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| Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté | |
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Duncan_Idaho Troubadour
Nombre de messages : 5585 Localisation : Dole (IRL région parisienne) Date d'inscription : 05/09/2005
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| Sujet: Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté Sam 17 Fév 2007 - 21:39 | |
| Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté Chapitre 1 : De l’application des Lois et de la JusticeArticle 1 : Primauté des loisLes loys de l'Empire sont exécutoires dans le comté de Franche-Comté. Les loys de l'Empire priment sur les décrets du comte de Franche-Comté et les décisions des maires. Les décrets du comté de Franche-comté priment sur les décisions des maires. Publié par le Franc-Comte Volpone le 8 août 1453.Article 2 : Mode de preuveConcernant les affaires judiciaires, l'unique preuve recevable pour constituer un dossier de gendarmerie est une copie certifiée (hrp : copie écran/screen) à moins d'une autre pièce, avec une force probante tout juste inférieure (dont la recevabilité est au jugement des acteurs de la justice Franc Comtoise). Cependant, cette même copie certifiée ne pourra être présentée devant le juge telle quel, durant le procès, mais devra être rapportée sous forme de témoignage par la personne ayant constaté l'infraction (que cela soit la victime ou bien une tierce personne). Publié par la régente Tite_Kanaye le 16 août 1453.Amendement voté par le Parlement le 3 juillet 1456 et publié par le Franc Comte Jontas le 4 juillet 1456Article 3 : Décrets municipauxTout décret municipal, publié à Dole et placardé à la mairie, pris par le maire dispose d'une présomption simple de validité, et est sanctionnable par le juge. Peuvent s'opposer au décret, le Conseil du Comté et le conseil municipal concerné. Publié par le Franc-Comte Hellbrother le 25 septembre 1453.Article 4 : Travaux d’intérêts générauxVoté par le Conseil le 4 janvier 1454, publié par le Franc-Comte Tyrael le 4 janvier 1454.Loi abrogée par vote du parlement le 20 février 1456, publiée le 23 février 1456 par la Franc-Comtesse Macricri Article 5 : Des conseillers face à la loiLa justice est la même pour tout individu en Franche-Comté. Pour ce qui est des crimes ou délits "de droit commun" commis par un membre du Conseil, ce dernier sera jugé comme tout citoyen franc-comtois, sans aucun passe droit, favoritisme ou indulgence. Les règles habituelles s'appliqueront à la différence que si le contrevenant est membre de la justice Franc-Comtoise, le prévenu sera alors immédiatement démit de ses fonctions jusqu'au verdict, en cas de relaxe, il pourra les reprendre. Le Comte nommera un remplaçant pour la durée de la procédure. Nota : Si le contrevenant est le Franc-Comte : comme pour tout autre citoyen, pour un crime ou délit "de droit commun", la justice sera appliquée de manière habituelle. En plus des peines normalement encourues, un Conseil des 5 Maires ( représentants et élus par le peuple, en sera bien évidemment exclu le présumé coupable si il est maire ) se réunira en session extraordinaire, au château de Dole, il pourra décider d'une sanction supplémentaire pouvant aller d'une simple mise à pied, jusqu'à une peine d'inéligibilité temporaire ou définitive sur notre territoire, voir le bannissement temporaire ou définitif de Franche-Comté. En effet, les membres du conseil en tant qu'élus et représentants du peuple se doivent d'être des citoyens exemplaires. Si il est émis l'hypothèse que le crime ou délit en question a été commis dans le cadre précis des fonctions du contrevenant, le conseil se réunira en session extraordinaire et examinera les faits, si c'est effectivement le cas, le présumé coupable passera en Conseil de discipline comme pour tout manquement au règlement du conseil ( à venir ). Voté par le Conseil le 6 janvier 1454, publié par le Franc-Comte Tyrael le 6 janvier 1454.Article 6 : Tortures et peines publiquesPour tous crimes, le Juge peut décider (HRP en accord avec le condamné qui accepte de jouer RP) d'ajouter une peine d'humiliation publique dans le but de faire un exemple pour les autres criminels. Ces peines sont laissées à l'appréciation du juge et peuvent consister en une peine de Pilori ou de Carcan d'une durée de 1 à 7 jours ou à l'ablation d'un membre pour les cas les plus graves. Ces peines seront administrées par un bourreau, employé comtal, dans la cité de l’accusation. Les enfants de moins de 15 ans se verront refuser l’accès à la scène, sous forme d’une mise en garde sur le panneau donnant accès à la place où se déroule l’humiliation publique. Voté par le Conseil le 8 février 1454, publié par le Franc-Comte Tyrael le 8 février 1454.Article 7 : Recevabilité des preuvesAlinéa 1La présentation illustrée d'une conversation privée ne constitue une preuve valide que dans le cas où tous les interlocuteurs acceptent celle-ci comme telle. Dans le cas contraire, le Procureur ne peut l'accepter et ne devra pas en tenir compte lors du Procès. Cependant les paroles peuvent être rapportées mais leur véracité sera mise en doute et laissée à l'interprétation de la Cour. Alinéa 2Un témoignage est la preuve orale ou écrite déposée par un témoin sous serment sur le livre des Vertus lors d’un procès ou d’une déposition. Une déclaration qui confirme la véracité de ce que l'on a vu, entendu, perçu, vécu. Toute personne assistant à une conversation pouvant servir de preuve dans un procès, peut apporter son témoignage. S'il est écrit et authentifié par la gendarmerie (screen), sa véracité ne pourra être mise en doute. S'il est oral, il sera soumis à l'interprétation de la Cour. Alinéa 3Si une personne se parjure en apportant un faux témoignage, elle sera poursuivie pour Trouble à l'Ordre Public. Voté par le Parlement le 23 octobre 1454, publié par le Franc-Comte Valaraukar le 23 octobre 1454.Amendement voté par le Parlement le 5 août 1456, publié par le Franc Comte Jontas de Valfrey le 6 août 1456.Article 8 : Amnistie comtaleLe Franc-Comte pourra procéder à l'amnistie de francs comtois par mandat. Les conditions de l'aministie doivent être dans les critères suivant : amnistie pour acte et de courage lors de la défense de la Franche-Comté et au mérite. L'amnisitie se fait en cours de mandat à l'appréciation du Franc Comte. Les coûts éventuels de cette amnistie seront pris en charge par le Comté. Voté par le Parlement le 17 janvier 1455, publié par le Régent Rhuyzar le 17 janvier 1455. Modification voté par le Parlement le 15 novembre 1456, publié par le Franc Comte Bobyzz de Sparte le 15 novembre 1456
Dernière édition par Macricri le Sam 23 Fév 2008 - 22:51, édité 1 fois | |
| | | Duncan_Idaho Troubadour
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| Sujet: Re: Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté Sam 17 Fév 2007 - 21:39 | |
| Chapitre 2 : Du Droit civil Article 1 : Liberté d’association et de religion Le comté de Franche-Comté reconnaît la liberté d'association.
