[RP]La tour de guet.

Tout le monde sait à quoi sert une tour de guet, alors, on ouvre les zouilles soldats !

Les mains dans les poches de son long mantel, regardant vers l'horizon,
scrutant à travers la fine bruine, il entendit une respiration de plus en plus haletante s'approcher. Se tournant alors vers l'encadrement au sommet des escaliers, le maitre d'armes de l'Ost sourit.

Eh bien gouverneur, on dirait presque que vous avez du mal à monter les marches.

La réflexion du gouverneur amusa l'homme qui sourit encore plus.

Héhé, voyez le bon côté des choses ...
Monter toutes ces marches c'est un excellent moyen de faire un peu de sport complémentaire ne trouvez-vous pas ?
Et puis, comme vous le dites, la vue est prenante à cette hauteur !

Le geolier de Dole arriva en haut des marches a peine essouflé et salua les deux personnes presentes.

Mes respects, Gouverneur, soldat

Dites je suis deja en haut là ?

Avant meme d'attendre la reponse il regarda par l'ouverture.

Ah oui comme meme

L'artilleur observa l'interieur afin de voir si il pourrait pas y caser une piece d'artillerie aussi petite soit-elle.

L'idéal serait de pouvoir disposer d'un petit canon ici afin de pouvoir tirer sur des eventuels ennemis.

Z'ETES CERTAIN, SERGENT ??

Enjambant le seuil de la porte d'accès au chemin de ronde de la tour, le capitaine n'avait entendu que les derniers mots et certains souvenirs cuisants des expériences du sergent la laissait assez hésitante sur l'opportunité de le laisser manipuler la poudre noire...Instinctivement elle baissa les yeux pour regarder ses mains encore emmaillotées dans la charpie et se garda de rajouter le moindre commentaire, en espérant secrètement que le lieutenant ait l'oeil sur l'énergumène...

Il va déjà falloir la fabriquer, votre poudre...mais en revanche, quand vous aurez récupéré l'usage de vos mains, vous pourrez vous entraîner au tir à l'arc, en prévenant ceux qui auront le malheur de passer dans le coin

Coulissant un oeil sur la tête du sergent, le capitaine ne put s'empêcher de rire devant son air désappointé et approchant du créneau, accoudée au mur de pierre, elle laissa errer son regard sur la campagne...C'était beau, par là..parfois, il arrivait même qu'un peu de soleil éclaire les coteaux...

Vous aurez bien l'occasion de faire des prouesses, sergent...et puis, si l'occasion ne se présente pas, je vous fais confiance pour la provoquer !..Tiens..nous ne sommes pas seuls...GOUVERNEUR ! quelle surprise de vous voir aussi loin de vos paperasses ! Dites-donc, vous me paraissez rudement essoufflé...va falloir arrêter les biscuits, vous aussi !

Main dans les poches, elle surprit le sourire goguenard du maître d'armes et avant de laisser le gouverneur se chercher des tas d'excuses, elle pointa du doigt vers l'ouest en murmurant

Dampierre, c'est là bas...vous voyez ? là où la Saône fait une boucle...au dessus de l'éperon rocheux, l'espèce de tour à moitié écroulée, c'est mon fief...Bigre, vu d'ici, il est en piteux état...Sinon, satisfait des installations ?

