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| [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche | |
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Artifice Ex Franc-Comte
Nombre de messages : 16762 Age : 40 Localisation : Vesoul Date d'inscription : 07/06/2006
Feuille de personnage Pseudo IG: Artifice Type de personnage: PJ
| Sujet: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche Jeu 26 Fév 2009 - 0:22 | |
| Sieur Chevesche s'est révolté à Pontarlier et suite à la trahison d'Arcas bloqua la mairie. Preuve :- Spoiler:
- Citation :
- 1/ [Dans l'Eglise]
Chevesche avait enfin rejoint Pontarlier. Breton d'origine, il quittait Fribourg pour rejoindre sa patrie et s'était dérouté vers Pontarlier afin d'aider les forces de la Réforme à vaincre les profiteurs de la noblesse et du clergé.
A son regard s'offrait la place de l'Eglise, enfumée et traversée de divers projectile. Depuis la barricade où il était, il vit un comtois perché sur un toit. Il se sentit irrésistiblement attiré par un pavé gisant au sol. Il le prit, le soupesa et le lança vers l'archère sur son toit.
Prends ça, profiteuse, et vive la Réforme et la Liberté!
Au bruit que le pavé fit en face, il sentit qu'il avait touché sa cible, et durement. Une ennemie de moins. Avec le sentiment du devoir accompli, il se mit à couvert dans l'église. - Citation :
- 2/En haut du clocher, Chevesche faisait toujours son travail avec les pigeons. Soudain il vit une corde leste s'agripper au clocher. Un des comtois, tout en noir, commença a y monter. Chevesche attendit qu'il grimpe de 5 mètres avant de saisir un poignard effilé et de trancher la corde.
Aaaaaaaaaaaah!!! résonna un long cri en bas.
Après ce premier avertissement sans frais il se retourna depuis la tribune au-dessus de l'entrée, et cria comme la veille dans la nef :
Branle-bas de combat! Surveillez tous les abords de l'église, surtout l'arrière et le cloher! Postez-vous et tuez-moi tous ces traîtres à la première occasion! Aux Aaarmes citoyens! - Citation :
- 3/Dans la nef de l'église, les combattants se rassemblaient. Des fortifications furent érigées prestement autour de l'église, sur les parties non défendues encore. Dans le vaste grenier, au-dessus de la nef, des républicains s'installèrent avec de quoi virer les comtois manu militari...
Au loin, on en voyait qui arrivaient, armés d'engins incendiaires divers. De l'eau fut alors montée en tous les points de l'église. Chevesche cria dans la nef en brandissant son poignard :
Hardi, combattants! Nous allons les reconduire par delà les murs à coups de pied, d'épées, de pognards, et de sicas dans le fondement et partout ailleurs! La République ou la mort! - Citation :
- 4/En effet, depuis l'Eglise, le manège des comtois avait été aperçu... Les fauconniers tiraient depuis le matin sur les maisons situées près de l'église, mis à part le 192, transformé en bastion.Le 214 et la 191 étaient couchées dans leurs ruines, pas une pierre ne dépassait au-dessus des caves effondrées... Le 193 avait subit le même sort peu envieux. Au moins quand les comtois passaient leur temps à rédiger des affiches, les républicains tiraient...
Maintenant, une baliste, dite arbalète à tour, était montée au sein de l'église. Les multiples piècs détachées avaient été amenées une à une, et le chevalet fabriqué sur place à partir de poutres solides de maisons abandonnées. Elle allait servir pour l'une des barricades du transept. Des combattants ajustaient les fourrures et les confre-fiches de la traverse, et le roulement allait commencer...
Le roulement fait, le réglage commença. Le premier projectile alla s'écraser devant le n°192, a une centaine de mètres...
Troop court! entendit-on les comtois rire
Le deuxième fila dans le Doubs, cinquante mètres derrière...
Trooop long! entendit-on une seconde fois rire les comtois
le troisième tomba sur le toit du n°192, qui était passablement enfoncé. Le tir était réglé, après divers essais tout autour de l'église dont les maisons avoisinantes se souviendraient encore...
DESSUS, entendit-on rire les républicains. - Citation :
- 5/Depuis l'église, on voyait du clocher un gars qui avançait à couvert sous les murs du clos, et faisait tout pour ne pas se faire voir... il atteignit la remise du cimetière et l'ouvrit. A cette distance, le pavé ne suffisait plus, la baliste aurait tout dégommé mais...
Il y avait une arbalète en bas dans la nef. Pas dit qu'on ne pouvait pas atteindre cette fichue remise.
(Un peu plus tard, depuis un galerie couverte donnant sur le cimetière)
Ffsssschhh... fit le carreau en partant. On le vit depuis l'église traverser de part en part la dite remise. Un cri étouffé s'en serait échappé...
