[archives] Bureau du Sergent Xaven

Occorax entendit le « entrez » du sergent Xaven, il manquait une petite touche de son grave et un peu aigu et c’était parfait, mais bon l’ex lieutenant exagérait tout le temps sur les détails qui ne servaient à rien.
Il rentra le sourire jusqu’aux oreilles et au garde a vous.

-Sergent

-Soldat 3° classe, Sapeur Artilleur Occorax au rapport

-Mon sergent ! Je viens vous remettre mon rapport je l’ai pas écris ou autre, mais par contre je vais vous le citez.

Occorax qui avais ces bottes remplis de boue et son uniformes mouillé, salissait tout le sol il espérait que le sergent ne vit rien mais bon, il se concentra sur son rapport, il se racla la gorge puis il commença.

Je commence la partie armée, mon sergent, alors depuis mon arrivé je suis content de pouvoir enfin circulé dans les bureaux de la garnison, et de pouvoir m’entrainez un peu. Le lieutenant Crro mon successeur au poste de lieutenant remplie la tache magnifiquement bien, il ma mis avec un sergent formidable un bon élément de la garnison qui est vous mon sergent , mais j’arrête la flatterie , maintenant l’essentielle , a l’entrainement chez les Artilleur je me plait beaucoup , l’effectif est moindre et pas beaucoup d’Artilleur sont présent , mon instructeur et avec qui j’ai pas eu l’occasion encore de m’entrainez est a l’infirmerie , pendant se temps ses Olivier l’adjoint instructeur qui nous entraine , un bon instructeur nous somme en train de faire monté un mur , et de mettre a bien le terrain d’entrainement , qui ressemble sérieusement a un champ de bataille , actuellement vous avez vu l’orage la dehors , mon instructeur a préférer que je quitte le terrain pour pas tombé malade un bon geste de sa part et que j’apprécie.

La partie civil, se passe très bien j’ai retrouvé les bières comtoises sauf qu’il manque ma femme avec moi, je m’occupe de mon fils qui réclame sa mère, je lui ai expliqué que elle c’était battu héroïquement et tout et tout mais il ne comprenait pas, en tout cas elle me manque beaucoup, sinon j’ai retrouvé des vieux amis, la famille et sinon … Ha oui ! Je me présente à l’élection municipale et en parlant de ça je vous conseille fortement de votez pour mo…. Ressaisit toi, pas de politique a l’armée Occorax ! pensa t’il, celui qui vous parait le mieux , voila j’ai fait le tour mon sergent.

Occorax se remit au garde à vous et attendit le verdict de son sergent.

Xaven vit Occorax entrer et le sergent se prit de nouveau au piège. Il se leva d'un bond pour le
saluer. Mais il se reprit aussitôt et se rassit sur sa chaise. Il écouta ensuite le soldat qui se perdit
dans ses éloges envers Crro et son sergent. Il les trouva bien superflues, mais soit, c'était là peut-
être la manière d'Occorax de détendre l'atmosphère. Xaven fixa les bottes couvertes de boues
d'Occorax, qui dégoulinaient sur le plancher, et lui répondit sans en détourner son regard.

Oui, soldat Occorax. Le problème est le même sur tout les terrains d'entraînement. Il y a trop
de soldats qui brillent par leur non-présence. Mais bon, nous ici à la garnison, nous ne pouvons
que faire des rappels et des sanctions envers les fautifs. La solution à cela est du ressort de l'EM
et des officiers et sous-officiers des terrains d'entraînement. Mais je suis content d'apprendre
qu'un militaire avec votre expérience ne se lasse pas d'y aller et d'y prendre plaisir.

Et je suis sincèrement désolé pour votre femme. Elle est à l'infirmerie centrale et à ce que j'ai
entendu, elle va déjà mieux. Mais vous savez cela sûrement bien mieux que moi. Je suppose que
vous lui avez rendu visite déjà.

