote la lui même si bien dit: ''En toute chose, C'est la fin qui est essentiel''. Alors vous... Comment voullez vous en finir?

Il esperait bien en faire réflechir plus d'un sur cette phrase et poursuiva sur le même ton;

Moi... Ca sera avec hargne par amour pour ma patrie et puisqu'il faut avoir des ennemis, tâchons d'en avoir qui nous fassent honneur par notre courage et notre volonté de les vaincres. Termina t-il sous un ton émotif en se tappant le coeur, regardant de gauche à droite, chacuns des courageux soldats qui esperait-il, ne regarderait pas trop son grade mais qui penseront bien à ce qu'il avait rajoutté, en esperant ne pas avoir choqués ses supérieurs d'avoir lui-même prit la parole sans autorisation...

Kendopach vit son compagnon Derdekan qui lui cria bonne chance, son frère d'armes était dans l'autre rangs, celui de la garnison de Vésoul, ils étaient dans le même groupe de recrues qui ensemble suivaient les enseignements de l'aspirant Franchesco



Hey Derdekan , je te souhaite bonne chance!!!!


Après avoir dis ces paroles la très jeune recrue se motiva en se murmurant des arguments sur l'armée de F-C...

Allez ...
On est l'armée la plus respectée et la plus active de toutes les autres du saint empires , on a pas le droit de se faire battre par de simple brigands même si j'en étais un , il y a fort bien longtemps on peut même dire , pendant une autre vie , une vie antérieur , c'est le moment de me faire racheter et de faire honneur a la F-C on est les dragon de la F-C tel est la composition de la bannière....

Ensuite , après s'être motivé la recrue, réussi a être a cet état, voir même en transe !!! Il n'était plus le même tel un Berserk!!!

...AAAAAAARRRRGH !!!

legolas arriva en fin au point de rassemblement, il y'avait du monde sa pour sur il n'eu pus saluer tous le monde car il y'en avait trops il prit avec lui des vivres, son arme et etait pres a la guerre.

-Et bien c'est une belle armee que nous avons la.

legolas etait fiere de pouvoir defendre sa patrie de plus il venait de recevoir une promotion et etait desormais caporal.Il allait pouvoir faire honneur a ce nouveaux grade.

''en attente de son uniforme''

Gaia se sentait très émue et très fière, sonpremier combat comme elle avait hte d'y être et comme elle avait peur aussi. Elle était si fière d'être là pour défendre la Franche Comté. Mais elle ne voyait pas grand monde de Dole, elle se sentait un peu seule aussi.
Mais la bravoure supporte la solitude

Acis avait entendu les paroles du sénéchal Zéphirin. Aussi, il se dépècha de réajuster son uniforme, brossa de sa main le peu de poussière qu'il comportait et parti en direction de la place des cérémonie pour le grand rassemblement

Il y avait, du monde, beaucoup de monde. Les soldats n'avaient pas failli à leur tâche, c'était beau une armée de la sorte. La grande armée Franc-Comtoise, uni sous sa bannière et prête à défendre sa patrie.

Il vit le caporal Zibob devant une ligne invisible. Une ligne qui aurait du rassembler l'ensemble des soldats de Saint-Claude. Mais il n'y avait personne. Il pressa le pas pour rejoindre le caporal.

- Bonjour Caporal. Comment allez-vous? Je vois que vous avez directement répondu à l'appel. Bonne chose, j'avais quelques trucs à régler au terrain des recrues, mais me voila. Je vais donc prendre le relai, en temps que supérieur, pour le moment, en attendant l'arrivée du lieutenant.

Merci aspirant!

Zibob se mit au garde a vous devant l'aspirant.
Mais zibob ne put s'empêcher de recrier:

SOLDAT SAINT CLAUDIENS!BOUGEZ VOUS!CE N'EST PAS UN EXERCICE!
L'ASPIRANT ACIS ET MOI VOUS ATTENDONS!

