Sur un noeud entrain de jouer aux cartes

L'armée du Capitaine étais sur le noeud depuis quelque jours déjà..... tout en regardant à travers les buissons s'il y avait un brigands ou une vie sur le chemin, le groupes ce d'étendais un moment.

Ely étais entrain de jouer aux cartes avec le Lieutenant Crro et le Capitaine Chevreux, tout les trois se relançais sur le jeux.... De temps en temps elle gagnait et aussi perdait sur le jeux de la bataille mais bon.... Ely persistait à vouloir gagner la prochaine parti.

Elle leva les yeux et vit un petit oiseau, Ely eu une idée et dit aux deux hommes.

Ohh!!!! regarder.... Il y à quelque chose dans l'arbre!!!
Je ne sais pas c'est quoi mais.... Je sait que ça bouge beaucoups....

Aussitôt que le Capitaine et le Lieutenant se tourna la tête pour regarder dans l'arbre elle en profita pour regarder les jeux de ses compagnons ....... Avec un petit sourire discrèt, elle se replaça à sa place.

Bon Capitaine Chevreux et Lieutenant Crro???
Nous terminons la partie???
je sais de tout façon que vous allez perdre alors pourquoi retarder plus longtemps....


Ely esseyait de ne pas rire devant ses supérieurs, ne voulant pas ce faire prendre elle mit ses cartes, mais plus fort qu'elle ne pouvant plus se retenir de rire, Ely éclatya de rire.... Sachant qu'elle perdait elle n'était pas capable de tricher même si elle le voulait.....

Voilà un moment qu'ils étaient sur ce noeud à attendre et la lassitude commençait à s'emparer du jeune lieutenant, et ses préocupation profitaient de son inactivité pour venir le titiller sans cesse.
Peu de gens passaient et encore moins des brigands et la routine s'installait peu à peu.. des lettres lui arrivaient miraculeusement et Crro était content que les pigeons aient réussi à le retrouver, même en pleine campagne. Il devait d'ailleurs répondre à une lettre interminable qu'il gardait en poche depuis plusieurs jours et qui prenanit tellement de place que cela en était impressionnant : des feuilles et des feuilles.. comment pouvait-on écrire autant?

Aujourd'hui, il avait croisé un homme du nom de Marcussacapus et qui prétendait voiloir intégrer l'armée Franc comtoise. Ce dernier venait de Lausanne et Crro s'était demandé ce qui pouvait le pousser à venir ici mais il n'avait pas poussé l'interrogatoire plus loin, laissant ce soin à l'aide de camp de l'armée lorsque cet homme irait déposer sa candidature.

Il avait saisi l'occasion lorsqu'une partie de carte s'engagea et il fut heureux de pouvoir se détendre.
Il apprécia ce moment en compagnie du Capitaine et de Misselysya, qui répendait sa bonne humeur.
A un moment donné, cette dernier les interpela pour attirer leur attention sur un arbre : Crro se retourna brusquement par reflexe et scruta les branchages en plissant les yeux, aux aguets, mais il ne vit rien d'autre qu'un oiseau.

Crro se retourna vers Misselyzya avec un air étrange et voulu demander de quoi il retournait :

Et bien quoi? c'est un ois..

Mais il n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'elle éclata de rire en se predisant gagnante de la partie..
Le lieutenant lui adressa un regard suspicieux puis il abattit ses cartes en esquissant un sourire désabusé.

C'est alors qu'il aperçut Maathy non loin qui s'allongea et pour se détendre. Crro remua le bras, gesticulant pour attirer son attention et peut etre l'inciter à les rejoindre, affichant un sourire niais.

Les journées commençaient à être longue.

Peu de monde voyageaient en ces temps de guerre et cela en devenait pénible.

Misselyzya lui avait proposé de jouer une partie de carte, ce qu'il accepta tout de suite.

Se changer les idées, laisser les missives de côté, nourrir les pigeons qu'il avait utilisé depuis le début de leur surveillance et qui, fort heureusement, étaient bien entraînées pour le retrouver peu importe où il se trouvait.

La journée avait été un peu nuageuse mais sans trop.

Cela faisait déja un certain temps que la partie de carte était commencée lorsque Misselyzya leur dit de regarder l'oiseau dans l'arbre, juste derrière lui.

"Pas encore un pigeon!", se dit-il. Décidément, il ne pouvait pas passer un temps tranquille sans qu'une missive ne vit le déranger.

