[RP] Discour, remerciements et remise de médaille du Capitaine Green

isabelle entra,on lui avait demander de passer à l'agora, regarda autour d'elle ,vit le capitaine,elle s'installa et attendie ses collègues

bonsoir capitaine!!!

L'apirant Maitre d'Armes arriva au lieu où le capitaine avait descidé de faire son discours de fin de mandat. Il salua la gendarme presente ainsi qu'adso une vieille connaissance.

Salut tout le monde

Hé ! Jerone ! comment vas-tu ? çà fait une paie, non ?

Derborence arriva à son tour dans l'Agora. C'était la prmière fois qu'il y mettait les pieds et fut impressionné par le lieu.
Il reconnu une gendarme qu'il salua ainsi qu'Adso et fit un timide geste de la main en direction de Greenwarrior et Jerone.

L'aspirant zibob,arriva sur les lieux,un peu stressé des derniers événements...
Il y était déjà présent,quelques civils,et quelques militaire.
Il se chargea de saluer tout le monde.

Chers camarades Franc Comtois!

Léonin arriva avec une grande écharpe autour du cou et un nez ressemblant plus à celui d'un poivrot qu'à autre chose. Mais avec ça, des éternuements et des reniflements qui ne laissent aucun doute sur la situation. Il avait le rhume. Son uniforme n'était pas très conforme mais tant pis.

Il s'approcha du groupe et il salua tout le monde.

Bonjour Messieurs.
Bonjour Aspirant Jerone !
Bonjour Aspirant Zibob !

Sara entra dans la pièce et salua toutes les personnes présentes. Elle n'aurait raté pour rien au monde le discours du capitaine qu'elle avait sans doute le plus apprécié pour son écoute et sa proximité auprès de ses soldats... "ses pioupious".

Bonsoir tout le monde !

Un petit salut réglementaire, un sourire et elle attendit sur le côté que les autres personnes arrivent, une main posée sur son ventre qui ne cessait de grossir.

Brieuc fit une brève apparition afin de saluer le Capitaine Greenwarrior.
Aussitôt fait, il reparti pour Saint Claude rejoindre ses hommes...

Sans se faire remarquer, Dina s'appuya à un mur tout au fond et regarda tous ces comtoises et comtois entrer peu à peu.
D'un hochement de tête elle saluait ceux qu'elle connaissait plus ou moins bien...

Malgré elle, Dina suivit Leonin et se retrouva parmi les hommes et les femmes qu'elle aiamit tant même si elle donnait souvent l'impression de les ignorer...

Un sourire crispé aux lèvres elle les salua tous l'un après l'autre...

Comment passez à coté d'un tel événement?

Des affiches à la mairie... des pigeons d'amis se posant toute la soirée devant les fenêtres de la Belle Blonde... une jolie mésange provenant de Green lui picorant gentiment la joue ... tous clamaient la même chose.... La cérémonie de fin de mandat de son amour allait bientôt débutée.

Elle ne s'était jamais vraiment préoccupée de politique et ce, malgré le nom qu'elle portait fièrement. N'y avait il pas eu… et n'y avait il pas encore… de grands hommes de sa famille en politique? Debenja, Cartil, Uruk, Sirius... et aujourd'hui Eiddin... tous portant le sang des Riddermark... mais était-ce parce qu'elle était l'unique femme de la famille ou parce qu'elle n'avait pas eu cette éducation de noble? Mais elle avait toujours préféré le bruit des tavernes aux bruits des couloirs du château de Dole.

Cependant, ce mandat... elle l'avait vécu comme si elle avait été élue... Deux mois... deux long mois. À s’indigner devant un franc comte plus fier du titre que d’effectuer la tâche, à devoir se battre comme un soldat lorsque l’on ne veut que prônez la paix et l’entente… à sentir sa lame traverser un flanc… à voir le sang rouge glisser sur le fer blanc… à pleurer la mort de son cousin préféré… son Sirius... celui par qui son lien familial avait été découvert.

Et puis... deux mois… soixante jours... à encourager… supporter... soutenir cet homme qui aujourd’hui se tenant devant tous. Ce grand homme qui ne le croyait pas. Elle était si fière de lui en ce jour de fin de mandat. Il avait traverser la tempête... en râlant parfois... en rageant souvent… en tempêtant tout le temps... mais toujours la tête haute... la Franche comté sur le cœur… le courage dans la détermination… l’amour de sa terre dans l’âme… et le don de soi dans sa foi.

