Chapelle des Carmélites

Voici la chapelle où prier pour les malades..ça peut servir !
(voir ce que dit notre aumônière : une prière matin et soir. Et j'ajoute : une petite offrande aux infirmières n'a jamais fait de mal à personne)

Rêveuse entra dans la chapelle, et alluma un cierge pour St Peregrin.

Elle murmura une petite prière.

Saint Pérégrin, ait pitié des malades.
Pense à ceux qui sont aimés, comme tu l'as pu être.
Tous n'ont pas encore fait leur temps sur terre,
Laisse leur la chance de réparer les erreurs qui ont pu faire.
Laisse les vivre encore, finir leur oeuvre,
Pour qu'on puisse penser à eux autrement
qu'à de simples soldats.
Laisse leur une chance.
Permets leur de vivre
sans devoir dépendre de personne
Permet leur d'être suffisament bien
Pour pouvoir faire le bien,
transmettre leurs connaissances
et préparer leur départ.

Amen

Lothilde était entrée comme ça, par hasard, par curiosité. Rêveuse chuchotait quelque chose. On pouvait à peine l'entendre, alors elle s'est approchée doucement et a tendu l'oreille. Comme c'est beau, ce qu'elle dit, là ! ..comme c'est vrai aussi ! Elle ne savait pas trop si Aristote et saint Peregrin allaitent entendre cette prière, mais après tout, pourquoi pas ?...
Lothilde alla prendre un cierge et l'alluma à la petite flamme vacillante de celui de Muscade. Amen.

Après être sortit du bureau de Rêveuse, Chevalier St Georges entra dans la chapelle. Il se signa, puis s'avança vers l'autel. Il s'agenouilla et pria :

Oremus. Praeceptis salutaribus moniti, et divina institutione formati, audemus dicere :
Pater noster, qui es in coelis ; sanctificetur nomen tuum ;
adveniat regnum tuum: fiat voluntas tua sicut in coelo et in terra.
Panem nostrum quotidianum da nobis hodie ;
et dimitte nobis debita nostra, sicut et nos dimittimus debitoribus nostris. Et ne nos inducas in tentationem.
Sed libera nos a malo.
Amen.

Après sa prière il se releva, s'approcha de l'autel et fit le tour de la Chapelle. Il sortit un balais d'un placard qui se trouvaient au fond de Choeur, et épousseta un peu leur donnant ainsi un meilleur aspect. Il rangea le balais, et sortit de sa besace une coupe en argent. Il la posa su l'autel, à coté d'un exemplaire de la bible. Puis discrètement en vérifiant bien que l'Eglise était vide, il se baissa, souleva la nappe blanche qui recouvrais l'Autel, sortit trois bouteilles de Vin de sa besaçe, vin qu'il avait pris soin de bénir au préalable. Il les camoufla sous l'Autel, et pensa :

*ça fera un petit stock, il faut que j'en ramène au fur et à mesure, pour les messes à venir et pour les distributions de gourdes aux Soldats. Je vais demander un tonneau et des gourdes à l'intendance, je bénirais le vin, et cela grossiera le stock*

Pui il se dirigea vers le bénitier. Il le remplit changea l'eau bénite qui s'y trouvait et se dirigea vers la sortie de la Chapelle, d'un pas préssé.

(((((((Bong))))))) ((((((Bong)))))) ((((((Bong))))))

Chevalier St Georges s'approcha de l'autel, les quelques fidèles était déjà là, assis sur les bancs de la chapelle.
Tout était près le curé s'avança vers l'Autel et déclara :

Aristotéliciens, Aristotéliciennes, soldats, archers, fantasins et autres chercheurs,
Nous sommes réunis en ce deuxième Dimanche de Mars, pour un autre instant de convivialité, d'amitié, de bonheur et de foi. Tout d'abord désolé pour le retard, mais j'offcie en ma paroisse de Vesoul également, et il faut que je fasse la route en mule pour venir jusqu'ici. Je remercie tous ceux qui sont présents d'être venu, qu'ils sachent que le Très Haut voit leur piété et l'apprécie. Qu'ils sachent qu'en continuant sur cette voie ils sont sûr de ne pas périr dans les flammes de l'enfer, et regretter à jamais leur vie de pêchés et de vices prisonnier d'un malheur éternel. Chers fidèles, si vous êtes venus partager ce moment, c'est pour célébrer l'amitié unitive que prône Aristote, mais avant de le partager, il nous faut d'abord expier nos péchés. Prions :

Citation :

Jugez-moi, mon Dieu, séparez ma cause de celle des impies : de l'homme injuste et trompeur, délivrez-moi. Accueillez-moi parmi vos amis.
Je confesse à Dieu tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, par action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
Que le Seigneur tout-puissant et miséricordieux nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Pensez également chers paroissiens à vous rendre au confessional qui viens d'être bati, la rémission des pêchés qui marque le début de la messe est insuffisante, la confession est plus personnelle, elle vous permet de faire pénitence et tout bon fidèle Aristotélicen devrait le faire de temps à autres.

