Cérémonie de fin/début de mandat Novembre 1461

Sujet: Cérémonie de fin/début de mandat Novembre 1461 Lun 25 Nov 2013 - 19:23

Le capitaine, enfin celui qui venait de l'être durant deux mois, et l'était encore le temps de la période de transition, non sans une pointe de regrets, s'en vient vérifier que les hommes à tout faire de la caserne avaient terminé de dresser l'estrade qui clôturera son capitanat. Tant de chose à faire encore pourtant, deux mois, c'était vraiment trop court.

Le lieutenant ADC arriva sur la place des cérémonies où le capitaine vérifiait que l'estrade avait été mise en place... Il se mit au garde et vous le salua comme il se devait :

Mes respects mon capitaine. Lieutenant ADC Bensira, à vos ordres !

Rab arriva et salua les deux officiers.

Messieux!

Dernière édition par Loanne le Mar 26 Nov 2013 - 15:32, édité 1 fois

Loanne avait raté la précédente cérémonie de fin de mandat et par conséquent, sa propre nomination au rang de soldat, ce qui l'avait beaucoup déçue. Bien décidée à ne pas refaire la même erreur, la jeune femme se présenta tôt à la salle, en uniforme impeccable, boitillant encore légèrement de sa dernière mission... Elle arrivait d'ailleurs juste après ses plus hauts supérieurs. Elle se mit au garde à vous, doigts pointés sur la tempe.

"Mes respects, Capitaine, Sénéchal, Lieutenant ADC. A vos ordres!"

Dernière édition par diraak le Mer 27 Nov 2013 - 9:31, édité 1 fois

Diraak avait mit sa tenue de circonstance, jaune et noir, composée de pièce de son ancien uniforme. Toujours en campagne à l'ODL, il troquait volontié l'uniforme pour des tenues plus discrète et plus adaptées, les vêtements n'étaient donc pas très usé, car ayant peu servit. Ses galons de Gouverneur le distinguait cependant. Il vint saluer les officiers et soldats déjà présent.

Bonjour à tous.

Chapeau de cérémonie sur la tete, uniforme, le meme qu'à l'accoutumée, ses 6 barettes de campagnes, la barette d'ancienneté et la barette des armes bénies toutes bien alignées, ses 10 médailles une nouvelle fois sortie de leur écrin, 9 sur le poitrail, la 10eme au cou, car la croix du lion est un collier, ses galons de soldat, peu significatif de sa fonction d'instructeur des sapeurs-artilleurs, l'insigne noircie des SA n'étant pas un manque de soin quand on voit le reste de son uniforme, mais il avait troqué son insigne récente pour sa première insigne, la plus vieille qu'il avait donc et qui en a vu du pays. Il était là parce qu'il fallait bien être là et pour encore une fois montrer son outrageuse domination en terme de récompense, chose que les jeunots de l'armée semblaient oublier et qui n'étaient eux pas pret d'en avoir de médaille. Les promotions étant plus facile mais bien plus piégeuses et surtout facile à perdre pour diverses raisons pas toujours explicables. Et une fois n'est pas coutume, enfin si on le connait ou si on était à l'armée il y a bien longtemps, c'est pas la premiere fois qu'il fait cela, il resta au fond de la place des cérémonies, il connaissait l'EM et savait que le jour qu'il remontrait sur l'estrade pour recevoir quoi que ce soit ne viendrait pas avant longtemps donc autant rester pres de la sortie, pret à partir à la guerre en cas d'alerte impromptue.

La petite mascotte fit la même chose que son père, plus petite que les autres soldats elle pouvait passer inaperçus et se tint bien droite un peu derrière son père.
Les soldats commençaient à se regrouper petit à petit la cérémonie n'allait pas tarder à débuter et la petite savait très bien qu'elle ne recevrait rien, elle resta donc à l'arrière et observa les entrées des soldats.

Le Lieutenant Makita arriva à la cérémonie du fin de mandat du Capitaine Bakhtan. Elle salua tous le monde deja arriver.

Mes respects mon capitaine, Senechal, Lieutenant ADC, Gourverneur, Jerone, soldat Lanna.

Elvyna arriva à son tour, curieuse de voir le nouveau Capitaine. En arrivant, elle salua les personnes présentes et le Capitaine qui finissait son mandat.

Nous y sommes 2 mois qui se termine, comme un pheonix qui renait de ses cendre un mandat va aux oubliettes et un nouveau commence et comme a chaque nouveaux mandats les soldats sont convié a place de ceremonie .
spagnolo vetu dans son uniforme de GI fier comme un pape se rend en place de ceremonie pour faire acte de presence, ecouter le discourt du nouveau capitaine se faire plus ou moins une idée de ce que sera le mandat avenir et bien evidemment salué les personnes presente.
Sur une colline non loin, Sur sa bete monté qui ne le lache jamais ( que diable c'est un cavalier ou non?) il balaie du regard l'horizon et plus precisement l'attroupement qui c'est former avant de decider lui aussi de rejoindre l'assembler .
Descendant de sa bete, un sourire au levres et fier de lui meme ( comme toujours ), il passe une carresse a la robe de sauvage avant de le laisser seul attaché a une branche non sans le rassurer de quelques murmures a l'oreille ( comme a son habitude ) et de se precipiter vers la foule .

mes respects capitaine
ADC
senechal
soldats jerone, lanna, elvyna

Le médecin chef arriva à son tour et salua tous ceux présents ,elle avait été ravie de servir sous les ordres du Capitaine Baktan ,il n'y avait point eut de temps morts pendant son mandats ce qu'elle avait apprécié .

Elle fit les saluts réglementaires
mes respects capitaine !
ADC !
senechal !
GI!
soldats Jerone, sergent Lanna, recrue Elvyna!

Puis attendit la suite de la cérémonie

Casiope Van Ansel, sergent et médicastre, retranchée à l'université pour terminer ses études de médecine, envoya son faucon à sa sœur adorée. Celui-ci arriva en planant et se posa sur l'épaule gauche de Fredy.

Cassy pensait ainsi que sa sœur lui enverrait par message glissé dans l'étui du collier du faucon, un compte rendu de la cérémonie.

Le blond commençait à s'impatienter, si le capitaine attendait toute le monde, la cérémonie ne sera pas terminé avant la prochaine. Et comme on dit les absents ont tord. Il se demandait même s'il allait finalement pas partir de la place et retourner s'entrainer.

La jeune femme avait été convier par le capitaine, bien sur qu'elle se serait quand même déplacer pour venir saluer les hommes et les femmes qui combattait au risque de leur vie pour la sécurité des comtoises et comtois. Elle se plaça près de Justin attendant elle aussi le début de la cérémonie.