Elle l’avait partager avec la Franche comté car elle savait que là était sa place. Et que jamais il n’aurait voulu être ailleurs car tel était sa mission. Le peuple l’avait élu. Les soldats comptaient sur lui. Jamais il aurait osé penser les trahir en se défilant de sa fonction de capitaine. Et elle avait été là… à lui offrir son support à travers ses missives… en espérant lui apporter un peu de réconfort les soirs où le sentiment de découragement l’envahissait… ou le doute s’insinuait dans ses veines.

Hortense entra dans la pièce et jeta un regard autour d’elle et le vit… son homme… cet homme qu’elle aimait tant… Elle le détailla longuement… lui voyant les traits tirés… quelques rides s’étant créer aux creux de ses yeux. Il était beau… il était son homme. Son regard croisa le sien… et un sourire complice et amoureux illumina le visage de la belle blonde. Très bientôt... ils allaient se retrouver et vivre enfin heureux. Pour l’instant…elle s’approcha de sa mairesse préférée et lui fit la bise... et se tourna vers Derdekan pour faire de même.

Pour rien au monde elle aurait manqué la fin de cet interminable mandat. Qui aurait pu croire que deux mois c’est aussi long.

Il se plongea dans le regard d'Hortense, tout ce qu'elle pensait sur le coup, il le comprit dans ses yeux et son sourire. Il lui rendit tendrement, se disant que bientôt, il allait pouvoir la serrer dans ses bras mais pour l'heure son histoire.

Bien, vous savez que la devise de Rougemont est "un peuple uni n'est jamais vaincu" et bien vous allez entendre une histoire.

Un jour, un Comté avançait lentement sur une plage d'abîme quand soudain, Deos lui apparut. Ce Comté fut heureux de voir son plus grand héros et lui demanda ce qu'il faisait là.
Alors, Deos lui dit que la plage était son avenir et son passé et qu'il marchait à ses côtés.

Le Comté se retourna et remarqua que dans ses pires moments, il n'y avait qu'une seule trace de pas et il demanda à Deos pourquoi il n'était pas là.

Alors Deos répondit : Si j'étais là, je te portais.

Comme Deos se trouve en chacun de nous, vous êtes à son image et dans les pires moments de la FC, vous l'avez portée tous ensemble en vous unissant. Oubliant vos origines, vos fonctions pour la défendre, unis.

De cette unité entre les civils, les gendarmes et les militaires, je souhaitent appeller l'Adjudante Monifred et le Lieutenant Pegasine.

Il fit un clin d'oeil à Debby qui se cachait dans son coin puis refit un sourire vers Hortense, un peu confus de sa barbe.

Julie arriva et salua respectueusement les personnes qui la voyaient.

Noune entra dans la piece salua ses amis discretement et se rapprocha de son parrain Jerone tout en ecoutant d'une oreille attentive les paroles de Greenwarrior

Le Comte sourit à Rubby et se bougea légèrement pour lui laisser une petite place

Ma chère je suis ravis de vous voir. Je vous en prie, je vous chauffais simplement votre place

Adjudante, Lieutenant...

Il s'approcha d'elles, lentement.

Vous avez travailler ensemble, alliant les civils aux gendarmes et aux militaires. Si nous ne sommes pas dans une situation plus grave dans toute la Franche-Comté, c'est grâce à vous Adjudant Monifred. Lieutenant Pegasine, vous avez toujours été proche de vos hommes, ne rechignant jamais face à la lourdeur de travail. Votre unité et votre coordination commune permet de préparer la veille les ordres pour le lendemain, tout est toujours en place et je sais que vous continuerez quand nous aurons repris Pontarlier des mains du Diable.

Pour vos vies offertes au peuple comtois, je vous décerne à toutes deux, la médaille de la loyauté. Gage de votre appartenance à la FC et votre devouement aux comtois.

Il épingla la médaille sur la poche de poitrine de chacune puis leur fit le salut militaire de reconnaissance.

En effet rien que pour votre fidelité sans faille au capitaine ...

Félicitation aux médaillées