[RP] CORVEES DE PATATES

Et oui, une armée sans corvées de patates, c'est pas une armée !

Occorax tirais la tronche il n'avais rien d'autre a faire que de eplucher des patates mais bon ses les ordre Occorax refusent jamais les Ordre il entra et vit une salle avec un sceau remplie de Patate il entra a l'interieur et vit un tabouret tout mouiller et sale il prit un couteau et commenca a epulcher les patate .

(2 eme jour)

Occorax avais des crampe a la main et fesais que de renoncher chaque fois que il finisais un tonneau de patates il en vais encore des autre sur un coup d'enervement et de fatigue il tappe dans un sceau et tout les patate tombe il les rammasse il se c'etait seul aussi il pas bu beaucoup de bierre en plus il avais laisser la boire cher lui et ses miche il pensais qui mangais tout se spatate il en avais gouter la veille c'etait pas trop bon .

"Bon encore demain et ses finie "

(3 eme jour et le dernier ^^)

Occorax s'etait endormie dans un sceau de patate il avais soif et fatiguer il avais mal partout et se revela en geulant bien fort il s'asseoit sur le tonneau et eplucha une dizaine de patates et se releva rangea les patate que il avais fais tomber et vit le soleil se coucher il rangea le couteau et partie tout joyeux d'alle retrouver une taverne .

Comme a son habitude Djvier arriva sens faire de bruit , il se racla la gorge légèrement pour signaler sa présence.
Il fit un bref hochement de tête en gis de salut , le caporal Occorax avais fini sa corvée et avais tout ranger derrière lui , tout était en ordre .

- rhum...!..rhum...! soldat votre corvée est fini voici votre formulaire de sortie , signé ici !
vous pouvez disposer ! .... Je vous vois sur le terrain d’entraînement des fantassins ?

puis le Sergent-chef tourna les talon et quitta la pièce

Sujet: Re: [RP] CORVEES DE PATATES Lun 24 Sep 2007 - 18:48

pendarric entra dans la salle, observa comme la décoration était amenager, puis aperçut un tabouret et un sceau remplit de patate, il s'étira, soupira puis s'installa sur le tabouret et commença à travailler, pour que ce moment passe mieux il pensai a la femme qu'il aime

[1 Jour]

La porte s’ouvrit, et des pas lourd entrèrent dans la salle, le léger vent balayais la poussière dans l’air et un soupire se fit ressentir.

Occorax était rentré dans cette pièce pour y faire sa corvée de patate, il regardait cette pièce avec dégout et mépris, elle était salle et puait, la poussière était partout et des toiles d’araignée dominais le sol, même les patates était sale et couverte de poussière, il prit le tabouret, enfin de ce qu’il restait de tabouret, le bois était usé et il manquais un pied , il s’assit et regardais le tonneau de patate , il hésita longuement avant de le prendre et de commencé a éplucher , mais qu’avais t’il d’autre a faire ? Rien, il jeta le couteau a terre, celui si était rouillé et ne coupais plus rien, il allait prendre son épée pour éplucher les patates, il sortie son épée.

Il en avait épluché une bonne centaine, son bras lui fessais un peu mal mais il avais vu pire, il se demanda si il allait recevoir de l’eau, il aperçue des vieux morceaux de pain moisie mais pas de trace d’eau, il espérait en avoir, il était un peu mécontent qu’il ne pouvait pas adhérer le corps d’arme des cavaliers, il c’était déjà entrainé la bas , mais bon …

[2 Jour]

Il était la, assis sur son tabouret, épluchant des patates, il n’avait que ça à faire de toute façon il était seul dans une pièce humide et puante, il voulait se reposé sur le sol froid, mais même cette chose la, il ne pouvait pas, sa barbe avais commencé a poussé, et elle lui irritait le menton, la seule chose qu’il voulait a présent c’était un bon bain chaud et de la nourriture , la nourriture sa allais encore mais c’était la soif qui le stressais , il n’avais pas encore eu a boire et juste l’idée d’y pensé le fit s’énervé , la nourriture il avais du se contenté des patates et du vieux pain moisie , les patates avais un gout de roche dur et plus il en mangeais et plus il avais soif , son regard était remplie d’épuisement et de fatigue , va-t-il tenir un jour de plus ?

