La traque

Jasona était au bras de Jerone et restait attentive. Elle entendit un cri d'oiseau et soudain, les brigands sortir des fourrés. Ils étaient plus nombreux qu'elle le pensait. Le Sergent Jerone sortit rapidement son épée et partait déjà à l'attaque.
Le Lieutenant essayait de se dépêtrer avec sa robe pour sortir son épée mais ne fut pas assez rapide. Deux hommes s'avançait vers elle. Elle recula mais un arbre lui cogna le dos et elle s'arrêta.
Les regards des hommes s'enflammaient et commençaient à la regarder de haut en bas. Un sourire envieux se dessinait sur les lèvres de l'un deux. Il posa la main sur le torse de son compagnon pour l'arrêter et s'avança seule sur sa proie.
Jasona essaya toujours de sortir son épée de sous sa robe. Un bruit de déchirure retentit. Sa robe venait de se déchirer sur la longueur jusqu'à sa cuisse droite.
Elle regarda l'homme qui la faisait fasse. Il sourit de toute ces dents et se préparait à lui sauter dessus. Jasona tira son épée juste au moment ou il la percutait pour la faire tomber sur le sol. Mais, la lame de son épée rentra profondément dans ces cotes. L'homme roula sur le sol, poussa un long râle et ne bougea plus.

Voyant l'arme de la dame, l'autre homme hésitait. Il lui tournait autour pour trouver une faiblesse.
Soudain, il arrêta son regard sur la cuisse de la dame. Elle c'était blessé en sortant son épée. Une autre occasion se présenta, un de ces complices arriva derrière la Dame. Souriant, il se prépara à l'attaquer.

William dict la fine lame

Apres avoir entendu le cri d'oiseau, la fine lame sauta de son arbre en compagnie de Garcia. Il firent fasse aux trois nobliaux et l'un deux defia Garcia apres s'etre mis devant sa compagne. La fine lame etait pret à lui sauter dessus au moindre signe de Garcia. Il etait face au notaire et s'adressa à lui.

Donne ta bourse.

le sergent francoisol qui s etais dicimuler dans la charette de jerone , se dit qu il etait le moment d intervenir !

relevant la couverture qui le disimulais avec son epe brandit a la main , le sergent lanca un grand cris de guere et fonca sur les asayant !

prit de stupeur en voyant un soldat en uniforme , les brigants s eloignerent de la charette ne sachant plus quois faire !

voyant la panic s emparer du groupe de brigant le sergent francois brandit sont arme et fonsa sur le brigant le plus pret de lui et lui porta un grand coup de toute ses forces !
le brigant bien qu ayant parer l assaut tomba au sol tandisque que le sergent en profita pour lui donner un bon coup de pied a a la nuque pour que celui ci reste tranquille le temps que les afrontement se termine !

tournant sa lames vers le dernier brigant visible , le sergent cria rendez vous ou vous finirez en enfer !!!

Mielikki était rester longtemps sous le couvert des arbres à observer le détachement de brigand qui semblait se préparer à l'attaque, c'était presque l'heure de passer à l'attaque, le groupe de Jerone avait donc été repéré. Ceci était en sois un peu comme un signal. La jeune femme désigna un de ses hommes pour surveiller l'avancer des brigand alors qu'elle se déplaçait furtivement plus au sud, pour assurer les arrières de leurs amis jouant les appâts.

Peu après, le cri d'un oiseau retentit, suivit de près par ceux des hommes encerclant le petit groupe de faux noble. Silencieusement, elle encocha une flèche et banda son arc, ne restait qu'a attendre le bon moment. Elle remarqua que les autres archers et arbalétriers en avait fait autant. Une volée de flèches et de carreaux seraient bien plus efficace.

C'est alors qu'elle vit Jasona, un homme gisant mort à ses coté, un autre près à lui sauter dessus et un troisième arrivant par derrière. Elle n'attendit pas qu'il soit trop tard...mais pris le temps de viser, si elle ratait son coup, elle risquait de blesser Jasona et peut-être même la tuer. Lorsqu'elle relacha la corde, l'air vibra autour et sa flèche se planta dans la nuque de celui qui allait osé attaquer par derrière. Elle jugea, selon son angle de tir, qu'elle ne pouvait atteindre le second sans blesser la jeune femme, c'était là que l'aide de ses confrères embusqués était nécéssaire.

