Le château de Dole
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 [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein

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ThomasHawk
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ThomasHawk


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MessageSujet: [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein   [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein EmptyJeu 23 Oct 2008 - 20:04

La Guerre contre le Baron Hobstein


Dates: 18 au 23 février 1454.

Récit:

Le premier grand événement qui mobilisa à grande échelle les forces militaires franc-comtoises fut la courte guerre menée par les Franc-comtois contre le Baron Hobstein. Cet événement est la première trace de mobilisation et d’organisation d’ensemble des différentes garnisons du Comté, dans le cadre d’un objectif unique.

Le Baron Hobstein, l’homme par qui le conflit arriva était un individu étrange, à la fois fascinant et effrayant, suscitant admiration et mépris. Son passé de chef de guerre en avait fait un proche de l’Empereur qui, conscient qu’il valait mieux avoir le Baron dans son camp que dans le camp adverse, lui avait octroyé faveurs, titres et terres.
Sur le plan politique, le Baron s’était montré nettement moins bon stratège sur les champs de bataille. Conscient que le jeu de finesse que l’échiquier politique lui imposait ne lui conviendrait jamais, il avait recours aux moyens les plus vils pour arriver à ses fins. Menaces, pressions, chantages, corruption et coups de force étaient, pour le Baron, les voies les plus faciles pour faire valoir ses intérêts. Les quelques opposants qui s’étaient dressés sur sa route gardaient de profondes séquelles de leur témérité, quand il leur restait encore un souffle de vie pour regretter celle-ci.

En février 1454, le Baron Hobstein arriva en Franche-Comté où l’Empereur lui avait cédé quelques terres. Ces dernières étaient n’étaient toutefois, et au grand déplaisir de leur propriétaire, que quelques lopins de terre incultivables et dénués de toute valeur.
Il en fallait cependant plus pour décourager le Baron qui, arguant d’un héritage fantaisiste, affirma que les terres des villages de Poligny et Saint-Claude étaient siennes. Poursuivant sa logique, il envoya aux maires des émissaires chargés de transmettre un ultimatum ne souffrant d’aucune possibilité de négociation. Les municipalités de Poligny et Saint-Claude devaient payer un lourd impôt au Baron, pour avoir le droit de vivre sur ses terres. Faute de quoi, tout édifice construit serait rasé, toute culture brûlée et tout homme vivant chassé ou tué.

Bien que renseignés sur la dangerosité du Baron Hobstein, les deux maires s’opposèrent catégoriquement à ses exigences. Plus encore, ils firent savoir au puissant teuton qu’il était devenu personae non grata sur le sol franc-comtois. C’est à présent lui qui recevait un ultimatum sans appel, lui intimant l’ordre de quitter la région dans les plus brefs délais.

S’attendant à pareille réaction, le Baron Hobstein ne mit pas beaucoup de temps pour rassembler une armée relativement conséquente. Une horde rassemblant des mercenaires de toutes les contrées du Saint-Empire se masse rapidement dans le sud de la Franche-Comté. Chaque coup de force mené par le Teuton s’accompagnait d’un lot de pillage et de vols. Il n’en fallait évidemment pas plus pour attirer à sa suite une volée d’individus sans scrupules et guidés uniquement par l’appât du profit.

Un tel rassemblement ne passa évidemment pas inaperçu et très rapidement l’alarme sonna. A Dole, l’affaire fut prise avec le plus grand sérieux. Le Capitaine Bralic et sont Etat-Major furent enjoints d’organiser sans délai la défense des deux villages menacés.
Toutes les garnisons militaires de la région furent mobilisées. Les soldats de Luxeuil et Vesoul partirent épauler leurs camarades de Poligny tandis que ceux de Pontarlier gagnaient Saint-Claude.

Partout les hommes se préparaient à la guerre. Les militaires fourbissaient leurs armes, les ingénieurs veillaient au renforcement des fortifications, les officiers étudiaient les tactiques à même de surprendre l’adversaire. Les réserves se remplirent de provision, dans l’éventualité d’un siège qui, en plein hiver, serait inévitablement d’une rudesse absolue.

