Ecuries de L'OST Poligny- Saint Claude

Tristan arriva dans les anciennes écuries de l’OST qui vraisemblablement, étaient mis à l’abandon depuis quelques temps déjà.
Il regarda autour de lui. « Hummm…. Je vais avoir du boulot ! »



L’idée lui était venu de reprendre les écuries en main et de refaire vivre ces lieux si prestigieux.
Il avait demandé son accord au Capitaine Acis, qui, à sa grande surprise accepta de suite sa requête et par la même occasion, le nomma "Maréchal des Logis".
Tristan en était fou de joie ! Lui qui aimait tant ces fières destriers si fidèles et si forts.
Il avait pleins de projets en tête, comme de faire un rond de longe qui est une surface circulaire destinée au travail à la longe ou à une reprise d’équidés, et un manège, carrière couverte où l’on travail également les chevaux.

Il pensait aussi à, pour plus tard, organiser des reprises, reprendre des chevaux difficiles, ou même à faire le débourrage des jeunes chevaux.
Et à quelques activités pour se défouler et faire vivre l’OST comme différentes épreuves d’habileté, aux armes et à la joute à cheval.

Mais avant tout, il devait donner un sacré coup de balai dans l’allée et les box et dépoussiérer le tout. Ranger les divers choses qui l’encombrait, planches, bois en décomposition, divers objets qui trainaient ca et là….
Il devait aussi monter sur le toit et y remettre quelques tuiles d’ardoise, car il y avait quelques trous dans la toiture à la charpente solide.



Ensuite, il devra nettoyer et ranger la partie sellerie et là encore, tout dépoussiérer. Nettoyer et regraisser les quelques selles et harnais qui étaient resté là, en à peut prêt, bon état. Il y avait 8 selles de travail, une dizaines de harnais, des licols, 12 tapis de selle, des longes, quelques colliers de chasse, 5 colliers d’attelage et tout l’harnachement pour les lourds, et parterre dans une caissette en bois, quelques brosses et cure-pieds en fer forgé.

Il pensait aussi à s’aménager dans une des pièces vides, un bureau où il pourrait faire sa paperasse et accueillir les soldats et les nouveaux arrivants de passage. Il y avait justement à coté de la sellerie, une petite pièce charmante, qui devait déjà faire office de bureau pensa t’il. Il y restait une table, une malle en bois cerclé vide, une armoire, un siège, un vieux tapis, une vieille tapisserie représentant une campagne en Anjou, et surtout, une cheminé avec une grande âtre, en état de marche.



Tristan s’y voyait déjà…
Il était comblé, dans quelques temps, la vie reprendra dans cette bâtisse. Hennissements, pas des sabots ferrés, ruades, odeur de foins et de paille feront la vie de l’écurie.

Il commença de suite ses travaux et son nettoyage, il ne pouvait plus attendre!

Voilà ! Le toit, les portes, quelques fenêtres et cloisons étaient réparé.


Les boxs pour chevaux, poneys, mulets et les ânes avaient retrouvé une seconde vie. On y revoyait à présent, les pavés au sol. Paillé convenablement avec les râteliers refaient. Il y avait aussi une écurie de transit pour les chevaux de passage.


Ensuite venait la sellerie. Rangé, nettoyé, comme les selles, licols, brides, sangles, harnais, colliers et ustensiles qui s’y trouvaient.


Et enfin, le bureau. Petit coin qu’il avait aménagé à son gout. Sobre et confortable. Un fauteuil sculpté qu’il avait trouvé pour quelques écus chez un charpentier de Saint-Claude, et qu’il avait recouvert d’une peau de mouton, une table en bois lourd, où trainait déjà missives, cours sur parchemin et plumes, quelques autres meubles de rangement et de la décoration murale, la tapisserie de la campagne d’Anjou et deux portraits qu’il avait reçu lors de son voyage d’arrivé.


Il posa aussi sa grosse peau d’ours qu’il trainait depuis chez lui, devant la cheminé.

