[RP]Terrain d'entrainement des Sapeurs/Artilleurs(3)

Occorax essaya de se calmer, ces vraiment idiot de tombé dans un troue, et en plus pour la deuxième fois consécutive, il voyait son instructeur réfléchir sur comment il allait faire et il semblait s’énerver aussi.
Occorax retroussa ces manches et réfléchissais lui aussi comment montez de ce maudit troue, mais l’instructeur tendit une corde vers lui, bien résistante et très dur il la prend et monta avec doucement et le plus prudent possible, quand il arriva au sommet ces avec un soulagement qu’il lâcha un soupir de toute cette histoire a cause d’un troue, il remercia son instructeur avec un tapotement amical sur l’épaule.

-Je vous remercie, j’ai bien cru plus pouvoir remonter, et heureusement que vous étiez dans les parages.

Occorax devait allez a l’infirmerie sous l’ordre de l’instructeur, mais il avait aucune blessure et il perdrait du temps pour rien, il ne dit rien les ordres sont les ordres, il fit son salue pour dire qu’il avait compris les ordres et dit.

-Bien je vais m’y rendre de ce pas, j’espère au moins revenir le plus vite possible, ne faite pas d’explosion sans moi.

Occorax tourna les talons en souriant et partie en direction de l’infirmerie.

il avait les yeux quelques peu mouilles de voir les Artilleurs au travail. cela faisait bien longtemps. il etait d'ailleurs bien triste de les quitter.

Mes chers amis, je vous fais mes adieux. le conseil m'attend.
j'espere vous revoir bientot... autour d'un verre!
servez bien votre Franche Comté adorée et servez bien le peuple franc comtois!

au revoir...

fit l'ancien sergent en regardant les artilleurs. apres un dernier salut militaire, il tourna les talons et prit la direction du bureau des demissions, l'air triste.

Olivierdain vu dwiral, son ancien sergent , il lui fit un salut salut

Je vous souhaite bonne chance!!!!!

Merci de m'avoir bien formé!!!!

Bon courage, ne vous inquiétez pas, nous servirons et défendrons la franche comté!!!!

Le soleil était couché depuis un certain temps.L'ancien sergent était désormais parti,et personne n'occupait plus le terrain,tandis que la lune surmontait de son aura laiteuse la scène macabre qu'évoquait les machines de siège montées.Le chercheur arriva,vêtu d'une cape couvrant ses épaules.Son uniforme était à peu près impeccable.Il tenait d'une main une torche,et de l'autre un livret ancien,couvert de substances indéfinissables,aussi sombres que la nuit environnante et incrustées dans le vélin.Il alla dans l'entrepôt,toujours muni de sa torche,et trouva ce qu'il cherchait: un long piquet et de la corde.Il emporta ça tant bien que mal,et planta le batôn dans le sol meuble.Il fixa la torche avec la corde le plus haut qu'il pût.Le porte-torche improvisé était planté près de la première arbalète géante.Le borgne regarda le manuel,gêné par sa propre ombre.Puis il mémorisa rapidement les instructions,ce qui lui prit environs un quart d'heure,puis s'affaira à la vérification.

Il commença par regarder si le bois ne contenait pas de fissures.La lumière artificielle offrait beaucoup de contrastes,ce qui permettrait de reperer ces defauts plus rapidement.Il n'en trouva aucun.Il verifia ensuite les differents cordages.Toutes tenaient le coup,et le tiendrait encore pour au moins un mois, sauf celle qui permettait de tendre pour envoyer le projectile.C'était une corde commune à l'arc,toutes proportions gardées.L'arbalète était tendue.C'était imprudent.Il se demanda comment la détendre,et ne trouva que la solution de tirer à vide.Il vérifia l'abscence de projectile,puis libéra le mécanisme.Un claquement sonore et le frottement métalliques se firent bruyamment entendre.Il espera n'avoir reveillé personne.Puis il défit prestement cette corde qui devait presque dater de la construction de l'arbalète.Enfin,défit n'est pas le terme exact."Il la coupa" serait plus exact.Puis,il alla dans l'entrepot avec sa pique enflammée.Il trouva bientôt ce qu'il recherchait:quelque chose de plus résistant q'une corde,un cable d'acier.Il le prit,puis le fixa en lieu et place de la corde.Une fois ceci fait,il verifia les lames.Elles étaient en assez bon état pour n'être pas changées aujourd'hui.

Il regarda la crémaillère et le treuil.Tout était rouillé.Il prit son couteau,racla la rouille néfaste,puis graissa généreusement le tout.Il ne put réprimer un baillement.Il vérifia ensuite les pièces d'ajustements.Ils avaient été graissés peu de temps avant.Il regarda enfin le pas de tir et le cadre.Tout était en aussi bon état qu'au jour de sa sortie cde la manufacture.On voyait encore la signature de l'artisan qui avait fait cette pièce.Le pauvre devait d'ailleurs e^tre mort depuis longtemps.

Il passa à la deuxième arbalète,qui était en parfait état.Il ne changea qu'une des roues.Et dût graisser la crémaillère.Ceci étant fait,il chargea lentement les deux arbalètes.Il mit un projectile dans chacune des armes,et orienta grossièrement "ses" jouets vers les cibles d'arbalète.Il déclencha la première.Le bruit fut impressionnant,lorsque le projectile partit à tout vitesse...emportant avec lui la moitié du cadre et les lames.Le chercheur ouvrit de grands yeux et regarda la puissance de son tir.Bien que la machine soit détruite,elle n'avait jamais tant bien marché.Il regarda les lames qui gisaient à 30mètres de l'objet.Et les débris du cadre qui s'étaient profondément enfoncés dans la cible.Le carreau,quant à lui,avait transpercé litteralement la cible."Pas mal" se dit le chercheur.Il savait qu'il devrait reconstruire la machine.Mais il était content des réglages qu'il avait fait.Il comprit que le filin d'acier avait jouer un rôle determinant dans la casse de la machine.En effet,la puissance était bien supérieure.Il enleva prestement le filin de la première arbalète détruite,et,après un tir avec la corde normale,remplaça celle-ci par le cable.Il fit un essai,et,avec cette arbalète plus résistante,parvint aux dégats de la première,mais sans la destruction engendrée sur l'engin.Il était tard.Il alla chercher rapidement deux chevaux.Il crût vaguement distinguer une ombre en partant du terrain.Il courut jusqu'aux écuries et prit deux chevaux de traie.Il les ramena,les attela,et les conduisit jusqu'a l'atelier du charpentier.Mais avant,il récupéra les lames.Il désincrusta les morceaux du cadre de la cible,et laissa les flèches dans la cible,témoin de sa découverte minime.Il s'en alla le plus discretement possible,sachant pertinemment que le bruit de l'explosion de l'arme avait été entendu jusqu'au bout du chateau.

