Atelier du charpentier

Zéphirin termina sa dernière pièce et fit appeler sur le champ le caporal Adrien72.
A son arrivée, l’ingénieur terminait l’épissure sur une longue bande de cuir. Il la déposa au sol. L’archer offrit son aide dès son entrée.

Oui…en effet…de l’aide…car malgré le fait que j’ai tenté de faire avec le minimum de poids…je devais m’assurer de la stabilité de la machine…alors…ça fini par être lourd. Bon…allez…je vous montre le plan…et normalement nous devrions avoir toutes les pièces en double, sauf la roue d’hommes.

Bon voilà...les instructions. Nous devons assembler les pièces à la façon de d’une charpente. Vous n’avez qu’à suivre les rayures sur les poutres.



Je soulève, j’approche et vous, vous allez mettre en place et enfoncer les chevilles de bois qui se trouvent dans cette chaudière d’eau. Pour la roue d’entraînement des cibles, je vais soulever avec ce palans au plafond…ne restera qu’à guider la descente…

L’ingénieur aidé du caporal, déposa les deux premières lourdes pièces taillées au sol et remonta un peu son tablier. Il attrapa une petite masse, approcha la chaudière de chevilles et tendit l’outil au caporal.

Tenez…et une fois en place, frappez fort ! Je ne vais pas tenir toutes ces pièces à bout de bras toute la journée !

Adrien72 prit le marteau que lui tender l'ingenieur, et tapa sur toutes les chevilles de la piece

Plus tard une fois tout les chevilles enfoncée et tout les piece rassembler on commençait a voir l'aspect de celle-ci il recula tourna la tete et dit a l'ingenieur

-Ingenieur si j'ai bien compris se que vous m'avez dit, il y a peu, on doit installer roue d'hommes Il regarda autour de lui, aprés la machine intaller je propose de ramasser tout les copaux de bois et dit mettre un peu d'ordres .Mais pour l'instant installont la roue Vous pouvez me la passez? elle est juste deriere vous.

Un Homme ? Un cheval serait plus approprié ne trouvez vous pas Zéphirin ?

Ne vous inquiter pas Soldat Typhoon on aucun cas on aurait mis des hommes on va remplacer des hommes par des chiens avec une niche non loins de l'endoit ou sera poser la machine.

Si voulez savoir quel terrain d'entrainement cela concernes je sens que vous devriez attendre

Zéphirin salua le soldat Typhoon…qui entrait, certainement pour venir les aider. Il fit un sourire à ses propos concernant l’utilisation d’un pauvre homme.

Auriez-vous peur de servir comme force motrice compagnon ? Le principe est simple, c’est une vielle roue de mangonneau que j’ai disons adapté et dans laquelle prenne aussi place des hommes. Au lieu de faire 10 tours de terrain à la course, ça permettra aux archers de garder la forme. Oui…pour le cheval, mais il me faudrait un autre genre de carrousel, plus gros, donc moins mobile. Comme les archers sont souvent que 2 ou 3…ils pourront faire à tour de rôle, sans avoir à sortir un canasson à chaque fois. Pour citer le caporal, deux bons gros canidés feront l’affaire…mais les têtes fortes des archers préfèreront faire tourner la roue, plutôt que de visiter le gnouf !

Le gros ingénieur souleva une autre pièce et tourna la tête vers le caporal.

Allez…tapez moi cette cheville de bois !!!!
Et vous Typhoon, préparez moi le palan et la corde, si vous avez quelques instant à consacrer au bien de notre bonne armée !

Une fois la cheville bien enfoncée, l’ingénieur se retourna pour s’adresser à Typhoon. Le soldat était parti. Pouf ! Disparu ! Il fit un sourire, se souvenant d’une mission ou il avait dû lui-même aller le cheval de l’ex-milicien, après qu’il ait eu disparu cette fois là aussi. Il haussa les épaules en regardant le caporal. Il se secoua les mains légèrement et attrapa la poutre cylindrique qui allait servir de pivot à la roue d’entraînement. Il plia légèrement les genoux, vida ses poumons et la souleva du sol pendant que l’archer y glissait l’anneau de la corde relié au palan. Il la reposa doucement. Grimaçant et posant la main à son genou, il alla chercher un sceau de graisse en titubant légèrement, puis il approcha de la machine.