Il était installé et les écuries étaient prêtes à accueillir les autres chevaux des soldats de l'OST! Il n’y avait plus qu’à chercher FULGOR, son étalon noir, pur race Espagnol de 4 ans, que son père lui avait donné et son matériel.

Florian ammena son Poulin et Sa jumans pour leurs faire visiterl eurs futur appartement:

Jordan, qui fut promut en meme temps que Tristan arriva.

Citation :

Et bien tristan que du bon boulot.

- Merci merci! C'était beaucoup de travail mais, maintenant, je suis heureux que cet endroit puisse a nouveau revivre.

Ils regardaient l'édifice quand soudain il vit la soldate Dydie arriver. Il était content que son amie vienne voir les écuries.

Citation :

Bonjour mon Caporal Tristan! Florian! salut je suis tellement consterné de tout le travail que vous fait... c'est tellement beau! je suis très émou de voir tout cela... et je dois vous dire que si vous voulez un petit coup de main d'une femme sans expérience, je suis là, car j'aime cette ambiance d'écurie... Dydie lui sourie, en plus sera un plaisir de partager du temps avec vous, on ne se voit pas souvent dans l'armée.

- Repos soldat.
- Et bien, je voie que ca vous plait, t'en mieux! Et concernant votre aide, c'est avec plaisir que je l'accepte, une touche féminine dans mon bureau ne sera pas de trop, je vous fais confiance a se sujet. De même, ce sera un plaisir de partager mon temps avec vous

Se tournant vers le Caporal Florian...

- Oui avec plaisir, il faut encore remettre un peu de paille ca et là si tu le veux bien et monter une chariote de foin et de fagot de paille au dessus des écuries. Ton idée de "prestige des écuries" me plait bien, ca serai vraiment un honneur. Nous allons faire en sorte que cela le soit. Concernant ton idée de peindre les écuries en or... euh et bien, je ne préfèrerais pas, il faut quand même que cela reste un peu rustique. Pour le manège, j'y ai pensé, j'ai aussi prévu de faire un rond de longe pour y travailler les chevaux, mais je ne peux tout faire même temps.

(HRP: Je voulais faire des "sous-sujets" mais on ne le peut pas, dommage. J'ai pensé a refaire des "sujets" mais ca va prendre de la place dans les bâtiments de l'OST...)

- Si tu veux Dydie, je t'enseignerai l'art équestre. Tu pourras venir monter Fulgor quand tu le voudras.

Florian était vite parti et revint au bout d'un moment avec une belle Jument pie et un poulain qui trottait juste derrière.

- Et bien!!! En voilà une bien belle jument !!! avec un très joli petit mâle. Ce sont des "Shire" non??

Tristan s'approcha d'eux et flatta l'encolure de la jument impressionnante. Il passa le plat de sa main sur son chanfrein blanc, puis dans sa crinière et sur le long de son dos puissant.
Il adorait être au contact des chevaux, ca lui procurai calme et plaisir. Il lui prit un antérieur et regarda son sabot qui était parfait. Il se retourna et regarda le poulain, lui encercla l'encolure et lui ouvrit la bouche pour regarder sa dentition, qui était parfaite également.

- Bien bien. Tu peux les emmener en box, choisi celui qui te plaira, à part celui près du bureau, je me le garde.

Dydie écouta attentivement le Caporal Tristan... elle était enchantée de l'idée... pouvoir monter un cheval... et se dit que depuis le temps qu'elle vivait à SC elle pourrait bien investir en un cheval pour s'installer ici avec lui. Les moyens elles les avait, dépenser quelques économies dans un cheval lui plaisait bien.


Mon cher Caporal merci pour votre offre sera avec plaisir que je resterai ici pour apprendre l'art d'un chevalière. J4ai eu la chance il y a quelques années, j'était encore jeune fille, d'avoir connu un noble qui m'as invité à sa demeure, j'ai adoré chevaucher sur ses nobles animaux, et puis j'avais toujours cela dans le sang. Mais bon je ne vas pas vous fatiguer avec mes vielles histoire.

