Bureau de la Lieutenante Intendante [Fermé]

Mon lieutenant je venais juste vous voir pour convier à trinquer à l'infirmerie avec nous (enfin si vous avez le temps bien sur) puisqu'il ne semble pas y avoir grand monde actuellement, tout le monde est au bal.

Bonsoir es ce à cause de la boisson prise à mon bureau, suis-je devenu fou ? Je ne trouve plus l'écurie... Oux sont nos betes, j'ai beau fouiller tout les recoins du chateau je ne trouve plus le batiment , en même temps il fait sombre, pouvez vous me guider.

Hé bien mon Lieutenant, je crois que je ne pourrai vous aider car moi plus je n'arrive pas à voir où sont les écuries. J'ai beau faire le tour de l'intendance, je ne le trouve nulle part.

amytiville a écrit:

Ce parcours ne me dérange aucunement Meglius mais j'aimerais savoir ce dont tu as réellement besoin car nous devrons surement demander la coopération entre nos différents artisans afin d'obtenir le résultat que vous escompter.

Donnez-moi toutes les valeurs en ce qui concerne les matériaux et prenez contact avec nos différents artisans : forgeron et charpentier.

Je ferai mon possible pour que votre parcours du combattants se réalise assez rapidement.

Je vous remercie mon lieutenant:

SCIES, MARTEAUX, PIOCHES, PELLES et PEINTURE en premier lieu !

J'ai estimé à 75 Planches environ le besoin en bois.

1500 clous également .

On peux ensuite finaliser de différentes manières les obstacles.

Au niveau de la main d'oeuvre j'avais pensé a l'embauche de PR=0 pour faire plaisir a criss.

Meglius,

En ce qui concerne les otutils de première main, nous avons tout ce qu'il faut.
Maintenant il faut contacter le charpentier afin de lui donner les mesures des planches dont vous avez besoin et son nombre. Le charpentier de l'armée est Scaladin, contactez-le, expliquez-lui votre projet et dites-lui bien que vous venez de ma part.
Pour ce qui est des clous, vous avez le choix entre Nereidor et Thematrix qui sont tous deux des forgerons de qualités.

Mon lieutenant !

j'envois un courrier aux personnes prescrites des demain car la j'ai mon champ a labourer !

Et au sujet du recrutement ?

Je me disai aussi, je vais demander à Bralic si c'est lui qui a rasé ce magnifique haras...

Tu aurais au moins pu répondre par la négative ou l'affirmative à ma question d'il y a quelques jours sur les morceaux de viande ...

Bonne aprem Leconquerant

oui désolé oublié, j'y répond de ce pas...

meglius a écrit:

Mon lieutenant !

j'envois un courrier aux personnes prescrites des demain car la j'ai mon champ a labourer !

Et au sujet du recrutement ?

PS : pouvez-vous me proposer un emplacement pour ce parcours dans la région ? (eventuellement un fil aux niveau des camps d'entrainements).

Courrier envoyé ce matin !

Hé bien, en ce qui concerne les embauches, demander toujours l'avis du Capitaine mais je crains que nous ne devrions le faire nous-même et en ce qui concerne l'emplacement entre tous les terrains d'entrainements, le mieux est de demander au Capitaine afin qu'il crée cet emplacement.

Bien mon lieutenant je me rapproche du capitaine pour obtenir un emplacement, il faudra au moins 1 mois avant l'ouverture de ce parcours !

Hé bien nous attendrons le temps qu'il faudra et nous nous y mettrons tous pour réaliser ce superbe projet.

Ah oui Meglius j'oubliais. Lorsqu'il sera construit, faites-le inaugurer par notre Maître d'Armes Sirkis et demandez-lui de le parcourir en premier afin de voir quelles sont ses réactions après avoir eu un échauffement pareil. L'avis d'un expert est toujours la bienvenue

Gildedcrotch entra dans le bureau sans frapper...