Elle fit tout de même passer le mot, d'abord a l'archer près d'elle pour qu'il prévienne les autres : il fallait faire une volée et prendre gare a ne pas blesser Jerone, Jasona et Krane.

Trop absorbée par l'homme devant elle, elle ne voyait pas l'homme qui arrivait derrière elle. Par contre, elle sentit une flèche lui frôler le visage et se planter dans quelque chose de mou. Alors le temps s'arrêta. Le regard de son assaillant, qui lui faisait face, se porta sur le sol derrière elle. Jasona tourna le regard et tomba sur le corps d'un homme avec une flèche dans le cou. Elle se rendit compte qu'elle avait échappé belle. Elle ne savait pas qui avait tirer mais c'était un beau tire.
Un bruit furtif lui fit relever la tête. L'homme, voyant son camarade au sol avait fait un pas en arrière, hésitant à lui sauter dessus.

Le brigands la regarda un long moment, calculant sa chance de faire ce qu'il voulait. Voyant qu'il en avait aucune avec l'homme qui se tenait devant la Dame et le tireur embusquer qui pouvait à tout moment lui tirer dessus, il fit demi tour et s'enfuit en courant.

Jasona soupira de soulagement et s'appuya contre l'arbre. Elle regarda rapidement sa blessure et constata que ce n'était qu'une égratignure, même si sa lui faisait un mal de chien et qu'elle allait la sentir pendant plusieurs jours.

Les premieres fleches fusaient et Jerone en grand acrobate les evita en alla au devant de Marcius. Le chef d'apres Jerone. Arrivé devant lui Jerone son épée à la main se mit à lui tourner autour se mefiant d'un eventuel petit malin qui tenterait de lui sauter dessus.

Alors gueux tu viens pas festoyer avec les autres ?

Ou alors tu as peur ? Je ris un brigand peureux manquais plus que ça.

Jerone cherchait à enerver son adversaire tout designé sans encore avoir vraiment reveler son appartenance à l'armée et pas comme jeune recrue.

Jasona regarda Jerone s'occuper du brigand qui fuyait. Elle sourit en le voyant l'énerver plutôt que de foncer dans le tas. C'était une autre technique qu'elle n'avait jamais faites encore. Il faudrait qu'elle essaye. Tout en regardant ce qui ce passait autour du chariot, elle contourna le champs de bataille en boitant et atteignit la lisière de la route pour atteindre les bosquets. Un bruit dans les buissons à côté la fit sursauter et se demanda si c'était encore un autre brigand ou un soldat embusqué.

La terre s'abreuvait du sang des brigands gisants sur son sol.
Déjà trois hommes se vidaient de leur sang au milieu du chemin.
Les assaillants ne s'attendirent pas à cela lorsqu'ils avaient préparé leur attaque contre le groupe de trois nobles sans défense.
Pourtant, ils devaient se rendre à l'évidence, ils avaient été piégés.

La moitié d'entre eux étaient gravement blessé et hors de combat.
L'un au moins était déjà mort, tué sur le coup d'une flèche en pleine nuque.
Deux autres étaient blessés au niveau des côtes, soit d'un coup d'épée, soit victime d'une flèche ou d'un carreau. Les cris de douleurs de ses deux hommes déchiraient le silence sur plusieurs lieues à la ronde.

Parmi les assaillants encore valide, l'amusement et le désir laissèrent la place à la peur et à la terreur. Ils se sentirent cernés de toute part, ne sachant ni d'où flèches et carreaux jaillissaient, ni comment ses nobles étaient si heureux de livrer bataille.

Marcius était harcelé par ce jeune noble provocateur qui s'agitait devant lui une épée à la main

Moi, peur ! Jamais ! Je suis Marcius dit le charognard. Chaque jour je dépèce des nobliaux de ton espèce. Et ce n'est pas toi qui va m'arrêter ! Ton sang va bientôt abreuver ce sol desséché et venger la mort de mon ami ! Fais tes prières ! Qu'Aristote t'accueille à son festin puis t'envoie brûler en enfer !

Marcius se précipita sur le nobliau et lui porta un coup d'épée qui l'atteignit au bras...