En se retournant vers acis il dit:

Il faut crier dans cette garnison!

luckylucke arriva tout essouflé a la place de rasemblement,et chercha le groupe des soldat de pontarlier,et il vit de loin le caporalMifalifou et il s'approcha de lui parce que c'est le seul qui connaissait un peu et lui demanda ce qui se passait
Dans un garde a vous impeccable ,il lui posa la question

--Heu!! excuser moi,caporal, m'est que se passe t'il???? je suis un peu dans la melasse je comprend bien qu'ont est en plein branle-bas de combat mais a part ça que dalles!!!

Après avoir réglé quelques affaires, Bendith vint rejoindre les armées, en tenue de geurre. Il portait son epée, mais n'emportait pas son arc. Au diable cet arme maléfique et inutilisable pour un novice, rien ne vaut une bonne vieille epée.
Le lieutenant était inquiet et doutait de la réactivité de ses troupes. N'étant pas à Saint Claude, il ne pouvait qu'espèrer la bonne exécution de ses ordres, et chose grave, il en doutait et se tourmentait depuis le début de l'alerte. Aurait-il l'occasion d'être fier de sa garnison?

Il fut heureux de repérer déjà présent l'aspirant Acis et le caporal Zibob, et alla les rejoindre.

Aspirant, Caporal!
Prêt pour combattre? Les choses ont l'air sérieuse cette fois-ci, nous allons avoir l'occasion de faire ce pourquoi nous nous sommes engagés!

luckylucke aperçu l'asprirantXavenau loin qui arangait les soldat pour qu'ils se rassemblent au plus vite,luckyluckepris congé du caporalMifalifou et se dirigeas au pas de course vers l'aspirant,il arriva essouflé et demanda a l'aspirant
--A vos ordres,mon aspirant,soldat luckylucke garnison de Pontarlier, au rapport!!!! je suis a vos ordres pour la suite ,mon aspirant!! et je suis prêt pour en decoudre avec nos enemis ,mon aspirant!

Acis vit l'arrivée du lieutenant Bendith

Il se mit au garde à vous

- Bonjour mon lieutenant. Oui, je suis prêt, je vous laisse donc maintenant le commandement de nos troupes, mon rôle s'arrête ici?

Non, non, ne vous arretez pas là répondit Bendith avec un petit sourire.

Vous devez encore vous occuper de votre section. Les préparatifs ne doivent pas manquer avant votre départ!

Le lieutenant jeta un coup d'oeil circulaire. Un nombre impressionnant de sodats s'étaient rassemblés dans la cour du chateau. La mobilisation était d'ampleur, et l'ensemble était assez grandiose bien que la période était plutot propice à l'inquiétude.

A chaque discours prononcé, à chaque élan de haine et à chaque cri, Sara frissonait. Elle ressentait à la fois de l'impatience et de l'inquiétude, la guerre n'était pas une partie de plaisir mais c'était l'occasion de se battre pour protéger son comté et ses habitants, ce pourquoi elle s'était engagé il y a de ça presque un an. Serrant les poings elle murmura, les dents serrées

Comtois rends-toi ! Nenni ma foi... !

D'accord en tous points avec Kenny, elle était prête à combattre, prête à mourir pour la Franche-comté s'il le fallait.

Le sergent Salua la nouvelle recrue toute excitée par l'evenement et arriva ensuite Djvier.

Mes respects Aspirant

Le discours de Zephirin etait comme lors de la battaille de suisse Franc et encourageant malgré une situation deja en defaveur pour la FC.

Bah à un contre deux c'est faisable du moment que les artilleurs en tue un max. Je vais m'amuser moi. Mon Aspirant j'attends vos ordres quand au groupe que je dois rejoindre.


Le sergent taps sur la carlinque de son chapeau de paille pour voir si c'est bien le bon qu'il a pris. Il sortit son épée qui lui servira pour la premiere fois ici car l'autre s'etait brisée en suisse. Il verifia ses petites charges de poudres qu'il à attaché à sa ceinture. Il verifa son arc achaique ainsi de ses fleches. L'artilleur etait armée comme 3 soldats comme à son habitude.