Sifflotant d'un air joyeux, Franchesco visitait l'OST Luxo-Vésulienne curieux de voir la pratique de la théorie qu'il avait lu plusieurs fois. "La réforme" comme il l'appelait sortait du papier et prenait vie, petit à petit certes, mais le test se passait bien et, aux yeux de l'ADC, était plus que concluant. Lui qui était un peu sceptique était désormais convaincu et se languissait de voir toutes les garnisons réaménagés façon OST.
Comme une nouvelle recrue, il déambulait dans les couloirs et se demandait parfois si il devait prendre à gauche ou à droite pour en voir plus et si il n'était pas déjà passé par l'endroit où il se trouvait. En tout les cas, l'OST prenait vie grace au travail de ses membres et tout semblait s'organiser. Certaines ailes de la maison forte était plus animées que d'autres et d'ailleurs, l'ADC les évita préférant découvrir au calme. Sans trop savoir comment, l'officier se retrouva dans la cour. Il s'y arreta et la regarda dans ses moindres détails. Il vit déjà quelques équipements sur ce qui devait être le terrain d'entrainement. Du moins, il déduit que c'était le terrain d'entrainement de par la pancarte sur le bureau qui se trouvait juste à côté de celui-ci, elle indiquait le bureau du maitre d'armes de l'OST. Maitre d'armes de l'OST... voilà un terme inhabituel. se dit Franchesco. Ils y étaient, le changement, dont on disait les militaires effrayés, était en route et le Polignois espérait bien que cela ne s'arrete pas en si bon chemin.
Alors que le jeune homme scruter la cour, laissant ses pensées lui suggérer toutes les opportunités qui allait naitre quant à la vie en caserne des suites de ces ré aménagements, il remarqua un bras tendu dépassant du coin d'une tour. Déjà les gardes étaient-ils en faction sur les remparts ? Peut-être avaient-ils remarqué quelque chose au loin... Ou peut être était-ce simplement une personne qui, comme Franchesco, faisait des gestes en parlant pour illustrer ses propos. Quoi qu'il en soit, depuis la tour il y aurait surement des choses à voir ! Aussi il décida de rejoindre les remparts et quitta la cour pour le couloir d'où il était venu.

Euh... Gauche... Non, droite... Arg nan à dr..auche... Marmonna-t-il, ne cessant pas de changer de direction. Décidé à rejoindre la tour, le lieutenant retourna dans la cour et regarda la position de la tour attentivement avant de se retourner.

Donc, quand je lui faisais face, elle était à ma gauche... Donc là, je lui tourne le dos... Faut que je prenne à droite... résonna-t-il en regagnant une nouvelle fois le couloir. Ah ! Oui mais après tu va où ? Et oui mon Franchesco, après, où tu va tourner ? se dit-il. Bon ! Là, y en a marre ! Une dernière fois l'ADC retourna dans la cour et fit face à la tour avant de regarder à ses pieds cherchant un petit cailloux. Il en prit un et la mit dans la poche de sa chemise puis dans le but de faire porter sa voix, il porta ses deux mains autour de sa bouche et cria vers la tour.

Ohé ! Là haut !! cria-t-il avant de faire de grands gestes pour reprendre en suite. Vous pourriez m'indiquer le chemin pour monter siouplait ? termina-t-il en sortant le caillou de sa poche avant de jouer avec dans sa main droite. Si ils ne m'ont pas entendu, je lance le caillou vers eux !........... Si c'est pas trop haut...

Jerone salua les nouveaux arrivant dont le capitaine

Mes respects, Capitaine

Pour le tir à l'arc je me debrouille des restes du GIGC.
Et pour la poudre ça fait bien longtemps que je la fabrique chez moi pour faire des feux d'artifice j'ai juste à enlever un ingredient. Par contre j'ai une idée bien interessante mais il faudrait un peu plus d'une poudre blanchatre qui permet aux feux d'artifice d'etre lumineux.

En attendant que mes mains se soignent je vais faire le guet et le surveillant du gnouf.

Apres un bon petit repas concocté par le gouverneur, Jerone s'enfila au pas de course les quelques 400 marches qu'il avait compté la veille pour se retrouver tout en haut de la tour de guet. Il posa ses quelques affaires et se posta au rebord de la tour afin d'observer les alentours.

le soleil se couche va falloir ouvrir les oreilles en plus.

En effet le soleil se couchait doucement et Jerone etait au premieres loges pour l'observer. La lumiere passait du jaune orangé au rose. Les heures passait, l'agitation du fort se reduisait et Jerone posté à sa tour observait inlassablement l'horizon ecoutant les moindres bruits.