Lorsque le soldat lui parlait des élections, le sergent ne put s'empêcher de regarder Occorax d'un
air abasourdi. Il ne pouvait s'imaginer son ex-lieutenant faire de la politique. Ses oreilles virèrent
au rouge et il lui répondit en bégaillant.

Heu... oui bien sur les élections... eh... c'est à dire, enfin... nous en parlerons en taverne si vous
voulez bien. La po... politique et m... moi, vous savez...

Un peu pressé de terminer cette discussion, Xaven se leva et fit le salut militaire.

Je vous re... remercie de votre visite, mon Lieute... soldat Occorax. Le rapport est parfait, à la
semaine prochaine.

Il fit le tour du bureau et ouvrit la porte pour laisser passer l'éventuel futur maire de Pontarlier.

L'aspirant Rabatcho arriva au bureau du sergent.

Il frappa et entra :

Bonjour sergent! soldat!

Euh sergent je veux vous voir dans mon bureau d'ici la fin de la semaine! je vous expliquerai ca la bas!!

Messieux bonne journée!

L'aspirant fit demi tour et repartit dans le couloir.

Xaven arriva à son bureau et vit Pegasine devant la porte. Il la salua et fit tourner la clé dans
la serrure.

Bonjour, Barbière-Chirurgienne Pégasine. Je suis en retard, veuillez m'en excuser. Prenez
donc place, je vous écoute.

Il avança une chaise près du bureau en invitant la future maman à s'y installer. Il fit ensuite le
tour du bureau et se laissa tomber sur sa chaise.

Pégasine vit arriver Xaven et le saluat comme il se doit.

Bonjour Sergent. Je comprend parfaitement que vous ayez autre chose à faire que rester dans votre bureau Sergent, ne vous en excusez pas.

La barbière-chirurgienne entra dans le bureau à la suite du sergent et remerciat ce dernier d'u signe de tête pour la chaise galament avancée.

Sergent je suis venue vous donner mon rapport.

Fouillant dans sa besace, Pégasine en sortit un parchemin qu'elle tendit à Xaven.

Citation :

Rapport du 12 mai 1456 de la Barbière-chirurgienne Pégasine au Sergent Xaven.



Armée



J'ai rasé l'aspirant-Lieutenant Rabatcho, le soldat Hartasn et vous même.




Je surveille l'infirmerie centrale, avec le médecin-chef Alambyk..




J'ai fait changer mon uniforme auprès de la couturière Maelyn*



Hors armée



Je cultive mon champs de maïs,



Je pêche pour augmenter mon intelligence en mangeant les poissons,



Je suis toujours tavernière du « Royaume des Deux Elfes ».



Je me suis marié avec le soldat chercheur HartasN.

Pégasine attendit les commentaires de son sergent, droite sur sa chaise.

Le sergent lut le rapport de Pegasine. Il sourit en terminant de lire la dernière phrase.

Je vous souhaite tout le bonheur du monde, à vous et à votre mari. D'ailleur je tiens à vous
féliciter également pour votre jolie demeure. Je suis sûr que vous y passerez de longs et
heureux moments.

Il plia le papier et le posa devant lui sur la table. Ensuite il s'adossa dans sa chaise, fixa Pegasine
du regard et lui dit en souriant.

L'intelligence est une caractéristique qui manque à beaucoup de soldats, malheureusement...
Mais je vous rappelle que chaque soldat est tenu de faire un effort pour augmenter sa forme
physique. Bien que vous n'êtes pas dans un corps d'arme, vous êtes soldat. Vous participez
aux missions et il se peut que vous soyez amenée à partir en guerre. D'ailleur vous en revenez.
J'espère que vous ne mangez pas uniquement du poisson.

Il fit une grimace en prononçant le nom de cette denrée dont il avait horreur.

Il y a sûrement beaucoup à faire encore à l'infirmerie centrale. Comment vont les blessés?