En retard la rouquine ? Non, pas cette fois, juste à temps apparemment, ou pas, puisque tous n'étaient pas présents. Et une cérémonie protocolaire de fin de mandat, une. Il y avait des choses comme ça auxquelles on ne pouvait déroger.

Petite escale, donc , claquement de talon, doigts tendus contre la tempe, torse bombé, les émeraudes qui coulent sur les présents en espérant n'oublier personne, une bonne inspiration, et hop, c'était parti pour la tirade sur un ton haut et distinct.

Mes respects Votre Grandeur, mon Capitaine, Sénéchal, Lieutenant Aide de Camp, Lieutenants, Sergent, Gouverneur, Soldats !

Ca c'était fait. Restait plus qu'à attendre qu'on lui file l'ordre de rompre.

Saffig arriva au pas de course, ralentissant juste après le dernier virage. En retard, elle ? Jamais ! Elle avait juste cherché son uniforme de cérémonie, trop bien rangé au fond du placard. Pour les entrainement elle préférait en mettre un vieux.

La voilà donc qui déboule l'air de rien sur la place, et qui va saluer qui de droit.

Franc-Comtesse, Capitaine, Sénéchal, ADC, Grand Intendant, Gouverneurs, Soldat

Invité

Theodore arriva, un peu impressionné. C'était la première cérémonie à laquelle il participait au sein de l'Ost, il ne savait pas trop quoi faire, ni ce qui va se passer. Il passa a coté de Jerone et lui murmura:

Si tu pouvais buter le faucon ridicule, je t'en serai reconnaissant.

Theodore sourit puis dit

En tout cas, tu es impressionnant avec toutes ces récompenses.

Theodore se rapprocha de l'estrade et salua les présents, à commencer par la Franc Comtesse.

Loquace Nombre de messages : 920 Date d'inscription : 18/08/2013

Arrivant sur le terrain pour la cérémonie le blondinet avait retouché l'intégralité de son uniforme pour qu'il soit des plus potables,il n'avait beau être qu'un simple soldat il fallait qu'il fasse honneur à son ost et à ses camarades d'armes.

Se dépêchant de se mettre en position avant que le temps ne lui manque il salua ceux qui étaient déjà présents.

Mes respects Votre Grandeur, mon Capitaine, Sénéchal, Lieutenant aide de camp, Lieutenants, mon Sergent, Gouverneur, frères d'armes!

Le blond chapeauté fut interpellé par une recrue qui lui demandait de tuer un faucon. Et ensuite lui parlait de ses récompenses.

On tue pas les faucons, c'est utile en temps de guerre, pour mes récompenses c'est simplement parce que j'ai fait mon travail et que mes supérieurs ont jugé bon de le remarquer. Plus de 6 ans de travail jeune homme.

Invité

Theodore se tourna vers Jeroneet mumura

Il sert à rien celui la, un faucon de cérémonie, pas un faucon de guerre. Pour une fois que tu pouvais me faire plaisir...

tu t'en occupe toi-meme recrue.

Le capitaine monte enfin sur l’estrade. Il tire sur son col, il a étrangement chaud. Il pense : « corne de bouc, quel boulasse boulassique du tonnerre de dieu ! Maudit Dwiral ! ». Plus moyen de retrouver son discours, il va falloir improviser et faire au mieux... La Franc Comtesse qui demande d’activer les choses, pas moyen d’attendre que ça passe et rien qu’à l’idée de boire de l’eau, il doit réprimer un haut le cœur.

Merci d’avoir l’obligeance, de la fermer. J’ai à vous dire deux trois trucs se sera pas long et aucune question ne sera tolérée, ou accordée, je sais la vie est injuste parfois.

Justin sourit en coin.

Mais avant de parler, merci d’accueillir le nouveau capitaine.

Il descend les marches de l’estrade avant d’y remonter aussi vite, de jeter les bras en l’air en signe de victoire et sur un ton enjoué dit :

Tadam, c’est encore moi !

Il se marre quelques minutes, puis reprend contenance.

Caché votre tristesse surtout, deux mois c’est vite passé. Je tiens à remercier sa Grandeur Mousseline qui m’accorde sa confiance en reconduisant mon mandat, cela va me permettre de poursuivre les débats en cours au sein de l’EM. Ce travail est la conclusion de celui commencé il y a quatre mois sous sa gradeur Kran. Vous avez tous eu l’occasion de donner à l’époque vos avis. Je vous épargne la lecture de tout cela, ce sera affiché ici même aux valves et prochainement voté en interne avant présentation au parlement.

Durant les deux mois qui viennent, j’aimerai que nous nous efforcions tous de recruter un maximum, je compte mettre en place un système de garde dans chaque ville afin d’être plus visible, accessible et connu en Franche Comté. Trop de jeunes gens ignorent comment intégrer nos rangs.

Je veux voir les terrains d’entrainements occupé. Dans le cas contraire, ils seront réaffectés ! Et puis pour recruter efficacement faut que ça bouge, point bar !

Je voudrais que vous relisiez vos manuels, ou que vous les mangiez pour les emmagasiner ! Fin faites ce que vous voulez mais bordel faite quelque chose que ça change ! Le respect de la hiérarchie, c’est la base de l’Ost, un lieutenant n’a pas à saluer un soldat tant que celui-ci ne l’a pas fait ! Avant d’ouvrir vos grandes bouches, on salue, le supérieur rend le salut en retour puis on l’ouvre, je veux que sa claque sur vos cuisses.

Le capitaine de joindre le geste à la parole.

C’est pas sorcier, et tâcher de vous en souvenir. Et pour ceux qui sont au garde à vous, repos.

Il met sa main devant sa bouche pour réprimer un *hips*. Justin pense, c'est moi, ou ils sont plus nombreux que d'habitude?

Je vais maintenant donner la parole à sa nouvelle grandeur Mousseline.

Le blond chapeauté, connu pour sa très grande capacité à savoir se taire quand on lui envoie des aneries, et sa relative liberté quand aux ordres qu'il considère inutiles, comme se taire quand on connait la solution des problèmes actuels, l'ouvrit.

MON CAPITAINE, CELA FAIT DES MOIS QUE JE RECLAME UNE SEULE CHOSE, UN LIEUTENANT MAITRE D'ARME. SANS CET OFFICIER LES TERRAINS RESTERONS DESERT CAR LE SEUL INSTRUCTEUR ACTIF ET BIEN NE PEUT PAS FAIRE GRAND CHOSE QUAND ON SAIS CE QU'IL ENSEIGNE, LES AUTRES INSTRUCTEURS NE SONT PAS PRESENT. DEUXIEME POINT ET IL TOUCHE LA DISCIPLINE ET LE RESPECT. UN OFFICIER DOIT MONTRER L'EXEMPLE ON ME L'A ASSEZ RABACHE QUAND JE L'AI ETE, ALORS POURQUOI LE SEUL OFFICIER QUE JE VOIS S'ENTRAINER EST L'OFFICIER DONT JE SUIS L'INSTRUCTEUR ?