Quelques patrouilles d'éclaireurs furent envoyées en reconnaissance. Les hommes du Lieutenant Nikos, notamment, dûrent détruire un pont stratégique. Le Lieutenant Sirkis, lui, parvenait à tuer un espion à la solde du Baron, récupérant au passage des documents forts précieux.

Le 21 février 1454, les troupes du Baron Hobstein montèrent à l'assaut de Saint-Claude. Armés de lourds beliers, elles tentèrent de forcer les portes Sud du village pendant que les archers teutons faisaient pleuvoir, par-dessus les remparts, une pluie de flèches enflammées.

Nombreux furent alors les soldats et civils qui tombèrent à Saint-Claude mais la défense ne faiblissait toutefois pas. Du haut des murs, les militaires infligeaient, eux aussi, de lourdes pertes à l'ennemi.

Voyant que les portes allaient céder, le Capitaine Bralic ordonna de faire exploser le pont y menant. Le choc fut d'une violence rare et prit les hommes du Baron Hobstein complètement au dépourvus. Un grand nombre fut tué dans l'explosion, beaucoup d'autres tombèrent sous les coups d'épée des fantassins, sortis au pas de charge des murs de la ville. En déroute, l'ennemi se replia, abandonnant sur le champ de bataille un grand nombre de morts, de blessés ou de prisonniers.

Mis en déroute, le Baron Hobstein fût obligé de capituler. Il fuya la Franche-Comté et fut assassiné, quelques temps après, dans des circonstances mystérieuses.

Barrette: [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein Barettehobsteinql5

Militaires ayant participé:
Citation :
- Acis
- Amania
- Artix
- Bralic
- Daresha
- Doko
- Eldorach
- Lothilde
- Marwen
- Merove
- Nikos
- Rakovski
- Scaladin
- Sirkis
- Snaky
- TheMatrix
- Theoldrpez
- TylerDurden
- Zabimax
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Acis
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Acis


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MessageSujet: Re: [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein   [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein EmptyMer 1 Sep 2010 - 16:14

Citation :
Journée du 18 février 1454

Nikos

Le lieutenant Nikos fut réveillé aux aurores par un tambourinement à la porte. Encore éreinté de la journée de la veille c'est avec du mal qu'il alla ouvrir, trouvant là son ami Scaladin qui le pressa de se préparer, les hommes du baron Hobstein n'étant plus très loin de formenter une attaque sur Saint Claude.
En effet la veille au matin un Baron s'était décrété détenteur des terres de saint Claude et Poligny, et, s'étant fait expulsé après avoir demandé un impot au maire pour avoir le droit d'habiter "ses" terres, avait promis des représailles.

Les manoeuvres s'en trouvaient donc compromises et c'est en tant que dernier officier que Nikos atteigni le camp à peine formé au village.
Là l'état major attendit une grande partie de la journée un message des éclaireurs partis voir ce qu'il en était avant que finalement le lieutenant Sirkis ne tue un espion à la solde du Comté à la nuit tombée.
Pendant que tous cherchaient à déchiffrer le message qu'il avait en sa possession, le maraicher passa rapidement chez lui informer sa fiancée de tout ce qui se passait.
Là ils décidèrent de reporter leur marriage à une date ultérieure, les évênements actuels ne permettant pas de fêter dignement ce grand jour pour eux. Aprs avoir promis à sa belle de ne lui revenir entier, le boucher reparti au camp pour n'y dormir que d'un oeil, qui sait si les allemands n'attaqueraient pas en pleine nuit.


Citation :
Journée du 19 février 1454

Nikos

C'était la première fois que le maraicher n'allait pas à la messe pour un dimanche matin et pour cause, il était toujours sur le camp installé à quelques kilomètres de St Claude.
Après un rapide petit déjeuner il se rendit aux nouvelles auprès du Capitaine. Celui-ci avait envoyé les troupes de Luxeuil, Vesoul et Poligny justement à Poligny afin de la défendre alors que les régiments de Pontarlier et St Claude allaient partir pour St Claude.

Nikos s'affèra donc toute l'après midi à démonter les tentes et le camp installé la veille, partant au plus vite pour son village.