Néanmoins les associations ayant pour objectif ou résultat le trouble à l'ordre public sont interdites.
Le comté de Franche-Comté reconnaît l'Eglise aristotélicienne comme religion officielle. Le comté de Franche-Comté proclame la liberté de religion.
Publié par le Franc-Comte Volpone le 6 août 1453.
Article 2 : Loi sur les cultes païens Alinéa 1 La liberté de culte est un droit, non un privilège. Pour être reconnu officiellement comme tel au regard de la loi, un culte ne se revendiquant pas de l'Eglise aristotélicienne devra faire l'objet d'une autorisation administrative délivrée par le Comte, sanctionnable par véto formel du Conseil.
Alinéa 2 Un culte, pour recevoir l'autorisation selon l'article 1, devra s'être déclaré au préalable au secrétariat du Comte ou auprès du conseil. Sa déclaration devra comporter un nombre d'informations définis selon l'article 3.
Alinéa 3 Liste des informations obligatoires à fournir dans les quinze jours suivant la prise de contact avec le porte parole : - Présentation du chef spirituel, - Présentation de l'organisation cléricale (l'autorité jugera sur une hiérarchie claire et structurée du culte), - Présentation du dogme et des rites, - Le nombre de fidèles, - Une analyse Temporel du fondement de la prêche fait par le culte.
Alinéa 4 L'autorisation Comtale avec en annexe la déclaration du culte fera loi. Elle protégera les fidèles du culte du tribunal de l'inquisition mais pas d'un tribunal séculier potentiel.
Alinéa 5 Un culte non officialisé pourra être poursuivi par l'Eglise d'hérésie et sera considéré par le tribunal civil de secte entrainant un trouble à l'ordre public.
Publié par la Franc-Comtesse Tite_Kanaye le 19 octobre 1453.
Article 3 : Droits de succession Tout Franc-Comtois peut faire don de ses biens à sa mort. Le ou les légataires peuvent être un citoyen de Franche-Comté ou d'un duché ou comté ami de celle-ci, ou encore une quelconque institution publique, privé ou religieuse, comme la Franche-Comté ou l'Eglise aristotélicienne. Dans le d'un don à la Franche-Comté, la légation se fera par acte notarié signé par le Bailli de Franche-Comté.
Voté par le Parlement le 4 mars 1454, publié par le Franc-Comte Loïcisdumb le 4 mars 1454.
Article 4 : Participation des Franc-Comtois aux débats Quand un nouveau débat est sur le point d'être déclenché au Parlement, voici son déroulement : 1. Ouverture du débat préalable au Parlement, 2. Sur demande d'un Parlementaire, vote pour l'ouverture du débat aux Franc-Comtois, 3. Ouverture du débat au Franc-Comtois (si votée), pour une durée maximum limitée à 7 jours ou 3j d'inactivité, 4. Synthèse et reprise du débat au Parlement, 5. Vote au Parlement (si nécessaire).
Voté par le Parlement le 10 mai 1454, publié par le Franc-Comte Duncan Idaho le 13 mai 1454.
Article 5 : Des droits, des libertés et des devoirs des individus Alinéa 1 Tout Franc-comtois se voit reconnaître la jouissance de certains droits et certaines libertés, énumérés ci-dessous. Tout Franc-comtois s’oblige en contrepartie à ne pas faire un usage abusif de ses droits et libertés, sous réserve de s’en voir sanctionné. En cas d’urgence ou de nécessité absolue, et sur un motif juste et légitime, les hautes instances de la Franche-Comté se réservent le droit de limiter et de réglementer les droits et les libertés reconnus aux individus.
Alinéa 2 La Franche-Comté reconnaît aux Franc-comtois les droits et libertés suivants: - Tout Franc-comtois a droit au respect de sa personne. La Franche-Comté, par l’intermédiaire des institutions de police et judiciaires, s’engage à protéger les individus contre toute atteinte physique ou verbale non fondée. - Tout Franc-comtois se voit reconnaître la liberté d’agir: tout individu pourra aller et venir à sa guise sur le territoire de la Franche-Comté. Tout individu pourra également choisir librement son métier, mais il lui est vivement conseillé de se renseigner sur les besoins de son village avant de s’engager dans la voie choisie. - Tout Franc-comtois se voit reconnaître la liberté de conscience et d’opinion, sous réserve de ne pas porter atteinte à l’ordre public de la Franche-Comté. La Franche-Comté reconnaît également la liberté de religion, sous réserve que la religion choisie soit reconnue par elle et qu’elle ne soit ni blasphématoire et que ses préceptes ne troublent par l’ordre public.
Alinéa 3 Tout Franc-comtois est tenu d’apporter son concours à la justice en vue de la manifestation de la vérité, sous peine d’être poursuivi et jugé pour haute trahison.
Voté par le Parlement le 8 juin 1454, publié par le Franc-Comte Duncan Idaho le 8 juin 1454.