Dydie rit doucement et marche un peu sur l'écurie pour apprécié le travail et respirer ce aire qu'elle adorait. En voyant qu'il s'approche à un des animaux et le caresse, avec le sentiment de satisfaction d'un être qu'aime la nature et les animaux, se dit qu'elle a vraiment la chance d'avoir des amis comme lui, avec qui on peux partager pleins choses.

Mon cher Caporal, je vas vous laisser un moment, j'ai une idée en tête et j'aimerai bien la mettre en ouvre de suite... merci pour cette invitation je suis sure qu'on passera des moments très agréables et fort instructifs ensembles. Avec votre permission je me retire, mais je reviens dès que possible.

Dydie salue les deux caporales et part avec sa permission, avec une idée en tête.

Il revint quelques temps après aux écuries. Il vit tout de suite Dydie qui attendait a coté d'une charrette.

Tristan avait emmené avec lui ses selles. Celle qu'il utilisait fréquemment et la deuxième, qu'il n'utilisait que pour les parades ou les jours spéciaux. Il avait également trouvé quelques livres de grands Écuyers et des manuels qui lui seront bien utiles. Il dut pour cela, emprunter la charriote a son voisin.

Il arriva près de Dydie, en sueur et soufflant fort, d'avoir tiré la charrette.

- Pfffiouu... je n'avais pas remarqué cette petite montée....

Il passa sa main sur son front.

- Mais dis moi? Qu'est ce donc? dit il en regardant la bête sculpté.

Dydie ferme et laisse sa gourde bien rangé dans sa besace dès qu'elle voit à Tristan arriver avec pleins goutes sur le front, elle se reposait aussi depuis son effort. Elle regarde les beaux cheveux blonds de Tristan qui n'arrêtaient pas de briller sous l'effet du soleil et lui sourit.

Mon cher Caporal je dois vous confirmer que je 'n'avait pas vu non plus la petite monté à ma première visite, par contre elle s'est as bien fait sentir avec la charrette. Dydie refusé totalement de penser à son âge, d'ailleurs elle ne savait pas qu'elle âge elle avait, peut être le saurait elle un jour quand elle connaitrairai sa famille en Castilla. Surement sa cousine s'aurai bien moquer d'elle en la voyant si fatiguée, elle lui envoie une douce pensée à sa vrai blonde et arrête de voyager dans l'espace pour se concentrer sur la question de Tristan.


Alors là! mon Caporal, j'ai vous ai ramène un petit présent, je ne pense pas qu'il soit pour votre bureau, je pense qu'ailleurs il sera mieux... je vous réserve une autre chose pour le bureau. Dydie lui sourit et monte sur la charrette pour descendre le buis... elle le pousse avec ses hanches pour eviter de se faire mal au dos, mais dans l'exercice, sent ls'incruster un des fils qui soutenait la plante. Aiieee!!!! ce qu'il me manqué, j'ai du laissé mal accroché un des fils, je viens de me piquer avec quelque chose Puis elle masse sa partie endolorie et rit avec les choses qui lui arrivaient toujours. Finit de puosser le buis avec l'autre coté de son corp et le pose au bord de la charrette, descende de la même avec un saut, elle avait toujours sa petite fille intérieur qu'aimait vivre la vie et puis descend le buis et le pose devant de Tristan. Le buis était assez grand, il lui arrivait plus haut de la taille à la femme. Alors mon caporal, je le place où? si vous me permettait, je pense qu'à l'entré de votre bureau où de la écurie pourrait y aller?

Citation :

Alors là! mon Caporal, j'ai vous ai ramène un petit présent, je ne pense pas qu'il soit pour votre bureau, je pense qu'ailleurs il sera mieux... je vous réserve une autre chose pour le bureau.

- Euh... effectivement, c'est un peu... grand pour le mettre dans mon bureau.