[3 Jour]

Le soleil se levais, et les oiseaux chantais, on voyait la une silhouette qui dormais sur son tabouret, recroquevillé sur lui-même, tenant son épée dans la main, la salle était sombre et même les lueurs de soleil n’éclairais pas la salle, la salle était humide et plongée d’un silence profond , on aurais dis que tout était figé a cette instant , mais la silhouette se leva du tabouret et tout semblais s’agité dans la nature, il s’étira , et lança quelque jurons , la veille il ne pouvais pas dormir , les rats l’ont en empêcher et dans la pénombre impossible de les tuer ou même de les attraper pour les mangé , Occorax était en quelque mal en point , yeux rouge par le manque de fatigue , les cheveux en bataille , la barbe qui était pas rasé , et la mauvaise humeur de celui si , un rien pouvais le faire s’énervé et même parfois il s’énervais tout seul , il était pas en train de péter les plombs mais de réalisé enfin la souffrance d’être enfermé , les lèvres chaud de ça douce , les bêtises de son fils , et les veilles bagarres en taverne , il savais qu’un jour de plus il ne pouvais pas tenir et savais aussi que c’était la fin de son séjour …

Jacquouille se présenta dans la salle semi-obscure où se toruvait les patates... Il attendit quelques instants, le temps de s'habituer à la pénombre. Au bout d'un moment, il pouvait voir une silhouette recroquevillée à côté d'un tabouret en mauvais état.

- Allez, Occorax, vous pouvez sortir de votre trou. C'en est terminé de votre sanction. Retournez aux terrains d'entrâinement, et tâchez de vous mettre un peu de plomb dans la cervelle. Vous n'êtes pas un bleu-bite, vous faites partie des anciens, vous devez montrer l'exemple aux nouvelles recrues... Allez, Occorax...

Jacquouille regarda le soldat se lever... Ce dernier ne semblait pas très en forme...

Occorax qui était en train d'essayer de pensé correctement et de savoir l'heure qu'il était ou même quelle mois il était mais soudain il vit quelqu’un s’approché, il savait que c’était le maitre-geôlier qui était venu le cherché il attendait ça depuis sa première journée dans se trou, il essaya de trouvé un sourire mais il n’arrivait pas, il se releva péniblement et salua le sergent chef.

-Bonjour, mon sergent salut

dit il avec effort.

-Je vous remercie mon sergent et je tacherais de plus vous décevoir.

Il rangea son épée, et partie en direction de ses occupation il marchait doucement et avec un pas mal assuré mais il était enfin content de sortir de la.

Bendith trouva assez facilement la salle d'epluchage des patates. Il y entra, décidé à expédier l'affaire. Ca ne doit pas être si désagréable pensait-il.
La salle était sombre et humide, avec juste un tabouret en sale état pour s'asseoir.

Ah... pas très chaleureux cette crèche!

Pensant trouver un seau de patates ou deux à peler, il déchanta encore plus en voyant l'énorme bassine remplie de pommes de terres qui l'attendait.

Vindju...

Il resta quelques secondes sur le pas de la porte, réfléchissant à comment abréger cette corvée. Il jeta un oeil dans le couloir: pas le moyen de partir sans passer devant le bureau de Jacquouille. Pas moyen de refiler le boulot à une jeune recrue non plus...
Faire un exercice de tir de précision sur patates chez les archers? non, ca n'ira pas non plus, on aura plus rien à manger. Puis, c'est pas sur que le sergent instructeur accepterait...!

Vindju d'vindju!