SI TU VEUX RECRUTER IL FAUT CHANGER TON EM DE GLANDU ET SURTOUT METTRE LES BONNES PERSONNES AUX BON ENDROIT. T'ES CAPITAINE ET MEME TOI TU NE MONTRE PAS LE BON EXEMPLE, ARRIVER COMPLETEMENT BOURRE A UNE CEREMONIE EST INDIGNE D'UN CAPITAINE. ARRIVER EN RETARD AUSSI D'AILLEURS.

OUI JE NE PORTE QUE LES GALONS DE SOLDAT, OUI J'AI LE TRISTE RECORD DE LA DUREE AU GNOUF MAIS UNE CHOSE EST SUR, PERSONNE ICI NE PEUT CONTESTER LE FAIT QUE J'AI LA PLUS GRANDE ANCIENNETE MALGRE MA CARRIERE EN MORCEAUX, PERSONNE NE PEUT CONTESTER LES 10 MEDAILLES QUE JE PORTE, DONT LA CROIX DU LION, JE SUIS LE SEUL ICI A LA PORTER, PERSONNE NE PEUT CONTESTER MON IMPLICATION DANS TOUS LES CONFLITS AUQUELS MES SUPERIEURS NE M'ONT PAS ECARTE VOLONTAIREMENT DEPUIS 1456, TU AS PARMIS TES HOMMES DES MILITAIRES QUI SAVENT PERTINAMENT QUEL SYSTEME FONCTIONNE, JE SAIS QU'AVEC 15 PELOS ON NE PEUT L'APPLIQUER COMME ON LE VOUDRAIS, MAIS LES FAITS SONT LA, IL FAUT UN LIEUTENANT MA, QUI S'OCCUPERA DE L'ENTRAINEMENT DE TOUS LES CORPS LE TEMPS DE FAIRE REMONTER LES EFFECTIFS ET NOMMER DES INSTRUCTEURS PARTOUT. SANS LIEUTENANT MA L'ARMEE N'EST QUE L'OMBRE D'ELLE MEME.

SI TU EN AS MARRE QUE JE TE RABACHE LES MEME CHOSES, VA VOIR LOTHILDE, GREENWARRIOR, LECONQUERANT, LEONIN, MEME DWIRAL, MAIS ENCORE SPIKELILOU, ZEPHIRIN, ADRIEN, MIELIKKI, RIESE, DEVILFRED, DINA. EUX TE DIRONS CE QUE DOIT ETRE L'ARMEE ET TOUS POURRONS TE DIRE QUE J'AI ETE SOUS LEURS ORDRES ET QUE MALGRE TOUT CE QU'ON DIT DE MON INDISCIPLINE, JE SUIS BIEN PLUS DISCIPLINE QU'ON LE DIT.

Fourmis dans les doigts, ça y est ça commençait. Mais bon, armée is armée, elle mouftait pas la rouquine et restait bloquée dans sa position.

Merci d’avoir l’obligeance, de la fermer.

Bon, ben ça c'était dit, le ton était donné. Petit haussement de sourcil en se demandant ce que le capitaine était en train de faire à descendre et remonter sur l'estrade. Et là, minois complètement dépité, pas parce qu'il était encore capitaine, mais à le voir se marrer comme ça à sa « bonne blague ». Elle savait pas trop où il était perché, mais il était vachement haut pour le coup, et après, c'était elle la cinglée, nan mais vraiment !

Chouette, pas du super long discours, ça c'était plutôt pas mal, à l'évocation du recrutement, un vif hochement de tête de la Fiole, respect, check, claquage de cuisses, ça c'était que du bonheur.. d'ailleurs ça lui faisait penser qu'elle aurait bien voulu pouvoir baisser le bras, hein, parce qu'il était bien gentil, mais les vilaines crampes devenaient menaçantes.

Et pour ceux qui sont au garde à vous, repos.

Ah, ben voilà ! Et la main de claquer à la cuisse tandis qu'elle répondait à l'ordre, et pour parfaire le tout, un petit coup de talon au sol, parce que ça faisait toujours plus mieux. Elle attendait donc l'allocution de la Franc Comtesse avec un petit sourire rêveur. Ahhhh, la discipline, l'autorité, la symbiose entre les soldats qui..

MON CAPITAINE

Un sursaut et la main de se poser contre son cœur, le tout suivi d'un foudroiement du regard en direction de l'adepte du chapeau de paille. Crénom d'une pipe san claudienne, comment il causait à son capitaine c'ui là, et le coup de l'EM de glandu, ça, ça la concernait directement et ça passait pas trop. Et puis si l'cap avait l'air fatigué, de là à insinuer qu'il était bourré, c'était abusé, et puis il était pas en r'tard en plus, vu qu'elle l'était pas elle même et qu'il était présent quand elle était arrivée.

Oh bordel.. bordel de bordel, et vlà la rouquine d'avoir le sang qui bouillonnait à la limite de voir les bulles se former sous la peau, bon d'accord, peut-être pas à ce point là, mais au moins le teint rouge à en être confondu avec sa crinière en vrac. Claquement de talon sous le poids de la nervosité tandis qu'elle respectait un peu trop les ordres qui étaient que tout le monde devait se la fermer, et les émeraudes de se planter sur le Capitaine et la Franc Comtesse.

Ouais, se faire traiter de glandu, ça passait pas super bien chez la Gouverneur qui était visiblement mauvaise. Et vous pouvez me croire qu'il lui fallait une bonne dose de contrôle pour pas piquer une de ses nombreuses petites crises. Discipline et respect, ben c'était bien parti, tiens !

En voyant le capitaine bourré, Mouss lui lança un regard qui disait, "nous devront régler ce petit écart en privé" après tout, réprimander le capitaine devant ses subalternes ne se faisait pas.

La jeune femme allait prendre parole lorsque Jerone reparlait encore du passé. Oui il avait de l'expérience mais le temps avant avancé, il n'était plus en 1457 mais en 1461 oui 4 ans.. cela en faisait du temps.

Lorsqu'il eu fini elle se retourna vers les capitaine, après tout c'était a lui de répondre.

Diraak sourit, la cérémonie était moins guindée et huilée qu'il avait pensé de prime abord. Il hocha la tête. Il fit un tour de l'assistance pour regarder les soldats de l'Ost. Il en connaissait certain, un peu mois les autres. Ils étaient près d'une quinzaine. Il s'attarda un moment sur sa soeur.

