[RP] Derniers recueillements...

Le nouvel Intendant regardait une ultime fois la pièce aménagée pour l'occasion, avant de l'ouvrir au public, enfin à ceux qui souhaitaient se recueillir auprès du corps du Franc Comte mort au cours de son mandat, avant qu'il ne fut mis en terre comme l'exigeait sa religion. Elle n'était pas bien grande cette pièce, certes, mais cela permettait une intimité parfaite avec l'homme, d'ailleurs la salle était à l'image de celui ci, petite, mais bien remplie.

Au milieu de cet endroit, se trouvait donc le défunt, son tombeau était richement décoré, suffisamment pour honorer la memoire d'un Comte en tous les cas, et son corps avait été dûment rapporté, nettoyé de son sang qui avait eu le temps de coaguler et vêtu de sa plus belle tenue d'apparat, tout était en place. Il ne restait plus qu'à sortir, et laisser l'accès libre, afin que chaque franc comtois puissent y venir, se remémorer ce dont il se souvenait de pinss, ce qu'il n'oublierait pas de lui... Max l'avait connu, avait aimé travailler avec malgré quelques différents parfois, et ne l'oublierait pas...

[RP] Derniers recueillements... Tombeaupinsshf3

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Invité

Kenny avait appris la mort du Franc-Comte Pinss. Certes, il ne le connaissait pas très bien, mais il était franc-comtois tout comme lui. De plus, il était normal de lui rendre hommage. Mais la manière de mourir du Comte le révoltait. Ses yeux étaient humides, mais c'était plus de rage et de dégout que de tristesse. En tant qu'aspirant-gendarme, il prenait cet assassinat comme une véritable insulte faite à tout le peuple Franc-Comtois. Il s'approcha respectueusement du cercueil, mit un genou à terre, et dit à voix basse :

" Votre Grâce, peu importe où se trouve ce meurtrier, mais nous le trouverons où qu'il soit, et nous lui ferons payer cher ses actes. Il souffrira avant d'aller en Enfer je vous le promets. "

Puis il se releva, déposa un bouquet de fleurs près du cercueil et sortit, bien déterminé à participer aux recherches qui le conduiraient à l'assassin.

Alors qu'il etait dans son tribunal, Dwi apprit par un garde la Mort de quelqu'un d'important dans le chateau. tout de suite, il avait esperé que quelqu'un avait enfin réussi a mettre un coup de poignard bien placé dans l'anciennce Franc comtesse, ou qu'on avait égorgé comme un cochon une certaine gouverneur de compagnie Franche.
Mais non, Hélas, c'etait ce malheureux pinss que l'on avait vilement trucidé d'un coup de poignard dans le dos. enfin bon, Dwi n'etait pas triste non plus. cela fera toujours un Adams de mélincourt en moins.
il avait entendu dire qu'une salle venait d'etre ouverte pour la dépouille du comte. logiquement, et comme c'est un bon croyant, il prit cette direction.

Poussant la salle, une odeur lui monta au nez... et d'un geste il se le pinça.

Nom d'Aristote, ça sent le rat crevé la dedans... se dit il je pensais qu'on avait crevé Pinss et pas un putois.

faisant signe aux gardes de venir pres de lui, il leur fit comprendre qu'il serait bien d'ouvrir quelques peu afin d'aérer la piece. un peu d'air frais ne ferait de mal a personne... et surtout a Pinss vu qu'il etait mort.
jettant un regard sur la dépouille, il baissa la tête en signe de receuillement........... Deux secondes puis se mit à sourire.

une idée lui vint en tête.

LE FRANC COMTE PINSS EST MORT... VIVE LE FRANC COMTE SIRIUS!!!! fit il dans la pièce. il est vrai qu'il s'etait souvenu que ce genre de phrase etait de coutume quand un roy , empereur ou comte mourrait. on disait que l'ancien etait mort, et on saluait le nouveau.
bien heureusement, ce n'etait pas une régence en Franche Comte, mais belle et bien un nouveau franc comte. Donc, c'etait beaucoup plus facile a crier.

Paix à son ame fut les mots pour conclure le receuillement de Dwiral devant la dépouille de ce défunt Pinss. il avait la tête dur.. mais rien n'etait plus dur que le fer d'un poignard!

Jerone militaire pur race et plus que remonté arriva dans la salle de recueillement. Il alla voir Dwiral son ancien instructeur.