Maintenant que nous avons expié nos pêchés, rendons grâce à Dieu, à Jéus Christ son fils, et à Aristote le premier des prophètes, celui qui dont la pensée est une préfiguration de la révélation divine. Chantons mes enfants.

Les soldats entament un cantique du frère Tim

Citation :

J'ai longtemps habité une grotte platonique
Que des ombres mouvantes hantaient comme un château
Et dont les cavités obscures et noir corbeau
Rendaient pareil le soir au jour, le cap au pic.

Mes yeux en zyeutant ce fort troublé tableau
Mélaient d'une facon païenne et cathartique
Le Tout Puissant, le Juste, l'Amour métaphysique
Aux accords dissonnants rapportés par l'écho.

C'est là que j'ai compris, dans une volupté calme,
Grâce à l'Être Divin, l'Universel Moteur,
Que ces spectres fuyants qui me glacaient le coeur

N'étaient que viles pensées, du vent souflant des flammes,
Et qu'en raisonnant bien, assumant le bonheur,
Je trouverai la Voie, l'éclatante Lueur

Après cet instant musical pour chanter les louanges du Seigneur, Chevalier St Georges repris la parole :

Aujourd'hui je voudrait vous parler de la gourmandise. Est-ce mal me direz vous de cèder aux plaisirs de la bonne chair, d'apprécier les bonnes choses de la vie ? Si Dieu a fait des bonnes faisans, des pommes, du choux, du sucres et tant de bonnes choses c'est bien pour qu'on les mange ? Non ce n'est pas mal, ce n'est pas mal de manger un bon poisson, de déguster un morceau de Comté, de s'offrir un bon fruit juteux ou une part de tarte.

Mais la gourmandise c'est l'éxès, c'est manger trois poissons, tous les fruits du verger, c'est dévorer une meule de Comté tout seul ou s'empifrer avec toute la tarte. Apprécier les plaisirs de la nourriture sans être gourmand est tout à fait possible. Il ne s'agit pas d'être un ascète morose mais de comprendre le sens de la suffisance. De connaître la limite entre la dégustation et l'empiffrement. De plus les plaisirs de la bonne chair sont encore plus délicieux après une période d'abstinance. Après trois jour de jeûn, une miche de pain prends une saveur délicieuse, une semaine sans viande, et le morceau semble plus juteux que jamais. Alors réflechissez-y paroissiens, ne sombrez pas dans la gourmandise, et ne confondez pas modération et vie fade dépourvue de plasir, aprenez juste à concilier le plaisir avec l'absitinance et la suffisance.

Après ces mots, le curé se saisit de la coupe en argent qui abritait le vin de messe, il l'a tendit, vers les fidèles et dit :

Communions ensemble mes enfants.

Puis il en bu une gorgée et pensa *hummm fameux ce vin, non seulement c'est pas de la piquette, mais en plus, le fait que je l'ai béni lui ajoute du tanin*



Certains fidèles vinrent vers l'Autel, il posa sur leur langue l'ostie. Après l'eucharistie il déclara :

Cet instant de joie ne doit pas nous faire oublier le malheur qui certains membres de notre honorable institution. Je pense aux soldats qui sont de corvés, à récurer les latrines, à nettoyer les écuries, à éplucher des légumes etc. Je pense également aux bléssés : les malchanceux qui se sont pris une flèche dans le postérieur ou un boulet de bombarde sur le pieds pendant les manoeuvres, les maladroits qui se blessent avec leurs propores armes, les courageux qui se blessent en combattant vaillament l'enemi et qui sont peu nombreux en ces temps de paix. Ils contrastent avec les séducteurs libertins dont le seul objectif est de corrompre nos gentilles infirmières dans la luxure et le vice, pourvu que ces simulateurs retrouvent le droit chemin. Alors bénissons les bléssés, et dédions lui cette prière :

Citation :

Oremus. Praeceptis salutaribus moniti, et divina institutione formati, audemus dicere :
Pater noster, qui es in coelis ; sanctificetur nomen tuum ; adveniat regnum tuum : fiat voluntas tua sicut in coelo et in terra. Panem nostrum quotidianum da nobis hodie ; et dimitte nobis debita nostra, sicut et nos dimittimus debitoribus nostris. Et ne nos inducas in tentationem.
Sed libera nos a malo.
Amen.

Enfin chers fidèles, vaillants soldats Franc-Comtois, n'oubliez jamais que vous soyez sur le champs de bataille, sur un terrain de manoeuvre, à 'infirmerie, au Bar de la Caserne, au fin fond d'une mine, Dieu est derrière vous et vous soutien dans votre noble tâche. Un dernier mot, j'ai vu qu'il y avait une salle de musicien dans la caserne, si certains d'entre eux veulent accompagné les messes qu'ils me le fasse savoir...

Exceptionnallement (connaissant son gout imodéré pour les pater nosters) le capitaine avait assister à un bon quart (la fin) de la cérémonie, au fond de la salle, derriére la porte de la chapelle en fait, dans l'antichambre, assis sur un bénitier dans lequel il avait failli se casser la figure en s'endormant cinq minutes aprés son arrivée.

Quand la messe fut terminée, il se dirigeat en baillant en direction du prêtre

Mes félicitations.. trés beaux sermont sur.. heu... trés beau sermont....