Déposant ses cartes, face cachée, au sol, il se leva et se retourna. Levant la tête, il chercha du regard le volatile qui, normalement, venait se poser près de lui. Surprise, il ne le vit pas. Faisant quelque pas, toujours sans rien voir, il fini par revenir s'assoir à sa place et reprit ses cartes.

Chose étrange, il ne se souvenait pas de les avoir placées dans cet ordre.
Regardant Crro, puis Misselyzya, il fronça les sourcils mais ne savait plus quoi penser.

Il était si épuisé par toutes ces nuits de surveillance et ce manque de sommeil à répondre à des missives qu'il avait très bien pu changer ses habitudes et ne pas s'en rendre compte.

Bon! Où en étions nous ?
Crro, je crois que c'était votre tour ! Non ?

A peine rentré qu'il fallait déjà repartir tenir ce noeud afin d'éviter à toute personne malveillante de fouler le sol Franc-Comtois. Du temps où il était Lieutenant, il soupirait en recevant ce genre d'ordre et il s'arrangeait pour qu'à chaque fois se soit une personne dévouée à la Franche-Comté qui prenne le commandement d'une petite troupe de soldats pour aller surveiller cette partie du Comté. Il ne réchignait pas à y aller quand il avait la possiblité de détrousser les voyageurs qu'ils soient pétrits de bonnes intentions ou non. Aujourd'hui, il avait reçu le permis de tuer ce qui est une bonne chose, mais cela imposait pas mal de contraintes qui se résumaient toutes à ne jamais toucher un inoncent. Bon sang!

Aslan avait déjà monté sa tente depuis belle lurette pour ensuite aller faire un tour des environs à dos de cheval. Sait-on jamais, un petit groupe de mécréants aurait pu s'installer tout près...malheureusement personne. S'il avait voulu se perdre il n'aurait pas pu; en revenant au campement, il remarqua Maathy qui était en train de se faire griller une bonne grosse cotelette de porc qui dégageait déjà un bon fumet . Lui dégaina sa miche de pain pour la rousiller et quand il arriva à sa hauteur il prit la parole:

Bonsoir Maathy... soupir...
De la partie encore cette fois-ci, on ne risque pas de s'ennuyer.
J'avais fait circuler un message la semaine passée disant qu'un convoi de militaires escorteraient un butin énorme en Helvêtie dit-il en toute neutralité
Je ne suis guère impressionné de voir que personne n'aura mordu à l'ameçon pour ne pas nous tendre une embuscade à cet endroit! Un sourir vint s'afficher sur son visage; qu'il adorait faire le pitre. Il s'alongea le long du cou de sa monture et dit de façon dramatique
C'est à mourir d'ennuies dans le coin! snif!

Je pense que comme la dernière fois je vais aller me poster à quelques lieux plus au sud-est pour nous éclairer le chemin cette nuit.
A moins que je partage ma tante avec mon épouse mais je risquerais de troubler vos nuits... bref!!
Vous avez vu Chevreux?

SeigneurAslan commença à faire le tour du campement avec sa longue vue...

Ely qui avait reprit le chemin du nœud avec les autres de l'armée.... Une autre semaine d'ennuie commencerai, des partis de cartes allait être de cette distraction tout la semaine... À part faire le guet devant les buissons et jouer aux cartes il y avait pas grand chose à faire de plus.

Se trainant les pieds au sol en marchant sur les chemins, Ely suivait le reste du groupe un peu à l'écart... Pensive regardant par terre se perdra dans ses pensées.... arrivé au camp, commença à sortir la toile et les barres, en montant ça tente.... plante les piques dans le sol en attachant les cordes en installant la toile....

Après avoir terminé de monter la tente, elle remarqua Maathy* et Aslan qui discutais ensemble le temps que Maathy* préparait son repas.... Ely partir en regardant autour de elle si Chevreux ne serait pas dans le coin, pas de trace de son homme.... Tête baissé elle alla rejoindre les camarades...

Bonsoir les amis....

Nous voilà repartis pour une autre semaine à regarder les moustiques passer!!

Si le cœur vous en dit... Venez jouer aux cartes^^ à part de jouer aux cartes et de regarder les buissons pas grand chose à faire... Pff

Ely s'assoyait sur une buche près du feu, un sourire ce fit sur ses lèvres en pensant à la dernière parti avec Chevreux et Crro.... Leva son regard vers ces camarades, se leva, les salua comme il se doit, puis alla dans sa tente se reposer.... Avec se voyage qui avait été épuisant, Ely voulait reprendre un peu de repos....