Mr le juge, j'espere que l'on trouvera ce meurtrier et que vous serez impitoyable avec lui. Je veux bien etre le bourreau d'ailleur je suis un tres bon pour torturer les gens. Si une guerre eclate je serais en premiere ligne d'artillerie pret à tout exploser.

Jerone alla devant la depouille de Pinss et se receuilla à sa maniere

Mon cher Pinss j'ai jamais pu boire une biere avec toi mais croit moi que l'on va lui faire la peau ce celui qui t'a envoyé chez Aristote.

Jerone avec un casque à la peinture inedite retourna avec Dwiral.

Alors sinon ça va ?

Dwi regardait les mouches taquiner le nez mort de Pinss. il eut un sourire en regardant cela. finir comme garde manger pour mouche... une drole de fin pour un homme. il vit Jerone entrer dans la piece...

ARF mon ami, je suis bien heureux de te revoir entier ici. j'ai bien cru que tu allais laisse ta peau chez les Suisses! fort heureusement, Aristote t'a aidé dans ta quete!
t'inquiete pour le meurtrier, je m'en occuperai.. enfin.... si on le retrouve.

il regarda son ancien artilleur rendre un dernier hommage a la dépouille de Pinss...

bah moi sinon ça va. le parlement c'est des vacances. enfin, façon de parler. j'envoies des mecs au bucher, a la torture, en prison.
tout un programme en fait!
et toi?

moi j'assure la perenité du poste de geolier en allant des fois moi meme au gnouf et puis comme presque tout le monde le sait je ferme jamais ma grande gueule ce qui n'est pas pour plaire au maitre d'arme. Sinon je maltraite mes soldats pour qu'il apprenent le metier.

Jerone afficha un grand sourire apres ses derniers mots.

he he he et tu as bien raison! faut le faire comprendre que l'armée, c'est pas la taverne du coin. t'as pas encore eut de mort j'espere!

le juge eut un leger sourire en repensant a la fois ou lui et Jerone s'etait fait exploser et qu'ils avaient finis a l'armée.. toute cette histoire s'etant finis par une mni secousse a l'infirmerie.. de quoi faire trembler le capitaine et l'EM de l'époque.

moi de mon cote, la justice roulotte bien. et comme toi, je ferme toujours pas ma grande gueule! ça dérange parfois.. mais c'est comme cela que je fonctionne.

dis moi, c'est normal que personne a part toi et moi viennent voir Feue Pinss??! j'ai meme pas vu un seul membre de sa famille...

Le Comte de Saint Amour était dans son bureau au rectorat lorsqu'on lui rapporta que la dépouille de Comte Pinss était enfin visible pour les derniers hommages. Il se leva donc pour se rendre dans cette funeste salle.
Il se présenta à l'entrée et fut surpris qu'il n'y eut point la queue... Personne ne voulait donc voir le cercueil ??? C'était pourtant un spectacle tant aimé du peuple qui pouvait alors entrer au château et en profiter pour visiter un peu, tant il semblait facile de se promener dans les couloirs, jusqu'à sauvagement et lâchement assassiner le Franc-Comte... D'ailleurs, ses souvenirs le trahissaient peut être, mais de mémoires d'homme, jamais aucun Franc cOmte n'avait été tué au château. Comment un inconnu aurait il pu arriver jusqu'au dirigeant de notre région ??? A moins que son assassin ne soit tout simplement muni des autorisations nécessaires !!

Mais il fut tiré de ses pensées en entrant dans la salle... quasi vide... Le juge discutait un peu plus loin, et hormis ces 2 hommes, personne !!

Allons bon, je suis l'un des premiers se disait il...

Il se présenta devant le cercueil et fit son signe de croix. Marmonnant on sait trop quelles belles et classiques paroles qu'il termina d'un amen a peine audible, il se retourna et s'approcha des 2 hommes.

Et bien messieurs, il ne semble pas y avoir foule... Surement que le manque de buffet y est pour quelque chose... Les gens ne se déplacent plus que pour boire maintenant !! Avec tous les accidents de char que cela provoque évidemment !

Imladris passait entre plusieurs affaires qui le préoccupait. Il avait appris le lâche assassinat du Franc Comte Pinss. Certes, il était moins présent ces derniers temps. Surement la lourdeur de sa tâche... Mais il devait présenter ses hommages à celui qui représentait la Franche Comté.

Il alla et vit des personnes qu'il connaissait. IL reconnut le Juge de Franche-Comté avec qui il travaille à l'AP. Il revit Jerone et le salua. Après tout, il était encore avec un grade supérieur au sien et salua Messire Fccapser qu'il connaissait pour avoir aperçu dans les couloirs de Dôle.