[edit hrp : La suite pour eviter le double post car j'ai pas forcement le temps de faire des long RP en semaines]

La nuit passa et Jerone arrivait à tenir au moins un oeil ouvert et une oreille attentive, cherchant constament à s'occuper en ecoutant les noctambules, evitant les chauves-souris qui passait par là chasser les insectes car Jerone etait seulement eclairer par la lune. Pas question d'allumer une torche pour montrer aux brigands suicidaires qu'on les observait. Jerone observa longuement la piece de survaillance si on pouvait appeler ce petit endroit où mine de rien 8 personnes peuvent tenir ensemble. Il remarqua un poutre centrale et s'y accrocha afin de faire quelques tractions. La premiere fut facile mais la deuxieme devint impossible à faire, ses mains et la fatigue le rappelait à l'ordre.

raahhh quel idiot j'ai fais moi à taper dans ce fichu mur.

Jerone se rappela de ce que lui avait dit Princessdeneuch mais malheureusement il n'avait rien à porté de main. Il se contenta donc d'ignorer son mal pendant quelques minutes avant de reprendre plus serieusement sa survaillance.

Les heures se suivirent et les premiers rayon de soleil firent leur apparition. Aussi tot un coq se mit à chanter et Jerone aurait bien voulu lui tirer une fleche dessus tellement il le fit sursauter.

RAAAAAHHHH ESPECE DE COQ VA TU FERMER TON BEC

La nuit de garde de Jerone se finissait mais il se devait d'attendre la releve. En attendant Jerone observa les lieux histoire de voir où il faudrait placer les armes de sieges pour la defence et combien il en faudrait. Il observa aussi les arbres de la foret voisine afin de savoir deja a peu pres lesquels abattre.

Arrivé en bas de la tour Jerone attendit ses deux comparces pour monter.

Bon va surment falloir m'aider à grimper mes petits bon la simple raison que ma cuisse est en vrac.

Pas mauvaise l'idée mais je suis un faux maigre et monter les marches me fait du bien par contre pour le matériel c'est tres bien surtout quand on devra hisser la petite bebette que nous allons fabriquer.

J'ai pas le vertige sinon ça serait problematique en tant qu'artilleur. Je suis pas du genre à me faire plaindre. Par contre ta poulie tu la fera apres avoir rammené ce foutu chene ici.

Jerone commençait à regarder partout.

Elle est passé où Julie ?

Je commence à monter tu l'attend et vous me rejoignez en haut que je vous montre le chene avant la nuit.

Aussitot dit, aussitot fait, Jerone avait deja gravit 3 marches et continait assez lentement.

Jerone arrivé enfin en haut totalement crevé prit le temps de changer son bandage avant de regarder en bas et d'observer Bensira attendre.

Elle est toujours pas là Aspirant ? Montez alors.

101112v arriva en haut de la tour, elle venait de cueillir de charmantes fleurs.
Julie leur tendit une chacun : "Vous en voulez?"

HRP : Quelques problèmes, dont celui qui m'a remplacé pendant mon absence.

Jerone souria en voyant Julie lui tendre une fleur.

Avec plaisir elle ornera mon chapeau de paille.

Jerone prit la fleur et la glissa entre des galons.

Bon revenons aux choses serieuses.

Jerone s'approcha du muret de la tour face à la foret et pointa l'un des arbres des plus elevés de la foret.

Vous voyez cet arbre là bas.

C'est un chene le seul suffisement grand pour n'avoir qu'a l'abattre pour faire l'arbalete à tour car j'ai pris le temps de calculer les longueurs necessaires. Et avec de la chance il rentrera juste à l'endroit dévolu à la construction des machines de guerre. Je serais bien venu.
[hrp : interruption de 30 minutes car il y a eu un accident devant chez moi et c'est peu dire le scooter à fini devant mon garage. Un gros BOOM et un gamin (oui je suis pas si vieux que ça hrp mais ça reste un gamin) s'est retrouvé sur le ventre en travers la route heureusement il va surment avoir que des bleus.]
Demain vous prendez mon ane et deux boeuf ainsi que ma charette et vous irez me le couper et le plus interessant commencera.

