[Clos] TALP - Brigandage : Eiddin/Huon

Ville de Poligny

Résumé :
M'ssire Eiddin a été l'objet d'une plainte de brigandage sur la personne de Monseigneur Huon.

Gain frauduleux :
370 écus et 30 miches de pain.

Dossier

Acte d'accusation :

Citation :

Votre Honneur,

Devant nous comparait Sieur Eiddin pour Trouble à l'Ordre Public.
D'après les preuves rapportées par la gendarmerie de Poligny, l'accusé aurait racketté Monseigneur Huon sur la route reliant Pontarlier dans la nuit du 14 au 15 février 1456.

Le dossier de la Gendarmerie est disponible ici :
https://chateau-de-dole.forumactif.com/gendarmerie-de-poligny-f8/dem-proces-talp-brigandage-achley-eiddin-huon-t18291.htm

Accusé levez-vous et venez vous défendre.

A Dole le 23 mai 1456, par Dame Katarina

PAS DANS LE COMTE

Dernière ville où ce personnage a été recensé: Genève, le 2008-5-26 à 12:13.

Recensé aujourd'hui à Pontarlier et acte d'accusation lancé

Acte d'accusation

Votre Honneur,

Devant nous comparait Sieur Eiddin pour Trouble à l'Ordre Public.
D'après les preuves rapportées par la gendarmerie de Poligny, l'accusé aurait racketté Monseigneur Huon sur la route reliant Pontarlier dans la nuit du 14 au 15 mai 1456.

Le dossier de la Gendarmerie est disponible ici :
https://chateau-de-dole.forumactif.com/gendarmerie-de-poligny-f8/dem-proces-talp-brigandage-achley-eiddin-huon-t18291.htm

Accusé levez-vous et venez vous défendre.

A Dole le 29 mai 1456, par Dame Lysiane

ne devait t'il pas y avoir un proces RP en plus de l'IG??

Oui j'ai finalisé ça avec Eiddin hier, j'essaie d'ouvrir le topic RP aujourd'hui sur la gargotte !

Edit : je sens que ça va plutôt être demain...

2ème édit : j'attends quelques renseignements supplémentaires de Huon et Eiddin pour ouvrir le topic.

Topic ouvert hier soir sur la gargotte

Première plaidoirie de la défense

Citation :

Vos Honneurs,
madame la Procureur et monsieur le Juge,

Je suis fort étonné d'estre convoqué icelieu sous motif d'avoir agressé Monseigneur Huon. Chose que je réfute, bien qu'il soit vrai que sur le papier qui vous fait office de preuve il est inscrit mon prénom, Eiddin.

Fervent Aristotelicien, et jouissant d'une certaine renommée, je ne m'étonne guère que l'archevêque ait pu me reconnaître, un berger se doit de connaître ses moutons. Toutefois si ce papier est bel et bien le recueil d'un témoignage ou un extrait du journal de l'Archêveque de nostre dioscès, j'ai crainte que ce dernier se soit trompé.

N'entendez pas que j'accuse Monseigneur Huon de mensonge, et prétend qu'il ait sciement fait un faux témoignage, non. Je pense que, vu le nombre toujours grandissant de ceux-ci, il est probable que j'ai été confondu avec un autre de ses paroissiens. De jeunes enfants blond il n'y en a pas qu'un seul en Franche-Comté, rien qu'avec mon jumeau nous sommes deux.

Et puis pour quelles raisons aurais-je brigandé Monseigneur Huon ? Pourquoi me risquerais-je à une excommunion pouvant me faire perdre mon héritage ?
Pour quelques centaines d'écus et dizaines de miches de pain ? Il est certains que pour un gueux ce serait une bien belle opportunité et que nombre d'entre eux seraient prêts à subir les enfers pour cela. Mais pour moi ?
Je suis Seigneur de Pusey en le Comté de Scye et fils du Vicomte de Saulx n'aurais-je pas déjà au moins autant de richesses et de nourriture déjà à ma disposition ?

Pour que la Franche-Comté puisse être certaine de son choix, j'appelle désormais mon avocat, le Comte Debenja de Riddermark

Témoignage de Monseigneur Huon

Citation :

Mgr Huon se présente à la barre, pour expliquer l'attaque ignoble dont il a été l'objet alors qu'il se rendait de Dole à Pontarlier.

Lui, l'archevêque, le membre du Parlement de Dole, attaqué et détroussé sur le bord de la route, laissé blessé et sans le sou ... Il avait eu le plus grand mal à rejoindre Pontarlier.

Il reconnaissait bien Eiddin qui, accompagné de Aschley, l'avait traitreusement attaqué et volé environ 30 miches de pain et plus de 300 écus ...

