[Clos-Relaxé] TALP (loi martiale) : Einskaldir [19/01/1461]

14 Janvier 1461

Einskaldir est accusé de trouble à l'ordre public en étant présent en Franche-Comté sans laissez-passer au 14 janvier 1461 et ayant été préalablement averti au 6 janiver 1461.

Citation :

Informations sur Einskaldir


Créé(e) le 21 Février 2008

Einskaldir fête son anniversaire le 01 Janvier.

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Dernière adresse connue
Pays : Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ
Comté/Duché : Duché de Lorraine
Village : Toul

Niveau : 2
Points de réputation : 141
Argent : 56


Dossier

Einskaldir est forgeron.
Einskaldir possède un potager.

Dernière connexion le 14 Janvier 2013

Ses filleuls : Ayianasaya - Kentarione

Acte d'accusation :

Citation :

*Une soirée sous le thème de la loi martiale...

Le Procureur s'avança à la barre.*

Votre Honneur,

le 5 janvier de cet an 1461 a été déclaré la loi martiale, qui je le rappelle laisse 48 heures, à partir de la date du courrier envoyé par la Prévôté, aux étrangers pour quitter le territoire s'ils n'ont pas de laisser-passer, ou n'en obtienne pas un durant le délai laissé.

Messire Einskaldir, étant toujours présent sur nos terres, sans laisser-passer et prévenu le 6 janvier 1461, est donc accusé de trouble à l'ordre publique...

Fait à Dole, le 16 janvier 1461.

Signé : Artifice d'Ollivaud, Procureur de Franche-Comté.

Première plaidoirie de la défense

Citation :

*Je m'avançai de ma démarche boitillante vers la barre de plaidoirie, me retrouvant bien malgré moi devant ce juge comtois qui avait su m'imputer grief.
D'un ton calme et posé j'entamai ma justification :*

- Mes hommages votre honneur.

Il apparaît que ma présence devant votre face n'est guère justifiée... mais ma présentation devrait expliquer le fait que je suis encore sur le sol comtois à l'heure qu'il est.

Je suis Einskaldir Ruhnenson, sénéchal de l'Ost Lorrain.
Mes compagnons et moi-même, sous le commandement du capitaine de Lorraine Noa, foulions votre sol pour une mission d'ordre militaire, et nous avons reçu le laisser-passer nécessaire pour rester en Franche-Comté malgré les dures restrictions de la Loi Martiale.

Aussi, je suis plus qu'étonné qu'après avoir reçu ce laisser-passer, votre justice nous attribue grief.
Nous sommes pourtant venus en qualités d'alliés et même d'aides militaires à la Franche-Comté...

Cependant, j'imagine que la dissolution accidentelle de notre lance pour cause d'épidémie a été la cause de cette mise en accusation. Redevenus aux yeux de vos douaniers de simples voyageurs importuns et hors-la-loi, ceci expliquerait cela.

Mais nous repartions précisément vers la Lorraine, si la maladie ne nous avait point retardés.
J'étais donc en partance pour m'en retourner chez moi, tout comme les hommes sous mes ordres.

Mais ne souhaitant point davantage de démêlés avec la justice comtoise, je m'engage à demeurer en la ville de Vesoul jusqu'à prononciation de votre verdict, et en garant de ma bonne foi, je souhaite appeler mon capitaine à la barre.

Confirmation d'un laisser-passer par Leif

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :

*Le Procureur s'était absenté pour vérifier lui-même de ce que l'accusé avançait.

Revenu, il s'avança de nouveau à la barre*

Votre Honneur,

en effet, j'ai eu confirmation que l'accusé possède un laisser-passer. En plus du témoignage du Franc-Comte en lui-même.

je présente donc nos excuses au Sénéchal Einskaldir pour les désagréments occasionnés.

Évidemment, vu les circonstances, je demande une relaxe.

Fait à Dole, le 18 janvier de l'An 1461.
Signé : Artifice d'Ollivaud, Procureur de Franche-Comté.

Dernière plaidoirie de la défense

Citation :

"Je n'ai rien à ajouter aux propos de messire le procureur, et je le remercie d'avoir pu faire aussi promptement la lumière sur mon cas.
Puisse le Ciel veiller sur vous, Comtois."

Je m'inclinai devant la cour avec respect, attendant que le juge rende son ultime sentence à mon sujet, le mal réparé.

Enoncé du verdict

Le prévenu a été relaxé.

Citation :

*Sourit au messire de ses lèvres vermeils, posant ses yeux noir sur le fameux LP arrivé trop tard*

Je tiens moi aussi à vous présenter nos plus plates excuse. J'espère que vous ne nous tiendrez pas rigueur de tout cela, en tout les cas vous repartez bien évidemment libre.

Nous, Ilays de Monmouth, Juge de Franche-Comté, relaxons Messire Einskaldir.

*Coup de maillet, la jeune juge venait de rendre un verdict de plus. Elle finit en signant et datant le verdict*

Verdict rendu à Dole, le 19 janvier 1461.
Par Ilays de Monmouth, Juge de F.C.