Merci Capitaine, j'avoue que moi même parfois je cède à la gourmandise, mais bon, il est souvent difficile d'appliquer tout le temps ses propores sermons...

Lothilde arrive essoufflée et en retard à la première messe du chevalier_st_Georges après avoir couru tout le long du chemin qui conduit au château de Dole sans rater une seule flaque. Tant pis. Elle a toujours aimé ça, sauter dans les flaques. Ses chausses un peu moins, c'est vrai. Et il y a bien longtemps qu'elles ont manifesté leur mécontentement en s'ornant au bout de deux petits trous circulaires parfaitement symétriques. Bah ! il n'y a que muscade pour s'en offusquer et la railler sur ce minuscule détail...Pfff ! Où est-elle, d'ailleurs, cette soeur jumelle tellement infernale ? Ah ! derrière un pilier, bien sûr !

qu'est ce que c'est que ce charabia ! tu parles latin, maintenant ? Ah ! tu fais semblant ! il me semblait bien, aussi...

chuchote à l'oreille de Muscade

Cette nuit, j'ai failli mourir de peur, figures-toi ! Un vagabond est entré dans ma chaumière avec une grande échelle. Il me l'a donnée en me disant comme ça "ceci est mon corps" j'ai cru avoir rêvé. Pas du tout ! elle était encore là ce matin...ça fait une bouche de plus à nourrir...Quoi ? grimper dessus ? !!! mais c'est un corps en bois, Muscade !!!

Se retourne et aperçoit médusée le capitaine, assis en équilibre très instable sur le rebord du bénitier, bras balants, la tête inclinée sur la poitrine. Beau comme un ange, quand il dort, songe t-elle. Un violent coup de coude de Muscade la ramène à des réflexions beaucoup plus terres-à terre.

Amen ! ite missa est ! Muscade j'ai faim !

Après une dure journée de labeur, l'aumonier voulait s'accorder un petit plaisir, il s'approche de l'Autel, et soulève la nape pour y sortir une de ses bouteilles. A sa grande surprise il en manque une, sa meilleur bouteille de vin jaune

*Qui a osé ? mon sacro saint brevage, le sang du christ, en plus j'ai anoncé la distribution de fioles gratuites dans mon bureau!!!! Argh, enfin, Dieu pardonnera celui qui a commis ce pêché horrible, j'espère au moins qu'il viendra se confesser...*

Sur ces pensées le Curé se servit un verre de vin pour oublier ce grand malheur...

Rêveuse avait quitté Luxeuil dès sa messe terminée, pour permettre aux soldats d'avoir eux aussi une messe. Mais elle prévoyait de la faire l'après midi, permettant ainsi aux gens d'assister à deux messes sur leur journée.
La route avait été longue, et le printemps tout proche avait réchauffé la terre.

Rêveuse entra dans la chapelle. Depuis une semaine, la poussière avait eu le temps de se redéposer. Elle alla se saisir d'un balais, et de quelque instrument pour nettoyer, et nettoya cette chapelle. Les fenêtres furent ouvertes, pour renouveler l'air.

Mais s'attaquant pour terminer à l'hôtel, elle y découvrit deux bouteilles de vin. Le travail lui avait donné soif, et elle ne vit aucune objection à goûter ce vin rouge sang.

La première gorgée bue, elle avait encore soif. Et gorgées après gorgées, elle se rendit compte qu'elle avait terminé la bouteille.


Eh merde... Faudra que je lui remplace.

elle se releva en titubant, et alla dans son bureau chercher quelques bouteilles qui y traînaient. Elle en stocka deux, et bu une troisième.

Chevalier St Georges entra dans la chapelle et se signa.

Puis il constata que tout était tout propre, et se dit :

*J'espère que Rêveuse à célèbrer une messe c'était son tour ce dimanche , sinon je me serais donné un plaisir d'officier...*

Il se dirigea vers l'autel, il avait ramener dans sa besace deux bouteilles pour sa réserve secrète afin de comenser le vol d'hier. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit qu'on lui en avait vidé une autre !!!!!!!

Il décida de changer de cachette, déplaça les bouteilles vers la sacristie, les disposa soigneseument dans un meuble qu'il ferma à double tour et don il garait la clef autour du coup, et mis dans son ancienne cachette un mot sur lequel éait inscrit :

Citation :

Distribution gratuite dans mon bureau, c'est pas bien de voler !!!

Puis il repartit...

Rêveuse avait siroté du vin de messe toute la journée, sans voir le temps passer. Elle s’avança en titubant vers la cloche, et du s’y reprendre à 3 fois pour la faire sonner. Ensuite, elle alla, toujours titubante, vers l’hôtel. Les gens arrivaient déjà.

Elle se mit à parler d’une voix pâteuse, et peut assurée :

Mes chers f… hips, mes chères filles.
Deuxième messe de la journée, s’cus… hips. ez !
Donc voilà. J’ai prévu de hips vous parler de la paix. Vous êtes, si je ne me trompe, soldats. Or Dieu nous a hips, nous a dit de ne pas tuer notre prochain. Et que hips… que faisons nous ? Guerres, attaques de bandits… hips. Pâs bien…

Rêveuse avait terminé son discours le doigt levé. Mais elle s’effondra par terre, sans connaissance.

