Lassa Troubadour
Nombre de messages : 5818 Date d'inscription : 24/08/2006
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| Sujet: Cours de formation en médecine Dim 24 Jan 2010 - 3:32 | |
| Cours de formation en médecine
- Citation :
- Techniques de guérison :
Tout dépendant ce qu’a le soldat blessé, il existe différent remède pour le soigner. Voila d’abord la petite bible des remèdes les plus couramment utilisés.
ABCES - Compresses imbibées d'une décoction de guimauve. - Cataplasmes de feuilles de choux ébouillantées
AMPOULES - Compresses imbibées d'une infusion de lierre grimpant ou d'églantier. - Cataplasmes de pulpe fraîche de citrouille, d'acanthe écrasée ou de feuilles de choux. - Application de pétales de lys blanc macérés dans de l'huile d'olive.
BRÛLURE -Application d’une couche de pomme de terre finement râpée qui tombera seule après la guérison.
COLIQUES - Infusions de camomille et de valériane - Infusions de coquelicots - Décoction de cannelle, d'absinthe, de guimauve, de consoude ou d'anis vert.
CONSTIPATION - Régime à base de pruneaux - Infusions de guimauve, de frêne, de guenièvre, de lin, de pissenlit ou de chiendent.
CONJONCTIVITE - Compresses imbibées d'une décoction de bleuet, de sureau et de souci. - Compresses imbibées d'une décoction de camomille?
CONTUSIONS - Compresses imbibées d'une infusion de bardane, d'arnica ou de verveine. - Compresses d'eau glacée. - Cataplasmes de purée de pomme de terre pour calmer la douleur.
COUPURE - Nettoyage avec une décoction de menthe - Compresses imbibées d'une infusion de gentiane, de plantain ou de millepertuis.
COURBATURES - Infusions de bourrache, de camomille, de menthe, de tilleul, d'aubépine ou de chiendent. - Friction avec un demi-citron ou avec une décoction de cèdre et de bourgeons de peuplier.
DIGESTION DIFFICILE - Infusions de camomille, de mélisse, de menthe, de tilleul, de verveine ou de coriandre.
DESINFECTION D'UN LOCAL - Faire brûler du hêtre. - Parsemer des feuilles de laurier séchées.
DESINFECTION D'UNE PLAIE - Application d'une décoction de bardane ou de romarin.
DOS - Boire une décoction de frêne, de bouleau et se saule.
DOULEURS ET COUPS - Infusions de coriandre. - Cataplasmes d'argile.
ENGELURES - Compresses imbibées d'une décoction de gentiane, d'aunée, de chêne, de gui ou de carotte.
ENROUEMENT DE LA VOIX - Gargarismes avec une décoction de thym ou de ronce.
ENTORSES - Huile de massage à base de pâquerettes, de verveine ou d'arnica. - Cataplasmes de feuilles de pâquerettes ou de persil cuit dans du vin rouge.
EPIDEMIES: Plantes réputées pour leurs vertus protectrices. - Mâcher des racines d'angélique. - Manger de la betterave rouge, des carottes râpées et de l'ail cru. - Boire du jus de carotte ou du jus de citron. - Boire du vinaigre avec des épices
ESTOMAC - Manger des carottes, des pommes de terre et des pommes. - Infusions d'aunée, de thym ou de basilic.
FIEVRE - Infusions de bourrache, de camomille, de hêtre ou d'orange. - cataplasmes de feuilles de pourpiers appliquées sur les pieds.
FOIE - Manger des radis noirs et des pissenlits. - Infusions de feuilles d'artichaut.
FROID - Infusions d'orties.
GENCIVES - Infusions de sauge
GERCURES - Cataplasmes de pomme de terre et d'huile d'olive ou d'huile d'olive et de citron. - Bains dans une décoction de chêne.
GRIPPE - Infusions de camomille.
INDIGESTION - Infusions de menthe, de tilleul ou de mélisse.
INSOMNIES - Infusions de tilleul, de camomille, de thym ou d'orange.
MIGRAINES - Infusions de camomille, de lavande, d'orange ou de tilleul. - Cataplasmes d'aspérule.
PIEDS FATIGUES - Application d'une décoction de feuilles de noyer. - Bains dans une décoction de feuilles de menthe. - Compresses de fougères.
PIEDS FROIDS - Bains de pied dans de l'eau chaude à laquelle a été mélangée de la farine de moutarde.