Princess avait mal dormit cette nuit la, le froid glacial qui régnait dans la tente
lui devenait insupportable, et sa bouillotte préférée était restée a faire
le guet toute la nuit au dehors.

elle ouvrit les yeux et s'étira, et senti l'odeur du feux mélangé a des relents de
brouet recuit de la veille, et cela lui souleva le coeur, elle se leva et sortit d'un
bond de la tente, et courut vers le buisson le plus proche..
elle eut juste le temps d'y arriver, ces nausées matinales la, elle les connaissaient bien..

mon dieu, pourvus que ce ne soit pas ce qu'elle pensait, et si cela était, qu'allait
dire son tendre époux, fou de joie ou en serait -il indifférant, elle n'allait rien dire
pour le moment, car ne sachant pas elle non plus si la vie était en elle ou pas, il fallait attendre..

elle retourna dans la tente et se débarbouilla comme si de rien n'était, et croqua dans
une tige de fenouil, puis Princess sortit et alla près du feu de camp ou la elle y retrouva son tendre époux..

bonjour mon coeur, le soleil a bien du mal a percer ce matin, j'espère que la nuit
ne t'a pas été trop pénible..

en venant s'assoie près de lui elle déposa un baisé sur sa joue, et remarqua ces
traits tirés par le manque de sommeils, et le déplora vivement en disant..

tu veille trop souvent toi tu sais, tu ne devrait pas prendre trop de tours de gardes
les uns après les autres, écoute donc ton infirmière et vas prendre du repos, je vais
te préparer des galettes et une bonne tasse de tisane, laisse moi faire et repose toi..

elle déposa quelques petites bûches sur le feux, se leva, et alla près de la charrette
des vivres pour y prendre de quoi faire des centaines de galettes.. elle pétrit la pâtes
et entre ces haut de coeurs, qu'elle essayait de cacher, en fermant les yeux et en
respirant profondément, et la cuisson de ce petits festin elle, elle questionna Aslan
sur la nuit qu'il venait de passer, loin de ces bras..

en quelques instants une petite montagne de galettes chaudes et appétissantes, et
aussi une bonne tasse de tisane fumante se trouvait devant le nez de Seigneuraslan,
et Princess en profita pour y apporter un pot de miel..

bon appétit mon Doux, mais mange doucement, et pas trop, gardes-en pour les autres..

Complètement recroquevillé sur lui même au coin du feu à attende que sa casserolle chauffe, il entendit du bruit près d'une tente voisine. Il leva la tête mais ne pu appercevoir celui ou celle qui venait d'en sortir pour aller faire ses besoins pressement. Et comme il n'était pas plus motivé que ça pour faire une farce, il resta à assis à contempler le vide. Quelques instants plus tard, son épouse le rejoignit et elle lui parassait un peu pâle...

Citation :

bonjour mon coeur, le soleil a bien du mal a percer ce matin, j'espère que la nuit
ne t'a pas été trop pénible..

Je ne compte pas sur lui pour me réchauffer ce matin...qu'est-ce qu'il peut être lunatique celui-là.

Elle s'assit à ses côtés pour lui faire un bisou sur la joue droite avant de lui faire la remarque sur ses traits de fatigue. C'est vrai qu'il n'était pas au meilleur de sa forme et faire la sièste lui ferait le plus grand bien. Prendre les tours de garde de nuit était de sa volonté, il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même. Il écouta les conseils de son infirmière préférée avec attention comme toujours et c'est quand il voulut s'exécuter qu'elle lui parla de préparer un quelque chose à manger. Il avait oublié la faim et c'est elle qui le lui rappela; son estomac se mit à gargouiller d'un son passablement bruyant qui aurait pu réveiller tout le campement. Il plaqua sa main droite contre son ventre pour lui recommander le silence tout en souriant niaisement à Princesse:

Vrai? tu nous prépares des galettes? Je remettrai peut-être ma sièste à plus tard donc.