Il l'a regarda monter sur la charrette avec aisance. Elle commença a pousser sa sculpture verte avec ses hanches quand soudain, elle se piqua.

Citation :

Aiieee!!!! ce qu'il me manqué, j'ai du laissé mal accroché un des fils, je viens de me piquer avec quelque chose

- Oh! euh? ca va aller? attendez, je vais venir vous aider!

Mais a peine avait il finit sa phrase, que la chose était déjà par terre!

- Et bien... Quel style... Ha ha ha ha!!!

Citation :

Alors mon caporal, je le place où? si vous me permettait, je pense qu'à l'entré de votre bureau où de la écurie pourrait y aller?

- Je pense que le meilleur endroit serai..... A l'entrée des bâtiments des écuries! De cette façon, tout le monde pourra voir votre présent aux écuries et votre grande prouesse artistique.

Sur ce, il empoigna la chose avec l'aide de la soldate, et l'emmena prêt de l'entrée, sur le coté gauche, sur un coin de verdure et la posa stablement.

- Alors? qu'en dites vous? Ça vous plait?

Dydie riez avec lui, c'était tellement plaisant de passer son temps en bonne compagnie. Ensembles ils avaient bougés la sculpture. LA femme lui donne une main pour l'installer, mais il fallait être juste... c'est lui qu'avait tout fait pour l'installer, en bon chevalier qu'il était il avait fait le plus gros, à l'exception de planter quelques fleurs.

Une fois qu'il avait finit, Dydie court et va à l'entrée pour voir l'ouvre installé. Elle bouge de coté pour la percevoir des différents angles. Et puis va à son coté et lui dit :


Parfait!!!!! mon Caporal! je ne vous connaissait vous talents de jardinier, on aurai pu faire équipe dans mon ancien fleuristerie. Heureuse de vous l'avoir eu apporté. On devrai se prend un coup d'eau, à défaut d'autre chose, Dydie rit en se souvenant de la dernier colère du Capitan et elle n'oserai même pas de boire de l'alcool dans la garnison.


Mon Caporal, j'ai envie de faire un tour dans l'écurie, voir ce que je peux faire pour les animaux et après j'espère vous revoir en taverne pour prendre un verre rafraichissant ensembles, cela vous va!, on mérite une bonne récompense pour notre travail en équipe, je vous invite volontaire

Il commença a décharger tout son bardât. Il avait ramené ses deux selles.
Celle de tous les jours et de travail...


Et celle pour les grandes occasions ou les parades...


Il avait préparé deux repose-selle qu'il avait confectionné lui même avec des morceaux de bois récupéré ca et là, et les avait posé dans son bureau. Il y posa donc les deux selles.
Il avait aussi les brides à accrocher. Il regarda les murs, et se dit qu'un clou de ferrage ferait l'affaire. Il en prit trois et les martela entre les cailloux qui faisaient le mur et y accrocha ses brides.



Voila encore une bonne chose de faite! .... se dit il.

Il retourna dehors pour chercher le reste, quelques manuels, des parchemins, un gant de fauconnerie, une besace, une jarre en terre-cuite, 2 bouteilles d'hypocras et sa cantine...


Une fois le tout posé et ranger il déroula le parchemin qu'il avait écrit et le relu.

- Hum? ... Cela devrait faire l'affaire en attendant.

Il prit quelques clous, et fixa le papier sur la porte massive en bois de son bureau.



Il prit le registre des entrées et sortie des arrivants et alla le poser dans la sellerie.

Citation :

Nom: florianIII
Grade: Caporale
Ost: Saint-Claude
Nom et type de la monture: 1 poulain (Shire) Yeko, 1 jument (shire) Urka.
Date d'arrivé: 24 octobre.
Date de départ: /

Le Caporal arriva aux écuries avec son fidèle destrier Fulgor. Un magnifique Pur Race Espagnol noir de 4 ans.



- Voilà mon beau, tes nouveaux appartements. Tu y seras plus abrité cet hiver.

