[Cours] les Fantassins

Cours: De l'équipement

1. L'équipement basique du fantassin.

Citation :

Très vite, on comprit que se défendre du combat était aussi important que porter un coup à l'ennemi. Le terme "armure" n'apparaît qu'au XVe siècle pour désigner les protections en aciers, auparavant on parlait d' harnois ou d' adoubement. Les premières armures étaient faites en cuir, les Grecs et les Romains utilisèrent le bronze. A la chute de l'empire, l'armure disparût, les barbares ne portaient qu'un bouclier et un casque. A l'époque carolingienne, l'armure réapparaît, on plaçait des pièces de métal (écailles, rectangulaires, anneaux) sur une large étoffe, c'est la broigne, utilisée par les Carolingiens et les Normands. Au XIIe siècle, on adopta le haubert (cotte de maille), véritable tissu de métal. Un capuchon de maille et des gants de peaux complétaient parfois l'équipement. Puis, au XIIIe siècle, on complétait la cotte de maille avec des gantelets et des chausses de mailles, on ajoutait ensuite des pièces de fer, car le haubert était vulnérable aux armes de choc (masse, marteau). Puis bras, torse, coudes, jambes furent tour à tour protéger. Au XIVe siècle, il y eut une transition entre la cotte de mailles et l'armure de plates complètes, avant d'être abandonnée par l'apparition des armes à feu.

L'armet:

vient du vieux Français hiaumet. C'est un petit heaume qui fut utilise à partir du XVe siècle à la place du bassinet.

La visière:

Pièce articulée de l'armet protégeant la figure.

Le plastron:

partie de l'armure protégeant la poitrine et qui, réunie à la dossière par des courroies de cuir, des charnières ou des crochets, forme la cuirasse.

Les tassetes:
Pièce de fer, attachée à la braconnière et couvrant la cuisse. Il ne faut pas la confondre avec le cuissot qui était la pièce d'armure portée directement sur la cuisse. La tassette venait en fait renforcer la protection et faisait partie de l'armure de plates.

Les Cuissards:

Pièce d'armure recouvrant la cuisse. Le cuissot fit son apparition vers le milieu du XIVe siècle. Avant cela, les cuisses étaient protégées par le bas du haubert ou du gambison. Les premiers cuissots se résumaient à une lame d'acier d'environ 10 centimètres au dessus de la genouillère. D'autres pièces furent ensuite ajoutées pour recouvrir une plus grande partie de la cuisse. Les cuissots articulés furent remplacés par une pièce unique attachée grâce à une courroie et rivée à la genouillère. Ils ne couvraient au début que le devant de la cuisse. Vers la fin du XIVe siècle, commencèrent a apparaître des cuissots enveloppant totalement la cuisse. A cette époque, on portait également des cuissots composés de plaques d'acier insérés dans de la toile épaisse ou bien rivetés par dessus une pièce de peau. Ils étaient très pratiques et protégeaient bien contre les coups de taille mais n'étaient pas très efficaces contre les coups d'estoc.

Les Spallières:

Pièce d'armure de fer couvrant l'épaule. La spallière remplaça l'ailette, qui n'était pas très pratique, vers le milieu du XIVe siècle. Elle était d'abord demi-sphérique et fixée par une courroie passant sous l'aisselle. Au XVe siècle, elle devint une partie importante de l'armure de plates et se composait souvent de plusieurs plaques de métal articulées.

Les Brassards:

Partie de l'armure de fer couvrant le bras de l'épaule au poignet.Composé d'une seule pièce articulée pour pouvoir plier le bras, le brassard fut adopté vers la fin du XIVe siècle..

Les Cubitières:

Pièce d'armure protégeant le coude utilisée des le XIIIe siècle. Les premières cubitières se composaient simplement d'une pièce de fer de forme conique et attachée au haubert par une sangle. Elle ne couvrait que l'arrière du coude et c'est au XIVe siècle qu'on commença à employer des cubitières enveloppant également les côtés du coude. Au XVe siècle la cubitière de fer fait partie de l'armure à plates portée par les chevaliers.