Une question lui vint à l'esprit. Leur confiera-t-il un jour sa vie comme il l'avais fait ces deux dernières années avec ses anciens compagnons d'armes, comme à chacun des coups de mains qu'ils avaient donné? Se lancera-t-il un jour sus à l'ennemi à leur tête?

Puis l'image de la charge maudite lui revint en mémoire. La ligne démontée. Les chevaux qui s'embrochent sur les lances des réformés. Il blêmit. La plaie n'était pas refermée.

Et pour ceux qui sont au garde à vous, repos.

Le rappel du Capitaine le remit en selle et chassa le mauvais souvenir. Il baissa le bras et se mit plus à l'aise et écouta plus attentive la suite de la cérémonie.

Justin se masse les tempes. Il se retient, il voudrait avoir de la classe et ne pas employer le même ton que le soldat Jerone, mais c'est plus fort que lui, dégrisant presque instantanément, il va remettre les pendules à l'heure, en employant le même ton.

POUR L'HEURE JE VOULAIS JUSTE QUE TOUT LE MONDE LA FERME! Je pouvais pas être plus clair que ça. Ce n'est ni le lieu, ni le moment pour faire part de tes griefs et désidérata, tu as beau me parler de ton soit disant respect de la hiérarchie ce n'est pas ce que tu montres en ce moment à l'ensemble de l'Ost. Ton record au gnouf, chose dont à votre place je ne serais pas fier SOLDAT JERONE, va atteindre des sommets, que l'on me l'y emmène derechef. Je veux plus le voir, ni l'entendre. Vous n'êtes SOLDAT un exemple pour personne ici, vous dépassez les bornes et n'êtes pas prêt d'avoir l'occasion de vous exprimer ici. L'EM qui vous insupporte, statuera fin de la cérémonie sur votre cas.

Sentant la vinasse, la binouse et la pisse,le vieux Pontissalien cherchait desesperement la place des cérémonies. Il faut dire qu'il y avait bien un bout qu'il n'avait pas mit les pieds ici.

Et behhh, ça a fait des travaux, la dedans!

marchant en direction, il arriva en Fin de cérémonie. il fut simplement attiré par les tonneaux du fond, comme a son habitude. prenant une chopine avant meme la fin du discours, il sourit en regardant Justin se taper la cuisse comme une donzelle un jour de noce.

se retenant de pouffer de rire, il osa même entretenir sa belle voix

Ouaiii *hips* Mon capitaine!!! Vas y envoie du cuisseau!!!!! *hips*

des chut intempestif arriverent jusqu'a lui. il s'amusa de la situation.
hooo les gars, faut enlever le savoyard que vous avez dans le cul hein! *hips*
Faut feter l'evenement avec joie!*hips*hips*

il posa son vieux fessier sur un coin du tonneau, regardant ce petit monde se mouvoir. Jerone prit la parole. des revendications sans doute, il s'amusa de la tete de Justin.

AUUU GNOUFFFFFFF* hips* LE SOLDAT!!!!! INSU*hips*BORDINATION... CA VA TE COUTER CHER MON GAILLARD!!!! *HIPS*

regardant les autres soldats il s'approcha du premier venu

on les fait venir quand *hips* les donzelles! faut bien feter l'evenement avec deux trois cagodes du bordel. c'est le cap' quy régale en plus.

le dernier mot fut le mot de trop, jettant sa chopine au plus vite, il ne put retenir un flot nauséabond de vin et de biere ressortir de son gosier et atterir sur les pieds du soldat en question...

hé hé hé oupssss....

Diraak, sur le côté, pouvait voir toute la scène... Ou plutôt toutes les scènes. Le vieux de la vieille vociférant sur le Capitaine. Sans la regarder, il pouvait sentir la tension monter de l'autre Gouverneur pas très loin de lui. Puis l'arrivée titubante d'un dernier soldat, enfin ce qui semblait l'être. Le Capitaine tentant de calmer le tout par dessus. Qu'elle pagaille. La situation devenait burlesque. L'image de l'ensemble était incroyable.

Diraak, bien qu'amusé intérieurement, resta stoïque. La valeur d'une armée ne s'évaluait que sur un champ de bataille le jour du combat. Le reste n'était que du vent. Il jeta un regard vers sa soeur et s'approcha. Sur le moment il se demanda ce qu'elle pouvait bien penser de tout ça. Que cette scène se passe en taverne est une chose, mais en place de cérémonie en présence de la Franc-Comtesse... Il espérait pouvoir lui prêté secour dans cette situation peu enviable, peut être lui offrir une porte de sortie. Il se porta donc à ses côtés et lui adressa quelques mots discrets.

Bonjour Mousseline, pitoresque les cérémonies par ici.

Le blond chapeauté, était réputé tenace, et pas pour rien.

Mon capitaine, il n'y a que lors des cérémonies que j'ai l'occasion de vous voir, alors je m'en fiche que ça ne soit pas la place, c'est le seul endroit où je peux vous interpeller et me dites pas qu'il y a votre bureau pour ça, c'est pas fait pour ce genre de chose, par contre une salle de doléance, comme il était convenu d'installer il y a 4 mois serait la bienvenue.

Et si moi je mérite le gnouf, il y en a d'autre ici qui le mérite, et tous ceux qui ne sont pas présent dont 2 Lieutenants, Makita et Lic0 pour pas les citer, alors on fait comment on met la geolière au gnouf ?

Le médecin -chef attendait avec les autres officiers soldats,recrues présents ,Salua l'arrivée de Sa grandeur Mousseline ,de sire Diirak ,las autres arrivants aussi et se demandait si elle devait retourner à l'infirmerie afin d'y aller chercher un bon remède contre la gueule de bois dont paraissaient atteints le Capitaine et Dwiral ,mais lui il avait l'habitude ,elle ne s'en étonna donc point .

Continua à écouter son ami Jérone qui lui n'arrivait pas à se taire .

Elle ne savait pas du tout comment allait tourner cette cérémonie .

Nouveau sursaut alors qu'un autre gaillard se mit à couiner à son tour, et la rouquine ne se retourna pas au début, alors qu'elle plissait les yeux pour essayer de reconnaître la voix d'un de ses camarades. Rien à faire, celui là était inconnu au bataillon. Un simple « chut » s'échappa d'entre ses lèvres pour lui signifier de se la fermer un peu, le Capitaine était déjà assez remonté comme ça, et les nerfs Fiolesques assez atteints, eux aussi, mais peine perdue, ça voulait pas fermer sa bouche.

on les fait venir quand *hips* les donzelles! faut bien feter l'evenement avec deux trois cagodes du bordel. c'est le cap' quy régale en plus.