Leconquerant qui flanait, se dit qu'il ne connaissait pas ces lieux saints, par curiosité il décida d'entrer dans l'un d'eux, mais celui ci fut desert, et personne n'avait du s'y rendre depuis quelques mois...

Typhoon arriva sur les lieux, un seaux a la main, et 2 brosses dont les poils étaient tres abimés.

HEEEEEEEEEEEEEEEEEooooooooooooOOOOOOOOOooooooooooo

[écho]HEEEEEEEEEoooooooOOOOOooooo

[écho]HEEoooOOoo

Ya quelqu'un ici ?
[écho]Quelqu'un ici ?
[écho] Ici ?

Bon ba je vais commencer par là...

La Chapelle était très obscure, on entendait parfois quelques bruits qui s'éparpillaient ensuité a travers les couloirs de cette chapelle. Tout a coup, pendant que Typhoon s'attaquait au nettoyage d'un coin de la Chapelle, une petite chauve souris s'échappa.

Vous avez vu le MONSTRE que c'était ? on aurait dit ... mais attendez ces quoi ces trucs sur le mur ?
Typhoon posa le doigt dessus et la chose courrut en direction du plafond

IHIHIHIHIHIHI c'est quoi cette horreur ? C'était pas une ?
Yen a dans les pissoirs mais pas des aussi grosses !
Rolala, ou est ce que je me suis encore refourgué ?

Typhoon entendit le Psy rigoler a la porte de la chapelle.

Nan mais qu'est ce que vous faites la Sergent, le Lieutenant ne vous a-t-il pas demandé de faire les pissoirs ?
Laissez moi tranquile que je nettoie en toute sérénité.
Nan mais ! c'est plus possible de nettoyer tranquilement ?
En plus j'ai même pas peur !

alors 1) ma corvée je l'ai finite depuis bien longtemps MOI
2)fais attention parce que avec ce que tu viens de me dire je pourrais te metre 2 jours de plus a gueuler dans cette chapelle et a croire que la petite araignée du mur va te manger

3) dis pas que t'as pas peur parce que regardes:

montre les braies mouillées de typhoon puis se remet a rire

Typhoon se retourna face au mur, nettoyant ce dernier et marmonnant quelques mots dont il vaut mieux ne pas entendre la prononciation.

...m'énerve...qu'est qu'ils ont tous contre moi ces gradés ?...pffff personne ne me comprend...j'ai envi de casser la figure a tout le monde...

Typhoon revint a la Chapelle dont il connaissait maintenant les moindres recoins. Il posa son seau et décida de s'attaquer a la statue d'Aristote posé sur l'autel puis apres a celle en or.

Salut les et les

[écho]les et les

[écho] et

PHIOUUUUFFF fait toujours un froid de canard ici !
M'énerve.....toujours moi qui me tappe les taches les plus corriaces et les plus désagrables.....nan mais qu'est ce qu'ils ont tous ces gradés ?....m'énerve c'est pas possible.........

Ahhhhhh mon petit Aristote, si tu savais....l'armée c'est pas facile...mais heuresement que je suis le meilleur....

UNE ENORME ARAIGNEE TRAVERSA L'EGLISE. Typhoon regarda a la porte, personne, a travers les vitraux, personne.

HHHHHHHHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHHHHHHHHHHHHHIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Chui pas une lopette !

Il prit son épée courte et courrut en direction de la pauvre araigné d'à peine 3 a 4 cm

AAAAAAAAAAAAA L'AAATTAAAAAAAQUUUUUUUEEE
Je vais t'exploser sacre bleu, tu pourra meme pas pensé a ta toila d'araigné ..... MOUHAHAHAHAHAHHAHAHAH je vais t'exploser VERMINE !

Il tapa si fort sur l'araigné qu'il put la pourfendre en 2 sur le 1er coup d'épée.

Et ouais ma petite crotte, tu fais pas l'affaire contre le courageux Typhoon dit-il en commençant a danser en signe d'une victoire minable

OHhhhhhhhhhéé ! tu te tais la voix Off, elle était meme pas minable ma victoire. Cette Bestiolle était presque aussi grosse qu'un Troll des montagnes en Patagonie...seulement a 2 ou 3 mètre pres.

suivant les conseil de spikelilou vis a vis de la décoration , frere anythingelse avait fait parvenir une statue de saint martin , ainsi qu un vitrail le représentant .

ayant constaté que seul les archers étaient représenté dans cette chapelle il avait décidé d apporter la statue du saint patron de tous les soldats , un petit peu d équité entre les corps d armée face au tres haut pensait il .






une fois le travail achevé , anythingelse était tout de meme un peu ennuyé des propos qu il avait tenu a spikelilou dans la matinée , il s était emporté en entendant celle ci prononcé les paroles qui lui résonnaient encore en tete " a quoi bon construire une église ... qui serait de toute maniere vide .... "
il se rendait bien compte qu elle n avait pas tout a fait tort , passé l effervescence des jours premiers , frere any était bien obligé de constater que le poste d aumonier allait lui demander beaucoup d energie s il voulait ramener l aumonerie au coeur des préoccupations des soldats ... vaste projet chuchota t il alors . cette pensée le fit sourire , il ne s avouait pas vaincu bien au contraire , il avait confiance , la personnalité des soldats qu il avait alors croisé lui avait plu , il lui fallait désormais se rapprocher d eux pour mieux les comprendre , m entrainer avec eux m aidera dans cet entreprise , j ai hate de commencer .

puis il se dit que demain dans la matinée il passerait saluer maitre spikelilou et qu'il s excuserait de s etre emporté de la sorte , la vérité est parfois dur a encaisser , cet attitude n est pas digne d un représentant d aristote , il faut me montrer plus souple sur ce sujet !