Il se dirigea vers la tombe de Pinss et le salua.

Puisse Aristote vous accueillir entre ses mains.

Il salua les personnes qui étaient présente et repartit travailler. La Franche-Comté devait continuer de vivre malgré la mort du Franc Comte.

Il avait eu l’écho qu’on avait mis le corps du comte mort dans un cercueil et dans une salle public pour se qui voulais se recueillir devant sa tombe, il n’aimait pas trop venir dans se genre de chose , Pinss était un adversaire politique , mais il était avant tout une personne qui avais longtemps travaillé pour la franche comté , il avais connu mieux quand il était lieutenant aide de camps et avais travaillé avec lui , il voulais toujours donné le meilleure de lui-même et cela se voyais et puis se faire tué pendant qu’on n’est franc comte , a présent il est mort , une triste mort , tué par un meurtrier qui court toujours…

Il entra dans la salle , peu de monde y était présent , et même sa famille se trouvais pas dans ces lieux , il aperçue des amies a lui , Max , Dwiral , Imladris , même son sergent instructeur était présent , il y avais le comte Fccasper qu’il avais déjà aperçu a l’agora ou autre , il les salua de la tête et se mit devant le cercueil , et dis .

-Le Franc comte Pinss est mort, vive le nouveau Franc comte Sirius !

Il pensa une dernière fois au comte, puis il regardait a terre ses pas de la tristesse qu’il éprouvait mais ou la FC allait, un franc comte se faire tué n’était pas rien, il se demandait bien ou tout ça va allez.

Il tourna des talons et repartie comme il était venue.

Gilded entra dans la pièce qu'on venait de lui désigner.
Il vit des hommes en train de discuter comme si de rien n'était, à rire ou chuchoter, voir carrément se gausser.
Son fils gisait au centre de la pièce.
Il regarda l'assistance.
Seulement des chacals venus se réjouir. Ils avaient parfaitement le droit de ne pas l'avoir aimé.
Mais ils n'avaient pas le droit de se gausser.
Il éleva la voix :

- DEHORS ! TOUS !!!! LE PROCHAIN QUI RIT PRENDRA LA PLACE DE MON FILS !!!

Se sentant insulté car il n'avait point gaussé. Il sortit. Il jeta un regard noir sur ceux qui avaient eu l'outrecuidance d'insulter Pinss. Imladris se retira et alla travailler. Ce qu'il savait le mieux faire.

Il salua le Baron et sortit.

Le Baron, qui avait entendu ce qu'avait dit le jeune homme et surpris son regard indigné aux autres personnes présentes, le salua de la tête en baissant légèrement les paupières en signe de remerciement muet, puis il se retourna vers les autres, un doigt pointé vers la sortie.
Que l'un d'entre eux réplique et il l'embrocherait sans autre forme de procès.
Gilded était trop en colère pour réfléchir calmement...

il venait de saluer le comte de Saint Amour venu se receuillir lui aussi sur la tombe de Pinss. malgré le petit groupe formé par Jerone et Dwiral, il y a avait peu de monde dans la salle ou le peuple pouvait se receuillir. il entendait un groupe de moines chanter des psaumes pour l'àme de Pinss, afin que celle ci soit lavé de se pecher. il eut un sourire en se disant qu'il fallait chanter beaucoup de psaume dans ce cas...
mais son sourire fut de courte durée. une voix se mit a retentir dans la piece. tourna la tête...

QUI OSE TROUBLER LE REPOS DE PINSS, BARON DE GENDREY??! ................ Gardes mettez moi ce trouble fête dehors!!
fit Dwiral.
il regarda un peu mieux l'homme, et , il reconnut le pere de Pinss, Guildedcrotch. rapidement il fit signe aux gardes de rester a leur postes.
il s'approcha du baron pour lui temoigner ses condoléances.

Messire Baron, la justice Franc comtoise, dont je suis le representant, vous temoigne toutes ses condoléances. il est certain que tout sera mit en oeuvre pour retrouver le vil traitre ayant commit cette acte inqualifiable. tuer un franc comte est déja horrible, enlever un fils a son père est ignobles.
Nous ne pouvons, hélas, pour le moment, que prier pour le repos de son àme aupres d'Aristote le tres Haut. Sachez que de nombreux duchés vous temoigne, par le biais du parlement, ses condoléances.

fit Dwiral en s'approchant du Baron. mais celui pointa du doigt en sa direction...
la tristesse qui parlait, sans nul doute...