Article 6 : Du Domicile Alinéa 1 Le domicile se définit comme le lieu dans lequel une personne est censée demeurer en permanence. C’est ce domicile qui détermine la loi applicable aux individus et qui détermine leurs droits, libertés et devoirs. Tout Franc-comtois se doit de fixer son domicile sur le territoire de Franche-Comté s’il veut pouvoir de prévaloir des lois franc-comtoises. Ce domicile ne doit pas être clandestin.
Alinéa 2 Les époux doivent avoir un domicile commun. Ce domicile est choisi d’un commun accord par les conjoints. En cas de désaccord, le dernier mot revient au mari.
Alinéa 3 Le domicile des enfants est fixé obligatoirement au domicile de leur(s) parents
Voté par le Parlement le 8 juin 1454, publié par le Franc-Comte Duncan Idaho le 8 juin 1454.
Article 7 : Le mariage Alinéa 1 L’homme, avant 17 ans révolus, et la femme, avant 15 ans révolus, ne peuvent contracter mariage.
Alinéa 2 Il n’y a point de mariage sans consentement des futurs époux, ou de leurs parents lors de mariages arrangés.
Alinéa 3 D'un point de vue civil, il ne peut être contracté un second mariage sans la dissolution du premier. Les remariages sont autorisés par la Franche-Comté sous réserve que les individus respectent les préceptes de la religion à laquelle ils sont attachés.
Alinéa 4 Un mariage civil peut être officié avec un mariage religieux, officié par une religion reconnue des Royaumes (HRP comprendre codée dans le jeu). Pour le mariage civil, est compétent le maire de la ville dans laquelle les deux époux ont fixé leur résidence commune. Cette compétence est exclusive sous peine que le mariage soit nul de nullité absolue. Pour le mariage religieux, est compétente l’autorité religieuse convenue par les deux époux.
Alinéa 5 Pour éviter toutes fraudes, le mariage devra être inscrit dans un registre spécial tenu à cet effet. Cette inscription devra mentionner: le nom et l’âge des époux, la date du mariage et le nom de la personne ayant procédé au mariage. Un registre unique sera tenu pour les deux types de mariage. Ce registre se trouve dans chaque mairie. Tout manquement à cette obligation de transcription est un trouble à l’ordre public et son auteur est passible d’une condamnation pour haute trahison.
Alinéa 6 Du mariage, naissent certaines obligations qui s’imposent aux époux. - Les époux se doivent d’entretenir les enfants issus du mariage et les enfants qu’ils auront adopté ensemble. - Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours et assistance. - Les époux s’engagent à une communauté de vie.
Alinéa 7 La Franche-Comté reconnaît deux causes de dissolution du lien marital : le décès de l’un des époux et le divorce. Il existe deux causes de divorce : le divorce par consentement et le divorce pour faute. Ces deux types de divorce ne valent que pour les mariages civils, les époux ayant été unis par une autorité religieuse se devant de respecter en sus les préceptes de la dite autorité religieuse.
Alinéa 8 En cas de mariage civil, la requête devra être portée devant le juge, qui est le seul habilité à prononcer le divorce des époux. En cas de mariage religieux, les époux devront s’adresser à l’autorité religieuse qui les a unis. Le juge se voit dans l’obligation de rejeter toute demande qui pourrait lui être adressée.
Alinéa 9 Dans tous les cas, le divorce devra être inscrit sur un registre spécial tenu à cet effet, et mention devra être portée sur le registre des mariages. Tout manquement à cette obligation de transcription constitue un trouble à l’ordre public.
Voté par le Parlement le 8 juin 1454, publié par le Franc-Comte Duncan Idaho le 8 juin 1454.
Article 8 : Des unions libres La Franche-Comté reconnaît les unions libres.
Voté par le Parlement le 8 juin 1454, publié par le Franc-Comte Duncan Idaho le 8 juin 1454.
Article 9 : Des enfants Alinéa 1 Tous les enfants issus du mariage ont les mêmes droits et devoirs dans leurs rapports avec leurs père et mère.
Alinéa 2 Les enfants nés d’une union libre se voient reconnaître les mêmes droits et devoirs dans leurs rapports avec leurs pères et mères.
Alinéa 3 Les enfants adultérins ne se voient reconnaître les mêmes droits et devoirs que les enfants légitimes, que si les parents n’ont pas d’autres enfants dits légitimes.
Alinéa 4 Si la filiation est établie à l’égard des deux parents, seul le père se voit reconnaître l’exercice de l’autorité parentale. La filiation est considérée comme établie à l’égard des deux parents si l’enfant est né dans les liens du mariage.
Alinéa 5 Si la filiation est établie à l’égard d’un seul parent, seul celui-ci exercera l’autorité parentale.
Alinéa 6 Un couple, marié ou non, ou une personne seule, sont habilités à adopter. S’il s’agit d’un couple uni dans les liens du mariage, les deux époux devront donner leur consentement. S’il s’agit d’une union libre, seul le partenaire qui s’engagera à adopter sera considéré comme adoptant et aura des droits et devoirs sur l’adopté
Alinéa 7 Les adoptions devront être approuvées par le maire de la ville dans laquelle résident le ou les adoptants, et elles devront être inscrites sur un registre spécial tenu à cet effet, et ce afin d’éviter des fraudes éventuelles. Tout manquement à cette obligation de transcription est considéré comme un trouble à l’ordre public.
Alinéa 8 Un époux pourra adopter les enfants de son conjoint sous réserve que celui-ci donne son accord.
Alinéa 9 Les enfants adoptés se voient reconnaître les mêmes droits et devoirs que les enfants légitimes.
Alinéa 10 Sont reconnus comme héritiers les enfants légitimes, légitimés ou adoptés.
Alinéa 11 Hormis testament dûment déposé et notarié, la succession et transmission des droits ne peut se faire qu'aux héritiers reconnus à parts égales décidées par le Juge, dans la mesure où ceux-ci ne sont pas règlementés par une instance séparée de la Franche-Comté, comme les titres de noblesse par l'Hérauderie du Saint Empire Romain Germanique.