La jeune diaconesse grimpa en chaire. Le peu de fidèles étaient rassemblés devant elle.

Son regard parcouru lentement les rangs de l'Assemblée, elle sourit au peu de personnes avant de commencer.

Citation :

[Aristote] Dialogues IV - Le devenir de l'âme


Le soir tombait sur le ville de Pélas. On entendait que les murmures des femmes qui, près des temples paiens, invoquaient les faux dieux pour la santé du roi. Ce dernier en effet, était mourant. Nicomaque, le père d'Aristote, était à son chevet pour tenter de retarder, et d'alléger le poid de l'échéance fatale.
Aristote, agé maintenant de 14 ans, marchait au hasard dans les rues de la ville, sans voir ni entendre ce qui se passait autour de lui. Qu'adviendrait il de son père si le roi venait à mourir? Bien sur, il ne saurait être tenu pour responsable, mais qui sait ce que des courtisans mal intentionnés pouvaient imaginer, et quelles vengeances pouvaient s'exercer dans ces moments d'interrêgne?
Il s'arrêtta près du temple de Proserpine. Il ne croyait certes pas à la puissance de ces dieux, qui ne lui semblait que des pantins morts, mais il y avait comme une majesté secrête dans cette évocation de la déesse des morts en un instant pareil.
Il sentit une main se poser sur son épaule. C'était Epimanos.

Epimanos: Tu prie pour le Roi Aristote?

Aristote: Prier? Qui devrais-je prier? Et que dois-je demander?

Epimanos: Que veut tu demander? Qu'il vive bien sur! Et si tu ne crois pas en cette déesse tu crois bien en une force supérieure qui régie notre vie?

Aristote: Qu'il vive? Il va mourrir, tu le sais aussi bien que moi. Nos prières ne peuvent pas lui rendre la jeunesse ni la santé. Il a vécu longtemps, et il est temps pour lui de partir. Non, si je prierai, ce n'est pas pour qu'il vive.

Epimanos: Pour quoi donc alors?

Aristote: Qu'y a t'il après la vie Epimanos? Cette âme unique que l'homme possède et qui nous différencie des animaux, survie t'elle à cette vie?

Epimanos: Je ne sais Aristote. Ma science porte sur la vie et non sur la mort. Je peux te dire comment bien vivre, comment être heureux et connaitre les êtres au quotidien, mais pas ce qu'il y a après la mort.

Aristote: Tu peux me dire comment bien vivre? Voyons cela. N'est tu pas d'accord que pour faire un acte intelligent il faut en prévoir les conséquences?

Epimanos: Si bien sur, cela évite de faire des erreurs, de mal agir ou de mal juger des situations. C'est important de prévoir.

Aristote: Oui, c'est ce que tu m'as appris depuis mon plus jeune âge. Mais si tu le veux bien prenons un exemple: imaginons que tu veuilles te marier. Tu es d'accord que c'est un engagement définitif, et qu'il te faudra choisir avec soin?

Epimanos: Certes! Nos lois ne prévoient pas le divorce, et je crois bien que celui qui veut se marier règlera tout ses actes pour que ce mariage soit heureux, sinon ce serai une véritable folie!

Aristote: Tu penses tout comme moi que ce mariage se prépare avant même que l'on prenne l'engagement solennel: on cherche à corriger ses défauts, a se rendre aimable et bon, afin qu'au jour du mariage tout ce passe pour le mieux.

Epimanos: Si tous suivaient ces conseils il y aurait plus de mariages heureux, mais je pense en tout cas que c'est ce qu'il faudrait faire.

Aristote: Je suis content que nous soyons d'accord. Donc pour bien vivre il faut savoir ce qu'il y a après la mort.

Epimanos: Ah!? Là je ne te suis plus. Que veux tu dire?

Aristote: C'est bien simple: tout comme le mariage la mort est un évènement définitif. Il faut s'y préparer donc soigneusement. Si il y a une vie après la mort, alors la vie que nous menons avant la mort doit être consacré à préparer cette vie après la mort. Tout comme notre vie avant le mariage doit être consacrée à préparer notre vie après le mariage.

Epimanos: Je vois où tu veux en venir. Pour toi la mort n'est qu'un passage qui mène à une autre vie?

Aristote: Oui, et notre vie présente doit se consacrer à préparer cette ve future.

Epimanos: Mais pourquoi cette vie future serait elle plus importante que la présente? Et comment peut-tu être sur de son existence?