Il le flatta de sa main pendant que celui-ci renâclait.
Il l'accrocha a l'anneau d'attache juste devant l'entrée des écuries et alla chercher des étrilles et un bouchon ainsi qu'un cure-pieds. Il arriva dans la sellerie et vit de suite que le registre était ouvert, il regarda dedans et vit que le Caporal Florian y avait inscrit son nom et ses bêtes.

J'espère qu'il pensera a venir régulièrement ici pour s'en occuper... pensa t'il.

Il revint et commença à étriller son cheval. Cela lui procurait beaucoup de plaisir de s'occuper de lui. Ils avaient déjà fait beaucoup de chemins ensemble et Tristan le connaissait depuis qu'il était né. Il se souvenait de sa naissance comme si c'était hier...

C'était une douce nuit de mai. Le père de Tristan, Théodéric de Bollwiller était venu le réveiller car il voulait absolument assister à la mise-bas.Fulgor est le fruit du croisement entre "Escosia del Torente" PRE et"Gabio Dios del Trueno" PRE.

Les contractions de la jument étaient fréquentes et le poulain ne tarda pas à arriver. Tristan l'aima de suite. Petite créature frêle sur ses longues pattes.S'en suivi de longues partie de courses et de jeu avec le poulain, qui, au furet mesure du temps, devint un magnifique étalon.

- Tu es toujours aussi beau mon gros!!

Fulgor hennit bruyamment en levant la tête.

- Oui oui mon beau, tu n'es pas gros... ou alors? Ne sentirai tu pas la jument de Florian?? Ça doit être cela... Tu la verras après, mais hors de question de l'approcher pour toi. Désolé.

Il en avait fini avec l'étrille, il continua avec le bouchon, ou brosse dure, qui s'utilise juste après l'étrille et qui enlève la plus grande partie de la poussière et de la saleté.



Puis il lui prit les sabots pour les curer, regarder leur état et en profita pour leur appliquer au pinceau, de l'huile de laurier qui était nourrissante pour ceux ci.

- Voilà mon fier destrier! Te voilà beau comme un écu neuf!

Il le détacha et le fit rentrer dans l'écurie, il le tenait fermement car il savait comment il pouvait réagir avec la présence d'une jument. Celle ci se retourna dans son box et humecta l'air. Fulgor commença a piétiner sur place et à renâcler. Il était temps de le rentrer dans son box.
Il le rentra, et ferma bien les deux verrous de la porte du box.



- Je vais encore aller te chercher du foin et de l'eau.

Il sorti avec deux seaux et partie au puits pour les remplir, il revint ensuite pour les déverser dans le récipient en bois cerclé dans le box. Il en profita pour en emmener à la jument et son poulain. Il monta à l'étage dans la grange à foin, prit une fourche en bois et piqua a plusieurs reprises dans du foin en vrac pour en prendre un bon fagot.



Il descendit l'échelle avec la fourche en appui sur son épaule gauche et alla mettre le foin dans un coin du box à Fulgor qui inspectait les quatre coins de son nouveau chez lui.

Je vais aller remplir le registre pour ma part, je suis le Maréchal mais, je n'ai pas à y couper. ... se dit-il.

Il prit le registre, le remplit et retourna vers les box, fit un tour vers la jument et son poulain, regarda s'ils ne manquaient de rien et repartit.

Citation :

Nom: Tristan du Schlossberg
Grade: Caporal, Maréchal des Logis
Dépendant de l'OST de: Poligny/Saint-Claude
Nom et type de la monture: Fulgor, Pur Race Espagnol
Date d'arrivé: 28 octobre 1458
Date de départ: ...

- Ah bonjour soldat Hermine! Comment va? Ça me fais plaisir de vous voir ici! Oui effectivement, je pense que j'ai bien travaillé, et suis bien installé oui.
Venez, prenez place...

Se lève et va lui chercher une autre chaise et lui installe prêt de son bureau.

- Je vous en prie... Je.. veuillez excuser mon état... je me suis endormi sur mon bureau..