Ils y arrivèrent donc en compagnie du Capitaine alors que la nuit tombait et alla chercher le maire au plus vite.

Finalement éreinté par cete journée harassante, il alla se coucher dans une des tentes fraichement reconstruite, bercé par le bruit des marteaux et autres cris provenant de certains villageaois en plein travail afin de sécuriser la ville.
Sa dernière pensée se tourna alors vers sa sirène avant de sombrer dans le sommeil.

Citation :
Journée du 20 février 1454

Nikos

C'est au son du cor que le lieutenant Nikos fut réveillé. La journée s'annonçait longue dès le lever et c'est donc encore fatigué que le maraicher se rendit chez le Capitaine.

Les premiers ordres furent de creuser une tranchée le long des remparts du village, mission qui dura toute la matinée jusqu'à 14 heure, aidé par les bonnes ames du villages prévenues qu'elles pouvaient aider le plus possible.

Après un déjeuner sur le pouce le capitaine chercha 5 hommes pour aller détruire le pont au sud du village. En compagnie de Rakovski, Amania, Marwen et Theoldprez ils remplirent donc une cariole de barils de poudre avant de partir.
Leur voyage fut bien mouvementé, retrouvant au pont en question les hommes d'un noble ami du Baron revendiquant les terres. Ceux ci partirent sans encombres et la petite troupe pu donc détruire le pont sans trop de problême sous la directive d'Amania.

De retour au camp ils en informèrent le Capitaine qui leur laissa un peu de repos après cette mission réussie. Nikos passa donc voir sa belle pour lui donner les nouvelles et enfin embrasser ses douces lèvres.
Après une courte heure ensemble, le boucher s'en retourna à l'état major avant d'entamer le premier tour de garde.
Finalement éreinté il alla trouver une couchette où il essaya de dormir aussi bien qu'il le pû.


Citation :
Journée du 20 février 1454

Ezekiel

Ezekiel, approchant de la mairie, prit un papier griffoné à la hâte, une pointe et un marteau. Il pointa le papier sur le panneau d'affichage. Sur le papier était inscrit ce qui suit

Etant donné que l'ennemi est à nos portes, chaque personne doit être utilisée au mieux de ses possibilités. si on n'a pas de bambins entre les pattes, ça n'en sera que mieux
C'est pourquoi, avec l'accord de notre maire, Merove, je déclare que mon humble petite maison sera, pour les personnes désireuses de garde d'enfants, la crèche de notre joli petit village de St Claude

s'en allant chez lui, il prépara des couches pour les petits chenapans qui ne manqueraient pas d'affluer

Citation :
Journée du 21 février

Nikos

Un jour noir s'annonçait pour Saint Claude. le maraicher avait tout de même réussit à dormir quelques heires avant de finalement être réveillé par le son d'un clairon annonçant l'alerte : les ennemies étaient à la porte du village.
Après un bref morceau de pain avalé, le lieutenant se posta sur un toit près du rempart Sud où les troupes du Baron allaient attaquer d'ici peu.

Les allemands demandant la réddition des sanclaudiens, ceux ci furent vite remis à leur place et c'est donc en rage qu'ils envoyèrent leur première escouade armée d'un bélier à l'assaut de la porte.
Les arbaletriers et archers mirent à terre des dizaines d'adversaires avant que ceux ci atteignirent la lourde porte, traverssant le pont.

Derrière Nikos les maisons étaient en feu, portées à mal par les flèches enflammées allemandes. La panique était totale chez les abittants, les soldats et les habitants de St Claude tombant les uns après les autres, des lourdes pertes dans leurs rangs mais encore plus chez l'envahisseur.

Les ennemis prêts à briser la porte, le capitaine Bralic prit l'initiative de faire exploser le pont, tuant un grand nombre d'allemand et soufflant la porte du rempart sud. La reddition des allemands avait sonné et c'est à la hate que le boucher se releva de cette formidable explosion encore groggi. Le capitaine avait été blessé et les derniers allemands tués par les fantassins comtois, gardant très peu de prisonniers.