Le canon d'avant-bras:

pièces métalliques en « tuyau » de l'armure protégeant les bras.

Les Gantelets:

Pièce d'armure protégeant la main. Jusqu'au XIVe siècle, la main était protégée par un gantelet de maille sur gants de cuir qui ne laissait que le pouce libre de mouvement. Durant la première partie du XIVe siècle, des gantelets plus perfectionnés apparurent.Ils étaient fait de plates de fer fixées sur un gant de peau. Pour faciliter le mouvement des doigts, des plates différentes étaient disposées sur chaque phalange. Dans la seconde moitié du XIVe, le poignet est également articulé. Des le début du XVe siècle, l'armure de fer du gantelet est indépendante du gant de cuir et le pouce est articulé au moyen d'une charnière qui permet le mouvement en tout sens. Les Anglais et les Allemands étaient les plus avancés dans la fabrication des gantelets. A la fin du XVe, il arrive souvent que les doigts ne soient plus détachés mais réunis et articulés ensemble. La main qui ne portait pas l'épée, généralement la gauche, était équipée d'un gantelet différent, appelé "bras de fer" et destiné essentiellement à tenir les rênes de la monture

Les Grenouillères à Ailettes:

Pièce d'armure protégeant le genou. Les premières genouillères apparaissent au XIIIe siècle. Elle pouvait avoir différentes formes: plates, coniques ou en demi-sphère. Les premières étaient composées d'un morceau de peau remontant sur la cuisse sur lequel était attaché une plaque de fer. Ensuite, la pièce de fer se fixe directement sur les armures de cuisses au moyen d'une courroie. Certaines étaient munies de pointes empêchant de saisir le cavalier par les jambes. Les ailettes servaient à protéger des coups portés au niveau du genoux.

Ceci est une armure complète. Toutesfois, n'ayant pas tous les moyens de nous revêtir autant, nous combattrons généralement dans des armures plus basiques et plus légères:



Composée d'une Cotte de mailles complétée de chausses et de gantelets, d'un surcot, et d'un heaume cylindrique

Cours: De l'armement

Artix a écrit:

Je vous propose un cours sur les épées, surtout pour les fantassins et en renseignement pour les archers et arbalétriers et autres porteurs d'épée courte.

Qu'est-ce qu'une épée ?

Une épée est une lame de plus de 30 centimètres.
Les épées constituent les armes les plus populaires grâce à leur solidité, facilité au maniement (par rapport à d'autres armes) et enfin, elles ne sont pas trop encombrantes.
Elles offrent de bonnes possibilités de parades pour se défendre.


Description

L'épée est une arme blanche à double tranchant composée d'une lame droite en métal pourvue le cas échéant d'une gouttière (dépression longitudinale), d'une poignée et, dans certaines époques, d'une garde protégeant la main et d'un pommeau.

La forme de l'épée détermine son utilisation :
* de taille : coup portée avec le fil de l'épée (l'arrête tranchante) (forme la plus répendue)
* d'estoc : coup porté dans l'axe de l'épée pour transpercer son adversaire.

Une épée de taille est souvent aussi redoutable utilisée d'estoc.


Gouttière :
la gouttière est un "trou" au milieu de la lame qui permet de l'alléger pour la rendre plus maniable.






Poignée (ou fusée) : elle permet la tenue de l'épée. Même si l'épée se manie souvent à une main, généralement elle est assez longue pour permettre une prise à deux mains aisée.

Pommeau : c'est le bout de l'épée, la retenue de la main en bas de la poignée.

Garde ou Quillons : les quillons sont les 2 "ailettes" qui protège les mains lorsque les lames se croisent. Ils sont droits ou courbés. Certaines armes possèdent aussi une garde qui recouvre toute la main et qui est reliée au pommeau.




Différentes épées



Épée longue :
Poids d'environ 2 kg pour une longueur de 1m, elle est l'arme des fantassins et des troupes de corps à corps.