Il alla prêt d'une commode, saisi une vasque, la rempli d'eau et se nettoie le visage a grande eau. Puis attrape un linge et se sèche le visage.

- Une larme d'hypocras soldat?

Psycotik avait entendu parler de l'ouvertur de l'écurie dans l'OST, se decida d'aller y jeter un coup d'oeil.
Lui qui vait toujours eu une peur reverentiel pour ces nobles créatures, il esperait que perosnne ne le remarquerais. il comptait aussi, un peu, sur Tristan, pour le rassurer, mais ca il ne l'avouerais jamais...

Il arriva donc aux écuries, prenant soin de ne pas trop s'approcher des boxes, il découvrit le bureau du Caporal. La porte entre-baillé, il allais frappé quand il entendit, qu'il y avait quelque envie d'alcool, il resta un instant sur place. Puis d'un coup pénétra dans la pièce.

- Soldats ! tona-t-il, un discret sourir aux lèvres

Pyscotik vit le mouvement de tête des soldats et deux d'entre eux se mirent aux garde a vous. Il vit aussi le verre se rapprocher lentement du sol et se répendre tranquillement dans la pièce en mille cristaux differents...

- Vous ai-je fais peur Hermine ? Est-ce pour ca que vous ne vous mettez pas au garde a vous ?

- Mais bon ce n'est que de l'eau ! Heureusement ! N'est-ce pas Caporal Tristan ? dit-il avec un clin d'oeil. Allez rangez ca. Vous m'aviez promit une petite visite il me semble.

Hermine imita les deux hommes et se mit au garde à vous. Elle reprit son naturel aux paroles du lieutenant et ramassa les morceaux de verre.
Elle ne connaissait pas bien encore le lieutenant mais elle savait qu'il était plus coulant que son supérieur.
Elle se détendit donc : Tristan, si je puis me permettre, j'aimerais moi aussi vous accompagner pour une visite de lieux.

Tristan allait faire une réflexion à Hermine quand celle-ci se mit au garde a vous.

- Euh et bien oui mon Lieutenant! Avec plaisir. Je vais déjà vous montrer la sellerie. Et nous continuerons ensuite par les écuries si vous le voulez bien.

Citation :

Tristan, si je puis me permettre, j'aimerais moi aussi vous accompagner pour une visite de lieux.

Il se retourna et vit Hermine entrain de ramasser le verre.

- Mais bien sur, avec joie!

Il sortit de son bureau et se dirigea donc vers la sellerie, suivi du Lieutenant et de la soldate.

- Voilà, nous sommes donc à la sellerie. Il restait quelques selles en bon état, des brides, des tapis, des licols, des colliers et du harnachement que j'ai rafistolé et nettoyé, ainsi que des brosses et cures pieds. J'ai aussi rangé et arrangé la pièce, en consolidant les murs avec du bois et du mortier.

Psycotik suivit tristan jusqu'a la sellerie. Accompagné d'Hermine.

- C'est donc une espece de stockage ici ? Et vous avez fait ca tout seul ? Bon travaille je dois dire... je suis épaté !

Psycotik s'approcha d'une selle et l'observa, comme s'il si connaissait. La tripota quelque peu puis, se retournant vers Hermine...

- Rah decidement, je ne m'y connais pas... Et vous Hermine ? Savez vous manipuler ces choses là ?

- Tristan est-ce que les chevaux se laisse seller volontiers ? Car je ne voudrais pas me faire mordre en essayant d'un seller un... dit-il en souriant

- C'est ce que l'on appel, la sellerie mon Lieutenant. C'est dans cette pièce que nous rangeons les selles et harnachement des chevaux,mulets, ou ânes. Pour éviter que cela ne traine je ne sais où.

Il vit l'Officier s'approcher de l'une des selles et la toucher. Tristan vit de suite qu'il n'y connaissait rien.

- Si je puis me permettre...

Il attrapa la selle et la posa sur un arceau à coté et la détailla à Psycotik.