La candide archère écouta attentivement sans se laisser déconcentrer par le chapeau de Jerone. Le lendemain, elle prendra l'âne et ira couper le gros arbre selon les instructions reçues.

ah oui mon ane est ce qu'on peu appeler une tete de mule seul moyen de le faire bouger est de lui mettre une carotte sous le nez. Vous n'avez ensuite à bouger la carotte dans la direction que vous voulez pour aller où vous voulez et plus elle est loin plus il ira vite ou tirera fort ça depend de la charge à tracter.

La sergente arriva enfin tout en haut de la tour avec des fleurs à la main.
L'aspirant en reçu une qu'il mit à la boutonnière de sa veste.

Merci sergent pour cette décoration ! dit-il en souriant

Bon, donc si le sergent s'occupe de l'âne, j'irai réquisitionner deux boeufs pour les faire brouter en forêt avant un régime de travaux forcés ! Il ne vaut mieux pas les fatiguer trop en tirant la charette à vide, pour qu'il conserve leur force pour le retour.
Je prendrai aussi quelques bonnes haches à la forge.
Sergent Ecuyer, vous attelerez l'âne du sergent chef à sa charette, et nous nous retrouverons au pied de l'arbre dès l'aube.

bien bien faites attention à ce bougre d'ane il est imprevisible et pensez à lui donner la carotte quand vous serez rentré ici sinon il risque de pas apprecier les carottes sont dans un caisson accroché à la charette il s'ouvre sur le coté de la charette.

Histoire de donner l'exemple et biensur de se conformer elle-même aux nouvelles obligations de tout les militaires de son village, la jeune femme gagna la tour de guet en début de matinée, juste avant que le soleil ne se lève. Elle eut ainsi tout le loisir de l'admirer se lever et baigner les terres environnantes de sa lumière. Acoudée à une balustrade, son regard se perdit dans l'horizon, la Franche-Comté sortant tranquilement de son mutisme, les villages s'éveillèrent, les voix des marchand lui parvenaient aux oreilles alors qu'ils ventaient leur produit aux femmes affairées à faire les courses et à surveiller les enfants courant sur les pavés.

Elle vit aussi un groupe d'hommes partir à la chasse, un autre à la pêche. Les taverniers ouvrirent leur commerce...bien vite la vie repris son cours sur la nuit, le soleil brilla haut dans le ciel et la jeune femme pu, à loisir, les observer en attendant que vienne la rejoindre Draziel, qui devait monter la garde avec elle ce jour là.

arrive essoufler quelque heure plus tard , salue le lieutenant

desolée du retard je viens de voir mon nom sur la liste

Alors qu'elle s'était perdu dans la contemplation de la vie se pavanant au pied de la tour, la jeune femme, malgré le fait qu'elle ne fut pas sur le qui-vive, ne fut pas surprise en entendant du bruit derrière elle, quelqu'un montait dans la tour. Elle s'éloigna un instant de son poste d'observation pour jeter un coup d'oeil là où provenait le buit de pas. Elle sourit, c'était Draziel. Mieli regagna donc le bord de la balustrade, se distrayant du vol de quelques mouettes bien bavardes au dessus du port.

Un instant plus tard, la petite nouvelle l'avait rejoint, s'excusant de son retard en la saluant. Mieli se tourna vers elle et lui rendit son salut en souriant.

-C'est pas grave, l'important c'est d'être là. Venez, profitons de la vue magnifique que nous avons d'ici. Je pense y revenir demain, après ma patrouille de la salle des machines de siège, j'aime bien cet endroit.