[hrp:désolé si des fautes d'orthographe ou de frappes subsistent.Si je veux avoir le temps de faire mon rp chez le charpentier,je dois me dépecher,pour des motifs personnels]

L'instructeur arriva en courant sur le terrain d'entrainement car un
bruit avait raisonné il savait que sa venait de son terrain, quand il
arriva , il vu une arbalète a tour détruite.

Non c'est pas possible, plus loin il vu des chevaux s'en allez et il reconnue le soldat hastans.
Tampis il faudra en commander une nouvelle.

Il a vérifiez le matériel et il a voulu le testez.
j'aimais bien cette arbalète maintenant il va falloir que je déblaie tout ce bois!!!!!
L'instructeur regarda l'arbalète qui était en miette au fond du terrain.

Olivierdain commença a prendre les bout de bois et il les méta dans un
coin , et il faisa sa jusqu'a qu'il n'y est plus un seul bout de bois
qui traine.

Il alla vers le mur et commença a mettre le mortier sur le mur puis il enpilla les pierre dessu.
Il était seul sur le terrain comme depuis quelque jours!!!!

Il faut que je finisse le mur avant que le sergent revienne.
Il méta le torchis pour renforcer le mur et il se dit:
Je travaillerais toute la nuit et demain pour finir ce mur, mes soldat on c'est meme pas ou y sont!!!
L'instructeur commença a montez le mur pierre par pierre il répéta ces
mouvement a chaque fois et il ajouta le mortier et le torchis.

Je commençais a fatiguer, mais jde continuais, je donnerais toute mes force pour finir ce mur!!
ET d'un coup il s'endormi sur son mur car il n'avait plus la force de continuez I don't want that

Hartasn revint sur le terrain avec l'arbalète presque flambant neuve.Il alla vers le mur qui devait être reconstruit. Il était monté d'une rangée,sur une seule ligne. Un homme dormait au bout,la tête posée sur le mur.Il était affalé à moitié. Le fou approcha,et vit
l'instructeur en second.Apparemment,il avait commencé a remonter le mur.Le chercheur souleva délicatement le corps endormi de l'homme,puis se mit au travail.Il mit le mortier,et commençaempiler les pierres grâce à un trépan.Il se demandait comment Olivier avait fait pour monter
le quintal que faisait chacune des pierres.Il tira à la main,plaçant les pierres en décalé par rapport au premier rang.Il continua assez longtemps.Fatigué,il alla se reposer à l'ombre de l'entrepot,adossé contre le mur.

Occorax qui revenais de l’infirmerie centrale revenais a l’entrainement, il aperçut deux personnes déjà son instructeur et son ami Harstan, il se demandait ou était les autres Artilleur il en avait pas beaucoup depuis qu’il était venu, il retroussa ses manches et il avait beau faire nuit, il fessait extrêmement chaud juste un coup de vent c’était le bonheur.
Il vit son instructeur allongé au mur il était en train de construire et avais du être trop fatigué pour continué, il s’approcha vers lui et le secoua.

-Instructeur, désoler de vous réveillez mais le sol est dur et vous risquez d’avoir mal au dos et je suis juste venu vous dire que je vais mettre des bout de bois a chaque troue comme ça, quand le sergent instructeur Jerone reviendra, on bouchera les troue plus vite et mieux.

Occorax, s’en allait a l’entrepôt cherché ces bout de bois, il sortie avec un sceaux remplie de bout de bois, il y avait beaucoup de troue ce serais long mais le faire ça féliciterais les choses et enfin ou peut être il allait faire les explosions qu’il attendait temps.

Il regardait bien ou il marchait il ne voulait pas que il retombe dans les troues, il devait placer les bout de bois, il les plaça un par un, et se demanda comment il allait boucher, avec des pierres c’était une solution, ou sinon les exploser de l’intérieur ou une idée soudaine lui venu, crée un tunnel avec les troues, il y aurait un camp d’explosion en haut et une espèce de dépôt en bas.

Toutes ces idées il devait en parler à l’instructeur, mais pas maintenant, maintenant il devait placer les bouts de bois, cela est vrai que si il y aurait des Artilleur sur le terrain se serais plus rapide mais bon il était seul, il devait le finir seul pour l’instant.

L'instructeur se réveilla et il vu deux soldat entrainde montez le ur, il leur dit mercide m'avir réveillez continuez comme sa!!

Je vais allez me couchez dans mes quartiez, on verra pour ton idée occorax demain!!
Je suis a bout de force!!!

Au faite demain c'est repos soldat salut

PERSONNE NE TRAVAILLE VOUS AVEZ COMPRIS salut

Une fois le message donné au soldas il partie dans ces quartiers!!

L'instructeur arriva sur le terrain d'entrainement pour continuiez a construire ce mur!

Il pensa une chose que le soldat occorax lui avait dit : reboucher tout les trous qu'il avait sur le terrain, pour évitez de tomber dedans.

Oui! c'est une idée, mais pour l'instant on s'occupe du mur! soldats.
C'est vrai on diré qu'il y a eu une guerre d'explosion ici.

Je m'occuperais de reboucher les troue quand ce sera le bon moment soldat!