Bon, là c'en était trop. Nan mais sérieusement, il se croyait où c'ui là aussi ! Et manque de bol, le premier soldat venu en question, c'était la rouquine qui, haussant un sourcil, se tourna trèèèèèèès lentement pour ficher les émeraudes sombres sur lui, les poings fermement ancrés contre sa taille.

Et là... c'est le drame ! Les paupières de se fermer tandis qu'elle recevait sur les bottes les effets du drainage stomacal du loustic. Il lui fallut contenir un foutu haut de cœur qui lui bouffa les tripes rien qu'à l'odeur du machin, l'aurait plus manqué qu'elle se vide, elle aussi.

Oups, ouais, tu peux l'dire..

Et les yeux de se rouvrir pour toiser le bonhomme avec un minois très expressif d'un « Toi et moi, maint'nant, on a un truc à régler ». Mais bon, le chef avait dit qu'il fallait se la fermer, donc elle opta pour souffler à l'énergumène, de façon à ce que lui seul puisse entendre.

Là, j'hésite entre deux façons de m'nettoyer les pompes, si j'dois t'les faire lécher ou t'les coller au fion pour frotter ça sur tes braies.
Mais comme j'suis encore un minimum civilisée, j'te laisse l'occasion d'fermer ta mouille et on en r'cause plus tard, quand tu s'ras plus frais.
J'touche pas la viande saoule, ça sert à rien.

Bien sur, le tout s'ensuivit d'un sourire pour la forme, l'un de ceux qu'elle savait si bien faire quand elle était PéPette. Vous savez ? De ceux qui faisaient qu'on aurait pu lui filer le bon Dieu sans confession.

Et la main de la Gouverneur de se porter en direction de l'épaule masculine avec l'intention d'y coller une petite tape du genre fraternelle, avant que de se remettre en position pour suivre les événements et attendre que quelqu'un s'avance pour sortir Jerone, comme demandé par le Monmouth, tandis qu'elle se demandait si elle ressemblait à ça, elle aussi, quand elle avait trop picolé, donc à savoir, les trois quarts du temps.

Spoiler:

Spoiler:

Lanna vit que la cérémonie prenait une drôle de forme. Elle écouta les dires de son père puis ceux du Capitaine. Il fut décider que son père serait amener au gnouf ce qui fit sourire Lanna. Il ne savait pas à quoi il s'attendait.
La petite aperçut LicO au loin venir chercher son père pour l'y amener. Etant donné qu'il y avait toujours des absents à la cérémonies et que la petite ne serait pas promu.
La fillette choisit de suivre son père et LicO après tout lorsque son contrat fut signer par le Capitaine a cette époque il avait bien dit que Lanna serait avant tout sur la garde de Jerone. C'est donc en marchant tranquillement que Lanna suivit LicO et son père.

La Lieutenante avait reçu un pigeon de la part du Capitaine d'amener Jerone au gnouf et j'étais pas relever de mes fonction ni Lico non plus. Makita était présente dans la cérémonie bien assied, mais tout à coup elle tourna sa tête vers la direction de Jerone qui parlait fort. Elle voyait Lico qui se dirige vers le capitaine pour relever de ses fonctions puis il alla s'asseoir. Makita se lève en dirigeant vers Lico à voix basse puis elle dit: C'est quoi t'a fait. Tu es pas relevé de tes fonctions Lico, va chercher tes galons que tu as donné au Capitaine pis je t'attends ici puis après on va amener Jerone au gnouf tout les deux. Pendant se temps Makita se tourna la tête bien tranquillement avec une face méchante avec un petit rire pour ne pas personne l'entend vers la direction de Jerone, en voulant dire, tu vas rester au gnouf jusqu'à la fin de tes jours.

La jeune femme un peu bouche-bée de la situation, n'en croyait pas ses yeux de tant d'insubordination ou du moins du manque de respect qui régnait lors de la cérémonie. C'était rare les occasions ou elle était sans mot mais la... c'était bien le cas. Par contre même bourré, le capitaine prit la bonne décision de faire escorter le soldat dans le gnouf, peut être que finalement la cérémonie pourra se dérouler plus paisiblement. Mais bon un Dwi arrivait dans les parages et qui dit Dwi dit qu'on aurait droit a une autre petite incartade, mais bon il avait l'habitude de parler fort mais de ne pas être insolent. A ce moment son frère arriva a sa hauteur et lui adressa quelques mots sur me même ton.

Ha bonjour Diraak, oui je dois avouée que c'est un peu... comment dire... une cérémonie hors du commun...

Le blond salua, mais pas militairement son escorte avant de faire signe à sa fille d'aller avec Saffig. De toute façon il devait aller au gnouf, la durée il s'en fichait pas mal, il savait que l'armée allait pas bouger sans lui étant donné que c'est lui qui la bouge.

Je vais me faire fantome dans cette armée, apparement c'est le seul moyen d'etre lieutenant, sache un chose justin, je suis le seul militaire ici qui a fait dégradé deux de ses supérieurs, involontairement certes, de par ma présence bien plus remarqué que ces derniers, tu veux des noms et des dates ?

Aout 1457, Aspirant-Lieutenant Adeloas, dégradé sergent puis démissionnaire.
Décembre 1458, Lieutenante Mielikki, dégradé Aspirante-Lieutenante puis démissionnaire.

Je peux rajouter des noms à la liste. En tout cas bon courage pour voir tes militaires se bouger le cul parce que sans moi c'est très loin d'etre actif.

Le blond se tourna vers Saffig.

Je suis désolé de te le redemander Saffig, mais peux-tu t'occuper de Lanna ? Emmene là avec toi sur le terrain des recrues, elle s'entrainera avec vous vu que l'école des cadets est pas prete d'ouvrir.

Le blond fixa sa fille.

Ne t'inquiete pas ma puce, je vais vite sortir du gnouf, foi de Sapeur-Artilleur.

Le blond regarda tour à tour Lic0 et Makita.

Pas la peine de me tenir les fantomes, je connais le chemin, c'est ma résidence secondaire je vous rappelle.

Le blond lança une dernière phrase assassine.

Bonne cérémonie pourrie les jeunes, y assister ne vous servira à rien en temps de guerre, croyez moi, mieux vaut savoir maitriser des armes que rester droit comme des piquets.

COMTOIS REND TOI, NENNI MA FOY.