Témoignage de Jerome le gendarme qui a reçu la plainte

Citation :

Monsieur le Juge,
Madame le procureur,

La gendarmerie de Poligny a recueilli la plainte de Monseigneur Huon à son arrivée à Poligny.
Nous avons pu constater lors du dépot de plainte, les conséquences de l'agression dont avait été victime l'archevêque.
En effet, c'est sans le sou et affaibli que la vitime s'est présentée en nos locaux.
Lors du dépot de plainte Monseigneur Huon nous a fourni une preuve non contestable de la présence sur les lieux et de la participation du prévenu, le sieur Eiddin aux faits lui étant reprochés.
Il n'y a donc aucune raison de mettre en doute les déclaration du plaignant.

Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire

Réquisitoire

Lysiane, qui venait d’avoir 19 ans ce 29 mai, avait la fougue de sa jeunesse et le même caractère obstiné que son père le Comte de Morteau. Elle prenait très à cœur ce poste de procureur que lui avait confié le Franc Comte Pinss et faisait ses choix en son âme et conscience. Elle traitait toutes les affaires avec la même soif de vérité et de justice. Elle avait aussi une âme de fidèle aristotélicienne et lorsque cette affaire lui advint entre les mains, elle mit un point d’honneur à ce que la justice soit rendue.

Elle jeta un regard impassible sur l’accusé puis se tourna vers le juge Dwiral en le regardant droit dans les yeux. Et dans l’éclat du regard de Lysiane se lisait indubitablement son attente de l’intégrité du juge. Elle savait parfaitement qu’il était très très proche du père de l’enfant présentement accusé. Le déroulement de cette affaire montrerait au peuple si la justice s’appliquait bien à tous et si un membre du parti AP accomplissait bien son devoir de conseiller juge de Franche Comté dans une affaire de brigandage. Elle fit son réquisitoire d’une voix claire en regardant toujours le juge.

Votre Honneur,

Nous venons d’entendre les témoignages du prévenu Eiddin de Margny-Riddermark, de Monseigneur Huon et du gendarme Jerome. Le comte Debenja de RidderMark appelé par la défense plaidera sans doute après mon réquisitoire.

En premier lieu, il nous revient de nous poser la question cruciale de savoir qui pourrait mettre en doute l’honnêteté et la droiture de Monseigneur Huon, archevêque de l’Eglise d’Aristote ? Pouvons-nous imaginer un instant que ce représentant connu de l’Eglise d’Aristote viendrait nous mentir en accusant des innocents ?
Il nous témoigne l’avoir formellement reconnu et l’accusé est là en sa présence. Pourquoi irait-il accuser Eiddin de Margny-RidderMark s’il ne l’avait pas reconnu et décrit exactement au gendarme Jerome ?
N’oublions pas que Monseigneur Huon a aussi donné une description soignée de la dame qui accompagnait son agresseur et qu’elle s’est révélée être sa servante. Donc ce ne peut-être le jumeau d’Eiddin de Margny-Riddermark qui soit accusé puisqu’Achley accompagne toujours son maître Eiddin en déplacement suivant les renseignements fournis par la garde franc comtoise. N’oublions pas que nous avons des services de renseignements de la garde en Franche Comté et une gendarmerie active.

Revenons donc alors sur cette nuit du 14 au 15 mai. Pourquoi un jeune noble n’ayant nul besoin de brigander a-t-il agressé l’archevêque sans raison ? Etait-il sous les effets de l’ivresse ? Nous savons tous que de trop fortes absorptions d’alcool peuvent parfois mener à des actes violents et que même les souvenirs peuvent être flous ou oubliés concernant ces actes. L’enfant Eiddin de Margny-Ridermark a-t-il pu être sous ces effets là et avoir indiscutablement honte et se refuser à l’idée d’avoir commis pareil crime ? C’est possible. Nous ignorons pourquoi il l’a fait mais cela ne fait aucun doute que Monseigneur Huon l’a formellement reconnu.

Ainsi, Votre Honneur, au nom de la justice de Franche Comté, au nom de la vérité que je réclame sur le Livre des Vertus, je vous demande de reconnaître Eiddin de Margny-Riddermark coupable de brigandage sur la personne de Monseigneur Huon archevêque de l’église aristotélicienne et de le condamner à une peine de trois jours de prison.

Lysiane regardait toujours le juge Dwiral avec sa même conscience de loyauté envers la Franche Comté et son peuple et attendait que le juge ait bien écouté son réquisitoire. La justice devait être la même pour tous.

avant que l'on me gueule dessus, je précise que je rendrai le verdict, qu'a la fin du RP....