Xaven fut content d'apprendre que la plupart des blessés allaient mieux. Il se leva et dit à Pegasine.

Bien, Barbière-Chirurgienne Pegasine. Je suis tout à fait satisfait par votre rapport et votre
travail. Et vous avez raison, une alimentation variée est sûrement le meilleur moyen de rester
en forme et en bonne santé, et de plus ne peut être que bénéfique pour les enfants qui vont
naître. Continuez comme ça.

Il s'approcha de la porte et l'ouvrit.

On se revoit la semaine proch... heu... cette semaine en fait. Au revoir, Barbière-Chirurgienne
Pegasine .

Pégasine se leva et salua comme il se doit.

Au revoir Sergent. A samedi pour mon rapport.

La barbière-chirurgienne sortit du bureau pour retourner vers ses quartiers.

Au moment où Xaven vit entrer Occorax, il eut le réflexe de se lever pour saluer son supérieur...
mais il se reprit rapidement et se rassit aussitôt, ce qui donna l'impression qu'il faisait un petit bond
sur sa chaise. Mais pour rester poli, il se leva tout de même et répondit au salut du soldat.

Bonjour, soldat Occorax . Vous pouvez vous reposer... heu... repos, soldat. Prenez donc
une chaise.

Il se rassit et écouta ce qu'Occorax lui racontait, non sans grimacer parfois en pensant à un certain
soir au soldat assoiffé. Il se rappelait vaguement avoir beaucoup parler et peut-être fait des choses
qui pouvait donner une mauvaise impression. Il se posa la question s'il devait s'excuser pour son
comportement en état d'ébriété, mais décida finalement de ne pas le faire, puisqu'il n'avait plus aucun
souvenir précis de ce qu'il avait dit.

Les élections? Heu oui... je suis sincèrement désolé... heu, oui vraiment. Vous auriez fait un
excellent maire... Hrrm... Peut-être la prochaine fois? Et votre femme... elle est toujours en
convalescence à Genève? J'espère qu'elle se remettra entièrement de ses blessures et qu'elle
était en bonne compagnie pour fêter son anniversaire. Dommage tout ça, mais je suis sûr qu'on
reprendra ça en ta... taverne... autour d'une... bonne... bière.

Il avait les oreilles qui rougissaient et fut plus que soulagé en entendant quelqu'un frapper à la porte.
Il s'empressa d'inviter cette personne à entrer et se leva pour aller ouvrir la porte, tout en observant
Occorax du coin de l'oeil.

Entrez, s'il vous plaît.

Occorax souris en entendant son sergent et de le voir stressé, il se demandait encore pourquoi mais bon il ne chercha pas trop à comprendre.

-Mon Sergent se n’est pas bien grave, le peuple choisie son maire et a pensé que se n’était pas encore l’heure pour moi tout simplement et si il y a une prochaine, sa je ne peux pas vous dire on verra ce que le destin me donne, et pour ma femme … elle me manque jour un peu plus et j’espère juste que les helvètes traite bien ma femme …
En taverne avec plaisir mon sergent, mais pas trop boire mon sergent pas comme a la taverne des assoiffés

Occorax fit son salut militaire

-Voila mon Sergent, à la semaine prochaine.

Occorax tourna des talons et laissa place à Elanor en la saluant de la tête.

Elanor vit la porte s'ouvrir et le... Soldat Occorax en sortir. Elle le salua d'un sourire, avant d'entrer sur l'invitation du Sergent Xaven.

Bonjour Sergent, fit la Lieutenante Intendante accompagné d'un signe de tête.

Me voila avec quelque peu de retard, vous souhaitiez me voir ? J'ai cru comprendre qu'un départ était pour bientot ?