Elvyna n'en croyait pas ses oreilles! Cette cérémonie virait en cauchemars. Ce Jerone, il lui passait quoi dans la tête? Après ses dires, il ne méritait même pas d'être dans l'armée. Il montrait toujours son grand air de supérieur, avec ses états de services qui datait de quand elle était même pas née, donc elle s'en fichait, mais surtout, elle se fichait d'une expérience militaire ou derrière cela on ne respectait rien ni personne. Si l'armée ne lui plait plus qu'il démissionne! C'est avec ce genre de personne que les jeunes soldats, dont elle, se donnent des doutes à l'importance d'une armée. Avec de genre d'ambiance, et surtout de Jerone que dès qu'on ne salut pas son supérieur il demande à allez au gnouf, que ceux qui sont absents de les faire rétrograder, mais lui alors? ce qu'il fait est encore plus grave et mériterait surtout d'être viré de l'armée pour ne plus revenir.

Depuis qu'elle était arrivée, ce Jerone l'exaspérait, pourquoi une telle importance de lui même? Tous ces états de service, dont-il ce vente chaque jour, chaque minute, même chaque seconde, il les a mis au service de la Franche Comté. Il doit surtout en être fière, pas en parler pour qu'on se mette à genou devant lui pour le remercier ou qu'on lui remette toutes les médailles du monde. Quand on meurt, dans l'haut delà, on n'aura pas de médailles, on sera tout nu, tous! et pas d'exception, c'était son père qui lui avait dis cela. Ce Jerone n'est pas indispensable et il ne le sera jamais, comme eux tous. Il faudrait qu'il se mette cela dans la tête.

Voyant que la cérémonie avait déjà pris fin, Elvy haussa des épaules et tourna les talons.

L e vieux Pontissalien allait quelque peu mieux. Il faut dire que le ventre vide... cela permettait d'avoir les idées bien plus claire. Il le va la tête en direction de la personne ayant reçu ses "effets personnelles" en plein dans les pieds. et souria.

A vos Ordres!*hips* fut la seul chose qui sortit de sa bouche. ça et quelques morceaux de viande coincés entre les dents. Il plaisantait pas avec l'armée. ça lui rappelait de bon souvenir. d'autant qu'il avait reconnu le grade de gouverveur. autrement dit, c'etait pas la glandouille du coin.

il se recula de quelque metres, laissant tranquille sa nouvelle amie...
et tourna les talons en direction des futs. jettant un oeil de temps en temps en direction de l'estrade, il s'amusait de la situation

AuuuuuuuuuuuUUUUUUUUU GNOUUUUFFFFF!!!*hips* hé hé hé il arriva au fut. regarda a droite a gauche. Ppeu de soldat bougeait

ALLLLEZZZZ VENEZ DONC BOIRE UN BRIN DE CHOPINE!!!!

A vos Ordres!*hips*

Et ben à croire que tout n'était pas perdu chez cet homme là, p'têt même qu'un peu moins bourré on pourrait en faire quelque chose..

AuuuuuuuuuuuUUUUUUUUU GNOUUUUFFFFF!!!*hips* hé hé hé
ALLLLEZZZZ VENEZ DONC BOIRE UN BRIN DE CHOPINE!!!!

.. ou pas.. Et la rouquine de lever les yeux au ciel puis de poser les émeraudes sur Elvyna avec un sourcil haussé en se demandant où elle était partie.

Psst.. Psssssssst.. c'est pas fini.

Et pendant ce temps là, Lic0 et Makita s'apprêtaient à emmener le zouave de Jerone qui n'en avait pas encore fini de parler. Dégradés, dégradés, s'il y en avait bien un qui avait été dégradé c'était lui, et la Gouverneur dût encore se pincer les lèvres pour ne pas moufter, et pourtant, ça la démangeait sévèrement. Et puis il y avait aussi la Franc Comtesse qui devait sans doute être bien dépitée alors qu'elle attendait patiemment l'accalmie pour pouvoir s'exprimer à son tour.

Indiscipline, quand tu nous tiens ! Mais en parlant d'indiscipline, la rouquine plissa les yeux en réalisant que sa seconde ne s'était pas pointée à la cérémonie. Alors là, c'était carrément pas bon pour le matricule de la borgne.

Le temps que tout s'apaise et en suivant toujours d'une oreille attentive ce qui se passait, elle sortit son nécessaire d'écriture et envoya un pigeon au soldat manquant à l'appel. Elle allait lui apprendre à manquer à ses obligations, naméoh ! Et la sanction serait exemplaire. Elle laissa le bout de sa langue dépasser sur le côté tandis qu'elle s'appliquait sur ses écrits.

Citation :: Loup Draugaran,

Vous néte toujoure pas prézante a la sérémoni de chanjeman de manda.

Sé parféteman onte. Et se come sa que vous représanté la disipline et le réspé san clodiun ?

Vou ridiculizé notre armé munisipale !

Puisce vous navé pas pri la péne de vous déplasé poure la sérémoni, vous prandré la péne dédé les jolié a survéyé le solda Jerone le tan de sa péne.

ET IMEDIATEMAN !

Gouverneur Sarani

Et hop, ça c'était envoyé. Retour dans sa position et reprise du cours des choses.

Saffig avait levé les yeux au ciel au premier mot de Jerone. "Mais pourquoi n'arrive-t'il pas à se taire ?" se demandait-elle.
La suite ne l'étonna donc pas. Elle avait toujours essayé de le défendre, connaissant sa valeur, mais elle lui avait toujours dit qu'il utilisait les mauvais moyens. Il l'écoutait, mais ce qui rentrait d'une oreille sortait par l'autre et le naturel revenait au galop. Ainsi, au gnouf.

Elle récupéra donc Lanna, en se demandant pourquoi Jerone était si étonné que la petite lui désobéïsse parfois alors qu'il lui fournissait un exemple pareil.

Elle ne prêta pas attention aux autres dérangements de la cérémonie et attendit, gardant Lanna près d'elle, que le Capitaine veuille bien finir.

La cérémonie de la prévôté terminée, Sauveur prit l'initiative de se rendre à celle organiser par l'armée à l'occasion de ce début de mandat. Une cérémonie dans laquelle, il allait se présenter cette fois en tant que prévôt et non sergent. Ravi de revoir ses camarades, il prit le chemin de la salle en où avait lieu les festivités.

Il ne fallut même être dans la salle pour entendre les cris qui s'y échappaient. Que se passait-il ? Il allait bientôt le découvrir même s'il en avait une idée.

Pas étonnant, Jerone qui fait des siennes. On va dire que c'est l'habitude au sein de l'armée. Aucune réaction de la part du nouveau prévôt. Il alla s'installer au fond de la pièce, attendant pour pouvoir saluer ses camarades.

Loanne, après ordre de repos, avait assisté à la cérémonie, de plus en plus atterée par la tournure que celle-ci prenait. Entre les bourrés et Jerone qui ne savait, encore une fois, pas écouter les ordres, elle était attristée de voir l'Ost dans cet état, mais elle se tint bouche close et laissa les supérieurs s'occuper du problème, ne signifiant son approbation que d'un signe de tête lorsque Jerone fut envoyé au gnouf... Soyons clair, il était au bord de l'insubordination, ce qui ne pouvait être accepté. Enfin celui-ci se retira, essayant encore de donner des leçons comme d'habitude.