Olivierdain commença a empilais les pierres les une sur les autre , il manqué pas grand chose pour finir ce mur.Il ajouta le torchis sur le mur et frotta le mur pour qu'il soit plat et sans boss.
Il répéta ses mouvement avec l'aide du soldat occorax!!!

Occorax qui avais finis de placer ces bout de bois sur chaque troue, il devait aidez a présent sont instructeur a présent à construire le mur et dire qu’il était que deux, il se demandait ou trainais les autres surement en taverne en train de boire, il avait eu écho que dans ce corps d’arme il était quinze et il avait jamais vu d’autre Artilleur a par ces instructeurs, il enchaina les mouvements pour construire le mur et il se posa une question, qui la posa a son instructeur.

-Mais quand le mur est fini on le cassera, puis on le reconstruira ? Parce que on peut le laissez intacte et en construire plusieurs et faire une bataille d’explosion …

Voila il c’était encore emporté, il adorait le bruit des explosions, et les dégâts qu’elle comportait , il voulais apprendre a contrôler ces explosif pour en faire une arme dévastatrice sur le champ de bataille , de la poudre et de la malice sur le champ de bataille , la bataille est gagné d’avance , mais cela il fallait qu’il arrête d’y penser , il se concentra sur ces pierre et se mur qui était sur le point de se finir et essaya d’arrêter de penser au explosion.

Julien arriva sur le terrain après cette agréable journée ensoleillée de congé. Il avait pasé deux bonnes heures autour du lac à se reposer, s'était promener, et s'était bien amusé avec ses amis en taverne où il n'avait pas trop bu, en pensant que le lendemain, l'entraienement recommencerai.
Le retour à la réalité était plutôt dur. Il commença à s'étirer, puis se mit à trottiner calmement, accélérant petit à petit ses foulées et sa vitesse, pour en arriver au pas de course. Ensuite, il fit des tractions, accroché à une solide branche d'un arbre dans le fond du terrain, derrière l'entrepôt. Il enchaîna aussitôt fini par quelques séries de pompages.
L'échauffement terminé, il continua d'entreprendre cette fastidieuse tâche qu'était de rammaser tous ces débris de pierre, épars sur le sol. Il ne mit pas longtemps avant de transpirer sous le soleil élcatant. Il regardais autour de lui ne voyant personne.
Ils doivent être en train de dormir se dit-il. Et il se remit au travail, en pensant à la bonne soirée qu'il allait sûrement passer en taverne le soir même. A cette pensée, il accélera son travail pour pouvoir finir avant que le soleil se couche, car bien que les jours s'aggrandissaient en cette période de l'année, ce n'était pas encore le 21 juin.

Jehanic arriva en vue du terrain d'entrainement et vit un soldat fort affairé. Il s'approcha et ouvrit la conversation :

Bonjour, je suis Jehanic

Puis il regarda le monticule de gravats et demanda :

Pourquoi ce mur s'est-il effondré ?

Bonjour, je m'appelle Julien. On a détruit le mur au cours des dernières séances d'entrainement. Tu pourrais m'aider à rammasser les gravas et les mettre sur le tas que j'ai fait là-bas? On aura bientôt fini Very Happy

Je suis épuisé...je suis occupé depuis midi!

Un moineau casqué vint tapoté le haut du crane de Jehanic et Julien. Il laissa tomber un message dans les mains de ce dernier

Citation :: Alors les jeunes on ne sait pas quoi faire ? Et bien faites demi tour et aller aider l'adjoint olivier et Occorax à finir le mur. Je vous vois par la fenetre comme deux badeaux qui savent pas quoi faire. Aller hop hop au travail. Jehanic si tu sais tu as des question passe me voir à l'infirmerie centrale ou pose les à olivier ça le fera travailler un peu. Je vous souhaite une bonne reconstruction avant que je revienne en chaire et en os sur ce terrain afin de faire de belles explosion et plein d'autre choses.

Sergent Jerone

ps : N'oublier pas de donner un bout de pain a mon moineau il maitrise mieux que vous les explosifs.

Occorax avec l’aide de son instructeur, rebâtissais le mur, essoufflé et fatigué il était sur le point de finir se mur, le temps passait assez rapidement, deux Artilleurs firent leur entré, il était ravie d’en voir enfin ,il les interpella.

-Bonjour a vous deux, vous pouvez nous aidez a finalisez se mur une aide de deux personne ne serais pas de refus.

Il avait compris apparemment, il continua son travail acharné finir se mur serais bien et au moins nous pourriront passez une chose sérieuse, il enleva sa chemise qui lui collait la peau et laissa apparaître sa musculature, il préférait être a l’aise a l’entrainement.

Avec l’aide des deux Artilleurs le mur semblait enfin finis, enfin il fallait voir avec l’instructeur maintenant, il se dirigea vers celui si qui était en sueur.

-Vous pensez que le mur est enfin fini ? En tout cas nous avons bien évolué.

L’ex-artilleur et ex-ingénieur chef arriva lentement au terrain des sapeurs. Des mois qu’il n’avait pas eu l’occasion d’y venir. Sortant de sa poche de chemise un petit lien de cuir, il attacha ses cheveux. Déposant sa veste à un petit muret, il y déposa les coudes et croisa les doigt en il jetant un œil aux hommes qui s’activaient. Avec ce procès, sa fuite et la campagne de Genève, il n’avait eu que peu de temps pour l’artillerie. Il jeta un œil à la tour de l’aigle abritant la garnison de Vesoul. La garnison de Vesoul si, il avait de nouveau les clefs. Plongeant la main à la poche de sa veste, il retira la clef et la fit tourner lentement à ses mains. Respirant un grand coup, souriant légèrement en regardant les catapultes, couillards et arbalète, il replaça la clef à la poche de sa veste qu’il souleva rapidement se la glissant à l’épaule. Il viendrait bien faire un brin d’entraînement pour voir de quoi il était encore capable et si ces nouveaux artilleurs savaient faire. Pour l’instant…il voulait aller voir les blessés qui avaient fait sous ses ordres comme chef de camp et qui avaient été ramenés de Genève. Il hocha la tête et leva la main pour saluer Occorax qui était au travail avant de tourner les talons et de filer vers l’infirmerie.