La jeune femme esquissa un sourire, elle aimait décidément les missions. Elle avait passé plus d'un an cloitrée dans les murs du chateau, ne partant plus en mission depuis bien longtemps, se devant d'assurer ses devoirs d'Intendante. La Croisade lui avait fait le plus grand bien, une nouvelle mission était tout aussi bien accueillie, surtout si il était question de se battre. Elanor finissait par rouiller derrière son bureau et ses dossiers !

Elle regarda le Sergent avec un petit sourire.

Xaven fut embarrassé quand Occorax lui dit de ne pas trop boire. Il en oublia presque de lui rendre
son salut quand il sortit de la pièce. Elanor entra et le sergent salua l'intendante.

Mes respects . Je suis heureux de vous voir enfin de retour, Lieutenant-Intendant Elanor.
Je vous en prie, prenez place.

Il lui indiqua une chaise près du bureau, ferma la porte et fit le tour de la table pour aller s'asseoir.

Heu... non en fait, je n'ai encore aucun ordre pour une mission quelconque. Veuillez m'excuser
si je me suis mal exprimé dans mon courrier. Je voulais dire en fait que maintenant que notre
groupe est complet, on est prêt à aller en mission. Comprenez que le Lieutenant Crro et son
Aspirant n'enverront pas de groupes incomplets. J'irai faire mon rapport au Lieutenant Rabatcho
une fois notre entrevue terminée. Il sera ravi de nous savoir opérationnel.

Vous m'aviez fait part que vous alliez entrer dans les réserviste, est-ce exact?

Elanor fit quelques pas et s'assit sur la chaise qu'on lui désignait. Elle l'écouta attentivement avant d'acquiescer.

Effectivement, je vais entrer dans les jours à venir chez les réservistes, il est temps que je prenne un peu de temps pour moi !

La jeune femme sourit, il est vrai que de voir toutes les femmes autour d'elle fonder une famille la rendait un peu jalouse. Elle n'avait plus beaucoup de temps pour l'homme qu'elle aimait, cela allait enfin changer.

J'en conclu que je peux même aller m'occuper de mon moulin ?

Xaven se tourna vivement vers la porte, quand des coups s'y firent entendre et l'ouvra aussitôt.
C'était Pegasine qui était sûrement là pour son rapport. Il fit un sourire et laissa la place pour
qu'elle puisse entrer. Elle arrivait juste à temps, car le sergent voulait quitter son bureau juste
après le départ d'Elanor. Ce serait une chose de faite.

Ho, bonjour barbière-chirurgienne Pegasine . Je vous en prie, entrez. Je vous écoute.

Il laissa la porte ouverte et resta debout, les mains croisées derrière le dos en attendant le
rapport de la soldate.

Bonjour Sergent. Je suis venue vous donner mon rapport.

Pégasine sortit, comme à son habitude, son rapport de sa besace et le tendit au Sergent Xaven.

Citation :

Rapport de la barbière-chirurgienne Pégasine au Sergent Xaven



le 17 mai 1456




A l'armée.




Aucun soldat n'est venu se faire raser cette semaine.

L 'activité est, pour ma part, calme à l'infirmerie centrale.




Hors armée.




Je cultive mon champs,

Je suis tavernière,

Je pêche,

Je mange de la viande




Mes caractéristiques :



Intelligence : 36

Force : 70

Charisme : 3





Je me doit aussi de vous prévenir que je vais m'absenter du 26 au 30 mai prochain pour raison HRP.

Je serait en retraite spirituelle durant cette période.

Je vous le rappellerais la semaine prochaine et j'irais prévenir dans les bureaux adéquat.

La barbière-chirurgienne attendit bien droite que son Sergent ai finit de lire son rapport.

Le sergent prit le rapport que Pegasine avait rédigé et le lu. Ensuite il plia le papier et le posa
sur son bureau, sortit une feuille d'un tiroir du bureau, sur laquelle il avait déjà gribouillé un tas
d'informations, et y nota quelque chose, penché au dessus de la table. Ensuite il se redressa et
dit en souriant.