La main crispée sur la garde de son épée, Gildedcrotch acquiesça rapidement en direction du vassal Dwiral, puis, de la tête, indiqua la porte.
Il voulait rester seul avec la dépouille de son fils.
Et personne ne l'empêcherait de le faire.

- Et emmène les autres avec toi. Les gardes également. dit-il d'une voix sourde où perçait une menace. Que l'on me laisse seul jusqu'à l'arrivée des croque-morts qui l'emmèneront.

Bien qu'il eût parlé assez bas, sa voix grondait tel un volcan menaçant d'exploser...

Lachant pour un moment ses textes et autres traités, Rougail prit du temps pour aller se recueillir auprès du corps du Franc Comte Pinss.
Il l'avait longtemps croisé dans divers endroits, l'avait toujours tenu en respect du fait de ses immenses qualités humaines et professionnelles.
Et voilà environ 2 mois, le Grand Pinss lui avait donné sa confiance en lui confiant de nouveau les clefs de la Chancellerie.
Rougail rentra donc dans cette grande et belle salle, malgré l'ambiance lourde.
Il vit une certaine agitation.
Sur le pas de la porte, il se signa.
Il alla présenter ses condoléances au Baron de Villiers-Farlay que le chagrin le rendait triste et que rien ne pourrait consoler.
Puis il se dirigea vers le cercueil, posa genou à terre, baissa la tête et marmona des prières qu'il avait appris étant petit dans l'église de Pontarlier, entre 2 réprimandes du curé d'alors.

[ Du quartier jaune de Beziers]

Tout avait été tres vite, deux coups a la porte, une missive tendue par un coursier.
Reconnaissant la signature, Pazi s'assit toute heureuse d'avoir des nouvelles de son amie et de Franche Comté.
Tres lentement elle s'assit a la lecture des premieres lignes...Pinss mort, assassiné...

Le regard vide a travers la fenêtre , elle se rememora les bons moments passés au Manoir..
Plein d'humour ce gamin..Plein d'avenir...

Lisant a nouveau le courrier, elle eut une pensée emue pour Gildedcrotch, il etait si heureux a Geneve...Et voilà denouveau sa vie s'effondrait...
INfiniment dépitée de ne pouvoir rentrer en FC pour les obseques, elle prit une plume et un parchemin, et accablée se mit a écrire.

Greenwarrior pénetra dans la pièce au moment où Gilded annonça son désir d'être seul. Il attendit le départ des autres personnes puis, avec un sourire de compassion, il fit comprendre à Gilded qu'il ne serait pas dérangé.

Je me trouverai devant la porte, prend ton temps, je vérifierai quelques détails sur les blessures de ton fils quand tu estimeras que je pourrai le faire.

Sache que Rougemont est en deuil et que son peuple recommande Pinss aux faveurs d'Aristote.

Gilded se tourna vers le nouvel arrivant.
Enfin une personne qu'il savait avoir aimé son fils. Il lui fit un signe de tête, indiquant qu'il était reconnaissant, et regarda à nouveau la dépouille de Pinss.
Il retourna ensuite vers l'entrée, et attrapa le poignet de Green en un geste fraternel avant de lui dire d'une voix charriant un orage :

- Fais ce que tu dois, mon ami. Et retrouve-le ! Mais ne le donne pas à la justice... pour moi !

Il s'adossa au chambranle de la porte, tourné vers le long corridor, défiant quiconque n'y était pas autorisé de s'approcher de lui et surtout de son fils.

Green s'approcha du cercueil, après une prière à l'âme de Pinss pour s'excuser d'avance de ce qu'il allait faire, il commença à déboutonner le mantel puis la chemise du défun.
La blessure principale apparut... Il observa un instant puis saisit une espèce de compas dans sa besace pour mesurer la longueur de l'entaille.

Humm, 2,5 cm...

Ensuite, il écarta un peu les chairs au moyen d'une pince pour inspecter la profondeur et la qualité de tranchant de la lame. Il fut stupéfait par sa découverte...

Gilded, vient voir.

Une fois son ami arrivé,

Pour faire une chose aussi nette, ce ne peut être une arme de pauvre ou de simple militaire. C'est une arme de très bonne qualité, la largeur me laisse entendre que c'est une dague. Trop longue pour un couteau. Et surtout, c'est une lame droite, non tordue, propre car il n'y a pas de débris dans la plaie. C'est... c'est une arme de riche. Un paysan ne peut s'en procurer et les mesures ne correspondent pas aux armes militaires!!!