Il se tourna vers Gaia

Je suis armé jusqu'au dents pret à tuer tout ce qui bouge et qui ne ressemble pas à un franc-comtois. Vous allez voir l'ivresse de la guerre c'est enorme et en plus on se fait des amis. Mais attention à pas etre trop gourmand au risque de se blesser.

SAPEURS-ARTILLEURS JE COMPTE SUR VOUS POUR MONTRER VOS TALENTS.

Jerone attrapa son etendart et l'agita dans les airs.

Dynamisé par les différents discours de ses supérieurs qui en avaient vu bien plus que lui, Derdekan sentait son sang bruler d'une envie de protéger sa terre et sa patrie.
Il remarqua le salut de Kendopach et sourit, il s'entrainait actuellement avec lui et pour lui aussi, c'était son premier combat ... ca leur ferait des histoires à raconter, quand ils seraient plus vieux.

Bonne chance à toi aussi ! Enfin, je pense que ceux qui vont avoir besoin de chance, c'est ceux d'en face ! Ils vont regretter amèrement leur folie ! lui cria t-il.

Soudain, il vit la lieutenante Spikelilou arriver et passant à côté de lui, elle lui murmura des conseils et l'encouragea. Il la salua et lui fit un sourire timide, il savait que sa bévue n'était pas si ancienne et se montrait encore un peu gêné façe aux supérieurs impliqués.

Je suis prêt et confiant... je vous remercie de votre gentillesse, je ferai de mon mieux pour la franche-comté ! lui murmura t-il en retour.


Derdekan écouta ensuite le discours du grand aumônier et en fut galvanisé. Comment une armée d'hommes ayant des chefs si charismatiques et puissants pouvait-elle échouer dans ce combat. Il regarda avec respect le grand Aumônier GreenWarrior et se sentit plein de confiance devant le panache de cet homme.

Derdekan sentait son cœur battre dans sa poitrine ... il était fier d'être dans l'armée.

Franky écoutait tous les discours qui se succédaient les uns après les autres . Une devise raisonnée dans chacun d'eux .

Comtois rends toi ! Nenni ma foi ! , le sergent-chef hurlait la devise quand l'occasion se présentait . Il voulait se battre jusqu'à son dernier souffle pour servir la franche-comté , se préparer à faire sauter des têtes comme le disait le caporal Kenny , défendre les maisons les familles et les amis comme l'avait dit le capitaine ou encore aller chercher ces rats dans leurs trous comme l'avait illustré le sénéchal .
Franky s'approcha du lieutenant Dina : En quoi puis-je aider ? Mes affaires sont prêtes , mon bouclier et mon épée sont OK !
Le geôlier serrait le pommeau de son épée fraichement affutée . Il avait onze miches de pain dans ses affaires ce qui était sans doute suffisant pour le moment .

D'accord normalement des demain cela sera possible.

Jerone siffla son moineau afin de verifier si lui aussi avait son chapeau renforcé car il serait surment tres utile.

Il verifia ensuite tout son materiel, son épée neuve car la premiere qu'il aurait bien voulu refondre pour l'utiliser etant dans son bureau encore cassée. Son arc etait encore en bon etat et au pire il lui fait 5 minutes pour en refaire un. Le materiel d'artillerie etait pret et Jerone retrouvera avec un grand plaisir son arbalete à tour et sa poudre.

Je suis bien content de retrouver la MS et tout ceux qui ont combattu en suisse. Mais cette fois je n'irais pas voir l'infirmerie. Mes tripes preferent rester à l'interieur. Je suis d'un forme imperiale mieux qu'en suisse. Attention bande de lopettes suisses, le Destructeur va faire des degats etant donné qu'il a quasiment carte blanche.

Jerone etait toujours bavard lors de conflits. L'exitation mais surtout pas le stress. Le Sergent a tout pour reussir cette fois si il ne va pas rater l'occasion.

Le lieutenant de Pontarlier arriva sur son cheval dans la cours du chateau.

Il sauta a moitier de celui ci et courru vers la section de Pontarlier. Son aspirant avait deja tout fait comme il le devait.
Il le remercia d'un signe de la tete et d'un sourir.
Il se mit au garde a vous et attendit la suite.