Elle lui fit une place là où elle était rester accoudée toute la journée, s'amusant des petites scènes de la vie de tout les jours, chose dont ont oubliait bien souvent l'importance et l'existance. Les heures passèrent, le soleil déclina, le ciel s'assombrit, bien qu'éclairé par une myriade d'étoile. Mielikki resta un moment a rêvasser en observant les constellations. Puis vint la fin de ce tour de garde. Elle descendit de son perchoir pour se fondre dans la masse de soldat rentrant prendre leur repos.

après sa journée de guet , elle descendis de la tour après avoir saluer le lieutenant , en passant elle croisa la relève

Jerone arriva à la tour de Guet et Salua ceux qui venait relever.

Mes Respects, Ma lieutenante
Soldate

Vous avez vu Saffig ? C'est juste pour savoir si je suis le premier.

Jerone monta ensuite en haut de la tour, il y etait deja monté par le passé pour observer les arbres et accessoirement les alentours. Arrivé en haut il prit ses aises et observa bien tranquillement.

Saffig arriva peu après

Sergent

Elle profita de la belle vue d'en haut toute la journée, rien de suspect à l'horizon, mais un superbe coucher de soleil à admirer en fin de journée..

[HRP: passé la journée dans le train, j'ai internet que maintenant!]

Jerone qui surveillait sursauta presque quand il entendit Saffig le saluer.

Soldate

Alors vous avez enfin trouvé la tour. J'y etait deja monté il y a quelques temps, une fois j'avais meme une cuisse en vrac, un idiot de brigand m'avait blessé.

Alors que le soleil couchait, Jerone lui continuait avec ses petites histoires.

L'aspirant Bensira voulait me faire monter avec une corde et une poulie, sauf qu'il aurait eu du mal à me soulever, c'est que je suis pas si leger qu'on le pense, on montait avec Julie pour que je leur montre un arbre à abattre pour commencer une arbalete à tour. D'ailleur l'arbre est bien là mais je n'ai toujours pas eu le temps de le detailler.

La nuit passait et Jerone ecoutait les chouettes, hiboux et chauve-souris voler afin de se nourrir. La nuit etait claire et la Lune eclairait les alentours une nuit où il ne fallait pas attaquer sous peine d'etre tres facilement vu.

Puis le petit matin fit son apparition, Saffig s'etait endormie pendant la nuit, Jerone lui veillait avec les oreilles, il avait fermé les yeux car il ne pouvait pas les tenir ouvert.

Le matin s'etait deja bien levé lorsque Jerone refit surface et vit Saffig encore endormie.
Il scruta l'horizon et reveilla doucement son equipiere.

Debout Soldate il est temps pour nous de redescendre.

101112v Ecuyer arriva au bas de la tour au chant du coq. Mais, l'armée n'était pas une basse-cour? D'où provenait ce bruit? Le plus probable était que ce soit de la cantine. Mais ce n'était pas l'affaire du jour. L'ancien Chercheur-Chef vit que Brennus était en train de monter. Julie décida de le rattraper. Hop! Hop! La tour est haute mais elle le rattrappa sans sans peine. Le seul Facteur d'Arc de l'armée lui dit : "Bonjour soldat Brennus".

Quelques minutes plus tard, les deux militaires arrivèrent en haut de la tour. Si les souvenirs de l'archère étaient bon, il y a quelques temps, Jerone avait voulu mettre une baliste en haut de la tour, mais le projet avait avorté comme bien d'autres de ses projets...

Le paysage était magnifique grâce au lever du soleil mais cela risquait d'être vite lassant.

Les deux militaires surveillèrent du haut de la tour les environs. Personne ne bougeait aux alentours, autrement dit, c'était totalement ennuyeux.

Acis faisait le tour de la caserne, il veillait à ce que tout se passe pour le mieux. Il avait vu les soldats luxoviens monter très souvent sur leur tour de guet. Aussi, il se décida à aller les voir pour prendre de leurs nouvelles. Il monta les marches menant au plus haut de la tour pour trouver l'aspirante de Luxeuil et le soldat Brennus.

