[archives] Bureau du Sergent Xaven

Xaven regarda Maelyn, ravi de la voir sourir un peu. Il leva son verre pour le porter à ses lèvres,
mais au moment de l'incliner pour faire glisser le brulot le long de son gosier, des coups à la porte
le firent sursauter.

Nom d'Aristote! Mais qu'est ce que...

Il se leva, l'alcool dégoulinant encore sur son uniforme, chercha rapidement son mouchoir dans sa
poche pour essuyer ses vêtements avant d'ouvrir, mais ne le trouva pas. Tant pis, il alla donc ouvrir
comme ça. Devant lui se tenait HartasN. Le sergent en fut soulagé, car il empestait l'alcool, et ça
n'aurait surement pas plus à ses supérieurs.

Vous revoilà, soldat HartasN. Vous avez été rapide. Entrez donc.

Nomilo se présenta au bureau du sgt Xaven pour son rapport de semaine elle cogna à la porte et attendit que celui-ci lui dise de rentrer

Xaven avait assisté au gros des travaux de HartasN, ne faisant qu'une petite pause pour aller dormir
un peu. Il aida là où il pouvait, entre deux dossiers à compléter. Il reservit régulièrement dans leur
verre, l'athmosphère était bien détendue, bien que HartasN ne faisait pratiquement rien d'autre que
trimer à son ouvrage. Ce soldat savait s'acharner sur son travail, ignorant toute fatigue.

Pendant l'après-midi du jour suivant, le chercheur s'arrèta et prit congé, après que Xaven lui avait
offert un dernier remontant. Le sergent rangea ensuite la bouteille et les verres et voulu quitter lui
aussi son bureau pour aller se reposer un peu, quand on frappa à la porte. Il alla ouvrir et vit Nomilo
qu'il invita aussitot à entrer.

Bonjour soldat Nomilo. Entrez et veuillez m'excuser pour l'état de mon bureau. Un petit chantier en
court, je vais enfin avoir un chauffage.

Il avait dit cette dernière phrase avec un petit sourir de satisfaction, son bureau étant toujours froid et
humide. Il invita la soldate à s'assoire et prit place également pour entendre le rapport.

En entrant dans le bureau Nomilo se dit que c'était vraiment une perte de temps ces rapports à faire à toutes les semaines
Bonjour sergent

A vrai dire je ne sais pas trop quoi vous dire...Tout va bien, l'entrainement la patrouille ,mes tomates...J 'ai aussi passé mon examen médical
Ha oui !!! J'ai eu une dispute avec un autre militaire ca a presque mal tourné mais finalement je pense que cela c'est bien terminé du moins je l'espère

hrp :comment ca fonctionne si je donne un coup de poing à un autre c'est force contre force??? et si c'est un militaire il y a sanction?? et en plus si il est plus gradé que moi j'ai le droit de le frapper quand même

Pour l'insant sergent tout va bien avec cette personne donc il n'y a pas a s'inquiéter je peux seulement vous dire que c'était un militaire et que si pareil incidents se reproduit je viendrai alors vous en informer immédiatement


[color=olive]Le tout s'est fait en rp donc ce n'était pas nous en tant que joueurs mais nos persos qui avaient des opinions différentes sur un sujet et qui en sont presque venus au poingts[/color]

Nomilo regarda le verre evec envie mais se ravisa

Merci bien sergent mais je dois aller m'entrainer et je ne pense pas que le sergent instructeur apprécierait que je sente l'alcool je pense alors que je devrais passer à votre bureau mais cette fois je ne pense pas que ce serait avec le sourire

Sur ce elle salua et partie en direction du champ de tir

Nomilo arriva au bureau du sgt Crro et ne vit personne elle décida d'attendre quelques minutes elle savait qu'il était tot le matin mais elle voulait faire son rapport avant de se présenter au terrain d'entrainement.

oups ...Sgt Xaven se reprit-elle

Le sergent Xaven revint de l'infirmerie et vit le soldat Nomilo qui attendait devant son bureau.
Il sortit ses clés et ouvrit la porte.

Bonjour, soldat. On se lève de bonne heure à ce que je vois.

Il adressa un sourir à la soldate et l'invita à entrer. Il la suivit, referma la porte derrière lui et
fit le tour de son bureau.

Alors, je vous écoute. Qu'avez-vous fait de beau cette semaine?

Il s'assit à son bureau et écouta Nomilo, tout en écrivant quelque chose sur un bout de papier.