- Monsieur.
Ne faisant plus partie de l'armée je puis entrer ici et vous dire ce que je pense de vous.
Vous êtes, monsieur, un voleur de la pire espèce... Je dis bien de la PIRE espèce, car les brigands, sur la route, attaquent les voyageurs de front et méritent par conséquent bien plus de respect que vous !!!
Vous êtes un manant et je vous somme de vous excuser pour la conduite inqualifiable que vous avez eue lors du bal du Festival.
Si vous ne deviez jamais vous excuser, sachez, monsieur que je vous provoque en duel...
Profiter ainsi de mon absence et de la crédulité d'une dame nouvellement affectée sous vos ordres est vil.
Voilà ce que j'avais à vous dire, monsieur, et s'il vous reste un peu d'honneur, vous ferez, ainsi qu'à Dame Aleks, vos excuses.

Gildedcrotch croisa les bras, l'air mauvais, et attendit une réaction de cet homme qui se voudrait un grand guerrier de l'armée Franc-Comtoise

Amytiville vit l'homme arrivé en trombe dans son bureau et reconnut aussiôt la personne qui venait à lui. D'ailleurs il avait bien raison de venir dans un état pareil après avoir perdu un bijou d'une énorme valeur.

Amytiville écouta sans broncher toutes les obsénités de cet homme meurtri par un acte qui s'était produit lors d'une de ses longues absences. Après avoir entendu des choses ridicules, Amytiville s'assit sur sa chaise (il s'était levé lors de l'entrée fracassante de Gildedcrotch) et lui répliqua :

Hé bien Monsieur, vos revendications sont totalement fondées. Si pour vous je suis un voleur de la pire espèce et bien soit j'en suis un mais que devrais-je dire de vous? Vous qui osez abandonné une fraiche colombe pour aller par monts et par vaux. Si ca vous amuse de me calomnier et bien faites-le mais sachez que par amour pour elle, je n'oserais jamais vous critiquer.
Je ne dois des excuses qu'à une seule personne Monsieur. A vous et non à Dame Aleks car pour un baiser il faut être 2 et à ce que je sache, je n'ai pas embrasser une décoration de la salle...
Vous voulez me provoquer en duel, c'est votre droit mais sachez que je tirerai l'épée que pour me défendre et non pour vous attaquer. Je ne suis pas assez fou pour perdre l'amour que Dame Aleks me porte; et j'epère qu'il est aussi fort et aussi grand que le mien!

Amytiville s'arrêta là pour le moment. Il n'avait aucune intention de perdre ce qu'il tenait de plus cher. Il regarda alors Gildedcrocth qui devait retenir son frein pour ne pas lui sauter dessus.

VOila, je viens de confesctionner 1500 clous.

Voyant le Lieutenant Thematrix arriver, Amytiville sentit un peu de pression s'echapper de lui. Il quitta alors Gildedcrotch du regard et repondit au Lieutenant :

Bien mon Lieutenant, prevenez Meglius que ceux-ci sont prêts et qu'ils sont dans mon bureau. Maintenant nous n'attendons plus que les planches...
Merci mon Lieutenant passer une bonne journée.

- Bonjour à tous. J'ai le stock demandé de planches dans l'atelier. Faut me dire ou mettre tout ça maintenant pour les monter et un peu d'aide pour porter tout ça.

Et bien Scaladin vous avez fait vite, c'est à votre honneur

Nous allons les mettre ici dans le coin afin que Meglius sache où elle se trouvent et puis comme ca tout le matériel sera au même endroit.
Ah oui n'oubliez pas de le prévenir que tout est prêt et qu'il ne faudra plus qu'à avoir l'emplacement afin de commencer la construction.
Et bien je vous suis Scaladin comme cela vous pourrez retourner vaquer à vos occupations.

J'oubliais, vous n'auriez pas oubliez de me rapporter la commande que je vous avais faite pour les artilleurs (les épées courtes en bois)?

Mon Lieutenant !