Bien. Je graisse le socle qui va recevoir le bout…là au sol. Ensuite, les deux pièces qui serviront de collet au centre…et après…nous soulevons. Vous…vous allez faire emboîter la deuxième partie du collet et y enfoncer les chevilles.

Le gros paysan, graissa généreusement, se releva en prenant appuie, repoussa du bout du pied le sceau et s’essuya les mains sur un bout de tissu.

Bon, caporal, venez m’aider pour la soulever. Une fois dans les airs et au dessus de l’engin, vous grimper sur la base et vous allez guider la pièce dans sa base…pendant que je vais la tenir en place avec le palan. Ne restera qu’à y déposer la roue d’entraînement.

Zéphirin remonta à nouveau son tablier, attrapa la rugueuse corde et ferma les doigts.

Quand vous y êtes compagnons !

Adrien72 pris le bout de la piece est entendit le decompte de Zephirin,et souleva la piece

MAis en le soulevant la corde lui echappa des mains,la piece lui tombat sur son ongle

-Aïe Puree

Zephirin posa la piece

-Ouille c'est pas agreable Il enleva son soulier

-C'est bon c'est pas grave heureusement j'avais un soulier sinon sa aurais fait plus mal

Et il reprit la piece et la souleva , il avait reussi a l'emboiter,Adrien avec voulait quand meme terminer la piece donc il attenda les ordres sans se plaindre

Adrien72 emboîta la pièce en sautillant légèrement…pendant que l’ingénieur fit un tour rapide de la corde autour de sa main…pour maintenir la pièce bien droite. Le caporal souleva à deuxième pièce du collet et le fixa en y enfonçant les chevilles manquantes.
Le gros paysan relâcha doucement la tension à la corde…et vit la pièce demeurer bien droite. Il laissa la corde en fronçant les sourcils et s’approcha rapidement...pour vérifier la solidité de la pièce.

Nous aurons besoin d’une ferrure…ici...sinon…le collet risque de se disloquer à la longue. Je vais devoir...allez aux forges.

Il posa ses mains à ses hanches après s’être passé la manche de chemise au front en soulevant le nez, regardant le chercheur.

Vous allez bien ? C’est souffrant …ce pied ? Vous avez besoin d’aller à l’infirmerie ?

Zéphirin…sauta sur la machine, posa ses deux mains autour de la tige de bois et la fit pivoter légèrement et regardant l’alignement.

Caporal , ça vous semble droit d'où vous êtes ? Apportez moi ma ligne de plomb. N’y manque la roue d’entraînement !

Adrien72 confirma a Zephirin que l'alignement etait bien droite, Il se retourna pris la logne de plomb et la donna a Zephirin qui la prit

- Ne vous inquietez pas pour la douleurs je suis coryace

Zephirin la ligne a la mains entamat la suite

Après avoir laissez pendre la ligne de plomb le long de la poutre cylindrique, Zéphirin prit la direction du fond de la pièce et se saisit d’une lourde masse de bois…et s’avança…vers le collet de la machine. Il posa la tête de l’outil au sol…frotta ses main…attrapa le manche, vida ses poumons et souleva en effectuant une torsion du tronc…pour donner l’élan à l’outil. Tel un pendule…Zéphirin stoppa le recul de la masse…et mis la puissance s’appuyant sur sa jambe droite pour le retour du lourd rondin qui alla choir toute puissance en plein centre du collet. Un craquement sourd se fit entendre, redressant…du fait…la ligne de plomb qui longeait maintenable parfaitement le poteau.

Bon…voilà…qui est bien…Maintenant…la roue.

L’ingénieur déposa la masse en bordure de la machine...et alla chercher la grande roue qui était appuyée au mur. Il la fit rouler jusqu’en bordure de l’engin et attrapa la corde du palan…qu’il fixa en son centre.

Bon…même chose…caporal...nous soulevons au dessus…je maintient, vous placez...et le tour est joué !

L’ingénieur respira un moment…attrapa de nouveau la corde…mais déjà il savait qu’il s’en tirerait avec quelques ampoules aux mains.

Attention…comme elle est prise du centre…elle va basculer dès qu’elle laissera le sol…Prenez garde à vous messire…

Le gaillard...expira lentement…et donna un coup sur la corde, en y mettant tout son poids, se laissant basculer vers l’arrière…

Zéphirin laissa la corde et fit quelques pas en arrière…pour observer la machine. S’essuyant le front, il fit un sourire à Adrien72.