PIEDS MALODORANTS - Bains de pieds dans une décoction de saule.
PIQURES - Frotter avec de l'ail, de la lavande ou du thym. - Poser une tranche d'oignon cru.
PLAIES - Compresses imbibées d'une décoction de souci, de gentiane ou de géranium. - Laver avec une décoction de bouleau ou de fougère.
POUX - Shampoing avec une décoction de thym et d'origan.
POUMONS - Infusions à base de feuilles de menthe ou de lavande. - Cataplasmes de farine de moutarde noire.
RHUMATISMES - Infusions d'origan, de verveine, de bouleau, d'orties, de chiendent ou de guenièvre. - Compresses de sauge ou de guenièvre. - Cataplasmes d'absinthe ou de camomille. - Cataplasmes de feuilles fraîches et écrasées de ricin.
RHUME - Infusions de citron, de menthe ou de marjolaine. - Inhalations d'une décoction à base de menthe, de thym et de lavande.
TOUX - Infusions de lavande ou de thym. - Cataplasmes de moutarde noire. - Application de ventouses scarifiées. - Boire une décoction avec un oignon coupé très fin macéré dans du sucre
VERTIGES - Infusions de lavande.
=> Par Muscade - Citation :
Différence entre cataplasme, compresse et bandage, ainsi que décoction et infusion.
La fabrication d’un cataplasme consiste appliquer une bouillie médicinale entre deux linges, généralement de la toile, qu’on applique ensuite sur la partie voulu du corps. Cette bouillie médicinale est une préparation de plante assez pâteuse pour être étendu sur la toile.
La compresse, quant à elle, est fait d’un tissu plus fin et stérile, habituellement du coton, et est appliqué sur la plaie afin de la couvrir. Souvent, les médecins imbiberont des compresses d’une décoction. Dans ce cas, la compresse est repliée plusieurs fois sur elle-même et appliqué sur la plaie. Elle sera ensuite retenue à l’aide d’un bandage. Lorsque certaine partie d’une plante sont appliqué directement sur la plaie, on applique également une compresse par-dessus en la retenant, une fois de plus, avec un bandage. L’application d’une compresse autorise la cicatrisation à l'abri des microbes et des heurts
Le bandage est fait d’une ou de plusieurs longue bande de tissus qui ne sont jamais directement posé sur la plaie ou la brûlure. Il sert à retenir en place une compresse ou un cataplasme.
La décoction est le résultat de la mise en ébullition prolongée d'une quantité d'eau avec une ou des plantes dans différents buts médicinaux.
L’infusion quant à elle est une boisson obtenue en laissant infuser une ou des plantes pendant un certain temps.
=> Par Lassa - Citation :
- Le bandage de plaie :
Pour tout membre du personnel soignant, il est primordial de savoir comment bander une plaie. Pourtant, c’est l’une des choses qui est rarement montré dans un cours. Lors d’une mission de campagne, tout soldat peut être amené à fabriquer un bandage de fortune, mais il faut savoir qu’une plaie ne doit pas être bandée n’importe comment, surtout lors d’une bataille où la plupart des linges utilisés par les soldats sont loin d’être propre.
Dans cette partit que je vais entamer, je passerai sous silence tout ce qui a trait au nettoyage, à la suture, au retirement d’un trait, ainsi que tout ce qui peut avoir un lien avec les différentes technique de guérison; qui seront bien entendu étudié à un autre moment. Ici, je parlerai uniquement de ce qui nous intéresse : le bandage. D’abord, lorsqu’il s’agit simplement d’une entaille, le bandage peut être fait à l’aide d’une longue bande de tissus. Il est important de bien partir le bandage de sorte que la plaie soit bien protéger des heurts. Également, le bandage doit servir à refermer la plaie et non pas à l’aggraver. Il est donc primordial de bien le placer dès le départ, en particulier si vous ne possédez pas de compresse. En campagne ou sur le champ de bataille, le bandage de fortune est un matériel provisoire qui vise à protéger la ou les plaies ou brûlures d’une victime pour limiter le risque d’infection dans l’attente d’un examen par un membre du personnel soignant. Le soldat qui aide le blessé ne se substitue pas au médecin ni à l’infirmier.
