[Clos-Coupable] TALP (Brigandage) : Raulvolfoni sur Psycotik [01/01/1461]

Le 18 décembre 1460

Plainte transmise par Casiope concernant Psycotik qui s'est fait brigander le 16 décembre au matin aux environs de Pontarlier par Attyla, Elvy_lee, Paki, Raulvolfoni et Renuncius.

Preuve :



Préjudice : 50 ecus, 25 sacs de maïs et 2 poissons.

Fiche des contrevenants :

Citation :

Informations sur Raulvolfoni

Créé(e) le 20 Octobre 2008

Raulvolfoni fête son anniversaire le 01 Janvier.

Dernière adresse connue
Pays : Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ
Comté/Duché : Schweizerische Eidgenossenschaft
Village : Grandson

Niveau : 1
Points de réputation : 38
Argent : 355

Raulvolfoni ne cultive ni n'élève rien.

Dernière connexion le 18 Décembre 2012

Casier Raulvolfoni

Dossier complet

Acte d'accusation :

Citation :

*Le procureur s'avança à nouveau devant la Cour pour présenter sa quatrième affaire de la soirée*

Votre Honneur,

Voici le quatrième concerné, Messire Raulvolfoni, pour les faits d'acte de brigandage.

En effet, une plainte a été déposé par Dame Casiope en sa qualité de Chef-Maréchal de Pontarlier. Elle informe que Messire Psycotik a été racketté par une groupe dont l'accusé, Messire Raulvolfoni, en fut partie. Il était accompagné de 4 comparses.

Les faits se sont déroulés la nuit du 16 au 17 décembre aux environs de Pontarlier.

Comme le stipule la loi, tout acte de brigandage est condamnable. Je vous énonce les deux extraits issu du troisième livre du codex de ce Comté qui est le code pénal et plus particulièrement du chapitre deux intitulé 'Les crimes et délits'.

Premièrement donc, l'Alinéa 1 : 'Constitue un acte de brigandage, tout acte ou tentative d'agression et/ou de vol sur une personne.'

Deuxièmement, l'Alinéa 4 : 'Le brigandage est un crime poursuivi par la Justice franc-comtoise sur le chef d'inculpation de TALP.'

J'appelle à la barre la victime, ainsi que Dame Casiope et je laisse l'accusé s'expliquer devant la Cour.

Fait à Dole, le 17 décembre 1460,
Artifice d'Ollivaud, Procureur de Franche-Comté.

L'accusation a appelé Psycotik à la barre
Voici son témoignage :

Citation :

J'étais sur le noeud entre Vesoul, Dole et Pontarlier lorsque 5 personnes me sont tombé dessus. J'avais déja vu certaine de ces personnes a Saint-Claude et je les ai reconnus a ce momement là aussi.

Raulvolfoni en faisait parti.

L'accusation a appelé Casiope à la barre
Voici son témoignage :

Citation :

Bonjour Dame et Sire de la Justice-Franc - comtoise,

En tant que chef Maréchal de Pontaarlier, j'ai été amenée à recevoir le Sire Psicotik lors de son arrivée chez nous. Celui-ci avait été racketté en route et j'ai recueilli son témoignage. Je vous ai transmis celui-ci en vous en apportant les preuves afin que ces personnes malveillantes passent devant notre justice. Je tiens de plus, à insister sur le fait que Pontarlier est la cible depuis un temps certain de membres de l'Hydre qui m'avaient en son temps boutée hors de ma mairie et de genevois qui ont récemment pris d'assaut la même mairie.

Je souhaite que justice se fasse afin de donner leçon aux fauteurs de troubles.

Merci.

Citation :

Première plaidoirie de la défense

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Réquisitoire d'accusation

Citation :

Votre Honneur,

je vous informe des biens volés par ce groupe qui sont la somme de 50 écus, 25 sacs de maïs et 2 poissons.

au vu de la non-présence de l'accusé,

je préconise donc de la condamner à 100 écus d'amende et 3 jours de prison,

Fait à Dole, le 27 décembre 1460,
Artifice d'Ollivaud, Procureur de FC

Citation :

Dernière plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Le juge va rendre son verdict

C'est quoi cette blague ?

Il n'est pas possible de condamné un soldat !

Je ne peux donc pas rendre mon verdict

Je met mon verdict en pense bete ici en attendant

Citation :

*Et allé encore un acte de brigandage en groupe. La juge écouta les témoignage de l'accusasion, puis le silence lors de la defense. Elle avait une sainte horreur des blancs. Elle referma le dossier et rpis la paroles *

Bien puisque la personne ne daigne même pas se manifester je ne vais pas m'étendre et rendre mon verdict.

Au vu des éléments, déclaration et divers témoignages en ma possession

Au vu de l'acte d'accusation de brigandage
Au vu des faits qui sont reprochés à l'accusée d'avoir dérobé 50 écus, 25 sacs de maïs et 2 poissons
Au vu du témoignage de la personne attaqué
Au vu du refus de du prévenu de prononcer le moindre mot de défense et d’être basent de son procès
Au vu de ce simple fait incriminant découlant de l'adage voulant que « qui ne dit mot consent »

Nous, Ilays de Monmouth, Juge de Franche-Comté, condamnons l'accusé Raulvolfoni, à une amende de 4 écus et 3 jours de prison.

Qu'il soit su que justice a été rendu et que les actes de brigandage ne restent pas impunis sur nos terres.

*Coup de maillet, jugement venait d’être rendu. La juge signa et date le verdict.*

Verdict rendu à Dole, le 31décembre 1460, 
Par Ilays de Monmouth, Juge de F.C.

Enoncé du verdict

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.

Citation :

*Et allé encore un acte de brigandage en groupe. La juge écouta les témoignage de l'accusasion, puis le silence lors de la defense. Elle avait une sainte horreur des blancs. Elle referma le dossier et rpis la paroles *

Bien puisque la personne ne daigne même pas se manifester je ne vais pas m'étendre et rendre mon verdict.

Au vu des éléments, déclaration et divers témoignages en ma possession

Au vu de l'acte d'accusation de brigandage
Au vu des faits qui sont reprochés à l'accusée d'avoir dérobé 50 écus, 25 sacs de maïs et 2 poissons
Au vu du témoignage de la personne attaqué
Au vu du refus de du prévenu de prononcer le moindre mot de défense et d�être basent de son procès
Au vu de ce simple fait incriminant découlant de l'adage voulant que « qui ne dit mot consent »

Nous, Ilays de Monmouth, Juge de Franche-Comté, condamnons l'accusé Raulvolfoni, à une amende de 4 écus et 3 jours de prison.

Qu'il soit su que justice a été rendu et que les actes de brigandage ne restent pas impunis sur nos terres.

*Coup de maillet, jugement venait d�être rendu. La juge signa et date le verdict.*

Verdict rendu à Dole, le 31décembre 1460,
Par Ilays de Monmouth, Juge de F.C.

Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 3 jours et � une amende de 4 écus.