[Economie] Impossible d'avoir un champ de cochons et de Mais

j'ai vendu mon champ de légumes à une personne, beniotte.
il m'envoie ceci

Citation :

Salut monsieur le maire

Merci pour le champs tout d'abord par contre j'ai eut une mauvaise surprise.. :/

Y a un decret qui interdit d'avoir et un champs de mais et un elevage de cochons..

Decret temporaire ou permananent ?

Merci

je lui réponds qu'à SC il n'y a pas ce genre de decret, lui envoie le lien vers les décrets et penses en avoir fini avec cette histoire

Citation :

pour le champs ca m'indiquait en bas (la phrase rouge) quand je voulais faire le champs de mais que par decret je pouvais pas avoir un champs de mais et elever des cochons en meme temps.
J'y ai perdu 100 ecus.. :/ il m'as valider un champs de blé et j'ai repayer pour faire des légumes du coup ;(

donc ce décret lui a couté 50 écus

ça vous dit qq chose ?

C'est une loi édictée par le Très Haut.
Impossible d'avoir cochons et maïs, tout simplement.
Pour éviter que ceux qui font ça aient trop de gains d'un coup.
Ca ferait entre 5 et 7 carcasses de cochons pour un prix dérisoire, et ce n'est pas juste.
Donc, le codage est fait de telle manière que c'est impossible (il me semble que c'est pareil pour le blé et le métier de meunier, mais je n'en suis pas sûr)

je connais des meuniers qui cultivent du blé.

c'est la seule règle du genre imposée par aristote lui même:
il est impossible d'avoir un champs de maïs et un elevage de cochon.

Toutes les autres possibilitées sont autorisées par le tout puissant.

ça alors, je ne savais pas,
bon ben tant pis pour lui

C'est ce qui s'appelle pas de bol

Ce que le Très-Haut prend, il le redonne...façon poètique qu'il vient de perdre ses écus

faudra que je l'écrive qq part ça, tiens..

Yep, y'a même toujours eu cette règle de bienséance implicite, puis Dieu parla

En fait, le Dieu en question a toujours appelé à ne pas jouer de manipulations économiques ou de profit des filières, appelez ça comme vous voulez ... Ca se trouve dans les halles bibliotécaires, dès leur création.
Un boucher ne devrait pas avoir de bétail, un meunier de blé et une boulangerie à tenir, un tisserand de moutons à choyer, etc.
Un jour viendra où il pensera à faire comme pour le maïs dans les abreuvoirs cochonesques, mais en attendant il appelle à la bonne implication des paysans et artisans. Ce qui lui permet de se consacrer à son plus grand plaisir, la chasse

Bon, ben voila... tout est dit...

Je ferme !