Pas moyen d'y couper, bendith alla s'installer sur la tabouret, trop petit pour lui, et sortit son couteau. Il l'essuya d'un mouvement rapide sur sa manche gauche, et attrapa une première patate.
Le temps passait, mais le tas de pommes de terre n'avait pas l'air de diminuer... par contre, le tas de pelure devait impressionnant.
Il commençait a avoir mal au dos, foutu tabouret...
Bendith continua comme ça un temps indeterminé. Le soleil n'était même pas visible dans cette pièce.
Au bout d'un moment qui lui sembla interminable, et après s'être octroyé des pauses de plus en plus fréquentes pour s'étirer, il fini par achever le tas de papates.

Voila, avec ça on peut nourrir tout le Saint Empire pour une semaine.

Enfin, il allait pouvoir partir pour rattraper son retard dans les afaires courantes. Dire qu'il fallait revenir demain.

Bendith revint pour faire sa deuxième journée de corvée patate. Il avait encore un peu mal au dos d'hier, ca promettait!
Il retrouva sans joie son petit tabouret dans cette pièce sombre et humide.
Une nouvelle immense bassine de pommes de terre l'attendait d'un air presque moqueur. Quoi, vous n'avez jamais vu des patates moqueuses?

C'est pas vrai, ils n'ont quand même pas tout mangé hier?! s'exclama-t'il.

Le lieutenant attaqua sans plus tarder. Des zones de frottements sur sa main lui firent mal immédiatement, et il fallu peler quelques kilos pour qu'il s'y habitue. Tout en épluchant machinalement, Bendith en profitait pour réfléchir. Ce n'étaient pas les sujets de reflexions qui manquaient.
Ils se disait qu'il n'aurait pas le temps de mettre suffisament d'ordre dans la garnison avant son départ en méditation spirituelle. Il y aurait du boulot en revenant... mais est-ce que tout se passerait bien pendant son absence? Et que devenait la patrouille nord? il n'en avait plus de nouvelles, ses pigeons ne revenaient pas... pas facile tout ça.
Le tas de patates diminuait, mais c'était loin d'être fini. Il s'accorda une pause, et alla se balader dans le couloir. Il passa devant les pissoirs, mais s'éloigna rapidement vu l'odeur. Il poussa la curiosité jusqu'à descendre aux geôles... quel concentré de moisissures! Après avoir vu ça, la pièce des patates paraitrait presque accueillante. Il y retourna de ce pas, et s'appliquer à terminer sa corvée.

C'est courbé en deux et le dos douleureux qu'il acheva la bassine. Il se releva doucement, et alla dans le couloir.
Est-ce que le Lieutenant Jacquouille est dans le coin?

Le deuxième jour, Jacquouille arriva dans la salle de "torture". Il aperçut le lieutenant Bendith, se tenant le dos à force d'être penché au-dessus de la grande bassine.

- Allez, Lieutenant Bendith ! C'est terminé pour vous. Vous êtes libre. Reposez-vous un peu et vous pourrez reprendre vos activités. Ah, bon travail; lieutenant !!

Enfin, s'en était terminé! Pas que ce fut très long dans l'absolu, mais Bendith en avait ras-la-patate de l'épluchage...

Merci Lieutenant. Vous ne m'en voudrez pas si je ne viens pas trop souvent vous voir dans vos quartiers? demanda Bendith en jetant un oeil derrière lui, vers cette pièce lugubre.

Le lieutenant s'en alla, décidé à aller s'allonger quelque part. Pas moyen d'aller se coucher au pied d'un arbre sur le terrain d'entrainement comme il l'avait fait si souvent, ca risquerait de déplaire. Mais il y avait mieux comme lieux de repos, son bureau tout simplement.

- Non, non, cela ne me dérange pas. On se verra plutôt ailleurs, ne vous en faites pas. Allez, à bientôt, lieutenant.

