[Clos] Fulbert_lestemain - TALP (procès mairie)

Dernière édition par le Mar 2 Oct 2007 - 18:23, édité 2 fois

Acte d'accusation

Citation :: * Rubella était maintenant tout à fait à l'aise*

Messer Juge,

Moi Rubella, Mairesse de Pontarlier, vient déférer devant Vous le troisième Larron qui aida à la prise, dans la Nuit du 16 au 17 Septembre, de la Mairie de Luxeuil. Je l'accuse de Trouble à l'Ordre Public en Vertu de l'Article UN du Chapitre TROIS du PREMIER Livre de nos Lois.

Vous trouverez toutes les Preuves contre lui avec les autres.

Accusé levez-vous et venez vous défendre à la barre.

A Dole le 17 Septembre de l'An 1455. Procès Préventif sur Ordre du Franc-Compte Debenja

Première plaidoirie de la défense

Citation :: Lestemain arriva, un air innocent sur le visage....

- Votre honneur, c'est avec etonnement que je me retrouve parmi vous aujourd'hui même...
Je n'ai de mémoire causé d'autre trouble que de venir me relaxer loin de ma Bourgogne natale et chemin faisait, deviser avec la charmante Affixe..
J'ai donc pour tuer l'ennui du voyage qui m'attendais joint son groupe en esperant, je vous l'avoue, faire un peu plus connaissance avec elle...Peste ! Est ce un crime que d'apprécier voyager en compagnie de jolies femmes plutôt qu'avec quatres paysans crasseux ?
Si c'est le cas, qu'on me pende! J'ai peche plus souvent qu'il n'en faut...Sinon, que l'on cesse cette mascarade grotesque.

Citation :: Réquisitoire de l'accusation
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Dernière plaidoirie de la défense

Citation :: Peste, me voilà de retour en Franche comté pour assister à la suite de cette parodie de procès et voici que le procureur ne réagit même pas à ma plaidorie...
Votre honneur, je n'exige aucune excuse, car l'erreur comme la justice est humaine, mais que l'on cesse cette pantalonade par pitié...

Verdict demain.

Verdict

Citation :: Accusé, levez-vous.

*A des dizaines de lieues, l'accusée se leva comme par enchantement (c'est ça, la magie de la justice).*

J'aurais aimé vous revoir dans d'autres circonstances, j'avoue, messire...

Non pas que le procès lancé par cette chère mairesse pontissalienne m'indispose, mais j'ai comme l'impression qu'il fait doublon.

Nous vous jugerons donc dans la salle à côté.

Veuillez nous excuser pour cette doublonnité et ce procès un peu inutile en soi.

Fait à Dole, le second du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent cinquante cinq, par Pinss, juge de Franche-Comté.