Qui oserait vous gueuler dessus cher Juge ? dites le moi que je le fustige et le poursuive ! ( )

Plaidoirie du Comte Debenja de Riddermark pour la défense

Citation :

*Maitre Debenja se présenta devant la cours. Il venait ici pour représenter son client Eiddin de Marny-Riddermark. Il avait eu l’occasion de lire et relire le dossier. Il s’était entretenu avec son client pour discuter avec lui de cette fameuse soirée. Il s’était même rendu sur les lieux de l’agression pour se rendre compte de l’état du terrain, il connaissait donc bien la situation.

Monseigneur Huon était passé avant lui, très bien, il pourrait se servir de son témoignage.*

Votre honneur,
Nous avons à faire ici, à une malencontreuse erreur judiciaire. En effet, mon client est accusé de brigandage. Hors comment, un simple enfant pourrait-il brigander. Et je rajouterais, comment cet enfant ici présent, qui n’a que 12 ans, comment eut-il pu brigander Monseigneur Huon sur une route se trouvant dans les environs de Pontarlier alors qu’il était à Poligny ce soir du 14 mai de cette année. Oui oui vous avez bien entendu, mon client se trouvait à Poligny. Alors à moins d’avoir des bottes de sept lieues, mon client ne peut être accusé de cet évènement.
Bien sur, je ne remets pas en doute l’incident. Nous savons tous que Monseigneur Huon a été lâchement brigandé. Je ne remets point en doute la parole de notre Archevêque.

*Se retournant vers Monseigneur Huon.*

Monseigneur, vous dite avoir reconnu mon client. Il faisait nuit noir ce soir là, monsieur l’Archevêque, comment avez-vous pu distinguer le visage de votre agresseur. Comment avez-vous pu reconnaitre Eiddin. Il est surement possible que vous ayez été agressé par plusieurs personnes et vous avez sans doutes entendu que le nom d’Eiddin à été prononcé par vos agresseurs, et ceci afin de nuire à la réputation du plus jeune fils de Sirius. Et donc vous avez retenu ce nom que vous connaissiez bien, en effet la famille du Vicomte de Saulx est connue parmi vos paroissiens comme vous le dite.

Monseigneur, il était techniquement impossible de distinguer très nettement votre agresseur. Etes vous sur et certain que c’était Eiddin. C’était sans doute un autre petit vagabond du coin à la tignasse blonde. Nous en avons quelques uns parmi nos habitants. Cet acte de brigandage est odieux et n’a été mis en place que pour salir l’honneur de mon client.

Deuxième plaidoirie de la défense

Citation :

Vostre honneur, madame la Procureur,

Si vous détenez des informations permettant de définir ma culpabilité, je pense notamment aux services de renseignements que vous évoquez, il serait bon que nous puissions les voir. Que nous sachions ce qu'il en est.

De plus au vu de l'importance de ce procès, impliquant la réputation de plusieurs nobles comtois, il serait bon que vous n'alliez pas déformer mes propos. A aucun moment nous n'avons accusés Monseigneur Huon de nous mentir. Ce qui serait totalement déplacé envers un homme de foi.

Nous vous avons expliqué qu'au 14 moi et ma servante estions en Poligny, prenant la route pour Vesoul d'ailleurs. Ce qui fait qu'il n'est pas possible que nous ayons agressé Monseigneur Huon.

Nous pensons donc que l'homme, qui comme tous les autres est faillible, se soit trompé lors de son agression et ait cru me reconnaître moi, et ma servante. Tandis qu'il était agressé par d'autres personnes qui peuvent avoir fait croire en ma présence pour nuire à la réputation de mon père Sirius.
Il me semble d'ailleurs plausible qu'un homme aussi bon que Monseigneur Huon, lorsqu'il est victime d'un acte si malsain que celui-ci perde en lucidité.

Je ne répondrais pas à des spéculations sur le pourquoi j'aurais agressé un homme que je n'ai pas agressé. Et vous demanderais de vous excuser madame la Procureur de ces propos diffamants.

Vostre honneur, monsieur le Juge,
Je plaide ma non-culpabilité et vous demande donc de prononcer ma relaxe.

J'appelle désormais mon avocat le Comte Debenja.

Deuxième témoignage du Comte Debenja pour la défense

*Maitre Debenja retourna à la barre après qu’Eiddin l’ai demandé.*

Citation :

Votre Honneur,

Vous avez tous les éléments en mains. Je ne remets pas en doute la parole de Monseigneur Huon que nous estimons tous ici. Mais nous n’avons pas la certitude que c’était bien Eiddin qui était sur cette route. Comme nous vous l’avons dit, mon client était à Poligny et allait prendre la route ce soir là. Il n’aurait pas pu rencontrer monseigneur Huon puisqu’ils n’étaient pas sur la même route, il y avait quelques dizaines de lieues entre eux.

Monsieur le Juge, madame la procureur a, il me semble, voulu détruire mon client très rapidement, sans prendre la peine d’écouter nos défenses. Hum boucler un procès très rapidement n’est pas la meilleure façon de rendre la justice.