L'activité vous manque? On va en avoir de l'activité, barbière-chirurgienne Pegasine. Demain
nous partons en mission. J'ai déjà envoyé les pigeons avec les ordres pour demain. Vous
devriez le recevoir bientot. N'oubliez pas vos armes et emportez assez de nourriture pour une
semaine.

Et pour la retraite spirituelle, c'est noté. Nous serons de retour avant votre pause. N'oubliez
pas d'en faire part dans le bureau des absences de notre garnison et dans celui de l'intendance.

Il déposa les papiers dans son tiroirs, rangea le calame et le pot d'encre sur l'étagère et se dirigea
vers la porte.

Bien! Faut préparer le départ. J'ai encore pas mal de chose à faire avant. Si vous n'avez plus de
questions, vous pouvez disposer.

Pégasine écouta le Sergent et opina à la mention de la mission. Le pigeon avait déjà déposé la missive et lle était au courant.

Je n'ai plus de question Sergent. Au revoir.

Saluant comme il se doit, la barbière-chirurgienne sortit du bureau et alla préparer sa mission.

Xaven, la tête toute amochée suite à son entraînement et ensuite réparée et recousue par le
médecin-chef et la chirurgienne, était assis derrière son bureau et tentait de s'y retrouver en
lorgnant vers les dossiers, derrière ses bandages, quand on frappa à sa porte. Il invita la per-
sonne à entrer en ne criant pas trop fort, pour ne pas risquer de défaire les points de suture
de son visage.

Entrez!

Il vit le soldat Occorax entrer et saluer. Xaven était de très mauvaise humeur après son passage
à l'infirmerie centrale, il était las de ne pouvoir parler, respirer, manger, ni boire correctement
avec son nez cassé, aussi voulu-t-il faire en sorte que cette entrevue soit le plus bref possible.
Le sergent rendit son salut et se mit immédiatement à articuler quelques syllabes du mieux qu'il
put.

Soldat Occorax, 'ouvez vous h'ex'liquer 'ourquoi vous avez fait 'ande à 'art 'our le chehin de
retour. Vous êtes vous égaré? On ne harchait 'as assez vite et vous en avez 'rofité que vous
aviez un cheval pour nous devancer? Que c'est-il 'assé? Ex'liquez hoi. 'ourquoi n'étiez vous
'lus au'rès du groupe à notre retour?

Une force divine... hein?

Xaven se leva, il était d'une telle humeur qu'il en oublia complètement qui se trouvait devant
lui. Si d'habitude la présence d'Occorax le rendait nerveux et peureux, cette fois-ci il n'y en
avait pas la moindre trace, bien au contraire. Il fit quelques pas en tournant en rond et réflé-
chissait.

Soldat Occorax, je sais que vous êtes un très 'on soldat. Vous connaissez les règles et les
enjeux d'une hission sur le 'out des doigts. Donc je veux bien vous croire quand vous he
dites que vous avez été éloigné du grouffe contre votre volonté. Mais, à titre d'exem'le, je
ne 'eux laisser 'asser, hêne si vous n'y êtes a'solument 'our rien.

Il s'approcha d'Occorax, qui fit une mou en se reculant un peu, sûrement à cause de l'apparence
du sergent, et lui dit en murmurant.

Cela laisserai la 'orte oufferte à des 'rofiteurs et autres offortunistes 'our venir 'rofiter d'une trop large gentillesse de
ma 'art. Vous com'renez?

Il lui tourna le dos et s'avança de quelques pas vers la fenêtre, les mains croisées derrière le dos.
Il continua d'un ton bien plus calme, tout en faisant glisser son regard sur le panorama minable,
l'arrière d'une baraque, qui se présentait depuis la fenêtre minuscule de son bureau tout en bas
de la tour.

Vous aihez les chevaux? Vous étiez dans la cavalerie, il me sem'le. Vous irez aider la nouvelle
'alefrenière à hettre de l'ordre aux écuries.