Sujet: Re: [RP] CORVEES DE PATATES Sam 15 Nov 2008 - 12:38

aurel59 arriva dans la salle en fesant la tété pourtant ce n est que eplucher des patates mais bon il vu le seau a coter de latable qui etait salle avec un couteau tout rouiller poser dessus il pris le tabouret qui etait casser de partout

ouha mais je vais tomber avec se tabouret il est casser de partout

puis il manqua de tomber

ouha est ben sa promais , bon aller ce n est que des patates et je n ais qu un jour aller du courage

puis il pris le couteau et commença a eplucher les patates

Sujet: Re: [RP] CORVEES DE PATATES Sam 15 Nov 2008 - 13:11

Franky arriva dans la salle destinée à la punition de patates . Il vit le caporal sur un tabouret en très mauvais état . A ces pieds, on pouvait observer un tas d'épluchures et à côté de lui un seau presque rempli de pommes de terre pelées .

Eh bien, caporal Aurel59 , je suis sur que vous n'avez pas vu le temps passer ! Néanmoins vous avez fait du bon travail , vous pouvez retourner chez vous . Et surtout pensez à vous rendre plus souvent à l'entrainement dorénavant .

Sujet: Re: [RP] CORVEES DE PATATES Dim 16 Nov 2008 - 0:42

aurel regarder franky-k et lui disa j ai jamaiétè aussi content de vous voir

puis il parta en direction de la porte quand il revena vers franky-k puis il disa

desoler j avais oublier de reposer le couteau

puis il reparta pour de bon

[i]darkrider entra dans la piece, s'attendant a voir quelqu'un d'autre, mais apparament il etait deja parti.
il regarda autour de lui et vit le vieux tabouret et y pris place pres de la poche de patate mais au lieu de predre le couteau rouiller e deja utiliser, il sortit son propre couteau avec lequel il se sentait a l'aise.
Il commenca donc a eplucher les patates en se disait que ca ne pouvait que rendre ses main plus forte. Il n'avait pas le coix de toute facon, il l'avait bien mériter.

Apres cette longue journee et 2 poches de patates, darkrider regarda sa montre et en conclua que la journee etait bel et bien terminer, il esuya donc son couteau, le rangea et se prépara a sortir.

Devilfred se rendit tres rapidement a la salle de la corvé de patate il y trouvit dans la salle Darkrider son fidel coéquipier de garnison,un tabouret décrépi et a l'allure e cadavre en décomposition,a coté un petit couteau qui n avais plus l'air de coupé...

Arf tres chaleureuse la cabane n'est-ce pas Darkrider se dis-t-il d'un ton sarcastique...

Devilfred trouvais le tabouret quelque peu petit pour ses 6,3 pied de hauteur cela le mettai contraint de se fair mal au dos durant sa journer a la geole.Il regarda de tout les coté,pas de barreau,il se tourna vers la porte jetta un coup d oeil dehors pas moyen de filler sans se faire choper par un officier en charge...manger les patates non plus il lui faudrais des tas de jour de régime et pour le combat ce serai pas tres beau un gringalet de la grosseur du chateau qui se bat en marchant a la vitesse "0".Il regardais si il ne pouvais pas trouver quelqu un discretement pour l'aider Darkrider son coéquipier de combat mais hélas il aurai refuser de fai cela meme pour tout l'or du monde...

Arf courage Devil courage c est qu une petite pile de patates

Devilfred se tourna et vit une gigantesque pile de patates a éplucher dans un sceau de bois couvert de moisissure...

Sa m'apprendra a parler trop vite!

Devilfred pris le couteau humide et l essuya sur ses braies s assis sur le siege tres sale et orné de champignon pris une patate et se mit a l`'éplucher puis une autres et une autres jusqu ace qu il sois fatigué et qu'il remarque que la pile de patate n avais presque pas baisser et que la pile de pelure elle remplissais la piece et couvrai le sol...

Hum jolie moquette sa fais plus beau que cet horrible décore sans couleurs...

Devilfred continua jusqu'à la fin de la journé et jusaqu'à ce que le sceau de patates sois vide

Ouf enfin j'ai fini c est pas trop tot dire que sa aurais pu etre pire que sa!