Épée courte :
Elle est l'arme des archers, arbalétriers et autres couards. Elle leur permet d'avoir une arme de corps à corps pas encombrante dans le cas d'une attaque rapprochée.




Dague :
(n'est pas une épée néanmoins je la mets ici pour information). Elle est l'arme des voleurs, des assassins. Petite, très maniable, munie d'une lame de 20-30 cm c'est une arme facilement dissimulée. C'est aussi un outil de secours en cas de perte de votre épée.




Épée bâtarde :
Elle est l'arme des grands guerriers. Très longue (1.3m), munie d'une poignée permettant de la portée à 2 mains, elle est aussi appelée "épée à une main et demie" : utilisable à une ou deux mains, semblable à l'épée longue utilisée avec un bouclier.



Rapière
Arme d'estoc à la lame longue et fine, légère, qui possède souvent une garde protegeant toute la main.

Remarquez la garde qui couvre la main

Tenue de l'épée

Les épées sont portées au côté gauche au moyen d'un double pontet vertical (sorte de boucle rigide).

Pour obtenir une plus grande précision, il ne faut pas tenir son épée comme un simple marteau, mais passer l'index au delà de la garde et le replier.

Citation :

Les armes de corps à corps les plus utilisées:

L'épée :

C'est l'arme la plus utilisée par l'homme d'arme du Moyen Âge. L'époque carolingienne voit s'installer l'épée longue (les Romains utilisaient des épées courtes). Elle devint alors une arme noble et le chevalier lui donnait parfois un nom (Durandal, l'épée de Roland). A la fin du XIIe siècle, la poignée devient plus longue pour être portée à deux mains. On distingue deux types d'épées, lames légères et lourdes qui servent à frapper d'estoc ou de taille (de la pointe ou du tranchant), les chevaliers possédaient souvent les deux types de lame.

La lance :

C'est une arme très ancienne, on utilise un long bâton équipé d'une pointe en fer. Au XIe siècle, la lance ne dépassait pas trois mètres, elle servait à charger l'ennemi. On y ajouta une garde d'acier pour protéger la main du chevalier. Au XIVe siècle, on utilisait un crochet fixé sur l'armure afin que le chevalier puisse maintenir la lance sous l'aisselle. La lance fut ainsi plus longue et plus lourde.



Le fléau :

C'est un manche de bois muni d'une chaîne métallique sur laquelle est accroché une masse de fer, les Français ne l'utilisaient que très peu. Elle était particulièrement destructrice pour les hauberts, elle fut ensuite rallongée, pour atteindre les cavaliers. La masse était généralement sphérique et armé de pointes. Une variante du fléau : le goupillon possédait plusieurs chaînes garnies de boules à pointes acérés.



La hache:

Les peuplades germaniques furent les premiers à utiliser la hache (outil) au combat. Les Francs utilisaient la francisque (hache courte à une lame), qu'ils pouvaient lancer à 3-4 mètres pour ouvrir le combat. Ils utilisèrent plus tard la hache Danoise, longue (1m50) tenue à deux mains. Au XIVe siècle, des haches nouvelles apparurent (hallebarde), pouvant frapper de taille et d'estoc (tranchant et pointe).



La masse :

Composée d'un manche et d'une tête garnie de pointes, on l'utilise dès le XIIe siècle. La masse pouvait briser un crâne ou même casser un membre à travers le haubert. Plus tard, la masse était formée d'une série de lames, le manche fut fabriqué en fer pour éviter qu'il se casse.

Citation :

Pendant l'âge sombre, les fantassins étaient prédominant dans les armées, la tactique était simple, on s'approchait de l'ennemi et on lui donnait de grands coups d'épées. Les Francs lançaient leurs haches avant de se précipiter sur l'ennemi pour briser leurs rangs. L'arrivée des chevaliers éclipsa l'infanterie, qui manquait de discipline et d'entraînement, il s'agissait souvent d'une milice de paysans. Les Saxons et les Vikings utilisaient leurs bouclier en avant pour se protéger des archers et des cavaliers. Les pays vallonnés (Écosse, Suisse) apprirent à utiliser l'infanterie contre l'ennemi, les lanciers et piquiers armés de lances et de pointes pouvaient ainsi mettre en déroute une cavalerie. Les Écossais plaçaient un cercle de lanciers pendant leurs guerre d'indépendance. Les Suisses se spécialisèrent avec l'utilisation des piques en réadaptant les formations de phalanges grecques. Pour contrer ces lourdes formations serrées, les Espagnols eurent l'idée d'utiliser l'artillerie, puis chargeait avec une infanterie équipés d'armes légères.