Bonjour Sergent

Quoi de neuf???On pourrait dire que les semaines se suivent et se ressemblent.J'aimeras bien vous dire que quelque chose d'extraordinaire m'est arrivée cette semaine mais malheureusement il n'y arien d'autres que les entrainements ,mes tomates... la patrouille et payer mes impots
Ha oui je mange de la viande mais elle coute plus que ce que je gagne même en travaillant à la mine

À part ca pas grand chose ...je voudrais savoir sans être indiscrète pourquoi votre ou notre groupe a été dissout?

Xaven écouta la soldate. Elle avait l'air de gravement s'ennuyer. Le sergent termina d'écrire sur
son papier et regarda Nomilo en souriant.

Oui, il y a des semaines comme ça, soldate. Tout se ressemble et se répète. Mais même en faisant
toujours la même chose, il y a milles manières de les appréhender, tenter de se surpasser et d'en
faire quelque chose de spécial à chaque fois.

Le sergent s'adossa dans son siège toujours en fixant Nomilo.

La viande coute dans les 18 écus. Oui, c'est cher payé. Mais, sérieusement, avez vous déjà pensé à
aller pècher au lieu d'aller à la mine? Sans barque, il est possible d'avoir un poisson par jour, en
recherchant le meilleur endroit. Le poisson se revend presque au même prix que la viande, donc il
vous sera plus facile d'en consommer chaque jour. Sinon il y a les offres d'embauche à la mairie, dont
le salaire dépasse souvent les 18 écus.

Il regarda Nomilo et ajouta d'une voix basse et pensive.

Le groupe a été dissoud car je ne serai plus là... pendant un bon bout de temps... je partirai bientot.
Il faudra que vous vous adressiez au lieutenant dorénavant.

Nomilo regarda le sgt Xave avec un sourrire Oui c'est vrai en parlant de la pêche vous étiez pas supposer ...euh...efin ...peut -être
m'écrire qque chose la dessus?pour le journal?

Le sergent Xaven, encore tout hilare en pensant à son supérieur et à la corvée que l'aspirant
Maître d'Armes lui avait donnée, se leva et alla ouvrir la porte, quand quelqu'un frappa à celle-
ci. Il vit Maelyn, adossée à un mur du couloir. Il fit deux pas hors de son bureau et se planta
tout droit devant elle, les mains croisées derrière le dos, et essaya de faire la mine la plus
sérieuse qu'il put.

Soldat Maelyn! Vous êtes en retard pour votre rapport. Hum... alors... heu... bah, entrez.
T'façon j'en avait pas encore terminé avec la soldate Nomilo.

Il lui souria et l'invita d'un geste du bras à entrer dans la pièce. Il entra après la soldate, ferma
la porte et prit une chaise qu'il approcha du bureau, à coté de Nomilo.

Prenez place... Soldat Nomilo. Soldat Maelyn. Un petit verre?

Maelyn adressa un sourire à Nomilo.

Je vais tres bien même si j'ai tendance à dormir un peu partout...

Elle regarde ensuite Xaven.

Je suis au courant oui ... j'espère que tout se passera bien pour vous et que vous nous reviendrez vite.
Pour les rapports ... je n'ai plus de problème avec le lieutenant ... et puis ce qui s'est passé hors armée doit rester hors armée ... si cela ne lui pose pas de problème à lui, j'irais lui faire mes rapports.

En ce qui concerne mon rapport pour cette semaine, pas grand chose à dire.
Au niveau armée, je continue a faire des uniformes quasiment tout les jours... au moins je vois du monde...
J'ai recommencé à manger de la viande puisque j'ai reçu mon paquetage.

Hors armée, j'ai pu au bout de 4 essais, m'acheter un champ de blé ... mon moulin va enfin fonctionner pour la première fois ... enfin à mon retour de mission... je pars ce soir avec le soldat Erebe ... je ne sais pas qui d'autres nous accompagne... je verrais bien demain.

Je suis contente, c'est ma deuxième mission, la précédente date de novembre.

Ah oui, j'oubliais ... mon voyage est annulé ... je sais pas s'il est juste reporté ou complètement oublié.

Après avoir autant parlé, ce qui n'était pas vraiment son habitude, elle prit le verre que lui avait servi Xaven et le bu cul sec.

Xaven écouta Maelyn, tout en se reservant un verre. Il regarda un moment Nomilo qui n'avait pas l'air
de vouloir se désaltérer et leva la bouteille en sa direction avant de la reposer sur la table, pour l'inviter
à ne point se géner et de se servir si elle en avait envie. Il fut soulagé d'entendre Maelyn annoncer que
ça ne lui posait pas de problème d'aller parler à Crro. Elle semblait avoir définitivement tourné la page.
Le sergent espérait que, du coté du lieutenant, c'était également le cas. Il continua à l'écouter tout en
fixant le liquide incolore dans son verre et fronça les sourcils en entendant qu'elle allait partir en mission.
Il leva les yeux et regarda Maelyn en lui adressant la parole.