Dans son buisson, Mielikki continuait à couvrir les arrières de Krane et Jerone, ayant perdu Jasona du regard, elle espérait que les autres soldats embusquer penserais à surveiller ses arrière. Les flèches et carreaux fusaient, les brigand tombaient, ils avaient une très bonne chance de l'emporter.

Au moment ou elle allait encocher une flèche, elle sursauta,fesant frémir les feuilles de sa cachette, elle se tourna, pointa son arc prêt a tirer sur un éventuel enemi, puis le baissa, reconnaissant le lieutenant de Vesoul. Elle la salua dignement, puis fronça les sourcils remarquant une estafilade sur sa jambe.

Elle lui murmura :

-Jasona, est-ce que ça va?

Se disant qu'elle était vraiment sotte de ne pas avoir rejoint la charrette au lieu de s'aventurer dans lui buissons, le Lieutenant se retrouva nez à nez avec une pointe d'une flèche. Puis celle ci se baissa lentement. Jasona leva les yeux et reconnu le Lieutenant de Luxeuil.
Elle souffla de soulagement.

-oui oui sa va se n'est rien. Ne vous occupez pas de moi, continuer à tirer, je vais souffler un peu.

Jasona regarda sa robe qui étaient déchirée jusqu'à sa cuisse et les troues que les ronces c'étaient accrochées durant son expédition dans les fourrés. Elle devait aussi avoir des feuilles dans les cheveux, ils c'étaient coincés dans des branches quand elle avait enjambé des orties, et son maquillage était fichu. Elle aimait tellement être propre et impeccable. Elle rêvait d'un bon bain chaud à cette instant.

Le brigand lui repondit et chargea Jerone l'evita mais son bras resta en arriere et se fit caresser par l'épée suffisement pour l'entailler. Jerone sourit.

Enfin de l'action. Et ben je vais te montrer ce qu'on sait faire à l'armée comtoise.

Jerone faisait face à Marcius l'épée en avant. La brigand le harcelait cherchant le le faire souffrir en tentant de l'attaquer au niveau de sa blessure mais c'est sans compter l'agilité de Jerone qui s'accroupit et sauta dans tous les sens mettant son épée en opposition. Son épée d'ailleur la deuxieme encaissait assez bien les coup alors que celle de son adversaire souffrait et commençait à avoir des dents. Jerone decida de taper violement sur l'épée de son adversaire. Il chargea à toute vitesse surprenant son adversaire mais il trebucha sur une pierre. Jerone desequilibré se tourna histoire d'eviter la lame du brigand et lui assena un coup d'épée d'un violence telle que l'épée de son adversaire se brisa et l'épée de Jerone finit sa course dans la jambe de son aversaire faisant d'enormes degats touchant meme l'os du femur. Mais ce que Jerone n'avais pas prevu c'est la retombée du bout de l'épée de son adversaire et sa propre retombée. Le bout la lame de son aversaire tombée sous Jerone se planta suffisement pour faire effacer le debut de sourire que Jerone affichait. La lame de son adversaire planté dans la cuisse, Jerone souffait. Il se releva alors que Marcius se vidait de son sang mais encore debout son reste d'épée pointé sur Jerone.

Alors petit ça va.

Jerone provoquateur jusqu'au bout s'appretait à assener le coup de grace le seul probleme c'est qu'il ne pouvait bouger mais Marcius aussi ne pouvait bouger. Dans un grand hurlement Jerone arracha le morceau d'épée planté dans sa cuisse et l'envoya en direction de Marcius qui faute de pouvoir bouger le reçu en pleine poitrine avant de s'effondrer. Aussitot son brigand tué Jerone se mit à terre , dechira sa tenue et se fit un garrot à la jambe avant de ramper sous sa charette. Il fit un petit signe aux soldats embusqués afin qu'il envoie une belle salve de flèches.

TIREZ DANS LE TAS

Jerone se hissa sur les essieux de sa charette et assena un coup à sa mule. Il arrivait à voir où il pouvait aller. Sa mule fonça et en passant pres de Krane, Jerone sorti son épée qui faucha un brigand qui privé d'une jambe s'effondra avant que la charette lui roule dessus ce qui fit tomber Jerone sous le nez du dernier brigand. Jerone lui sourit niaisement, son heure etait-elle arrivée.