- Une selle se compose d'un siège, du pommeau, le troussequin, le quartier, étrivière, étrier....



Elle est généralement rembourrée avec du crin de cheval et de la paille, faite en cuir avec un arceau en bois.

Citation :

D'ailleurs, dès ma solde touchée, j'envisage de m'acheter un cheval.

- Vous m'en voyez ravi Soldat! Si vous voulez, je vous aiderai à le choisir chez le maquignon à la prochaine foire. Et s'il a quelques craintes ou quelques flemme, je me ferai un plaisir de le travailler pour vous. Et concernant votre question mon Lieutenant, un cheval bien éduqué n'a pas à réagir lors de son harnachement, il se peut cependant qu'il soit surprit pour je ne sais quelle chose, mais cela est très rare.

Psycotik regarda Hermine qui lui expliquait ses connaissances en étalon. Il se dit qu'il devrait vraiment ne plus avoir peur des chevaux, si ses soldats n'en avait peur alors lui non plus... Sans doute.

- Non, je ne monte pas... Enfin pas les chevaux.

Puis Tristan s'approcha et lui détailla chaque partie de la selle. Le lieutenant écouta attentivement, de toute sa concentration. Hors de question qu'il passe pour un âne devant ses soldats...

- Votre savoir en la matière est sans limite Caporal. Heureux d'apprendre avec vous... Continuons la visite ? dit-il tout sourire. Ou y a-t-il autre chose que je pourrais apprendre ici...

Citation :

Non, je ne monte pas... Enfin pas les chevaux.

Hermine se demandait bien ce que le lieutenant avait voulu dire avec cette phrase.
Que pouvait-il bien monter d'autre qu'un cheval ?

Vous avez vous aussi un âne ou une mule mon lieutenant ?

Hermine riait intérieurement, l"imaginant sur son piètre destrier !

- Non je ne monte aucun destrier, je ne suis pas assez stable dessus... Et étant archer de formation, je monte les arbres. Pour une meilleure vue, porté et stabilité. Mais les different corps d'arme supprimer faut bien que j'apprenne a manier l'épée sur un cheval...

Tristan voyait bien que l'Officier l'écoutait avec attention.

- Oui, y baignant depuis que je suis gamin, je m'y connais un peu... Mon père a également un élevage de très beaux spécimens.

Il repensa aux chevaux magnifiques qu'il côtoyait dans les écuries de son père.

A la réponse du Lieutenant, Tristan se demandait aussi ce qu'il pouvait bien "grimper"?? Il souriait légerement en coin.

Citation :

- Non je ne monte aucun destrier, je ne suis pas assez stable dessus... Et étant archer de formation, je monte les arbres. Pour une meilleure vue, porté et stabilité. Mais les différent corps d'arme supprimer faut bien que j'apprenne a manier l'épée sur un cheval...

- Oh? Vous êtes archer? Fort bien! Quand pourrons-nous avoir un entrainement? J'y pense depuis quelques temps... Et pour ma part, je pourrais vous apprendre à chevaucher. Nous allons passer aux écuries si vous le voulez bien...

Citation :

Oui, y baignant depuis que je suis gamin, je m'y connais un peu...

- Vous êtes bien modeste Caporal ! dit-il avec un clin d'oeil

Citation :

Oh? Vous êtes archer? Fort bien! Quand pourrons-nous avoir un entrainement?

- Oui je suis rentré dans l'armée a l'époque ou les corps d'arme était demarquer. J'ai suivi une formation d'archer. Même si maintenant depuis le temps, je manie l'épée aussi bien que les autres soldats.

- J'ai installer moi même, il y a quelque jours, un terrain pour archer dans la cour de l'OST. Je l'ai fait amoureusement. Si, si ! Et je serai ravi que vous m'y rejoingnez ! Je m'ennuie quand je suis seul ! dit-il en rigolant

Psycotik sourit, vraiment heureux de ce que venait de dire Hermine. Que ses soldats s'entende si bien lui faisait enormement plaisir !