J'attends l'approbation du capitaine avec impatience j'ai déjà déssiné les plans des obstacles.

Dés que j'aurais un terrain je me mettrais au travail avec quelques volontaires !

Sitot le premier obstacle construit est installé je vous avertirais, mais également au fil des travaux.

Il sera possible de tester des la construction du premier obstacle.

Je pense en fabriquer une vingtaine ils auront un coéfficient de difficulté mais également un nom de baptême.

D'ailleurs si vous avez des noms a proposer !



Ps: Merci pour les clous et les planches !

Gildedcrotch attendit que tous les visiteurs soient partis et se pencha une nouvelle fois vers Amytiville.
Malice, derrière lui, grondait doucement, sentant la tension qui pesait entre les deux hommes.
- Je vais laisser Aleks décider... Mais faites bien attention à ce que je vous dis. Avisez-vous ne serait-ce qu'une seule fois de lui causer le moindre mal, et je serai derière vous.
Je sais que la vie d'attente que je lui offrais n'était pas de celle qu'elle attendait.
Mais n'oubliez pas qu'elle a d'abord posé ses doux yeux sur moi... et que vous avez profité de mon absence...
Je ne vous pardonnerai jamais cette lâcheté, soyez-en certain !
Vous avez même osé dire que vous trouviez notre histoire belle ! Misérable !!!
Et si par malheur je devais réintégrer un jour les forces armées de Franche-Comté (ce dont je doute fortement), faites en sorte que ce ne soit jamais sous vos ordres.

Gildedcrotch se redressa, et attendit pour voir si le jeune lieutenant avait quelque chose à répondre. Le loup grondait toujours et son maître lui mit la main sur la tête, l'incitant à se calmer.

Amytiville restait toujours impassible, il avait écouter de nouveau Gildedcrotch jusqu'au bout sans l'interrompre. Une fois que celui-ci eut fini, il lui repondit sur un ton toujours calme sans un mot plus haut que l'autre :

Hé bien, je ne crois pas que vous ayez compris un traître mot de tout ce que je vous ai dit. Votre fureur envers moi vous rend totalement aveugle. Je comprends votre fureur, elle est largement justifiée. Vous ne connaissez pas la douleur de perdre un être cher! Vous n'avez pas vécu dans les lymbes sans en voir transpercer un rayon de soleil, vous ne connaissez rien de tout ce qui est en moi. Vous croyez m'impressionner avec vos fanfaronnades?

A ce moment-là, Gildedcroctch remarqua qu'il n'avait plus à faire à la même personne. En effet, Amytiville avait changé d'aspect, ce n'était plus un jeune homme à l'air affable mais un homme endurci avec une voix que l'on ne connaissait pas sur ces terres des mortels. Celui-ci continuait de parler et pourtant malgré la différence de son et de ton, il semblait à Gildedcrotch qu'Amytiville parlait toujours calmement et posément. Il disait :

J'ai connu bien pire que tout ce que vous pouvez imaginé dans votre tête et vous remarquerez que j'ai toujours bien pris soin de ne jamais vous dénigrer.
Le plus beau dans tout cela, c'est que vous venez auprès de moi pour vous plaindre des erreurs que vous avez commises et me traiter de toute sorte alors que selon vous se serait moi le comment dites-vous encore? Ah oui le lâche

Amytiville se mit alors à rire . Ce qui deplut tant à Gildedcrotch et à son animal de compagnie. Mais les grognements de ce dernier et les regards assassins de Gildedcrotch ne faisait ni chaud ni froid à Amytiville. Un fois son rire finit, il continua :

Comme vous le dites si bien, vous êtes toujours sur la route et vous traitez quelqu'un qui trouve un diamant sur son chemin de voleur. Soyez raisonnable mon cher.
Ah oui, sachez aussi que ce n'est pas moi qui attribue les postes et que quand bien même vous seriez sous mes ordres que je ne vous craindrai jamais. En ce qui concerne tout ce qui est physique et moral bien entendu.
Vous êtes soit fou ou inconscient lorsque vous pensez que je serais capable de faire du mal à Dame Aleks. Elle est le rayon de soleil qui transperce de part en part tous les sombres recoins de mon passé et pour rien au monde, je ne voudrais blesser pareil cadeau.