Viens j'ai pas peur.

William lui s'etait mis à l'abri des fleches avant de revenir sur Krane mais la charette bougait il l'evita mais une lame en sortit et lui sectionna une jambe. Ce dernier s'ecroula et dans un grand cri d'horreur la charette lui ecrasa le cou. Dans sa chute l'épée en avant il blessa Krane à la cuisse alors que ce dernier degainait son épée son épée.

Au cri de Jérone de tirer dans le tas, les arbalétriers et archers s'interrogèrent !
De quel tas s'agissait-il... Après les derniers combats, tous les brigands, à l'exception de celui qui était face à Jérône, gisaient sur le sol !

Il ne restait donc plus que le brigand face à Jérône blessé et à terre. Le brigand souriait à l'idée d'achever l'homme qui avait tuer son ami.[ /i]

Tous les tireurs en joue sur le dernier brigand ! Prêt à tirer !, [i]hurla Bensira

Tous se mirent en position, visant l'homme qui allait assassiner lâchement Jérone. L'homme prit son épée dans une main et un poignard dans l'autre. Pendant qu'il se précipitait sur sa victime à terre, Bensira cria :

Arbalétriers et archers, tirez !

Tandis que Jérône voyait sa vie défilée, une volée de flèches et de carreaux vint transpercer le dernier brigand et le clouer à un arbre au bord du chemin !

Prudemment, archers et arbalétriers commencèrent à rejoindre leurs camarades afin d'aider les blessés.

Le brigand avait pris le temps de sortir son épée et son poignard et fit un tres beau sourire à Jerone qui lui riait jaune. Mais il entendit des fleches fendre l'air et toucher une premiere fois le brigand qui perdit son poignard qui vient se planter non loin de la main encore valide du vieux Jerone. Il n'en fallait pas plus pour que dans un dernier sursaut d'orgueil ce dernier aille lui planter le poignard dans le pied avant qu'un volée de fleche n'acheva le dernier brigand en le plantant dans l'arbre à coté d'eux.

Jerone commençait a ne plus sentir sa jambe à laquelle il avait fait un garrot ainsi que son bras gauche. Mais il faut dire que dans le combat et surtout la fin Jerone s'est legerment cabosser de partout. Bizarrement il n'avait pas si mal que ça peut etre parce qu'il vient de voir la mort devant lui.

Jerone attrapa l'épée du brigand gisant à coté de lui et s'en servit pour se redresser avant de se tenir à l'abre où etait planté un autre brigand. D'un coup sans savoir pourquoi Jerone eclata de rire, surment nerveux apres cette rude bataille car les brigand etaient plus de prevu et à 7 ou 8 contre 6 ce n'est pas si facile. Le sergent avait ses habits de nobles en lambeaux. Il releva la tete afin de voir où se trouvaient son ane et sa charette et enfin les autres soldats.

Et bien on n'a plus qu'a rentrer. Avant cela que les personnes qui le peuvent rammassent les armes de nos victimes et les mettent dans ma charette et recuperez moi la tenue de celui qui est face à l'arbre là bas trophée de guerre.

Ensuite on enterre les corps car tous ont droit à une petite sepulture et ça fera plus propre sur la route.

Jerone n'etait pas le plus gradé mais il connaissait le combat et il etait legerment chamboulé il a bien faillit ne pas revoir sa petite femme et ses deux petits diablotins.

Bon ben je ferais pas ça tous les jours moi un peu beaucoup de repos avant.

Quand la bataille fût fini, Jasona sortie des buissons en boitant et regarda les dégâts. A par quelques blessé légers dans leurs camps, il n'y avait rien de plus. Elle récupéra les flèches qu'elle récupérait sur son passage et les rangea dans la charrette quand elle arriva devant.
Elle s'approcha du Sergent Jerone pour voir ces blessures, Jasona avait vu son roulé boulé dans le fossé.
Voyant qu'il n'avait rien, elle ramassa toute les armes qu'elle trouvait pour les ranger dans la charrette.
Plus jamais elle ne ferrait ce genre de chose dans une tel robe. C'était trop gênant.
Elle comprenait que les femmes dans cette tenue n'avait pas de chance de s'en sortir seule. Voilà pourquoi, en général, les voles étaient réussi.
Commençant à souffrir un peu, elle s'assit sur une souche d'arbre et fit un pansement rapide avec un morceau de tissus déchiré de sa robe. Elle se demandait qui l'avait bien pu lui sauvez la vie en tirant une flèche dans le coup de l'ennemi qui arrivait derrière son dos.

