Tout d'abord Maelyn, bravo pour tout le travail déjà fourni ici.
Par contre, désolée, mais je viens vous embêter tous avec les procès IG non terminer.
La CSI a l'oeil sur nous, cherchant la moindre faute pour tomber sur nous à bras raccourci.
Un des points sur lequel il nous guette est le délai de ces procès.
Si on peut justifier cela du fait du RP, il y a un point sur lequel on est fragile : c'est le temps entre le jugement RP rendu et celui IG.
Aussi, il est impératif que pour tous les procès terminés, une mise au point soit faite pour voir quel intervenant bloque le procès. Attention aux témoins ! Il ne faut pas les oublier.
Si l'intervenant qui bloque est l'accusé ou le témoin (vérifier que la convocation IG a été faite), il serait judicieux que le greffier lui envoie un mp et lui propose la copie du RP posté + le lien du procès en gargotte s'il souhaite vérifier.
Pour les procès IG incomplets (souvent l'accusé a posté son réquisitoire, il manque donc l'échange fait ensuite avec le procureur, ou un souci avec les témoins (oubli ou erreur de convocation), il serait judicieux que le juge y fasse mention au début de son intervention pour rendre son jugement, précisant que le procès complet est dans les minutes du procès.)
D'ailleurs, il serait bien que les intervants signent tous ces minutes comme conforme au RP en gargotte.
Sinon, j'ai une question : dans les minutes du procès, les pensées ne devraient pas apparaître, le greffier ne pouvant pas en prendre connaissance.
Seules les descriptions des attitudes (physiques, ton, regards etc) et les déplacements du personnage devraient être pris en compte non ?
Exemple là, je barre ce qui devrait disparaître :
- Citation :
- Resortant du bureau du procureur, la Franc Comtesse retourna dans son bureau pour étudier le déroulement des procès à la cour martiale.
Elle découvrit qu'elle devra en être le procureur puisqu'elle était l'accusateur.
C'était délicat vue ces fonctions de Franc Comtesse.... mais puisque c'est la loi...
Elle envoya une missive aux grands officiers pour leur signaler qu'ils étaient juges dans l'affaire en question.
Elle donna les ordres pour que l'installation des tentes permettant les procès publics.
Quand tout fut installé, les convocations furent envoyées.
Le procès peut débuter.
La Cour se remplit rapidement : le procureur était là le premier avec le greffier. Les accusés s'installèrent aux tables, certains accompagnés de leur avocat.
La foule, disciplinée se massait sur les bancs mis à leur disposition et autour dans les allées. Ceux qui ne purent pénétrer dans la tente se restaient à l'entrée de la tente surveillée par 2 gardes.
Macricri regardait tout cela, tendue. Etre le procureur ne lui plaisait qu'à moitié, elle n'avait eu l'occasion d'occuper un poste à la justice. Pour les circonstances, elle s'était habillée toute en noir, les cheveux tirés en un chignon.
En attendant les juges, elle feuilletait le dossier. Certains ne devaient être que des suiveurs, elle espérait qu'ils allaient profiter de la préventive qui leur était proposé. Quand aux autres, ils avaient leur défense à assurer.
Les juges firent leur entrée. Le greffier appela au silence.
Ce point est à approfondir, mais cela peut être fait ultérieurement, continue à copier tout en intégarlité.
Là l'urgence est déjà de cloturer les procès IG et compléter les dossiers.