Bureau de la Securité et d'Alerte!

À l’attention du Prévôt des maréchaux de Franche-Comté, la très honorable Floriane de Cheroy, Comtesse de Moissey, Vicomtesse de Chaumergy.

Madame,

Vous n’êtes pas sans ignorer les évènements qui se sont produits ce 31 mai 1460 au sein de la Prévôté de Franche-Comté, que vous dirigez.

En effet, l’État-major de la Prévôté, représenté par le Major Jerone, nous a fait part de sa décision concernant l’instruction des dossiers de gendarmerie.

Nous lui avons alors fait part en toute confiance des problèmes que nous rencontrions vis-à-vis de la Procureur en place, Héloïse du Val d’Haine-Pendragon.

Malheureusement, au lieu de nous apporter ses conseils et de permettre une médiation entre les deux partis opposés dans cette affaire, nous n’avons rencontré aucune aide de la part de nos supérieurs, et même pire, avons été sanctionnés.

Vous conviendrez que dans de tels conditions, ne pouvant nous confier à nos supérieurs et ne pouvant espérer d’eux ni aide, ni conseils, il nous est impossible de continuer à travailler au sein de la Prévôté de Franche-Comté.

Cette missive a, par conséquent, effet de vous signifier notre démission de la Prévôté de Franche-Comté, et ce à effet immédiat.

Veuillez agréer, Madame, nos sentiments les plus distingués.

Thomas du Val d’Allon,
Adjudant de la Prévôté de Franche-Comté.

Hori,
Adjudant de la Prévôté de Franche-Comté.

À l’attention du Prévôt des Maréchaux de Franche-Comté, la très honorable Floriane de Cheroy, Comtesse de Moissey, Vicomtesse de Chaumergy.

Madame,

Vous n’êtes pas sans ignorer les évènements qui se sont produits ce 31 mai 1460 au sein de la Prévôté de Franche-Comté, que vous dirigez.

En effet, l’État-major de la Prévôté, représenté par le Major Jerone, nous a fait part, à l’Adjudant Hori et à moi-même de sa décision concernant l’instruction des dossiers de gendarmerie.

Nous lui avons alors fait part en toute confiance des problèmes que nous rencontrions vis-à-vis de la Procureur en place, Héloïse du Val d’Haine-Pendragon.

Malheureusement, au lieu de nous apporter ses conseils et de permettre une médiation entre les deux partis opposés dans cette affaire, nous n’avons rencontré aucune aide de la part de nos supérieurs, et même pire, avons été sanctionnés.

Vous conviendrez que dans de tels conditions, ne pouvant nous confier à nos supérieurs et ne pouvant espérer d’eux ni aide, ni conseils, il m’est impossible de continuer à travailler au sein de la Prévôté de Franche-Comté.

Cette missive a, par conséquent, effet de vous signifier ma démission de la Prévôté de Franche-Comté, et ce à effet immédiat.

Veuillez agréer, Madame, mes sentiments les plus distingués.

Thomas du Val d’Allon,
Adjudant de la Prévôté de Franche-Comté.

Madame la Prévôt !

Comme je l'ai déjà dit au Major, la Procureur a agit de façon condescendante envers l'adjudant Hori et moi-même.

La seule chose que l'on pourrait me reprocher, est d'avoir dis à la Procureur qu'il y avait effectivement un délais de prescription prévu dans nos lois, alors qu'elle prétendait le contraire. Quand je vois les conversations qu'il y a eu entre certains dans divers dossiers, il n'y a aucune raison que la Procureur réagisse de la sorte.

J'ajouterai que dans les autres dossiers que j'ai monté que qui sont passés au bureau du Procureur, elle a également eu à chaque fois à me critiquer sur la manière dont étaient montés les dossiers (documents manquants, pas de relance, ...). Alors qu'avec chacun de ces prédécesseurs, j'avais toujours fait comme cela et tout le monde en avait toujours été très content. Et j'ajouterai que ces critiques, qui auraient pu être faites de manière constructive, ont, à chaque fois, été très agressives.

Je ne sais pas ce qu'il en est de mon collègue Hori pour le dernier point que je viens de citer, mais il apparait donc que cela ne concerne pas que le dossier en question en Procure. la Procureur, avec tout le respect que je lui doit, a, soit quelque chose contre moi, soit est condescendent à l'extrême. Et dans un cas comme dans l'autre, l’exagération des faits est évidente.

Je venait donc de m'ouvrir à cela au Major, mais celui-ci, au lieu de tenter de trouver un terrain de médiation avec la Procure pour permettre que le travail de la Justice puisse tout de même avoir lieu, a jugé bon de nous sanctionner.