Voté par le Parlement le 8 juin 1454, publié par le Franc-Comte Duncan Idaho le 8 juin 1454.
Article 10 : Prêts instantanés pour entrée à l’Université Alinéa 1 Un artisan (lvl2) Franc-Comtois qui possède tous les prérequis demandés autre que l'argent pour devenir étudiant (lvl3), mais possédant tout de même 1000 écus, pourra se voir prêter l'argent manquant par la Franche-Comté sous la direction du Commissaire au Commerce. A la réception du prêt, l'artisan devra immédiatement entamer les démarches pour devenir étudiant en payant les 1000 écus requis, puis rembourser immédiatement le prêt à la Franche-Comté, sous peine de se voir poursuivi en Justice pour escroquerie. Alinéa 2 Le Comté accorde un prêt à taux 0%, dans la limite de 500 écus pour tout artisan souhaitant devenir étudiant (niveau 3). Le dossier de demande devra être déposé à l'université du Château de Dole, dans le bureau prévu à cette effet.
Conditions d'accès au prêt : - être citoyen Franc-Comtois, - avoir un casier judiciaire vierge, - être parrainé par un notable (Conseiller, Maire, Noble...). La décision finale est prise par le CAC & le Bailli qui débloquera les fonds et les transmettra via un mandat au parrain ou au maire.
Modalités du prêt : Le bénéficiaire doit avoir prouvé qu'il a pris un emploi le jour de la transaction. Le remboursement doit être fait tout de suite après la validation de l'inscription à l'université (passage niveau 3)
Voté par le Parlement le 14 août 1454, publié par la Franc-Comtesse Macricri le 14 août 1454.
Article 11 : Droit d’escorte Alinéa 1 Tout Voyageur de passage sur les terres franc-comtoises et désireux de se faire escorter, devra faire une demande au Capitaine. Une réponse sera apportée dans un délai de 5 jours.
Alinéa 2 Le Voyageur devra choisir la puissance de son escorte selon le barême suivant : +3 pts : 20 écus +4 pts : 25 écus +5 pts : 30 écus +6 pts : 35 écus +7 pts : 40 écus +8 pts : 45 écus
+bouclier : +5 écus. +cheval : +5 écus +départ urgent (inférieur à 5 jours) : +10 écus
Alinéa 3 Le Capitaine est, avec le Comte en exercice, le seul qualifié pour juger de l'opportunité d'organiser une escorte, par conséquent ses décisions sont sans appel.
Voté par le Parlement le 23 octobre 1454, publié par le Franc-Comte Valaraukar le 23 octobre 1454.
Article 12 : Aide au peuplement de Dole Le Comté accordera une prime aux Franc-Comtois qui déménagent à Dole, par l'intermédiaire de la mairie, de 150 écus pour tout Franc-Comtois qui y déménage et prends un champs.
Voté par le Parlement le 9 janvier 1455, publié par la Franc-Comtesse Mylena de Fray de Vigner le 10 janvier 1455.
Abrogée par la Parlement le 02 Septembre 1456, publié par la Franc-Comtesse Lysiane d'ormerach le 03 Septembre 1456. | |
| | | Duncan_Idaho Troubadour
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| Sujet: Re: Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté Sam 17 Fév 2007 - 21:39 | |
| Chapitre 3 : Du Droit pénal Article 1 : Prises de mairies La prise de mairie sans autorisation du comte ou de son représentant est un trouble à l'ordre public.
Publié par le Franc-Comte Volpone le 8 août 1453.
Article 2 : Brigandage Le brigandage est puni de mort en Franche-Comté.
L'assassinat est puni de mort en Franche-Comté.
Publié par le Franc-Comte Volpone le 16 août 1453.
Article 3 : Voyageurs et indemnisation Alinéa 1 Tout voyageur sur les terres franc-comtoises doit envoyer une copie complète de son inventaire, ainsi que la description de l'itinéraire de son étape, au Prévôt des Maréchaux, pour se voir remboursé intrégralement s'il victime de brigandage.
Alinéa 2 Pour tout acte de brigandage dont le procès se déroule en Franche-Comté, la victime qui aura au préalable envoyé une copie de son inventaire au Prévôt des Maréchaux, se verra indemnisée une fois l'accusé jugé coupable. La hauteur de l'indemnisation sera composée de : - du remplacement des denrées qui ont été jugées volées lors du procès par les stocks du comté quand cela lui est permis, - du remplacement en or de ces mêmes denrées jugées volées mais donc le comté ne peut faire le remplacement, au tarif du marché comtal, - d'une compensation financière supplémentaire selon la hauteur du préjudice subit, à l'appréciation du Juge. Toute victime qui n'aura pas envoyé copie de son inventaire avant les faits, ne pourra être assurée d'être intégralement remboursée, le préjudice sera alors établi à l'aide d'autres preuves et témoignages, estimé par le Juge.
Voté par le Conseil le 26 janvier 1454, publié par le Franc-Comte Tyrael le 26 janvier 1454.
Article 4 : Comportement et insultes
La liberté d'expression étant garantie en Franche-Comté, la critique, la satire ou la caricature sont naturellement autorisées
Du comportement et des insultes en général :
Constitue un acte d’insulte publique: Tout propos public souillant l’honneur personnel d’un habitant du Comté ou de son ascendance et choquant sans conteste l’opinion publique. Constitue un acte d’insulte privé: Tout écrit souillant l’honneur personnel d’un habitant du Comté ou de son ascendance et dont le contenu s’oppose à la morale. Constitue un acte de menace de mort: Tout écrit ou parole publique qui menace de mort un individu, acte s'opposant par définition à la morale. Constitue une insulte grave: tout nom à consonance ordurière ou indécente, toute insulte, écrit ou parole publique dont le contenu est indiscutablement ordurier et indécent sera jugé par la toute puissance d'Aristote.
Les insultes suite à un défaut de tempérance et de retenue, sont considérées comme des délits mineurs et sont punis par l’obligation de se soumettre à l’excuse publique.