Le Lieutenant Rundurik Le sanglant regarda attentivement ses hommes ainsi que ses compagnons Franc-Comtois se préparer à la guerre, cela lui rappela les raids organisés par ses compatriotes Norvégiens. Il lisait la même soif de se battre dans tout les yeux qu'il croisait et le même regard perdu au loin, passant toute les possibilités de bottes et parades ainsi que toute les possibilités de mourir, d'être blessé voir mutilé sur tout les visages des soldats inexpérimentés.

Il sentait monter en lui cette joie d'aller au front et cette rage des Berserkers l'envahir et qu'il avait du mal à contenir.


SOLDATS FRANC-COMTOIS, MES AMIS, N'AYEZ PAS PEUR DE MOURIR, NOUS SOMMES TOUS MEMBRES DE CETTE FAMILLE ET NOUS NE NOUS LAISSERONS JAMAIS TOMBER !!!

PROTÉGER VOS SŒURS ET VOS FRÈRES ET VOUS VAINCREZ DE L'ENVAHISSEUR, VOS AMIS ET VOTRE FAMILLE COMPTE SUR VOUS NE LES DÉCEVEZ PAS !!!

Lothilde était arrivée en retard au rassemblement et était restée à l'écart, sous les voûtes de la tour d'entrée de la cour de la caserne. D'une main elle flatta l'encolure de son cheval qui grattait nerveusement un antérieur sur le pavement. L'instinct du guerrier. Il avait compris lui aussi...Elle parcourut du regard les visages des soldats. Ceux qu'elle connaissait depuis si longtemps, ceux qu'elle découvrait...jeunes, prêts à en découdre, impatients...comme elle l'avait été.. A l'excitation du moment, s'ajoutait maintenant le petit picotement caractéristique de l'angoisse, là, au creux de la nuque. Elle y passa la main en y pressant le bout de ses doigts...Elle avait été comme eux, avant..Maintenant, elle savait. Elle savait que dans le feu des combats, on pouvait donner la mort et pire...y prendre plaisir...qu'on ne pensait plus qu'à attaquer jusqu'à l'épuisement. Elle s'était découverte sans pitié pour l'ennemi...On ne pense pas, quand on se bat, tant qu'on ne croise pas le regard étonné de celui qu'on vient de transpercer avec son épée...ce regard qui plus tard, longtemps après, vient hanter nos nuits. Mais pourtant, rien ne pouvait l'empêcher d'être impatiente de retourner sur les champs de bataille...rien.

Sans hâte, elle fit demi tour et reprit le chemin du campement de Maxima. La tête froide même si elle exultait et qu'elle retenait péniblement son envie de faire un grand tour d'honneur au galop autour des murailles, en hurlant un cri de victoire dans la nuit...

On les aura ! on les aura ! on les aura !

PSycotik arriva, en retard comme d'habitude et vint se placer dans les rang, devant le lieutenant Zibob ... en attendant ces ordres !

Kendopach monta sur l'estrade au milieu de la foule et cria espérant se faire entendre car quelque chose le secouait en lui !!!



Pourquoi vous ne donnez pas le nom de cet horde de brigand !!!???

Julie frisonna à l'idée de faire couler le sang d'être humains.

LIEUTENANT!
MES RESPECETS LIEUTENANT!
QUELS SONT LES ORDRES?

Alors que les discourts fusaient de part et d'autre, que les ordres suivaient et que les militaires s'activaient avec ferveur, la jeune Aspirante regarda ses frères d'armes un a un avec la conviction qu'ils se reverraient tous, bien vivant et reparlerais de cette guerre autour d'une bonne bière.

Tous avais été béni par Green..mais la question qui surgissait dans tout les esprits était la même : qui sont nos enemi?

Dans les rangs de l'armée de Mcaneyth, chef de sa section, la jeune femme patientait elle aussi, attendant la suite des évènement avec apréhension. Dieu qu'elle avait envie de se battre, de se laisser ennivré par la bataille et de se montrer à la hauteur de l'armée comtoise.