Ca me fait plaisir de vous revoir en meilleur disposition que la dernière fois. La situation n'était
guère facile, pour vous surtout, mais aussi pour... d'autres... à vous voir si malheureuse... .

Le sergent jetta un coup d'oeil vers Nomilo, avant de se redresser un peu plus droit dans sa chaise, de
prendre son verre et de le vider d'un trait. Il le reposa sur la table bruyamment et reprit.

Bien! Les missions c'est toujours bon pour les points de solde, pour voir un peu de nature... des
zelvètes à détrouss... heu à contrôler, raconter des histoires autour d'un bon feu de camp, faire
connaissance avec des soldats qu'on connait moins bien...

Le sergent marqua une pause. Un soupçon d'inquiétude se lisait dans ses yeux.

Faites bien attention à vous soldat Maelyn. On ne sait jamais avec ces fout... les helvètes.

Xaven se leva et dit en levant la voix d'un cran.

Bien, soldat Nomilo! Soldat-couturière Maelyn! Je m'excuse, car j'ai malheureusement encore des
choses à terminer avant de... . Merci pour votre agréable compagnie. J'espère qu'on se reverra...
très bientot.

Il fit le tour du bureau, leur ouvrit la porte et adressa à l'une comme à l'autre un sourir, tentant de ne pas
faire paraître son incertitude.

Nomilo se leva d'un bond en entendant le sgt Xaven parller de son départ

Oui c'est vrai j'avais entendu des rumeurs à cet effet mais c'est quoi le problème avec cette armée qui joue au Sdt musical ca fait à peine 1 mois que j'y suis et j'ai déja été affecté à 2 sgts différents on est supposé en avoir combien en 1 an C 'est un concours , un nouveau sport ou quoi ?Il n'y a pas grande stabilité ...Je sais que nous sommes en guerre et qu 'il n'y a pas grand monde qui désirent vraiment partir Et si c'est votre cas on pourrait avec quelques sdts se mobiliser pour aller demander au lt Crro que vous restiez ici pour s'occuper je ne sais pas moi...on peut certainement trouver quelque chose et si une subite mala...

Nomilo regarda le sergent Xaven qui venait de déposer son verre et qui avait subitement perdu son sourire et Maelyn de son coté semblait vouloir être n'importe où mais ailleur

Oups Nomilo se rendit soudain compte qu'elle venait encore une fois de parler trop vite et qu'elle n'avait pas réfléchit à ce qu'elle disait mais surtout à qui elle s'adressait .Elle avait promis pourtant il y a quelques jours à peine au Sgt Alambyk de penser un peu plus avant de parler et que toute bonne ou mauvaise chose n'était pas nécessaire bonne à dire ,mais les vieilles habitudes reviennent toujours rapidement Pourtant Nomilo trouvait facile et même agréable de n'avoir qu'a exécuter les ordres Elle qui n'avait jamais connue aucune forme d'autoritée Et si on lui demandait de partir demain matin elle dirait oui sans poser de question Mais dès qu'elle se sentait en colère frustré ou qu'elle n'était pas d'accord avec un sujet elle ne s'était jamais gènée pour répondre promptement et dire haut et fort ce qu'elle pensait vraiment que cela plaise ou non à l'autre qui qu'il soit . Cette facon d'être lui avait servit parfois mais...

Et si je réfléchissais avant de parler c'est bien ca sergent ? dit-elle en baissant les yeux au sol espérant y trouver un fissure assez grande pour qu'elle puisse s'y engoufrer


hrp je n'ai pas accès à la cantine c'est normal?

Xaven fut d'abord surpris en voyant Nomilo bondir de sa chaise. Il souria par la suite en entendant la
soldate s'offusquer de la sorte à propos de l'organisation de la garnison et l'appel à la guerre. Elle en
avait du caractère, et le sergent fut presque déçu qu'elle s'arrèta net avant d'avoir dit tout ce qui lui
pesait. Les traits de son visage se firent à nouveau plus graves.

Vous avez raison, soldat Nomilo. Les groupes au sein de la garnison ont beaucoup changés ces
derniers temps... D'abord avec le départ du Lieutenant Occorax, qui a ammené beaucoup de chan-
gement et maintenant avec cette guerre imminente. Mais croyez moi, le Lieutenant Crro a fait tout
son possible pour tenter de stabiliser cela, et si la paix avait duré un peu plus longtemps, il y serait
arrivé.