Toute insulte à l'encontre d'un élu, d'un haut fonctionnaire franc-comtois, de l'autorité militaire dans le cadre de leur fonction ou d'un représentant de l'Eglise aristotélicienne, est considérée comme un facteur aggravant que le Juge se devra de prendre en compte lors de son verdict.
Voté par le Parlement le 18 mars 1454, publié par le Franc-Comte Loïcisdumb le 18 mars 1454. Modifié par vote du Parlement du 22 septembre 1456, publié par la Franc Comtesse Lysiane le 24 septembre 1456
Article 5 : Groupes armés, milice et lances
Alinéa 1 Il est interdit de créer une armée ou une milice sur le territoire Franc-Comtois sans l'autorisation de son Parlement, sous peine de poursuites contre tous ou une partie des membres de cette armée. Toute armée ou milice non agrémentée, sons contrat ou qui n'aurait pas reçu une autorisation du Parlement Franc-Comtois, est considérée comme privée et donc hors la loi. Est entendu par milice privée, tout regroupement armé de personnes non placé sous le commandement du Capitaine des Armées Franc-Comtoises
Tout contrevenant à ces règles, qu'il soit collaborateur ou responsable, sera poursuivi pour Haute Trahison, passible de la peine capitale et s'expose à une riposte sans avertissement de la part des armées Franc-Comtoises.
Alinéa 2 Il est interdit à toute personne présente sur le sol franc comtois de faire partie d’une armée ou une milice privée non rattachée au préalable à l'armée ou au parlement de Franche-Comté. Tout contrevenant sera poursuivi pour Trahison.
Alinéa 3 Tout groupe simple conduit par des étrangers ou comprenant des étrangers est interdit sur le territoire de Franche-Comté, sauf autorisation spéciale du Franc-Comte ou du Connétable. Tout contrevenant se verra demander de détruire son groupe durant son séjour en Franche-Comté ou sera mis en procès pour Trouble à l'Ordre Public.
Tout groupe armé ou lance conduit par des étrangers ou comprenant des étrangers devra signaler son voyage en nos terres, ce, avant ou lors de son entrée dans notre Comté et devra informer du parcours complet au Connétable. S'il y a manquement, la dissolution du groupe sera demandée et s'il y a refus sera mis en procès pour Trouble à l'Ordre Public.
Les groupes simples, groupes armées ou lances composées dans leur intégralité de franc-comtois sont autorisés sur le sol de Franche-Comté.
Voté par le Parlement le 13 décembre 1454, publié par le Franc-Comte Cartil le 13 décembre 1454. Amendement voté le 4 février 1456et publié par la Franc-Comtesse Macricri le 5 février 1456. Modification votée par le Parlement le 10 décembre 1456, publié par le Franc Comte Bobyzz de Spartre le 11 décembre 1456. | |
| | | Duncan_Idaho Troubadour
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| Sujet: Re: Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté Sam 17 Fév 2007 - 21:40 | |
| Chapitre 4 : Des droits et devoirs des institutions et mandats publics de Franche-Comté
Article 1 : Charte de l’Ambassadeur Alinéa 1 : Un peu de culture Ambassadeur: --> Ambasciator (latin) --> Ambactus (gaulois) --> Serviteur, client, domestique ou officier.
Alinéa 2 : Définition Un ambassadeur est un représentant d'un Comté/Duché auprès d'un autre Comté/Duché. L'ambassadeur est subordonné au Conseil de son Comté/Duché par l'intermédiaire du Chancelier/Chambellan, qui lui, tient ses fonctions directement du Comte/Duc. Il ne tient donc son pouvoir que de lui (le Conseil) et ne l'exerce qu'en son nom et sur sa demande expresse.
Alinéa 3 : Nomination L'ambassadeur est nommé discrétionnairement par le Chancelier/Chambellan. Toute personne désireuse d'intégrer le prestigieux corps des ambassadeurs devra procéder ainsi: elle devra envoyer une lettre de présentation et de motivation au Chancelier/Chambellan. Les qualités requises - Un sens aigu de la diplomatie: la diplomatie est une négociation aboutissant à des actes planifiant et régulant les relations entre Comtés/Duchés. - Un sens développé du travail en équipe: l'ambassadeur est au service de son Comté/Duché. Il devra travailler en étroite collaboration avec son Chancelier/Chambellan, avec le Commissaire au Commerce (dans le domaine commercial) ou tout autre Conseiller qui serait concerné. - De grandes qualités de lecture et de compréhension - Une excellente élocution: en l'espèce, l'ambassadeur doit faire preuve de qualités d'écriture irréprochables. - Un sens aiguisé du respect: l'ambassadeur se devra de respecter son homologue, ainsi que les membres du Conseil du Comté/Duché dans lequel il officie. Il devra également respecter les institutions de sa propre région. - Un esprit de synthèse certain pour la rédaction des rapports exigés.
Alinéa 4 : Révocation L'ambassadeur pourra de lui-même renoncer à ses fonctions. Mais il devra en informer son Chancelier/Chambellan afin que celui-ci le radie des registres et lui coupe ses accès à la Chancellerie. Un tel oubli sera sanctionné par un procès pour trouble à l'ordre public et une amende. Dans un souci de respect et d'honneur, il se devra également d'informer le Chancelier/Chambellan du Comté/Duché dans lequel il était affecté.
Le Chancelier/Chambellan se garde le droit de destituer un ambassadeur qui manquerait à ses obligations, sauf s'il fait état de justes motifs. Toutefois, il devra en informer les autres membres du Conseil.