Olivierdain dit:nous avons bienôt finit ce mursoldats encorequelque peitite finitions .
L'instructeur se retourna et salua un soldat qui n'avais jamais rencontrer .

Il se demanda d'ou sortait ce soldat, peut être a l'époque ou il y avait dwiral.
Il salua le soldat qui repartit a l'infirmerie.
Bon allez soldat continuons a finir le mur et nous passerons a autre choses.

Occorax était en train de finaliser se mur, il en avait un peu marre le soleil lui brulait la peau et son gosier était sec, il avait l’aide de son instructeur qui lui aussi donnais tout son possible, les autres soldats aidait en quelque sorte mais il s’en occupait pas d’eux.

Pendant qu’il travaillerait il aperçut le maitre des Artilleur, il avait était l’aide de camp de la campagne a Genève, il était un fabuleux aide de camp, et c’était un Artilleur hors pair il en connaissait mieux que la plupart sur ce corps d’arme, il espérait qu’il viendrait s’entrainez dans se corps d’arme lui donner des conseils et des astuces.

Il se remit au travail avec un peu plus de détermination en ayant vu son ami Zéphirin et le maitre des Artilleur, il y en avait qu’un et c’était lui.
Il s’approcha de son Instructeur, le mur était sur le point de se finir il était content de ça.

-Mon instructeur, je vais allez me rassasier dans le dépôt la bas j’en peux plus …et comme on n’a presque finir le mur.

Il couru vers le dépôt et s’assit sur le sol en se reposant un peu il avait bien mérité.

Julien qui avait aidé Occorax à reconstruire le mur l'accompagna au dépôt vers lequel il se dirigeait et but avec lui.
Aaah! Ca fait du bien un peu d'eau fraîche...Au soleil depuis ce matin à bosser comme des fous!

L'instructeur arriva sur le terrain et dit:

JE VEUT TOUT LES SOLDATS EN LIGNE DEVANT MOI AU GARDE A VOUS
exécutions, je veut tout le monde en ligne et que sa saute!!!!!!!!!!!!!!!!

L'instructeur devait rappeler quelque règle aux soldats!!

Julien vit arriver son supérieur et le vit crier des ordres. Il se mit aussitôt devant lui au garde-à-vous.
A vos ordres mon Segent! et il attendit que celui-ci lui eut accordé de se mettre au repos.

Occorax qui en compagnie d’un compagnon Artilleur Julien, il était désaltéré au dépôt il avait travaillez toute la journée sur un soleil de plomb il méritait un petit repos, mais il entendit la voix de son instructeur criez.

Citation :: JE VEUT TOUT LES SOLDATS EN LIGNE DEVANT MOI AU GARDE A VOUS

Occorax sursauta, il espérait que l’instructeur l’avais pas appelez pour le sanctionner de s’être un minimum reposé, mais son compagnons partie tout de suite et rapidement.
Occorax lui était coincé son pantalon était accroché sur un râteau et le râteau était sur une tonne d’outil qui pesais extrêmement lourd.

-Ho non … mais que des gaffes il m’arrive …

Il avait peur que son instructeur le sanctionne cette fois si , pour pas être venu quand il avait appelez, en tout cas Aristote était pas avec lui il essaya de retirer le râteau mais en vain, il s’énerva mais cela n’arrangeais rien il soupira puis il réfléchit.

-Bon, bon et si je coupe le manche de se râteau ! s’écria t’il

Il s’exécuta et sortie son épée et coupa le manche du râteau, il enleva les pics mais tout les outils s’écroula et heureusement pour lui pas de son coté mais cela provoqua un grand bazar et un nuage de poussière, il courut rapidement vers son instructeur qu’il l’attendait.

-Me voici … mon Instructeur salut

Il attendit la réaction de son instructeur.

Julien regarda la scène qui se passait juste derrière lui. Il aurait aimé aider son ami Occorax mais il devait rester au garde-à-vous. Il hésita un moment puis entendit un grand bruit sourd. Il retourna la tête et vit tout le bazar de son compagnon. C'était trop tard pour l'aider.
Il se retourna et demanda à son Lieutenant si il pouvait aller aider Occorax et attendit une réponse.
Il regarda le ciel et vit que des nuages gris les menaçaient. Zut! Il va sûrement pleuvoir demain... Il n'aimait pas opérer sous la pluie, de plus elle le déprimait.

Un ordre venant de l'infirmerie ce fit entendre sur le terrain

PLUS HAUT LE MUR IL EST RIDICULE CELUI LA JE L'EXPLOSE A COUP DE PIED.

Julien entendit son Sergent crier de l'infirmerie. Il le salua et se remit au garde-à-vous.
Oui Sergent! Dès que je peux, avec l'aide d'Occorax on le remonte un peu!

L'instructeur olivierdain revint du bureau de la couturière et vit ses artilleurs au garde a vous.

REPOS SOLDATS

Je vous ai fait venir soldats , car un briefing s'impose Exclamation

Vous allez remette ce mur plus haut comme le sergent vous l'a ordonné

Interdiction d'enlever son uniforme comme vous l'avez fait soldat occorax

Nous manquons énormément d'effectif en ce moment

Tout les soldats qui seront inactif au bout d'une semaine irons au gnouf

Vous remettrez le terrain d'entrainement d'aplomb , je le veux tout lisse car la on diré un terre de guerre.

L'instructeur avait finit son discourt et il vu les soldats très attentif a ce briefing.
soldat julien10 allez au bureau de la couturière pour faire changer votre unfiforme et mette le nouveau de la F.C Exclamation

Tout les deux semaine, il y aura un bréfing soldats!

AU TRAVAIL SOLDATS ET PLUS VITE QUE SA, JE VEUT QUE LE MUR SOIT PLUS HAUT
EXECUTION Exclamation

Julien écouta attentivement les instructions. Dès qu'elle furent terminées, il se dirigea vers le bureau de Maelyn pour qu'elle lui confectionnât un nouvel uniforme.