Lorsque le soldat est blessé par un trait, qu’une flèche est demeuré fiché dans sa chair, ou si n’importe qu’elle matériaux a pénétré sa peau, si vous n’être pas médecin, vous ne lui retirer pas ! Vous risqueriez de le blesser davantage. Dans le cas où l’objet est à demi sorti de la peau, vous faites un semblant de tuyau avec un morceau de tissus que vous allez appliquer tout autour de l’objet, de sorte que lorsque vous ferez le bandage de fortune l’objet ne soit pas accroché et ne bouge pas. Pour ne pas que l’infection s’installe, vous emmenez ensuite le blessé le plus rapidement possible à un soignant qui s’occupera de retirer l’objet et d’effectuer la suture.
Passons maintenant aux attelles. Toujours sur un champ de bataille, si un de vos compagnons d'arme est blessé et que vous croyez que le membre est fracturé et qu'il ne peut voir un médecin rapidement, il faut lui faire une attelle de fortune. Vous trouver un morceau de bois le plus droit possible que vous entourez d'une bande de tissus. Vous allez ensuite posez le morceau contre le membre blessé et vous l'attacher solidement de manière à ce que le membre soit bien maintenu en place. Mais, je me répète, ceci sera une attelle temporaire dans l'attente de voir un médecin.
Tant que vous n'êtes pas médecin, chirurgien ou infirmière, vos soins sont des soins temporaires et le blessé doit impérativement être vu dans les plus brefs délais par un médecin.
=> Par Lassa - Citation :
- La suture :
Pour suturer une plaie, il faut tout d’abord préparer un plateau avec ce qui sera nécessaire à la suture. Ce plateau doit en l’occurrence contenir de quoi nettoyer la plaie, une aiguille en or, du fil de soie, du lard et/ou de la charpie s’il manque de la chair sur la plaie et une compresse ou de quoi couvrir la suture.
À l’aide de l’aiguille en or et du fil de soie, on pique de chaque coté de la blessure afin de rejoindre les lèvres de la plaie. À chaque point, on termine par un nœud. On peut ensuite appliquer une huile cicatrisante sur la blessure suturée que l’on couvrira avec une compresse. On doit retirer les points au bout de 5 à 10 jours après lesquels on poursuit l’application de pommades cicatrisante.
=> Par Lassa - Citation :
- L'amputation :
En cas de blessure grave, on peut être obligé de couper la partie du corps trop atteinte : ce sont les barbiers chirurgiens qui pratiquent cette opération à la fois peu ragoûtante, peu subtile, et carrément douloureuse... Il faut bien savoir que l’amputation évite rarement la mort, surtout s’il s’agit de l’amputation de la tête. Les barbiers utilisent les même instruments que les bouchers (qu’ils sont souvent d’ailleurs..) : scies et couteaux, principalement. Il est important que ces outils soient bien aiguisés et si possible lavés avant usage (et après..)
TECHNIQUE-CONDUITE A TENIR A*Première étape : Le patient doit être fermement maintenu par des copains costauds et qui ne s’évanouissent pas à la vue de la première scie en action ! (car à ce moment, les infirmières ont autre chose à faire que de leur passer les sels..) On peut aussi attacher solidement le client, car parfois il n’est pas raisonnable, et il cherche à s’enfuir au lieu de se laisser couper gentiment le bras ou la jambe.. On a plusieurs techniques pour obtenir l’immobilité du patient : 1-la plus simple : lui faire boire une bonne demi-flasque de boisson très alcoolisée, si possible d’un seul coup (technique dite du « coup-sec »), puis appliquer fermement un très fort coup entre les oreilles à l’aide d’un gourdin, ou de tout autre objet non tranchant ! (j’insiste !) . Cette technique, facile à appliquer en plein champ de bataille, doit être connue de tout soldat.. 2-très moderne, et qui demande encore à faire ses preuves, car elle ne semble pas sans dangers : on fait dormir artificiellement le malade avec des substances , en général tirées de plantes venues des Indes (pavot, en particulier).cette technique serait couramment utilisée à Damas, en Asie Mineure, où exerceraient de très grands médecins –soit-disant !! (Avicenne et ses élèves ).. Conclusions : Dans le doute, restons-en aux bonnes vieilles techniques bien de « chez nous », et adaptées à notre rusticité légendaire : on tape, point final. B*Deuxième étape : Simple : le barbier-chirurgien scie et coupe ce qui est à couper. Le travail des aides consiste seulement à éviter de tout salir avec le sang qui gicle : ils épongent, ou tiennent les seaux là où il faut. C*Troisième étape : la cautérisation C’est ce qui permet de fermer la plaie pour qu’elle arrête de saigner.. on utilise des cautères =sortes de « plaques de fer » chauffées au rouge, et qu’on applique brûlantes sur la plaie C’est le moment où il faut bien tenir le malade, car parfois il se réveille : se tenir prêt à donner un nouveau coup sur la tête si besoin.. D*Dernière étape : On fait un bon gros pansement, on réveille le malade, on le réconforte de la voix et avec le reste de la bouteille d’alcool (il faut donc surveiller sévèrement les aides, qui ont tendance à finir la bouteille pendant l’opération) Si le patient a survécu jusque là, c’est le moment de se souvenir que, peut-être il souhaite se confesser avant de mourir, et on doit alors appeler l’aumônier au plus vite. C’est l’aumônier qui conduit la suite du traitement, qui relève alors de la prière et du bon vouloir d’Aristote..