En voilà une…Caporal. Reste l’autre !

L’ingénieur fit une petite pause pour prendre un verre en compagnie du chercheur, s’assoyant sur la base de la machine.

Nous allons pouvoir faire des essaies sous peu compagnons. Dites…moi...vous êtes chez les archers depuis longtemps…caporal. ?

Oui je suis archers depuis mi-septembre dans l'armée et juste avant la campagne Savoyarde j'ai ete promu Caporal

Adrien72 prit un verre d'eau

Mais enfin, avec les changement de l'armée donc je ne connais pas je verrez les grade sa va changer un peu partout

Adrien72 but un peu d'eau de son verre

-On verra Ingenieur,On verra

Zéphirin écouta le caporal, et n’ajouta rien. Il aimait bien le silence, entendant seulement le va et vient des pigeons qui partaient et arrivaient inlassablement de Dole vers partout…de partout vers Dole. Il jeta un coup d’œil à l’extérieur par une petite ouverture…déjà la journée avançais rapidement. Il se releva d’un coup, jeta le restant du contenu de son verre sur le sol de terre battue de l’atelier, et remonta son tablier.

Bon…allez...caporal…terminons cette machine !

Les deux hommes reprirent le travail, recommençant chaque opérations sur la deuxième partie presque semblable de la machine. Une fois la roue déposée à la cime de la poutre cylindrique…Il souffla un grand coup, se frotta les mains…et demanda au caporal de lui apporter la courroie de cuir…longue de près de 10 toises…épisser en deux endroits, qu’il avait terminé juste avant son arrivée. L’ingénieur grimpa sur une petite échelle…et glissa la bande autour de la roue d’entraînement, déplaça son échelle, et recommença l’opération sur la deuxième roue. Il toisa l’archer…avant se sourire.

MAIS VOUS LA VOULEZ VOTRE MACHINE !?! Alors…bouger vous un peu, cessez de penser à votre belle et venez m’aider…à reculer cette pièce…c’est notre seul moyen de tendre cette courroie.

Le gros paysan posa l’épaule sur l’une des poutres avant…puis se ravisa et changea d’épaule…craignant un peu pour son genou. Il allait faire porter le poids de cette poussée à l’autre. Il regarda le mince archer prendre position….et gueula dès qu’il fut en place.

ALLEZ….POUSSEZ CAPORAL….POUSSEZ !!!!

Le recul de la lourde pièce augmenta la tension sur la courroie. Zéphirin relâcha, le visage rougit par l’effort et se retourna. Il se laissa glisser le dos le long de la poutre et se retrouva assis sur les talons, les mains au genou. Il respira fortement en laissant échapper quelques mots, regardant Adrien72.

Et bien…c’est vous…. qui allez monter dans …..cette roue d’homme …..Caporal…pas moi…non…pas moi.

Adrien72 voyant Zephirin tres fatigué, du courir dans la machine il entra dans la roue et "courut". Apres c'etre fait encorager par Zephirin, Adrien72 du courir de toute ces force.

Il vut,en courant, le fil qui rejoingnrez les 2 parties tournez et il dit

-Enfin FINIS !!!

Il lui demanda

-Quand va t'on commencer le teste avec les chiens?

Zéphirin regarda la courroie tourner et en scrutant chaque pièces de sa machine…ses deux mains secouant régulièrement les composantes de l’engin. Il regarda d’un œil amusé le mince soldat tourné comme un rongeur dans l’étroite roue.

Des chiens ? Euh…

L’ingénieur se gratta la tête.

Vous allez devoir en trouver Caporal…et des gros…ce n’est pas de mon ressort. Vous allez devoir demander au lieutenant des archers la permission de garder et de nourrir ces bestioles. Ne comptez pas sur moi. Et ne cherchez pas à faire dormir ces sacs à puces aux ateliers ! Pas question !

L’ingénieur croisa les bras…reculant d’un pas pour observer de nouveau sa machine.