Occorax vit son instructeur partir cherché son nouvel uniforme, ces beau uniforme qui était magnifiquement bien fait, il se mit au garde vous, quand l’instructeur pris la parole.
Le mur semblait trop petit pour l’instructeur il devait donc encore le faire agrandir.
Il y avait beaucoup de travail à faire et sérieusement, pas beaucoup d’artilleur était la pour aidez un sérieux relâchement de se coté la, déjà il n’était pas beaucoup et si en plus la moitié venait pas très intéressant, il avait compris les ordres il fit donc son salue et dit.

-Bien mon Instructeur, j’ai compris les ordres.

Il retroussa ses manches, et passa sa main dans ses cheveux, il ne savait pas par quoi commencé le terrain était vraiment mal en point, il fallait de la manœuvre, ces pas a quatre que le terrain sera finis et propre, mais bon il ne fallait pas décourager et faire ce qu’on lui ordonnait mais pendant qu’il s’avança devant le dépôt du terrain, la pluie commença a tombé d’abord doucement , mais petit a petit elle devenais très violente , et un grondement féroce se fit ressentir …il y avais de l’orage.

Occorax s’attaqua a bouché les troues dont il avait indiqué les emplacements, il creusa des grosses partie de terre qu’il place a l’intérieur des troues et la boue recouvra tout ensuite, son idée marchait a merveille, déjà plusieurs troue était bouché, mais l’orage se fit ressentir plus violement, son uniforme était trempé et ces bottes remplis de boue, mais il continua, il utilisa le temps il était content de lui.

Malgré que ces yeux était recouvert d’eau et que le terrain avais laissez place a un vrai champ de bataille provoqué par l’orage, mais il y avait au moins une chose de bien dans tout ça il avait rebouché la plupart des troues mais malheureusement pas tous, il était ravie et content de lui, il voulait prévenir son instructeur, mais il ne le trouvait pas, il rangea les pelles et le râteau qu’il avait utilisé et partie en direction du dépôt la au moins il était protégé de la pluie , il en profita pour le rangé un peu.

Le sergent Rivolti, moineau de son espece vit picorer la tete d'olivier et lui tendit un message.

Citation :: Olivier je t'entend gueuler de l'infirmerie fait moins fort et va pas decourager les seuls qui se presentent ici.

Ah oui aide les. C'EST UN ORDRE.
Tu vois je suis capable de gueuler moi meme.

Sergent Jerone.

Ps : Trouve une solution pour que vous tombiez pas malade a cause de cte pluie et que vous puissiez travailler si vous le souhaitez.

olivierdain vu Rivolti lui picoté la tête, il lui le parchemin qu'il tenait, très bien sergent !

Il alla voir occorax et il lui dit:

Venez occorax, Il fait mauvais temps vous risquerez d'être malade avec cette pluie.
Nous continuerons a bouchée les trous manquant et a monté le mur quand il fera beau.

Rentrez dans vos quartiez c 'est un ordre soldat et reposez vous!

Il vu le soldat occorax repartir vers ses quartiers.
Olivierdain était trempez , il commença part ranger l'entrepot 1.
Il y avait des outil partout par terre plein de boue , il commença a les nétoyer puis il les rangeas correctment.

Il balaya l'entrepot pour que tout soit propre pour le lendemain, il regarda dehors il tombée beaucoups de pluie et l'orage était de plus en plus fort!
Le terrain était tout boueux et les crevaces qu'il y avait s'agrandissait, ce n'était plus en terrain mais un champs de bataille.

Il ferma l'entrepot et sortie du terrain au pas de courses et lla dans son bureau .

Le moineau casqué evitant de se faire rotir par un eclair laissa un message sur la porte du terrain d'entrainement.

Citation :: CE TERRAIN EST IMPRATICABLE ET FERME JUSQU'A LA FIN DE L'ORAGE QUI J'ESPERE VA SUFFISEMENT LE LESSIVER POUR EN BOUCHER LES TROUS.

SERGENT JERONE

Apres avoir planté les clou sur la porte avec son bec, l'oiseau rejoinit l'infirmerie en prenant soit de passer par les batiment dont le parlement.

Le maître d'armes observa la scene et ne put s'empêcher de mettre sa main sur son visage et baissa la terre en jurant...

Bon sang de bon sang DE BON SANG !

Djvier arriva un peu énervé suite a l'action du sergent instructeur...

SERGENT JERONE, GARDE A VOUS !!! Evil or Very Mad

MAIS QU'EST CE QUE VOUS FAITES ?
VOUS ETES INSTRUCTEUR VOUS OU QUOI ?

ENLEVEZ MOI CE BOUT DE PAPIER SUR LE CHAMP ET REPRENEZ L'ENTRAINEMENT !

Djvier repris son calme...

J'ai pas dit de relacher votre position, GARDE A VOUS !

Bon, premièrement, vous etes des soldats qui doivent savoir se battre quelque soit le temps !
Deuxièmement, VOUS CROYEZ QUE L'ENNEMI VA ARRETER DE SE BATTRE PARCEQU'IL PLEUT TROIS GOUTES ?

EUX, ILS NE VONT PAS VOUS RATER AVEC LEURS FLECHES !!

ALORS VOUS REPRENEZ L'ENTRAINEMENT !

EXECUTION !

Au fait, vous viendriez me voir dans mon bureau, j'ai quelque chose a vous dire...

Puis Djvier regarda les autres soldats abasourdis...

METTEZ VOUS AU BOULOT !

[HRP : Je suis pas sur le terrain Djivier je suis encore pour un mois à l'infirmerie suite a ma blessure à geneve.]

Le moineau alerta son maitre qui le fit retirer la pancarte et le moineau se posa sur djvier qui rien que par le poids de la bete tomba dans un des nombreux trou que presente le terrain.

Citation :: Mon lieutenant sauf votre respect j'ai pas envie que mes hommes se casse quelque chose parce que ce terrain est completement troué je prefere laisser la pluie battre la terre du terrain afin de boucher les troux plutot que de prendre le risque d'avoir en ma compagnie à l'infirmerie tous mes soldats.