Nikos parti donc après cette bataille voir comment allait sa belle et surtout si elle n'avait pas été blessé, ce qui fut le cas à son grand soulagement. A peine eut il le temps de la serrer dans ses bras qu'il reparti déjà vers le camp d'état major.
Redoutant une nouvelle attaque de l'ennemi il ne dormi que peu, ne cessant d'entendre les pleurs et les cris de ceux qui avaient perdu leurs proches.

Citation :
Journée du 22 février 1454

Nikos

Le boucher n'avait dormi que quelques heures depuis la veille, se remémorant encore les nombreux morts et les corps blessés de ce maudit 21 février.

Fourbu il se rendit donc chez le Capitaine qui lui donna l'ordre de faire son possible pour réparer les dégats au rempart sud. Prenant l'initiative Nikos commanda 4 hommes afin de récupérer le plus de planches possibles sur les maisons à demi carbonisées afin de reformer une porte.

Le travail demanda toute la journée, le lieutenant ne s'accordant qu'une courte pause pour aller saluer ses amis à la taverne. un maigre repas plus tard il s'accapara à son labeur qui lui prit le reste de l'après midi et resta artisanal comme à chaque fois qu'il travaillait le bois.
Néanmoins cela sembla tenir quand ils la mirent en place et le maraicher en fut soulagé.

Il souhaitait passer cette soirée chez lui et rentra donc à la nuit tombée à sa demeure. Là Siwen lui avait réservé une belle surprise grace à une belle tardte qu'ils dégustèrent tous les deux avant que celle ci lui raconte sa journée et la tonte de ses moutons.
Nikos en fut ravi et ils se couchèrent donc de bonne heure dans les bras l'un de l'autre, essayant de penser à autre chose que les evênements des jours passés.


Citation :
Journée du 23 février 1454

Zabimax

La guerre était finie... Cette information couraitdans toutes les rues du village. Quel soulagement !
Mais maintenant, il fallait s'ocuper des blessés et de tous les morts.
La journée serait encore longue.

Zabimax s'était faite reveiller par une infirmière alors qu'elle s'était endormie en allant voir son fils à la crèche. Les hommes étaient rentrés d'aller chercher du bois et il y avait des blessés en plus.
Elle partit donc en courant à l'infirmerie pour les panser.
Une fois cela fait, elle rangea l'infirmerie, et resta près des blessés qui devaient rester et renvoya les autres chez eux.

Après cette longue journée, elle ne pensait qu'à aller dormir mais elle fit le tour du village pour passer voir les soldats et civils rentrés chez eux afin de s'assurer que tout allait bien. Elle alla voir Scaladin en dernier.
Ce fut Martin qui vint ouvrir la porte. En effet, Scaladin dormait déjà depuis longtemps. Zabimax fit des recommandations au jeune apprenti en lui disant que Scaladin ne devait pas trop faire d'effort et Acis surtout se reposer pour sa jambe. Puis elle promit de repasser le lendemain.
Elle rentra à l'infirmerie et se plongea dans les registres tout en surveillants ses malades du coin de l'oeil
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Acis
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MessageSujet: Re: [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein   [1454] La Guerre contre le Baron Hobstein EmptyMer 1 Sep 2010 - 16:15

Citation :
Situation de l'action : le baron de Holbstein, soutenu par l'empereur, réclame les villes de Saint Claude et Poligny : qu'elles se livrent ou paient un impôt. En cas de refus, les cités seront rasées. Bien entendu les maires des villes respectives refusèrent, le capitaine Bralic lève l'armée, la guerre va faire rage...
L'extrait choisi se passe alors que l'armée ennemie (200 hommes) fond sur Saint Claude et s'apprête à enfoncer la porte à l'aide d'un bélier. Les archers allemands ont déjà fait un carnage et provoqués de multiples débuts d'incendie

Rakovski
Voyant les flèches suivre un autre chemin, Rakovski rage : Par la barbe de Saint Joseph, le feu commence à peine à se calmer ici, ils remettent ça là bas.
Entendant les coups sourds à la porte de la ville, Aristote Marie Joseph, mais ils commencent à être fatigants ces zouaves!
Se tournant vers la troupe de villageois qui le suit : Bon allez voir à l'ouest si vous pouvez vous rendre utiles sur les incendies, moi je vais à la porte, on y a besoin de moi, et se saissant de son épé et de son écu, il part en courant vers la porte entonnant le chant des fantassins, sa première affectation...
Nous nous sommes les fantassins,
et non pas des ptits rupins,
nous sommes la meilleure armée
car nous sommes de Franche Comte!!!
ou ha ou ha ou ha..