Devilfred sortit du couloir et passa devant l'officier en charge de la corvé de patate le salua puis s'empressa d aller voir l infirmiere avec son mal de dos insuportable

Devilfred décidément n'avais pas de chance encore a cette fioutue meme pièce,il entama l'épluchette,des tas de remord et d'expression colérique lui passais par la tête a l'envie meme de quitter cette piece.Devilfred se demandais si il n'y avais aucun engin pour faire explosé la salle mais malheureusement non...

-La prochaine fois que je reviens ici après je fais 1 tour de village sur mes 2 mains!

Il éplucha et éplucha encore et encore mais malheureusement la pile de patate n'avais guerre envie de partir,Devilfred sans faire attention échapa une patates par terre en se coupant.

-Hy,merde saleté de couteau,D'horrible jurons sortait de sa bouche.

Pour conclure Devilfred éplucha la dernière patate en se levant le tabouret collé au fesse et un chiffon sur sa blessure en sortant tout sale et un tabouret casse pied!

[il vous rêste 2 jours de corvées et un de trou!
Pour le trou vous allez dans le bureau du geôlier pour qu'il vous y emmène!
MERCI!!]

L'aspirant de la garnison de Saint-claude,Zibob,avait était punis pour un comportement irrespectueux envers le capitaine...L'ex sergent-chef geôlier,Franky-k,avait laissé les geôles,avec des dossiers non terminées.
Entre temps,des punitions étaient tombées,et personne ne faisait sa punition.Il se fallait donc que quelqu'un reprenne tout ça en main!
Heuresement,le lieuteant Aide-De-Camp Franchesco,passa par le bureau pour faire effectuer les punitions.
Zibob alla donc a sa corvée de patate...Il allait bientôt être rejoins par le soldat Devilfred,que Zibob avait punis au temps ou celui-ci était encore recrue.
Bien,assez raconté,le jeune san-claudiens regarda si il avait tout pour faire sa punition:

-Patates
-Le couteau
-Et le tabouret qui va avec pour reposer ses petites fesses.

Le jeune homme prit son couteau,prit une patate et commença a éplucher.
Il fit ça une 30 aine de fois et décida a ce moment là,de faire une pause.Il posa son couteau par terre et s'essuya le tête.

...

La petite trêve terminée,il reprit son long boulot et tout en épluchant se dit il:

*Eh ben,j'en ai encore pour un bon moment!*

Après avoir épluché en 100aine de patates,l'aspirant décida de s'arrêter et de rentrer chez lui pour bien et se reposer et revenir le lendemain en pleine forme.

L'aspirant arriva ici,a la corvée de patates,pour son deuxième et dernier jours de punition.Il faut dire que les heures passées avaient été mouvementées!
Un soldat qui fait un malaise au bon milieu de sa cellule.Sur ce,l'officier prit le tabouret,s'assit dessus,et celui-ci été légèrement bancale.Ce n'était pas très grave pour Le jeune homme.
Il prit ensuite son couteau,la bassine de patate et commença l'épluchure.L'aspirant marmonnait:

Au moins Ketchoupi aura de quoi faire des frites a la cantine!
Pffff,par Aristote,pourquoi ai-je manqué de respect?Suis-je bête ou inconscient?Oh,surement les deux!

Dit il en ayant tout de même un petit sourire aux lèvres.

...

Un peu plus tard,voila que Zibob avait battu son record d'hier!Déjà 101 patates éplucher.
Alors,il se dit qu'il en faisait encore une vingtaine,et qu'il arrêterait.

...

Les 20 pates éplucher,l'aspirant posa son couteau par terre,prit la bassine de patate éplucher et sortit.

Le lieutenant vint récupérer l'aspirant et le salua.

Aspirant, fini les patates, vous pouvez y aller.

L'aspirant qui était sur le point de partir,croisa le lieutenant Aide de camp qui lui dit qu'il pouvait s'en aller.

Merci lieutenant,bonne fin de journée!

Dit il en le saluant et en se dirigeant vers sa garnison.

» Tableau d'affichage des corvées et autres condamnations[FCA]