Gilded répugnait à venir regarder son fils dans cet état. Le voir mort était déjà une torture, mais il s'approcha tout de même.
Son visage était un masque de guerre. Dur, froid, insensible, alors qu'un tourbillon d'émotion l'étreignait.
Il jeta un regard sans expression sur l'horrible blessure et releva les yeux sur Green.

- Un noble. De toute manière, personne d'autre n'aurait pu accéder à son bureau. Il faut me le trouver, Green. Personne n'aurait pu passer par la fenêtre... avec les gardes autour... Non, peu probable ! Ou alors...

Gilded serrait et desserrait le poing, ne poussant pas son idée jusqu'au bout. Il ne savait pas ce qui avait traversé son esprit mais durant un instant, un instant seulement, inspiration divine ou non, il avait eu le nom du coupable... Aussitôt oublié.
Il était, et resterait l'amnésique, toujours maudit, ne pouvant approcher la vérité lorsque la vie se chargeait de lui rappeler que tout être était mortel.
Il attrapa une coupe d'argent qui reposait sur la table et la jeta violemment contre le mur, avant de reprendre son attitude inhumainement calme.

Mgr Huon envoya un messager pour porter une lettre de condéléances à Gildedcrotch, lui assurant du partage de sa peine.

Lysiane, après avoir mis à jour une pile de dossiers, s'était rendue à l'accueil du Château de Dole, lorsqu'elle entendit un fracas dans la pièce où était exposée la dépouille du Franc Comte Pinss. Inquiète, elle s'approcha tout doucement et passa juste la tête à l'entrée de la pièce. Green penché sur le corps sans vie de Pinss et Gilded la mine sombre... et une coupe d'argent à terre. Peut-être pas le moment de déranger...

Le comte Loïc se trouvait ce jour là à Dole. Il s'était rendu à l'université, où il devait exercer ses fonctions de recteurs, puis s'était rendu à la cours de justice où son témoignage avait été demandé.
Cela fait, le viking pensa qu'il était temps de se rendre au chateau, où il donnerai un dernier au revoir au comte Pinss, le premier franc-comte assassiné.

Alors qu'il entra dans la salle où était exposé le corps du franc-comte, il vit Gildedcrotch et Greenwarrior en train de parler autour du corps du défunt.

Deux personnes qui me détestent, pensa t'il. C'est bien ma veine.
Il hésita entre partir pour revenir plus tard ou rester un peu, en pensant que les deux hommes finiront par s'éloigner. C'est alors qu'il vit Gilded briser une coupe contre un mur.

L'affaire n'a pas été éllucidée on dirait, lacha t'il presque malgré lui.

La jeune Davina qui au cours de la mandature, avait appris à avoir une certaine affection pour le comte Pinss,... avait à l'entente de la rumeur concernant des évenements survenu sur celui-ci, pris l'un des premiers cheval disponible à Lausane, sans même avoir pris la peine de verifier l'arnachement de celui-ci.

La damoiselle, pressa le cheval pressa le cheval au maximum de ses capacité, afin de ralier au plus vite Dole, prenant des chemin plus crout, mais aussi moint utilisé,.. car plus tortueux,...

Néanmoins, devant ressantir la nervosité et le stress de la personne le chevauchant, le cheval,.. et commis un impair,.. lors d'une étroissesse du chemin, dans les montagne Helvête, il glissa dans une ravine, laissant choir la cavalière lui brisant par le meme coup deux trois cotes et une jambe.

un élveur en alpage non loin de là, ayant par chance ou entendre l'éboulement, et appercevoir apres coup un cheval s'enfuir quelques temps apres à travers ses vaches re trouva la demoiselle visiblement, choquée.

Il reussi tant bien que mal à la remettre sur pied. Néanmoins l'isolation, l'impossibilité de laisser sont alpage, et n'avoir de pigeon, ne purent lui permettre de faire savoir quant à ce qu'il faisait pour la demoiselle.

Davina enfin retablie,.. retourna à pied à la vile là plus proche,.. ou elle cru comprendre que lés rumeurs étaient avérée,...
aussi un petite estimation du temps ecoulé, elle jugea qu'il été preférable d'ecrire une missive à l'attention de dole, et de n'écrire plus qu'en simple franc comtoise, n'étant plus vice Chanceliere.

Elle fit chercher plumes, parchemin, et un pigeon connaissant le chemin vers dole.

Spoiler:

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