Bralic
Protégés sous leurs boucliers respectifs, le capitaine et le cavalier discutaient tandis qu'autour d'eux, les fléches enflammées tombaient comme grêle au mois de mars.
Et vous comptez y aller comment ? Il est bien à une borne de là à nous regarder du haut de sa colline ? Essayez plutôt de me flinguer ses saleté de trouphions !
Les coups de boutoirs contrent la porte se firent entendre à nouveau, l'artillerie ayant cessé de chanter. Le capitaine tourna la tête et les vit entrain d'essayer d'enfoncer la porte. Laissant Theo en plan, il se précipita sur les méches qui avaient été tendues depuis le pont et les alluma à l'aide de son briquet à amadou, puis il entra dans les tours de la porte et cria aux soldats qui avaient commencés à jeter des pierres aux assaillants à travers la machicoulis et s'apprétaient à faire tomber la poie
Dégagez de la tour ! on fait sauter le pont !

Daresha
La réserve d'eau s'épuisait vite. 5 maisons avaient déjà brulé, une sixième était sur le point de partir en fumée. Mais les villageois ne se laissaient pas abattre. Ils donnaient tout ce qu'il pouvaient. L'incendie fut arrêter juste à temps. 6 maisons avaient bruler. Trois villageois avaient péri brulés et d'autres étaient gravement brulés.
Lady!!! Occupe toi des blessés!!!
Elle prit la sacohe que lui tendait Lady.
AU FEU!!! AU FEU!!!
Il y a un autre feu!!!!
La jeune femme tourna la tete et aperçut une autre colone de fumée noire. Elle se mit à courir vers le nouveau foyer.
Suivez moi vite!!!
Il n'y a pas une minute à perdre!!!!
Allez on se dépeche!!
Arrivée sur place, elle put voir que les villageois tentaient déjà d'éteindre le feu. On entendait crier et pleurer. Les morts étaient de plus en plus nombreux.
Les enfants et les faibles, à l'Eglise vite!!

Eldorach
Eldorach tirait comme un fou. Ses mains le brûlaient horriblement, mais la Franche Comté mérite bien d'offre souffrance. Il bénissait Aristote qui lui épargnait pour l'instant les flèches et les carreaux ennemis. Il visa un schleu qui rampait dan la boue en poussant son gros bélier. En même temps il récitait une incantation ancestrale
"Aristote, mon trait est ta vengeance
Donne moi la force et la chance
De faire triompher les Justes"
La flèche vient se ficher dans l'abdomen du malheureux qui s'écroula entraînant avec lui la tête du bélier. Rapidement un autre le remplaça. Eldorach fouilla le carquois de la main. Vide. Il beugla:
Bordel! Il y aplus de teutons dans la plaine que de verres vides dans la taverne du peuple un soir de beuverie! Enmenez moi un carquois plein!!

Rakovski
Rakovski qui s'approchait des murs entendit son ami pontassilien beugler; ramassant à terre le carquois plein d'un archer mort (Rakovski se signe) il l'amène en courant vers Eldorach.
Alors l'ami, tu as l'air en joie, à combien en es-tu? Pour l'instant moi j'ai éteint deux feux par contre regarde cette soule : je l'ai remplie de poudre. Et regarde qué qui sort de la soule : une mèche! Que pense-t-il qu'il va se passer quand la soule à la mèche allumée va tomber au milieu des troupes ennemies?