Chevesche reprit son poste d'observation... - Citation :
- 6/ Chevesche vit les dégâts. Descendant prestement du clocher avec une deuxième corde, il la donna aux républicains pour qu'ils doublent la corde de l'arbalète. Cette deuxième corde était mouillée, et elle avait l'avantage de ne pas pouvoir être rompue par les flèches tout en gardant les mêmes capacités de tir que la première, sèche.
Les républicains qui en avaient marre des flèches commencèrent à y répondre à leur façon... des flèches partirent vers la maison dont venaient les traits menaçants. Finalement, jugeant que ce n'était pas assez efficace, on entreprit le réglage de la baliste avec la nouvelle corde sur cette dite maison.
Broumm!!! entendit-on le craquement sourd du toit qui s'effondra, dans un nuage de poussière. Et dans les rangs de la Liberté, la clameur s'éléva dans le ciel uni : "Vive la République et mort aux nobles et leurs suppots!"
Maintenant, on pouvait ressortir les goupillons... ces chiens de nobliaux allaient recevoir leur pâtée de projectiles divers... - Citation :
- 7/ Depuis l'église, Chevesche les laissa se mettre en place. Chaque républicain visait, de son arc ou de son pavé un soldat. Le choc terrible allait avoir lieu. Les fauconniers et couleuvrines de rempart étaient de sortie, et étaient chargées.
Lorsqu'il entendit au loin le cri :
Chargezzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz......."
Il laissa venir puis, dès lors qu'ils furent à portée de tir, il s'écria :
Feu!!!!!!
Un nuage de fumée enveloppa la place et les abords de l'église, troublé seulement par des râles. Il reprit :
Aaaaaarmez! Et chacun réarma sa couleuvrine, ajusta la baliste ou son fauconneau, prit un pavé ou tendit une flèche. - Citation :
- 8/ Il fallait les avoir au pied des remparts... pas gagné avec des bouches à feu... mais avec des bouteilles remplies de poudre noire et de projectiles divers, c'était faisable. Et la poudre ne manquait pas. Chevesche fit un essai avec une bouteille de vin de messe, emplie de clous et d'un peu de poudre. Pour l'allumer, il attacha un chiffon à son sommet et l'enflamma. Il la jeta brusquement sous les pieds des comtois, encore loin des remparts.
Braoum!!! entendit-on une expolosion qui projeta en l'air quelques morcaux de comtois.
Pas mal compagnons! Faisons-en, les bouteilles et la poudre ne nous manquent pas, tout comme les projectiles!
Il fallait aussi règler le problème des canons. Ceux qui pouvaient tirer très près étaient en train de se faire réajuster. Mais les autres? Puis Chevesche eut une idée... vu la taille des canons, on pourrait utiliser les ouvretures situées au bas des tours, pour faucher au pied, dans les rangs.
Des républicains s'assemblèrent auprès de ces canons, que l'on commença à descendre et à installer avec des cordes, ce qui prit pas mal de temps au cours duquel les francs-comtois s'approchèrent relativement près de la poterne, assez près pour que l'on puisse les faucher.
Le premier canon installé, on fit un essai avec un boulet de 12 livres en pierre. Il y en avait un tas là qui servaient à caler des tonneaux, dans le temps jadis... mais ceux-ci étaient partis alimenter les tavernes de la ville...
Chaaaaaargez!!! le boulet roula dans le canon, par l'avant
Taaaaaaassssssez!!! la charge fut tassée et là-haut, d'autres charges furent tassées, d'autres bouteilles chargées et prêtes à être enflammées, d'autres arcs furent bandés...
Feu à volonté!!!
Et le devant des remparts fut replongé dans la fumée et la douleur... Cette fois, la fumée peina à se dissiper au milieu du gémissement sans fin des soudards de Dole...
Et la clameur se fit entendre dans les rangs républicains, la poterne avait tenu, du moins ses défenseurs... Et les remparts étaient maintenant imprenables, fortifiés par les canons et l'ardeur des Républicains...
Camarades, nous les aurons! Vive la république!!! - Citation :
- 9/ Des flèches enflammées maintenant! Il n'y avait qu'une solution... se dépêcher de les éteindre avec l'eau du puits des pélerins. Celui-ci avait une pompe.
Chevesche demanda de l'eau, vite... Le temps qu'elle arrive, les flèches finissaient de brûler... Splash! Le seau d'eau s'abattit, la réserve était prête... la baliste tenait et les flèches furent retirées. Pas de dégats. Juste des petits trous luisants d'eaux et frais comme de la glace.
Par contre s'ils en voulaient du feu, ils allaient en avoir... Les byzantins tiraient des projectiles enflammés depuis leurs balistes... En mettant de l'huile sainte sur les boulets en vieux bois...