- Bonjour à vous deux. Je suis content de vous trouver ici. J'espère ne pas vous déranger

Puis il scruta le paysage

- Oh par Aristote ! Cela donne vraiment un aperçu sublime de toute la caserne et de la campagne doloise, je comprends maintenant que vous fassiez le guet souvent outre les mesures de sécurité.

arriva a la tour de guet et se mit a son poste
admire le paysage

Bien qu'elle eut raté sa patrouille de la veille, et qu'elle n'en était pas fière, la jeune femme s'était rendu à la tour de guet aujourd'hui. Il était hors de question qu'elle prenne déja de mauvaises habitudes, certes, elle était occupée comme tout le monde, mais elle ne pouvait pas se le permettre.

Bref, elle monta dans la tour, s'accoudant à la même balustrade qui lui permettait d'avoir une vu d'ensemble sur la campagne et sur ce qui s'y passait. Vu d'en haut, tout prenait une autre signification, la vie semblait bien plus interessant à observer. Quoi qu'il en soit, la journée passa ainsi sans qu'elle ne soit victime d'un quelquonque ennuis. Lorsque le soleil commença a décroitre, la jeune femme attendit la relève avant de quitter son poste

La meilleure archère de Franche-Comté arriva ne bon matin. Le soleil semblait pâlot et les nuages étaient rosés. Julie commença à gravir le long escalier en colimaçon. Il y en avait de ces marches! Enfin, le sommet était visible. Il ne restait que quelques marches. C'était fini. Elle pouvait admirer la vue.

101112v observa les environs pour voir quand le soldat Brennus arriverait.

L'archère vit arriver Brennus. Les nuages s'étaient déjà enfuis à l'horizon. Ils apparaissaient encore comme de petits points blancs à peine visible, la journée était superbe. Cela valait mieux qu'une pluie torentielle.

Quelques minutes plus tard, Brennus était à sa hauteur et la salua. Elle répondit : "Bonjour soldat, les nuages ont presque tous disparu."

arrive et se met a son poste
quel joli paysage ^^
le lendemain : se rendit compte que la nuit est passée ; se dirigea vers les écuries

Le Sergent vint prendre la relever de Saffig et Mielikki pour ce dimanche à passer en haut de la tour de guet cette fois ci accompagné de son aspirante Julie.

Arrivé en haut il ne vit que Saffig encore assoupie. Il la secoua legerement pour la reveiller.

Saffig c'est la releve.

La belle archère se réveilla très tard. Le soleil était déjà levé mais elle avait l'avantage d'être plus gradé que Jerone et ne recevrait donc aucun commentaire à ce sujet. Julie l'aperçut en haut de la tour avant qu'il ne se penche sur quelque chose.

101112v monta rapidement la tour et aperçut Saffig endormie et Jerone qui essayait de la réveiller. "Bonjour Sergent. Comment allez-vous? Dort-elle ou est-elle dans le comas?"

Jerone vit arriver son aspirant et ne peu s'empecher de lui lancer un regard qui en disait long.

Mon aspirante

Elle dort je l'entends ronfler legerement. Vous avez raté le coq ou vous aviez autre chose à faire avant de venir ici ?

Le sergent se posta dans le coin pres de Saffig et surveilla les alentours tout en observant les arbres de la foret.

L'archère répondit : "Mais Sergent, je n'ai pas à répondre de mon emploi du temps" Voilà, une réponse adaptée, pensa-t-elle.

101112v regarda Saffig qui dormait. Ensuite, elle surveilla les environs.

Jerone afficha un grand sourire en entendant la reponse de son aspirante.

C'est que je me suis inquieté j'ai eu peur qu'un brigant vous ait tuée mon aspirante.

Jerone savait bien qu'il n'avait pas le grade suffisant pour lui ordonner de lui repondre et il aurait peut-etre meme pas repondu à sa propre question si cela s'etait passé dans l'autre sens.

Il avait reperé des arbres qui l'interessait pour la construction de son CRAB. Il prenait des notes tout en continuant à griffoner une allure generale à son engin.