Amytiville était redevenu tel qu'il était au début de l'entretien et ne semblait pas avoir remarqué qu'il avait changé de voix.

"Cet homme est un fou" se dit Gildedcrotch.Je ne vais pas entrer dans son jeu, car je ne sais pas ce qu'il adviendrait... Je vais plutôt le surveiller"

- Soit ! Vous dites qu'elle est le soleil... Vous dites avoir vécu pire que moi... Possible. Je ne connais pas mon passé. Mais sachez que je serai toujours là pour Dame Aleks ! TOUJOURS !

Gildedcrotch ne pouvait ouvrir les yeux de la femme qu'il aimait. Il ne pouvait tout simplement pas lui dire quel genre d'homme il était. Il se retourna, et, fermement ouvrit la porte. Le loup fixa un instant le jeune militaire, comme si lui aussi avait compris que quelque chose se passait en lui. Puis il suivit Gildedcrotch qui s'en allait rapidement à travers le couloir.

Amytiville parvint à crier tout de même lorsque Gildedcrotch arpentait le couloir :

Croyez-vous être le seul à l'aimer?

Cette phrase eu tout de même un impact sur Gildedcrotch qui s'arreta tout de même dans sa lancée. Amytiville ne pouvait savoir qu'elle serait la réaction de celui-ci.

Gildedcrotch se retourna.

- Non monsieur... Masi si nous sommes deux à l'aimer, je suis le seul, néanmoins, à avoir de l'honneur ! Et si l'armée n'est composée que de gens qui se permettent d eprendre ce qui ne leur appartient pas dès que quelqu'un est absent, alors permettez-moi de me féliciter de ne plus faire partie de CETTE armée.
Pourtant je sais que ce n'est pas le cas partout et que des personnes honorables y ont fonction... Malheureusement, aucune d'entre elle ne se trouve à l'intendance !
Je vous souhaite le bon jour, monsieur.

Et il reprit sa route.

Hé bien quel étrange personnage. Il ne sait pas de quoi il parle dommage, il aurait pu faire un grand homme ...

Amytiville venait de faire cette réflexion juste après avoir entendu les dernières inepties d'un pauvre homme au coeur meurtri.

Le pire d'en tout cela, c'est qu'il a totalement été incapable de rester correct mais bon c'est vrai que je lui ai volé son joyau afin d'en faire mon diamant mais est-ce un crime? Ai-je été le seul fautif dans cette histoire?

Amytiville se retournait des questions sans cesse dans la tête mais ne trouvait pas les réponses souhaitées. Il aurait bien aimé qu'Aleks soit là pour pouvoir dissiper toutes ses questions bizarres auxquelles il ne comprenait pas les sens.

Il se dit alors en lui-même :

Si le but de sa visite était de me déstabiliser, il y est tout de même parvenu car il y a des ombres du passé auxquelles je ne peux faire face sans mon amour et je n'ai pas envie que celui-ci disparaisse.

Amytiville s'assit alors sur son bureau et mit sa tete entre ses mains et des larmes coulèrent le long de ses joues.

Aleks avait lu la lettre d'Amytiville et se rua à son bureau affolée.
Lieutenant, vous n'avez rien ? Dieu soit loué !
Amytiville s'apprétait à dire quelque chose mais Aleks posa sa main sur ses lèvres pour l'en empêcher.
Ne dites rien, je sais bien ce que vous pensez, je sais bien que vous doutez...c'est tout à fait normal. Mais il ne faut pas en vouloir à Gildedcrotch vous savez, c'est très difficile pour lui, il n'a même pas de famille a qui se raccrocher...il lui faut du temps...Je suis désolée de vous infliger tout ça... Je vais lui parler, il a besoin de soutien c'est une mauvaise passe qu'il traverse, et par ma faute... Je reviens vous voir au plus vite !