Nikos Dalaran
Entendant que le Capitaine hurlait de faire sauter le pont et que l'ennemi aurait tôt fait de créer une brèche dans la porte, le lieutenant somma le jeune Alfred de rester à l'endroit où il se trouvait et de charger les arbalettes des autres soldats.
Il prit un élan et sauta sur le rempart sud, un peu à droite de la porte qui allait céder d'ici peu. De là il tira une flèche qui transperça à la verticale l'allemand le plus en avant de la sorte de bélier. Il se baissa rapidement, rechargeant une nouvelle fois son arbalette. Levant les yeux il ne pu que constater ce qui arrivait à St Claude, le quart des maisons déjà en flammes et la mairie au loin qui elle aussi commençait à être attaquée par le feu.
Pourquoi tout cela ? Autant de morts et de carnage simplement pour de l'argent et le pouvoir !!
Il profita qu'Ashashine et Gerenuk les boulangers aient laché la pois une nouvelle fois, laissant hurler à la mort les allemands dans leur dialecte, pour une nouvelle fois se lever et tirer un carreau qui fit mouche dans le poitrail de l'un des archers, celui-ci lachant sa flèche qui enflamma sa chemise, les autres autour de lui paniqués le repoussant le plus loin possible à coup de bottes.

Eldorach
Vise le devant du bélier, ô grand poète du salpêtre! Comme ça le germain devra escalader les corps de ses compatriotes pour espérer fendre le bois de la lourde porte!
Eldorach avala une rasade de la gourde qui portait en bandoulière et la tendit à Rakovski en échange du carquois
Tiens mon ami, et ne te trompe pas avec ta soule pleine de poudre
Sur ce il rota et revint au créneau

Rakovski
Ouh, avec ça je pourrais enflammer l'ennemi rien qu'en respirant, m'enfin on va quand même essayer la soule.
Rassemblant alors toutes ses qualités de souleur, tous les conseils que Doko, le fier capitaine des Vouivres de Pontarlier, lui avait prodigué, Rakovski lance sa soule en avant, vers le camp ennemi, vers le bélier où se pressent six schlös et quelques fantassins avec de grands boucliers.
Coup au but, la soule tombe à leurs pieds, Rakovski a le temps de voir le regard surpris d'un fantassin allemand avant qu'une flèche ne se fiche devant lui, le forçant à se cacher derrière un créneau.
Badaboum, mince, j'ai raté le sectacle

Le Pont du Faubourg
Invité

Du haut de sa collinne, le comte sourit en voyant les troupes évacuer la porte, il pensait que la porte avait cédée et envoya des troupes en renfort, souriant intérieurement de la prise de la ville et du sort qu'il ferait subir au capitaine et au maire.
Sur les remparts, la situation n'était pas reluisante, beaucoups de comtois étaient morts, la plupart des soldats de l'armée d'active ou des habitants. Bralic se protégeait sous son bouclier transformé en hérisson tandis que les méches se consumaient lentement, trop lentement à son gout. Puis tout un coups, le pont s'embrasa et une colonne de feu se dressa vers le ciel, comme si un antique dragon crachait ses flammes à l'encontre des dieux.
La terre trembla, les murs tremblérent, les hommes tremblérent et l'ombre d'un instant, même l'air trembla, progetant de la poussiére sur tous les défenseurs et les allemands à proximité.
Puis ce fut la pluie de pierres, celle du pont, qui s'abatit aussi bien sur les défenseurs que sur les attaquants, causant de graves blessures, le capitaine qui avait relevé son bouclier en criant de joie en reçut une de plein fouet à l'épaule gauche, manquant de lui arracher le bras tandis qu'il tomba à la renverse, la pierre fichée dnas son armure.
Puis la fumée se dissipa, dévoilant l'état du pont duqel il ne restait rien, l'eau du Tacon ayant viré au rouge du sang des soldats morts dans l'explosion qui fut si violente que certains cadavres ennemis, déchiquetés par l'explosion, se trouvaient maintenant sur le chemin de ronde des défenseurs. Partout autour, des morts et des blessés gémissants à perte de vue. Comme si les feux de l'enfer s'étaient déchainés. Certains se relevaient, abasourdis, des deux cotés du pont, une dieaine d'allemands se trouvant piégés entre le gouffre laissé par le pont et la ville qui, la porte ayant été soufflée par l'explosion, allait bientôt se déverser sur eux.