Sergent Jerone, qui veut etre le seul blessé de son corps d'arme.

[ info RP- un moineau casqué hein ?! qui plante des clous avec son bec en plus ! vous viendrez m'expliquer ca dans mon bureau - RP]

Djvier sourit nerveusement et attrapa le super moineau...

C'est pas parce que vous il pleut et qu'il y a des trous avec la boue et que vos hommes vont se casser un ongle qu'il faut arreter les entrainement en sale temps.

Comprenez bien qu'en temps de guerre et il y en a eu une réssament, que les ennemis vont s'arreter de se battre !
une guerre n'est pas propre, une guerre n'est pas rose, il y a des morts des deux côtés, alors si nos hommes ne sont pas capable de poursuivre un entraînement sans soleil, alors, a quoi sert-on ?

Vous etes relevez de vos fonctions.
On ne fait pas son marcher en temps de guerre et dans un terrain d'entrainement, je ne suis pas là pour discuter le prix d'un tapis !
On ne discute pas un ordres direct , c'est çà l'armée et je tiens à vous rappeler que vous avez signé.

Djvier relacha le super moineau pour qu'il delivre le message

Olivierdain se mit au garde a vous devant le lieutenant Djvier
Il assista a la scène entre le lieutenant et le sergent instructeur.
Je me met au travail de suite lieutenant

IL écouta le lieutenant et alla sur le terrain s'entrainer, puis il continua a monter le mur plus haut.
Il alla chercher les pierres ainsi que le mortier.
Il disposa les pierres en alignement et les méta sur le mur et il ajouta le mortier, il répéta plusieurs fois cette manipulation.

Il espérait que ses soldats allez le rejoindre au plus vite , car avec cette pluie ralentissez le mur .

Il prit la brouette dans l'entrepôt et alla chercher d'autre pierres,une fois les pierre dans la brouette, il l'ai méta dedans et il ramena ces pierres au pied du mur, il fais plusieurs allez retours .

Il se dit: mon sergent a été relever de ses fonctions,il ne faut pas que sa m'arrive, il rpit une minute et recommença a travailler durement mais surement.

Occorax qui était en train de partir dans ses quartier, comme l’avais ordonné son instructeur, mais il vit le lieutenant maitre d’arme Djvier , il le salua automatiquement , et aperçu la scène entre le maitre d’arme et le sergent instructeur, le lieutenant maitre d’arme avais pas tort, ces vrai qu’il pouvait continuez l’entrainement lui il avait suivi que les ordres de ses instructeurs, il ne pouvait pas contester les ordres, il s’exécuta maintenant l’entrainement reprenais de plus belle.

Sous la pluie violente, Occorax rangea le matériel que le vent et l’orage avaient provoqué il s’activa parce que son uniforme et ces bottes étaient très salle, il essaya de se salir le moins possible pour quand même gardé une certaine protesté il y avais un supérieur sur le terrain il fallait se montré digne d’être soldat, il travailleras durement en compagnie de l’instructeur adjoint Olivier, et les autres Artilleur qui était pas la … Ca commençais a l’énervé ça par contre mais bon il pris son mal en patiente , et continua de rangé le matériel.

le Moineau refit son apparition sur le terrain en cherchant le lieutenant maitre d'arme et se posa doucement dessus.

Citation :: Mon lieutenant, vous connaissez mes etats de service vous savez où je suis et pouquoi je sais ce que c'est la guerre j'en arrive. Sauf que si vous l'avez remarqué mon terrain est un vrai gruyere et c'est pas à cause de la pluie que je le ferme c'est à cause des risques d'effondrement dû aux nombreuses sapes qui se sont faites ici sans qu'on remmete le sol à neuf. Je n'ai pas encore eu le temps de le faire avant cete orage et j'ai pas envie de me retrouver avec des artilleur qui ont un bras cassé ou une jambe cassée. D'ailleur j'espere que vous arriverez à rejoindre votre bureau sans tomber dans l'un des trous qui ne sont plus signalés à cause de la pluie qui a fait tomber les panneaux indicateurs.

Sergent Jerone.

Le moineau repris son envole mais l'impulsion qu'il a donné sur l'épaule du maitre d'arme le desiquilibra legerement sur la boue qui avait envhis tous le terrain sur lequel on ne disernais plus où etait les trous et où etait les douves devenue marrons par la boue qui coulait dedant.

Julien qui lui aussi, tout comme les autres soldats, retournait à sa garnison entendit le Lieutenant Djivier crier. Il se retourna mais était trop loin pour entendre distinctement ses paroles. Quand le Lieutenant eut fini de parler (crier plutôt^^), il vit que son ami Occorax avait fait demi-tour et retournait au terrain d'entrainement plus vite qu'il n'y était parti. Il courut pour le rattraper et lui demanda ce qui s'était passé.
Son compagnon lui répondit que le Lieutenant avait ordonné aux Sapeurs/Artilleurs de reprendre l'entrainement.

Il se précipita donc accompagné de Occorax au terrain d'entrainement pour continuer le travail. Finalement, il était content qu'il pleuve car la pluie avait déjà bien reboucher les trous. L'inconvénient était que le sol était boueux et que par endroits, il s'enfonçait d'une dizaine de centimètres.

Lui aussi trouvait que certains soldats ne venaient JAMAIS à l'entrainement et qu'ils avançaient 2 fois moins vite, en effet, ils n'étaient que 2 soldats en plus du Sergent-Adjoint Olivierdain. Il se remit donc au travail, les gouttes ruisselant sur sa tête en soupirant.

L'instructeur qui s'était endormi dans l'entrepôt 1 se réveilla et regarda la pluie tomber toujours et il avait beaucoup d'orages , le terrain était boueux.
Il se dit: c'est bien qu'il pleuve la pluie a reboucher tout les trous qu'il y avait sur le terrain.

Il se dirigea vers le mur en construction, et commença a le monté de plus en plus haut, la pluie le gêner beaucoup !