Aristote: Tu te souviens de notre discussion sur la différence entre les animaux et les hommes?

Epimanos: Oui, je m'en souviens très bien. Tu disais qu'il y avait une différence entre les deux, que l'homme était intelligent quand la bête ne cherchait rien de nouveau.

Aristote: Oui. Mais comment l'homme fait il pour chercher du nouveau, pour creer même en lui et autour de lui ce nouveau?

Epimanos: Et bien si je pars de ma propre expérience, je dirais que j'ai des idées qui me viennent, et qui ne semblent venir de personne d'autre que de moi même, et que je réflechie sur ces idées.

Aristote: J'en suis arrivé à la même conclusion. Ce qui m'a frappé c'est que cela ne venait pas de ce qui m'entoure, mais de moi même, de mon intérieur. Cela semblait...

Epimanos: Immatériel non?

Aristote: Oui, immatériel. Ce n'était pas la conséquence d'une impression sensible mais d'une impression immatérielle, spirituelle.

Epimanos: Je comprend. Mais quelles conclusions en tirer? Il est évident que ces impressions viennent de notre âme.

Aristote: Oui, mais cela veut dire que notre âme est immatérielle, car l'immatériel ne peux pas venir du matériel. Personne ne peut donner ce qu'il n'a pas. N'est tu pas d'accord?

Epimanos: Oui, dit comme cela c'est compréhensible. Mais où veux tu en venir?

Aristote: Mon père est médecin Epimanos, et il m'a souvent décrit la mort: la matière se putréfie, se désintègre sous l'effet du temps. Et regarde autour de toi: la mort est toujours marquée par la destruction de la matière.

Epimanos: Oui, tout passe en ce monde, et ce que les anciens on construit est déja presque disparu.

Aristote: Mais si tu prends quelque chose qui n'est pas composé de matière, cela disparaitra t'il?

Epimanos: Il ne me semble pas: si ce n'est pas composé de matière alors cela ne peut pas se désintégrer. Cela ne mourra pas. Ainsi la pensée d'un homme comme Pythagore sera éternelle et vivra encore dans plus de mille ans.

Aristote: Donc tu penses que ce qui est immatériel ne meurt pas?

Epimanos: Avec tout ce que nous avons dit jusqu'ici, je crois que c'est une chose établie.

Aristote: Alors notre âme, qui est immatérielle, doit elle aussi, ne pas mourir. Quand nous mourons notre corps disparait, mais notre âme, elle demeure. Et c'est cette vie de l'âme qui est la vie future. C'est cette vie que notre vie présente, dans notre corps, doit préparer.

Epimanos: Le roi qui meurt va donc vivre encore?

Aristote: Oui, et c'est pour que cette vie de son âme soit heureuse que je vais prier ce soir.

Epimanos: Nous prierons ensemble alors.

Et sur ces mots les deux amis se séparèrent, Epimanos rentra dans le temple de Proserpine, pendant qu'Aristote se dirigea vers la sortie de la ville pour marcher dans la campagne.

Beaucoup d'entre vous se battent et risque la mort pour défendre leurs terres, et assurer un avenir meilleur aux générations a venir et a la leur, alors partez en paix protéger votre comté, car vous gagnez aujourd'hui votre vie futur, celle de votre âme, et le très haut saura se souvenir que vous vous êtes dévoués pour la protections des autres, et que vous avez donner votre vie pour eux.

Je vous souhaite un bon dimanche à tous, et que le très haut vous garde.

Piline redescendit de chaire, regardant sur elle même la tenue de diaconesse, tout en trouvant bizarre de se voir porter ce genre de tenu... Surtout en se connaissant... Elle était devenu diacre pour s'occuper, mais plus le temps passait et plus elle découvrait la foi.

Elle failli rentrer dans Anythingelse, mais releva la tête juste a temps.

Merci beaucoup d'être venu, je suis honorée, malgré le peu de monde qui soit venue, que vous en fûtes partit!

le frere anythingelse rentra dans l église , il y avait beaucoup de monde en cette matinée a la mémoire de notre grand soldat le valeureux bowen , le frere s avançait doucement , l ambiance était tres tendue car de nombreux hommes étaient en rage la disparition de leur chef les rendaient réellement nerveux .


le frere se rendit a l autel pour entamer l oraison .



Le spectacle funebre qui frappe mes yeux, et l'assemblée qui m'écoute , m'arrachent aujourd'hui la même réflexion; mais avec des motifs de consolation capables d'en tempérer l'amertume et de la rendre utile au Aristotéliciens . Oui, Messieurs, si nos ames étoient assez pures pour subjuguer les affections terrestres et pour s’élever par la contemplation jusqu'au séjour des Bienheureux, nous nous acquitterions sans douleur et sans larmes du triste devoir qui nous assemble , nous nous dirions à nous-mêmes dans une sainte joie : celui qui a tout fait pour le ciel est en possession de la récompense qui lui étoit due ; la disparition du grand soldat que nous pleurons, ne seroit à nos yeux que le triomphe du juste.

le grand soldat Bowen nous as donc quitté il fut sans doute l un des plus illustre meneur d hommes de la garnison et pour cela nous devons aujourd hui lui rendre l hommage qui lui est du .

frere anythingelse annonça un moment de recueillement en la mémoire de Bowen

l aumonier continua son discours , il avait les traits tirés , l ambiance était presque insoutenable , mélange d inquietude de tristesse , la serennité ne s était pas invitée a la cérémonie .


bowen possédait les valeurs essentielles du bon guerrier , le tres haut sera tres heureux de l accueillir la haut pres de lui . bowen nous manquera a tous , j aimerais désormais que ses amis , et ceux qui le désire vienne nous parler de lui afin que nous puissions nous recueillir .