Il releva les yeux et fixa Nomilo.

Mais vous vous trompez sur une chose. Je n'y vais pas parce que j'y ai été contraint. J'y vais parce
qu'on me l'a demandé et que j'ai accepté. J'estime que c'est mon devoir... le devoir de tout soldats,
de défendre les intérets de l'Empire, et par la même de la Franche Comté. Et mes compagnons
d'armes sont tous des volontaires, prêt à servir leur pays. Et bien que beaucoup devront laisser
maison, famille et amis derrière eux, leur choix est fait et ne prète à aucune discussion.

Il vit Nomilo baisser les yeux et il lui dit en baissant sa voix, qu'il avait peut être un peu trop haussée.

Relevez la tête, soldat! Ce n'est pas ce que j'appelle parler sans réfléchir. Je dirais plutot que vous
parlez avec le coeur. N'y changez rien.

Xaven salua les deux soldates qui quittaient son bureau, et retint brusquement Nomilo par le bras.

Désolé, j'allais oublier de vous dire. Pour l'accès au différentes sections dont la cantine, il faut en
parler au Capitaine, c'est lui qui a les clés de la partie militaire du château.

Un papier était cloué sur la porte du bureau, à hauteur des yeux.

Citation :

Absent

Xaven arriva enfin à son bureau. Il fut surpris de voir déjà quelqu'un attendre devant la porte
et en voyant qui s'était il fit un large sourire.

Sara! Comment ça va? Hrm, pardon... Sergente Saramarinettee! Comment allez vous? Vous
ne faites pas partie de mon groupe, mais je vous en prie, entrez donc.

Il tourna la clé dans la serrure et ouvrit la porte. Au passage il arracha le papier qu'il avait laissé
pendant son absence et se mit de coté pour laisser entrer Sara.

A peine avait-il fermé la porte que quelqu'un y frappait à nouveau.

C'est gentil Sara. Oui je vois très bien de qui tu veux parler. Je lui ai déjà rendu visite dans son
bureau d'ailleur. J'avais hâte de la revoir.

Sara ouvrit la porte et Xaven fit signe à Pegasine et Occorax d'entrer.

Au revoir Sara! Et merci de la petite visite. On se retrouvera en taverne, comptes sur moi.

Une fois les deux soldats entrés et la porte fermée, Xaven leur indiqua deux chaises et alla s'asseoir
de son coté du bureau. Il était un peu tendu. La présence d'Occorax, bien que les rapports étaient
inversés maintenant, le rendait toujours aussi nerveux.

Bonjour soldats Pegasine et Oc... corax. Prenez place. Je ne vais pas vous répéter ce qu'il faut faire
en tant que soldats. Vous êtes tout les deux des habitués. Je vais me contenter de vous indiquer
seulement que les sanctions pour manquements seront appliquées avec plus de rigueur, ordre d'en
haut. Mais je suis sûr que je n'aurais jamais besoin de recourir à ces méthodes avec vous.

Les rapports sont à faire au moins une fois par semaine, peu importe quand. Vous pouvez venir ici
quand bon vous semble et ce même plusieurs fois par semaine si quelque chose est à signaler ou
que vous voudrez discuter de quelque chose.

Soyez attentifs aux ordres, qui viendront par pigeon. Pour bien faire il faut aller voir sa boite [IG]
chaque jour. Une absence de plus de deux jours devra impérativement être signalée à l'avance,
ici ou par courrier, et dans les bureaux de signalement des absences, celui de la garnison, celui des
terrains d'entraînement et/ou celui de l'intendance, selon où vous êtes actifs.

Il se tourna vers Occorax, le regarda brièvement dans les yeux, et lui dit, le regard fuyant dans l'autre
direction.

Je... v... vous attend dans mon groupe, m... mon L..., soldat Occorax. Nom d'Aristote je m'y ferai jamais...

Il regarda ensuite Pegasine, assise sur sa chaise. Elle se tenait le ventre, qui avait vraiment pris en
taille depuis la dernière fois que le sergent l'avait vue, c'était devant Genève dans la tente des blessés.

Barbière Pegasine, vous avez répondu rapidement à mon appel et êtes accourue la première pour
l'intégration. Je vous en félicite. Mais prenez votre temps, enfin... pendant la grossesse bien sûr, je
m'en voudrais s'il arrivait quelque chose aux deux petits à cause d'un ordre que j'ai donné.

Pegasine avait l'air de n'avoir pas apprécié quelque chose. Xaven le vit à son regard et tenta de chercher
ce qui n'allait pas.