Il monta le mur petit a petit avec occorax et julien10 et tout d'un coup une explosion retentit sur le terrain , un éclair était tomber plein fouet sur l'entrepot 1 ou il y avait les outils .
Olivierdain fut surpris et il se coucha par terre au pied du mur!
Il se dit qu'il avait eu beaucoup de chance, il y avaient plein d'outils qui avait volés au travers du terrain d'entrainement.

Il CRIA: SOLDAT OCCORAX , JULIEN,
Il se releva et alla voir ses soldats , par chance il n'avait rien eu tout les deux.

L'entrepot 1 été explosé il n'y resté plus rien!
Ce n'était qu'un tas de ruine a présent!
Les seuls outils qu'il rester c'est ceux qui était avec nous!

Soldats allez a l'infirmerie vous faire éxaminer, ensuite reveniat sur le terrain!

Il va falloir monté un nouveau entrepôt!

Des événement comme sa ,n'arrive qu'a nous!!! Evil or Very Mad

Le moineau casqué fit son apparition et vint deposer un message à l'instruceur adjoint.

Citation :: ça va ? Pas de blessé je viens de voir ce qui c'est passé par la fenetre verifiez qu'aucun tonnelet de poudre n'a été endomagé et mettez les à l'abris dans notre bureau directement.

Sergent Jerone.

Occorax qui était au coté de l’Artilleur Julien, travaillait tout les deux sous la pluie violent et un orage qui ne s’arrêtait plus, la pluie et la boue avait rebouché la plupart des troues mais avais fait beaucoup de dégât sur le terrain d’entrainement, Julien et lui travaillait d’arrache pied sur le rangement du matériel, il aimait bien ce nouveau Artilleur il était au moins assidu a l’entrainement et voulais en donnez il travaillait sans râler et donnais le meilleure de lui qui fessait un bon Artilleur.

La pluie continuais de tombé et le tout le matériel n’était pas rangé, il y avait des dizaines de pelles et de râteau a terre et il fallait qu’il ramasse toute, il venait d’y pensé que il n’avait pas encore fait d’explosion depuis qu’il était arrivé chez les Artilleurs, il espérait pouvoir enfin gouté a une petite explosion et entre le bruit sourd des explosions.

Mais pendant qu’il aidais son instructeur a faire monté le mur , un éclair percuta le dépôt , Occorax surpris et a la fois émerveillé resta sur place a regardé cette belle explosion , mais il revenais vite a lui et sauta sur Julien pour le mettre a terre , pour le protéger des débris et d’outil qui vola partout , Occorax se releva , il y avais rien il était juste très content d’avoir vu l’explosion et encore sous le choc de l’émotion, il ramassa une pelle pour enlevé les débris qui était a terre , mais il vit une chose briller dans le ciel qui s’approchait a grand pas , non … sa volait , de peur que soient un débris ou autre , il pris la pelle et frappa violement , il se précipita sur la chose dont il avais frappé , et surpris il lâcha un cris d’effroi , ce n’était qu’autre le « moineau du sergent Jerone » il avais même un message a l’intérieur , mais quel idiot il avais peut être tué un pauvre moineau casqué.

Il se précipita vers son instructeur Olivier, mais celui si lui recommanda d’allez a l’infirmerie, il ne voulait pas contester les ordres mais il y avait plus grave à s’inquiéter.

-Mon Instructeur je vous rassure que je vais bien et allez a l’infirmerie pour rien, cela ferras pas avancé les choses et en plus j’ai fait une gaffe, sans le vouloir j’ai frappé le moineau de Jerone qui fonçait donnez un message, voici le message et le moineau est la bas a terre je ne sais pas si il est mort ou pas.

Occorax avais peur qu’il se mange une sanction, il ne l’avait pas fait exprès mais il espérait que se pauvre moineau casqué allait bien, pauvre de lui …

Julien qui travaillait assidument, vit un autre éclair, beaucoup plus lumineux cette fois-ci. Soudain, son ami Occorax lui sauta dessus pour le protéger de l'explosion causée par l'éclair, auquel il n'avait prêté d'attention, étant à présent habitué de travailler avec des illuminations de temps à autres... Il se releva, remercia beaucoup Occorax et lui demanda s'il n'avait rien. Heureusement, ils étaient tout deux sains et saufs.

Il recommença le travail mais entendit un bruit metallique sourd ; il se retourna et vit le moineau de Jerone étendu sur le sol. Il alla vers lui, s'agenouilla à côté et "prit son poul". Il était vivant mais il avait du prendre un gros choc.
C'est toi qui l'a frappé? demanda-t-il à moitié amusé à son ami, Tu as eu de la chance, tu as frappé sur son casque et il n'est pas mort...Par ocntre, il doit être en train de faire un gros dodo après ce coup sur la geule^^.

Il Julien se remit à travailler durement, toujours sous la pluie et l'orage, ce dernier qui cessait peu à peu...

Olivierdain regarda ses soldats et il vu qu'il ne leur ai rien arrivés.
Occorax avait accidentellement frappé rivolti le moineau du sergent.

Julien met le moineau sur le côté, laisse le dormir Exclamation

Olivierdain aida ses soldats a ramasser les outils qui était éparpillés sur le terrain .
Il rassembla tout les outils et les trias , puis il les mis dans l'entrepôt 2.

Heureusement les 2 autres entrepôts n'ont pas été touché par l'explosion.
Il appela ses camarades et il leur dit:

Nous allons finir ce mur et dés qu'il fera beau nous nous occuperons du terrain .

Olivierdain apporta le mortier et le torchis a Occorax et julien, occupez vous de cela et moi je vais chercher les pierres avec la brouette.

Il pris la brouette et alla chercher les pierres au fond du terrain il faisa attention a ne pas tomber

Il pris les dernièrre pierres et ramena la brouette au pied du mur ou se trouver deux de ses soldats qui monté le mur pierre par pierre.

Avec tout ceci notre mur sera haut et trés dur.
Je vous apprendrez a vous servir des explosifs car pour les machines et faut être plusieurs et coordonnés.