Aleks sortit dans le couloir, et se mit en direction du labo pour aller voir les commandes avant de partir a la recherche de Gildedcrotch. Mais en tournant à l'angle, elle sentit quelqu'un l'empoigner et lui mettre la main sur la bouche pour qu'elle ne puisse pas crier. Terrifiée, elle comprit rapidement qu'il fallait se taire pour son propre interêt et attendre quelque parole ou signe de faiblesse de l'agresseur. Mais il n'avait pas l'air prêt à faiblir du tout, il la tenait fermement, la portant sans difficulté, et la traina dans un coin, prêt de la porte de l'entrepot, aussi furtivement que silencieusement. Une fois à l'abri de tout risque, il la retourna pour qu'elle voie son visage.

Gilde ! Mais enfin qu'est ce que vous faites ? Je vous cherchais justement, il faut que l'on parle.. Je suis désolée, vraiment, mais vous ne devez pas vous en prendre au Lieutenant Amytiville, il ne me veut aucun mal vous savez, juste me rendre heureuse...Et puis vous, marchand ambulant aillant la bougeotte et le désir de chercher son destin et son passé, et moi, perdue dès que je sors de Luxeuil...Que ferions nous ? Je veux dire...Cela ne vaut-il pas mieux après tout ?

Gildedcrotch regardait Aleks d'un air à la fois furieux et triste, il y avait quelque chose dans ses yeux qu'elle n'avait encore jamais vu, une sorte de fureur dangereuse prête à exploser. Aleks voulut s'éloigner, mais un grognement la fit se retourner et elle vit un loup énorme, au poil gris luisant et aux yeux d'un marron profond qui lui insinuait de ne pas bouger...

Nom d'une pipe, mais qu'est ce qui se passe ici ?? Amytiville, je viens juste répondre à votre question : Scaladin est en principe aspirant intendant. Autant dire votre bras droit ! Vous ne l'avez pas encore vu ? c'est étonnant tout de même...Je vais aller me renseigner à son sujet et je vous dis de quoi il retourne...
Et je vous laisse à vos démélés amoureux vous me raconterez !

Aleks arriva dans le bureau, posa un bout de papier sur la table et repartit, étant donné qu'il n'y avait personne.

Code:

Mon Lieutenant, je vous signale que j'ai mis dans l'entrepot une dizaine de mannequins à ressort destinés à leur entrainement personnel. Pourriez vous s'il vous plait le faire figurer sur le registre ?

et en bas en minuscule elle rajouta

Citation :

Je dois y aller mon patient préféré est sur un lit improvisé à l'infirmerie.
Tendrement, Aleks.

Bien Aleks, je vais de ce pas mettre de l'ordre par là.

Sortant de l'entrainement, Rhuyzar voulait passer voir l'intendant, afin de prendre de ses nouvelles. Arrivé au bureau, il remarqua qu'il n'y avait personne. Il se décida alors à l'appeler:

Mon lieutenant vous êtes là?

Etant dans le couloir menant à son bureau, il entendit quelqu'un l'appeler. Il courut alors afin d'arriver le plus vite possible dans son bureau et ne pas faire attendre le visiteur qui etait venu. Une fois dans son bureau, il vit le soldat Rhuyzar debout près de son bureau. Amytiville l'invita à s'assoeir mais Rhuyzar ne voulait pas le faire tant que le Lieutenant était encore debout.

Amytiville alla donc vers son bureau en passant près de la chaise destinée à Rhuyzar mais un évènement inoportun se produisit et on entendit un crac résonner dans la pièce. Amytiville avait pris son attelle dans la chaise en passant et avait forcer. Sa jambe avait fait un sale bruit. Il chuta en toute logique et ne pouvait plus se relever, sa jambe ne voulait plus supporter son poids.