Votre Honneur, c’est à vous que reviens la décision finale. Mon client, Eiddin de Margny Riddermark était à Poligny ce soir là, en compagnie de sa servante, ils allaient prendre la route direction Vesoul, mais avant d’arriver sur la route de Vesoul il faut passer par Dôle. Donc c’étaient à quelques lieues d’où c’est déroulé ce triste évènement. Eiddin et sa servante n’étaient pas sur place. Monsieur le Juge, oui tout ceci a été fait pour nuire à mon client. Monseigneur Huon a été pris pour cible par des brigands qui souhaitent salir la réputation des Margny Riddermark.

Monsieur le juge, avez-vous l’intime conviction que mon client est coupable.

Je vous remercie de m’avoir écouté votre honneur.

Citation :

[HRP: je précise avant l'enoncé du verdict par Dwiral que Dwiral ne tient compte que de ce qui a été dit ici durant ce proces. le reste ne tient pas. ainsi, Preuve Ig ne compte et Dwi ne tiendra compte que des temoignages, un vrai proces RP en somme.
enfin, je posterai ( je= LJD Dwi) le meme verdict ici et IG.
hrp]


le tribunal etait plein a craquer, il y avait vraiment du monde pour ce proces qui opposé le Sieur Eiddin de Margny Riddermark, pour briguandage, a Monseigneur Huon, eveque de Besançon.
un garde du chateau prit la parole.

Sieur et Dame, veuillez acceuillir l'honrable Juge de Franche Comté, le Sieur Dwiral de Sainte Binouse, Seigneur de Chenevrey.

le juge sortit de son bureau, un dossier sous la main et s'installa a son bureau.

Bien, je pense qu'il est temps de rendre ce verdict. tout d'abord , veuillez m'excuser pour cette longue attente, une relecture approfondie de vos témoignages consignés dans ce dossier que j'ai sur le bureau et gentillement recopié par notre greffière devait être faite.

Nous sommes donc ici pour le proces du Sieur Eiddin de Margny Riddermark accusé de Briguandage sur la personne de Monseigneur Huon, évêque de Besançon.

il est clair que le briguandage est une chose horrible, encore plus lorsqu'il est produit sur un representant d'Aristote.
j'ai bien écouté vos temoignages de chacun, accusé, victime, avocat et procureur.
de tout cela, j'en ai tiré une conclusion. Monseigneur Huon fut victime d'un atroce Briguandage. celui pense avoir reconnu le jeune seigneur Eiddin. seulement, quelque chose me pose probleme. quelque chose que l'avocat de la défense, le Comte Debenja a montré du doigt. Comment un enfant peut il briguander un Homme qui, sans vouloir vous offenser monseigneur, est bien plus vieux que lui. en effet, l'accusé ici présent n'a que 12 ans, et il est haut comme trois Pommes. j'ose meme dire que le Comte Loicisdumb, connu pour sa petite taille est bien plus grand.

on peut penser que le Sieur Eiddin est depuis son plus jeune age rompu a la pratique du maniement des armes. Mais encore faut il que celui ci puisse les porter. mais les armes d'aujourd'hui pesant son poids, j'en doute.

Monseigneur Huon, vous nous certifié que l'accusé Eiddin etait présent sur cette route au meme moment que vous. mais Hélas, personne ne peut certifié et appuyé vos propos. je déplore vraiment ce fait, car cela m'aurait permit d'en tirer un véritable verdict. Bien que je suis un Bon Aristotelicien, je n'ai pas l'intime conviction, comme l'a demandé le Sieur Debenja, que le Sieur Eiddin soit coupable.
je me dis que peut etre oui, il est coupable. Mais compte tenue de son age, du manque de temoignage pouvant appuyer vos faits Monseigneur, je n'ai pas cette intime conviction qui me fait juger de la culpabilité de l'accusé.
De ce fait, je ne peux, en mon ame et conscience juger coupable le Sieur Eiddin.

Seul Aristote le peut. c'est pourquoi, j'en appelle a la justice divine. que celle chatie au moment qu'elle décidera le coupable. il se peut que cela soit le Sieur Eiddin, mais seul Aristote en est intimement conviancu.

c'est pourquoi, en tant que Juge de Franche Comté, je relaxe le Sieur Eiddin de Margnu Riddermark dans cette affaire. si celui ci est coupable, Seul Aristote pourra le juger. j'espere cependant, que le coupable soit honnete envers sa religion, et qu'il aille au plus vite se confesser aupres de monseigneur Huon et lui demande pardon. je pense qu'un pardon divin vaut bien plus que quelques jous dans nos prisons.

Qu'il en soit ainsi, Justice est rendue.





une fois le verdict rendue, le Juge se leva et se dirigea vers son bureau. son mandat venait de se terminer.

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