Voilà quelques jours que le nouvel Aumonier s'attelait à nettoyer la chapelle. il aurait espéré de l'aide, des sanctionnés mais personne.

Hommes de peu de foi, je m'en vais vous réveiller moi.

Il termina par les pieds d'Aristote représenté sur l'autel puis, sortit sur le parvis de la chapelle. Un simple parchemin, il hurla pour faire comprendre que la chapelle sonnerait de nouveaux les cloches...

BANDE DE PAÏENS, VENNEZ SAUVEZ VOS ÂMES PENDANT QU'IL EN EST ENCORE TEMPS. COMMENT VAINCRE AU COMBAT SI VOUS NE VOUS EN REMETTEZ PAS A ARISTOTE.

VENEZ EXPIER VOS FAUTES ET VOUS EMPLIR DE LA FORCE ARISTOTELICIENNE.

Puis il retourna à l'intérieur dans la petite sachristie afin de revêtir la tunique blanche qu'un moine soldat lui avait offert à l'issue de sa formation de massacre-soins et bénédictions de la conversion enseigné en l'abbaye de notre dame la sanglante. N'étant pas prêtre, il n'avait pas à revêtir l'étole mais il avait décidé de mettre la croix de ses tuniques aux couleurs de la période eucharistique. Soit, une croix verte brodée sur sa poitrine.

Le sergent adjoint olivierdain avait entendu les cloche sonné de loin, il se dit que c'était un jour exceptionnelle aujourd'hui d'entendre ce magnifique bruit qui résonnait au loin.Il était vétu de son uniforme ainsi que son heaume qu'il avait fabriqué lui même avec l'aide du sergent jérome.
Son heaume représenté le nouveau blason de la garnison de luxeuil.Il porté son uniforme avec fierté et ses gans qui était accroché a sa ceinture , il arriva devant a la messe, il entra :

IL était stupéfait de la grandeur de cette chapelle , cette beauté et les cloches continuaient de sonner et resta la au milieu et regarda cette splendeur qui régné dans cette chapelle. il salua l'adjudant Barth et s'installa dans les premier rang.

Epsonstylus, avait lu l'annonce et pénétra à pas de loups dans la chapelle. Elle s'installa dans un angle derrière à l'abris des regards.

Greenwarrior revint dans le choeur de la chapelle. En vieu réflexe il sortit son épée et la pausa sur l'autel... Il se ravisa bien vite et la glissa derrière le symbole de la tombe d'Aristote mais pas trop loin quand même... Une utilisation peut si vite arrivé.

Il aimait le cliquetis des armures et des armes présentes. Il jubilait même, ce qui lui donnait encore plus de courage... il se lança en faisant le signe de croix de son bras droit tendu.

Et nomine Christos, et Aristotus, et spiritu sancti, amen.

Que la paix d'Aristote soit avec vous.

L'assemblée répondit "et avec votre esprit" bien que green aurait préféré avec son épée.

rendons grâce au Seigneur notre Christos.

Il commença en premier lieu par une brêve introduction sur sa prise de fonction et une festivité particulière qui aurait lieu.

C'est avec fierté que je vous accueille en ces lieux pour célébrer avec moi mon premier office. Nous en profiterons égallement pour bénir les armes de Silver-Ghost.

Il se déplaça ensuite vers le pupitre des saintes écritures. ne souhaitant pas endormir son public ici rassemblé, il attaqua directement l'évangile.

evangile de Saint Matheo, chapitre 13, versets 24 à 43

Il fit une pause, observa l'assemblée et fit un premier signe de croix sur son front, un sur sa bouche et un sur son coeur là où était dissimulé sa cicatrice en forme de croix.