Bon…les cibles…nous allons accrocher les cibles…. Ensuite, il faut sortir ça d’ici… et je dois encore faire le manuel. Car je viens de recevoir ordre de me mettre à la construction d’un couillard pour les artilleurs. Sapristi ! Caporal, vous avez déjà vu ces engins ?
Le maître d’armes m’informe que nous sommes un peu en retard sur la nouvelle technologie. Il nous faut absolument pour pouvoir rester dans la course. Je vais devoir consulter les manuels, je n’ai jamais construit une telle machine !

Adrien72 reflechit pendant 2 seconde est dit

-Couillard deja entendu peut etre en cherchant dans les dossier du chateau je retrouverais les plan et je vous les fournirais


Adrien72 ouvra la cage est allez vers la bibliothéque

Adrien72 revint avec une feuille et un pinceau rouge,Il dessina la machine et lui fit voir[i]

-Bon voici a quoi sa ressemble c'est pas de l'art mais bon

Zéphirin attrapa fermement le bout de papier, et esquissa un sourire.

Oui ! C’est ça !…Je savais…j’avais déjà vu des croquis à dans les manuels.
Je vous demandais si vous aviez déjà vu…avec vos yeux ? Moi, non. Je vais devoir trouver les dimensions de cet engin. Il est sûrement des chartes quelques part, les espions et les brigands sont tellement actifs ! Merci quand même Caporal, je vais trouver le reste !

Adrien72 qui avait aimait rendre service, vu Zephirin sauter de joie, il lui demanda

-Donc maintenant enmenons la machine au terrain d'entrainement après je vous aiderais a faire votre couillard si vous voulez?

Adrien72 attendit un reponse de l'ingenieur

Zéphirin ouvrit la porte de l’atelier et donna le plan bien roulé de la machine qu’il avait conçu pour les archers à la demande du lieutenant Fabulous.

Voilà lieutenant, vous n’avez qu’à ouvrir les portes et à sortir ça d’ici. J’irai la voir en fonction sur votre terrain. J’espère que vous allez apprécier. Si vous avez besoin d’y faire des modifications n’hésitez pas. Faites suivre le message par Adrien…et je veillerai personnellement à vous vous faire. Donc…comme vous pouvez voir sur le plan, vous avez ces deux grosses pièces là…les plus lourdes...et le reste...et bien…c’est 4 cibles…qui sont elles…juste à côté, et la longue courroie de cuir qui est enroulé sur la avec la roue d’homme. Oh...et faites repliez les bâches pour le transport. Vous couvrirez sur place...et après chaque entraînements !!! La courroie devrait être seulement soigné au gras..de temps à autre pour ne pas qu'elle se désèche. Mais bon...vous n'aurez qu'à demander.

Spoiler:

Je vous laisse la sortir, et si vous devez la démonter…et bien…vous devriez trouver les plans d’assemblage sur la table un peu plus haut.

L'ingénieur chef se retourna doucement vers les archers en se frottant les mains.

Soldats...maintenant...c'est l'heure de faire voir vos bras !!!!

Adrien72 etait a l'autre piece il dit a Knight si il tenait bien la piece, sa reponse fut possitive.Il fit comme Fabulous, un compte a rebours

-Tu est pret !

1...2...3 !

Adrien et Knight portit la piece, les deux gaillard suffiser a portez la piece, il commença a suivre Fabulous etant pas sur qu'on ferais tout le chemin comme ça

Zephirin prit rapidement les devant en passant devant les archers qui grimaçaient en s’étirant les bras sur la première pièce. Il s’attela à son tour sur la plate forme qui était à l'extérieur, et serrant le dents, la décolla de son emplacement d’un coup de bras. Se passant ensuite l’énorme corde tressée par-dessus l’épaule et abaissant son centre de gravité en penchant vers l’avant, il tracta le chariot vers la porte pour permettre aux soldats d’y déposer leur pièce. Une fois en place, il laissa tomber la corde au sol et se posa les mains sur le cuisses en reprenant son souffle.

Voilà…en roulant…et en poussant vous arriverez au terrain…plus …facilement….

Le colosse fit un sourire en voyant les jeunes archers déjà au repos. Il secoua un peu la tête en regardant le lieutenant Fabulous.