Elle attendit la suite, voir si le Capitaine avait fini dans les discours, prêtant à peine attention à l'inconnu qui invitait à boire mais tourna instantanément la tête lorsque le Prévôt fit son apparition. La jeune femme vérifia que tout le monde était trop occupé à autre chose que pour faire attention à elle, y compris la Franc Comtesse puis se dirigea en rasant les murs vers Sauveur et se plaça à côté de lui, effleurant sa main de la sienne, sans pour autant croiser son regard, toujours attentive à ce qu'il se passait dans la pièce.

il venait de percer un tonneau. Cérémonie finit ou pas. il faut dire que la soif le tenaillait depuis quelques temps maintenant. servant des chopines les une apres les autres, il les disposait sur la table legerement feutré ou était déja préparé des victuailles pour nourrir les gars de l'ost.
il regardait de nouveau la peuplaille, tenant fermement sa chopine dans sa main. souriant...

Haaaaaa la catttinnnnn *hips* tsouin tsouin, va la laver*hips* ton cul *hips* malsain!!!!
chantonna tranquillement le vieux Pontissalien...

et beh;;; personne pour s'en caller une dans le gosier ou quoi???? lança t'il en direction des quelques soldats non loin de lui.

Bien après cet intermède ma fois fort déplaisant, le soldat Jerone emporté au gnouf, il attend vous vous en doutez son passage en cours martial. Je vais vous afficher comme dit plus avant dans la journée, le travail de l'EM de ses deux derniers mois et vous faire part d'une nouveauté.

Citation :

Hiérarchie :

Franc-comte, Capitaine, ADC, Sénéchal, Lieutenants, sergents, caporals, soldats, recrues.

Pour le reste ce sont des fonctions : instructeurs des recrues, et instructeurs des terrains, et tout ce qui est administratif.
Le nombre d'officiers doit rester proportionnel au nombre de sections ! C'est la seule cohérence possible

3 sections = 3 lieutenants
4 sections = 4 lieutenants etc...

Les sections se dédoubleront d'elles-mêmes quand leur effectif deviendra trop important pour n'être plus qu'une section... et pour diriger la nouvelle section, un lieutenant sera alors nommé...
Lorsqu'une section s'agrandie, avant de la subdiviser, sera nommé un deuxième sergent. Comme ça les hommes de rang commencent sous les sergents qui ont encore le même lieutenant, puis si le nombre tient, est alors seulement formé une nouvelle section.
Parce que souvent, après une vague de recrutement on a une vague de démissions/disparitions.

Dans ce système les aspirants n'ont aucune utilité puisque dans une section quelle serait la différence avec le sergent dans leur fonction, et pour diriger une nouvelle section, il faut nommer un lieutenant, que ses pairs se feront une joie de former...
En cas d’absence du lieutenant de section, le sergent prend ses prérogatives, en cas d’absences du lieutenant et du sergent, le caporal prend alors les prérogatives des deux premiers. Si le Caporal est lui même absent, les hautes sphères viennent directement donner les ordres.

Citation :: Les différents chef de corps d'arme:
Recrue : Lt instructeur Saffig
Infanterie : vacant.
Archer : Lt Makita
Arbalétrier : Lt ADC Bensira
Cavalerie : Sénéchal Rabatcho
Eclaireurs : vacant
Sapeurs-artilleurs : soldat Jerone

Absence :

Après deux mois d’absence justifiées ou non. Tout soldat en retraite sera remplacé par son subalterne. Lorsqu’il n’y a plus de sergent, ni de caporal nommé, si une section a deux sergents, on en permute un vers la section en carence. Car à l’avenir, il ne devrait plus avoir que trois lieutenants, trois sergents et trois caporaux. Un gradé absent est remplacé par son subalterne dans la mission qu'il occupe mais pas dans son grade. La structure militaire reste valide même si un officier est absent.

Tout soldat s’absentant doit prévenir ses supérieurs par écrit dans le bureau du capitaine afin de garder une preuve écrite de la date du départ et du motif d’absence. Les absences dépassant les deux mois, justifiée ou nom, permettent à l’EM de redistribuer le poste.

L’exception des blessés de guerre, tout soldat empêcher de fonction des suites d’une blessure de guerre, ne peut être dénommé, par égard pour le sacrifice au Comté.

Les ordres :

Nous avons un bureau à l’EM et un autre (Salle d’ordres communs) visible par l’Ost dans son entièreté.
Pour ce qui est de la transmission des ordres, il faut limiter les intermédiaires, ce qui évite la perte d'info en cours de route. Les ordres sont donnés par le capitaine pour tout le monde à l’EM et dans le bureau unique des ordres. Et ensuite les lieutenants envoient ces mêmes ordres par courrier à leurs sections.
C'est au premier officier qui passe d'y transmettre les ordres du jour donné à l'EM dans la salle d’ordre commun, si ce n'est fait avant par le capitaine.

Les recrues :

L’EM sous la prochaine mandature, va établir un programme que devra suivre toute recrue, ce programme se clôturera par un examen de passage. La formation n’aura pas de durée dans le temps spécifique, chaque recrue avançant à son propre rythme.
Un ancien soldat qui revient à l’armée, ne recommence pas par le stade de recrue, mais par celui de soldat, libre à lui de suivre quelques entrainements pour se remettre dans le bain.

Les cumuls :
Concernant le cumul maire-soldat, il n’est pas tolérable ! C'est une incompatibilité structurelle qu'on ne peut nier.

Pour les officiers, rien ne les empêche d'être conseillers municipaux.

La logique voudrait cependant qu'un maire soit mis en disponibilité le temps de son mandat, qu'il soit soldat, sous-officier ou officier. Cela ne doit pas lui enlever son grade pour autant, et il doit pouvoir le retrouver à la fin de son mandat d'élu, sous réserve que ce ne soit pas un grade unique (ce qui concerne uniquement les officiers supérieurs).
Une absence due à une nomination peut durer pas mal de temps, la mise en disponibilité doit être limitée pour tous. Et ce du grade de Caporal à celui de lieutenants. Ca permettrait à qui veut s’investir dans l’armée de pouvoir occupé des postes à responsabilités.
Un capitaine qui retourne dans l’Ost après son mandat, porte la barrette du capitaine même lorsqu’il n’est plus en fonction, c’est en soit honorifique, il n’est donc pas nécessaire de surcharger d’honneur une personne, ou de créer des grades honorifiques quand la volonté première est de simplifier un maximum structure et hiérarchie.