Voyant le sodat, il lui dit :

Va vite chercher Aleks, elle pourra me dire ce que j'ai.

Sur ce, le soldat courut a toute vitesse vers l'infirmerie afi de touver Aleks.

Aleks arriva en courant, paniquée, elle dit au soldat Rhuyzar de monter la garde et de ne laisser entrer personne, et ferma la porte. Elle vit le lieutenant par terre et se jeta à ses côtés.

Mon Lieutenant ! Comment allez vous, votre jambe, montrez moi vite, vous pouvez bouger ? O mais que s'est il passé encore ?!

Elle était au bord de la crise de nerfs à force d'inquiétude...

Amytiville vit Aleks arriver, il était aux anges malgré sa douleur. Il regarda Aleks, fit un sourire tellement forcé qu'Aleks n'avait pas du tout répondu à celui-ci. Il lui raconta alors l'épisode de l'atelle prise dans la chaise. A la fin lui dit :

Pourquoi quand je suis tranquille j'ai quelque chose alors que quand je fais le fou je m'en sors avec moins que cela?
Au fait j'ai quoi?
Ne me regarde pas comme ca s'il te plait mon amour tu me fais peur...

Amytiville regarda alors Aleks s'activer autour de lui.

C'est... C'est déboité...Je...Oh regardez la bas !
Craaaaac
Voila, c'est remis. Ca fait mal sur le coup, mais c'est tout.
Venez là..dit elle en le prenant dans ses bras...

Amytiville avait hurlé lorsque Ales lui avait remboité le genou. Il n'avait jamais senti une douleur aussi intense. Il n'attendit pas qu'Aleks le prenne dans des bras pour s'y réfugier comme un enfant. Il se sentait extrêmement bien dans le creux de ses bras avec la tête posée sur sur son épaule. Sa tête était mise de facon telle qu'il pouvait lui faire de doux baisers dans le cou. Il lui murmrura a l'oreille :

Je t'aime mon amour tu es le pire des bourreaux que je ne pourrai jamais connaitre car tu as mon coeur a ta merci. Je suis bien dans tes bras j'ai hate de pouvoir etre plus proche de toi encore.

Il l'embrassa alors avec une larme qui coula entre leurs lèvres réunies.

Aleks caressait la tête du Lieutenant, comme celle d'un enfant.
Chuuut...c'est fini maintenant...

Voyant rhuyzar partir en courant et amiytiville et aleks l'un contre l'autre...
Dites moi lieutenant, on monopolise les fantassins en garde rapporché pour roucouler, on aura tout vu ...
Au passage je vous ai dédicassé l'obstacle à votre nom, je vous laisse déocuvrir

Puis s'adressant à aleks, mes hommages madame...

Enfin il repartit sur les traces de son fantassin

Aleks susauta et rougit,
bonsoir Lieutenant

Amytiville arriv tout essouflé à son bureau car il avait promis à sa dulcinée d'être là le plus rapidement afin de ne pas la faire attendre. Il entra en trombe dans son bureau.

Il regarda partout afin de voir si elle n'etait pas là mais à son grand étonnement, elle était là en train de regarder par la fenêtre. Il se dit en lui-même mais quel idiot je fais de faire attendre une si belle femme. La regardant, il se dit qu'elle avait vraiment tout pour plaire et qu'il comprenait maintenant pourquoi son coeur avait choisi de l'aimer elle et personne d'autre.

Amytiville vint se placer derriere elle, mit ses bras autour de son ventre et posa sa tête sur l'épaule d'Aleks afin de regarder dans la même direction qu'elle. Il lui dit :

Je suis désolé de t'avoir fait attendre mon amour. Pourras-tu me pardonner ce manque permanent de ponctualité?
Je t'aime.

Amytiville lui posa alors un baiser dans le cou.

Aleks posa ses mains sur celles d'Amytiville et murmura :
je pensais à toi justement...