Alinéa 5 : Missions -> Une mission de représentation L'ambassadeur a pour mission de représenter sa région, son peuple et ses institutions politiques auprès d'une autre, ceci avec honneur, dignité et respect. Il doit se présenter au Comté/Duché auquel il est affecté avec toutes les règles de bienséance requises. Il devra également présenter les hommages de ses propres institutions et exposer les raisons de sa présence. Il devra retransmettre clairement les volontés de ses institutions afin que les négociations soient menées parfaitement et que les deux parties en retirent des avantages conséquents. Il devra représenter le peuple de son Comté/Duché, son Comte/Duc et son Conseil lors de grands évènements (mariages, enterrements, adoubements...), si le Comte/Duc ou le Chancelier/Chambellan ne peut s'y rendre, mais seulement avec l'aval du Comte/Duc. -> Une mission d'information L'ambassadeur s'engage à informer régulièrement son Chancelier/Chambellan de la situation politique, judiciaire, militaire, économique... du Comté/Duché dans lequel il travaille. Il s'engage à fournir un rapport hebdomadaire à son Chancelier/Chambellan: - Sur la composition du Conseil de la région à laquelle il est affecté. EX/ Composition au XX/XX/XXXX Machin: Comte Truc: Capitaine ... Composition au YY/XX/XXXX Machin : Comte Bidule: Capitaine Démission de Truc parce que blablabla - Sur la situation économique, politique, judiciaire, militaire - Sur l'évolution des négociations Il devra signaler tous les forums annexes (et leurs adresses) des Chateaux, casernes, groupes politiques, guildes... au Chancelier/Chambellan. Le Chancelier/Chambellan transmettra les informations importantes au Conseil et/ou aux personnes intéressées.
Alinéa 6 : Droits L'ambassadeur peut être domicilié dans un autre Duché/Comté. L'ambassadeur peut cumuler les ambassades si cela ne nuit pas à son travail. L'ambassadeur peut cumuler ses fonctions avec celles de Parlementaire (conseillers ou maire), de soldats et de gendarmes. L'ambassadeur de verra reconnaitre l'immunité diplomatique si, et seulement si, celle-ci a été négociée et reconnue avec la région à laquelle il est affecté.
Alinéa 7 : Devoirs et obligations L'ambassadeur se voit imposer un devoir de réserve: il ne devra aucunement donner son avis, même personnel, sur un évènement. L'ambassadeur s'engage à respecter ce guide: tout ambassadeur anciennement ou nouvellement désigné se devra de le respecter dans les moindres détails. L'ambassadeur s'engage à respecter les institutions qu'il représente et les institutions du Comté/Duché dans lequel il officie, ainsi que les institutions étrangères. Il est interdit à un ambassadeur de diffuser des informations non autorisées par le Conseil.
Alinéa 8 : Sanctions des manquements à ce guide L'ambassadeur sera destitué d'office de sa charge. L'ambassadeur pourra être passible d'un procès pour trouble à l'ordre public et d'une amende. L'ambassadeur déchu se voit dans l'impossibilité d'exercer de nouveau la charge d'ambassadeur. Voté par le Parlement le 24 avril 1454, publié par le Franc-Comte Loicisdumb le 24 avril 1454.
Chapitre 5 : Charte de l'Université de Franche-Comté
I Les Recteurs de l'Université
1. Son rôle Le Recteur de l'Université est le haut fonctionnaire qui dirige l'Université. Sa mission est de travailler au mieux en équipe avec les autres recteurs de l'Université et les autres professeurs pour faire en sorte que tous les cours dispensés se déroulent de manière optimale pour le bien des étudiants.
2. Nomination Un recteur de l'université de Franche-comté est nommé par les recteurs déjà en exercice. En cas de litige entre les recteurs en exercice, le franc-comte doit trancher.
Une annonce pour postuler à ce poste devra rester ouvert à l'Université de Franche-Comté en permanence.
Pour postuler, le candidat devra remplir les conditions suivantes : - résider en Franche-Comté depuis 4 semaines, - rédaction d'une lettre de motivation clairs et concis, - un casier judiciaire vierge (sauf délit mineur comme escroquerie ou esclavagisme, sans récidive) en Franche-Comté ainsi que dans les comtés et duchés chez qui nous avons traité de coopération judiciaire ou d'alliance, - éventuellement des lettres de recommandations de personnes de valeur. Il est vivement recommandé de savoir s'exprimer de manière propre et lisible par tous.
Si plusieurs personnes capables et méritantes postulent pour ce poste, les recteurs organiseront des roulements de deux semaines à leur convenance, les remplacements d'urgence restant possibles.
3. Organisation Le Recteur organise les cours des élèves et veille au bon déroulement de ceux-ci grâce à un travail d'équipe étroit avec les professeurs franc-comtois. Un professeur étranger peut enseigner s'il s'agit de connaissances non enseignables par les professeurs francs comtois.
Le Recteur doit présenter chaque semaine à l'Université le programme des cours de la semaine suivante au plus tard la veille de la semaine en question après consultation de la disponibilité des professeurs.
Le Recteur doit, dans la mesure du possible, répondre aux demandes de cours des étudiants, notamment en diversifiant les voies d'enseignement proposé (à la condition que les étudiants soient assez nombreux pour suivre les cours).
Le Recteur doit régulièrement auditionner les étudiants ou faire la promotion des nouveaux cours pour assurer le succès de la programmation et assurer une assiduité minimum.
Le Recteur doit pouvoir attribuer équitablement les cours programmés aux professeurs, en fonction des capacités d'enseignement de ceux-ci. A choisir entre le bien des étudiants et celui des professeurs quant à l'organisation de ses cours, le Recteur doit toujours faire passer ses étudiants en premier. Chaque jour, le soir de préférence, le Recteur doit envoyer un courrier de rappel aux professeurs qui ont un cours prévu le lendemain.
Le Recteur doit faire son possible pour proposer un cours de remplacement au professeur qui aurait obtenu 2 eleves ou moins à un cours enseigné.
Le Recteur peut et même devrait assurer les remplacements d'urgence en cas d'absence ou impossibilité imprévue d'un professeur. Il ne peut être tenu responsable des désagréments causés par un cours annulé ou remplacé de cette façon.
Le Recteur a le droit de refuser un Professeur qui n'aurait pas respecté au moins par 3 fois la présente Charte, au profit d'un autre.