Il prit un formulaire du haut d'une pile, souffla dessus pour enlever la poussière et s'installa à son
bureau pour y griffonner quelques mots.

Citation :

- FORMULAIRE DE PUNITION -

Nom : Occorax
Grade : Soldat
Corps de métier : Sapeur-Artilleur
Garnison : Pontarlier

Motifs : Ordre non exécuté correctement (avec doute pour cause d'une intervention d'une main divine IG)
Punition : de corvée à l'écurie
Durée : un jour

Officier:
Sous-Officier demandeur : Sergent Xaven

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Appréciation du geôlier

*Note de 1 à 10 pour comportement et assiduité

Entrée le :
Comportement :
Assiduité :
Sortie le :

Il se retourna et regarda Occorax. Il se rendit compte qu'il ne parlait pas de façon très compré-
hensible. Il fit un gros efforts pour articuler correctement et dit.

Heu... vous avez compris ce que j'ai dit? Désolé, les bandages et tout ça, ça gène un peu.

Puis il reprit en parlant à nouveau moins bien.

'on, si vous n'avez 'as de questions, vous 'ouvez dis'oser, soldat. 'résentez vous au'rès du
haître-geôlier dès que j'y aurais dé'oser ce 'afier. 'onne journée, soldat Occorax.

Occorax regardait le sergent, et regardais si c’était bien lui il stressait plus et transpirait moins, il était content qu’il avait pu de problème avec sa femme, enfin si ses sa femme qui le rendais comme ça ou si c’était le coup sur le nez, il écouta tout en acquiesçant de la tête, il ne compris pas la moitié de ce qu'il disais mais savais qu’il devait être sanctionné.

-Je comprends Sergent, et j’accepte la punition que vous voudrez.

Il vit son sergent tourné en rond sur le bureau, allais t’il enlever la sanction ? On ne savait guère ce qu’il pensait mais d’un coup il sortie une fiche et demandais si il aimait les chevaux, il approuva de la tête, il comprit ensuite que c’était pour effectuez sa punition la bas.

-Oui mon Sergent, j’ai compris.

Il salua son sergent , pris le formulaire et le mit dans sa poche d’uniforme et tourna les talons et avant qu’il sorte du bureau

-Au revoir, mon sergent, dit il avec un sourire.

Puis il sortie enfin, il ferma bien la porte et se dirigea vers ces occupations.

Le sergent Xaven, assis derrière son bureau, entendit frapper une fois à la porte. Il sut
alors exactement qui c'était, car il ne connaissait personne d'autre qui frappait un seul
coup. Il soupira, finissait rapidement son verre avant de l'enfouire au fond de son tiroir
et appela le soldat à entrer.

Veuillez entrez, soldat Occorax.

Ayant reçut l'autorisation, Pégasine entra dans le bureau et salua

Bonjour Sergent.
Je suis venue vous dire que je suis revenue de retraite.
Ayant été absente toute cette semaine, je n'ai malheureusement rien à vous apprendre que vousne savez déjà, puisque vous êtes la seule personne quej'ai vue à l'infirmerie centrale.

La barbière-chirurgienne attendit, le plus droit possible, de savoir si le sergent Xaven avait des questions. Elle ne pu s'empêcher de jeterun coup d'oeil professionnel au visage de son supérieur.

Le sergent rendit le salut de la Barbière-Chirurgienne et l'invita à prendre place. Il écouta le
rapport de Pegasine et ne put s'empêcher de sourire. C'était court, très court même. Elle a
du s'ennuyer à mourir pendant sa retraite.

Bien, bien. Effectivement si c'est la dernière chose que vous avez faites avant de prendre
congé... Mais dites-moi, la nourriture était bonne chez les curetons? On y est bien logé?

Son regard s'attarda sur le ventre de la soldate et le sergent fronça les sourcils.