Mais sapristi !!! Debout soldats ! C’est quoi ces manières !?! Vous voulez qu’un corps de jeunes cantinières vous apporte de la glace avec votre chope de bière !?! Magnez-vous ! Si vous aviez connu le capitaine Bralic, il vous aurait fait bouffer votre chemise comme seul repas de la journée ! J’ai besoin de mon atelier moi, et votre machine elle n’est pas encore chez les archers. Alors...vous les gros bras, emportez les 4 cibles sur le chariot et allez pousser. Vous n’allez pas laisser ce bon vieux lieutenant Fabulous se salir les mains pour vous !!!!

Razorback passait dans le chateau après son entrainement au couillard quand il vit un soldat attendre devant l'atelier du charpentier.

Salut, j'suis razorback6150, réserviste mais aussi ancien ingénieur , si c'est pour le mannequin, on va arranger ça.

Et il pousse la porte de l'atelier, qui s'ouvre sans le moindre bruit mais en soulevant un nuage de poussière...

Salut Yvain.

Razorback ecoute HartaS puis voit qu'il prends congé tout en tenant encore son mannequin cassé...

Heu, HartaS, viens ici, ton mannequin est toujours cassé. A 3 on réussira bien à faire qqchose!
Et il entre franchement dans l'atelier.

Ouille, la structure est éclatée, c'est comme si tu lui avais cassé une palanquée de côtes!

On va juste refaire des longerons de frêne et consolider avec de l'osier tressé puis un bon rembourrage de laine et in l'y paraitra plus. Par contre, j'suis nul en couture, refaire sa tunique sera pour vous, il y a de la toile et des aiguilles de fer dans ce coin.

Et ils se mirent au travail, heureux de redonner vie à quelque chose

Razorback6150 releva la tête, l'air un peu perdu après ces heures à réparer le mannequin.

Hein? Ah oui, HartaS... La tunique... Juste, juste... Bon, j'ai terminé la réparation il y a deux heures, l'osier doit juste encore sécher mais bon, ça il peut le faire à son aise. Par contre, je viens de terminer d'y mettre un ressort pour que le mannequin balance un grand coup d'épée de taille si on le touche à l'épaule opposée. Le problème est que j'ai du mal a en régler l'intensité, pas non plus envie d'éborgner ou de tuer un soldat. Et à chaque déclenchement, il faut retendre le ressort... Mais bon, il se défendra. Un peu.

Tu veux bien le tester? On l'habillera après. Il doit y avoir de vieilles épées d'entrainement là-bas et Razorback se mit à fouiller dans un fatras de vieilles affaires avant d'en émerger couvert de poussières mais victorieux.

J'en ai deux! (normal, je suis un garçon... ), une pour toi, l'autre au mannequin et à toi de jouer!

Razorback se mit de côté pour regarder HasraS

Razorback releva les sourcils.

Mettant ses mains sur sa panse généreuse...

Essayer? Je veux bien mais je n'utilise pas d'épée, j'avais commandé une paire de becs de corbin quand j'était aspirant-lieutenant. Les voici :



L'épée courte des sapeurs-artilleurs, c'est un jouet dans mes mains. Tandis que ça, c'est une arme terrible disait-il tout en faisant des moulinets.

Soudain il frappe simultanement des marteaux un étai d'une dizaine de cm de côté, qui se casse dans un bruit sec.

Mes Becs de Corbin, Romulus et Remus, soit écrasent avec leur marteau dit-il tout en montrant celui-ci soit percent de leur bec en montrant l'autre extrémité, conçue pour percer les armures.
Le premier couillon à cheval qui s'approche de moi se prends le premier dans le casque et le deuxième dans le coeur!

Et là il frappe un gorgerin qui attendait on ne sait quoi depuis longtemps. D'un coup ample et sec en ahanant sous l'effort. Le gorgerin émet un bruit sourd et se voit transpercé par l'arme.

Bon, j'avoue, ça ne vaut rien contre des archers mais si je t'arrive dessus en hurlant et que tu as une épée et un bouclier, t'auras un peu tendance à te mouiller les chausses! Et il éclate de rire!

Bon, aller, on va régler c'te mannequin! tout en donnant une bourrade à HastaS, qui le regardait d'un air vaguement inquiet.

Charpentier? Non, je m'y connais un peu d'expérience mais c'est tout!

Pour votre projet, je sais qu'on a des traits à poudre et que la couleuvrine vient juste d'être mise en service , ve que vous proposez m'a l'air bien avant-gardiste???

Puis HastasN le quitta pour aller chez le forgeron.