Bensira avait rejoint la troupe et aider à ramasser le matériel et secourir les blessés.
C'était la première fois qu'il passait sur un champs de bataille tout frais jonché de corps et de blessés.

La bataille avait été rude, et pourtant ce n'était qu'une double embuscade qui avait mobilisé moins de dix hommes dans chaque camps.

Un camps ne comptait que des cadavres, l'autre quelques blessés plus ou moins gravement atteints, mais qui tous devraient s'en sortir. Le contraste était saisissant, et l'arbalétrier pensa qu'en tant de guerre, ou dans d'autres circonstances, il aurait très bien pu se trouver dans le camp des vaincus, et même des morts.

La réalité de la guerre lui apparut dans toute son horreur. Bensira avait choisi de devenir soldat pour défendre sa terre et les siens, mais il prit conscience que c'était des hommes comme lui qui gisaient maintenant à ses pieds.
Défendre sa terre était une chose, massacrer des êtres humains une autre. Heureusement, ceux qui étaient morts aujourd'hui étaient des hors-la-loi, des hommes qui ne respectaient pas leur semblable, n'hésitant pas à tuer pour de l'or ! Leur mort semblait donc juste aux yeux des honnêtes gens de la société.
Pourtant ils étaient tous des hommes !

La vue des corps et les pensées s'emmêlant dans sa tête, Bensira eu le vertige... Il fut obligé de s'adosser à un arbre pour reprendre ses esprits et aider ses compagnons.

L'archère embusquée quitta également son poste lorsque le dernier brigand fut a terre, elle secoua néanmoins la tête, insatisfaite. Leur stratégie avait laisser a désirer et certain des leur auraient pu être tuer a cause de se manque de tactique. Les soldats embusquer auraient du tirer plus tôt et prendre l'épée lorsque les brigands s'étaient décidé a foncer sur leur confrères. L'affrontement aurais sans doute été plus rapide.

Elle évalua mentalement le champ de bataille qu'était devenu la foret, puis tout comme les autres, elle commença a ramasser ses flèches, commençant par celle fichu dans la nuque de l'homme qu'elle avait abattu derriere Jasona.

-Faudra mieux revoir notre stratégie la prochaine fois, on aurais pu perdre des hommes...une grande volée de flèches...puis des épées voila ce qu'il aurait fallu..

La jeune femme essuya une coulisse de sang sur son visage, une branche avait entaillée sa joue alors qu'elle se tenait dans les bosquets épineux.

Jerone vit le archer et les arbaletriers ainsi que Jasona sortir des buissons et constater les degats. Le geolier encore une épée à la main chercha du regard une branche assez longue pour faire une bequille. Un fois cette derniere trouvée à et à porté d'épée, il frappa d'un coup violent avec son épée qui n'aima guere ce coup mais la branche ceda et tomba devant Jerone. Ce dernier rangea tant bien que mal son épée cabossée dans son fourreau avant de prendre la branche et de marcher en boitant et se tenant à sa branche comme une vieillard.

Le premier qui se moque aura droit à une punition.

Lança Jerone en direction des jeunes soldats.

On respecte l'ancien qui un jour pourra vous sauver la vie aussi bien que vous avez pu le faire aujourd'hui. Merci à tous de ne pas avoir tremblé. Si c'etait à refaire et bien j'aurais emmené mon canon.

Le Geolier enfin arrivé à son ane et sa charette ouvrit une petite trappe dans sa charette et en sorti une carotte qu'il donna à son ane.

Bien joué mon genepi je sais pas comment je ferais quand tu sera trop vieux.

Jerone alla à l'arriere de sa charette et se hissa à l'interieur. Il rampa dans sa charette et attrapa sa canne à peche sur laquelle pendait une carotte.

Vous etes tous là ?

Lieutenant Jasona grimpez ici mieux vaut pas que nous marchions.

RP terminer, merci à votre participation à tous. Je verrouille Smile

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