Mt 13:24- Il leur proposa une autre parabole : " Il en va du Royaume des Cieux comme d'un homme qui a semé du bon grain dans son champ.
Mt 13:25- Or, pendant que les gens dormaient, son ennemi est venu, il a semé à son tour de l'ivraie, au beau milieu du blé, et il s'en est allé.
Mt 13:26- Quand le blé est monté en herbe, puis en épis, alors l'ivraie est apparue aussi.
Mt 13:27- S'approchant, les serviteurs du propriétaire lui dirent : "Maître, n'est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D'où vient donc qu'il s'y trouve de l'ivraie ?"
Mt 13:28- Il leur dit : "C'est quelque ennemi qui a fait cela. " Les serviteurs lui disent : "Veux-tu donc que nous allions la ramasser ?"
Mt 13:29- "Non, dit-il, vous risqueriez, en ramassant l'ivraie, d'arracher en même temps le blé.
Mt 13:30- Laissez l'un et l'autre croître ensemble jusqu'à la moisson ; et au moment de la moisson je dirai aux moissonneurs : Ramassez d'abord l'ivraie et liez-la en bottes que l'on fera brûler ; quant au blé, recueillez-le dans mon grenier. " "
Mt 13:31- Il leur proposa une autre parabole : " Le Royaume des Cieux est semblable à un grain de sénevé qu'un homme a pris et semé dans son champ.
Mt 13:32- C'est bien la plus petite de toutes les graines, mais, quand il a poussé, c'est la plus grande des plantes potagères, qui devient même un arbre, au point que les oiseaux du ciel viennent s'abriter dans ses branches. "
Mt 13:33- Il leur dit une autre parabole : " Le Royaume des Cieux est semblable à du levain qu'une femme a pris et enfoui dans trois mesures de farine, jusqu'à ce que le tout ait levé. "
Mt 13:34- Tout cela, Aristote le dit aux foules en paraboles, et il ne leur disait rien sans parabole ;
Mt 13:35- pour que s'accomplît l'oracle du prophète : J'ouvrirai la bouche pour dire des paraboles, je clamerai des choses cachées depuis la fondation du monde.
Mt 13:36- Alors, laissant les foules, il vint à la maison ; et ses disciples s'approchant lui dirent : " Explique-nous la parabole de l'ivraie dans le champ. "
Mt 13:37- En réponse il leur dit : " Celui qui sème le bon grain, c'est le Fils de l'homme ;
Mt 13:38- le champ, c'est le monde ; le bon grain, ce sont les sujets du Royaume ; l'ivraie, ce sont les sujets du Mauvais ;
Mt 13:39- l'ennemi qui la sème, c'est le Diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; et les moissonneurs, ce sont les anges.
Mt 13:40- De même donc qu'on enlève l'ivraie et qu'on la consume au feu, de même en sera-t-il à la fin du monde :
Mt 13:41- le Fils de l'homme enverra ses anges, qui ramasseront de son Royaume tous les scandales et tous les fauteurs d'iniquité,
Mt 13:42- et les jetteront dans la fournaise ardente : là seront les pleurs et les grincements de dents
Mt 13:43- Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le Royaume de leur Père. Entende, qui a des oreilles !


Puis l'aumonier laissa quelques minutes de méditation en s'asseyant sur le fauteuil du célébrant. Il revint pour énnoncer son homélie du jour.

Je vais profiter de cette homélie pour répondre à un confessé que j'ai eu l'honneur d'entendre...

Sommes nous le bon grain ou l'ivraie et regardons nous notre prochain comme un enfant de Christos ou comme une créature quelconque.
Faisons nous le tri de nos regards sur des critères de la VOIX qui nous enseigne de nous aimer les uns les autres ou sur des critères péjoratifs
Un homme a semé le bon grain dans son champ, oui Aristote sème le grain de notre Père Céleste sur sa terre; sa VOIX porte AMOUR
Mais dans ce champ il y pousse aussi de l'ivraie, le bonheur et le malheur se côtoie et ne peuvent s'ignorer l'un l'autre.
Cette ivraie est semée par le malin
Le bonheur est dans notre coeur, le malheur rode à nos pieds comme le serpent qui se faufile sans être ni vu ni entendu
Et se malheur entre en nous sans que nous le percevions et puis il s'y installe en grandissant.
Puis nous sommes très peu à nous apercevoir que le ravageur de notre âme prend de la force et qu'il nous consume de part l'intérieur
Et si nous laissons cohabiter en nous le bon et le mauvais, le mauvais risque de prendre le dessus parce qu'il peut avoir l'apparence de la beauté et la sérénité.
Nous avons deux possibilités de chemins de vie:
Les deux ressemblent à des chemins de montagne, mais l'un monte et l'autre descend, la facilité nous invite à descendre mais plus nous descendons vers l'abîme l'obscurité se fait et nous ne voyons plus rien, les ténèbres nous envahissent et faire demi tour est presque impossible, souvent nous somme trop bas et renonçons par manque de courage
Gravir vers le sommet un chemin de montagne, tant sa cime est haute et lointaine ne doit pas nous décourager, nous allons vers un monde où la clarté nous envahit et arriver au sommet c'est l'épanouissement tant nous voyons les beautés du monde créées par Christos
Gravissons ce chemin vers Christos et ne laissons pas ceux que nous côtoyons se prendre dans le méandre d'un labyrinthe sans fin et sans lumière.

Puissiez-vous à jamais aider vos compagnons de route à se relever quand la vie les fera tribucher.



Il laissa encore un instant de réflexion puis s'approcha de l'autel afin de célébrer l'eucharistie. Le calice était prêt, il versa le vin et y mela l'eau puis ouvrit le livre eucharistique.

Je ne pourrai consacrer le pain et le vin du fait que je ne suis pas prêtre donc, le prochain qui m'appellera mon père recevra la foudre de Christos à travers de la fonte...
J'invite notre frère Silver-Ghost à me rejoindre devant l'Autel pour bénir ses armes.