Chevesche alla prendre lui-même un tonnelet de ces huiles et un vieux boulet de 6 livres, en bois sec... Versant l'huile lentement sur le boulet, il le plaça ensuite sur la baliste et l'enroula d'un étendard laissé par terre par les comtois. La baliste était armée quand il enflamma le tout.
Tiiiiiirez!!! et une boule de feu partit sur la maison, en face, alors que d'autres boulets de feu étaient préparés. En face, les toits secs, criblés de flèches et décatis par les combats, s'embrasèrent comme une botte de paille.
En plein dedans! Youpi!!! crièrent les Républicains... - Citation :
- 10/ Chevesche était toujours à l'église. Alors qu'il organisait la défense, un des républicains, un barbu qu'il connaissait de vue, lui tomba dessus en lui disant ceci :
Citation: C’estions juste pas longtemps, hein, j’me doutions bien que vous estions ben occupés avec toute l’énergie qu’vous mettez à mener la barque d’la défense, et sachant l’âge du capitaine, tout ça… Brefle, c’estions des remarques qu’y s’faisions entre sicaires, pis aussi avec certains volontaires z’et aussi des Pontissaliens républicains, d’ailleurs. C’estions point méchant, z’hein ? C’estions juste une remarque, voyez ?
On s’disions juste, avec les camarades, qu’vot’ énergie estions splendide, mais qu’peut-être vous pourriez, quand vous l’pouvions, limiter un peu les dégâts sur la ville, non ?
J’voulions dire, voyez point l’mal, hein, mais par exemple, nos derniers tirs sur les baraques en face, c’estions point vraiment obligé z’et utile d’enflammer nos projectiles, hein ? J’avions demandé à des z’anciens qu’ont fait plusieurs campagnes, comme hommes d’armes. On aurions fait les mêmes dégâts sans, hein ?
Il lui répondit par ces paroles :
Camarade, la violence doit être faite en une fois pour ne pas y prendre goût. Ils tentent de nous enfumer dans l'église, de nous faire brûler vifs? Répliquons-y au lieu de tarder, avant que cela ne se retourne à notre désavantage. Nous serons vertueux que lorsqu'ils auront quitté la ville jusqu'au dernier, et que la République sera consolidée.
Il entendit des cris provenant d'une chapelle latérale séparée, où s'étaient cachés des comtois. Ils fuyaient, en criant au diable ou quelque chose du même acabit. Il se dit que c'était le moment de reprendre son inspection regulière de l'édifice.
Peu de temps après, il remonta sur le toit, il n'y avait rien à signaler. Mis à part les flèches éparses venant de la ville et du mur du clos. Il avait repéré une batterie d'archers du coté de la remise du cimetière. A portée de canon... mais en utilisant leurs armes...
Redescendant dans l'église, il prit un arc qui pendait et une flèche. Une burette d'huile presque vide trainait là, il l'embarqua et remonta tout vers la galerie sud. Passant dans le transept, il entrouvrit la petite lucarne du grenier, au-dessus de la voute. Droit devant, à portée de tir droit, la remise.
Il trempa la flèche dans le restant de l'huile, l'alluma, et pendant que l'huile s'embrasait, la tendit. Il lacha le tout lorsque une boule de feu se forma au bout de la flèche et suivit le sillon ardent dans le ciel sombre, jusque au toit de la remise ou la flèche tomba d'un bruit sec. Les bardeaux commencèrent à crépiter. Puis il entendit le toit s'effondrer dans une gerbe d'étincelles. Des cris lointains, étouffés par la distance, se dégageaient de la cabane. En plein dedans.
Chevesche referma la lucarne, bloqua le verrou et redescendit organiser la défense. Ce n'était pas beaucoup de dégats que cette remise défoncée qui n'appartenait plus à personne...
Quant aux comtois qui étaient dedans... ils n'avaient qu'à quitter la ville. Il fallait bien que les républicains, qui défendaient courageusement la mairie et la ville, ne se battent pas pour rien. Fiche du contrevenant : - Citation :
- Né(e) le 18 Décembre 2008
Dernière adresse connue Pays : Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ Comté/Duché : Schweizerische Eidgenossenschaft Village : Fribourg Niveau : 1 Points de réputation : 16 Argent : 26 Chevesche ne cultive ni n'élève rien. Dernière connexion le 25 Février 2009 à 20h42 Casier | |
| | | Artifice Ex Franc-Comte
Nombre de messages : 16762 Age : 40 Localisation : Vesoul Date d'inscription : 07/06/2006
Feuille de personnage Pseudo IG: Artifice Type de personnage: PJ
| Sujet: Re: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche Jeu 26 Fév 2009 - 0:23 | |
| Suite des preuves :- Spoiler:
Dans [RP][FUSIONNE] Front de Libération de la Franche Comté : - Citation :
- Posté le: 20 Fév 2009 00:59
Vous êtes contre la Liberté, et pour l'Opression, pour la division et la pourriture de vos nobles! Nous en avons marre de nous crever la paillasse pour vous, et nous vous laminerons!