Citation :

Au Moyen Âge, à l'exception de Crécy, Bouvines ou Azincourt, il n'existe pas vraiment de grandes batailles. La majorité des opérations militaires consistent à éviter la bataille rangée et l'affrontement en rase campagne. La majorité des conflits ne sont que des escarmouches ou des embuscades (cependant meurtrières), des raids et des opérations relativement courtes mais avec des déplacements relativement longs en raison de la progression lente des armées. Souvent, dans les conflits locaux, il s'agissait de mettre en difficulté son adversaire en l'affaiblissant militairement (perte d'hommes, de matériel...) et économiquement (demande de rançons, destruction des ressources). Ainsi, il était coutume d'engendrer la crainte et la terreur, ce qui explique les sacs, pillages et autres rapines qui touchaient le plus souvent des populations pauvres et innocentes.

Citation :

Le plus souvent, une armée était une combinaison de cavaliers et d'hommes à pied, ce qui aboutissait à un dispositif assez complexe qui était l'œuvre de grands tacticiens comme Charles le Téméraire par exemple. Il ne faut pas oublier qu'à l'époque, il n'existait pas de cartes d'état-major. Les commandants en chef n'avait une connaissance du terrain qu'en employant des espions ou des guides locaux. L'usage des cartes n'apparaît qu'au cours du XVe siècle pour les opérations terrestres, alors qu'on en employait depuis le XIIIe siècle pour les expéditions nautiques.

Citation :

Refusée la plupart du temps, la bataille rangée était cependant le point le plus culminant de toute campagne. Il existe trois types de combattants au cours des batailles :
• La cavalerie montée : Constituée de 3 ou 4 rangs de cavaliers formant une « bataille ».L'ensemble était constitué de petits groupes tactiques appelés « conrois » groupés autour d'une bannière représentant une famille ou un seigneur. On formait alors des blocs de cavaliers et de lances le plus serré possible. Les cavaliers se mettaient lentement en route pour conserver l'alignement, puis accélérant au moment d'arriver sur l'ennemi. Le but était de disperser l'ennemi, pour former des groupes isolés facile à vaincre.
• La cavalerie démontée : La tactique était d'attendre l'attaque de l'adversaire. Cela pouvait durer longtemps... Elle était très utilisée par les Anglais, les Français, quant à eux l'appréciaient peu et l'employèrent bien trop tardivement.
• L'infanterie : Le corps d'infanterie avait trois dispositifs de combats : en ligne de front sur quelques rangs formant une sorte de rempart ; en cercle très en usage chez les Suisses, employé par les Français à Bouvines ; en bloc comme la bataille en forme de quadrilatère, auquel s'ajoute un triangle d'hommes faisant face à l'adversaire. Une telle formation de 10 000 hommes occupait une surface de 60 m sur 60.

Du lieutenant Franchesco :

Citation :

Manuel des lances.

I/Le Javelot, la Sagaie, le Harpon et le Pilum.

Prenez la vers le milieu. Ecartez les jambes, votre pied fort en avant. Levez
le javelot au niveau de votre tête. Inclinez votre bras vers l'arrière.
Avant de lancer, vous devez savoir qu'il ne faut pas lacher n'importe quand.
Il faut le lacher au bon moment. Pas trop tard, sinon il se plantera au
sol près de vous. Ni trop tôt sinon il ira haut mais pas loin. Lancez
le donc ou quand votre bras et perpendiculaire au sol. Mais le mieux,
c'est juste avant. Il aura ainsi une trajectoire en arc de cercle
parfaite !