Pour le reste, je ne trouve pas normal qu'un officier récupère son grade à son retour. La politique, ou la voie des armes, impose de faire un choix. D'autant qu'on ne va pas attendre 2 mois pour remplacer l'officier. L'armée doit avoir possibilité de nommer un nouvel occupant pour le grade. Si elle ne le trouve pas, il pourra alors être discuté de l'ex officier qui revient après son mandat. Conclusion, le cumul parlementaire et un grade dans l’armée devient impossible.

On considère que tout revenant est soldat, mais c'est oublier que le grade est propriété de son titulaire (sauf sanction de dégradation qui enlève tout droit de propriété du grade), qu'il s'agisse d'un homme de rang, d'un sous-officier ou d'un officier.
Les médailles montre que le soldat a été officier ou capitaine, si en publique, certains lui donne encore le titre de son ancienne fonction hors Ost, c’est leurs droits, je serais d’avis qu’au sein de l’Ost, le soldat bien qu’ancien capitaine et ou officier ne puisse se prévaloir de son ancien titre pour plus de transparence et de limpidité dans la hiérarchie.
-->Les fonctions, elles ne sont valables que tant qu'on les occupe et qu'on est reconnu comme les occupants.

Les instructeurs :
L'instruction, c'est une fonction qui n'implique pas de grade.
L'intérêt de l'instructeur, c'est qu'il soit compétent dans l'enseignement de son domaine militaire. Or un lieutenant ne l'est pas forcément, et un soldat peut l'être.
Donc un simple soldat peut prétendre au poste d'instructeur. Cette fonction ne lui donne à ce moment là qu'une autorité sur son propre terrain, sur lequel soldats et gradés doivent suivre son enseignement et s'en remettre à lui. Hors du terrain, il redevient simple soldat.

Cérémonie de fin/début de mandat Novembre 1461 370608ost

Si sa grandeur veut bien clôturer la cérémonie avant que le réserviste Dwiral ne nous ai vider tout le buffet, j'ai pour ma part terminé.

Ecouta le Capitaine et fronça les soucils elle avait beau lire et relire mais il manquait bel et bien son corps d'arme ,Le médecin chef s'adressa au Capitaine qu'elle salua

Bonjour et respect Capitaine !

Puis lu à haute voix

Citation :

Les différents chef de corps d'arme:
Recrue : Lt instructeur Saffig
Infanterie : vacant.
Archer : Lt Makita
Arbalétrier : Lt ADC Bensira
Cavalerie : Sénéchal Rabatcho
Eclaireurs : vacant
Sapeurs-artilleurs : soldat Jerone

Le corps des médicastres n'existe plus ou bien l'avez vous par mégarde oublié svp ? merci !

salut

Le gnouf étant idéalement placé pour tirer des flèches, quand on sait où les trouver dans la cellule, ou au pire avoir un oiseau messager fait l'affaire, le blond qui entendait tout ce qui se passait, intervint lui même par message.

C'est donc Caporal J, Rouge-Gorge de son état, N°2 de l'escadrille volante du chapeau de paille, qui fut assermenté pour délivrer le message de son maitre, le redoutable démolisseur, craint de tous, même son camp au vu de sa facheuse tendance au surdosage.

Citation :: Un lieutenant maitre d'arme est un officier de l'armée capable de remplacer n'importe quel instructeur quand les postes sont vacant, le temps de former un nouvel instructeur, il a autorité sur tous les terrains d'entrainements et sa place à l'EM, il est là pour veiller à ce que les instructeurs fassent bien des entrainements réguliers, que le matériel soit toujours opérationnel et organise des entrainement communs, plus communément appelés Manoeuvres.

Sans Lieutenant Maitre d'Armes, l'armée n'est rien, car les instructeurs n'en font qu'à leur tete, les corps sans instructeurs ne s'entrainent pas et donc ne prennent meme pas la peine de se déplacer à l'armée.

Petite info le pointage quotidien ne sert à rien, il suffit d'aller à la prévoté ils font la douane tous les jours et donc peuvent surveiller les mouvements des militaires. D'ailleur ce pointage est une mauvaise excuse pour dire je suis présent alors que l'on ne s'entraine pas.

C'était la petite information, donnée par votre humble Archiviste, grand spécialiste du code militaire et de l'histoire de l'armée.

Tenter de faire du mal à mon oiseau n'est pas fair, il ne fait que livrer le message de son maitre.

Une fois le message rédigé, allez savoir comme le blond fait pour avoir du parchemin et de quoi ecrire dans les geoles, ceux qui sont à l'armée de puis Octobre 1454 le savent, il y avait son bureau dans cette geole, et le blond connait toutes les cachettes, vu que c'est lui qui les a faites pour la plupart.

Le capitaine attendant que sa grandeur clôture la cérémonie voit arriver un piaf au alentour de l'estrade, de redresser son bras pour l'assommer quand il arrive à son hauteur et de le laisser choir au sol sans une seule considération pour le volatile excepté cette pensée qu'il murmure pour lui même.

Je l'offrirais bien à Mimicherie pour son chat tient!

Entrainement fort important pour les volatiles Jeroniens, faire le mort, mais le petit Rouge-gorge avait plus d'une plume sous son aile, il revint à la charge le bec bien en avant, il savait tres bien qu'il avait le droit de se défendre apres une agression, et le plus jeune des 2 oiseaux du blond chapeauté, avait le tempérament de son maitre, autant dire qu'il ne vallait mieux pas l'enerver. Il avait pour mission de délivrer son message il le délivrerait, ce petit oiseau avait été entrainé aux évitements et bien qu'il ne soit pas le plus fort à ce jeu, il était bien agile. C'est donc le bec en avant, le message dans les pattes qu'il fonça vers le capitaine, bien entre les deux yeux, il remonta en l'air au tout dernier moment et lacha le message de son maitre sur le nez du capitaine, le petit oiseau piaillant de colère de cette agression et croyez le, le blond allait vite etre au courant de cette affaire.

La rouquine restait bien sagement en arrière à écouter, à lire, à patienter, mais quelques plis de nervosité restaient lisibles sur son visage.

Le petit nouveau près des fûts se faisait son petit plaisir solitaire en s'en tapant une, sans mauvais jeu de mot puisqu'il avait déjà attaqué sans attendre les copains alors qu'elle crevait d'envie de picoler un coup.

Puis apparition d'un piaf, le bras du Capitaine, paf, par terre. Haussement de sourcil de la rouquine, le machin qui se relève et attaque le Cap'.

Réflexe, couteau ôté de la cuisse, lancer, touché, coulé, plumes qui volent et brochette de piou au menu. Ça c'était fait. Non mais vraiment, c'était quoi cette bestiole agressive !

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