La Croisade de Genève
Dates: Mars-Mai 1456
Récit:Début Mars 1456…
Les provinces francophones du SRING (Lorraine, Savoie et Franche-Comté) décident en accord avec l’empereur, de lancer une expédition militaire en Provence pour lui rappeler son appartenance au Saint Empire qu’elle a renié.
Chacune des provinces s’engage à fournir un contingent qui devra intégrer une armée.
La compagnie franche Maxima Sequanorum, signataire d’un accord avec le Haut Commandement Impérial (HCI) s’associe à cette campagne militaire. Pour éviter de laisser la Franche-Comté sans défense, la franc-comtesse Macricri et le capitaine Chevreux décident de faire entrer des soldats volontaires dans la compagnie franche pour compléter ses effectifs. Parallèlement, certains anciens militaires sont « récupérés » par la compagnie franche, notamment l’ex-lieutenant Zephirin, qui accepte la proposition qui lui est faite de prendre le commandement du camp de Maxima Sequanorum.
Alors que la stratégie est arrêtée et l’armée prête à se mettre en route, le plan est dévoilé à l’ennemi par quelques indélicats… D’un commun accord, la franc-comtesse, le capitaine et Lothilde, chef de la compagnie franche, renoncent à poursuivre une campagne qui ne pouvait qu’être meurtrière pour la troupe.
La démobilisation est imminente. C’est alors que l’église aristotélicienne part en guerre contre les hérétiques de Genève du Lion de Judas. Lassée par des années de brigandages sur ses terres par ces mêmes hérétiques, la Franc-Comtesse propose l’intervention de la compagnie aux côtés des croisés, sur la base du volontariat des membres.
25 mars 1456
Maxima Sequanorum quitte Pontarlier pour Dole, puis Poligny , Saint-Claude, et fait une dernière halte au nœud de frontière (14) pour permettre à quelques soldats de quitter les rangs à leur demande.
Entre le 14 et le 19 avril, l’armée combat pratiquement tous les jours aux côté des armées croisées alliées. Chaque jour, des blessés plus où moins graves sont ramenés au campement et soignés avec dévouement par Elanor et Pegasine .
Le 20 avril, jour d’Aristote, l’armée respecte la trève dominicale. Les combats reprennent du 21 au 23 avril, date à laquelle l’église demande l’arrêt des hostilités.
Le 26 avril, l’armée arrive à Poligny, après avoir déposé les soldats de Saint-Claude dans leur village, et poursuit sa route en passant par Pontarlier, Vesoul, et Luxeuil.
Un mois plus tard, le drapeau de Maxima Sequanorum est plié, et une délégation part récupérer les blessés qui terminaient leur longue convalescence au bord du lac de Genève.
Barette: Militaires ayant participé: - Citation :
- - Adrien72
- Ahainepeheux
- Aldrahn
- Barth
- Djvier
- Dodo45
- Doko
- Draugtor
- Elanor
- Eldorach
- Ender
- Estelbad
- Fabulous
- Francoisol
- Gildedcrotch
- Greenwarrior
- Gundard
- Harstan
- Jacquouille94
- Jeanguy
- Jerone
- Josephine
- Kaya
- Kranelamarmotte
- Kryss
- Laslau
- Leconquerant
- Loreïal
- Lothilde
- Lourdin_le_pur
- Lysiane
- Magnusvonwolf
- Maître91
- Muscade
- Occorax
- Oedipe
- Pazienza
- Pegasine
- Pendarric
- Picot
- Poete
- Psycotik
- Quinlan
- Rabatcho
- Rubella
- Solarim
- Spikelilou
- ThomasHawk
- Thoram
- Xaven
- Zephirin
L'histoire s'est déroulée en deux phases. Jontas était avec son armée au noeud devenu comtois d'ailleurs avec son armée, le fameux noeud 14 qu'on avait racheté à la Savoie...Etant donné que les croisés avaient appelé à l'aide à Genève, la Comtesse Macricri lui avait demandé d'y aller en attendant que nous arrivions pour le relayer. Dans cette armée de Jontas, il y avait peu de de monde. Puis Jontas a rapidement été blessé, et son armée a été reprise par un bourguignon, il me semble...Progressivement, les soldats comtois qui composaient son armée ont été blessés et on l'a su accidentellement ... Lothilde se souvient qu'en l'apprenant, on a demandé pour eux des laisser-passer pour qu'ils viennent se faire soigner dans le campement de Maxima car ils n'avaient pas de campement à eux...Du côté de Lothilde, elle savait toujours qui était blessé, si c'était grave, si on avait récupéré tout le monde...et s'arrangeais pour faire vite revenir au nid ceux qui s'étaient fait amocher. Donc elle a aussi récupéré les soldats de l'armée de Jontas...ceux dont elle connaissait les noms ...
Ils sont arrivés une nuit de brouillard aux portes de Genève, un jour sans combat, et nous les avons repoussés violemment à Saint-Claude alors qu'ils venaient en renfort et livrer des armes ...