Le Recteur s'engage à valider tous les cours prévus avant 17h00, et ce bien sur si les Professeurs prévus ont postulé (sauf cours du soir qui sera annoncé à l'avance dans le planning)
L'université est un lieu de discussions et d'échanges d'idées ou de critiques quant au travail de chacun. Le Recteur se doit de l'animer.
A partir du moment où les règles édictées dans cette charte sont respectées, le Recteur a la liberté totale sur la manière dont il constitue le programme des cours.
II Le Professeur
1. Son rôle Le professeur est un notable qui est disposé à dispenser ses connaissances aux étudiants. Sa mission est de travailler au mieux en équipe avec le Recteur de l'Université et les autres professeurs pour faire en sorte que tous les cours dispensés se déroulent au mieux pour le bien des étudiants.
2. Organisation N'importe quel notable (niveau 3) maîtrisant parfaitement (à 100%) une ou plusieurs compétences, peut devenir Professeur de celle-ci à l'Université Franc-Comtoise.
Pour remplir son rôle, le Professeur doit tenir sa fiche de compétences à jour à l'Université (à chaque fois qu'une nouvelle compétence est acquise) et prévenir le Recteur afin que celui-ci sache quelles sont les matières qu'il lui est possible d'enseigner.
Le Professeur s'engage à tenir le Recteur au courant de toute indisponibilité courte ou longue, dès que celle-ci lui est connue.
Le Professeur se doit de postuler au cours pour lequel il s'est engagé le jour avant 16h00.
Le Professeur ne proposera aucun cours à plus de 20 écus (15 écus pour lui une fois les frais de l'Université déduis) pour l'enseignement d'une compétence de base (compétence ne nécessitant aucune autre compétence en pré-requis).
Le Professeur s'engage à ne proposer que des cours dont il maîtrise parfaitement la matière (100 %). Il pourra obtenir une dérogation exceptionnelle du Recteur pour l'enseignement des langues, préalable à la programmation des cours.
Le Professeur est parfaitement conscient que le Recteur n'est nullement responsable des fluctuations de cours programmés qui dépendent des demandes et de l'assiduité des étudiants.
Le Professeur a liberté totale sur les cours pour lesquels il postule, à partir du moment où il respecte toutes les règles édictées ci-contre
III L'Etudiant
N'importe quel artisan (niveau 2) ou fonctionnaire (niveau 3) peut être étudiant à l'Université Franc-Comtoise. Afin que le Recteur puisse éventuellement programmer des cours qui l'intéresse, l'Etudiant est prié de se présenter (fiche des compétences) à l'Université Franc-Comtoise. L'Etudiant ne peut en aucun exiger quelque chose du Recteur ou d'un Professeur, ces derniers sont au service de tous les étudiants et non pas de chaque étudiant, ils essayent de répondre au mieux à leurs attentes globales.
L'Etudiant est bien sûr totalement libre de suivre les cours qui l'intéresse, et de porter réclamation auprès du Recteur à l'Université, ou auprès du Franc-Comte son supérieur.
La Franc comtesse accepte ce texte en date du 28 novembre. Il annule et remplace le texte précédent.
Article 3 : Assistant aux Conseillers en Economie Alinéa 1 : Son rôle L'Assistant aux Conseillers en économie est chargé d’assister les postes concernant de CaC, Bailli et CaM en les soutenant dans leurs entreprises à caractère économique. Ceux-ci devront établir une série d'instructions que leur assistant devra effectuer.
Alinéa 2 : Son statut Alinéa 2.1 L'Assistant aux Conseillers en économie a droit de proposer et soumettre des idées concernant la politique économique à adopter, néanmoins les Conseillers comtaux restent les seuls décisionnaires.
Alinéa 2.2 L'Assistant aux Conseillers en économie peut mener des négociations avec d'autres organisations économique mais ne pourra en aucun cas conclure d'accord sans l'aval du Commissaire au Commerce.
Alinéa 2.3 L'Assistant aux Conseillers en économie possède les mêmes accès aux salles économique que le CaC, CaM et Bailli.
Alinéa 3 : Son recrutement L'Assistant aux Conseillers en économie est choisi par vote par le nouveau trio de l'économie. Ce dernier devra résider en Franche-Comté et avoir des antécédants favorables dans l'économie franc-comtoise. L'assistant ne pourra être reçu si un Conseiller en économie émet son veto. L'Assistant ne devra pas non plus avoir de casier judiciaire ouvert, en Franche-Comté ou dans une Région avec laquelle nous avons un Traité de Coopération Judiciaire, exepté pour des contraventions.
Alinéa 4 : Règles Alinéa 4.1 L'Assistant aux Conseillers en économie est soumis à la loi sur le non-cumul des mandats. Il ne peut donc exercer ce poste en même temps que la fonction de maire, conseiller comtal ou militaire.
Alinéa 4.2 L'Assistant aux Conseillers en économie reste soumis aux lois en vigueur en Franche-Comté et une faute grave peut entraîner sa démission sur décision commune du prévôt, du procureur et du juge.
Alinéa 4.3 Si plusieurs candidats possèdent toutes les compétences requises pour postuler à ce poste, les Conseillers pourront décider de scinder le mandat de l'Assistant en plusieurs parties équitables, ou alors de les prendre simultanément.
Voté par le Parlement le 12 décembre 1454, publié par le Franc-Comte Cartil le 13 décembre 1454. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Codex Livre I : Droit pénal et civil en Franche-Comté Dim 15 Juin 2008 - 23:08 | |
| Article 4 : Cabinet d’avocats Franc-Comtois Alinéa 1 : Le cabinet d’avocats Franc-Comtois est une association de Franc-Comtois aptes à occuper la fonction d’avocat spécialisé dans la défense.
Alinéa 2 : Du fonctionnement et des règles Le cabinet d'avocats Franc-Comtois est régi par ses propres règles, mises en place et votées par les avocats. Le Parlement franc-comtois n'oblige qu'à certaines règles et se doit de certaines obligations explicitées ci-après.