Heu, Barbière Pegasine? Vous n'allez pas bien? Comment va votre épaule?...

Il recula dans sa chaise, aussi loin qu'il put en voyant la tête de Pegasine changer de couleur.

P... Peg?

Occorax entra dans le bureau de son sergent au coté de Pégasine, il salua son sergent automatiquement puis il s’assit sur la chaise que son sergent lui indiqua, il paraissait très nerveux il avait de la sueur au front, ces maint tremblais comme a ces début de soldat, Occorax pensais qu’il avait enlevé ce stress, pauvre Xaven se disais t’il.

-Bonjour mon Sergent, dit-il d’un ton ferme

-J’ai bien compris le fonctionnement de votre bureau et de sa mise en place, pour votre groupe (IG) j’ai fais la demande aujourd’hui pour y adhérer, les règles de garnison je vais encore les révisez même si il me semble toute les connaitre mais je préfère être sur.

-Mon sergent j’ai une petite fierté personnelle d’être dans votre groupe et que vous soyer mon sergent.

Mais Occorax pu s’apercevoir que Xaven avais peur de celui si, il ne réagissait pas pareil avec Pégasine des vieux souvenir de quand il était Lieutenant il en avait terrorisé plus d’un mais il pensait que cela, était oubliez de tous et non un sergent avais encore peur de lui-même sous les galons de soldat, il se leva et lui dis discrètement.

-Allez, ses toi le patron maintenant, calme toi …

Occorax lui sourit, puis il se mit devant celui si et fit son salue militaire puis il enchaina.

-J’ai bien compris vos règles mon sergent je vais donc continuez mes occupations et vous dis a la prochaine mon sergent.

Occorax tourna les talons puis il s’en allait.

Xaven écouta les deux soldats et, bien qu'il était très mal à l'aise, se concentra au maximum pour
répondre à chacun d'eux sans qu'il n'y paraisse.

Faites! Il y a surement des points qui ont changé pendant votre absence. Une révision ne pourra
être que bénéfique. Heu oui, c'est moi le p... patron, mon lieu... . Au revoir soldat Occorax, et
n'oubliez pas votre entrainement.

Une fois Occorax dehors, il se tourna vers Pegasine qui attendait une réponse à ses doléances, et la
regarda avec un air embarrassé.

Heu, c'est que... enfin... pas du tout. Vous avez fait un excellent travail. Je ne doute point de vos
compétences. J'étais là, je vous ai vue à l'oeuvre. Je m'éforcerai de ne plus écorcher votre titre,
barbière-chirurgienne Pegasine... Et croyez moi, ça n'a vraiment rien à voir avec le fait que vous
êtes une femme. C'est juste... que... se faire couper la barbe par...

Xaven avala sa salive.

...un chirurgien... peut faire peur.

Pégasine, toujours assise sur sa chaise et les mains sur son ventre, écouta parler Occorax. Le sergent Xaven lui répondit et quand Occorax sortit, la jeune femme reportat toute son attention vers l'homme derrière le bureau.
En voyant son air embarassé, elle se dit qu'il était en train de chercher comment lui annoncer sa sanction sans la brusquer. Mais quand il commença à parler la tension dans ses épaules se relâcha.

Sergent Xaven, à mon avis c'est plutôt se faire raser par un boucher qui devrait vous faire peur... Mais il est vrai que je ne me fait pas raser.

Pégasine attendit de savoir si le Sergent Xaven avait autre chose à lui dire où si elle pouvait partir.

Xaven sourit en entendant Pegasine. Il se passa la main au menton et se gratta.

D'ailleurs je devrais passer vous voir. La barbe commence à devenir un peu trop longue. Bon,
vous pouvez disposer.

Il se leva, fit le tour de la table et ouvrit la porte.

Oh, avant que vous ne partiez, dites-moi, avez vous des nouvelles de Dodo? Elle va mieux? J'ai
entendu qu'il y avait des complications avec sa blessure. J'espère que ce n'est pas trop grave.

Pégasine regarda le sergent Xaven se passer la main sur le menton et souria.

Passez quand vous voulez Sergent, vous savez où se trouve mon bureau!

Alors qu'elle s'apprétait à passer la porte, le sergent lui posa une question

Citation :

Oh, avant que vous ne partiez, dites-moi, avez vous des nouvelles de Dodo? Elle va mieux? J'ai entendu qu'il y avait des complications avec sa blessure. J'espère que ce n'est pas trop grave.

Dodo se remet doucement. Sa blessure était quand même assez grave mais elle va s'en remettre.

Sur ses mots, la barbière-Chirurgienne salua et quitta le bureau du sergent.