C'est comme les fléchettes mais en plus grand.

Le Pilum peut être utilisée au combat raproché contre les chevaux.


II/Le trident, la Fourche et la Fourche de guerre.

Saisissez les de vos deux mains. Une vers le bas de la lance, l'autre vers le
milieu. Pour parer, utilisez le manche de l'arme en l'opposant à l'arme
adverse. Pour l'attaque, faites confiance à votre instinct. Usez de
ruse. N'oubliez pas que le manche peut aussi être utilisé, il n'y a pas
seuleument la pièce métallique. Le coup de manche revient à un coup
d'estoc avec une épée. Ainsi, vous pourrez tapper le genou d'un ennemi
et le faire s'agenouier avec le manche avant de le soumettre à la
rédition en posant la pièce métallique au niveau de sa gorge.


III/La Lance et la Lance primitive.

Comme pour le javelot, mais encore plus grand. Réservé donc aux personne aux grandes capacitées physiques.


IV/La Lance de tournoi et la Lance lourde.

Utilisé lors des joutes de cavalerie. Un peu inutile donc aux fantassins.


V/Le Pique et la Sarissa.

Très longues lances que nous reserveront là aussi aux cavaliers.


Manuel des petites haches.

I/La Hache d'arme, la Hachette, la Hache de pierre et le Kama.

Prenez là au niveau du manche. Une main peut suffir. En suite, rien de plus simple, frappé l'ennemi de toute vos forces.


II/La Hache de jet.

Petite hache destinée au lancé. Vous pouvez en porter plusieurs à la ceinture
et les tiré sur un ennemi un peu éloigné. Comme si vous vouliez lancé
un couteau sur quelqu'un.
Prenez donc le bas du manche. Dressez le hache parralelement à vous puis lancez la en la faisant tournoyer.



Manuel des grandes haches.

I/Le Cognee, la Hache de bataille, la Hache de guerre, la Hache et la Hache runique.

Saissez les de vos deux mains. Une au bas du manche, l'autre au milieu. Vous
pouvez parrer grace au manche en l'opposant à l'arme adverse. Pour
attaquer, frapper tout simplement !
N'oubliez pas que le manche peut servir, comme un coup d'estoc avec une épée.
Un coup de manche dans les cotes et un coup de hache final sur l'ennemi qui sera recroquevié.


II/La Hache nordique.

Utilisez la comme un Trident. Sauf q'au lieu d'embroché l'ennemi, vous le fraperez tel avec une Hache de guerre.

Manuel des masses.

I/La Massue, le Casse tête, le Marteau, la Masse d'arme, la Massue clouée, le Bec de crobin et le Morgenstern.

Saisissez les au manche. Une main peut suffir. En suite, frappez tout simplement
l'ennemi. C'est un marteau, alors dans les cotes ou sur la tete peut de
diffétrence. Tappez simplement fort. Après, à vous d'être tactique.


II/Le Bec de corbin lour, la Masse de guerre, la Masse et le Marteau de guerre.

Comme ci dessus à la différence que ces armes se portent à deux mains. Pour
parer, faites comme avec un trident. N'oubliez pas, là aussi, le manche
peut servir.

Manuel des grandes épées.

I/La Claymore, L'espadon et l'Epee nordique.

Saisissez les à deux mains. Les deux sur la poignée. Parez comme avec un trident,
en opposant votre lame à la lame ennemi. Pour tapper, et bien, c'est
une épée.

Manuel des armes d'hast.

I/La Langue de boeuf, le Fauchard, la Vougue, la Chauve sourie, la Demi lune, la Pertuisane, le Nagitana et le Partisan.

Comme pour le trident. Saisissez de vos deux maine. Une au milieu, l'autre
plus bas. Ces armes sont tranchantes aussi, préferrez "planter" que
frapper.
Pour parer, opposez le manche à l'arme ennemie. La aussi, n'oubliez pas le manche.


II/La Hallebarde et la Baldiche.

Comme ci dessus à la différence que vous preferez "couper" à "planter".