Quand elle partit en direction de la charette de l'intendance, lui se dirigea vers celle d'à côté pour y déposer son armement. Pendant qu'elle pétrissait la pâte, il l'observait et elle ne pouvait le leurer; quelque chose n'allait pas fort, elle semblait peiner à se concentrer sur ce qu'elle faisait. Il décida de na pas intervenir pour le moment et repartit s'assoir au coin du feu convaincu d'avoir déjà la réponse. Il s'exclama silencieusement, un sourir au coin des lèvres, il serait heureux d'apprendre qu'elle porte la vie en elle et bien évidemment qu'il en soit pour quelque chose. Princesse ne tarda pas à le rejoindre avec un gros pot de miel qu'elle mit de côté du temps que les galettes mises au feu sur un plateau soit prêtes. Elle lui demanda de lui faire le récit de sa nuit, il lui répondit volontier:

Ma nuit fut tout sauf agitée. Tapi dans mon trou, j'épiais le chemin ainsi que les alentours sans remarquer une seule chose d'inhabituelle. Calme, trop calme si tu veux que je te dise et ça ne sentait pas bon. Devait y avoir un blaireau dans le coin, s'était horrible seulement je ne pouvais plus me permettre de changer de position. J'ai remarqué le passage d'un lièvre, je soupçonne qu'il tienne son terrier pas loin. A défaut d'avoir un peu d'action ce soir, je ramènerai le repas de demain midi. dit-il en souriant.

Puis elle lui tendit une fusion encore fumante et les galettes encore chaudes. Il déposa sa tasse à ses côtés pour la laisser refroidir et s'attaqua directement aux galettes avec un peu de miel une sur deux. Elles étaient fort appétissantes il lui commanda même d'en manger une!

Tu sauras mon coeur que les absents ont toujours tord! S'ils préfèrent roupiller toute la matinée soit, qu'ils ne viennent pas pleurer ensuite. Si l'on finit tout, jamais ils ne sauront que l'on se sera préparé des galettes, tant pis pour eux!
Tu ferais bien d'en manger une ou deux, je pense que ça te ferais u bien et de prendre une infusion également. Après ça, j'irai roupiller un peu afin d'être paré pour cette nouvelle nuit qui m'attend.

Aslan se décida enfin à goûter à sa tisane, en évitant de se brûler.

Princess écouta avec attention le récit d'Aslan et prit sur ces conseilles une
tasse de breuvage chaud, et s'essaya a manger une galette..

la chaleur de la tisane lui fit du bien, mais dès qu'elle eut avalé la première morse
de sa galette, sur la quelle elle avait mi un peux de miel, elle déposa le tout avec
urgence et sans prendre le temps de s'excuser, fila comme une flèche vers le buisson
le plus proche..

hoo non se dit elle, il va comprendre, que tous ne va pas bien pour moi en ce
moment, j'espère qu'il ne va pas me poser de questions sur.. et quand bien même
si cela était, j'en serais ravie, car je l'aime tant, que jute le fait de le regarder me
met dans tous mes états, et qu'elle sera ma joie, que de pouvoir a nouveau lui
annoncer, que la vie va a nouveau grandie en moi, et que l'enfant que je mettrai
au monde, sera sans nuls doute, le fruit de nos passionnantes retrouvailles de
ces temps derniers.

elle avait la tête qui tournait un peux, mais respira profondément et s'en revint
près d'Aslan avec un petit sourire au coin des lèvres et dit en s'asseyant..

je te prie de m excuser, mais je pense que j'ai du manger une chose des pas
très bonne hier..

elle eut un sentiment de gène et porta sa tasse de tisane a ces lèvre et la but entièrement..

Princess la déposa, et dit a son doux époux, en mettant sa tête sur son épaule..

en ce qui concerne le lièvre si tu arrive a le chopper, j'ai vu pas loin de la du
romarin, et du fenouil sauvage, alors je nous préparerai un bon ragoût..
si j'arrive a en avaler un bout...

Puis elle entendit des bruits qui venaient des tente voisines.

Mielikki trainait en retrait, loin du campement comme depuis le début de la mission. Ses enfants lui manquait terriblement, ses amis aussi. Le temps commençait a être long. La jeune femme se baladait plus loin sur la route, prenant soin de rester en vue du campement juste au cas ou quelque chose, qui enfin romperait la monotonité, se passerait.

Elle ne montait pas de tente non plus, elle préfèrait dormir a la belle étoile, beau temps, mauvais temps. C'était ainsi, depuis toujours, Mieli préfèrait la campagne, la liberté et la sécurité de la forêt. Le soir venu, elle rejoignait les autre au camp et s'installait en retrait, au pied d'un arbre, ou alors elle y grimpait.

ce jour là, cependant elle se balladait parmis les tentes, elle passa près du feu mais n'y resta pas, elle cherchait quelque chose.