Hm, votre grossesse est déjà bien avancée. Le travail à l'intendance ne devient pas trop
pesant avec des jumeaux?

Il vit que Pegasine le dévisageait. Un moment il trouvait ça étrange qu'elle le regarde comme
cela, jusqu'à ce que ses blessures lui revinrent à l'esprit. Il leva un peu le menton et se pencha
légèrement en avant au dessus de son bureau.

Hum, vous en dites quoi? Ça guérit comme il faut? J'ai bien appliqué le baume et pris ma
médication, comme Alambyk me l'a ordonné.

Pégasine écouta le sergent Xaven avec attention.

Bien, bien. Effectivement si c'est la dernière chose que vous avez faites avant de prendre
congé... Mais dites-moi, la nourriture était bonne chez les curetons? On y est bien logé?


Oui Sergent, la nourriture y est bonne. Mais je les soupçonne d'avoir bien chouchouter la futur mère que je suis
Les soins de votre blessures sont en effets les dernières choses que j'ai effectué avant mon départ en retraite Sergent.

Hm, votre grossesse est déjà bien avancée. Le travail à l'intendance ne devient pas trop
pesant avec des jumeaux?

Non Sergent, j'arrive encore à travailler sans problème, même si c'est vrai les naissances approchent à grand pas. Je 'ai pas beaucoup de travail en ce moment en plus, je peux donc me reposer et être en forme quand je travaille.

Voyant que le Sergent Xaven la regardit bizarrement, elle baissa le regard, s'attndant à se faire sermonner pour fixer un supérieur de cette façon, mais...

Hum, vous en dites quoi? Ça guérit comme il faut? J'ai bien appliqué le baume et pris ma
médication, comme Alambyk me l'a ordonné.


Redirigeant son regard sur les cicatrices, la barbière-chirurgienne répondit de façon professionnelle.

Vous cicatriser bien Sergent, surtout n'arêtez pas le traitement sans l'autorisation de la médecin-chef, même si cela peut vous sembler une contrainte.

Attendant de savoir si le Sergent Xaven avait d'autres questions, Pégasine resta bien droite devant le bureau.

Ayant reçut l'autorisation, Pégasine entra dans le bureu et salua

Bonjour Sergent.

Je suis venue vous remettre mon rapport.

Fouillant dans sa besace, elle en ressortit un parchemin qu'elle tendit au Sergent Xaven.

Citation :

Rapport de la barbière-chirurgienne au Sergent Xaven.




Rapport du 8 juin 1456




A l'armée.




Cette semaine, rien de particulier à signaler.

Aucun soldat ne semble avoir besoin de se faire raser.

L'infirmerie centrale est calme aussi.

J'ai reçut la médaille de la médecine, un honneur que je ne réalise pas encore.




Hors armée




Je cultive mon champs de maïs

Je suis toujours derrière mon comptoir

Je bois quelques bières avec mes amis

La barbière-chiurgiene attendit les réactions de son Sergent.

Pégasine écouta religieusement son sergent.

Meci de vous inquiété pour moi Sergent, mais je e peut pas obliger les soldats à venir se faire raser... Et si on leur fait une remarque, ils déboulent tousen même temps et j'ai l'impression de faire du travail à la chaine,chose que je n'aime vraiment pas.
J'utilise mon temps libre pour un projet avec le médecin-chef, mais tant que rien n'est encore concrèt, je préfère m'abstenir de vous en parler dans mes rapports.
Pour la bière, je n'en bois pas tant que cela, juste de quoi garder ma boulasse entre deux missions... On m'a déjà interdit les carottes depuis dès mois, ne me suprimez pas tout quand même...
Et euh...Merci pour la décoraion, je ne réalise pas encore... Peut-être quand je la porterais...et encore...

Attendant de savoir si le Sergent Xaven avait d'autres questions, Pégasine resta à sa place, prête quand même à vider les lieux à la première demande.