Affaires Flisix contre tous

Bien, vu l'intervention de ma personne et celle de l'avocate du plaignant, je reprends l'idées générales de la situation:
 
Casiope souhaite recevoir des excuses publics des accusés...
En tant qu'avocat de Grégor. Je ne prendrais pas encore le pli de lui en parler, je sais mon client responsable de ses actes et les assumera aux besoins.
 
Par contre, j'ai suffisamment d'élément à charge de l'accusation pour insinuer que le présent mariage avait été préalablement acté, valider et consommer par les plaignants.
 
Le Curé Antiflag le dit d'ailleurs lors de son témoignage à la prévoté, je cite :
 
"Tout ce que je peux dire c'est que j'ai été pris pour un moins que rien par le camp des mariés. J'ai malgré tout officié. On a menacé d'écrire a Rome pour tenter de me faire destituer (Filsix). J'ai malgré tout fait le necessaire pour marier ces deux imbéciles."
 
Sachant cela, et sachant qu'une première cérémonie officié par Taniia et validé par Messire Antiflag, j'estime, que la plainte sur base d'une cérémonie de mariage n'est pas fondée.
 
L'accussation demande des excuses publics, je me contenterai d'une annulation de la plainte et serait d'avis de laisser les deux parties régler leur différents comme bon leur semble sans passer par la Justice Comtoise qui démontre son incapacité à gérer ce genre d'affaire.
 
En outre, je rappels à l'accusation que les deux parties défendresses étaient prête à ne présenter qu'une défense, afin d'accéler la procédure mais qu'au vu des évènements, il est probable que nous intérrogions à notre tour chaque témoin amené par la partie adverse, de part le simple fait de défendre les intérêt de nos clients respectifs si besoin.
 
Monsieur le Juge, Nous sommes tout disposé à entamer une médiation si nécessaire, mais je me refuse catégoriquement à des excuses publiques, qui pour moi, aux yeux de la loi ne sont pas fondée.
 
Je ne reviendrai de plus pas sous la possibilité pour nos client d'interjeté appel à la cour d'appel royale, qui au vu de son investissement, risque de prolonger le débat et l'obtention d'excuses éventuelles à la Saint Glinglin...sachant que mon dossier est déjà prêt dans ce sens si besoin, au vu d'absence de cadre légale sur le procès civil et des vices de procédure.
 
Je me tiens à la disposition de chaque partie afin d'aboutir à un accord acceptable sous la condition de refus d'excuses publiques.

s'installe finalement autour de la table, attendant les réactions des uns et des autres.

Casiope arriva, s'installa à la table. Elle avait piqué une grosse rogne et se sentait beaucoup mieux. 
Elle sourit à Kalvin, lui présenta des cerises et lui dit :

Je t'ai bien entendu, cependant tu m'interpelles sur une première cérémonie. Il me semble qu'il y a eu un très gros souci avec celle-ci. Mon client n'étant pas joignable de suite, je vais me renseigner sur ce sujet et t'amener des réponses sur l'organisation de la deuxième. Je crois savoir qu'il y a eu un échange entre mon client et Monseigneur Uriel sur le sujet, d'où l'organisation de la cérémonie qui nous donne ce vilain procès et qui nous amène ici aujourd'hui. Comme nous ne sommes pas au complet, je te propose de joindre mon client et de revenir dans la foulée, j'espère que cela te convient ?

tu connais ma position et ma défense, j'ajouterai que vu les menaces à l'encontre du curé qui dépent du dioscèse de Lyon et non de Bescançon, Monseigneur Uriel n'a ici qu'un avis extérieur, et n'a aucun lien hierachique entre la première et la seconde cérémonie.

J'ajouterai aussi la suspicion que je retire envers ton client, qui menace un curé pour arriver à ses fins, dans un esprit arisotélicien...je reste dans l'idée que tout cela est une farce

D'ou ma position...pour le reste, fait comme bon te semble, je ne suis pas là pour te dire que ton raisonnement est le mauvais.

Bonjour

Bon j'ai une autre version à ce sujet, je vais voir directement avec monseigneur Yut.

Casiope revint après avoir consulté son client et toutes les pièces du dossier lues et relues. Elle jeta un clin d'oeil à Flory et prit la parole.

Je vais vous narrer le pourquoi du comment afin que vous puissiez avoir bien en tête les différentes étapes de l'union de nos clients.




Comme vous le savez, il existe une formule de mariage incluant certificat, alliances et cérémonie dans une église de son choix réservée pour 6 heures, un jour précis. Cette formule choisie par mes clients coûte 100 écus.

A la suite de cela, le curé devant officier se met en rapport avec les futurs pour fixer date et heure. Dans l'affaire qui nous occupe, celle-ci a été fixée au 11 avril à 19h00 par le curé Antiflag. Mes clients et leurs invités l'ont attendu mais celui-ci n'a pas montré le bout de son nez. Il s'en est suivi des échanges par courriers pour obtention du certificat de mariage et une nouvelle date a été fixée soit le 14 avril afin d'obtention du dit certificat. Monseigneur Uriel a été consulté simplement pour confirmer les informations relatives à la formule précitée.

Le 14 a donc lieu la cérémonie qui a bel et bien été bafouée par vos clients .

Ayant tout le dossier en main, j'exige formellement des excuses publiques. Si vous avez d'autres éléments, ils sont obligatoirement dénués de vérité. C'est tout ce que j'ai a vous dire pour le moment, j'espère que cela vous a éclairé !

Nous nous verrons au procès dans ce cas, je regrette sincèrement l'absence de conciliation de la partie plaignante.

J'ose également espérer que Taniia, Diocèse à l'Eglise de Saint-Claude, et famille du plaignant n'ira pas jusqu'à mentir devant la cour lorsque que je l'appellerai suite aux différents témoignages reçu, certifiant qu'elle a bien tenu la cérémonie du premier mariage qui a ensuite été validé par le curé Antiflag.

Comme dit plus haut, je ne peux donner conseil à mon client de présenter des excuses publics, au vu des informations en ma possession, leur comportement n'a pas été plus outrageux que ceux de vos clients envers le curé.

D'autant plus, qu'une agression de la part de vos clients à eue lieue juste après la cérémonie, à mes yeux, ils se sont fait justice et demande en plus une justice provinciale...

Dois je leur fournir également le cul de la fermière ?

se lève, quittant la table, n'ayant rien de plus à ajouter

Il n'y a point eu agression mais bon, encore de "drôles de vérités" !

Cassy haussa les épaules