Vive la Liberté et vive la République! _________________ Ex-Maître-paysan de Fribourg Ex-Procureur-adjoint de Fribourg
Vive la liberté et mort au fanatisme! - Citation :
- Posté le: 20 Fév 2009 18:36
Chevesche vit le parchemin et le déchira. Puis se percha, comme à son habitude, sur un tonneau, et s'adressa aux villageois.
Camarades! D'affreux prédicateurs vous proposent de nous combattre! D'aller à la mort, soi-disant pour votre ville, comme ils ont l'ignominie de le prétendre! d'aller pour votre foi comme on essaie de vous le faire croire.
Mais irez-vous? En toute conscience, en pleine LIBERTE de pensée? Rien n'est moins sûr.
Car savez-vous pourquoi ils vous poussent au combat? Derrière ce front vous avez des parasites incapables au combat qui ont fui devant nos barricades, qui sont tombés de leurs toits où ils nous visaient de leurs flèches, rien qu'à la vue de notre détermination. Maintenant qu'ils se sont deshonorés ainsi que les armées - ou plutôt, devrais-je dire - les outils tortionnaires dont ils font partie, ils vous poussent, sans armes, sans rien sauf de bonnes paroles sans cesse rabachées, au combat contre VOS FRERES pour satisfaire LEURS INTERETS!!!
Croyez-vous qu'après nous avoir vaincu, vous vivrez mieux? Non! Vous serez accablé d'impôts, d'amendes et d'extorsions comme à l'accoutummée, et bien plus encore! Car la cupidité de ces profiteurs, de l'armée, de la noblesse et des curés n'est égale qu'à leur INCOMPETENCE! Et ils vous font payer cette dite INCOMPETENCE!
Nous vous proposons d'en finir avec eux! Nous vous amenons la fin des amendes et des imôts inconsidérés. Demain, dans la République Réformée de Pontarlier, il n'y aura plus de profiteurs ni d'incompétents, plus de nobles et de curés. Nous les avons jetés à coups de pied dans le fondement par-dessus les remparts, et ils ne rentreront plus! Demain, le peuple pourra ENFIN, vivre mieux, se débarasser des poids qui le maintiennent dans la MISERE.
Mais tout cela n'est possible que si VOUS, paysans, arisans et partisans, ne nous rejoignez pour combattre sous l'étendard de la LIBERTE. NJous vous ouvrirons alors nos barricades, et nous vous armerons pour culbuter l'INEGALITE ETABLIE et leurs LOIS INUTILES. Ensemble, nous combattrons pour la LIBERTE, l'EGALITE, et la FRATERNITE!!!
Nous vous proposons l'union de Pontarlier, autour de la LIBERTE, pour qu'une vie meilleure soit possible dès AUJOURD'HUI!
Ecoutez, et rejoignez-nous! La LIBERTE vous appelle!!!
Puis Chevesche s'éloigna et rejoignit sa barricade. _________________ Ex-Maître-paysan de Fribourg Ex-Procureur-adjoint de Fribourg
Vive la liberté et mort au fanatisme!
Dernière édition par Chevesche le 20 Fév 2009 20:54; édité 1 fois
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| | | Artifice Ex Franc-Comte
Nombre de messages : 16762 Age : 40 Localisation : Vesoul Date d'inscription : 07/06/2006
Feuille de personnage Pseudo IG: Artifice Type de personnage: PJ
| Sujet: Re: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche Jeu 26 Fév 2009 - 0:25 | |
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| | | Elfriede Volubile
Nombre de messages : 2877 Date d'inscription : 01/07/2008
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| Sujet: Re: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche Mar 3 Mar 2009 - 14:17 | |
| Dernier village où ce personnage a été recensé: Grandson [Schweizerische Eidgenossenschaft], aujourd'hui à 9h01.
Chevesche est MORT. Dernière connexion le 25 Février 2009 à 20h42 | |
| | | monifred Conteur
Nombre de messages : 3323 Age : 46 Localisation : nul part pour le moment Date d'inscription : 23/08/2008
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| Sujet: Re: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche Lun 9 Mar 2009 - 7:14 | |
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| | | Elfriede Volubile
Nombre de messages : 2877 Date d'inscription : 01/07/2008
Feuille de personnage Pseudo IG: Type de personnage:
| Sujet: Re: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche Jeu 19 Mar 2009 - 22:36 | |
| Ce personnage n'existe pas, ou plus, ou pas encore
Casier et dossier détruit bientot | |
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| Sujet: Re: [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche | |
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| | | | [SS] [Décès Définitif] Haute Trahison : Chevesche | |
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