=> Par Muscade - Citation :
- La saignée :
Je reprends les cours de Muscade. En effet, ses cours étant clairs concis, sans fioritures, je vais tâcher de rester aussi parfait qu'elle. Aujourd'hui nous verrons la saignée.
Pour commencer, il faut savoir que la santé du patient repose sur l'équilibre des quatre humeurs du corps : le sang, la pituite ou phlegme, la bile jaune et la bile noire , qui, en correspondance analogique avec les quatre éléments de l'Univers (le feu, l'air, la terre et l'eau) – eux-mêmes affectés d'une qualité propre : chaud, sec, froid et humide – déterminent, selon leur prédominance, les quatre tempéraments fondamentaux : le bilieux (chaud et sec), l'atrabilaire (froid et sec), le flegmatique (froid et humide) et le sanguin (chaud et humide). Dès lors que cet équilibre est rompu, on voit apparaître les maladies. Physiques et psychiques.
Par conséquent, si ces humeurs sont en déséquilibre il convient de rééquilibrer tout cela grâce à la pratique de la saignée.
Le patient souffre d'une forte fièvre ? Saignée. Le patient a été blessé lors d'une guerre ? Saignée. Le patient déambule à moitié nu sur la place publique ? (si les gardes ne l'ont pas arrêté et conduit à l'Inquisition) saignée.
Prenons un exemple concret.
Voici un patient qui, lors d'une petite échauffourée de 2000 ou 3000 hommes à l'occasion d'une prise de château (les défenseurs n'ayant pas voulu se laisser faire) a reçu sur la tête et la majeure partie du corps un plein chaudron de poix enflammée. Par chance pour les chercheurs que nous sommes il n'est pas mort, mais simplement brûlé et méconnaissable. Il est donc le test par excellence. Approchez vous. Voyez comme le seul membre qui n'ait pas été cuit présente une rougeur inquiétante.
Non ! Ne tentez pas de le déshabiller, sa chair est accrochée à ses vêtements.
Bien... Essayons de localiser une veine intacte.
VOUS ! Trouvez la moi.
Bien. Alors notre « éminent » collègue nous montre bien timidement la grosse veine du cou. En effet, sur un patient (quelqu'un pourrait-il m'apporter un baillon ? Les hurlements du blessé gênent mon cours... merci). Qu'étais-je en train de dire ??? Ah oui. Sur un patient qui serait moins brûlé et à qui il manquerait les bras et les jambes, nous pourrions effectivement prendre celle du cou. Mais vous voyez bien que la peau des joues a adhéré à celle de sa gorge et qu'il serait difficile d'agir là sans la lui trancher.
VOUS ! Dites-moi où vous pratiqueriez votre saignée.
Ouiiiii ! Bravo !!!! En effet. Sur le dernier bras valide.