Alinéa 2-1 : Le cumul de mandat comtal ou militaire avec la fonction d'avocat est proscrit.
Alinéa 2-2 : Le bâtonnier est le primus inter pares des avocats du barreau de Franche-Comté. Il est obligatoirement élu par ses pairs pour une durée minimum de deux mois. De par ses responsabilités, il obtient de facto sa place à la commission de Justice de Franche-Comté tant que celle-ci est en place.
Alinéa 2-3 : La prévôté est tenue de connaître et de signaler l'existence du cabinet d'avocats de Franche-Comté lors de ses missives avec les contrevenants.
Alinéa 2-4 : Le Parlement de Franche-Comté reconnaît le cabinet d'avocats de Franche-Comté comme seule institution officielle spécialisée dans la défense des accusés. Il met à disposition une salle dans l'enceinte du château de Dole permettant de faire la jonction entre la justice comtale et le cabinet.
Voté par le Parlement le 10 septembre 1454, publié par la Franc-Comtesse Macricri le 10 septembre 1454, modifié sous le mandat du Franc-Comte Sirius de Margny-Riddermark le 10 juin 1456.
Article 5 : Greffier de Justice Alinéa 1 : Son rôle : Le greffier est chargé d’assister les postes concernant la justice et la prévôté.
Alinéa 1.1 Il est le dépositaire des différentes plaidoiries et témoignages de la défense dans le dossier de l’accusé se trouvant à la Cour de Justice, et cela quotidiennement. Il peut aussi classer les différentes affaires pour connaître l’état d’avancement de la procédure.
Alinéa 1.2 Il devra assurer un suivi des procès dans les dossiers de la prévôté, destiné à tenir informé les gendarmes de l’aboutissement de leurs investigations.
Alinéa 1.3 Un de ses rôles consiste à soumettre des dossiers nécessitant la présence d'un avocat au bâtonnier. Le greffier se doit ensuite de signaler la prise en charge d’un accusé au procureur dans les plus brefs délais.
Alinéa 1.4 Le greffier peut s’occuper de l’aménagement de la Cour de Justice, ce qui amène à faciliter le travail des autorités concernées.
Alinéa 2 : Son statut Alinéa 2.1 Le greffier a droit de proposer et soumettre des idées durant le déroulement d’un procès mais le procureur et le juge restent les seuls décisionnaires.
Alinéa 2.2 Le greffier possède les mêmes accès aux salles que le procureur et le juge.
Alinéa 3 : Son recrutement Le greffier est choisi par le nouveau trio de la justice à chaque nouveau mandat comtal. Une annonce publique de recrutement sur chaque halle et dans le hall d'entrée du Chateau sera publiée une semaine avant le changement effectif du conseil, afin que chacun puisse déposer sa candidature . Chaque candidature pouvant être refusée par le Comte pour autant que celui-ci bénéficie de l'appui d'au moins un des Conseillers du Corps Judiciaire. Ce refus devra être présenté auprès des conseillers qui en font la demande. Pour pouvoir prétendre à la charge de greffier, le candidat devra remplir les conditions suivantes: - résider en Franche-Comté depuis 4 semaines. - des qualités de lecture et de compréhension, ainsi qu'une excellente élocution (faire preuve de qualités d'écriture irréprochables), - rédaction d'un CV ainsi qu'une lettre de motivation clairs et concis, - un casier judiciaire vierge en Franche-Comté (excepté les infractions mineures) ainsi que dans les comtés et duchés chez qui nous avons traité de coopération judiciaire ou d'alliance, - éventuellement des lettres de recommandations de personnes de valeur. Ainsi plusieurs candidatures de personnes capables et méritantes peuvent être retenues, 3 au maximum. Un roulement de 3 à 4 semaines (selon le nombre de candidats pour la durée du mandat comtal) sera alors organisé, afin déviter toute monopolisation de la charge. Le Comte dispose d'un délai de deux jours pour valider ou refuser les candidatures des greffiers, afin de ne pas entraver le bon déroulement du Corps Judiciaire. Les conseillers du Corps Judiciaire disposent d'un délai de cinq jours après l'élection du Comte pour rendre publique leur décision quant au choix du greffier. Une fois ce vote rendu publique, le Greffier aura alors trois jours pour se rendre opérationnel. Tant qu'un nouveau Greffier n'est pas nommé, le Greffier précédent est maintenu dans ses fonctions.
Alinéa 4 : Règles Alinéa 4.1 Le greffier est soumis à la loi sur le non-cumul des mandats. Il ne peut donc exercer ce poste en même temps que la fonction de maire, conseiller comtal ou militaire.
Alinéa 4.2 Le greffier reste soumis aux lois en vigueur en Franche-Comté et une faute grave peut entraîner sa démission sur décision commune du prévôt, du procureur et du juge. Voté par le Parlement le 23 novembre 1454, publié par la Franc-Comtesse Mylena de Fray de Vigner le 30 décembre 1454, modifié sous le mandat du Franc-Comte Sirius de Margny-Riddermark le 10 juin 1456.
Article 6 : Comité des fêtes Alinéa 1 : Composition 5 Conseillers représentant chaque village (Conseiller de tel village au Comité). 3 Conseillers organisateurs des jeux. 1 Conseiller comtal.
9 Conseillers en tout.
Alinéa 2 : Fonctionnement Les Conseillers organisant les jeux proposent aux différents Conseillers des villages un programme de fête afin que ces derniers le transmettent aux Conseils municipaux. Ensuite, suivant ce qu'offrent les villes, les 3 Conseillers décident d'où organiser les festivités. Et lorsque le Conseiller Comtal a garantit la participation financière (ou autre) du Parlement, la fête peut avoir lieu.
Voté par le Parlement le 10 février 1455, publié par la Franc-Comtesse Mylena de Fray de Vigner le 10 février 1455. Abrogation votée par le parlement le 13 mars 1457, effectuée par le Franc-Comte _Max le lendemain mesme. |
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