Eldorach
Ah camarade, ça me rappelle la branlée qu'on à mis au Castor de Saint Claude! Bravo à toi mon ami! Un pont et un bélier, avec ça tu vas décrocher une médaille.
Sur ce Eldorach se remit à tirer et pensant lui aussi à une médaille, il dessina sur un créneau une douzaine d'enchoe avec un bout de charbon
Et il y en aura d'autres!!!

theoldprez
n'arretant pas de de tirer et de faire mouche à chaque fois, Theoldprezpensait toujours à son idée d'aller eteter directement le chef de cette armee.
Il reflechissait à un plan qu'il pourrai mettre rapidement à execution et auxquels Bralic ne pourrait que donner son accord.
Les archers ennemis diminuent de plus en plus. Bientot les corps à corps vont commencer

Nikos Dalaran
Nikos avait suivi des yeux sur le coté gauche de la grande porte Eldorach et Rakovski qui avaient remplis une soule de poudre. Il secoua la tête, un sourire au coin des lèvres.
Bonne idée que celle là !!
A peine l'explosion de la soule passée, le lieutenant se leva une nouvelle fois pour tirer un carreau.
cependant ce qu'il n'avait pas prévu fut la seconde explosion beacoup plus puissante que la première qui le fit voler en arrière droit sur le chemin du rempart, les bras en croix, complètement ébété, les yeux rivés sur le ciel.
Il reprenait ses esprits lorsqu'il vit un projectile lui tomber dessus, surerment encore une des flèche ennemie. Il bougea la tête juste à temps pour voir une main tomber à coté de lui, bientot suivie par diverses épées et bouts de chairs sur tout le rempart et dans le vilage.
Il se releva encore groggi, son arbalette étant tombée en contrebas, il allait lui falloir improviser sans à présent.
Il pressa ses hommes restés sur les toits de venir rapidemant sur le rempart alors que lui dévalait une echelle pour se retrouver au sol, l'épée déjà à la main.

Rakovski
Rakovski ronchonnant de ce que Bralic avec son pont à pétard l'avait sûrement privé d'un beau shoot, laissa là son ami Eldorach en lui recommendant bien de le couvrir s'il le voyait derrière les murs, et descendit vers la porte, histoire d'éventrer de l'aallemand, parce que là il était vraiment de mauvaise humeur et son épée était encore vierge.

Eldorach
Eldorach qui n'allait pas laisser mourrir seul son ami futur maire de Pontarlier et lui emboîta le pas.
Rakovski vous aurez besoin de mes flèches pour vous ouvrir le chemin. Allons saigner cette truie de baron von machin. Du sang bleu innondera bientôt les terres de Franche Comté!

TylerDurden
Cher Eldo, fais quand même attention, j'aimerais pas perdre un archer tout propre parceque faute de but à la Soule, veut marquer les Teutons à la culotte...
Ils paraît qu'ils taclent leurs adversaires à la carotide...
Rappelle toi à Séville en 82...

Eldorach
"Ah Séville et la Corée en 37! Vous faite pas de soucis mon lieutenant, je tiens à avoir la quille avant vous et surtout je raterais pour rine au monde l'apéro de la victoire
Sur ce Eldorach, enfonça son casque sur le crâne et reprit sa course de plus belle

Daresha
Le feu s'était propagé. Toute la rue était en feu. Et les fleches continuaient de pleuvoir. L'une d'elles vint froler la jeune intendante, avant de se planter dans l'épaule d'un homme qui était pres d'elle. Elle se précipita pour enlever la fleche. L'homme tiendrait le coup.
Allez!!! du nerf!!!
Vite Vite vite!!!
C'est alors qu'une énorme explosion se fit entendre. Le pont.... Le pont du faubourg avait sauté! On entendait crier...
Occupez vous du feu!!!
Elle se précipita, la sacoche que Lady lui avait ramené à la main. Il devait sans doute y avoir de nombreux blessés. Le premier qu'elle croisa était un enfant. Il avait à peine 15 ans. Il était blessé à la tete et son bras était en sang. Il pouvait marcher. Elle l'emmena à l'infirmerie. Il avait besoin de sutures et elle demanderait à Zabimax si elle avait besoin d'aide..

TylerDurden
Cours, vers la forest, cours !!!
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