Allez soldat courrage, la pluis ne cessait de tomber et l'orage était toujours présent.
L'uniforme des soldats était trempés comme le mien.

Rien nous empêchera de continuer a monté ce grand mur de pierre

Occorax, en revenais pas encore qu’il avait fait du mal a un pauvre moineau qui avais rien demandez, peut être cela lui avais rendu service, il envoyait beaucoup de message ces temps si, il pouvait enfin se reposé a présent un bon point.

L’instructeur avais raison, rangé le terrain il le fallait mais avec se temps c’était presque impossible, l’explosion « magnifique » avait fait elle aussi beaucoup dégât, bref le terrain ressemblait plus a un champ de bataille que d’un terrain d’entrainement.
Ils devaient faire un peu plus monté le mur, et le rendre haut et résistant une tache ardu mais fallait le faire, le mauvais temps arrangeait rien et rendait le mur fragile en temps que guerre construire un mur rapidement apporterait bien des choses, et ces pour cela même fatigué et que le temps était défavorable il fallait le faire, cela servait et cela rendait au mieux la suite de l’entrainement.
Mais l’instructeur ramenait du matériel, le mortier et le torchis il ne connaissait pas ces nouveaux matériels, il espéra que sont instructeur lui en expliqua l’usage.

Occorax était content enfin il allait connaître les bruit d’explosions, enfin il connaissait mais les voit de prêt et en crée cela était une autre chose, même si la pluie battait de plus belle, il continua la monté de se mur.

Les soldats avaient bientôt fini de construire le mur. La pluie avait cessé mais les nuages étaient toujours présents et menaçants dans le ciel. La pluie recommencerai surement à tomber le lendemain, mais normalement, la nuit serait moins agitée.
Julien en profita donc pour accélérer sa vitesse, car il avançait au moins deux fois plus vite sans la pluie. Ils allaient aussi devoir reconstruire l'entrepôt 1.

Jehanic avait du s'absenter 2 ou 3 jours. Il en avait profité pour potasser un peu les manuels des catapultes, couillards et autres engins qu'il avait hâte de voir en action. Alors qu'il se rendait sur le terrain d'entrainement un orage terrible s'était abattu et il avait du se mettre à l'abri. Rt une fois l'orage passé, lorsqu'il parvînt au terrain quelle ne fut pas sa surprise de voir un entrepot ravagé. Il courut dans la gadoue vers l'instructeur Olivier qu'il salua conformément aux règles de l'armée et demanda ...

Mais que s'est-il passé ?

Olivierdain travaillait avec les soldats quand il vu un soldat de loin, un jeune recrue jehanic

IL salua le soldat jehanic salut

et il lui dit: je veux vous voir dan mon bureau tout de suite soldat Exclamation

Olivierdain sortit du camp d'entrainement avec la jeune recrue en direction de son bureau !

Une flèche au bout rond se planta sans difficulté dans le sol boueux du terrain à coté de Julien et Occorax. Un message y etait accroché.

Citation :: Dites moi mes petits vous avez pas vu Rivolti ça fait des heures que je vous l'ai envoyé et il est pas rentré. J'espere qu'il s'est pas pris un eclaire sur la tete le pauvre j'y suis tres attaché je l'ai connu au Gnouf lorqu'il etait tout petit depuis il m'acconpagne partout.

Sergent Jerone

[HRP : Jérone, tu as été sanctionné et donc relevé de tes fonctions : merci de ne plus rien envoyer]

Le capitaine avait été entendu le bruit, elle vint voir ce qui c'était passé, et si personne n'avait été blessé.
Vite trempée et pataugeant dans la boue, elle rejoignit les sapeurs. Elle vit la remise détruite.

Repos soldats, qu'est-il donc arrivé à cette remise ?

Sa jupe s'accrocha à un bout de bois planté au sol. Tirant dessus pour la dégager, elle vit qu''il s'agissait d'une flèche. Et bien, les archers ou les arbalétriers sont efficaces.
Quoique cela ne devait pas provenir d'eux vue le bout de parchemin trempé qui pendouillait. Elle le prit mais c'était illisible, l'encre était détrempée par la pluie.
Elle le jeta par terre.

L'instructeur adjoint lui expliqua ce qui s'était passé. Rassurée, Macricri leur demanda de sécuriser la poudre et d'en finir au plus vite vue le temps.

Elle s'apprêtait à partir quand Olivierdain lui parla du moineau de Jerone.

Donnez le moi, je vais le lui rendre. lLe sergent intructeur Jerone a été mis à pied, veuillez ignorer ses missives à l'avenir tant que le maitre d'arme ne lui ait pas rendusdans ses fonctions.
Allez courage Sapeurs.
Venez vous réchauffer au Soldat Assoiffé, je vous paierai une tournée.

Le capitaine prit la direction de l'infirmerie.

Occorax qui travaillait sur la monté du mur, il aperçut du haut de celui si, le capitaine, a cette instant précis son cœur battait rapidement et il transpirait, il avait peur qu’elle vienne le sanctionner d’avoir tué un moineau, le moineau de Jerone, il descendit rapidement du mur ou il travaillait dessus, il y a quelque seconde, et fit son salue automatique.

Mon Capitaine salut

...

Mais elle regardait la remise et demandait des comptes de ce qui c’était passez ici, soulagée de pas encore se justifié, il ne bougea pas de ou il était, et regardait sans cesse le capitaine en attendant qu’elle appelle.
L’instructeur adjoint pris le pigeon de Jerone et se dirigea vers le capitaine, Occorax attendait son heure et savoir qu’elle était proche était un supplice mais contre tout attende le capitaine, ne disais rien, elle semblait plus être énervé par Jerone, son cœur et surtout son corps se sentie libre a présent , si il aurait pu criez et éclater de joie il aurais fait , mais préféra gardez son émotion pour lui , puis le capitaine tourna les talons , Occorax la salua automatiquement , puis avec le moral et la crainte enlevé de sa sanction il repartie travaillez.

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