Peut-on m'apporter un couteau bien aiguisé s'il vous plait ? Merci. Alors dans un premier temps, essuyer le couteau, s'il a servi, comme celui-ci, au repas de la mi-journée. Prenez n'importe quel linge cela fera l'affaire. Les vêtements du blessé peuvent éventuellement faire l'affaire, s'ils ne sont pas trop crottés. Ensuite vous pratiquez une profonde incision le long de la veine. Ne pas oublier, comme je l'ai fait volontairement, de mettre un récipient pour recueillir le sang. Aucun d'entre vous n'a réagi, n'est-ce pas ??? Enfin... Je ne m'attendais pas à ce que vous le fassiez. Il faut tout faire soi-même ici. Bref !!! La saignée étant pratiquée, et le patient enfin évanoui, il convient de ne pas laisser s'écouler tout son sang, car cela pourrait provoquer sa mort, ce que nous ne souhaiterions que s'il était possédé par un démon. Et ce n'est pas le cas ici, puisque celui-ci aurait évacué le corps à cause de sa détérioration par les brûlures. Bien. Vous ! Pensez vous qu'il a assez perdu de sang ? Vous ne savez pas ? Et bien touchez le. S'il est aussi chaud qu'avant c'est que non. Alors ? Bien. Vous pouvez donc cautériser. Pour la cautérisation, vous savez déjà comment faire puisque mon estimée prédécesseur vous l'a expliqué.
A présent il est entre les mains de Dieu et il ne nous reste plus qu'à prier pour sa guérison. Allons chercher le prêtre.
Le cours est terminé.
Merci messieurs-dames.
=> Par Gildedcrotch - Citation :
- La visite médicale :
Ce métier qu'est infirmier, ou infirmière, peut paraître complexe dans les débuts alors voici quelques indications et conseils qui pourraient aider nos recrues de l'infirmerie.
Concernant les visites médicales : Tous les soldats, sergents, lieutenants et même le capitaine doivent passer par la visite médicale aux 15 jours. Sans exception. Pour ceux qui essaeraient de s'en sauver, des punitions ont été mises en place.
Notre rôle dans les visites médicales est de conseiller le patient qui n'a pas une bonne santé et de féliciter celui qui prend soin de la sienne. La fiche médicale joue un grand rôle dans ces visites et nous aide à connaître l'état de santé de la personne.
Les fiches des patients : La fiche médicale se doit d'être une copie originale (screen). Si on doit accepter une copie faite à la main (copié/collé), ce ne doit pas devenir une habitude pour le patient alors vaux mieux l'en avertir.
C'est également sur la fiche médicale que nous retrouvons l'état de la santé et l'état du moral de la personne. Si par malheur cette personne n'a pas le moral (malheureux, mécontent, etc.) vous lui conseillez gentiment d'aller boire quelques chopines en taverne. Bien entendu, il doit y aller avec modération. Vous pouvez aussi lui dire d'aller à la messe, dépendamment du jour où il vient.
État de santé Faible : il doit se nourrir pour regagner une parfaite santé. État de santé Famélique : il doit rester une journée à l'infirmerie et rapporter une copie originale de sa fiche le lendemain. Elle doit indiquer qu'il a mangé ce jour-là et que son état de santé s'améliore. État de santé Squelletique : il doit rester 3 jours à l'infirmerie et après ces trois jours il doit ramener une copie originale prouvant qu'il a mangé et qu'il est de nouveau Faible. État de santé Mourant : même chose que s'il est squelletique, il reste 3 jours à l'infirmerie et rapporte une copie prouvant que son état s'améliore et qu'il a mangé.
Les régistres et le classement : Le dossier d'un patient doit contenir son grade, son nom, la date de sa dernière visite, sa fiche la plus récente ainsi que le nombre de rappels qu'il a reçu par missive (voir rappels).
Ces régistres se doivent de rester à jour ! Donc chaque fiche doit s'y retrouver et être remplacée après 15 jours. Bien sûr ceci est la responsabilité du patient ; revenir passer sa visite après deux semaines.
Les rappels : Il s'est passé 15 jours depuis sa dernière visite : Le patient doit recevoir une convocation.
Cette missive privée doit contenir le nombre de jours datant de sa dernière venue à l'infirmerie et le titre de cette missive doit contenir le nombre d'avertissements qu'il a reçu (exemple : Visite médicale, deuxième avertissement). Vous pouvez également ajouter l'adresse (lien) de l'infirmerie de sa garnison, il ne pourra pas dire qu'il s'est perdu en chemin !
Le lendemain, s'il n'est pas venu après cette première missive, vous lui en envoyez une deuxième !
S'il ne vient toujours pas, vous envoyez son nom à son supérieur (Lieutenant s'il s'agit d'un soldat) et vous lui donnez la raison de la corvée. En effet, après deux avertissements c'est la sanction des pissoirs!
=> Par Zelda
Notice : Certains cours font seulement l'objet des premiers soins à porter à un blessé (ce que chaque soldat devrait savoir). | |
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